Lexique / Glossaire du Management
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Nom / Terme
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Et plus encore :

 

- Ctrl+F  + Saisie du terme recherché = Il apparaitra dans toutes les définitions où il se trouve

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- Lettre Alpha : Dans le cartouche mobile cliquer sur la lettre voulue et déroulez,

                          Surtout si vous ne connaissez pas le terme précis !

 

Le choix délibéré de cette présentation en déroulé alphabétique est fait pour optimiser l’acquisition

des connaissances, de chacun par la découverte des termes, méthodes, concepts, nouveaux, méconnus

ou voisins de différents domaines ex :

Technologies de l’informationRH & Management d’EquipeFinance & Contrôle de Gestion

Commercial & MercatiqueDroit, Contrats  & ConformitésManagement de ProjetsAchats

Chaine LogistiqueNormes & QualitéEvaluation, Stratégie & Gouvernance – etc.

   +Incluant quelques Traductions     

 

 Voir :  Naviguez avec les signets associés

                        à la plupart des termes pour mieux cerner des concepts voisins

                        et souvent utilisés dans différentes métiers du management !

 

 Infos  Découvrez les autres sources d’information :

                       - Supports Conférences dont vidéo - Références Bibliographiques

             - Solutions de management – Organismes spécialiséss du domaine non marchand - etc.

 

 Formations   Indentifiez aussi les Formations Appropriées aux sujets qui vous intéressent !

 

 Réf. Pro.  Trouvez : Solutions de Management que nous sélectionnerons en rapport avec les termes, concepts !

 

 Et tout cela en accès libre, permanent et gracieux !    

     => N‘hésitez pas à offrir ce glossaire à ceux qui en ont le plus besoin et à encourager notre action.

 

100ème singe

La « Théorie du centième singe » décrit un système d’acquisition des connaissances non par expérience mais par l’apport d’un individu à un groupe.

Ainsi, le groupe acquiert spontanément tout nouveau savoir en observant et reproduisant ce que tout indivdu, du groupe, a pu découvrir, mettre en pratique, seul !

Dans cette pratique il n’y à pas de mentor, de chef, ni détenteur du savoir. Tout le goupe profite ainsi rapidement de toute nouveauté, au gré des opportunités.

En revanche l’historique du pourquoi ne se transmets pas. Ce comportement est seulement mimétique

 

Ce phénomène a été observé chez les macaques japonais !

 

Chez l’humain c'est souvent un référent reconnu, mentor, qui ayant l’ascendance sur le groupe est à l’origine de cet apprentissage et encore faut-il qu’il ai la volonté et le pouvoir de transmettre « son » savoir.

 

Attention : Ne pas confondre avec « l’effet singe » qui est l’observation des pratiques de transfert de problèmatiques d’une personne à une autre.

 

 Voir : Abilene ; Aptitudes ; Communication ; Compétences ; Comportement ; Effet Pavarotti ;  Effet singe ; Ethologie ; Heuristique ; Mentor ; Plan d’expérience ; Performance ; Théorie(S) ; Travail collaboratif ;

 

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 Infos :

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

3 E

3 « E » = Termes mnémotechniques relatifs aux « Piliers du Développement Durable » par une approche spécifique :

     Economie  -  Ethique  -  Environnemental

 

 Voir : Développement Durable ; PESTEL ; 

 

3M

Méthode 3M = MUDA –MURA MURI 

Concepts d’identification des gaspillages mise au point par Toyota et développé dans le concept « Lean » :

- Muda = Gaspillage délibéré de type perte, défaut et consommations ou déplacements inutiles ;

- Mura = Irrégularité, variation subie ou venant d’un tiers ou d’ailleurs et provoque un déséquilibre ;

- MURI = Excès dûs aux erreurs de prévision ex pour les achats = plus de stocks et moins de trésorerie ;

 

 Voir : Amélioration continue ; Excellence Opérationnelle ; Kaizen ;  Lean ; Loi de Parkinson ; Poka-Yoké ; Qualité ;

 

3P

3 « P » = Expression mnémotechnique relative aux  « Piliers du Développement Durable » par une approche spécifique :

      Profit  -  Peuple  -  Planète 

 

 Voir : 3 E ;  Développement Durable

 

4D

4D est à la fois un langage de développement et un Système de Gestion de de Base de Données Relationnelles = SGBD-R. permettant notamment de mettre au point des applications, logiciels de GRC  = CRM

 

 Voir : Gestion de la Relations Clients ; Langages ; SGBD ; SIAD ;

 

4P

«  4P  » est un concept de positionnement commercial basé sur quatres repères du management d’entreprise :

 

- Produit ex : Gamme = Caractéristiques et diversité de celle-ci face aux attentes des prospects.

- Place = Distribution : Lieu, mode et force de vente, stockage,

- Promotion = Communication/image ex : Quand, comment pourquoi, vers qui ?

- Prix ex : Psycologique, de vente ou de revient. Remises et délais.

 

Ce concept mnémotechnique permet de se poser quelques bonnes questions pour se situer dans un marché.

C’est une approche utilisée par l’Administration fiscale pour évaluer si une activité est lucrative ou non, notamment en ce qui concerne les associations françaises loi 1901 dites à but non lucratif. 

Pour apprécier chacun des ces critères on peut aussi utiliser le questionnement générique organisé : QPQQCOC, plus généraliste.

 

L’ojectif de l’approche « 4P »  est d’établir une cohérence entre ces 4 repères afin de définir une stratégie de vente propre à l’entreprise et donc aussi à l’élaboration de son « Plan d’achat » et de sa politique de vente.

 

Certains affirment que ce concept des « 4P » est révolu. Il serait remplacé par celui de « SEM ou SEO – Search Engine Marketing - Optimisation »

- D’une part ce terme ne concerne que les actions de marchéage appliquées au Web.

En effet le SEM est issu de l’utilisation des moteurs de recherche mais surtout de tous les outils (logiciels) et autres utilisations de mouchards divers qui permettent de traquer les internautes et d’analyser leurs comportements.

Ainsi des spécialistes du « Webmarketing » vendent de plus en plus des « liens sponsorisés » pour optimiser le référencement notamment d’un produit, d’une marque.

- D’autre part ces 4 repères restent néanmoins les critères fondamentaux de la mercatique.et grâce aux nouvelles technologies et aux algorithmes les analyses multicritères sont plus nombreuses, faciles et rapides.

 

 Voir : Achat ; Approvisionnement ; BOGO ; Distribution ; Domaine d’activité stratégique ; Force de vente ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Modèles d’analyse de portefeuille ;  Pyramide des besoins ; Qualité ; QPQQCOC ; Référencement ; Segment de clientèle ;  SONCAS ;

 

5A

Acronyme mnémotechnique précisant les phases d’ordonnancement pour l’organisation d’un projet :

 

- Avénement/Apport = Démarrage de l’idée notamment sur la base d’une réflexion, d’un remue-méninges.

- Analyse/Audit = C’est la phase de préparation qui définira si l’action doit suivre ou pas selon les attentes potentielles, les moyens à mettre en place les objectifs à atteindre ;

 

- Action/Réalisation : C’est la réalisation du projet selon un plan structuré en étroite relation avec les moyens et objectifs ;

 

- Achèvement/Conclusion = C’est finaliser le projet en mesurant les résultats notamment pour en retirer les enseignements et éventuellement prévoir le suivi ;

 

- Archivage/Classement = C’est la phase ultime de conservation des éléments du projet terminé y compris pour  d’éventuelles justifications ulktérieures.

 

 

Le préalable à cette démarche est d’identifier l’objet, les centres d’intérêt puis de définir les priorités permettant de générer les motivations qui détermineront les objectifs.

 

 Voir : 5 Pourquoi ; Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Intelligence Economique ; Management de projet ; PDCA ; Priorité ; QPQQCOC ; Remue-méninges ; Supposition ; Veille ; 

 

5M

5M : Désigne les 5 catégories types retenues dans certaines études de problématiquess :

 

    Méthode ; Moyen ; Main d’œuvre ; Matière ; Milieu.

 

Pratique utilisée dans un diagramme en arête de poisson (Ishikawa) pour mettre en évidence, par catégorie, les causes et effets d’une analyse,notamment pour des questions de qualité.

 

 Voir : 6 Sigma ; 8D ; AMDEC ; Arbre des causes ; EMOFF/FFPM ; Gouvernance ; Management au Plus Juste ; Organigramme des tâches ; Qualité ; TRIZ ;

 

5 Pourquoi

La pratique des « 5 pourquoi » est bien différente de celle des « 6 chapeaux » !

Elle consiste à poser une question 5 fois de suite en reformulant chaque réponse précédente pour approndir le réflexion de la personnes sollicitée

Elle à pour objectif de faire sortir les causes réelles, souvents cachées et on présuposées ou fausses excuses, liées à une problématique, la justification d’un comportement, etc.

 

Pour illustrer ce principe on peut parler de poupée  russe !

 

Les recruteurs, les adeptes de l’amélioration continue, ceux du management de projet, adoptent souvent cette praitique partielle du questionnement générique organisé –QPQQCOC- pour mieux appréhender une situation, apprécier un comportement.

 

 Voir : 5M ; 6 Chapeaux ; 8D ; Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; Pragmanagement ; QPQQCOC ; Supposition ;

 

5 S 

 

 Voir : Méthode 5 « S »  ;

 

5 zéros 

5 zéros = Pincipe de la qualité totale.

 

 Voir : Qualité ;

 

6 chapeaux

6 chapeaux : La méthode qui préconise, pour une personne, confrontée à une problématique, de porter plusieurs points de vue en se mettant en situations différentes ou vous référant à un un concept déjà définit (ex : PESTEL, Pyramide des besoins) un mode d’organisation fonctionnel ou de pensée ex :

      - Gouvernance – Achats – Vente – Juridique – Communication - Finance –

      - Optimiste – Pessimiste – Emotionnel – Innovant – Altruiste – Neutre -

 

Le concept 6 chapeaux est plus large et demande une capacité personnelle à changer son point de vue, comme si une seule personne se trouvait assistée par 5 autres.

 

Certains préconisent que pour toute problématique il faudrait se poser 5 fois la question :  Pourquoi ? notamment pour obtenir la véritable raison, cachée, d’une motivation ou d’un dysfonctionnement.

 

Le méthode du questionnement générique organisé : QPQQCOC, est également très utile !

 

Reste à savoir si ce qu-il y a sous le chapeau fonctionne bien !

C’est là aussi qu’il faut faire la différence entre érudition et intelligence.

 

 Voir : 5 pourquoi ; Altermanagement ; Amélioration continue ; CirCept ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Heuristique ; Management calme ; Management de projet ; OCARA ; PESTEL ; Plan d’affaire ; Pragmanagement ; QPQQCOC ; Qualité ; SONCAS ; Supposition ; Technique de concassage ;

 

 6 Sigma

6 sigma = lettre grecque (lettre majuscule  ∑ et lettre minuscule σ)

Le signe σ est utilisé en probabilité pour désigner l’écart type d’une loi normale (représentée graphiquement par une courbe de Gauss).

Le σ mesure le niveau de variabilité d’un processus (qualité), 6 sigma = Six fois l'écart type 

 

La méthode 6 sigma développée initialement par Motorola a pour objectif l’amélioration des processus, au service de la qualité. 6 Sigma est un concept qui a donné lieu à la déclinaison de méthodes de résolution de problèmes. Il se base sur une démarche structurée en particulier sur des observations statistiques (afin de mettre en évidence les variations d’un processus) et permet de fixer un objectif d’amélioration des processus dans de nombreux domaines industriels.

Cette démarche structurée est aujourd’hui connue sous le nom de DMAIC (6 sigma et DMAIC sont synonymes)

DMAIC :

- Define      = Définir

- Measure  = Mesurer

- Analyze   = Analyser

- Improve  = Améliorer au sens Innover

- Control   = Surveiller 

 

DMAIC vise l’amélioration des processus existants et il existe une déclinaison spécifique DFSS : Design for Six Sigma, qui, elle, vise la création de nouveaux processus, produits notamment pour une démarche « Concept, Stylique » avec pour objectif l’éradication des sources de non qualité dès la conception du processus « robust design »

 

Le SIPOC un outil complémentaire de la charte de projet, qui permet de mieux définirs ceux-ci notamment par visualisation des processus : entrées fournisseurs, sorties clients.

 

Les méthodes 6 sigma, font l’objet de certifications ex :

« Green Belt » (= Ceinture verte ) : Est le premier niveau de formation et de connaissance de  la méthode 6 Sigma nécessaire pour l’animation d’une équipe projet.

« Black Belt » (= Ceinture noire ) Est le niveau Chef de Projet de la méthode 6 Sigma. Il coordonne les acteurs et particulièrement de niveau Green belt.

 

DPMO : Défauts Par Million d'Occurences = Defects Per Million Opportunities .

Le DPMO, pour 6 Sigma, fixe à un maximum de 3,4 erreurs (anomalies, dysfonctionnements, etc.) par million d’opportunités ou d'unités de production.

 

En résumé, les principes d’une démarche 6 sigma s’inscrivent, comme ceux de la GGP/CPM, dans l’amélioration de la qualité et de l'efficacité des processus avec pour objectif la suppression des sources de non-qualité :

 

D’autres spécialistes de la qualité rajoutent aussi la dimension “Recognize” c'est-à-dire de reconnaissance (exploration, découverte) en amont d’une démarche 6 sigma pour intégrer la dimension stratégique issue au minimum d’un diagnostic et au mieux d’un audit.

 

Comme tout concept 6 sigma à ses faiblesses et notamment sur les processus transactionnels.

Là, un autre concept apporte des solutions = ASIT

 

http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image001.png Voir : 5M ; 5 pourquoi ; 8D ; Altermanagement ; Arbre des causes ; Concept/Stylique ; Dernier planificateur ; Ethique ; Exigence ; Gantt ; Gestion Globale de la performance ; Heuristique ; Innovation ; Juste à temps ; Kaizen ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; Management participatif ; Norme(s) ; Méthode 5S ; Organisation ; Pareto ; Performance ; Planifier ; Poïétique ; Pragmanagement ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Qualité ; Ressources humaines ; SIPOC ; Stratégie Océan Bleu ; Stylique ; Supposition ; Système de Management Intégré ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

   Voir aussi : AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; Tenstep ; TRIZ ;

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 Infos :

 

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

- A la découverte du LSS = Lean Six Sigma : Un livre de Florent FOUQUE

 

8D

8 Do http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image005.jpg = 8 Actions  http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image004.png

C’est une méthode, en 8 étapes, d’organisation de procédures de résolution de problématique d’une organisation et notamment dans un objectif qualité tout en maintenant les activités.

 

 Le démarche consiste notamment à intégrer pour tous les acteurs un principe d’éradication systématique des dysfonctionnements y compris par le travail collaboratif pour conduire à l’amélioration continue.

 

Les étapes sont :

 1- Préparation de l’organisation du processus : Notamment en recrutant l’équipe pluridsiciplinaire appropriée ;

 2- Description de la problématique, ex : 5M, 6 chapeaux, QPQQCOC ;

 3- Identification des actions urgentes à mettre en place ; Plan d’action - PCA

 4- Recherche des causes : Diagramme des causes à effets ;  5 pourquoi ;

 5- Validation des actions correctives permanentes : Coûts, moyens…

 6- Mise en place des actions correctives permanentes ; E-PDCA

 7- Prévention de la récidive : Informer et former ;

 8- Emulation : Communiquer pour encourager les équipe et les remercier des résultats obtenus.

 

http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image001.png Voir : 5M ;  5 pourquoi ; Altermanagement ; AMDEC ; Amélioration continue ; Carte de stratégie ; Dernier planificateur ; EMOFF ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Matrice d’Affectation des Responsabilités ; Méthode 5S ; Organigramme des tâches ; OVAR ; QPQQCOC ; Qualité ; Stratégie Océan bleu ;  Technique de concassage ; Travail collaboratif ; TRIZ ;

 

A

 ARDIAgence Régionale du développement de l’Innovation.

-  ARSEG  l’Association des Directeurs et Responsables de SErvices Généraux ;

                                         Le management de l’environnement de travail !

A3

Désigne le format d’un support papier qui sert de base pour expliquer, de manière sythétique et évidente, comment on peut limiter l’expression d’une idée, d’un projet, y compris en utilisant un visuel.

 

Ainsi nombre d’entre nous affirme que certains concepts se conçoivent mieux lorqu’ils sont exprimés en dessin, graphique.

 

Cette utilisation se retouve dans les diapos destinées à illustrer un sujet de conférence ou un cours !

 

 Voir : 5 pourquoi ; Management au plus juste ; Management de projet ; QPQQCOC ;

 

AAPC

Avis d’Appel Public à la Concurrence pour les marchés de l’Etat (code des marchés publics)

 

Plusieurs terminologies sont utilisées selon le type de marché comme par exemple :

AOO : Appels d'offres ouvert - MN : Marché négocié - SF : Sans formalités

AOR : Appels d'offres restreint - MCS : Mise en concurrence simplifiée - MAPA : Procédure Adaptée –

 

 Voir : AO ; Collectivités territoriales ; CMP ; DGP ; Externalisation Management de Contrats ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Maître d’œuvre ; Maître d’ouvrage ; MOP ; Sous-traitance ; Veille ;

 

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 Infos :

-  Synertal demander le support « Loi MOP » Synthèse : les différents textes de loi, définitions, relatifs à la Maîtrise d’Ouvrage Publique et ses rapports avec la Maîtrise d’Oeuvre Privée.

 

Abandon de créance

= Verzicht auf Forderungen  ; Renunciation of claim  ;

L’abandon de créance, c'est une remise de dette qui libère le débiteur vis à vis du créancier.

 

Elle peut revêtir un caractère commercial ou n'être qu'une opération financière et dans ces 2 cas une contrepartie est recherchée pour entrer au capital ou obtenir des conditions particulières.

Mais en tout état de cause il faut être attentif aux incidences légales (ex : Concurrence) et fiscales (ex : TVA).

 

Attention : Ne pas confondre avec la cession de créances !

 

 Voir aussi : Affacturage ; BFR-BFE ; Capital ; Cession de créance Credit Management ;

 

Abandonnistes 

Abandonnistes = Churns

Ce terme désigne les clients qui deviennent infidèles et notamment du fait d’une pression de leur fournisseur, de type barratage, qui est jugée trop forte,. 

 

 Voir : Analyse textuelle ; Barattage ; Comportement ; Centre d’appels ; Etude d’usage et d’attitudes ; Génération : BB, X, Y ; KANO ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du rendement ; PESTEL ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

ABC

Activity Based Costing  

 

 Voir : Méthode des coûts par activité

 

Abilene

(Paradoxe d')

Le paradoxe d’Abilene c’est le problème de l’incapacité, pour un groupe de personnes, à prendre une décision collective satisfaisante.

Ainsi, chacun peut être amené à ne pas se prononcer ou pire à ne pas revendiquer une position par crainte, de perdre sa crédibilité, de gêner l’un des autres, de risquer d’être celui qui divise, de ne pas être dans le ton, etc.

 

Ce groupe peut être amené à prendre une décision qui manque de sens, d’ambition ou pire encore, c’est-à-dire qui peut aller à l’encontre des intérêts du groupe tout entier, à force de concessions.

 

C’est parfois, en politique y compris celle de l’entreprise, ce que l’on désigne par consensus ! (mou bien sûr !)

Pour lutter contre ce fléau qui concerne bien des « décideurs » il faut apprendre à " Gérer l'entente".

Ce type d’apprentissage se retrouve dans les formations aux méthodes du management de projet et GRH.

 

 Voir : Altermanagement ; Amélioration continue ; Aptitudes ; CirCept ; Comitologie ; Compétences ; Comportement ; Ethique ; Ethologie ; Groupe de pression ; Habilitation ; Johari ;Kaizen ; Loi de Parkinson ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management de transition ; Management participatif ; Mentor ; Pragmanagement ; Pression ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Responsabilité ; Théorie(s) de l’agence ou de l’enracinnement ; Travail collaboratif ;

 

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

 

ABM

Activity Based Management.  

 

 Voir : Management par activité

 

Abus de biens sociaux

L’abus de biens sociaux est une infraction pénale qui s’applique à une personne physique qui au lieu de gérer selon le principe d’un mandat reçu des actionnaires, associés, a utilisé sciemment ses fonctions et pouvoirs à des fins contraires aux intérêts de l’entreprise concernée.

 

Ce délit peut notamment se constater par des détournements de fonds au profit ou non de l’intéressé ex : Remboursement indus de frais professionnels, salariés utilisés pour des besoins privés, paiement de fausses factures.

 

Cette infraction est proche à l’abus de confiance, comme de l’abus de pouvoir. Il ne faut cependant pas faire de confusion.

 

Sans pour autant qu’il y ai, obligatoirement, abus de bien social un associé ou actionnaire qui serait convaincu que l’entreprise a subit des préjudices suite à une faute de gestion du dirigeant peut engager une « Action sociale »

 

La notion d’abus de bien social ne peut s’appliquer à une entreprise individuelle puisqu’il y a confusion de patrimoine entre l’entreprise et l’exploitant = 1 seule personne juridique.

 

 Voir : Abus de confiance ; Action sociale ; Délit ; Ethique ; Formes juridiques ; Indu ; Mandat ; Responsabilité ;  Révocation ad nutum ;

 

Abus de confiance

= Breach of trust.  ; Missbrauch von Vertrauen  ;

L’abus de confiance est un délit constitué par une personne qui détourne frauduleusement, des objets de valeur, qui lui ont été confiés à titre précaire dans le cadre d’un contrat (Ex : Louage, dépôt, mandat, nantissement, travail, prêt à usage).

 

Ce délit qui ne doit pas être confond avec le vol ou l’escroquerie peut aussi se constater et être qualifié de manière différente notamment s’il est commis sur mineur (ex : signature de quittance ou décharge sur prêt d’argent) ou par soustraction de pièces dans une procédure judiciaire par celui qui les a déposées. Etc.

 

 Voir aussi : Abus de biens sociaux ; Capacité juridique ; Contrats ;  Cavalerie ; Ethique ;  Pyramide de Ponzi ; Responsabilité ;  

 

AC

 

 Voir : Autorité de Certification.

 

Acceptation

L’acceptation est une mention apposée sur un effet de commerce par le débiteur reconnaissant l’existante de la créance et donnant de manière explicite son accord de paiement à une date donnée.

 

  Voir : Accipiens ; Cavalerie ; Débiteur ; Effet de commerce ; Garantie ; Aval ; Endos ; Recours ; Responsabilité ;  Tiré ; Tireur ;

 

Access panel

 

 Voir : Panel test  

 

Accipiens

Accipiens désigne celui qui a « Accepté » un paiement qui est en principe le créancier.

Par opposition le solvens est celui qui a payé.

 

 Voir : Acceptation ; Contrat ; Management de contrats ; Moyens de paiement ; Subrogation ;

 

Accises

= Excise Tax

 

Les accises sont des taxes, impôts indirects perçus au  niveau national (ou autre zone géographique selon accord de coopération ex : Union Européenne) sur certains produits comme : Alcools, tabac.

 

Accord

= Übereinstimmung  ; Agreement  ;   ;

 

 Voir : Les différentes terminologies comportant la notion d’accord =>  ci-dessous !

 

Accord à Taux Futur – ATF

Accord à Taux Futur = Future Rate Agreement (FRA)

C’est un contrat à terme de gré à gré portant uniquement sur une garantie de taux fixe relative à un placement financier dont le montant et la durée ont été préalablement convenus.

L'opération peut être totalement dissociée, réalisée ou pas. Ainsi à la conclusion de l'ATF l'une des parties verse à l'autre la différence correspondant entre taux négocié et taux du marché à la date et pour la période fixée.

 

 Voir aussi : Contrat ; Garanties sur transactions de marché ; Option ; Swap ; Taux ; Tunnel ;

 

Accord d’acquisition

= Purchase agreement.  ;

L’accord d’acquisition est un contrat signé entre les parties à l’occasion d’un rachat d’entreprise.

Il a pour objectif de définir certaines conditions comme par exemple le délai dans lequel l’opération doit intervenir, les conditions de maintien ou de licenciement de certains personnels cadres et dirigeants, la réalisation de certains investissements ou le maintien d’activités.

 

 Voir : Apport ; Attestation d’équité ; Capital ; Cession progressive du capital ; Compétences ; Ecart d’acquisition ; Evaluation ; Management de transition ; Pacte d’actionnaires ; Prix de transfert ; REEL ;

 

Accord de non divulgation

 = NDA : Non Disclosure Agreement

 

 Voir : Confidentialité ; Responsabilité ;  

 

Accord de principe

 

 Voir : Lettre d’intention ; Contrat ;

 

Accord de qualité et de service -AQS

Accord de Qualité et de Service = SLA : Service Level Agreement.

 

L’accord de qualité et de service concerne les engagements contractuels que prend, par exemple, un hébergeur (de données, fichiers, site web, etc.) envers son client pour garantir la qualité de ses prestations et à défaut les pénalités qu'il s'engage à assumer.

 

Les clauses relatives à ces contrats, ou chartes, impliquent des obligations de moyens (ex : mises à jour technologiques) et de résultats (ex : maintenir l'accès aux données et applicatifs concernés).

 

 Voir aussi : Clauses ; Externalisation ; Management de contrats ; Points de fonction ; Qualité ; SAV ;

 

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  Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Accord Préalable sur les Prix de transfert –APP

L’Accord Préalable sur les Prix de transferts – APP

 

C’est une démarche volontaire engagée par une entreprise/groupe auprès des services d’un Etat car elle implique le respect de critères d’évaluation, tant sur le projet que la méthode et être en cohérence avec la réglementation fiscale des pays concernés ainsi que régulière par rapport aux principes édictés par l’OCDE sur ce sujet.

 

Cet accord préalable de l’administration fiscale permet aux entreprises de s’appuyer sur ces accords internationaux pour valider leur projet de transfert en evitant les problèmes fiscaux.

 

 Voir : Evaluation ; Fiduciaire ; Filiale ; Holding ; Prix de Transfert ; Propriété ; REEL ;

 

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Infos : Lire la documentation : Impôts .gouv

 

Accounting token

Accounting token   = Jeton comptable.

 

 Voir : XML & eb-XML

 

ACCRE

Aide aux Chomeurs Créateurs et Repreneurs d’Entreprises.

Aide aux demandeurs d’emploi créateurs ou repreneurs d’entreprise.

Cette aide consiste en une exonération de charges sociales (hors CSG et CRDS) pendant un an et plus selon notamment conditions de ressources tirées de l’activité.

Ce dispositif permet également l’éligibilité à cerains dispositifs ex :

- Exonération de cotisations ;

- Chéquier conseil ;

- Maintien de certains minima sociaux ;

- Accès à des financements spécifiques comme EDEN.

 

Attention :

- Eligibilité ne veut pas dire droit systématique à une aide ! 

- Le dossier complet doit impérativement être validé avant le début d’activité.

 

 Voir : Aides ; Aides européennes ; NACRE ;

 

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  Infos :

Voir pages du site de l’APCE- Agence Pour la Création d’Entreprise 

 

- Boutiques de Gestion : Associations d’aides à la création d’entreprises = Evaluation de projet ; Accompagnement et formation. 

 

Accréditif

L’accréditif est un service bancaire qui permet de mettre temporairement à disposition d’un tiers un plafond de crédit auprès d’une de ses agences ou d’un autre établissement appelé correspondant.

 

 Voir : Lettre de créance ;

 

ACD

Automatic Call Distribution – ACD    Voir : Temps Moyen d’attente ;

Average Cost Deliquency - ACD    Voir : DSO ;

 

Achat

= Einkauf  ; Purchase  ;    ;

La fonction achats concerne aujourd’hui tout les domaines d’activité de l’entreprise et plus seulement ceux liés à l’activité marchande ou de production.

 

C’est devenu une activité tout d’abord stratégique qui est intimement liée aux investissements, équipements, aux implantations et à la sélection de tous les fournisseurs, à la Recherche et Développement ainsi qu’à la production ou elle favorise les innovations.

 

Pour exercer son activité l’acheteur doit par exemple :

- Sélectionner, référencer, les produits et fournisseurs (Sources d’approvisionnements) ;

- Etablir un plan d’achat (Quantités, périodes) ;

- Respecter les budgets qui lui sont alloués (Appels d’offres, marges) ;

 

Certains acheteurs sont des technico-commerciaux, d’autres des analystes, des financiers, des chefs de projets, des négociateurs, des ingénieurs, etc.

C’est pourquoi il est difficile de donner une définition exhaustive de la fonction achat.

Elle se définit plus par la taille et le type d’entité concernée (publique ou privée), par l’importance et la diversité de son marché.

 

On peut illustrer l’importance de la fonction ainsi :« C’est en faisant bien ses achats que l’on fait son premier bénéfice »

 

L’évolution de cette fonction l’a conduite à une culture de performance de plus en plus axée sur les coûts complets.

La pression de cette recherche de performance fait trop souvent oublier aux acheteurs la notion de respect mutuel gagnant-gagnant porpre au caractère assertif qui convient à l’analyse transactionnelle.

 

Ainsi dans les achats hors production ou même certains investissements lourds la direction de l’entreprise impose parfois un acheteur dans la phase de négociation. Mais s’il ne connaît pas vraiment les enjeux de l’objet ex : Choix d’une application informatique métier, il risque de contrarier les utilisateurs (ou nuire à la qualité d’une réalisation) au profit d’une expression simpliste de réduction des coûts uniquement à l’investissement et non à l’utilisation dans la durée. C’est pourquoi là aussi il faut intégrer cet « Acheteur traversant » dans une démarche projet.

 

…et pourtant les achats sont de plus en plus concernés par le Développement Durable et même parfois le commerce équitable, tout cela grâce à la pression des consommateurs qui devant trop de pratiques mercantiles imposent des notions d’éthique.

 

Pour mieux connaître cette activité il faut, à partir des autres (Juriste => contrat ; Financier ; Commercial, etc.) se poser la question « Qu’à-t-il fallu acheter et pourquoi ? pour réaliser ce que je fais ! » et ensuite consulter dans un premier temps les termes ci-dessous directement liées aux nombreuses activités, méthodes outils, qui concernent les achats.

 

 Voir : 4P ; Abandonniste ; AIDA ; Allotissement ; Analyse transactionnelle/Assertivité ; Appel d’offre ; Approvisionnements ; Aptitudes ; Chaland ; Commande ; Comportement ; Décisionnel ; Délais de règlement ; Demande d’achat ; Demande d’information ; Développement Durable ; Domaine d’activité stratégique ; EDI ; Enchère inversée ; Entrepôt de données ; e-approvisionnement ; e-business ; e-procurement ; Etalonnage ; Ethique ; Evaluation ; Externalisation ; Fournisseurs ; Génération : BB, X, Y ; Gestion de la chaîne des approvisionnements (SCM) ; Intelligence économique ; IRM ; Juste à temps ; Logistique ; Management de contrats ; Management de projets ; Modèles d’analyse de portefeuille ; PAMP ; Pays à bas coûts ; PEPS ; Plate-forme logistique ; Pression ; Pyramide des besoins ; Qualité ; Référencement ; SONCAS ; Score d’appétence ; Segment ; Services Généraux ;Système d’acquisition dynamique ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Veille ; Zéro défaut ; Zéro stock ; 

 

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  Infos :

- Wiki Métiers : Responsable achats

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

-  Compagnie des Dirigeants et Acheteurs de France :

         L’association au service de tous les professionnels des achats – Events, forums, emploi, etc.

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

 

Acompte

= Abschlagszahlung  ;

L'acompte est une somme versée, partiellement au montant total d'une transaction, par l'acheteur au vendeur dès que la vente est conclue.

 

Le versement de l'acompte entérine l'engagement contractuel. Donc l'acheteur sera tenu de finaliser son achat en payant le reliquat du prix selon les modalités convenues lors de la transaction.

 

Il existe des risques sur le plan fiscal de ne pas inclure la TVA dans le calcul de l'acompte mais cette pratique peut se justifier. C'est pourquoi la DGI recommande vivement que tout acompte fasse l'objet d'une facture.

 

Attention : Ne pas confondre avec les Arrhes

 

 Voir : Arrhes ; Caution ; Credit Management ; Escompte de règlement ; Garantie ; Rabais, ristourne, remise ;

 

Acquêts

Régime matrimonial de la communauté réduite aux acquêts et concernant les biens de la communauté des époux, acquis à titre onéreux pendant le mariage.

 

Les éléments relatifs au contrat de mariage sont très importants en matière de garantie de crédit/emprunt, notamment du fait qu’ils permettent de mieux identifier le(s) patrimoine(s).

 

 Voir : Caution ; Contrat ; Garantie ; Propriété ; Régimes matrimoniaux ;

 

Acte

L'acte n'est pas un événement, c'est une attitude, action, volontaire ou involontaire d'un individu.

Notamment en matière juridique il faut faire la distinction entre un fait, qui n'est pas voulu, et un acte librement consentis par des parties prenantes à celui-ci. ex : acte de commerce

Il entraîne souvent des effets juridiques qui varient aussi selon la forme de cet acte ex :

 

Acte authentique = Dressé par un officier public, (Ex : Notaire en particulier pour la vente de biens immobiliers.)

 

Acte sous seing privé : Comme le Contrat de travail.

 

L'acte peut être réalisé à titre onéreux ou gratuit, de commerce ou administratif, conservatoire ou de gestion, etc.

Certains actes peuvent ou doivent faire l'objet d'un "Enregistrement" afin de permettre la reconnaissance d’une "date certaine" et une publication qui pourra, le cas échéant, le rendre opposable aux tiers. ex : Prêt, dons, acquisition d'un bien surtout immobilier et de création d'entreprise, etc.

 

 Voir : Clauses ; Contrat ; CGV ; Ethique ; Management de Contrat ; Responsabilité ;  

 

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  Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Actif

Actif : Il existe de nombreuses acceptions pour ce terme dont :

- Génériquement c’est le contraire de passivité, procrastination, c’est être dans l’action, agir et notamment par la travail collaboratif et la conduite du changement ;

 

- Sur le plan financier c’est selon que cet actif soit comptable, circulant, net réévalué, adjacents (voir ces termes !)

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Bilan ; BOT ; Haut de bilan ; IFRS ; Investissement en actif ; PAMP ; Prix de transfert ; Procrastination ; Propriété ; Services généraux ;

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

 

Actif circulant

L’actif circulant  = Current assets  ; Umlaufvermögen

Eléments du bas de bilan (français) constituant des emplois de l'entreprise et composés des comptes de stocks

 

= Inventories  ; Lagerberstand  ;   ; (classe 3) ; de tiers (classe 4) ; financiers (classe 5). Tous ses éléments sont variables à court terme. Ils sont principalement liés aux fluctuations de l'activité de l'entreprise via les comptes de stock et clients.

 

Cette notion s'oppose à celle d'actifs immobilisés que l'on retrouve dans la notion "emplois stables".

 

 Voir : Actif(s) = Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Voir aussi : BFR-E ;  Credit Management ;

 

Actif comptable

Le patrimoine et les avoirs d'une entreprise (ou autre entité) sont enregistrés au bilan de celle-ci.

 

Tous ces éléments constituent les "emplois" réalisés grâce aux ressources qui elles proviennent du passif.

Dans la colonne "Actif" du bilan, à la française, ils apparaissent de haut en bas par notion de disponibilité ou liquidité potentielle croissante ainsi :

 

- Dans le haut du bilan on trouve, dans les comptes de la classe 2, les immobilisations incorporelles (= Intangibles assets  ) comme le droit au bail, puis les immobilisations corporelles (= Tangibles assets ) ex : Terrain puis immeuble et matériels, etc.

Ensuite seulement les immobilisations financières comme les participations dans d'autres entités.

Actifs = Assets (si immobilisés = Fixed assets )

Tous ces biens qui ne sont pas rapidement transformables en liquidités et dont nombreux conditionnent l'exercice de l'activité sont désignés sous le vocable "Emploi Durables".

 

- Dans le milieu de bilan figurent les comptes de stocks Stock = Inventories  ; Lagerberstand  ;  ; (Classe 3) puis les comptes de tiers (classe 4) que sont les Clients. Ces comptes sont directement liés à l'exploitation qui peut être suivie au travers du Compte de résultat social.

.

- En bas du bilan on trouve les comptes financiers (Classe 5) comme les comptes bancaires (sous réserve qu'ils témoignent d'un avoir) et le compte de caisse qui est bien le plus disponible !

Selon les besoins d'analyse de nombreux autres termes, concernant l’actif, sont utilisés comme : Actif circulant, Fonds de roulement, Besoin en fonds de roulement.

 

Certains actifs peuvent être cachés = Adjacents => voir actifs !

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : BFR-E ;  Bilan ; Coefficient  de capitalisation des résultats –PEG ;  Compte de résultat social ; CMPC/WACC ; EVA ; GAP ; Gestion Actifs-Passifs ;  Haut de bilan ; Passif ; PBR ; Services généraux ;

 

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  Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Actif Net Réévalué - ANR

L’ANR : Actif Net Réévalué est une méthode, dite patrimoniale, d’évaluation d’entreprise basée sur la cohérence entre capitaux propres et actifs immobilisés.

Bien évidemment il existe plusieurs variantes d’estimation des actifs (ex : Base prix de liquidation)

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Bilan ; Capital investissement ; Capitaux propres ; Evaluation ; Patrimoine ; PBR ;  Propriété ;

 

Actifs adjacents

En matière de rachat d’entreprises les candidats selon leurs objectifs prioritaires, industriels ou spéculatifs, vont s’intéresser aux actifs cachés qui sont souvent sources d’écarts d’évaluation connus ou à découvrir.

 

Ces actifs cachés et souvent difficilement mesurables se trouvent parfois dans un savoir-faire, une réputation, un réseau, etc. Ces actifs cachés sont aussi appelés : « actifs adjacents »

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ;

                Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Apport ; Attestation d’équité ; Cession progressive du capital ; Compétences ; Ecart d’acquisition d’entreprise ; Evaluation ; PBR ; Prix de transfert ; REEL ;

 

Actifs immobilisés

Actifs immobilisés  = Fixed assets

 

  Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Net réévalué ; Adjacents ; PBR ;

 

Action - Actionnaire

Actionnaire = Aktieninhaber  ;    ;

 Part  = Share = Quote-part : Shareholder  = Actionnaire au sens patrimonial = détenteur d’un titre ; Stockholder  = Actionnaire.au sens rentier, spéculateur (exemple : Stock option).

 

Ne pas confondre avec : Stakeholder = Dépositaire au sens de création de valeur, qu’il soit ou non porteur de part ou salarié, pourvu qu’il participe à la valorisation.

 

Titre boursier = L’action est une valeur mobilière représentant une part de capital d'une entreprise. Confère un statut d'associé (= risque total en capital) et non de créancier (qui peut s’entourer de garanties et autres privilèges).

 

Toutes les actions ne confèrent pas les mêmes droits à leurs détenteurs.

Certaines donnent un droit de véto aux décisions du conseil d’administration (Golden share).

 

 Voir : Arbitrage sur marché ; Capital ; Cession progressive du capital ; Coefficient de capitalisation des résultats ; Fiducie ; Evaluation ; Fonds propres ; Management de transition ; Obligation ; PACEO ; PAMP ; PBR ; Portage ; Prix de transfert ; Propriété ; RCE ; REEL ; Relutif ; Valeur mobilière ;

 

Action collective

L’action collective est une procédure engagée par un groupe de consommateurs, utilisateurs, pour « faire masse » à l’occasion d’une procédure conflictuelle.

 

Cett action est inspirée de la « Class action  » pratiquée aux USA mais très différente dans la procédure de droits français.

Se renseigner sur les évolutions récentes de ce type de procédures qui pourraient se développer notamment dans le cadre d’actions préjudiciables aux actionnaires.

 

 Voir aussi : Consumérisme ; Droit(s) ; Ethique ; Groupe de pression ; Ponzi ; Procédure ; Risques ;

 

Action directe

Action directe :

La loi frnçaise offre à un sous-traitant la possibilié de réclamer directement, au maître d'ouvrage, le paiement de ses prestations réalisées dans le cadre d'un contrat de maîtrise d'ouvrage lorsque le maître d’œuvre est défaillant.

 

 Voir : Loi de sauvegarde ; Maître d’œuvre ; Maître d’ouvrage ; Procédure ; Management de contrats ; Sous-traitant ; 

 

Action en contrefaçon

L’action en contrefaçon est une procédure de recours devant une juridiction civile et/ou pénale de celui qui a été copié contre le contrefacteur.

 

 Voir : Contrefaçon ; Propriété ; Risques ;

 

Action en répétition de l’indu 

 

 Voir : Indu ; Enrichissement sans cause ;

 

Actionnariat salarié

Actionnariat salarié = Employee shareolder

Plan d’actionnariat des salariés  = Employee Share Ownership Plan (Esop)

 

La politique choisie en matière d’actionnariat pour les salariés permet aux entreprises de récompenser, motiver ses collaborateurs en leur permettant de devenir associés de l’entreprise (Ce qui n’est pas sans risque pour l’épargne concernée.

 

Le cas échéant et du fait de la stabilité et de la fidélité de ces associés, attaché à l’outil de travail, cet actionnariat peut permettre de garder le contrôle de l’entreprise en cas d’OPA hostile.

 

Parfois les employés peuvent prendre eux-même le contrôle capitalistique de l’entreprise.

 

  Voir : Capital investissement ; OPA ; Pilule anti OPA ; RES ;

 

Action oblique

L’action oblique, comme son nom l’indique presque, permet à un créancier (sous certaines réserves ex : créance exigible) d’exercer les droits de son débiteur pour récupérer le paiement des dettes que celui-ci détient sur d’autre mais que volontairement ou par négligence il ne réclame pas sachant qu’il n’en aura plus le bénéfice du fait de son endettement. (Voir art 1166 Code Civil)

 

  Voir aussi : Contrat ; Credit Management ; Management de contrat ; Recours ; Subrogation ;

 

Action paulienne

Avec l’action paulienne, le créancier peut attaquer les actes de vente ou de donation accomplis par le débiteur. (Voir art 1167 code civil).

 

Ce recours judiciaire, un peu comme pour l’action oblique, s’exerce lorsque le débiteur se sentant « perdu », s’appauvrit volontairement en dilapidant ses biens - en fraude des droits des créanciers –

 

 Voir : Action oblique ; Contrat ; Credit Management ; Management de contrat ; Recours ;

 

Action sociale

Sans pour autant qu’il y ai, obligatoirement, abus de bien social un associé ou actionnaire qui serait convaincu que l’entreprise a subit des préjudices suite à une faute de gestion du dirigeant peut engager une « Action sociale » qui est une action en responsabilité, au profit de l’entreprise, qui pourra le cas échéant faire l’objet de mesures conservatoires sur les biens du dirigeant concerné.

 

 Voir : Abus de bien social ; Contrats ; Management ; Recours ; Responsabilité ;

 

Active X

L’active X est une technologie et application qui ont été développées par Microsoft pour permettre d’inserer des animations dans une page web.

 

 Voir : Appliquette ; Langage ; OLE ;

 

Activité d’affaires

L’activité d’affaires définit la réalisation d’activités professionnelles qui sont réalisées au cas par cas selon l’offre ou la demande.

Les processus de management et de vente sont donc bien différents de ceux relevant de l’achat pour revente.

 

Exemples :

- Le conseil et certaines prestations d’ingénierie d’affaire dont haut de bilan ;

- L’intermédiation, la représentation commerciale et l’organisation d’évènements dont à l’étranger ;

- La vente d’usine clé en main ;

- La mise en relation d’acheteurs et vendeurs ou distributeur et producteurs ;

- La recherche de produits ou partenaires.

 

Cette activité se caractérise par des contrats spécifiques à chaque affaire et nécessite le plus souvent un traitement en mode projet.

Souvent une clause de confidentialité (NDA ) est attachée à un contrat d’activité d’affaires.

 

Ce type d’activité requiert une organisation et une gestion particulière également pour ce qui concerne la mesure de performance car de nombreux critères (Ex : moyens matériels et humains, frais de mission) propres à chaque projet doivent être anticipés, mesurés pour définir les critères de rentabilité et donc de facturation.

 

La notion de management de contrat prendra également tout son sens pour optimiser la gourvernance des risques et conformités.

 

Dans les métiers concernés les pratiques de CDC et donc de management de la proposition commerciale (Porposal management) devront être parfaitement maîtrisées pour convaincre le prospect en lui démontrant que ses besoins ont été pris en considération pour être satisfaits par un bon niveau de la qualité du service.

 

Attention : Ne pas confondre avec la « Gestion d’affaire » qui est le fait de s’immiscer spontanément dans les affairs d’autrui par un acte de gestion, qui cré des obligations…

 

 Voir : Approvisionnements ; Clause d’intéressement ; Comitologie ; Commercial ; Confidentialité ; Décisionnel ; Désintermédiation ; Ethique ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Gestion Globale de Performance ; Intermédiation ; Gouvernance des risques et cinformités ; Management de contrats ; Management de projet ; Management de transition ; Prime de succès ; Proposal management ;

 

ACWP

Actual Cost of Work Performed.

 

 Voir : CRTE

 

ADAPT

ADAPT est un programme européen d’initiatives communautaires concernant l’adaptation aux mutations industrielles.

 

 Voir : Aides européennes et aides ;

 

Additional funds required

 

 Voir : BFR-E

 

ADE ADI

 

 Voir : Avance en Devise à l’Import ou à l’Export ;

 

ADEME

Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie

Etablissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle conjointe des ministères en charge de l'Ecologie et du Développement Durable, de l'Industrie et de la Recherche

 

Missions : Susciter, animer, coordonner, faciliter ou réaliser des opérations ayant pour objet la protection de l'environnement et la maîtrise de l'énergie. Domaines d'intervention :   énergie, air, bruit, déchets, sites et sols pollués, management environnemental.

 

Les conseils, aides et formations de l’ADEME permettent d’intégrer des notions de Développement Durable, et d’achats éco-responsables, etc. Les bonnes raisons sont économiques, réglementaires et éthiques. Par exemple pour favoriser de nouveaux concepts de production, de R&D, de normes ISO, de vente, mais aussi du fait de l’évolution des réglementations et de la pression des consommateurs organisés en groupe de pression et des phénomènes d’activisme actionnarial ainsi que de la mise en place de structure de scoring sociétal et environnemental.

 

Les décideurs d’entreprise ont donc tout intérêt à intégrer ces différents éléments et structures comme l’ADEME, afin notamment, de favoriser les débouchés de leurs produits et services en bénéficiant éventuellement d’aides substantielles tout en optimisant leur image de marque.

 

 Voir : 3E ; 3P ; Action collective ; Aides ; Consumérisme ; Développement Durable ; Ethique ; Groupe de pression ; NRE ;

 

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  Infos :

-  ADEME : Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie présente dans toutes les régions : Agir pour le Développement Durable, le management de l’environnement et la maîtrise des énergies, gavoriser la R&D, etc.

 

Adjacents (Actifs)

 

 Voir : Actifs Adjacents

 Voir aussi : PBR ;

 

Administrateur

L'administrateur d'entreprise

C’est une personne physique ou morale qui siège au "conseil d'administration". Sur candidature volontaire il est élu, pour exercer un mandat de gestion sur une période pluriannuelle, par les actionnaires de l'entreprise à l'occasion d'une assemblée générale. L'exercice de son mandat est très encadré tant dans la durée que dans les missions qui lui son confiées et les pouvoirs qui lui sont dévolus, les modalités de sa rétribution, etc.

 

L'administrateur judiciaire = Official receiver 

C’est un mandataire qui exerce une fonction réglementée dans le cadre d'un statut de professionnel libéral.

Il est exclusivement nommé par un juge, comme par exemple à la suite d'une procédure de redressement judiciaire. Dans le cadre d'un mandat spécifique, il se voit alors confier l'administration des biens d'une personne physique ou morale.

 

 Voir : Cessation de paiement ; Capital ; Cession progressive du capital ; Contrats ; Déclaration de créance : Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Gestion des actifs ; Gouvernance ; Jeton de présence ; Loi de Parkinson ; Loi de sauvegarde ; Management ; Management de contrats ; Management de transition ; Mandat ; Personne morale ; Propriété ; Redressement judiciaire ; RES ; Responsabilité ;  

 

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  Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

 

Adoul

= Notaire en droit islamique

 

 Voir : Droit(s), Juge ; Propriété ;

 

ADR

Alternative Dispute Resolution.

 

 Voir : MARC  

 

ADSL

 

 Voir : Raccordement Numérique Asymétrique (RNA)

 

ADV

Administration Des Ventes :

 

Service administratif chargé du suivi des ventes et notamment de centraliser les informations relatives à celles-ci pour prévenir et traiter les litiges, mais aussi s’assurer du paiement des créances conformément aux conditions négociées par les parties. 

 

Les acteurs, des services ADV, sont de plus en plus formés à la qualité des relations commerciales pour optimiser la gestion du crédit Clients et parfois même ont en charge les commandes récurrentes et/ou les relances sur créances échues.

 

 Voir : Agent de recouvrement ; CGV ; Credit Management ; DSO ; Gestion de la Relations Clients ; Maîtrise des dépenses ; Management de contrats ; Qualité ; Temps Moyen d’attente ;

 

Advising bank

Advising bank  = Banque notificatrice

 

 Voir : Crédit Documentaire.

 

AEV

AEV : Argument Emotionnel de Vente = ESP : Emotional Selling Point

 

 Voir : Commercial ; Comportement ; Ethologie ; Force de vente ; PNL ; Proxémie ; SONCAS ;

 

Affacturage

Affacturage  = Factoring.

L’affacturage est un mode de refinancement et ou recouvrement court terme assuré par le transfert = Cession des créances clients, à une société spécialisée l'affactureur (ou factor = Profession réglementée = établissement financier). Par cette pratique la société d’affacturage est subrogé dans les droits relatifs à la propriété de la créance. C’est pourquoi l’acheteur doit être avisé de ce changement (excepté dans la formule dite confidentielle) 

 

Différentes formes d’affacturage sont pratiquées ex : Affacturage confidentiel pour lequel l’acheteur n’est pas informé du contrat d’affacturage passé entre le vendeur et le banquier de celui-ci.

 

Pour apprécier le poids du crédit Clients d'une entreprise pratiquant l'affacturage il faut corriger les postes concernant les créances cédées à l’actif et au passif les dettes à court terme.

 

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Reverse factoring  = Affacturage inversé :

C’est une pratique de refinancement (car délais déjà inclus) sur la base des dettes fournisseurs.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Besoin en Fonds de Roulement ; Cavalerie ; Cession de créances commerciales ; Credit Management ; Escompte bancaire ; Forfaitage ; Loi Dailly ; Titrisation ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Affréter

Affrètement

Affréter c’est prendre en location un moyen de transport de marchandises ou de voyageurs.

Le contrat par lequel le fréteur (= Armateur pour un navire) met à disposition ce moyen de transport en contrepartie du prix de la location (= frêt) est appélé : Affrètement.

 

Il existe de multiples contrat d’affrètement adaptés, aux bien ou personnes transportés, tant pour les équipements fournis que pour le personnel éventuellement mis à disposition.

 

 Voir : Contrat ; Incoterms ;

 

AFNOR

Association Française de Normalisation  = French Standards Association

  En 2004 l’AFNOR à fusionné avec AFAQ =Association Française pour l’Assurance Qualité.

 

L’AFNOR exerce 4 métiers complémentaires :

- Normalisation –Edition – Certification – Formation –

 

 Voir : Evaluation ; Exigence ; GENCOD ; Gouvernance des risques et conformités ; Management de projet ; Norme(s) ; Organisation ; Performance ; Qualité ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; Tenstep ;

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 Infos :

AFNOR – et consulter aussi :   Wiki Métiers -

 

AFV

 

 Voir : Automatisation de Force de Vente

 

AG – AGE AGO

Assemblée Générale - Ordinaire – Extraordinaire

 

Prévue dans les statuts de l’entité concernée (Société ou association) l’AG doit se tenir périodiquement et au moins une fois l’an.

Pour l’AGO elle l’ocasion de communiquer aux associés/actionnaires les résultats de l’exercice et d’expliciter les décisions de gestion dont la distribution de dividendes, suite à la clôture comptable afin d’obtenir le quitus de gestion. C’est également l’occasion d’évoquer les grandes orientations stratégiques à venir.

 

L’AGE, comme son nom l’indique, est convoqué pour des motifs particuliers dont certains sont dictés par l’urgence et selon les dispositions statutaires (Modification des statuts, Cessation d’activité, Cession de capital, Cession de bien immobilier stratégique, etc.)

 

La convocation des assemblées revêt un caractère réglementaire et procédurier qu’il faut impérativement respecter (Délais et moyens de convocation, quorum requis pour les différents votes, états financiers publiés, etc.)

 

 Voir : Action/Actionnaire ; Administrateur ; Capital ; Dividende ; Fusion-Acquisition ; Gestion des actifs ; Propriété ; Quitus de gestion ; Résultat(s) ; Révocation ad nutum ;

 

Aged receivables balance  

 

 Voir : Balance âgée  ;

 

AGEFIPH

L'Agefiph est une association privée au service :

-  des personnes handicapées

-  et des entreprises.

 

Elle leur apporte des aides et des conseils ainsi que l'appui d'un réseau de prestataires sélectionnés par ses soins.

 

Partenaire de la politique de l'emploi menée par les pouvoirs publics, l'Agefiph est aujourd'hui un acteur central de l'emploi des personnes handicapées. Une mission de service public qui s'inscrit dans le cadre d'une convention signée avec l'Etat permet notamment aux gestionnaires d’entreprises de recruter facilement des personnes handicapées en facilitant l’aménagement des postes de travail tout en se mettant en conformité avec la législation.

 

Ces aides à l’insertion concernent également les créateurs d’entreprises.

 

 Voir : Aides ; APCE ;

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 Infos :

AGEFIPH

 

Agenda électronique

L’agenda électronique est un matériel électronique pourvu d’un logiciel pour la gestion de données personnelles telles que rendez-vous, adresses, etc.

Par extension, ordinateur de poche remplissant essentiellement cette fonction.

Terme en anglais : Organizer  .

Parution au Journal officiel : 10 octobre 1998.

 

 Voir aussi : ADP ; Gestion des relations clients ; Mobilité ;

 

Agent commercial

L'agent commercial est une personne physique ou morale. C'est un professionnel indépendant, donc non salarié, qui reçoit mandat pour conclure des actions commerciales contractuelles pour le compte d'un ou plusieurs mandants.

 

 Voir : Contrats ; Gestion de la relation client ; Mandat ; Mandant ; Forme juridique ; XRM 

 

Agent de recouvrement

= Debt collector agent.

 L’agent de recouvrement est une profession réglementée. Ils ont de ce fait une formation, juridique et de terrain, appropriée qui leur confère la possibilité de mener certaines actions de renseignement avec efficacité.

L’agent est mandaté par un créancier pour faciliter l’encaissement face à un débiteur récalcitrant en utilisant des moyens, procédés encadrés par la loi.

 

 Voir : Credit Management ; Garanties ; Mandat ; MARC ; Recours ; Recouvrement de créance ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   BCR - Bureau Central de Recouvrement : Résolution amiable et actions judiciaires ;

 

Agile

Agile, se dit des entités, mais aussi des méthodes de gestion des SI (ex : développement agile) et projet (ex : extrèmes), de mercatique, qui savent s’adapter rapidement et en permanence aux changements.

 

 Voir : Aléa ; Chaordique ; Conduite du changement ; Management de projet ; Qualité ;

 

Agio

Agio correspond génériquement au prix du temps pour une créance.

Ce terme lié àdifférentes opérations de change, d’emprunt à finit par intégrer différentes prestations au-delà du simple intérêt lié à la durée. Ainsi des commissions (ex plus fort découvert) et frais (ex :de dossier) sont inclus dans ce vocable.

 

Attention : Il vaut mieux distinguer les agios des pénalités à caractère juridique comm les intérêts moratoires

 

 Voir : Intérêt ; Taux ;

 

Agostini

Formule dite d’Agostini qui facilite l’appréciation de l’audience pour des actions de promotion.

 

 Voir : Mercatique ; Score d’appétence ;

 

Agréage

Agréation

L’agréage appelé aussi agréation, est une opération de contrôle de marchandises.

 

Pour prendre toute sa valeur cette opération doit être faite par un organisme spécialisé et indépendant des parties qui délivrera ou non un « Certificat de conformité ».

C’est un moyen de vérifier que la qualité, les critères de fabrication, d’emballage, etc. des marchandises concernées, sont conformes au contrat commercial, règles et autres normes avant leur expédition, livraison, mise sur le marché.

 

Avec le développement des échanges internationaux ce type de prestation s’est largement développé notamment pour les productions depuis les pays à bas coûts qui ne possèdent pas de normes telles que celles des pays acheteurs.

Ainsi cette pratique est de plus en plus intégrée dans les contrats et notamment en complément du crédit documentaire.

 

 Voir : Conformité ; Contrat ; Crédit documentaire ; Exigence ; Liste de colisage ; Liste de contrôle ; Management de contrats ; Norme(s) ; Qualité ;

 

Agrément d'assurance crédit

L’agrément d’assurance crédit correspond notamment au montant de couverture de risque garantit par l'assureur crédit, pour une période et sur un client  ou portefeuille clients, donné à l'assuré à l'issue d'un arbitrage basé sur la collecte de nombreuses informations et une analyse financière permettant d'attribuer une note, un score à l'entité ou pour le portefeuille concerné.

 

Cette garantie de couverture peut revêtir différentes formes selon les contrats (ex : access, excess)

 

 Voir : Affacturage ; Agrément d’assurance ; Apéritrice ; Assurance prospection) ; Sûreté ; Credit Management ; Management de risques ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

AGS

Association pour la Gestion du régime d’assurance des Salariés.

 

Elle est basée sur un principe de solidarité des employeurs pour garantir aux employés le paiement de leurs salaires, (hors intervention Conseil des Prud’hommes) notamment lorsque l’employeur fait défaut suite à redressement ou liquidation judiciaire.

 

  Voir : Assurance ; Liquidation judiciaire ; Privilège ; Précompte ; Ressources humaines ;

 

AHT

Average Handle Time  = Temps moyen de manipulation  ;

 

 Voir : Juste à temps ; Plan industriel et commercial Temps Moyen d’attente ;

 

AI2

Avis d’importation en franchise de TVA

 

AIDA

AIDA est un concept commercial basé sur la stratégie suivante :

Attirer l'attention  + susciter l'Intérêt + inspirer le Désir +pousser le consommateur à Agir.

 

Autre concept mnémotechnique :

 

DIDADA :

- Définition du besoin ;

- Identification de la cible ;

- Démonstration produit/Sce ;

- Acceptation du processus par le prospect ;

- Désir de consommer ;

- Achat.

 

 Voir : Commercial ; Comportement ; Etude d’usage et d’attitude ; Force de vente ; Génération : BB, X, Y ; Gestion de la Relations Clients ; KANO ; Mercatique ; OCARA ; Pyramide des besoins ; Score d’appétence ; SONCAS ; VAKO ;

 

Aides

Aides = Hilfe  ; Assistance, grant  ; (Aider =  )

De nombreux organismes et services de l’Etat des régions, Départements et collectivités, sont à même de fournir gracieusement des renseignements précis sur certaines aides. Il est ensuite moins coûteux et plus facile de formuler une demande auprès d’un professionnel.

 

Voir ci-dessous : Aides européennes

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : ACCRE ; Ademe ; Aides européennes ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; FASEP ; Groupe de pression ; Handicap ; Intelligence économique ; OSEO ; Pons (loi) ; Modaraba ; Théorie de résolution des problemes d’invention et d’innovation/TRIZ ; Vielle ;

 

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 Infos :

-  COFACE : Assurances gérées pour le compte de l’Etat destinées à soutenir les exportations ;

- UBI France : Agence française de développement international des entreprises : Aides à l’exportation, notamment pour le V.I.E. et le SIDEX

 

- FASEP - Fonds d’Aide au Secteur privé : Financement d’études et garantie liées à la réalisation de projets de développement à l’étranger – Renseignements auprès  de la Coface et des CCI

 

-  : OSEO : Issue de la BDPME et de l’Anvar : Création d’entreprise innovante, appels à projets technologiques, favorisation de la coopération interentreprises, aide au transfert de technologies, etc.

 

-  ADEME : Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie présente dans toutes les régions : Agir pour le Développement Durable, le management de l’environnement et la maîtrise des énergies, gavoriser la R&D, etc.

 

- DRIRE : Directions Régionales de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement : Elles instruisent et distribuent des aides diverses y compris pour avoir recours au conseil et favoriser l’introduction des technologies dans les PMI.

 

-    AGEFIPH : Association d’aide aux handicapés et entreprises qui les recrutent.

 

 

- Directions départementales des services fiscaux ex : Crédit Impôt Recherche, Exonération de TP & TF,

 

- APCE : Agence Pour la Création d’Entreprises

 

Aides européennes

Les aides européennes sont définies par thèmes/activités ex : Audiovisuel, R&D, Culture, Transports, Tourisme, Information, Energie, Environnement, Emploi & Formation, Industrie, Villes, Coopérations par grandes zones géographiques (PECO, ALA, etc.).

 

Elles se répartissent par types d’actions et acteurs :

 

a) Aides directes de la Commission européenne à tous porteurs de projets :

=> Actions innovantes des fonds structurels et projets pilotes ex : FEDER 10 = Aménagement du territoire ; FSE Art.6 = Emploi, Actions innovantes ;

=> Programmes et autres actions communautaires ex : R&D=Esprit (Techn. informatique) ; Energie = THERMIE ; Formation = LEONARDO DA VINCI ; Coopération ALA, RSA + MED = ECIP (joint venture)

 

b) Aides indirectes de l’Etat (SGAR) selon la politique régionale financés par des fonds structurels ex : FEDER = Région ; FSE = Social ; FEOGA = Agricole ; IFOP = Pêche ;

Bénéficiaires = Collectivités et organismes spécifiques et entreprises.

=> PIN (Programmes d’Initiative nationale) Ils sont définis par « objectifs » selon les thèmes et activités précités. Ils concernent par exemple des reconversions industrielles, le développement rural.

=> PIC (Programmes d’Initiative Communautaire) ils sont affectés en complément des PIC ex :

Energie = RECHAR (Reconversion Charbon) ; Emploi = ADAPT (adaptation Changement industriels), Villes = URBAN (Politique urbaine) ;

 

Nouvelles aides depuis 2006 :

- JASPER : Joint Assistance in Supporting Projects in European Regions.

Assistance conjointe à la réalisation de projets d’infrastructure ;

- JEREMIE : Joint European Resources for Micro to Medium Enterprises.

Ressources européennes communes pour les micro et moyennes entreprises pour faciliter l’accès au financement des micros et moyennes entreprises.

- JESSICA: Joint European Support for Sustainable Investment in City Areas

Soutien communautaire conjoint pour un investissement durable, d’aménagement et de développement, dans les zones urbaines.

 

 Voir aussi : Aides ; Comitologie ; FEMIP ; Grappe d’entreprises ; Groupe de pression ; Intelligence économique ; PCRD ; Pôles de compétitivité ; Veille ;

 

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 Infos :

- «Financements Européens » édité par DELMAS : Subventions, prêts, assistance technique pour entreprise, association et collectivités.

 

-   Euro info centre : L’information européenne au service des entreprises ;

 

Airwaybill AWB

AWB = Lettre de transport aérien

 

 Voir : Lettre de transport ; Incoterms ; Crédit documentaire ;

 

Aléa

L’aléa caractérise un évènement par son coté imprévisible dont on ne connait pas la mesure, l’ampleur, l’intensité.

C’est le quotidien de tout dirigeant car tous les domaines sont touchés par les aléas.

Ainsi pour prendre des décions il faut prendre en compte ces aléas en réalisant des calculs de probabilité, en faisant du prévisionnel, par exemple en se couvrant contre des risques, en anticipant sur la survenue d’évènements sociaux, économiques, politiques, naturels. Il est donc souvent primordial de mettre en place des concepts de prévention ou même gestion de crise.

 

De nombreux métiers ont intégré depuis longtemps les aléas comme la recherche et développement, les ressources humaines, la gestion financière, le marketing et en règle générale le travail en mode projet et tout ce qui a trait au renseignement, car « mieux vaut prévenir que guérir ! »

 

 Voir : Agile ; Chaordique ; Cindynique ; Décisionnel ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Gouvernance des risques et conformités ; Intelligence économique ; Management de projet ; Théorie des contraintes ; TRIZ ;

 

ALENA

Sigle désignant l’Accord de Libre Echange Nord Américain = NAFTA,

 

L’ALENA a été signé en 1992 entre les USA le Canada et le Mexique pour favoriser leurs relations commerciales et de libre échange.

En revanche ce n’est pas une union monétaire ni politique comme par exemple pour l’Union Européenne.

 

 Voir :  Zones géographiques économiques internationales

 

Voir aussi : PECO ; CEI ;

 

Allègement de bilan

Allègement de bilan = Defeasance.

Ex : Par reprise de provisions ou cession de créances..

 

C'est surtout devenu une pratique qui permet de réduire le passif en transférant certaines dettes (et ponctuellement) vers une entité juridique différente (ad hoc)

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Voir aussi : Barter ; BPR ; Cession de créance ; Credit Management ; Forfaitage ; IFRS ; Rachat de créances ; Titrisation ; Window dressing ;

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Allocation de prix d'acquisition

Allocation de Prix d’Acquisition = PPA : Purchase Price Allocation

 

Elle définit les éléments qui concourent à la détermination de la valeur d’acquisition d’une entreprise conformément aux normes IFRS ex. Valorisation des actifs et des passifs de la société acquise à leur juste valeur, notamment les incorporels, l’écart d’acquisition et particulièrement les contrats ainsi que les éléments cachés représentant une valeur pour l’entreprise ex : les fichiers d’affaires.

 

Ne pas confondre avec

-         Accord Préalable sur Prix de transfert

-         Parité de Pouvoir d'Achat. Taux de conversion monétaire utilisé par INSEE et qui a pour effet d’optimiser les analyses en supprimant les différences de niveaux de prix entre différents pays.

 

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Capital ; Cession progressive du capital Coeficient de capitalisation des résultats – PEG Ecart d’acquisition Evaluation ; IFRS ; PBR ;

 

Allotissement

Allotissement voir ces 2 acceptions :

En matière d’achats/approvisionnements, l’allotissement est une pratique qui désigne la livraison, sur une plate-forme logistique unique, d’un ensemble de produits déjà conditionnés en parcelles/lots (Palettes cartons, etc.) qui à partir du point de réception seront ventilés vers d’autres destinations soit après stockage soit par débordement.

 

Pour les acheteurs cette pratique à plusieurs objectifs notamment de pouvoir regrouper des commandes mais surtout de réduire les coûts et démarches divers de transport, d’entreposage, manipulations, livraison.

 

En matière de marchés publics l’allotissement est le principe de séparer en lots afin d’en répartir judicieusement l’attribution à plusieurs acteurs. Cette pratique qui favorise la mise en concurrence permet surtout l’accès des PME à des marchés importants jusque là réservés à des fournisseurs de grande taille. 

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; Débordement ; Emboîtage ; GENCOD ; Logistique ; Marché(s) ; Plate-forme logistique ; RFID ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

 

Altermanagement

Altermanagement : Comme son nom l’indique c’est bien différent de celui dit classique. Ce dernier apparaissant maintenant tétanisé par les processus toujours plus nombreux et une distance devenu dangereuse entre les décideurs et les exécutants.

Ce nouveau concept est aussi désigné sous le vocable « Wanagement » (Voir : Wanagement. Manager à contre-courant –Dunod) le W n’étant que le M inversé comme on le voit de plus en plus pour les pyramides, invesées elles aussi, pour mettre en évidence que le gouvernance doit devenir le réceptacle des autres acteurs, sachants, laborieux, etc. pour mieux fédérer et s’enrichir de ce travail collaboratif, souvent innovant, pour péreniser les activités en pratiquant l’efficience et la performance.

 

Quelques exemples de cette pratique ou nous devrions plutôt dire d’un état d’esprit :

- Abandonner l’autoritarisme au profit d’une animation de mentor ;

- Laisser la place aux sachants chacun, à leur poste mais collaboratifs, au lieu d’un encadrement trop pesant et à la pensée unique, donc limitant les bonnes initiatives ;

 

Ce concept s’inscrit dans l’amélioration continue, l’excellence opérationnelle… qui créent le management intelligent, d’où aussi la référence au « Pragmanagement » .

 

 Voir dans ce lexique les différents termes et concepts du management ex :

Management d’équipe ; Management de projet ; Management des relations d’entreprise ; Management de transition ; Management du rendement ; Management Intelligent ; Management par activité ; Management par objectifs ; Management participatif ;

 

Voir aussi : Amélioration continue ; Conduite du changement ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Gestion globale de la performance ; Habilitation ; Loi de Parkinson ; Mentor ; Pragmanagement ; Pression ; Supposition ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

Alternext

Alternext a été créé le 17 mai 2005 sur l'initiative d'EURONEXT PARIS.

 

Juridiquement c'est un marché organisé mais non réglementé au sens de la Directive sur l'Epargne Financière.

 

Alternext est réservé aux PME qui souhaitent lever des capitaux sur les marchés à un moindre coût et en bénéficiant de conditions réglementaires simplifiées. Sur ce marché les valeurs sont cotées au fixing à 17 heures.

Tous les types d'ordres sont autorisés sur ce marché et les négociations ne supportent pas l'impôt de bourse, dans la mesure où les sociétés ont une capitalisation boursière n'excédant pas 150 millions d'euros.

 

 Voir : Action ; Arbitrage sur marché ; Marché ; Obligation ; Opérateur ;

 

AMDEC

AMDEC : Analyse des Modes de Défaillance : Effets et Criticité  

                     = FMEA : Failure mode effect analysis.

 

Surtout utilisée à priori à l’inverse de l’arbre des causes, elle peut être complémentaire d’autres démarches (8D, EMOFF)

 

AMDEC est un terme utilisé principalement dans les activités liées à la démarche qualité pour apporter des corrections, optimiser, le sujet analysé.

 

 Voir : 5M ; 8D ; Arbre des causes ; Chemin critique ; EMOFF-FFPM ; FAST ; Management de projet ; Qualité ; Système de Management Intégré ; Technique de concassage ; Théorie des Contraintes ;

 

Amélioration continue

L’amélioration continue est un principe que l’on retrouve dans le concept de conduite du changement qui contribue à la bonne réorganisation.

 

Le Cycle de Shewhart illustré par la  « Roue de Deming » lors de son application chez Toyota ce concept de gestion lié à la qualité a pour particularité de définir un cycle en 4 étapes qui s’enrichiront au fur et à mesure que le cycle sera réalisé complètement et de manière répétitive.

 

Avant toute démarche d’amélioration il doit y avoir une évaluation, un audit ou au moins un disgnostic :

- Evaluation   =>  Evaluer => Faire un état de la situation.

 

Puis les 4 étapes du cycle de Shewhart développé par Deming = PDCA :

- Plan      => Planifier, programmer ce qui a été prévu notamment après la phase : QPQQCOC ;

- Do        => Développer /Faire, passer à l’action ;

- Check   => Contrôler ce qui est réalisé ;

- Adjust   => Ajuster les corrections nécessaires avant de repartir pour un nouveau cycle.

Et en fin de processus encore faut-il mesurer les bénéfices de cette amélioration continue. Cette mesure doit inclure les incidences respectives des méthodes et outils mis en place

                                            

L’objectif de cette pratique est de franchir un niveau de qualité plus élevé à chaque cycle, étape conduisant au rapport suivant :  

              Résultat du travail réalisé / Coûts totaux = Qualité

Cette qualité s’entend, comme dans le concpet « Lean », de la réduction des gaspillages mais aussi de développer le score d’appétence des clients.

Il faut donc éviter que la gouvernance et les managers se concentrent seulement sur les coûts car cette pratique a comme effet premier de les augmenter plutôt que de les réduire, notamment en développant les contrôles et autres analyses et équipements… et souvent au détriment de la qualité !

 

L’intérêt du concept d’amélioration continue, que l’on retrouve dans celui de Management Intelligent, c’est que son application peut non seulement être accessible à tous mais aussi se concevoir dans tout type de structure, service, centre de coût et de profit, etc.

 

Par ailleurs, les cycles courts permettent de trouver régulièrement de nouvelles motivations grâce à la mesure des résultats succesifs obtenus. Surout si des groupe de réflexion porteurs de résultats probants veulent capitaliser sur leur réussite.

Cependant il faut être attentif au fonctionnement de ces groupes notamment pour éviter les remises en causes personnelles lors de séances de remue-méninges.

Il faut également se préserver du sydrome d’Abilene et donc du consensus tueur de l’innovation !

 

Pour certains, la pratique de la théorie des contraintes et le travail en mode projet permettent de donner une méthode de travail particulièrement efficace pour tendre vers la performance.

 

 Voir : 3M ; 5M ; 5 pourquoi ; 8D ; Abilene ; Altermanagement ; AMDEC ; Andon ; Beyond budgeting ; Conduite du changement ; Coût Total de la Qualité ; Dernier planificateur ; Equilibration ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Genchi Genbutsu ; Gestion Globale de la Performance ; Kaizen ; Loi de Parkinson ; MSP-Maîtrise Statistique des Procédés ; Management au Plus Juste ; Management calme ; Management de projet ; Organigramme des tâches ; Organisation ; Plan industriel et commercial ; Poka-Yoké ; Pragmanagement ; Procrastination ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Qualité ; Remue méninges ; Risques ; Score d’appétence ; Serendipidity ; Syndrome de l’étudiant ; Système de Management Intégré ; Supposition ; Technique de concassage ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

AMOA

AMOE

 

 Voir : = Maîtrise d’œuvre / Ouvrage

 

Amortissement

Amortissement = Dämpfung  ; Amortization, redemption  ;   ;

C’est une pratique comptable, encadrée par des règles fiscales, qui à pour objectif d’enregistrer périodiquement, au compte de résultat, les dépréciations de biens et d’en faire apparaître les effets chiffrés au bilan.

 

Ainsi la valeur comptable des biens concernés est plus en apport avec leur valeur économique compte tenu de l’usure du fait de leur utilisation (ex : Immeuble, matériel roulant, mobilier et outillage) et de l’obsolescence notamment pour des éléments à forte évolution technique ou technologique (ex : Matériel informatique)

 

A l’origine l’objectif était d’inciter les entreprises à réinvestir au fur et à mesure que les biens étaient amortis, ce qui valorisait l’entreprise, lui permettait de faire évoluer ses matériels mais aussi de favoriser un développement harmonieux de l’économie.

 

Les règles qui encadrent la pratique des amortissements mettent en place des principes qui peuvent être différents comme l’amortissement dégressif et très spécifique comme l’amortissement d’écart d’acquisition.

 

Par ailleurs outre les dispositions fiscales qui peuvent changer au gré des lois de finance, les pratiques évoluent aussi selon les normes comptables et en particulier les IFRS qui ont apportés des changements notables avec l’approche par composants obligeant ainsi de dissocier certains biens de l’actif principal car il représente économiquement une valeur différente d’investissement (Ex : durée de vie).

 

Enfin il faut également être très attentif aux ventes de biens amortis et notamment à l’incidence de la TVA.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Approche par composants ; Biens ; Bilan ; Capacité d’autofinancement ; Compte de résultat social ; IFRS ; PBR ; Prix de transfert ;

 

Aalyse d’activité

Analyse d’affaires

L’analyse d’activité au sens large pour toute organisation ou l’ananlyse d’affaires = business analysis  pour celles à caractère lucratif, rejoignent bien d’autres concepts de performance comme le Management Intelligent, l’Excellence Opérationnelle etc.

Elle est décrite dans le BABOK = Corpus des connaissances de l’IIBA (Voir ci-dessous)

 

C’est une pratique qui devrait être incontourable en amont de chaque projet en cela elle se rapproche aussi du « PMO » .

 

L’Analyste d’Affaires  = Business Analyst, doit faire une analyse des besoins moyens et pratiques, incluant la stratégie. L’objectif est l’efficience. Ainsi il doit permettre d’optimiser les prises de décisions notamment par la congruence pour péréniser les activités rentables.

 

C’est une approche voisine du « lean project management » qui permet la « transformation organisationnelle».

 

 Voir aussi  : BABOK ; CMMI ; EMOFF-FFPM ; Evaluation(s) ; Excellence Opérationnelle ;  Mangement de la valeur acquise ; Management de projet  ; Management Intelligent ; Norme ; PESTEL ; PMBOK ;

 

            Et les différents concepts intégrant le terme analyse : ex : Analyse financière ; Analyse fonctionnelle ; Analyse par les Options Réelles ; Modèle d’analyse de portefeuille. ;

 

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 Infos :

 

- IIBA est l’association professionnelle en Business Analysis qui propose le BABOK.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- The Busy BA : le blog de la business analysis animé par IIL

 

Analyse de portefeuille

 

 Voir : Modèle d’analyse de portefeuille.

 

Analyse FFPM

 

 Voir : 8D ;  EMOFF-FFPM ; ŒUF ;

 

Analyse Financière

=   ;

L’analyse financière détermine la valeur d’une entité après avoir évalué celle-ci d’après ses aspects économiques et comptables. De nombreuses méthodes (ex : Comparables) et ratios, moyens techniques (SIAD) ont été mis au point pour réaliser ces analyses.

Pour les grandes entreprises, les normes IFRS servent de base à cette analyse.

 

Le contrôle de gestion s’est développé tant pour des besoins internes qu’externes (COSO) dont certains sont imposés par des dispositions réglementaires (LSF-SOX)

 

L’analyse à pour objectif de mettre en évidence le fonctionnement de cette entité, ses objectifs, les moyens qui y sont consacrés et le cas échéant la rentabilité produite.

Pour être plus affinée cette analyse compare les différents éléments dans le temps pour mettre en évidence des évolutions, tendances et expliquer des passages plus ou moins difficiles afin de mettre en évidence des mesures de performances dans différents domaines ex :

- Solvabilité pour rassurer les créanciers, création de valeur pour fidéliser les actionnaires,

- Rentabilité pour favoriser les investissements nécessaires au développement de l’activité et à la rémunération des collaborateurs.

 

Mais pour apprécier la valeur d’une entreprise dans l’analyse fianacière il faut réaliser une analyse boursière, et d’autres analyses sont indispensable (Voir : modes d’évaluation)

 

 Voir : ABC ; ABM ; Actifs adjacents ; Analyse par les Options Réelles ;  BFR-EBilan ; Capacité d’autofinancement ; CMPC/WACC ; Compte de résultat social ; Credit Management ; CRTE ; Décisionnel ; DSO ; Evaluation(s) ; Fond de Roulement ; Liasses fiscales ; Mangement de la valeur acquise ; Marge(s) ;; RCE ; RENI/NOPAT ; SIG ; UVA ;

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Infos : Voir DFCG - l’association française des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

 

Analyse fonctionnelle

Analyse fonctionnelle = Behavior analysis  ;   ;

L’analyse fonctionnelle c'est l'une des étapes d'une conduite de projet, par un consultant, pour mener à bien un développement ou, par exemple, une mise en place de logiciel au sein d'un système d'information.

 

A l'origine cette action consistait à vérifier le caractère de faisabilité lié à son utilisation et de compatibilité avec le SI. Dans le cadre d'une démarche en mode projet, elle est difficilement indissociable d'une analyse des besoins puis d'une définition des fonctions indispensables et secondaires à retenir et des processus à envisager.

 

Cette action peut faire l'objet de différentes approches selon la nature du projet et le degré de réflexion déjà atteint. En fonction des métiers, critères du projet, moyens et objectifs du bénéficiaire celui qui réalise cette analyse pourra aller jusqu'à rédiger un cahier des charges et le plan d'action approprié selon un calendrier précis.

 

Cette analyse qui peut être réalisée en amont aboutira sur une proposition commerciale chiffrée qui permettra au bénéficiaire de comparer plusieurs prestations et d’anticiper sur son budget.

Parfois l’analyse est une prestation séparée du choix d’acquistion (ex : audit de situation). Par opposition elle peut s’inscrire dans une proposition ferme (Devis) mais évolutive notamment lorsqu’elle s’inscrit dans une politique de conduite du changement dont il faudra gérer les orientations, aléas.

 

 Voir : Cahier des charges ; Conduite du changement ; Demande de devis ; EMOFF-FFPM ; Management de projet ; Système de Management Intégré ; Théorie de résolution des problèmes d’invention ;

 

Analyse industrielle 

 

 Voir : Modèles d’analyse de portefeuille.

 

Analyse par les Options Réelles –AOR.

L’Analyse par les Options Réelles = AOR

Depuis la fin du XXème siècle une nouvelle pratique AOR, bien différente du concept Valeur Actuelle Nette = VAN, s’est développée à partir d’outils financiers, sur la bases de l’évaluation d’options.

 

Ainsi il est plus évident de définir les hypothèses à choisir pour conduire un projet d’investissement.

Surtout quand ce projet est lié à une innovation.

 

L’objectif est de favoriser les prises de décision stratégique de la gouvernance et autres managers pour :

- l’acquisition ou non, mais future, de biens ou de services ;

- Le report, l’abandon ou même la réaffectation de projets…

 

Cette option repose sur six variables :

- La valeur actuelle de l’actif concerné ou des flux financiers évalués de la représentation de celui-ci :

- Le prix de l’exercice de l’option d’achat ou de vente de cet actif ;

- La volatilité du sous-jacent, évalué selon la méthode la plus appropriée à celui-ci ex : Approche par les composants, méthode Monte-Carlo ;

- L’échéance de l’option ;

- Le taux de risque réduit sur toute la durée de l’option notamment du fait d’une couverture de risque ;

- Le dividende optionnel perdu comme celui qui serait versé au propriétaire de l’actif concerné pendant la durée de l’option.

 

Le raisonnement par les options réelles –ROR- Est même devenu une pratique redoutable, pas seulement pour éviter d’aller à l’échec mais prévoir les opportunités !

 

 Voir : ABC ; ABM ; Actifs adjacents ; Analyse financière ; Appel d’offre ; Approche par composants ; Cahier des Charges ; Evaluation ; Garanties sur transactions de marché ; Heuristique ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Méthode Monte-Carlo ; Option ; OVAR ; PESTEL ; Plan d’expérience ; RCE ; Taux ; Taux de Rentabilité Interne ; TRIZ ; VAN ;

 

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Infos :

Analyse par les Options Réelles sur Wikipedia

 

Analyse textuelle

= Textmining

L’analyse tectuelle est une tehnique de mercatique qui consiste à analyser un courrier pour déterminer des opportunités commerciales.

Ce type d’analyse se fait bien évidemment par un logiciel pour des questions de gains de temps sur les traitements et de retraitement des informations pour générer des actions commerciales.

 

Cette méthode permet notamment de mieux connaître ses clients et ainsi de faciliter les ventes additionnelles de produits pouvant être proposés en complément d’un produit ou service pour le fidéliser en lui offrant toujours plus de choix. Ce qui à l’excès peut conduire au barattage !

 

 Voir : Barattage ; Centre d’appels ; Management du rendement ; Mercatique ; Score d’appétence ; Test ;

 

Analyse transactionnelle

L’analyse transactionnelle est un principe utilisé notamment dans les négociations d’individu à individu à caractère interculturel.

 

Fondé sur l’identification et la classification des parties selon leur personnalité par rapport à leur position hiérarchique et aptitudes à décider dominer, suivre subir, etc.

 

Un des concepts fondateurs de l’analyse transactionnelle « l’état du Moi » a été developpé par Eric BERNE Il permet d’apprécier chaque individu, selon qu’il soit :

- Parent = Nourricier – Instructeur – Sauveteur - Autoritaire  ;

- Adulte = Assume, Calcule, Organise ;

- Enfant = Libre - Soumis – Rebelle.

 

Cette pratique similaire à l’étude de loups dans la meute permet de définir les états de moi de chacun pour anticiper sur leurs aspirations et comportements.

Ceci permettra de faire différents diagnostics qu’ils soient comportemental , social… dans le but de définir les stratégies, scénaries les mieux adaptées aux transactions à venir.

 

L’analyse transactionnelle permet notamment de mettre en évidence le caractère d’assertivité d’un individu. C'est-à-dire sa propension à affirmer son état, ses opinions, ses arguments, tout en respectant ceux des autres.

La personnonalité assertive est souvent recherchée en management notamment de projet car elle désigne souvent un meneur capable de conduire une démarche projet ou une négociation dans un rapport gagnant, gagnant.

 

 Voir : Aptitude ; Conflit ; Ethologie ; Génération : BB, X, Y ; Heuristique ; Johari ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Meneur ; Portrait chinois ; SONCAS ; Théorie(S) ;

 

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Infos :

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

Andon

Terme japonais désignant un repère lumineux.

Ce terme a été utilisé par toyota comme moyen d’alerte dans une chaine de production pour servir d’alerte pour signaler un problèmes.

 

Ce concept est évidemment répris dans ceux de « Lean production », « juste à temps »

 

 Voir : Juste à temps ; Kaizen ; Production au plus juste ;

 

Annuité

=  ;

 Annuité est une notion de paiement annuel qui désigne la valeur, dont l’emprunteur doit s’acquitter au profit du prêteur/créancier, en capital et intérêt dans la durée prévue par le contrat.

 

 Voir : Contrat ; Evaluation ; Intérêts ; Management de la valeur acquise ; Taux ;

 

Antichrèse

L’antichrèse est une garantie concernant un bien immobilier qui consiste pour le propriétaire à s’acquitter d’une dette envers un créancier en lui conférant pendant un temps l’usage et les fruits de ce bien.

C’est une forme de nantissement mais pour bien immobilier.

 

 Voir : Hypothèque ; Nantissement ; Propriété ;

 

APCE

APCE = Agence Pour la Création d’Entreprises.

Organisme qui permet d’obtenir de nombreux renseignements tant sur les méthodes (études de marché, plan d’affaire, etc.) que moyens (Démarches administratives, recherche d’aides multiples.) utiles à la création d’entreprise.

 

 Voir : Aide(s) ; EDEN ; Chéquier Conseil ;

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Infos :

 Voir le site de l’APCE

 

Apériteur - trice

L’apériteur désigne l’organisme, la compagnie, pilote d’une opération dite en syndication  =  pool  bancaire ou d’assurance.

 

Le principe est de regrouper plusieurs acteurs différents pour mutualiser les risques potentiels tout en partageant le profit de l’opération à réaliser qui est trop conséquente pour un seul.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Contrat ;

 

    Voir aussi : Contrat Chapeau ; Management de risque ; Syndication ;

 

API

 

 Voir : Interface de Programmation d’Applications = IPA  

 

APP

 

 Voir : Accord Préalable sur les Prix de transfert.

 

Appariement

= Matching

Appariement en matière de mercatique signifie :

Réassortiment, mise en concordance de l’offre et de la demande.

 

 Voir : Marché ; Mercatique ; Segment ;

 

Appel d'offre

AO

L'appel d'offre, appelé aussi appel à proposition, (Invitation for bid - Request for proposal – Notice of tender  ;  ; Ausschreibung  ; Las ofertas   ;

 

C’est une procédure de recherche de compétences, moyens, pour l'exécution d'un marché spécifique qui fait l'objet d'un cahier des charges.

Lappel d’offre peut être ouvert –AOO = à tous candidat-  ou restreint – AOR = Restreint/Réservé à des acteurs, opérateurs, autorisés.

 

Cette procédure est très utilisée dans les milieux industriels, du bâtiment ainsi que par l'Etat et les collectivités das le cadre du CMP – Code des Marchés Publics.

 Elle est soumise à des obligations en matière de passation de marchés et surtout pour permettre le respect de la libre concurrence.

Se référer aux évolutions de la réglementation.

 

 Voir : AAPC ; Achats ; Analyse par les Options Réelles ;  Cahier des charges ; Comitologie ; Contrats ; CMP ; DGP ; Maître d’œuvre ; Partenariat Public Privé ; Proposal Management ; Système d’acquisition dynamique ; Veille ;

 

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  Infos :

-  Livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

- MÉDÉ (Mission pour les Echanges Dématérialisés) dont le principal objectif est de faciliter l'accès à la commande publique aux TPE et PME.

Voir en particulier le livre blanc sur le certificat et la signature numérique.

 

Appels alternatifs

Appels alternatifs  = Call Blending

Désigne la méthode de gestion des activités en centres d’appels consistant à réorienter les téléprospecteurs sur d’autres opérations de « phoning » pour absorber les variations de trafic et charges de travail des différentes missions avec un taux d’occupation optimal.

Ainsi certains opérateurs sont orientés vers d’autres missions que celles prévues et ils peuvent aussi passer d’une activité de prospection active sur appel sortant à des appels entrants.

 

Cette organisation réclame une polyvalence accrue basée sur des compétences acquises et ne doit pas être dictée par un manque de moyens humains.

 

Cette pratique est plus aisée pour des équipes importantes et hiérarchisées d’opérateurs privilégiant la Gestion Globale de la Performance et donc utilisant les outils informatiques (ex : PABX-PCBX, Interface TAPI) appropriés pour gérer le trafic grâce au routage intelligent des appels (Voir : CTI) et les listes de travail et actions (= Workflow ) qui découle des réaffectations. C’est ce qui fait la force de certaines structures spécialisées dans l’externalisation qui peuvent se permettre d’avoir les moyens techniques, technologiques et humains à leur disposition

 

 Voir : API ; Automatisation des forces de vente ; Centre d’appels ; Centrex ; CTI ; Externalisation ; Liste de travail ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Opérateur ; PABX-PCBX ; Temps Moyen d’Attente ; Temps Moyen de Manipulation ;

 

Appétence

 

 Voir : Abandonniste ; Etude d’usage et d’attitude ; Score d’appétence ;

 

Applet

 

 Voir : Appliquette.

 

Application déportée

L’application déportée est une technique de communication en réseau.

 

Solution qui permet par le déport d'affichage, d'avoir un accès au serveur et à ses applications par gestion des actions à partir des commandes du clavier et de la souris du poste distant, notamment lorsque la bande passante est faible.

- Metaframe : Technologie développée par Citrix. Protocole = ICA

- Terminal Server Edition pour Windows. Protocole =RDP

 

 Voir aussi : Bande passante ; Réseaux ; VPN ;

 

Appliquette

L’appliquette désigne une petite application indépendante du matériel et du logiciel utilisés, qui est téléchargée depuis un serveur de la toile mondiale et qui est exécutée localement au sein d’un logiciel de navigation.

 

Parution au Journal officiel : 16 mars 1999

Terme en anglais : Applet.

 

Le plus souvent écrit en Java, utilisée pour améliorer les pages HTML (Ergonomie, convivialité, échanges, sécurité...)

 

 Voir : HTML ; Interface de Programmation d'Applications ;  

 

Apport d’affaire

= Providing business  ; Beitrag zur Sache  ; Prestación de negocios  ;

L’apport d’affaire c’est l’action de se faire rémunérer sur une opprotunité commerciale lucaative par ma perception d’un commissionnement (Fixe ou liée au succès.

Cette pratique peut être exercée occasionnellement à défaut, comme toute autre, il faudra s’inscrire au RCS.

L’apporteur d’affaire est nécessairement doté d’un relationnel de qualité qui lui permet de détecter des opportunités pour les monnayer auprès de ses partenaires.

 

 Voir : DADS & DAS2 ; Prime de succès ; Incitation économique ; Gestion des relations clients ; Confidentialité ;

 

Apports en entreprise

Les apports faits à une entreprise pour lui permettre d’exercer son activité peuvent provenir de différentes sources selons les besoins (ex : Business angels, Capital risque) et revêtir plusieurs formes :

 

- Apport en nature ex : Immeuble, Matériel, mobilier, fond de commerce, brevet et licence, etc. Soit tout ce qui n’est pas en espèces ou en industrie et qui peut s’évaluer financièrement afin d’être cédés au profit de l’entreprise et comptabilisés.

 

- Apport en numéraire : Espèces ou modes de financement qui permettront une intégration au capital social pour financer les immobilisations et optimiser le fond de roulement.

 

- Apport en industrie : Savoirs, compétences techniques, etc. mis à disposition par un associé pour favoriser l’exploitation, l’activité de l’entreprise. Attention ce type d’apport ne participa pas à la constitution du capital social mais peut donner lieu à des parts sociales (non cessibles) ouvrant droit à répartition des bénéfices. 

 

Le « Commissaire aux Apports » intervient obligatoirement pour évaluer officiellement les apports représentant 50% du capital social ou pour des apports unitaires supérieures à 7.500€ (2006).

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Accord d’acquisition ; Aides ; Bilan ; BOT ; Brevet ; Business angels ; Capital ; Capital Investissement ; Capital risque ; Coefficient de capitalisation des résultats –PEG ; Fonds propres ; Investissement en actif ; PBR ; Propriété ; Prix de transfert ; REEL ; RES ; Subventions ;

 

Appraisal interview

Appraisal interview   = Entretien d’évaluation.

 

 Voir : Evaluation ;

 

Approche par composants

L’approche par composants est issue des IAS en 1993.

 

C’est un principe de ventilation des immobilisations en dissociant éventuellement leurs composants lorsque ceux-ci ont des durées d’utilisations différentes et lorsqu’ils procurent des avantages spécifiques à l’actif auquel ils auraient pu être rattachés.

 

Exemple : Cas de matériels particuliers composants d’un véhicule ou d’une construction, mais qui font l’objet de remplacements spécifiques et parfois successifs.

 

Ceci implique alors des amortissements appropriés à chacun de ces actifs/composants.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Amortissements ; BOT ; Evaluation ; IFRS ; Immobilisations comptables ; OEM ; PBR ;

 

Approvisionnement - Source

= Versorgung  ;

L’approvisionnement  au sens large et notamment dans sa conception anglo-saxonne, Sourcing , ne concerne pas seulement les achats et fournisseurs dits commerciaux et les actions de mercatique, mais aussi la recherche d’informations dans tous les sens du terme.

 

Le développement des technologies, des autoroutes de l’information, a ouvert l’approvisionnement électronique = e-sourcing   à de nombreuses requêtes.

 

Ainsi la démarche en mode projet surtout pour les grands chantiers, comporte en amont des activités importantes de recherche d’informations à des fins d’analyse (ex : FFPM, Delphes).

 

 En matière de Ressources Humaines il est de plus en plus fondamental de sélectionner (Voir aptitudes et compétences) avant de recruter = s’approvisionner en compétences humaines.

 

Comme pour les salariés et du fait qu’elle ne peut se concevoir sans gestion de projet l’Externalisation fait appel à la recherche d’informations multiples pour sélectionner les prestataires potentiels.

 

C’est d’autant plus le cas en matière de choix des Systèmes d’Information tant pour les matériels que logiciels et il faudra, là aussi, faire la « liste des courses » pour bien s’approvisionner (Cahier des charges, liste restreinte)

 

Les Services Marketing ont également été au RDV des évolutions technologiques sur le Web en offrant à leurs clients et surtout particuliers de nombreuses solutions de commerce en ligne (Voir : B to C et autres déclinaisons) Pour cela ils ont été amenés à avoir une collecte de l’information très performante basée sur des méthodes éprouvées dont éthologiques, etc. (Voir nombreux autre termes du lexique depuis « Mercatique ».

 

Mais bien évidemment les enjeux permanents, ceux qui aujourd’hui permettent à de nombreuses entreprise d’optimiser leur gestion, leurs résultats tout en défendant la qualité, et en luttant contre la concurrence, ce sont les Services Achats.

S’ils sont arrivés à obtenir rapidement une réduction substantielle des coûts de gestion du secteur marchand, c’est grâce à l’évolution des technologies et en particulier liées à Internet (pour la sélection des fournisseurs, produits et la réalisation des transactions) en utilisant évidemment l’e-sourcing  et aussi l’e-procurement.

 

La performance des approvisionnements fait que de plus en plus ils participent à de nombreux autres achats dont les équipements et investissements.

 

Pour tous, la collecte de l’information (Intelligence économique) et de documents ainsi que le stockage en vue des retraitements ultérieurs (Geide) c’est une chose. Mais il faut avant tout approvisionner les nombreuses bases et « Entrepôts de données » avant d’en effectuer l’ « Exploration » à des fins décisionnelles (SIAD).

 

 Voir : Achats ; Activité d’affaires ; Aptitudes ; Assistant d’achat ; Chaland ; Contrats ; e-approvisionnement ; e-procurement ; EDI ; Employabilité ; Enchère inversée ; Fournisseurs ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Intelligence économique ; Kanban ; Logistique ; Management de contrats ; Management de projet ; Mercatique ; SIAD ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Théorie des contraintes ;

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  Infos :

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

-  Compagnie des Dirigeants et Acheteurs de France :

         L’association au service de tous les professionnels des achats – Events, forums, emploi, etc.

 

Aptitudes

 Aptitudes = Fähigkeit  ;    ;

Les aptitudes sont les dispositions innées ou acquises, avec ou sans reconnaissance officielle et capacité juridique, d’une personne à faire quelque chose.

Ces aptitudes font bien évidemment l’objet de nombreuses tentatives pour les mesurer comme le « Test P.M.A. = Aptitudes Primaires Mentales » et autres concours et tests psychotechniques, etc.

 

Pour les entreprises, les services de Ressources Humaines ont largement recours à de nombreuses mesures des aptitudes et dans un autre registre la mercatique pour faciliter la sélection de prospects et clients cibles.

 

De plus en plus la gestion de projet tient compte des aptitudes de chacun pour mener à bien ses missions et en premier lieu lors de la constitution d’équipes pluridisciplinaires formées en amont des missions dont émergera le chef de projet.

Ainsi certains définissent tout particulièrement les « Aptitudes personnelles » qualifiée de « Softskills »

Celles liées à l’intelligence, l’émotion qui permettent de susciter notamment l’innovation er la pratique du Travail Collaboratif

 

Avec la mondialisation de l’économie et la pression des marchés financiers les cadres et dirigeants sont très largement, régulièrement et spécifiquement soumis à des mesures de leurs aptitudes tant sur le plan technique dans leurs domaines de compétences que sur le plan relationnel et au changement.

 

Les services de l’Etat et des collectivités territoriales entrant de plus en plus dans le domaine de la gestion globale de la performance sont eux aussi de plus en plus mesurés en matière d’aptitude.

 

De nombreuses études éthologiques sont édifiantes comme par exemple :

- Pyramide de Maslow ;

- Principe de Peter ;

- Loi de Gauss ;

- Loi de Parkinson ;

- Théories, des signaux, des mandats, de l’enracinement.

 

 Voir : Abilene ; Acte ; Analyse transactionnelle ; Capacité juridique ; Compétences ; Ethologie ; Evaluation ; Formation ; Gestion Globale de la Performance ; Handicap ; Heuristique ; Initié ; Intelligence ; Johari ; Loi de Parkinson ; Management participatif ; Mentor ; Mercatique ; Mobilité ; Plan de succession ; Pression ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Responsabilité ;  Théorie(S) ; Travail collaboratif ;

 

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 Infos :

2 livres aux approches diamétralement opposées tant par leur ancienneté, méthode, que référence culturelle :

De la stratégie militaire à la philosophie de l’altruisme.

- « Sun TZU L’art de la guerre » (Nombreuses éditions) 

- « Du paraître à l’être » Christian Hyerlé - ed. Chronique Sociale, Lyon

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

 

- Boutiques de Gestion : Associations d’aides à la création d’entreprises = Audit de projet ; Accompagnement et formation.

 

Apurement

Le mot apurement recouvre plusieurs acceptions ex :

 

- Apurement Comptable : Solde de certains comptes notamment après liquidation des écritures en susupens ;

- Apurement de passif : Comblement de dette.

- Apurement douanier : Etape final de l’accomplissement des formalités.

 

 Voir : Lettrage ; Passif ; Responsabilité ;

 

Arbitrage des conflits

Arbitrage = Schiedsverfahren  ;   ;

 

Depuis 1995 il existe deux Modes Alternatifs de Résolution des Conflits, avant le jugement devant un tribunal : La médiation et l'arbitrage.

 

Le M.A.R.C. est issu de l'ADR Alternative Dispute Resolution  pratiquée aux USA où, on le sait, les recours à la justice sont souvent longs et les coûts très importants surtout en frais d'avocats et indemnités.

Cette possibilité de faire appel à un arbitre fait l'objet d'une "Clause compromissoire" incluse dans un contrat lors de sa rédaction.

 

Comme dans la médiation pour l'arbitrage un tiers indépendant des parties intervient. Mais même s'il peut faciliter les négociations cet arbitre (ou collège) statut sur le contrat. Dans cette procédure contradictoire de contentieux, la décision prise est une sentence. En droit cette sentence s'impose aux parties, sauf si un recours, qui ne peut être introduit que sur la forme, est formulé devant la Cour d'appel. A défaut son exécution peut être réalisée par voie judiciaire après officialisation.

 

L'arbitre comme le médiateur est tenu au secret.

Cette procédure est souvent utilisée pour les échanges internationaux. Elle permet de prendre contractuellement et de manière préalable les dispositions nécessaires pour régler les éventuels conflits. En plus, les co-contractants éviteront toute publicité qui pourrait être préjudiciables à leur image auprès des concurrents, clients, prospects, etc.

 

Se renseigner aussi sur l'évolution des différentes réglementations internationales et de la consommation à propos de la "Clause compromissoire"

 

Le concept de « Loi des marchands » Lex mercatoria est né dans l’antiquité pour permettre à des professionnels de régler rapidement de conflits par l’arbitrage de leurs pairs.

 

 Voir : Arbitrage ;  Clauses ; Clause compromissoire ; Credit Management ; Dépens ; Exequatur ; Irrépétibles ; Management de contrats ; MARC ; Médiation ; Procédures ; Recours ; Ressort ; Tribunaux ;

 

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  Infos :

- L'association française d'arbitrage et le CMAP Centre de Médiation et d'Arbitrage de Paris

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- CIMA = Centre Interprofessionnel de Médiation et d’arbitrage, regroupant des avocats, notaires et Experts-comptables.

 

Arbitrage sur marché

L’arbitrage sur marché est une opération consistant à vendre une valeur mobilière, un produit financier, une devise… pour en acheter un(e) autre dans la perspective d'obtenir un meilleur rendement ou de réaliser des plus-values.

 

Ne pas confondre avec la procédure d'arbitrage des conflits.

 

 Voir aussi : Action ; Garanties sur transactions de marché ; Obligation ; Option ;

 

Arbre des causes, défaillances

Méthode qui à pour objectif de réduire les accidents, dysfonctionnement par l’études des causes.

Partant du postulat qu’il est plus efficace de s’attaquer aux causes qu’aux effets.

 

Pratiquée à postériori à l’inverse de l’AMDEC, elle est très utilisée pour appréhender les causes liées aux accidents du travail.

 

Différentes pratiques, concepts, outils permettent de mettre cette méthode en pratique et en particulier l’utilisation du diagramme des causes à effets d’Ishikawa dit aussi en arête de poisson.

 

 Voir : 5M ; AMDEC ; Chaordique ; Développement Dirigé par les Tests ; EMOFF/FFPM ; Heuristique ; Management de projet ; Qualité ; TRIZ ;

 

Architecture client serveur

L’architecture clients serveur désigne un système informatisé dans lequel les clients, du système, sont reliés au réseau par 1 serveur.

 

Permet de partager de

s logiciels et autres systèmes de gestion de bases de données.

 

 Voir : ASP ; Client riche ; Metaframe ; Réseaux ;

 

Architecture de stockage de données

Exemples d’architecture de stockage de données :

 

- DAS (Direct Attached Storage)  :

Rattachement direct des disques de stockage au serveur (ou poste client) Selon IDC les solutions DAS qui représentent 64,9% du marché français en 2004 perdent du terrain face aux architectures NAS et SAN

 

- NAS (Network Attached Storage)  :

Ces architectures peuvent être apparentées à des serveurs de fichiers. Le NAS s'intègre à un réseau TCP/IP existant pour permettre aux utilisateurs de disposer de ressources disques centralisées, quel que soit leur environnement de travail (Windows, Unix, Linux) Selon IDC les architectures NAS représentent 11,6% des investissements réalisés par les entreprises en solutions de stockage externe en 2004 (50 millions d'euros)

 

- SAN (Storage Area Network)  :

A la différence du NAS le SAN n'est pas un serveur de données.

Les données sont accessibles via un réseau dédié, de telle sorte que le réseau local (LAN), déchargé d'une partie des flux, gagne en performance et en stabilité.

Selon IDC les investissements consacrés en 2004 aux solutions SAN ont représenté 51% des dépenses des entreprises en matériel de stockage externe (221 millions d'euros)

 

 Voir : Architecture Orientée Services ; Archivage ; Management des données de référence ;  Virtualisation ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- BlasCom IT Conseil et ingénierie TICC : Audit, migration, architecture, intégration, management de projet - Réseau informatiques et télécoms : LAN/WAN ; VioP ; VPN ; etc.

 

Architecture orientée services

- AOS

Contrairement aux idées reçues L'AOS = Architecture orientée services (Service Oriented Architecture SOA  ) ne correspond pas à une nouvelle technologie mais à un concept qui à pour but :

 

- de faciliter la construction d'application inter opérables (Assemblage de composants dont métiers).  La présentation est le plus souvent sous forme de plate-forme qui va permettre aux utilisateurs de s'extraire des systèmes complexes et incompatibles du fait notamment de langages différents, pour qu'ils accèdent dynamiquement à leurs applications.

 

- de permettre des économies en matière de développement.

 

En matière d'architecture de SI les applications Web services (WSOA) font appel aux normes : SOAP (P pour protocole), UDDI, et WDSL. Ce sont aussi les applications « Client riche » qui vont bénéficier de ce concept.

 

Attention : Ne pas confondre avec « Services Optionnels Additionnels » qui définit les critères et applications relevant du Scheme dans le cadre du SEPA.

 

 Voir : Architecture de stockage ; Architecture Client serveur ; Client Riche ; EAI ; SEPA ; SOAP ;

 

Archivage

L’archivage c’est l’action de classer et de conserver des éléments dont l’utilisation ne relève pas du quotidient.

Pour les supports papier et dans les plus grandes entreprises, les spécialistes de la gestion des archives sont les services généraux.

Pour ce qui concerne l’archivage électronique il est du ressort du service informatique.

Supports réels ou virtuels, il devient de plus en plus important de prendre en compte les avis du juriste.

 

Pour les bases de données actuelles, compte tenu de leur volumétrie et de l’importance de celles-ci, il est de plus en plus nécessaire de les sauvegarder, et parfois plusieurs fois par jour avant de les classer dans des systèmes de stockage pour utilisation fréquente et mises à jour, y compris, par effacements successifs ou d’archivage pour conserver toutes les versions et notamment d’enregistrements non effaçables = Worm

 

Voir notamment la norme ISO 15489-1 qui recouvre un univers plus réduit, que celui de l’archivage, appelé  « Records management »  Gestion des enregistrements   

Cette fonction a plus pour vocation l’organisation et le contrôles des moyens et méthodes d’enregistrement sauvegarde et échanges de données courantes y compris pour administration de preuve. (ex : Contrats et autres entretiens relatifs aux affaires).

Il est d’autant plus important de savoir quoi sauvegarder, quand, comment, etc. lorsque les données sont :

- Dématérialisées ;

- Hébergées à l’exterieur de l’entité qui en a la propriété juridique !

 

Attention : Il ne faut pas confondre Archivage et sauvegarde !

 

 Voir : Architecture de stockage de données ; Dématérialisation de documents ; Fourniture d’application hébergée ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Location de droit d’usage –SaaS ; Management de contrats ; Management de risques ; Preuve ; Services généraux ;

 

Arrêt

L’arrêt est une décision de justice rendue notamment par une cour d'appel, de Cassation.

 

 Voir : Droit(s) ; Juge ; Procédure ; Recours ; Tribunaux ;

 

Arrhes

Arrhes, désigne un paiement fait par l'acheteur entre les mains du vendeur pour entériner les engagements réciproques d'une vente.

 

A la date prévue de la conclusion du contrat :

- Si l’acheteur se rétracte il perd définitivement le montant qu'il a versé. Ceci permet au vendeur de compenser son préjudice de CA non réalisé.,

- Si le vendeur ne peut honorer son engagement, il devra rembourser les arrhes versées. En plus il devra verser à la contrepartie un montant équivalent à titre de dédommagement.

 

En matière civile, la somme versée à la signature constitue en principe des arrhes mais l’article 1590 du code civil est simplement supplétif de la volonté des parties.

 

Attention : ne pas confondre avec l’acompte

 

 Voir : Acompte ; Caution ; Garantie ; Rabais, ristourne, remise ; Escompte de règlement ;

 

Arrobe

Arobase

Arrobase, formalisé par le caractère @ employé dans les adresses de courrier électronique pour séparer le nom identifiant l’utilisateur de celui du gestionnaire de la messagerie.

 

L’ @ est à l’origine le symbole de l’arroba (de l’arabe ar-roub, "le quart"), ancienne unité de capacité et de poids espagnole et portugaise.

 

Ce sigle est également utilisé dans les langues anglo-saxonnes, dans des formules telles que "tant de tel article @ tant l’unité".

Dans ces emplois, il est appelé "a commercial", et son tracé, identique à celui de l’arroba, résulterait de la ligature de l’accent grave avec le "a" de la préposition française "à", autrefois d’usage courant dans le commerce international.

 

Lorsqu’une adresse est fournie oralement, @ se dit "arrobe" Parution au Journal officiel : 8 décembre 2002  alors qu’il se dit "at" en anglais. Terme en anglais : at-sign.

 

 Voir aussi : Arrosage ; Mél ; XRM ;

 

Arrosage

Arrosage = Spam

Envoi d’un même message électronique à un très grand nombre de destinataires au risque de les importuner. Concerne particulièrement les messages à caractère publicitaire. Procédure un temps interdite mais tolérée dans le cadre de la LCEN. (Différent de junk mails)

 

Si une formule de désinscription est intégrée au mél reçu celui-ci n’a plus la qualité de spam mais de « Push mail »

 

 Voir aussi : CNIL ; Communication ; Junk mail ; LCEN ; Mél ; Opt-in/ out ;

 

ASA

Average Speed of Answer 

 

 Voir : Temps Moyen d’Attente ;

 

ASCII

ASCII = American Standard Code for Information Interchange.

 

Codification permettant de représenter les symboles et caractères alphanumériques par des nombres (de 0 à 127=7bits ou 256 = 8bits ex : norme ms ANSII avec signes et majuscules) lors des échanges d’infos entre logiciels sans lien dynamique mais par procédure d'export et d'import.

 

 Voir aussi : EAI ; ETL ; ODBC ;

 

ASP 

2 termes :

 

- Application Service Provider  :

 Voir : Fourniture d'Application Hébergée.  

 

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- Active Server Pages :

Langage permettant une utilisation plus interactive que html car adaptée au lecteur selon ses critères de recherche. Les fichiers sont identifiables par l'extension "asp".

C'est la solution développée par Microsoft. D'autres choix existent comme PHP conçu à partir de logiciels libres et JSP développé particulièrement par Sun en Java.

 

 Voir aussi : Client riche ; Extranet ; Langage ; PHP ; Réseaux ;

 

ASAP

As Soon As Possible = DQP : Dès que Possible

Tant qu’à faire d’utiliser un acronyme autant faire le plus court possible !

 

 Voir : DQP

 

Assertivité

Assertivité = Assertiveness

 

 Voir : Analyse transactionnelle.

 

Assessment

 

 Voir : Evaluation

 

Asset management

Asset management  = Gestion de biens  au sens patrimoine, actif du bilan.

Asset Manager  = Gestionnaire d’actif.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

  Voir aussi : Biens ; Bilan ; Gestion des actifs ; Patrimoine ;Services Généraux ;

 

Assiette

Ensemble des éléments à partir desquels sont calculés un impôt, taxe, ou une cotisation.

Parfois cette assiette peut être déterminée forfaitairement et notamment par le législateur.

 

 Voir : BIC ; BNC ; Défiscalisation ; Formes juridiques ; IRPP ; Nom commercial ; Micro entreprise ; PME de croissance ; Raison sociale ; Statut(s) ;

 

Assignation

L’assignation est un acte signifié par voie d’huissier (= Bailiff ) par lequel un demandeur fait aviser officiellement un tiers défendeur qu'il est amené à comparaître devant un tribunal pour statuer sur un litige qui les oppose.

 

Elle peut être en "Référé" notamment pour les créances non contestées ou "au fond" et le cas échéant en " Redressement judiciaire"

 

Il est prudent de bien choisir la procédure, comme par exemple l'injonction de payer ou l'assignation en référé, car tant sur le fond que sur la forme les conséquences peuvent être lourdes. C'est pourquoi il est fortement conseillé de se faire assister d'un juriste.

 

 Voir aussi : Certificat de non-paiement ; Certificat d'irrecouvrabilité ; Credit Management ; Injonction de payer ; Mise en demeure ; Procédure ; Référé provision ; Tribunaux ; Recours ;

 

Assistant

le « Manager » dans bien des cas, ne saurait exister sans « Assistant ».

 

En effet longtemps contonné au rôle de secrétaire cet assistant aux compétences multiples permet, dans un cadre à la fois confidentiel mais aussi de communication, d’organiser et fluidifier le travail du manager en ordonnant les priorités, de réaliser certaines actions notamment par délégation et très souvent de participer au management de nombreux projets.

 

C’est pourquoi cette profession, comme beaucoup d’autres, s’est ré-organisée et a créé ses propres référentiels de compétences (Formations en BTS).

Ces formations ainsi que les structures associatives se sont développées notamment au niveau international (Voir EUROAST) afin de répondre aux besoins des professionnels en matière de communication interculturelle tant en ce qui concerne les langues, usages, mais surtout métiers qui eux aussi imposent leur vocabulaires et autres contraintes réglementaires …

 

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Management de projet ; Manager ; Mandat ; Responsabilité ;  

 

          Voir aussi : Assitant d’achat ; Assistant électronique de poche ;

 

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  Infos :

-  CLASS : Cercle Lyonnais des ASsistants et Secrétaires : Bénéficiez de tous les avantages d’un réseau créé par des professionnels. Se former, s’informer, échanger, s’entraider …

CLASS, comme SECRETOP, et bien d’autres associations, est membre de la FFMAS : Fédération Francaise des Métiers de l’Assistanat et du Secrétariat.

 

Assistant d’achat

Assistant d’achat = Shopbot.

C’est un moteur sur Internet dédié, notamment, à la comparaison des prix.

 

Attention : De nombreuses solutions de ce type sont très largement influencées par les structures de vente/marketing ce qui fausse l’analyse fournie à l’Internaute.

 

 Voir : Approvisionnements ; Mercatique ; Score d’appétence ;

 

Assistant électronique de poche

L’assistant électronique de poche est un ordinateur tenant dans la main, prévu pour la gestion de données personnelles et permettant le traitement de l’information en liaison avec un ordinateur principal ainsi qu’un téléphone mobile, etc. ce qui en fait un outil de la mobilité.

 

Les fonctions principales :

- D’origine : Répertoire de contacts, bloc notes et agenda.

- Récentes : Multimédia (images et vidéo) et téléphonie mobile.

 

Terme en anglais : Personal Digital Assistant (PDA).

Parution au Journal officiel : 27 février 2003

 

Le Smartphone = Téléphone intelligent

Avant tout téléphone permettant de gérer de manière intelligente des données personnelles.

La confusion des 2 termes est devenue évidente avec l’intégration d’applications diverses et l’ouverture vers des connexions externes, le multimédia.

 

 Voir aussi : Agenda électronique ; Architecture client serveur ; Client léger ; Mobilité ;

 

Associé

Association

En matière d’entreprise, l’associé est une personne physique ou morale liée par un intérêt financier qui se concrétise par la possesion d’actions ou parts sociales enregistrées au capital d’une entité à but lucratif.

 

Cependant une acception autre que capitalistique est largement pratiquée par les entreprises de toutes tailles.  En effet certaines s’associent dans des actions pour mutualiser des moyens ou des compétences ex : GIE, SCM.

 

Si l’objet n’est pas lucratif la désignation fréquemment utilisée est sociétaire ex : membre d’une association.

Et poutant certaines association à but non lucratif (= Non-profit-making organization ) vendent des produits et réalisent des prestations, c’est pourquoi elles doivent être fiscalisées, au moins pour ces activitées et être très attentives au concept de concurrence déloyale. 

 

 Voir : Action-Actionnaire ; Actionnariat salarié ; Administrateur ; Capital ; Cession progressive du capital ; Créancier ; Dividende ; Economie sociale ; Entreprise conjointe ; Forme juridique ;  Initié ; Jeton de présence ; Obligation ; Part sociale ; Prix de transfert ; REEL ; Société ; Statut ;

 

Assumption

En français : Supposition, hypothèse, postulat et non assomption !

 

 Voir : Supposition ;

 

Assurance

Assurance  =   ;

 Voir : Agrément d’assurance ; Appériteur ; Assurance crédit ; Assurance prospection ; Barter ; Clauses ; Cote ; Credit Management ; Garantie ; Management de contrats ; Responsabilité Civile Professionnelel – RCP ; Risques ; Score ; Solvency ; Subrogation ; TRC ;

 

Assurance-crédit

L’assurance crédit c’est la couverture, par un organisme spécialisé et agrée (compagnie apéritrice), du risque de non-paiement de créance(s) non échue(s).

Les créances commerciales offrant du crédit sont essentiellement supportées par le crédit inter-entreprises et non par le système bancaire. L’un des risque lié au crédit client est celui de l’insolvabilité qui peu s’avérer important et doit souvent être couvert, au moins en partie par une assurance contre la défaillance des débiteurs.

 

Cette assurance peut revêtir différentes formes contractuelles selon le degré de couverture choisi (ex : Contrats risques "access" ou "excess») et font l'objet de la perception de primes d'assurances et de modalités d'indemnisation appropriées à chaque contrat.

 

Pour définir les primes applicables aux assurés les compagnies se basent notamment sur un ratio de rentabilité «Loss ratio » = Coûts des sinistres/primes encaissées. Ce ratio global peut également être apprécié par souscripteur. Malheureusement il n’est ni publié à titre global ni communiqué individuellement ce qui ne permet pas au client d’apprécié le tarif applqué et le cas échéant de négocier ou de changer d’établissement.

 

 

 Voir : Agrément d’assurance ; affacturage ; Apériteur ;Assurance prospection ; Credit Management ; Evaluation ; Franchise ; Garantie ; Sûreté ; Points de risque ; Procédure ; Profil payeur ; Risques ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  COFACE : Assurances gérées pour le compte de l’Etat destinées à soutenir les exportations dont l’Assurance crédit export ;

 

Assurance prospection

 

L’assurance prospection est gérée par la COFACE pour le compte de l’Etat, elle est destinée aux exportateurs potentiels.

L’objectif recherché est de favoriser les initiatives de recherche de débouchés commerciaux à l’étranger (ex : Etudes de marché, salon, déplaccements, site internet)

Voir sur le site de la COFACE les critères d’éligibilité, les tarifs, etc.

 

 Voir : Agrément d’assurance ; Aides ; Assurance crédit ; Garantie(s) ;

 

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 Infos :

- CGPME Conférence COFACE : Les outils publics d’accompagnement à l’export  par Ch. Terrier Dir.Région RA. Procédures Publiques : Assur.prospection – FAP – FASEP – Garantie Risques Export & Invest, caution, exequatur, etc.

 

COFACE : « Assurance Prospection » gérée pour le compte de l’Etat et destinée à soutenir les exportations ;

 

Astreinte

= Constraint  ; Zwangsgeld  ;

L’astreinte est un moyen de contraindre un débiteur, par décision de justice, à verser une certaine somme d'argent par période de retard jusqu’à exécution de ses obligations.

 

Attention : Ne pas confondre avec

- Les « Dommages et intérêts » qui peuvent se cumuler à l’astreinte.

- Les intérêts moratoires qui sont liés au retard de paiement.

 

 Voir : Clause pénale ; Intérêts moratoires ; Management de contrats ; Procédure ; Tribunaux ;

 

Asynchrone

Asynchrone est une terminologie liée à l'informatique pour désigner un mode de communication dont les échanges entre émission et réception ne sont pas synchronisés, comme par exemple la messagerie électronique.

(Dans ce type de transmission les caractères sont encadrés par des « bits » qui ne sont pas forcément en phase avec l’horloge ce qui peut générer des perturbations).

 

 Voir aussi : ODBC ; Réseaux ;

 

ATD

 

 Voir : Avis à Tiers Détenteur ;

 

ATM

Asynchonous Transfert Mode.

 

 Voir : TTA ;

 

A to B, C

- A to B ou A2B (Administration to Business)   = Echanges entre une administration et une entreprise.

 

- A to C ou A2C (Administration to Consumer)  = Echanges entre une administration et le consommateur final

 

 Voir aussi : A to C ; B to B ; B to C ; e-marché ; M to M ; Poste à poste ;

 

Attestation d'équité

= Fairness Opinion

L’attestation d’équité se conçoit notamment à l’occasion d’une évaluation d’entreprise.

Il est alors convenu entre certains acteurs de faire procédé à cette évaluation par un expert indépendant des parties pouvant être intéressées à une opération de haut de bilan.

 

Les opérations en capital les plus connues sont bien évidamment les OPE et OPA.

Avec l’évolution des pratiques en matière de cession, fusion et acquisition d’entreprises, la mondialisation de l’économie et sous la pression des marchés financiers, l’attestation d’équité à tendance à se développer.

 

Les Normes IFRS contribuent à harmoniser l’évaluation d’entreprises, sur le plan international

 

En France et particulièrement pour les OPA et OPE des recommandations sont faites par l’AMF afin de définir des principes, normes, de l’évaluation financière indépendante et donc de l’attestation d’équité.

 

Pour les banques d’investissement exsitent des « Comités d’attestation d’équité ».

 

 Voir : Actif(s) ; Audit ; Capital ; Capital investissement ; Cession progresive du capital ; Evaluation ; Initié ; PACEO ; Prix de transfert ; Propriété ; REEL ; RES ; Responsabilité ;  

 

At the money

Option au pair

Option dont le prix d’exercice est fixé au cours du comptant du sous-jacent.

 

 Voir : Option ;

 

Audit

Audit, à l'origine cette terminologie renvoi à l’audition d’une personne (= Hörer ) par une ou plusieurs autres pour valider des compétences ou une proposition (ex : dans le domaine artistique et ceux des appels d’offre). Ainsi l’action consistait à écouter pour vérifier, apprécier, évaluer, etc.

 

En matière de gestion d’entreprise c'est, depuis longtemps, l'action qui consiste à s'assurer du caractère sincère et véritable des comptes par l'intervention d'un expert, externe à celle-ci (ex : expert comptable et commissaire au comptes).

Des évolutions récentes font porter sur d'autres points que la finance et font cohabiter un processus de contrôle interne et externe.

Puis pour des raisons économiques et réglementaires le concept s'est étendu à des opérations plus spécifiques à certains métiers comme la gestion des risques, du crédit clients, du système d'information, mais aussi sur le plan social et environnemental, etc.

 

L'objectif est d'établir un état de l'existant afin d'établir une mesure de performance tant en méthodes que moyens y compris financiers, afin de définir la conformité aux règles et usages et de définir de nouveaux objectifs.

 

Avec la mondialisation de l'économie et les nombreuses initiatives d'uniformisation du contrôle de gestion pour des besoins de transparence et de comparaison, de recherche de performance pour lutter contre la concurrence, les évaluations d'entreprises se sont multipliées.

Les difficultés restent néanmoins de taille comme par exemple :

- Qui mandate, les actionnaires ou le Management ?,

- Qui audite (Interne ou externe, sur quelles bases (conflits entre transparence et confidentialité) dans quel but. (Respect de processus, optimisation de gestion financière, cession d'entreprise, etc.

Voir l’intérêt de faire réaliser les audits de cession par des experts indépendants soit du vendeur et notamment des actionnaires par rapport aux gestionnaires soit à la demande de l’acheteur. L’une de ces pratiques est appelée  " Vendor due diligence"

Ainsi certaines pratiques réclament une « Attestation d’équité ». (Voir ce terme !) Fairness Opinion 

 

Aujourd'hui seuls les Commissaires aux comptes peuvent apporter une réelle certification de conformité avec les exigences légales en vigueur. Cette pratique d’un « Auditeur externe » intervenant dans un cadre légal à pour objectif de « Vérifier » au sens réglementaire. Alors que certaines pratiques du « Contrôle interne » pourront se développer au sens « Maîtrise de gestion, Gestion globale de performance » pour optimiser les prises de décisions stratégiques, les processus, la définition d’objectifs, etc.

 

 Voir aussi : Analyse fonctionnelle ; Analyse par les Options Réelles ;  Attestation d’équité ; Cession progressive du capital ; COBIT ; COSO ; Credit Management ; Décisionnel ;  Evaluation Gestion globale de la performance ; IFRS ; Initié ; LSF ; Management de contrats ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management de transition ; NRE ; Plans comptables ; Prix de transfert ; RCE ; REEL ; Système de Management Intégré ; Tableau de bord ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

-   IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

 

Authentification unique

L'authentification unique = SSO (Single Sign-On ) est un mode vérification de l'identifiant d'un tiers utilisateur pour lui permettre d'accéder, en particulier à partir d'Internet, à une ou plusieurs applications sur un serveur donné.

L'avantage de cette technique permet à un utilisateur distant de ne s'identifier qu'une seule fois à l'entrée d'un extranet et non plus à chaque application.

 

 Voir aussi : Application ; Certificat numérique ; Economie Numérique ; EDI ; Evaluation ; Extranet ; LCEN ; LDAP ; Management de risques ; Signature électronique ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Autocommutateur téléphonique

 

 Voir : Centrex IP ; PABX – PCBX ;

 

Auto-Entrepreneur

Mis en place par la « Loi de modernisation de l’économie » le régime dit de « l’auto-entrepreneur » a été conçu pour favoriser l’exercice d’activités professionnelles en indépendant pour tous les particuliers qu’ils soient étudiants, demandeurs d’emploi, salarié, retraité, grâce à des modalités administratives et fiscales simplifiées et allégées.

L’objectif de ce dispositif est de soutenir l’économie française et de lutter contre le chomage.

 

 Voir : EIRL ; Entreprise individuelle ; Forme juridique ; LME ; Micro-entreprise ; Régime ; Statut ; TVA ;

 

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 Infos :

- Consulter le « Guide de l’auto-entrepreneur » du Ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi.

 

Autofinancement

= Eigenfinanzierung  ;

L’autofinancement c’est l’ensemble des moyens et méthodes qui concourent au développement d'un projet ou à la pérennisation d'une activité par la constitution des ressources et réserves monétaires propres.

 

Ce concept prévisionnel de " Se financer soi-même" fait appel à la rentabilité et l'épargne générée par l'activité (voir CAF) ou l'apport de nouveaux fonds propres par un dirigeant actionnaire.

 

Dans cette acception, seuls les tiers non impliqués dans l'administration de l'entreprise sont exclus (donc pas d'appel à l'épargne publique, ni de financements issus d'emprunts auprès d'organismes spécialisés comme banques et sociétés de capital risque)

En revanche le personnel partie prenante en tant qu'administrateur peut être inclus.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : BFR-E ;  Bilan ; Capacité d’autofinancement ;  Cavalerie ; EBE ; Fonds propres ; MBA ; RENI/NOPAT ; Résultat(s) ; SIG ;

 

Automatisation de Force de Vente

- AFV

AFV : Automatisation de force de vente = SFA : Sales Force Automation

Elément d'une stratégie commerciale faisant appel à des solutions logicielles.

 

 Voir aussi : BOGO ; Commercial ; GRC ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; XRM ;

 

Autonomation

Autonomation = Jidohka   

 

C’est un système autonome et automatisé de contrôle qui,  selon des critères prédéfinis , permet de stopper un processsus, notamment de fabrication, lorsqu’une anomalie jugée importante le justifie.

 

 Voir : 6 sigma ; EMOFF-FFPM ; EVOP ; GPAO ; Kaizen ; Lean production/concept ; Qualité 

 

Autorité de Certification

Référencées par le Ministère des finances les autorités de certification sont de natures et statuts différents et leurs prestations différent selon qu’elles soient ou non opérateur, et gestionnaire. Voir : Tiers de confiance !

 

Elles proposent comme prestation aux entreprises de leur délivrer un ou des certificats numériques (ex : ceux nécessaires à la télétransmission de déclarations fiscales) dans des conditions optimales de sécurité.

 

Pour obtenir un certificat il faut d’abord bien évaluer ses besoins et les utilisateurs potentiels car les coûts peuvent vite être importants.

Ensuite il faut faire jouer la concurrence en s’adressant à différents professionnels qui délivrent ces certificats (Ex : Chambres de commerce, Banques) et en comparant avec d’autres pratiques et prestataires notamment pour l’échange de données informatisées (EDI).

 

 Voir : Certificat numérique ; Dématérialisation ; EDI ; EFI ; Loi de Confiance en Economie Numérique ; Sécurité ; Signature électronique ; Tiers de confiance ;

 

Aval

= Bill Guarantee

L’aval est un engagement personnel, figurant sur un effet de commerce (LC, BO) ou un acte sous seing privé, donnée par un tiers, au bénéficiaire d'une créance pour en garantir le paiement si les autres signataires n'ont pas acquitté celle-ci.

 

En cas de pluralité de débiteurs l'aval peut être donné pour garantir seulement l'un d'entre eux. (cf. modalités et aspects juridiques)

 

 Voir : Caution ; Credit Management ; Effet de commerce ; Garantie ; Management de risques ;

 

Avance en devise

L’avance en devise est un financement bancaire à l’import (ADI) ou à l’export (ADE) qui permet soit à l’un de payer comptant ou à l’autre de couvrir un délai de paiement.

Pour être réalisable la créance doit être née

 

Attention : Si cette avance de trésorerie est dans une devise différente de celle du contrat il y a un risque de change qui pourra éventuellement être couvert, notamment par un outil de gestion de risque de change.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Créance née à l’étranger ; Crédit documentaire ; Financement ; Financement du poste clients ; Garanties sur opérations de marché ; Incoterms ; Management de contrats ;

Avancement d’hoirie

L’avancement d’hoirie est une donation, par anticipation, à un héritier sur la part qui lui reviendra lors de la succession.

 

Lors du règlement définitif cette avance sera prise en compte dans la liquidation.

Cette pratique peut être utilisée en prévision d’une transmission d’entreprise.

 

 Voir : Attestation d’équité ; Capital ; Capital investissement ; Cession progressive du capital ; Evaluation ; Prix de transfert ; Propriété ; Transmission d’entreprise ; REEL ; RES ;

 

Avarie

= Damage, Breakage.  ; Averia  ;

L’avarie est un dommage subit par un bien meuble (ex : Marchandise) ou immeuble (ex : Navire) dans le cadre d’une activité professionnelle.

 

Les dégâts peuvent être de causes diverses ex : collision, intempéries.

 

De nombreux droits (ex : Commerce international), règles (Incoterms) applicables à différents métiers comme le transport, traitent de ce sujet et permettent d’inscrire des clauses (ex : SRCCC) spécifiques aux contrats pour définir les responsabilités et modes d’indemnisation en cas d’avarie comme l’assurance (ex : dommages).

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Inconterms ; Logistique ; Recours ; Risques ;

 

Avenant de contrat

L’avenant de contrat c'est un document écrit qui modifie certaines conditions du contrat auquel il est rattaché. Au même titre que le contrat principal il doit être approuvé par les parties.

 

 Voir : Clauses ; Contrat ; Management de contrats ; MARC ;

 

Average Cost Deliquency - ACD

Average cost deliquency  = Coût des intérêts de retard

 

 Voir : Credit Management ;  DSO ; Intérêts moratoires ; NRE ;

 

Avertissement sur résultat

L’avertissement sur résultat  = Profit Warning

C’est une procédure par laquelle une société, qui a des résultats largement inférieurs à ceux attendus par le marché se doit de communiquer vers celui-ci pour rétablir un niveau d’information acceptable.

 

 Voir aussi : Résultat(S)... ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ;

 

Avis à tiers détenteur

L’avis à tiers détenteur est une procédure administrative permettant au créancier, Trésor Public ou à l’Administration fiscale, d’obtenir le blocage des avoirs disponibles sur un ou plusieurs comptes bancaires dans le but de les affectées au règlement de créances qu'elle possède sur le titulaire de ce compte.

 

Cette procédure requiert un certain formalisme qui doit être respecté surtout par le banquier sollicité notamment par rapport à la provision des comptes.

 

Le délai de contestation est de 2 mois.

 

 Voir : Injonction de payer ; Mise en demeure ; Procédures ; Référé provision ; Saisie attributive ;

 

Avoir

 

Deux acceptions :

 

a) Avoir comptable :

Document comptable établi par un fournisseur stipulant que le client bénéficie d’un montnat à valoir sur le prix d’un prochain achat.

En principe cet avoir est négocié suite à un achat qui ne satisfait pas aux conditions de vente = litige. Il évite pour le vendeur le retour de marchandises et en échange le client bénéficiera d’une réduction sur sa prochaine facture.

 

 Voir : Credit Management ;

 

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b) Avoir fiscal :

C’est une créance détenue par un contribuable sur le Trésor Public. Elle fait l’objet de dispositions législatives relatives à un processus qui a pour objectif d’éviter la double imposition (sur les bénéfices et à l’IRPP) des sommes distribuées par les entreprises à leurs actionnaires.

 

 Voir : Impôts sur les bénéfice/sociétés ; Crédit impôt ; Défiscalisation ;

 

 

Axiologie

Du grec : Axia = Qualité

L’axiologie est l’étude scientifique de la qualité.

 

 Voir : Cindynique ; Intelligence économique ; Qualité ;

 

B

top_logobref2 Bref Online : Excellente revue économique de proximité. Pour tout savoir et rapidement sur les événements qui concernent la vie des entreprises comme le changement d'actionnaire ou de dirigeant, l'avènement de nouveaux marchés, ou concepts.

BABOK

Business Analysis Body Of Knowledge = Corpus de connaissances en analyse d’affaires

 

 Voir : Analyse d’activité, d’affaires ;

 

BACH

 

 Voir : GEODE

 

Badwill

 

 Voir : Ecart d'acquisition d'entreprise.

 

Bail

Bail = Lease

C’est un contrat de location. C'est un acte juridique, qui régit les relations de droits et obligations entre un propriétaire et le locataire d'un bien mobilier ou immobilier (et même d'un cheptel) pour une durée déterminée.

 

Différentes sortes de baux sont adaptées (légalement) ou adaptables (librement consentis par les parties) selon le bien concerné par exemple bail commercial régit par le décret du 30 sept. 1953. Réservé aux activités commerciales au sens large, il a la particularité d'être conclu sur une durée de 9 ans offrant au locataire la possibilité de résilier la bail à l'échéance de chaque période triennale. A défaut le bailleur peut donner congé en proposant une indemnité d’éviction acceptée volontairement par le locataire ou validée par un jugement.

 

En France d’autres modalités d’application de contrats de location sont pratiquées comme par exemple :

 

Le bail à courte durée dit dérogatoire à la loi de 1953 peut aussi être conclut. Sa durée ne peut excéder 24 mois. En cas poursuite au delà de cette période il s'inscrit obligatoirement dans le statut de bail commercial.

 

La convention d'occupation précaire n'est pas soumise au statut de bail commercial. Car elle est fondée sur des circonstances particulières, de précarité, indépendantes de la volonté des parties (ex : projet de démolition, d'alignement, ZAC)  

 

Le bail emphytéotique Bail à long terme, pouvant aller jusqu’à 99 ans, et qui de ce fait peut présenter des particularités propres à la propriété comme l’hypothèque.

 

Attention : Ne pas confondre avec le pas de porte.

 

 Voir : Contrat ; Crédit bail ; Domiciliation ; Eviction ; Garantie ; Management de contrats ; Services généraux ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Balance âgée

= Aged receivables balance.

La balance âgée est un tableau émanant en général de la comptabilité et permettant de faire apparaître par client les encours ventilés par échéances et éventuellement par critères d’affectation de gestion (ex par : Commercial, région, type Client, etc.)

 

Outil de prédilection du Credit Manager pour communiquer entre : DAF, Contentieux et Tréso, Compta et Commerciaux et chargés de relances, afin de définir rapidement où doivent se porter les efforts de gestion en fonction des encours clients en volume et délais.

 

 Voir : Credit Management ; Délai de paiement ; DSO ; Intérêts moratoires ; Rapport ; Tableau de bord ;

 

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 Infos :

 -  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Balance sheet

 

 Voir : Bilan

 

Balanced ScoreCard

Balanced ScoreCard - BSC  = Tableau de bord prospectif  :

Basé sur le système d’information et le management de risques  la pratique BSC Permet de mesurer les performances d'une entreprise (objectifs/résultats) grâce à des fonctionnalités permettant notamment de faire des comparaisons et simulations.

L’objectif recherché est de mesurer l’incidence des décisions stratégiques grâce à des indicateurs de performances clés sur l’aspect organisationnel  et leur traduction financière.

 

La méthode de pilotage repose sur 4 domaines d’analyse :

- Le niveau de satisfaction client ex : pour chaque type de produits et services ;

- la maîtrise des processus ex : temps d’attente ;

- L’évaluation des risques ex : les marges et autre retour sur investissement ;

- Les capacités de développement ex : organisation et formation

 

Certains spécialistes précisent que le BSC est une méthode dirigiste adaptée pour des organisation pyramidales Ce qui nest pas forcément le meilleur outil pour une entité plus orientée travail collaboratuf.

 

 Voir : COBIT ; Décisionnel ; Gestion Globale de la Performance (CPM) ; Tableaux de bord ; OVAR ; Management de risques ; Système de Management Intégré ; Travail collaboratif ;

 

Bâle II

Bâle II (ex ratio Cooke) Concerne en particulier les critères de fonds propres des banques pour garantir les risques d’insolvabilité, la discipline des marchés financiers favoriser la surveillance de gestion et des règles de transparence est applicable depuis 2006  

Attention a l’incidence sur la notation de l'entreprise et l’offre de crédit !

 

 Voir aussi : Cindynique ; Credit Management ; Gouvernance des risques et conformités ; IFRS ; NRE ;

 

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 Infos :

-   http://www.etudes.ccip.fr/dossiers/rbe/Bale_II_NormesComptables.pdf ;

 

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

BALO

Bulletin Officiel des Annonces Légales

 

 Voir aussi : BODACC ; CFE ;

 

BAM

Business Activity Monitoring

 

 Voir : Surveillance des processus métiers

 

Bande passante

Capacité du réseau (ex : Cablage) exprimé en méga bits par seconde et qui permet de connaître la capacité de transmission d’information de ce réseau.

Ainsi selon l’équipement il faut en cas d’insuffisance envisager par exemple des applications déportées.

 

 Voir : Application déportée ; Trame ;

 

Banque émettrice

2 acceptions principales :

- Banque, souvent d’Etat, qui detient le droit régalien de battre monnaie ;

- Banque qui est à l’origine de la rédaction d’un crédit documentaire.

 

 Voir : Crédit documentaire.

 

Barattage

Le barattage est aussi appelé Moulinette  = Churning  

 

Cette méthode est appliquée essentiellement dans 2 domaines :

 

- Financier : Dans le cadre d'une gestion de portefeuille cette technique consiste à multiplier les commissions de mouvement, au profit du gestionnaire et au détriment du client.

 

- Commercial/mercatique : Technique de vente qui consiste à persuader les clients fidèles de renouveler rapidement leur équipement, en les passant à la « moulinette »

 

Ces pratiques ont bien évidemment pour effet de les mettre dans une disposition d’ « abandonnistes »

 

 Voir aussi : Abandonniste ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

Barème remboursement de frais

 Voir : Frais professionnels

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 Infos :

- La revue fiduciaire « RF Comptable » ; 

 

Barter

Barter   :

C'est une bourse d'échanges entre entreprises qui est basée sur un principe mixte :

 - de troc  (Trueque  )

 - et de paiement comptant en monnaie(s).

Ce qui est novateur c'est que la communauté Barter enregistre les demandes et les offres et sert d'intermédiaire aux transactions.

Et un crédit-barter peut être garantis

 

Ne pas confondre avec : Troc qui est un échange de biens sans transaction monétaire. 

 

Les sociétés commerciales gérant ces plates-formes font des milliards de dollars US (dont 10 aux USA) avec des clients qui se comptent par dizaines de milliers y compris parmi les plus grandes entreprises.

 

Ainsi cette pratique permet aux entreprises de financer certaines dépenses (ex : campagne médiatique, téléphonie, électricité, voyages d’affaires)  par la vente d’actifs dépréciés (ex :  stocks destinés au soldeurs, créances non recouvrées) ou par le produits de certaines ventes additionnelles et sur caoacités de production.

 

 

Attention :

- Certaines pratique d’habillage du compte résultat ne sont plus possibles pour les entreprises aux IFRS.

- En France l’ouverture d’un crédit-barter est assimilable à une compensation de créance et le règlement comme une délégation de paiement

 

 Voir aussi : B to B ; Cession de créances ; Compensation ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Egal à égal ; IFRS ; Lettre de crédit garantie ; Moyens de paiement ; Window dressing ;

 

Basic Opérating Income

 

 Voir : Résultat d’exploitation

 

BAUD   (Bits)

BAUD   (Bits)

Vitesse d’émission des modems de 2.400 à 56.600bps pour transmission par ETEBAC3. bps = baud par seconde

 

 Voir aussi : ADSL ; Réseaux ; Modem ;

 

Benchmarking

 

 Voir : Etalonnage économique

   Voir aussi : Tests pour le Benchmark en Intelligence Economique

 

Bénéfice(s)

= Profit  ; Ganancia  ; Gewinn  ;

Voir les nombreuses acceptions qui désignent parfois seulement un avantage.

 

En matière d'analyse financière pour une entreprise, il est parfois préférable de parler de résultat.

a) Bénéfice Brut = Ventes – Achats + ou – Variation des stocks

b) Bénéfice d'Exploitation = Bénéfice brut – Charges d'exploitation

c) Bénéfice Imposable (élément du compte d'exploitation /résultat)

d) Bénéfice Net : (=Résultat net) Apparaît au passif du bilan : compte 120 = bénéfice compte (inversé) 129 = perte.

 

En matière de caution il peut être ouvert un « Bénéfice de discussion ». exemple ne payer qu’à défaut du débiteur ou depuis 2004 faire jouer une disproportion entre la caution donnée et les capacités à s’exécuter.... !

Voir les nombreuses sources d’information à ce sujet.

 

Ce terme peut aussi désigner une typologie de ressources imposables comme Bénéfice agricole, BIC, BNC.

 

 Voir : BIC ; Bilan ; BNC ; Formes juridiques ; Impôts sur les bénéfices ; Micro entreprise ; Propriété ;

RENI/NOPAT ; Régime fiscal ; Résultat(s) ; SIG ;

 

Beyond Budgeting

 

 Voir : Budget

 

BFE

Besoin en Financement d'Exploitation

 

 Voir : BFR

 

BFR - BFE

Besoin en fonds de roulement

BFR : Besoin en Fond de Roulement  = Besoin en Financement d’Exploitation

= Working Capital Need  ; Betriebsmittelfonds  ;

En principe et dans sa plus simple expression le BFR est exprimé d’après les activités purement commerciales :

Différence entre l'ensemble des Stocks (Cpt 31) + Crédits consentis aux clients (Cpt 41) moins les crédits accordé par les fournisseurs.(Cpt 40)

 

BFRE et BFRHE : E = Exploitation ; HE = Hors exploitation (= Concerne des opérations de répartition dont IS et dividendes) ;

 

Reverse factoring  = Affacturage inversé : Refinancement (car délais déjà inclus) sur la base des dettes fournisseurs.

 

L’expression du BFR (appelé aussi Additional funds required ) est en réalité et surtout la mesure d'un excédent ou d'une insuffisance d'autofinancement spécifique au milieu de bilan et largement influencé par le cycle d'exploitation.

 

Mais par définition (Franco-française) le BFR est lié au FR (fonds de Roulement) qui est censé dégager des moyens financiers entre les ressources et emplois du haut de bilan pour faciliter l'exercice des activités de l'entreprise (ex : supporter le poids des stocks et de crédit accordé aux clients) Cette notion de gestion est-elle toujours d'actualité, c'est selon … mais sûrement pas dans le cas d'une entreprise crée avec 1€ de capital !

Cest pourquoi le BFR exprime donc le niveau du Besoin en Financement d'Exploitation = BFE

 

 Voir : Actif(s) ; Capacité d’autofinancement ; Capital ; Clients ; Bilan ; Fonds de roulement ; Passif ; SIG ; Stock ; Fournisseurs ;

 

Voir aussi : Affacturage ; Barter ; Capital ; Cash custing ; Cession de créance ; Credit Management ; Titrisation ; Trésorerie d’échelle ; Warrant ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

- Découvrez la présentation du livre sur "Cash Custing" pour aller au-delà du Credit Management vers l’optimisation du BFR !

 

BIC

Bénéfices Industriels et Commerciaux -BIC.

Ce sont les revenus tirés d’activités professionnelles de mêmes noms par une personne physique (ex : commerçant, artisan, ou parfois associés) et qui sont déclarable fiscalement comme tels et imposable à l’impôt sur le revenu.

 

Ceux-ci sont biens évidemment différents des bénéfices non commerciaux - BNC.

 

Attention : Ne pas confondre avec le Code d’identification bancaire permettant au système SWIFT d’identifier les opérateurs authorisés à effectuer des transactions notamment dans le cadre du SEPA.

 

 Voir : Bénéfices ; BNC ; Formes juridiques ; Impôts sur les bénéfices ; Liasses fiscales ; Micro entreprise ; Propriété ; Régime fiscal ; SEPA ;

 

Biens

Biens = Assets

Juridiquement et économiquement les biens sont identifiés selon différents critères (exemple par source ou par destination,)

Ainsi on peut distinguer :

 

- Biens immeubles : C’est par définition tout se qui ne peut se mouvoir. Comme les terrains les constructions et se qui y ai fixé de manière permanente (ex : Chauffage central)

 

- Biens meubles c'est-à-dire qui peut se mouvoir comme par exemple un mobilier, un véhicule, etc.

 

- Biens immatériels : Ce sont ceux qui ne peuvent être touchés, par manque de consistance physique, comme par exemple un droit de propriété, droit au bail, un concept de l'esprit, etc.

 

- Biens Propres : Ce sont ceux qui appartiennent exclusivement à l’un des époux et non à la communauté. Cette acquisition étant antérieure au mariage, ou pendant le mariage par don ou succession ou considérés par la loi comme biens réservés (ex : selon modalités de licenciement). 

Les créanciers du conjoint n’ont donc aucun droit sur ces biens.

 

- Biens communs : dans le régime de communauté réduite aux acquêts, ce sont les biens acquis pendant le mariage. Sont compris dans les biens communs les gains, salaires et revenus du travail (sauf réservés) et les revenus tirés de ces biens propres.

 

- Biens fongibles : Qui peuvent se substituer entre eux => l’un = l’autre. Ex : unités monétaires, certains biens de consommation courante, denrées peuvent donc être remplacées facilement.

Les choses non fongibles sont aussi appelées « corps certains » ex : un tableau considéré comme une œuvre d’art.

 

- Biens insaisisables : Le législateur à prévu que certains biens de première nécessité sont insaisissables.

Notamment une partie du RMI ne peut faire l’objet d’une saisie ou un blocage suite à ATD auprès d’un banquier.

De dispositions particulières concernent également le patrimoine des créateurs d’entreprises.

 

 Voir : Actif(s) ; Apports en entreprise ; Bilan ; Capital ; Caution ; Cession progressive du capital ; Contrat ; Fiducie ; Forme juridique ; Garantie ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; Personne morale ; Prix de transfert ; Propriété ; REEL ; Régime fiscal ; Régimes matrimoniaux ;

 

Bilan comptable

= Balance sheet ; Balance de situación ; Bilanz Buchhalter  ;

Le bilan est un arrêté comptable instantané il présente dans un tableau synthétique les dettes et le patrimoine de l'entreprise selon des regroupements par typologie et de durée.

Ce tableau est constitué de 2 grands ensembles que sont le passif et l'actif.

 

Lors de la clôture de l'exercice le bilan comme son nom l'indique fait un constat. Il enregistre les soldes des différents comptes de résultat qui ont enregistré l'exploitation de l'activité.

 

Ce document comptable et ses annexes sont la base des déclarations fiscales et de la réalisation des plaquettes pour communiquer les chiffres de l'entreprise.

 

 Voir : Actif(s) ; Analyse financière ; Audit ; BFR, Capitaux ; CMPC/WACC ; Credit Management ; Engagements hors bilan ; EVA ; Evaluation ; GAP ; Gestion Actifs-Passifs ;  Haut de bilan ; Passif ; RCE ; télé déclarations ;

 

Billet à ordre

Dans le domaine commercial Le billet à ordre est un effet de commerce dont le débiteur est l'émetteur = Promissory note  ; Pagaré a la orden

 

Pour des facilités de traitements informatisés (références à la créance, paiement, etc.) il à de plus en plus pris la forme d’un BOR = Relevé- en se dématérialisant.

 

 Voir : Aval ; Credit Management ; Dématérialisation ; Effet de commerce ; Garantie ;

 

Billet de trésorerie

Le billet de trésorerie est un titre de créance négociable (TCN).

L’entreprise cèdera ce titre, dont elle est l’émetteur, pour se procurer de la trésorerie pour au moins 10 jours.

 

En principe la trésorerie se gère à court terme par rapport aux investissements. Le paradoxe de ce support est qu’il peut être émis sur une durée de 7 ans (maximum). C’est donc un moyen récurrent de générer de la trésorerie.

 

 Voir : Découvert bancaire ; Marché ; Options ; Garantie(s) ; Taux ; TCN ;

 

BIOS

BIOS = Basic Input/Output System   :

 

Programme qui contrôle les périphériques et matériels de base de l'ordinateur (disquette, disque dur, souris, écran…

 

Remplacé à compter de 2011 par : UEFI (Unified Extensible Firmware Interface)  et Coreboot

 

Blog

Le Blog désigne l’accès à un site Web simplifié par rapport aux sites marchands et portails d’entreprises.

 

A l’origine les blogs ont été conçus par des personnes physiques dans le but de s’exprimer à titre personnel sur le Web en diffisant des notes, photos et autres supports (ex : Podcast ) dans le but d’informer mais aussi de recevoir des avis d’autres internautes.

 

Puis, dans le cadre d’activité, des travailleurs indépendants ne disposant pas de moyens suffisant pour faire connaître leurs prestations et produits ont utilisé ce mode de communication devenu de plus en plus interactif.

 

De nombreux spécialistes de la communication des grandes entreprises ont vite récupéré ce mode d’expression dans une démarche mercatique.

En effet ces sites souvent utilisés par des particuliers pour s’informer mutuellement y compris automatiquement (Cookies ) ont souvent été détournés pour optimiser de nombreux référencements commerciaux sur le Web et faire une promotion d’une marque comme unle ferait un consommateur. Donc se méfier des faux blogs = FLOGS

 

Certains professionnels, mais aussi particuliers, permettent ainsi d’utiliser la technologie des flux RSS pour informer de manière automatique certains internautes ciblés.

 

 Voir : Mouchard ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Référencement ; RSS ; Sécurité ; Web 2 ;

 

BNC

Bénéfices Non Commerciaux = BNC.

Ce sont les revenus professionnels tirés d’activités non commerciales comme par exemple pour ceux qui exercent une profession libérale, sont associés à certaines entités comme SNC, SCP, SCM, ou perçoivent des droits d’auteur et des revenus directement issus de la propriété industrielle.

 

Ces revenus sont biens évidemment différents des bénéfices industriels et commerciaux - BIC.

 

 Voir : Bénéfices ; BIC ; Forme juridique ; Impôts sur les bénéfices ; Liasses fiscales ; Micro entreprise ; Propriété ; Régime fiscal ;

 

BODACC

Bulletin Officiel des Annonces Civiles et Commerciales.

Conformément aux dispositions qui régissent le registre du commerce et des sociétés, il a pour fonction de publier toutes les annonces légales relatives à la vie des entreprises de leur création à leur cessation d'activité.

 

 Voir aussi : Statuts ;

 

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 Infos : BODACC ;

 

BOGO

BOGO : « Buy One => Get One »   = « 1 gratuit pour 1 acheté »

 

Expression pour décrire une démarche commerciale dont le principe est que l’achat d’un produit permet de bénéficier d’un second gratuitement.

 

 Voir : 4P ; Abandonniste ; AFV ; Commercial ; Etude d’usages et attitudes ; Force de vente ; ILV ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; PLV ; SONCAS ;

 

Bogue

Bogue = Bug.

Tiré de l’image d’une coquille de chataigne hérissée de ses piquants, en informatique le bogue désigne un dysfonctionnement dans le système d’information dont les causes peuvent être multiples et complexes.

 

Ainsi le problème peut venir d’une panne électronique ou d’un processus de type virus, etc.

 

 Voir : Virus ; Cheval de Troie ; Mouchard ; Ver ;

Voir aussi : Internet ; e-business ; e-commerce ; e-procurement ; e-marché ; Risques ;

 

Bolero

Bolero est un système de dématérialisation de documents spécialement conçu pour les opérations de commerce international.

 

 Voir : Dématérialisation ; Credit documentaire ;

 

Bond

Bondholder

 

 Voir : Obligation – Obligataire   

 

BOR

 

 Voir : Billet à ordre ; Effets de commerce ;

 

Borne

Borne = Milestone.  ;

Elle prend comme principe de fixer un objectif à atteindre pour obtenir une contrepartie comme par exemple :

 

- Les engagements de management, capitalistiques, etc. que doit respecter une entreprise pour prétendre à l’octroi de nouveaux crédits par son banquier (Covenants) ;

 

- Le respect, par une entreprise innovante, des étapes de développement prévues contractuellement, pour bénéficier du soutien des capitaux risqueurs engagés dans le processus ;

 

- La validation d’une étape et ses effets notamment dans un processus de management en mode projet.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Clause de sauvegarde ; FCPI ; Management de contrats ; Management de projet ; REEL ; RES ;

 

BOS

Blue Ocean Strategy

 

 Voir : Stratégie Océan Bleu  

 

BOT

BOT : Bâtir + Oeuvrer + Transférer = Build (to), Operate (to), Transfer (to).

 

Politique d'investissement consistant à transférer la propriété d'une infrastructure après en avoir assuré la réalisation et l'exploitation pour une période donnée.

 

Cette opération peut éventuellement se concevoir dans le cadre de celle d’un investissement direct en actif (CAPEX)

 

Ainsi la pratique du BOT peut se concevoir dans un objectif final d’entreprise conjointe (Joint venture) dont le démarrage du projet peut être assurré, par exemple, dans le cadre d’un contrat d’externalisation. Dans ce dernier cas les critères de coûts du service pourront être évalués, tarifés sur la base : Personne/jour.

 

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Gestion des actifs ; Externalisation ; Fiduciaire ; Investissement en actif ; Prix de transfert ; Services généraux ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Bottom up

Bottom up

Désigne un principe très utilisé notamment en gestion de projet pour définir les synergies venant des opérationnels pour inciter leur hiérarchie à développer une idée ou un concept.

 

Ce même principe est également de plus en plus développé dans les activités liées au processus décisionnel.

 

Le terme est également utilisé en bourse pour le choix de titres, leur spécificité et celles plus génériques ex : marché.

 

Le phénomène inverse est appelé Top down  .

 

 Voir : Top down ; Décisionnel ; Management de projet ;

 

Boule de neige

Boule de neige caractérise un processus de vente par agrégation exponentielle de clients qui eux-mêmes sont chargés de promouvoir les ventes et souvent achètent pour revendre.

 

Appelé aussi à tort vente pyramidale et dans ce cas passible de poursuites pénales en France.

 

 Voir : Cavalerie ; Concurrence ; NRE ; Ponzi ; Réseau ;

 

Bout en bout

L’expression « de bout en bout » concerne essentiellement des dispositions relatives au transport de marchandises notamment par la continuité du service et souvent l’unité du chargeur ex : FCL= Full Container Load, ou l’intervention d’un groupeur ex : LCL = Less than Container Load.

 

 Voir : Incoterms ;

 

Boutiques de Gestion

Les boutiques de gestion sont organisées en réseau dont les activités sont l’information le conseil, la formation à la création d’entreprise et l’accompagnement des porteurs de projets.

 

Les nombreuses structures présentes sur tout le territoire bénéficient d’intervention de spécialistes dans différents domaines pour favoriser la réalisation d’études de marchés, la communication et la stratégie commerciale, la gestion financière, la prise en compte des risques en sensibilisant sur les incidences du statut d’entrepreneur et des actes réalisés, le gestion de RH, la bureautique, etc.

 

Les formations sont dispensées en prenant en compte chaque projet individuel ce qui rend celles-ci très enrichissantes.

 

L’accompagnement pragmatique sur la bases d’une gestion réelle de chaque projet, plan d’affaires et prévisionnel financier inclus, comprenant éventuellement le montage de dossiers d’aides, le suivi périodique personnalisé sont assurés par des référents motivés disponibles et qualifiés.

 

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 Infos :

- Boutiques de Gestion : Associations d’aides à la création d’entreprises = Audit de projet ; Accompagnement et formation.

 

BPDSO

 

 Voir : DSO

 

BPMS

 

 Voir : Gestion électronique de Processus

 

BPO

Business Process Outsourcing  = Gestion externalisée des processus

 

C’est l’externalisation d’une activité, d’un centre de profit ou de coûts, qui parfois implique le transfert de personnel surtout au niveau des contrats de travail.

 

La méthodologie utilisée varie selon que l’on travail plus ou moins avec des référentiels éprouvées du management par projet.

 

Mais en tout état de cause certaines phases sont identiques ex :

1- Faire un audit de situation qui mette en évidence l’existant notamment en matière de processus et de besoins pour définir des objectifs ;

2- Se préparer à externaliser en sachant que cette opération est toujours complexe, collaborative, évolutive et étalée dans le temps donc il est impératif de prévoir avant les conditions de sortie.

Définir les indicateurs en fonction des objectifs recherchés, d’un calendrier, et du plan qualité et risques.

Ainsi il faudra concevoir l’appel d’offre et préparer la partie contractuelle.

3- Lancer l’appel d’offre – Attention un bon prestataire doit pouvoir s’associé à son client dans la réflexion sur ce type de projet et ensemble il doivent définir un comité de pilotage, les objectifs à atteindre, la prise en compte des aléas, etc. et donc la rétribution des prestations et les conditions de résiliation finale ou anticipées dude la mission.

4- Management de contrat : Conclusion du contrat, suivi des engagements réciproques, contrôle du respect des processus, mesure de qualité et des autres indicateurs financiers. Rapports périodiques, évolution et conduite du changement pour s’adapter aux évolution de la gouvernance.

 

 Voir aussi : Audit ; Centre de profit ;  Conduite du changement ; Evaluation ; Externalisation ; Management de contrat ; Management de projet ; Qualité ; Responsabilité ;  Ressources humaines ; Risques ; Sous-traitance ; Tableau de bord ;

 

BPR -

Business Process Reengineering

Le BPR : Business Process Reengenineering  

 

C’est une pratique de réorganisation stratégique des processus métiers destinée à améliorer les performances d’une entité, d’un groupe et notamment son système d’information.

 

Cette technique s’inscrit notamment dans les concepts de conduite du changement et gestion globale de la performance en prenant en compte une pratique en mode projet.

 

 Voir : Conduite du changement ; Décisionnel ; Gestion Globale de la Performance ; Management de projet ; Organisation ;

 

Brainstorming

 

 Voir : Remue-méninges

 

Breach of trust

 

 Voir : Abus de confiance ;

 

Brevet de fabrication.

OEB = Office Européen des Brevets.

PCT = international (depuis 1970) ;

 

Brevet = Patent  ;  ;

 

Processus techniques d'enregistrement et de validation en France et dans d'autres pays qui permet de protéger la création en "déposant", auprès d’un organisme spécialisé, un savoir faire technique, technologique, un concept, modèle industriel.

 

 Voir : Apports en entreprise ; Biens ; FCPI ; INPI ; LME ; Propriété ;

 

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 Infos :

- INPI : Institut National de la Propriété Industrielle

 

BRIC

BRIC = Brésil – Russie – Inde – Chine –

 

 Voir : Zones géographiques économiques internationales.

 

Brocker

= Courtier ; Agent de change.

 

 Voir : Courtier ;

 

Browser

 

 Voir : Navigateur ;

 

B to B

Business to Business . = EEP : Echanges Entre Professionnels

Opérations entre acheteurs et vendeurs professionnels.

 

B to A = Business to administration

 

 Voir aussi : A to B ; A to C ; Barter ; B to C ; e-business ; e-marché ; Poste à poste ;

 

B to C

Business to Consumer . Vente d'un professionnel à des consommateurs .

 

Attention : C’est aussi un concept de e-commerce à ne pas confondre avec e-marché ou e-procurement

 

 Voir aussi : A to B ; A to C ; B to B ; Egal à égal ;

    Voir aussi : e-commerce; e-marché; e-procurement;

 

Budget

Budget : Mot de l’ancien français désignant une petite bourse.

 

C’est l’ensemble des comptes décrivant toutes les ressources et emplois de particulier, d’une organisation ou de l’Etat et des collectivités territoriales. 

Pour les entité du domaine public, le budget  relèvent aussi de la comptabilité publique et donc d’un processus spécial de vote d’éxcution et de contrôle.

 

A partir de ces données c’est aussi le moyen de faire des prévisions à plus ou moins long terme.

 

La comptabilité analytique à permis de réaliser les budgets.

Mais les évolutions de l’économie et des outils et méthodes d’abord portés par les entreprises ont favoriser l’évolution de la gouvernance et de la prise de décision avec des moyens technologiques, des méthodes et modèles de gestion de plus en plus sophistiqués comme le concept de Beyond budgeting :

 

Beyond Budgeting  

Il ne s'agit pas de supprimer le budget ! Cette notion de "Hors ou au-delà du budget"   incluse dans les nouveaux concepts de la Gestion Globale de Performance (CPM) préconise une approche du contrôle de gestion et surtout du "décisionnel" par des modèles différents de budget d'exception.

 

Ce modèle, tient essentiellement au fait que pour des raisons de dates souvent liées à la clôture des execices et des comportements induits, il devient anti économique de gouverner une entreprise avec le système ancien ex :

- Les investissements lourds à long terme posent de nombreux problèmes pour un prévisionnel à court terme. Cest d’autant plus vrai du fait de l’évolution de la fiscalité, etc.

 

- Avec la mondialisation les évènements qui influent sur la stratégie d’entreprise se passent le plus souvent à l’extérieure de celle-ci et il faut pouvoir réagir rapidement pour s’adapter aux marchés…

Ainsi le budget annuel à dat figée oblige à prendre des décisions à un seul moment de l’année civile qui peut s’avérer être trop tôt ou trop tard par rapport aux évolutions souhaitables.

 

- Les comportements humains induits par les anciennes pratiques ont des effets pervers majeurs comme par exemple pour une direction , un service, de maintenir des niveaux de dépenses accrus pour convaincre la direction générale de l’importance de ce service. 

 

- Par ailleurs, les lieux de décisions étaient préalablement centralisés et la tendance actuelle va vers une décision au plus proche de la réalité économique et de la création de valeur.

 

La recherche d’efficience veut que maintenant le prévisionnel budgétaire soit évolutif.

L’évolution technologique tant en matière de traitement et transfert de données - ex : Entrepôt, Décisionnel ; Internet - que de méthode - ex : Management par activités et objectifs ou de la valeur acquise - permet dans des temps records de collecter en amont et aval  les informations pour réaliser des tableaux de bord prospectifs et faire des rapports circonstancier favorisant les prinses de décisions.

 

Ce modèle,  notamment illustré par « Fraser et Hope » s’applique de plus en plus au « Management par projet  Agile » dit « Extrème » pour là aussi mieux s’adapter aux aléas et autres évolutions à venir.

.

Il ne sufiit pas de vouloir ce modèle… mais de metttre les moyens matériels humains et financiers pour y parvenir. C’est un des enjeux de l’amélioration continue, de la conduite du changement …

Les grands principes de ce modèle sont :

- Processus adaptatifs dont : Evaluer, récompenser et contrôler

- Décentralisation dont : Habiliatation ; Travail collaboratif ;

 

Les évalutaions prévisionelles des ventes fournies par le ‘’Demand Planner’’ au sens prévisionniste peuvent aussi avoir comme objectif d’ajuster les budgets.

 

 Voir aussi : Amélioration continue ; Comptabilité ; Conduite du changement ; Contrôle de gestion ; Décisionnel ; Entrepôt de données ; Evaluation ; Gestion Globale de la Performance ; Habilitation ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management par activité ; Management par objectifs ; Ratio ; Théorie(S) ; Travail collaboratif ; 

 

Buffer

Butoir ; Tampon

 

 Voir : Management de projet ; Théorie des contraintes ;

 

Bug

 

 Voir : Bogue ;

 

Bureau de représentation

Le bureau de représentation est en principe un point géographique destiné à mettre en contact une entité avec ses éventuels partenaires ou seulement pour paraître à l’occasion d’un évènement.

Ce point d’accueil, de liaison, ne dispose pas de la personnalité juridique et donc de biens propres.

 

L’utilisation la plus courante d’un bureau de représentation est justifiée par l’éloignement des centres de décisions de l’entité concernée mais de la nécessité de communiquer sur ce site qui souvent se trouve dans un pays étranger.

Cette pratique permet notamment de se déplacer sur une zone géographique pour apprécier un futur potentiel de développement ou rencontrer des potentiels fournisseurs (ex : Producteurs, sous-traitants).

 

L’autre avantage conséquent est que l’entité qui ouvre un bureau de réprésentation limite ses investissement en volume et dans le temps et comme elle ne peut exercer d’activité faute d’existence légale elle à peu de contraintes et ne prend que peu de risque.

 

 Voir : Patrimoine ; Risques ; Statut Juridique ;

 

Bureau des urgences

Bureau des urgences  = Help Desk

Service d’urgence en ligne ou non.

 

Son objectif est d’assurer une assistance téléphonique d’urgence. Celle-ci peut êre interne ou externe à l’entreprise. C’est en principe un centre d’appel qui gère les demandes avec des niveaux d’analyse et de réponse prédéfinis liées aux besoins stratègiques ou non du demandeur et de la qualité de service à laquelle il a droit.

 

Ce type d’assistance est devenu quasi systématique pour tout ce qui concerne l’informatique/bureautique car les enjeux mettent en cause le fonctionnement même d’une entité.

 

 Voir aussi : Accord de qualité de service ; Centre d’appels ; CSP ; Externalisation ; Gestion des Relations Clients ; Maintenance ; Qualité ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

Burn out

Acceptions :

 

Burn Out = Mort par surmenage au travail = Karôshi    

 Voir : Pression ;

 

Burn out marketing

 Voir : Effet d’usure.

 

Bus

BUS désigne l’ensemble de lignes qui transportent des signaux pour que le microprocesseur puisse converser avec les mémoires et les périphériques. Ils se caractérisent par un nombre de bite et leur typologie.

 

La typologie de l’architecture d’un réseau informatique caractérisée par une transmission en ligne (= linéaire), comme pour des personnes dans un autobus reliées entre elles par le couloir central. La finalité d’une typologie de réseau étant de relier au mieux les différents qui doivent communiquer ex : la mémoire, le processeur, les terminaux et accessoires périphériques, dont les PC et imprimante.

 

Par comparaison, il existe d’autres topologie dites en arborescence, étoile (= Rattaché à un nœud central seul passage obligé entre les différents terminaux), anneau ou boucle, maillée (qui offre plusieurs cheminements possibles.

 

 Voir aussi : API ; BUS ; Carte mère ; Mémoire(s) ; Réseaux ; Pilote ;

 

Business angel

= Ange d’affaire  

C’est une personne physique, ou morale, qui investit dans des projets d’entreprises à fort potentiel de développement.

 

Leur participation essentiellement en financement dont capital d’amorçage, peut aussi revêtir d’autres formes, savoir-faire, réseau relationnel. Ce qui favorise encore plus le développement des projets.

 

Ces investisseurs sont largement sollicités par différents acteurs de la création d’entreprise mais surtout de l’innovation industrielle et technologique et incités par les pouvoirs publics grâce à de nombreuses dispositions fiscales.

 

Lorsque ces personnes sont issues du milieu affectif elles sont désignées sous le vocable « Love money ». Mais lorsque les enjeux sont beaucoup plus importants ils’agit alors de capital risqueurs

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Apport d’entreprise ; Bilan ; Capitaux permanents ; FCPI ; PCE ;

 

Business cluster

 

 Voir : Grappe d'entreprises  ;

 

Business intelligence -  BI

 

 Voir : Décisionnel ;

 

Business plan

 

 

 

 Voir : Plan d’affaire.

 

Business Unit

 

 Voir : Centre de profits/ coûts  .

 

Buy or sell

 

 Voir : Clause de sortie.

 

Buzzy ratios

Depuis plusieurs années, les Responsables de Services Généraux cherchent à comparer leurs expériences à l'aide d'un référentiel reconnu.

Dans ce contexte, l'ARSEG a développé une base unique d'indicateurs professionnels, BUZZY RATIOS.

 

Cette base est alimentée par les Responsables de Services Généraux ayant choisi l'abonnement à « Buzzy Ratios ». Elle porte donc sur un panel extrêmement large. Cela lui confère une grande fiabilité et une position de référence sur de nombeux critères de gestion ex : immobilier d’entreprise, maintenance multitechnique, propreté, sécurité, télécoms, achats hors production. Ces critères excellents pour comparer avec d’autres entreprises, ou pour optimiser la gestion peuvent notamment s’exprimé en coût d’unité de poste installé et selon les régions.

 

 Voir : Services Généraux ;

 

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 Infos :

-  ARSEG  l’Association des Directeurs et Responsables de SErvices Généraux ;

                                         Le management de l’environnement de travail !

 

C

-  CARA – Club Agile Rhône-Alpes : Association promotion et la diffusion des méthodes agiles.  

-  Compagnie des Dirigeants et Acheteurs de France :

         L’association au service de tous les professionnels des achats – Events, forums, emploi, etc.

dématérialisation, etc.

C++

C++ est un langage de programmation (dont objet) libre de droits.

 Voir : Langages

 

CA3   CA4   CA12

CA3     CA4     CA12

Ce sont des formulaires, référencés par les services fiscaux de l’Etat français, spécifiquement dédiés aux   déclarations de TVA (annexes = 3310A &3310ter)

 

 Voir : teletva et obligations de télétransmission.

 

CAF - CIF

CAF est un terme français du commerce international :

Coût + Assurance + Frêt  = CIF - Cost Insurance Freight.

 

L’exportateur assume les coûts des formalités administratives et d’expédition au départ de la marchandise dont la couverture des risques et le transport jusqu’au port de destination. Ainsi l’importateur/acheteur devra prendre livraison des marchandises rendues à la frontière de son pays après avoir acquitté les taxes et droits de douanes et autres dépenses (ex : de transport dans le pays d’importation) 

Cette condition (de vente) faisant l’objet d’une mention sur de nombreux documents de transport, facture, crédit documentaire, etc. signifie que le prix des marchandises s’exprime en incluant ses éléments.

 

Attention : Ne pas confondre avec :

- Coût et frais =  Cost and Freight (Autre Incoterms)

- Currency Adjustment Factor ;

- Capacité d’autofinancement.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Incoterms ; Franco à bord ; Départ usine ; Credit documentaire ; Lettre de crédit garantie ;

 

Cahier des charges

CDC : Cahier des charges = Book of specifications  ; Pflichtenheft  ;   ;

 

Le CDC est un document intégré au contrat (ou préalable à celui-ci s’il formule une demande ex : appel d’offre), pour permettre de répondre dans les moindres détails à des exigences pratiques et ou techniques.

 

Il est issu soit d'un audit et d'une analyse fonctionnelle, antérieurs à sa réalisation, soit de négociations dans le cadre d’une analyse transactionnelle (Gagnant <=> gagnant) entre les parties prenantes à un projet.

 

Les 4 éléments génériques récurrents d’un cahier des charges sont :

                 - Calendrier -  Qualité – Quantité - Coûts

 

 Voir : Analyse fonctionnelle ; Analyse par les Options Réelles ;  Analyse transactionnelle/Assertivité ; Appel d’offre ; Audit ; Management de projet ; Plan d’affaires ; Points de fonction ;

 

CAIRNS

 

 Voir :  Zones géographiques économiques internationales

 

Call 

 

 Voir : Option d'achat

 

Call blending

 

 Voir : Appels alternatifs  ;

Call center

 

 Voir : Centre d'appels

 

Cambiaire

 

 Voir : Recours ;

 

CAMM

Customer Attributes Management Method.

 

 Voir : Centre d’appels

 

Canal de distribution

Canal de distribution désigne le chemin emprunté, avec ou sans intermédiaire ex ; importateur, grossiste, par un produit du producteur au consommateur.

 

L’ensemble des canaux de distribution est appelé circuit de distribution.

 

 Voir : Mercatique ; Segment de clientèle ;

 

CAO

Conception Assistée par Ordinateur  = EDA - Electronic Design Automation

 

Ce terme désigne tout aussi bien la création (concept, style) que la production de produits dans de nombreux domaines comme l’électronique la mécanique, etc.

 

 Voir : Concept ; Stylique ;

 

CAP

CAP  = Garantie Plafond  

 Le CAP est une opération de marché qui permet à l'acheteur de se protéger contre une augmentation de prix d'achat ou de taux d'un sous-jacent sur une période donnée.

 

Seule la prime (d'assurance) est payable lors de la conclusion de la transaction de la garantie.

 

 Voir : Collar ; Floor ; Garanties sur transactions de marché ; Option ; Swap ; Tunnel ;

 

Capacité d’autofinancement

- CAF

La Capacité d'Autofinancement (Self Financing Capability ) permet d'évaluer la rentabilité de l'entreprise et son potentiel d'indépendance financière (capacité de remboursement de dettes) comme son nom l'indique.

Elle peut se calculer de 2 manières :

 

A partir du compte de résultat (d'exploitation) = Excédent brut d'exploitation (EBE) + ou - les produits et charges (financiers et exceptionnels) - les opérations de répartition (Participation) - IS

 

 A partir du Bilan : Le Total du bénéfice (résultat net comptable Cpt 12) + Amortissements (Cpt 28) + Provisions (pour risques et charges cpt 15).

 

Le nouveau plan comptable français, depuis 1982, à remplacé la Marge Brute d’Autofinancement par celle de la capacité d’autofinancement désignée souvent par CAF.

Car à l’inverse de la CAF la MBA intègre le résultat de cession d’actifs qui ne relèvent pas réellement de l’activité de l’entreprise faussant ainsi le résultat de la seule perfomance d’exploitation.

Cependant il ne faut pas perdre de vue que de plus en plus d’entreprises s’évaluent par leur rentabilité globale y compris celle réalisée sur la gestion d’actifs immobilisés ou les plus values de gestion de trésorerie.

 

Il est possible d'affiner l'analyse en retirant de la Capacité d’autofinancement :

- les reprises /amortissements et provisions

- Les dividendes distribués.

- la variation du BFR.

 

CAF et Cash Flow  :

- Il ne faut pas confondre la CAF et le "Cash flow" terme anglo-saxon qui désigne de manière générale   un flux de trésorerie. Cependant certains admettent le terme de "net cash flow".

- On entend aussi parler de CFO : Cash Flow Organique = RENI - Variation du BFR

 

Attention : Ne pas confondre avec : CAF = Incoterms

 

 Voir : Analyse financière ; Audit ; Bénéfice ; BFR ; Cash Flow/Normatif ; Compte de résultat social ; Credit Management ; EBE ; RENI/NOPAT ; SIG ;

 

Voir aussi : Marge(s) ; Marge Brute d’Autofinancement ; Marge opérationnelle ;

 

Capacité juridique

La capacité juridique c’est l’aptitude, à avoir des droits, de pouvoir les exercer, d’avoir la faculté d’en jouir, et à assumer ses obligations et en particulier à diriger une entreprise.

Par exemple, un mineur non émancipé n'a pas la capacité juridique lui permettant d'exercer une activité commerciale ou de diriger une société.

 

Certains majeurs ne possèdent pas de capacité juridique pleine et entière comme ceux placés sous curatelle ou tutelle.  Ainsi certains actes, notamment de vente, doivent être réalisés avec précaution.

Les actes de commerce réalisés entre entreprises ne sont pas exclus de la vérification des capacités à contracter. En effet il est primordial de savoir si l’entreprise à bien déléguer les pouvoirs à celui avec lequel vous passez un contrat. Tous les éléments nécessaires à cette appréciation ne figurent pas forcément dans les statuts.

 

Attention :

 

- C’est à l’acheteur de s’assurer (obligation légale au moins tous les 6 mois) que le vendeur est bien un commerçant (Kbis récent), s’il ne l’a pas fait sa responsabilité est engagée notamment en cas de recèle car celle-ci ne se prescrit pas !

 

- Suivre l’évolution de la législation notamment aussi en matière de tutelle.

 

 Voir : Contrat ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Garantie ; Habilitation ; Management de contrats ; Mandat ;

Voir aussi : Compétence ; Aptitude ;

 

CAPEX

Capital expenditure  

 

 Voir : Investissement en actif.

 

Capital - capitaux

 

 Voir : ci-dessous les différents termes liés au Capital :

Capital d’amorçage ; Capital investissement ; Capital risque ; Capitaux permanents ; Capitaux propres ;

 

 Voir aussi : Bilan ; BFR ; Capacité d’autofinancement ; CAPEX ; Cession progressive du capital ; Concentration ; Evaluation ; Financement ; Marché ; Modaraba ; PACEO ; 

 

Capital d’amorçage

Capital d’amorçage = Seed capital  ou = graine de capital

 

Il désigne un apport d’entreprise en numéraire (fond propres), destiné au démarrage de l’activité de celle-ci.

 

Dans le cadre d’un projet innovant il peut servir à financer la recherche ou le développement et en particulier les études de marchés, Conseil juridique et autres expertises ou réalisation de plans et maquettage.

 

Selon le programme à financer et son importance sur le plan financiers les Business-angels ne suffisent pas et il faut faire appel à des organismes spécialisés de la promotion et du financement de l’innovation du domaine public ou privé et en particulier depuis 2006 aux « Pôles de compétitivité »

 

Le capital-amorçage est la forme la plus en amont du capital-risque (voir ce terme). L’arrivée de ce financeur provoque la création juridique de l’entreprise si ce n'était pas encore le cas.

 

 Voir aussi : Apport d’entreprise ; Capital investissement ; Capital Risque ; Capitaux permanents ; Bilan ; FCPI ; PCE ; Modaraba ;

 

Capital investissement

Capital Investissement = Private equity.  ;   ;

 

Investissement dans le capital d'entreprises par différents modes de financement comme par exemple rachat avec effet levier ou par les salariés.

 

Ce type d’investissement est en principe celui d’associés actifs et non dormants (Sleeping partner )

 

Cependant certains fonds d’investissement, pourtant purement spéculatifs notamment grâce à l’effet de levier, sont classés comme « Capital Investissement ». (Voir article ci-dessous)

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir aussi : Attestation d'équité ; Capital ; Capital risque ; Capital d’amorçage ; Capitaux permanents ; Clause de changement de contrôle ; CMPC/WACC ; Coefficient de capitalisation des résultats ; FCPI ; Haut de bilan ; Modaraba ; PACEO ; PBR ;  REEL ; RES ;

 

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 Infos :

- Article source EFI  Le Mistigri des LBO et des Fonds d'Investissement ;

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

Capital risque

Capital risque = Venture capital  ; Risikokapital  ; Capital riesgo  ;

C’est un mode de financement des entreprises à partir d'investissement participatif en capital qui peut prendre des formes très différentes selon la nature des apporteurs de capitaux (actionnaires ordinaires ou spécifiques). Ils peuvent aussi apporter d'autres atouts pour l'entreprise (Réseau, relationnel, expertise métier, etc.).

Les modalités de cet investissement varient aussi selon le principe retenu et les objectifs à atteindre. (Fusion-acquisition, Reprise avec effet levier, etc.)

Parfois certains acteurs privés investissent auprès des pouvoirs publics dans des entités cotées (PIPES = Private Investment in Public Entities  )

 

Dans tous les cas cette opération comporte des risques souvent élevés et n'offre pas forcément les meilleures garanties.

En compensation le rendement est en principe plus fort. C'est ce que recherchent les investisseurs spéculatifs et notamment les sociétés spécialisées et fonds de pension.

 

 Voir : Capital ; Capital d’amorçage ; Capital investissement ; Capitaux permanents ;

    

Voir aussi : Clause de changement de contrôle ; CMPC/WACC ; FCPI ; Modaraba ; REEL ; RES ;

 

Capitaux Permanents

Elément au passif du bilan déterminant les ressources durables

Capitaux permanents  = Capitaux propres + dettes financières à plus d'1 an.

 

 Voir aussi : Actionnaire ; Analyse financière ; Audit ; Bilan ; Capital investissement ; Capitaux propres ; RCE ; CMPC/WACC ; BFR ; REEL ; RES ;

 

Capitaux Propres

Elément au passif du Bilan

Capitaux propres = Capital initial (Seed money ) + réserves + compte de l'exploitant + report + ou – résultat + subventions d'investissement + provisions réglementées.

Ou 

Situation nette comptable + Subventions d’investissement + Provisions réglementées.

 

Ce sont donc les ressources financières, hors emprunts, conservés par l’entreprise.

Mais pour avoir une appréciation plus juste il faut savoir si ces fonds sont grevés de dettes fiscales.

 

Notes : Capital souscrit non appelé = Suscribed capital, uncalled ; Capital libéré = Paid-up capital ;

 

 Voir aussi : Analyse financière ; BFR ; Capitaux permanents ; CMPC/WACC ; Fonds propres ; RCE ; Situation nette comptable ;

 

CAPM

= Capital Asset Pricing Model

 

 Voir : MEDAF

 

Capping

= Capsulage

 

 Voir : Mouchard.

 

Carnet ATA

 

 Voir : Carnet d’exportation temporaire.

 

Carnet d’exportation temporaire

Le carnet d’exportation temporaire est un document controlé par les douanes permettant à un acteur économique de se déplacer à l’étranger et de revenir avec une liste de matériels convenus avant le départ et donc facilitant le retour.

Il permet de voyager avec du matériel dans plusieurs pays sans être contraint de faire les démarches nécessaires de déclaration en douane à chaque pays.

 

Carte de stratégie

La carte stratégique est une représentation sous forme de graphique des interactions, interdépendances, entre des indicateurs de performances et le but recherché.

 

Cette présentation est destinée à différents acteurs d’une entité afin de les éclairer sur les relations de causes à effets dont ils sont les acteurs, les relais.  Ainsi mieux informés ils peuvent participer à l’amélioration de la qualité, des performances, dans un contexte plus évident de travail collaboratif.

 

 Cette pratique met en évidence les objectifs de satisfaction du « Client » l’amélioration des processus internes, et de nombreux autres points permettant de créer de la valeur et bien évidemment les éléments financiers dont les résultats à atteindre.

 

 Voir : 8D ; Indicateurs de Performances Clés ; Rapport ; SIAD ; Stratégie océan bleu / BOS ; Tableau de bord ; Travail collaboratif ;

 

Carte mère

Carte mère = Motherboard

C’est un composant électronique d’un ordinateur, situé dans l’unité centrale, qui comprend le microprocesseur et un dispositif de stockage d’informations (Puce mémoire) ainsi que des connexions vers divers composants ce qui en fait la pièce « maîtresse » du système d’information

 

 Voir aussi : Mémoire(s) ; Réseaux ; BUS ; Pilote ; IPA ;

 

Cartes affaires

 

 Voir : Frais professionnels.

 

Carve out

Carve out

Expression désignant une opération, de cotation en bourse d’une filiale d’un groupe, qui a souvent pour effet de réduire la participation du groupe à moins de 50% du capital de sa filiale.

 

Les objectifs recherchés par le groupe peuvent être d’éviter les inconvénients fiscaux ou autres d’une participation majoritaire tout en s’assurant le soutien de nouveaux partenaires financiers.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

       Voir aussi : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

    BOT ; Coefficient de capitalisation des résultatsPEG ; Gestion des actifs ; PBR ; Propriété ; Fiduciaire ; Filiale ; Holding ;

 

Cas de force majeure

Le cas de force majeure = Act of God  

Il est dû à une cause exogène, fait étranger, imprévisible et irrésistible, insurmontable, qui vient perturber un processus, la réalisation d’un contrat, etc.

 

Lorsque cet évènement survient il peut permettre l’exonération de la responsabilité de celui qui a été empêché de réaliser une obligation contractuelle.

 

Parfois la possibilité de renégocier un contrat est prévue dès l’origine par les parties notamment dans le cas d’évènement majeur imprévu : Clause de renégociation = Hardship clause.

 

 Voir : Aléa ; Chaordique ; Cindynique ; Contrat ; Exception d’inexécution ;

 

Cash Custing

Le cash custing c'est l'optimisation durable des règlements issus du cycle d'exploitation et concernant les créances commerciales. Ses applications requièrent les méthodes et moyens de sensibiliser et fédérer tous les acteurs de l'entreprise aux enjeux de la gestion des comptes Clients et Fournisseurs.

 

C'est une véritable philosophie de gouvernance d'entreprise. Elle repose sur des fondements de qualité de communication interne (motiver, fédérer) et externe (comprendre, négocier) ainsi que sur des bases de gestion immuables (mesurer, agir, rentabiliser) Les principes sont généraux mais les applications et la stratégie qui en découle sont spécifiques à chaque projet d'entreprise.

 

Pour atteindre les objectifs ciblés, Le Cash Custing utilise les concepts de gestion les plus performants et les technologies les plus appropriées.

 

Par certain aspect le "Cash Custing" rappelle les principes : Lean concept/Production, Kanban, Credit Management.

 

 Voir : Balance âgée ; Barter ; BFR ; Cession de créances ; Credit Management ; Contrôle de gestion ; DSO ; Kanban ; Management de projet ; Profil payeur ; Qualité ; Reporting ; SIAD ;

 

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 Infos :

- Découvrez la présentation du livre sur "Cash Custing" pour aller au-delà du Credit Management vers l’optimisation du BFR !

 

Cash Pooling

 

 Voir : Trésorerie d'échelle

 

Cash-flow

 

 

Cash-flow normatif

 

 

 

 

 

 

 

Cash Flow Organique - CFO

Cash-flow  = Liquidité.

Solde des flux de trésorerie  engendrés par un investissement à la clôture d’une période.

 

 Cash flow normatif résulte à la fois de la performance opérationnelle de l'entreprise mais aussi de la nécessité de financer sa croissance.

 Voir source : "Echanges" le mensuel des Dirigeants finances gestion de juin 2004 P 37 relatif à l'évaluation d'entreprise

Formule : CF normatif de n+1 = RENI (NOPAT) de n+1 – G x CE de n

G étant le taux de croissance à l'infini ou à long terme constant de cash-flow et CE le montant des capitaux engagés à la fin de l'année n.

 

Cash Flow Organique :

Formule : CFO  = RENI (NOPAT) - Variation du BFR

 

 

 Voir : Autofinancement ; Analyse financière ; Capacité d’autofinancement ; Marge(s) ; Marge brute d'autofinancement ; RENI/NOPAT ; TRI ;

 

Catégories Socio Professionnelles -CSP

Catégorie Socio Professionnelles désigne un classement des populations selon leurs activités fait l’objet d’une « Nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles » tenue par l’INSEE.

Sa consultation peut s’avérer très enrichissante et peu coûteuse pour une étude de marché

 

Attention : L’analyse par CSP peut être faussée dans bien des cas car l’étalonnage est fait sur la personne considérée comme chef de famille.

 

Attention : Ne pas confondre avec : Centre de Services Partagés

 

 Voir : Centre de Services partagés ; Etalonnage ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; ROME ; SONCAS ; Score d’appétence ;

 

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 Infos :

- INSEE : Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques ;

 

Cause

 Cause = Ursache  ;   ;

La cause c’est ce par qui ou pourquoi quelque chose arrive. C’est parfois un acte du fait d’autrui.

C’est la raison comme l’objet d’un contrat qui crée des obligations aux parties, c’est donc aussi le motif d’un litige.

C’est l’origine de quelque chose par rapport à la conséquence voir notamment pour les applications en matière de gestion de projet.

Causer c’est aussi justifier, alléguer, plaider lors d’un procès.

 

 Voir : Aléa ; Contrat ; Dol ; EMOFF-FFPM ; Enrichissement sans cause ; Ester ; Lien de causalité ; Management de contrats ; Management de projet ; Obligation ;  Responsabilité ; Risques ;

 

Caution

Caution  = Vouchee  ; Fianza  ;

On désigne par caution une personne qui s'engage à exécuter l'engagement valable du débiteur d'une obligation dans le cas où ce dernier serait défaillant.

C'est aussi l'acte dit "Accessoire de créance" qui représente une garantie personnelle = sûreté

 

Il existe différents types de caution qui notamment évite de faire un dépôt en numéraire en fournissant un garant ex :

- d’adjudication

- de bonne fin

- retenue de garantie

 

 Voir aussi : Bénéfice de discussion ; Engagements hors bilan ; Gage ; Garantie ; Hypothèque ; Lettre de crédit garantie ; Management de contrats ; Nantissement ; Privilège ; Retenue de garantie ; Sûreté ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

- CGPME Conférence COFACE : Les outils publics d’accompagnement à l’export  par Ch. Terrier Dir.Région RA. Procédures Publiques : Assur.prospection – FAP – FASEP – Garantie Risques Export & Invest, caution, exequatur, etc.

 

Cavalerie

La Cavalerie est une pratique financière frauduleuse basée sur les décalages entre les montants et périodes enregistrant des entrées et sorties de capitaux pour masquer une insuffisance entre les ressources et emplois.

 

Exemples

- Lorsque 2 entités économiques tirent réciproquement des effets de commerce l’une sur l’autre afin de pouvoir utiliser ceux-ci comme support de refinancement et notamment en les remettant à l’escompte auprès d’un banquier. La créance n’étant pas causée et le précédé relavant d’une pratique délictueuse préméditée la faute de gestion est donc caractérisée.

 

- Cette pratique peut également être réalisée par un seul acteur qui émet des taites sur des tirés sans qu’il n’exite aucune créance réelle. Dans ce cas le fraudeur attends que l’effet lui revienne impayé pour le couvrir en trésorerrie notamment en remettant d’autres effets à l’escompte.

 

- Certains acteurs d’entreprises et mêmes particuliers utilisent le chèque bancaire pour payer alors que la provision au compte n’est pas constituée. Ce qui est un délit. Celle-ci devant être préalable et disponible.

 

- La « Pyramide de Ponzi » relève également d’une pratique de cavalerie qui a notamment été utilisée par Bernard Madoff.

 

Dans tous les cas la rupture de la chaine de paiement, croisés ou d’autofinancement successif, met en évidence l’insuffisance de trésorerie entrainant des diffucultés financières en cascade.

 

 Voir : Boule de neige ; Cause ; Créance née à l’étranger ; Délit ; Dol ; Effet de commerce ; Escompte bancaire ; Moyens de paiement ; Ponzi. ; Refinancement ; Responsabilité ; Titrisation ;

 

CBTE-P

Coût Budgété du Travail Effectué, Prévu = Budgeted Cost of Work Performed, Scheduled

 

 Voir : Audit ; Evaluation ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Temps Moyen d’attente et de Manipulation ;

 

CCED

Commission d'Expertise et de Conciliation Douanière = CCED

 

 Voir aussi : MARC

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 Infos :

- PME.Service-Public.fr  Voir communiqué Dans quel cas a-t-on recours à la commission de conciliation et d'expertise douanière

 

CDEC

A l’origine la loi Royer a été aménagée pour réglementer, grâce à un consensus local, les implantations de grandes surfaces afin de préserver les petits commerces menacés de disparaître.

 

Ainsi été créée dans chaque département une « Commission Départementale d’Equipement Commercial » CDEC.

Elle a en charge l’étude des demandes d’implantation et le processus de validation de l'autorisation d'ouverture de grandes surfaces.

 

Cette commission est composée d'élus locaux, de représentant consulaire (CCI et chambre des métiers) et d'un représentant des associations de consommateur.

 

CEI

 

 Voir : Communauté des Etats Indépendants ; Zones géographiques de coopération et développement ;

 

Centième singe

 

 Voir : 100ème singe

 

Centrale d’achat

Une centrale d’achat est une structure fédérative qui a pour fonction de réaliser l’achat de biens, produits ou services, pour le compte d’un groupe de clients qui peuvent être des adhèrents, sociétaires (si forme coopérative).

 

 Voir : Achat ; Approvisionnement ; Forme juridique ; Logistique ;

 

Centre d'appels

Le centre d’appels = Call center

Plate-forme d’intervenants téléphoniques appels entrants et/ou sortants. 

Services spécialisés : marketing, prospection, Vpc, Sav, assistance, etc.

 

Les techniques utilisées dans certaines structures sont redoutables, bien au-delà d’une prise de RDV, mais surtout sur la collecte d’informations primordiales à l’occasion de l’entretien grâce à des techniques de questionnement.

C’est le cas d’action de mercatique destinées à mesurer les atouts d’une offre potentielle avant lancement (ex : customer attributes management method) Ainsi les réactions des personnes interrogées peuvent être analysées pour optimiser une nouvelle campagne produit.

 

 Voir : Appels alternatifs ; CTI ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; PABX ; Pricing ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ; Temps Moyen d’attente ; Temps Moyen de Manipulation ;

 

Centre de Formalité des Entreprises- CFE

Le CFE : Centre de formalités des Entreprises est un service de « guichet unique » qui permet de simplifier notamment la création d’entreprise en prenant en charge certaines démarches déclaratives et obligatoires auprès de différents organismes (ex : Greffe pour Inscription RCS, INSEE, Services fiscaux) et de publication officielle. C’est bien évidemment aussi la possibilité de déclarer les modifications et en particulier la cessation d’activité..

 

Ex. des structures d’accueil de CFE :

- Les artisans à la chambre de métiers,

- Les commerçants et industriels à la CCI

- Les professions libérales à l’URSSAF

- Les sociétés civiles, GIE, EPIC, agents commerciaux au Greffe du Tribunal de Commerce 

- Etc.

 

En fonction des activités, surtout si elles sont multiples, le ressort d’un CFE peut être différent.

 

 Voir : Registre du commerce et des sociétés ; Formes juridiques ; régime fiscal ; Statut ; Contrat ; APCE ;

 

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 Infos :

- Boutiques de Gestion : Associations d’aides à la création d’entreprises = Audit de projet ; Accompagnement et formation.

 

Centre de profits - Coûts

Centre de profits = Centro de beneficios  ;

Un centre de profits ou de coûts est un concept intègrant des critères de rentabilité pour des services non productifs qui, au premier abord, n'étaient le plus souvent que des centres de coûts. Dans ce cas une gestion basée sur la refacturation interne de leurs prestations ou produits (fournitures de bureau, maintenance informatique, etc.) aux autres services de l'entreprise permet d'équilibrer la rentabilité en recettes et dépenses.

 

Ces entités de l'entreprise sont alors considérées comme des unités qui peuvent être par exemple de production. Elles sont aussi appelées BU = Business Unit  et se comportent vis-à-vis des autres services par des relations clients fournisseurs internes.

 

Une entité de gestion devenue autonome, devra tenir un compte de résultat, établir un bilan et transmettre les tableaux de bord, reporting à la Direction Financière ou Générale.

 

Il arrive aussi qu'une telle autonomie conduise à l'indépendance partielle ou totale en étant filialisée ou externalisée vers une entreprise nouvellement créée pour la circonstance.

 

 Voir aussi : Catégogies Socio-Professionnelles-CSP ; Contrôle de gestion ; Compte de résultat social ; Externalisation ; Gestion Globale de la Performance ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Reporting ; Roue de Wallace ; Temps Moyen d’attente ; Temps Moyen de Manipulation ; Visite de terrain ;

 

Centre de Services Partagés

– CSP

Centre de Services Partagés – CSP = Shared Services  :

 

Mutualisation de fonctions et ou processus de l'entreprise par l'intervention, en interne ou externe, d'un prestataire spécialisé. Nécessite la constitution d'un comité de pilotage pour le suivi contractuel et la mesure des résultats. Objectifs visés réduction des coûts, optimisation de service.

 

Ces interventions concernent surtout des domaines non confidentiels et non décisionnels mais permettent de palier des insuffisances liées à des volumétries de traitements ou de qualification spécifique ex : comptabilité, Credit Management, Informatique.

 

Attention : Ne pas confondre avec : Catégorie Socio-Professionnelle.

 

 Voir aussi : Catégorie Socio-Professionnelle ; Externalisation ; Infogérance ; Location de droit d’usage –SaaS ; Maintenance ; Management de projet ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Centre d’intérêt économique

Centre d’intérêt économique :

Notion fiscale qui à pour objectif de déterminer le lieu (pays) où une personne a le siège et exerce sa principale activité et en principe d'où elle perçoit ses principaux revenus.

 

 Voir : Avoir fiscal ; Clause attributive de compétences ; Contrats ; Crédit d’impôt ; Déclaration fiscale ; Défiscalisation ; Délai fiscal de reprise ; Doctrine ; Evaluation ; Fiducie ; Forme juridique ; Gestion d’actifs ; GIE ; Holding ; Impôts sur les bénéfices et société ; Intégration fiscale ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; PME de croissance ; Redevance ; Régime fiscal ; Régime matrimoniaux ; Rescrit ; Ressort ; Zones géographiques économiques internationales ;

 

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 Infos :

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Centrex IP

Centrex, on pourrait traduire ce terme par : Central Téléphonique Externe via Internet Protocole ;

 

Issu de l’évolution des technologies de la communication et notamment de la voix par le web (VoIP) le concept centrex IP est à la fois la prise en charge des fonctions de l’autocomutateur (standard téléphonique) par un prestataire distant (Fournisseur d’application hébergée) et l’association de différents services de téléphonies comme l’émission et réception d’appels, de méls, de télécopies, les transferts et renvois.

 

C’est aussi la convergence entre lignes fixes et mobiles et le forfait appliqué aux réseaux de communication intra entreprise.

 

Les questions importantes qui se posent pour ce choix stratégique sont essentiellement du domaine de la protection des utilisateurs contre les intrusions dans le SI via la téléphonie.

En revanche, les coûts de communication et d’investissement, de gestion, sont très largement réduits par rapport au système classique de l’abonnement à un opérateur téléphonique + l’achat d’un autocommutateur+ la maintenance, etc.

L’autre question n'est pas de se demander si l'on passe au numérique ou non, mais de savoir quand et comment.

Deux approches :

- Quand : au moment où le Pabx actuel est amorti ou en panne !?

- Comment : solution interne (IPBX) ou externe (Centrex).

 

 Voir : Fourniture d’application hébergée ; PABX-PCBX ;

 

CEO

CFO

CEO : Chief Executive Officer  = Directeur Général 

CFO : Chief Financial Officer = Directeur Financier  Ne pas confondre avec Cash Flow Orgaique

 

 

Attention : En France le terme PDG est souvent mal utilisé car il désigne 2 fonctions différentes qui pour autant peuvent être cumulées :

- Président ex : du Directoire ou du Conseil d’administration selon la forme juridique de l’entreprise :

- Directeur Général = Chef de l’exécutif.

 

 

 Voir : Cash flow ; Forme juridique ; NRE ; Responsabilité ;

 

Cercle de réflexion

Appelé aussi « Réservoirs ou laboratoires d’idées », les cercles de réflexion  = Think Tanks

 

Ils sont constitués de groupes de personnes plus ou moins qualifiées dans différents dommaines et qui ont pour vocation de favoriser la réflexion sur de nombreux sujets afin de structurer celle-ci pour émettre des idées exploitables.

Ces groupes particulièrement actifs pour promouvoir certains intérêts tant sur le plan économique que politique se sont très largement développés dans le monde entier (Très développés dans les pays anglo-saxons. 1500 en Europe, connus en 2008 !) depuis les années 80 compte tenu des enjeux économiques liés à la mondialisation de l’économie et de l’essort des structures d’aides sociales, technologiques, financières, etc.

 

Leur fonctionnement tient à la fois de nombreux concepts : Remue méninges (Brainstorming) partage de connaissance, mais aussi sur le plan pragmatique, des groupes d’influence dits aussi de pression.

 

 Voir : Groupe de pression ; Intelligence Economique ; Pôles de compétitivité ; Remue méninges ; Travail collaboratif ; Veille ;

 

Certificat de conformité

 

 Voir : Agréage ;

      Voir aussi : Conformité ; Qualité ; Norme ;

 

Certificat de non-paiement

Après signification par huissier  (= Bailiff  ) au débiteur, l'action engagée peut être exécutoire.

 

Le certificat de non-paiement n'est délivré que sur demande du créancier et seulement au-delà de 30 jours de la première présentation au paiement et si celui-ci n’a pas fait l'objet entre temps de la constitution d'une provision ou mieux d'une régularisation lors d'une seconde présentation.

(Voir l'article 137 L 98-657 du 29/07/98).

 

Pour un chèque la requête doit être faite auprès du tiré (banque)

 

 Voir : Action directe ; Assignation ; Cavalerie ; Certificat d'irrécouvrabilité ; Cessation de paiement ; Credit Management ; Injonction de payer ; Procédures ; Tiré/Tireur ; Tribunaux ;

           

Certificat d'irrécouvrabilité

Le certificat d’irrécouvrabilité est un document délivré par un professionnel agréé par l'Etat attestant du caractère irrécouvrable d’une créance.

 

Ce document à pour effet de justifier l'enregistrement comptable et fiscal en pertes et de permettre la réintégration de la TVA. (En vertu de l'article 272-1, annexe IV et de l'article 48 du Code général des impôts)

Attention : ne pas confondre avec certificat de non-paiement ;

 

 Voir : Certificat de non-paiement ; Injonction de payer ; Assignation ; Cessation de paiement ; Loi de sauvegarde ; Production de créances ; Tribunaux ; Procédures ; Credit Management ; Protêt ;

 

Certification

La certification est une garantie de conformité donnée par écrit.

De nombreux domaines sont concernés et imposent même des normes ex :

- ISO pour les concepts de qualité ;

- PMP pour le management de projet,

 

 Voir : Management de projet ; Normes ; Qualité ; Aptitudes ; Compétences ;

           Voir aussi : Certificat de conformité ; Certificat de non-paiement ; certificat d’irrécouvrabilité ; Certificat numérique ;

 

Certificat Numérique (EFI)

Le certificat numérique est une pièce d’identité électronique (passeport) délivré par une autorité de certification à l’entité qui transmet et valide (ex : signature pour procédure EFI)

 

Formes : -Logiciel installé sur ordinateur

                 -Carte à puce : lecteur = sécurité renforcée + utilisable à partir de n’importe quel PC

 

Coûts approximatifs : 1 certificat par utilisateur : 90 à 400 euros selon équipement et service (type de certificat, formation, assistance)

 

EFI : voir mandataires et utilisateurs ;      EDI voir partenaire EDI = 1 seule habilitation !

 

 Voir : Signature électronique ; Tiers de confiance ; Autorité de certification ; EDI ; Document électronique ; Dématérialisation ; Déclarations fiscales ;

 

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 Infos :

MÉDÉ (Mission pour les Echanges Dématérialisés) dont le principal objectif est de faciliter l'accès à la commande publique aux TPE et PME.

Voir en particulier le livre blanc sur le certificat et la signature numérique.

 

Cessation de paiement

La cessation de paiement est un état de fait pour une entreprise dans l'impossibilité de faire face au paiement à son terme d'une créance reconnue.

 

Le représentant de l'entreprise est alors tenu de déclarer cette situation de cessation de paiement au greffe du tribunal de commerce de son ressort (Dépôt de bilan) dans un délai de 15 jours. A défaut il encourt des sanctions et peut être soupçonné d’avoir voulu dissimuler cette situation. (= Faute de gestion)

 

La cessation de paiement n’entraîne pas obligatoirement la cessation définitive d’activité !

 

 Voir : Action directe ; Injonction de payer ; Assignation ; Cavalerie ; Certificat de non-paiement ; Certificat d’irrécouvrabilité ; Tribunaux ; Credit Management ; Déclaration de créances impayées ; Huissiers de justice ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; Procédure(s) ; Recours ; Ressort ;

 

Cession

La cession désigne une transmission, un transfert, à titre gratuit ou onéreux d’un objet ou d’un droit ex :

 

- Cession de biens pour éteindre une dette, ou entre vifs ex : au dernier des vivants d’une communauté de mariage ;

 

- Cession de créance d’entreprises à des fins de refinancement ou d’habillage de bilan ;

 

- Cession de bail ex : dans le cadre de la vente d’un fonds de commerce ;

 

La cession d'un bien peut revêtir différentes formes et supports dont les incidences financières et surtout juridiques sont nombreuses et lourdes de conséquences.

 

Par exemple un bien peut être identifié pour garantir le paiement d'une dette par un débiteur. Mais, parfois ce même débiteur peut être autorisé à conserver le bien en question pour un usage privé (ex véhicule gagé) ou professionnel (ex : fonds de commerce = nantissement). Ainsi on dit que la cession est réputée avec ou sans dépossession du bien.

 

 Voir aussi : Cession de créance ; Cession progressive du capital ; Crédit bail ; Propriété ; Prix de transfert ; Régime matrimoniaux ; Bail ; Transfert ;

 

Cession de créance

Cession de créance = Sales of receivable/debt  Abtretung von Forderungen  ;

C’est un acte par lequel le cédant (créancier) transfert au cessionnaire un droit de créance qu'il détient sur le cédé (débiteur).

 

La cession de créance à pour effet la subrogation des droits du cédant au cessionnaire c’est pourquoi, elle doit être faite avec l'accord du cédé. Aussi pour être inopposable aux tiers et en particulier au cédé, elle doit aussi revêtir un certain formalisme (acte authentique ou exploit d’huissier) pour être probante.

 

En matière d’effet de commerce ex : Escompte en loi Dailly, convention d'affacturage, les effets et le formalisme ont leurs particularités.

 

La cession de créance peut être utilisée pour diversifier un risque en le transférant à un tiers. Elle peut aussi être motivée par un besoin de trésorerie et ainsi permettre de refinancer un actif immobilisé (ex : Créance Client).

Certains en font aussi un outil d'habillage de bilan …

Ne pas confondre la cession de créance et de dette. Cette dernière est prohibée du fait que l’on ne peut imposer au créancier (sans son accord) un changement de débiteur.

 

Attention : Ces quelques informations sont loin d’être exhaustives, mais données à titre indicatif pour orienter quelques réflexions. Les effets de la cession, le formalisme adapté à chaque situation nécessitent de faire appel à un juriste pour préserver les intérêts de l’entreprise et la responsabilité de ses acteurs.

 

 Voir : Affacturage ; Barter ; Cavalerie ; Dailly ; Forfaitage ; Escompte ; Habillage de bilan ; Privilège ; BFR ; Allègement de bilan ; Titrisation ; IFRS ; Clause de réserve de propriété ; Réméré ; Garantie ; Credit Management ; Loi de sauvegarde ; Window dressing ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Cession progressive du capital

Cession progressive du capital    = Owner buy out.

C’est une pratique qui va en se développant du fait du nombre de plus en plus important de départs en retraite des dirigeants et de la pression des marchés financier notamment au travers des fonds de pension, a pour objectif de faciliter la transmission d’entreprises.

.

Elle s’inspire mais diffère de la RES (= LMBO) ou de la REEL (LBO) notamment par la personnalité et les attentes des dirigeants concernés qui dans ce contexte cherchent à réaliser l’opération de cession de manière progressive en restant actionnaire majoritaire et en conservant par la suite une partie du capital en maîtrisant la transmission.

 

En effet pour de nombreuses raisons, de statut intime ou non, de compétences des repreneurs potentiels, de maintien des réseaux relations propres au dirigeant partant, favoriser la politique de changement induite vis à vis aussi des salariés, de bouclage de l’opération tant sur le plan financier que fiscal, etc. la cession progressive répond à de nombreuses attentes tant des cédant que des cessionnaires qui peuvent être des cadres déjà dans l’entreprise ou des acteurs externes.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Accord d’acquisition ; Attestation d'équité ; Evaluation ; Fiduciaire ; PACEO ; Propriété ; REEL ; RES ; Transfert ;

 

CFAO

Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur - CFAO est une technique informatisée dite en 3D utilisé essentiellement en recherche et développement industriels

 

 Voir : aussi GPAO et SGDT ;

 

CFO

Cash Flow Organique   ou   Chief Financial Officer:

 

 Voir : Cash Flow ; CEO-CFO ;

 

CGA

Conditions Générales d'Achat

 

 Voir : CGV ; Contrats ; NRE ; LME ;

 

CGA

Centre de Gestion Agréé.

Organisme qui a pour vocation d’inciter les petites entreprises, au développement de bonnes pratiques comptables et qui leur apporte des conseils également en matière fiscale.

En contrepartie de l’adhésion à ces organismes il est possible de bénéficier de certains avantages fiscaux.

 

Attention : 

- A compter de la date de création de l’activité il faut respecter un délai relativement court pour faire ce choix.

- Il faut bien vérifier préalablement le coût de revient car en principe il faut en plus obligatoirement faire appel à un expert comptable : Ce qui augmente la charge financière de gestion de manière très importante que devra débourser une TPE.

 

Réflexion très personnelle puisée auprès de publics en insertion :

- Avant de s’engager il est préférable de définir qui peut faire la comptabilité et à quel coût. Puis de prévoir si l’avantage fiscal est bien réel. En effet si c’est un abattement d’impôts, encore faut-il être redevable de cet impôt !

- Il est dommage que pour les personnes bénéficiant d’un engagement de formation et de moyen sur un projet de création d’entreprise dans le cadre d’un contrat d’insertion , que cette prestation ne soit pas aidée.

Quand on connait l’importance de la gestion notamment dans cette phase de création et les moyens financiers limités des créateurs aidés et l’impact économique et social de cette insertion, il est incompréhensible de ne pas leur offrir ce soutien pendant un certain temps !

 

Ne pas confondre : avec autre sigle CGA = Conditions Générales d’Achat ;

 

 Voir : Aides ; APCE ; Accre ; Boutiques de gestion ;

 

CGI

Code Général des Impôts

 

CGV

 

 Voir : Conditions générales de vente.

 

Chaine critique

 

 Voir : Théorie des contraintes ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 20 : Chaine critique  = Critical chain

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Chaîne de valeur

Chaîne de valeur

 

 Voir : Modèles d’analyse de portefeuille

 

Chaland

Zone de chalandise

De chaloir = Avoir de l’intérêt.

 

Le chaland, désigne une pesonne qui porte un intérêt à des produits et donc à l’espace géographique où il a ses habitudes pour trouver ces produits.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; Dumping ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ;

 

Chambre

En matière consulaire le terme chambre désigne plusieurs structures fédérant les acteurs du commerce rattachés à un type d’activité et une zone géographique. Chacune dispose de ses référents, organisateurs de la vie économique, juges, consuls ex :

 

- Chambre de commerce et de l’industrie (CCI, CRCI)

- Chambre de métiers

- Chambre d’agriculture

 

Le tribunal de commerce dépend d’une chambre consulaire, la CCI.

 

Change boxing

 

 Voir :  Transformation organisationnelle ;

 

Changement de circonstances

 

 Voir : Clauses ;

 

Chaordique 

Chaordique désigne un modèle d’organisation et de gestion de projet qui s’inspire du principe de l’équilibre entre le chaos et l’ordre.

 

 Voir : Aléa ; Arbre des causes ; Ethologie ; HALO ; Management de projet ; Organisation ; Pragmanagement ; Transformation organisationnelle ;

 

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 Infos :

- Conférence « Lean Project Management » : Quels sont les Facteurs Clés de Succès des Projets de Transformations Organisationnelles, en mode Agile et/ou Lean ?

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Qualiscope : Outils de diagnostic organisationnel à 360 degrés-HALO

 

Chapter 11

Chapter 11

 

 Voir : Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés.

 

Charges d’exploitation

Charges d’exploitation ou Charges opérationnelles  = OPEX : Operational expenditure.  ; Betriebliche Aufwendungen  ;

 

Dépenses nécessaires au fonctionnement d’une entité exemples :

-         Coûts de production ;

-         Charges de personnel ;

-         Frais généraux (overheads ).

-         Etc.

 

Comptabilisées dans les postes comptables du compte de résultat, elles peuvent se décomposer en :

 

- Charges fixes dites incompressibles : Ces dépenses structurelless sont constitués par les coûts, qui ne sont pas liés aux fluctuations de l’activité. Ex : Loyer, salaires.

 

- Charges variables : Par opposition aux précédentes elles sont directement liées aux fluctuations de l’activité et donc désignées aussi sous le vacable « Charges fonctionnelles ». Ex : Emballages et frais d’expédition,

 

Ces charges et en particulier les incompressibles permettent de prévoir à partir de quel niveau d’activité on peu parler de rentabilité.

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Credit Management ; Evaluation ; Point mort ; RENI/NOPAT ; SIG ;

 

Charges opérationnelles

 

 Voir : Charges d’exploitation ;

 

Charte Projet

La charte Projet est un document souvent contractuel entre le doneur d’ordre et celui qui va exécuter.

Il a pour objectif de définir les rôles, moyens concernant au moins la phase de lancement d’un projet.

 

Pour exemple de son usage dans une démarche qualité de type 6 Sigma, il inclut la réalisation d’un SIPOC :

- Objet/Objectifs : démarche Lean ;

- Opportunités d’amélioration : EMOFF ;

- Gains envisageables ;

- Etedue du projet (Elaboration SIPOC ;

- Equipe exemple sur une base SMART ;

 

 Voir : 6 sigma ; Management de projet ; SIPOC ;

 

Chat

Chat

 

 Voir : Clavardage

 

Check list

 

 Voir : Liste de contrôle  

 

Chemin critique

Camino critico   Critical path

 

Dans un projet c’est l’ensemble des actions, tâches successives.

Ce chemin est qualifié de critique au sens ou il est balisé du début à la fin par les hypothèses, marges… et toutes les étapes prévues.

 

C’est donc le temps minimum pour aboutir au but fixé.

A ce titre son analyse permet de préciser le temps et certains coûts pour répondre à une demande précise.

 

La méthodologie « Analyse de la chaine critique » permet de travailler sur les différentes étapes, échances, pour gagner du temps et réduire les coûts du projet sans pour autant se soustraire aux passages obligés (Ex : Passages de portes d’un projet structuré).

 

 Voir : 8D ; AMDEC ; Audit ; Cahier des charges ; Evaluation ; Gantt ; Gating ;Management de projet ; Organigramme de tâches ; PERT ; Théorie des contraintes ; TRIZ ;

 

Chèque

Le Chèque est un moyen de paiement (voir mentions obligatoires) à vue et donc il n’est pas destiné à accorder des délais de paiement. Ainsi sa présentation doit être faite dans les plus brefs délais (ex : entre 8 à 70 jours selon qu’il soit émis en France ou dans des pays voisins). En conséquence sa provision doit être préalable et disponible. La présentation tardive peut donc empêcher le bénéficiaire d’exercer ses recours.

En revanche au-delà des délais de présentation réglementaires il est définitivement prescrit un an après le délai de présentation.

 

Certains pensent à tord pouvoir l’antidater ou le postdater, ce qui est réprimé par la loi, surtout si cette opération s’inscrit dans une opération en « contre-lettre »

 

Le chèque se transmet par endos (voir ce terme) Cette pratique à été réduite par le barrement pour des raisons de sécurité et de traçabilité.

 

Le recours contre un chèque impayé peut s’avérer intéressant, notamment en matière de délais et de :

- Le tiré (banque) doit délivrer un certificat de non paiement dans un délai de 30 jours, la signification (par huissier) au tireur vaut commandement de payer dans un délai de 15 jours.

- A défaut de paiement dans ces derniers délais le bénéficiaire (créancier) se voit possesseur d’un titre exécutoire tant pour le capital que les frais.

 

 Voir : Contre-lettre ; Endos ; Moyens de paiement ; Recours ;

 

Chéquier conseil

Le chéquier conseil est une formule d’aide au conseil inscrite dans le dispositif de l’ACCRE, géré par la DDTEFP.

Elle est destinée à certains créateurs d’entreprise, qui grâce à des formules de type chèque pourront s’acquitter de prestations de conseil auprès de spécialistes agréés selon des domaines de compétences (ex : Gestion de projet, juridique, fiscalité, etc.) et répertoriés par zones géographiques délimitées par département.

 

Cette procédure très utile tant sur le plan juridique que pour le montage financier comporte des inconvénients majeurs dans le processus mis en place :

 

a)      les budgets sont affectés à des départements, qui n’ont pas tous les mêmes besoins, et une fois épuisés les autres créateurs ne peuvent bénéficier de conseils avisés ce qui risque de remettre en cause leur création d’entreprise et leur insertion professionnelle.

 

b)     Certains bénéficiaires n’utilisent pas à bon escient ces formules. Ex : les renseignements demandés étaient gracieusement disponibles par ailleurs y compris dans le cadre d’une formation appropriée, ou le carnet n’est pas utilisé dans son intégralité.

 

 Voir : ACCRE ; Aides ; APCE ; Boutiques de gestion ; 

 

Cheval de Troie

Le cheval de Troie   =Trojan horse .

C’est un système logiciel apparemment inoffensif, installé ou téléchargé et au sein duquel a été dissimulé un programme malveillant qui peut par exemple permettre la collecte frauduleuse, la falsification ou la destruction de données.

 

Code programme nuisible placé dans un programme sain.

 Il suit des instructions lorsque l’on exécute le programme sain.

 Il peut par exemple subtiliser des mots de passe et copier des données.

 

La pratique de recrutrement mystifié = Hoax recruiting  « Recrutement de mule »

s’apparente au cheval de Troie. Sauf que la subtilité réside dans le fait que la victime, généralement mystifiée, a donné son consentement.

 

Le principe est d’accrocher un internaute en l’amenant à confier ses coordonnées bancaires (opération commerciale attrayante, travail d’appoint bien rémunéré et en ligne, soutien à une cause humanitaire, etc).

Avec ce consentement il est alors aisé de faire transiter des fonds grâce au compte concerné.

 

Attention : Le détenteur du compte est alors considéré comme complice sauf s’il peut prouver le dol et le fait de ne pas avoir bénéficié de l’opération !

 

 Voir aussi : Dol ; Logiciel espion ; Mouchard ; Pare-Feu ; SSL ; Ver ; Virus ; XSS

 

Chevalier blanc

Le terme chevalier blanc désigne en principe l’entreprise qui vient à l’aide d’une autre qui fait l’objet d’une OPA, notamment inamicale.

Ce chevalier blanc est donc normalement dénué d’intérêt.

 

Il peut en conséquence tenter de soustraire, au marché, certaines des actions de la société opéable, pour les porter pendant un temps avant de s’en défaire lorsque le danger est passé.

 

 Voir : Action ; OPA ; Pilule anti OPA ; Portage ;

 

Chiffre d’affaires

Le chiffre d’affaires : CA  = Turnover  ; Sales  ; Umsatz  ; Volumen de negocios  ;  ;

C’est l’expression de l’ensemble des ventes de biens et servives pendant une période donnée.

Il s’exprime en valeur hors taxes. Celles-ci n’étant que collectées et non créatrices de valeur pour l’entreprise.

Ainsi on peut calculer le montant du CA par le cumul des factures émises.

Cependant cet indicateur n’est pas systèmatiquement lié ni à la qualité des volumes (ex : achats pour revente) ni à celle de la rentabilité car ce chiffre intègre très fréquemment les refacturations de produits plus ou moins « préfabriqués » et des prestations de sous-traitance, etc.

 

 Voir : Compte de résultat social ; Evaluation ; Externalisation ; Marge(s) ; Ratio ; RENI/NOPAT ; Rentabilité ; SIG ; Sous-traitance ; Taux de marge ;

 

Chiffrement

 

 Voir : Cryptographie ;

 

Chirographaire

Le terme chirographaire qualifie une créance manuscrite à laquelle n'est attaché aucun privilège. Le créancier désigné par ce terme ne possède donc pas de garantie particulière ni par son statut ni par un acte spécifique lui accordant un droit prioritaire (ex : Hypothèque) pour le recouvrement de sa créance par rapport à d'autres créanciers.

 

Attention : Environ 90 à 95% des créances chirographaires ne sont pas recouvrée à l'issue de procédures judiciaires. Ce qui paraît logique car lorsqu'un état de cessation de paiement est engagé les actifs restants servent en priorité à payer les créanciers privilégiés.

 

 Voir aussi : Contrat ; Credit Management ; Gage ; Loi de sauvegarde ; Nantissement ; Privilège ; Procédures ; Sûreté ; Tribunaux ;

 

Churning

 

 Voir : Barattage.

 

CIF

CIF = Cost Insurance Freight

 

 Voir : CAF  ; Incoterms

 

Cindynique

Du grec : Kindunos = Danger .

 

La cindynique, terme d’originine française pour désigner l’étude des risques et plus spécifiquement pour aborder les dangers concernant les questions environnementales (Catastrophes naturelles) ou économique et sociales (risques industriels, crise économique à grande échelle, etc.)

 

Lobjectif est notamment de prévenir les conséquences tant des evènements non souhaités que des effets de comportement humains ayant des incidences très importantes sur l’économie, le climat, etc.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Credit Management ; Intelligence économique ; Management de contrats ; Management de risques ; Veille ;

 

CirCept

Circular Concept = Concept commun

 

Méthode collaborative qui a pour objectif de donner une définition d’un sujet, d’une perception, etc. par agrégation de mots issus d’une pratique « Remue méninges » !

 

Cette réalisation se fait de manière circulaire entre les participants en intégrant les réflexion et propositions successives retenues comme les plus appropriées et d’aboutie à un résultat final consensuel.

 

L’utilisation du résultat est propre au groupe participant et sert éventuellement le partage des connaissances y compris au-delà de celui-ci. Il est différent du concept qui est plus restrictif notamment pour servir des projets d’innovation.

 

 

 Voir : 6 chapeaux ; Abilene ; Concept ; Remue-méninges ; Travail collaboratif ;

 

Circuit de distribution

Le « Circuit de distribution » est constitué de l’ensemble des canaux par lesquels transite un produit, avant d’être mis à disposition du consommateur.

 

 Voir : Canal de distribution ; Fournisseur ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Segment de clientèle ;

 

Class Action

Class Action

 

 Voir : Action collective 

 

Classes de comptes

 

 Voir : Comptabilité ; Plan comptable ; Passif ; 

 

Clauses

La clause est une disposition particulière insérée dans un acte juridique ex :

 

 Voir ci-dessous : Clause attributive de compétences ; Clause compromissoire ; Clause d’accroissement ; Clause d’agrément ; Clause d'arbitrage ou médiation ; Clause de changement de contrôle ; Clause de déchéance du terme ; Clause de dédit ; Clause de garantie à première demande ; Clause de non concurrence ; Clause de réserve de propriété ; Clause de sauvegarde ; clause de sortie ; clause d’intéressement ; clause léonine ; clause limitative de responsabilité ; clause pari-passu ; clause pénale ; clause résolutoire ; clause suspensive ;

 

Clause attributive de compétence

La clause attributive de compétence figurant dans un contrat a pour objectif de déterminer le tribunal compétent en cas de litige. (Ressort)

 

Elle est d'autant plus importante qu'elle précise non seulement le lieu mais de plus en plus le droit (= « clause de for » tiré du latin : Forum = place) et aussi la langue.

 

Trop d'entreprises surtout parmi celles ayant des activités avec l'international négligent ce point du contrat. Outres les frais engendrés déplacements, intervenants dont traducteurs, l'appréciation des juges pourra être différente et lourde de conséquences.

 

 Voir : Centre d’intérêt économique ; Contrat ; Credit Management ; Droit(s) ; Mangement de contrats ;  Procédures ; Ressort ; Tribunaux ;

 

Voir aussi les autres clauses

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

                                                                                                                                     

Clause compromissoire

 

 Voir : Arbitrage ; MARC ;

 

Clause d’accroissement 

La clause d’accroissement = Tontine

 

Insérée dans un contrat elle à pour objectif de désigner comme bénéficiaire le dernier survivant, au sein d’un groupe (ou une couple), ayant mis en commun des biens.

 

 Voir : Biens ; Indivision ; Patrimoine ; Recours ; Régime matrimonial ;

 

Clause d’agrément

La clause d’agrément est une disposition contractuelle, entre associé d’entreprise, qui régit les modalités de cession de parts, actions, notamment afin de mieux contrôler le capital en choisissant les associés.

 

 Voir : Actionnaire – Associé ; Attestation d’équité ; Capital ; Cession progressive du capital ; Clause de sortie ; Contrat ; Droit(s) ; Evaluation ; Fiduciaire ; Filiale ; Holding ; Management de contrat ; Pacte d’actionnaire ; Propriété ; Responsabilité ; Risques ; Transaction ; Transfert ;

 

Clause d'arbitrage ou médiation,

Clause d'arbitrage ou médiation

 

 Voir : MARC ; Arbitrage ; Médiation ;

 

Voir aussi les autres clauses

 

Clause de changement de circonstances

La notion « Changement de circonstances »   = Harship condition 

 

C’est une clause de droit international très utilisée par les anlo-saxons, chinois, etc. qui a pour objectif de prévoir l’obligation de renégocier un contrat si des évènements et autre changements économiques sont de nature à modifier les conditions d’origine de conclusion du contrat.

 

 Voir : Contrat ; Droit(s) ; Management de contrat ;

 

Clause de changement de contrôle

La clause de changement de contrôle est une disposition contractuelle liant les parties aux organes de contrôle d’une entreprise et particulièrement les actionnaires et mandataires. En cas de changement le contrat sera automatiquement résilié.

 

 Voir aussi : Cession progressive du capital : Clause de sauvegarde ; Clause de sortie ; Management de contrat ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Clause de déchéance du terme

La clause de déchéance du terme, dans un contrat, a pour objectif de rendre exigible, avant leur échéance prévue initialement, les obligations, créances, notamment lorsque le débiteur n’a pas respecté le contrat ou certaines clauses.

 

Attention : Ne pas confondre avec la "Clause résolutoire"

 

 Voir : Clause(s) ; Tribunaux ; Procédures ; Contrat ; Management de contrats ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Clause de dédit

La clause de dédit permet à un contractant de ne pas exécuter son obligation, moyennant une somme d’argent fixée à l’avance dans le contrat.

 

 Voir aussi : Clause résolutoire ; Clause pénale ; Contrat ; Management de contrats ;

 

Clause de garantie à première demande

La clause de garantie à première demande est surtout utilisé en matière de cautionnement cette clause permet comme son non l’indique d’obliger celui qui l’a souscrite de s’exécuter pour le compte d’un tiers en évitant notamment le recours au bénéfice de discussion.

 

Se renseigner également sur l’évolution de la réglementation « RUU458 » régissant les relations entres les entreprises et les établissements financiers pour ce qui concerne les garanties sur demande.

 

 Voir : Bénéfice de discussion ; Caution ; Contrat ; Credit Management ; Management de contrat ;

 

Clause de non concurrence

La clause de non concurrence :

- C’est une disposition contractuelle qui peut être incluse dans un acte de vente d’un fonds de commerce et prévoyant que le vendeur ne peut, par exemple, s’installer à proximité du bien vendu pour y exercer les mêmes activités.

 

- C’est également une disposition réglementaire du droit du travail prévoyant une clause par laquelle le salarié s'interdit, lors de son départ de l'entreprise, d'exercer une activité susceptible de concurrencer son employeur. Une telle clause ne peut cependant porter atteinte à la liberté du travail. Elle doit donc, selon l'activité exercée, être limitée dans le temps et dans l'espace. Par ailleurs elle doit figurer sur le contrat de travail en précisant les modalités d’application.

 

 Voir : Contrats ; Clause ; Garantie ;

 

Clause de réserve de propriété

La clause de réserve de propriété  = Retention of title

C’est une condition figurant sur un contrat et stipulant que les marchandises restent la propriété du vendeur jusqu'au paiement intégral du prix de vente de celles-ci. Cette condition doit être obligatoirement acceptée au plus tard à la livraison des marchandises. Elle permet le cas échéant d'engager une action en revendication

 

Cette Sûreté pouvant revêtir un caractère primordial des conditions de vente (CGV) n'est pas obligatoire et parfois même pas souhaitable (ex : Retard sur le transfert de risques, marchandise revendue ou transformée, limitation et complexité d'actions en justice surtout sur une procédure collective, vente de biens virtuels,  …)

 

 Voir : Clause(s) ; Contrat ; Credit Management ; Management de contrats ; Procédures ; Propriété ; Recours ; Sûreté ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Clause de réversibilité

La clause de réversibilité est une disposition contractuelle qui a pour objectif de définir les conditions dans lesquels le « Client » recouvrera la maîtrise de l’objet du contrat et éventuellement d’obtenir sa résiliation.

 

Fortement conseillée pour les contrat d’externalisation la clause de réversibilité peut se concevoir de différentes manière selon des convenances, pour non exécussion d’une obligation, à l’occasion de échéance périodique, etc.

 

Pour des prestations informatiques et de services généraux cette réversibilité pourra conduire à un reprise en main totale des services concernés soit le transfert à un autre prestataire.

 

Attention : En cas de sous-traitance il est primordial que cette clause s’applique également à ce dernier. 

 

 Voir : Contrat ; Externalisation ; FAH-ASP ; Location de droit d’usage –SaaS ; Management de contrat ; Résiliation ; Résolution ; Services Généraux ;

 

Clause de sauvegarde

La clause de sauvegarde  = Waiver clause

= Covenants  en français = Engagements .

Appelée parfois : Milestone  = Borne kilométrique.

 

La clause de sauvegarde contraint les entreprises à respecter certains ratios financiers imposés par leurs banquiers. L’objectif est souvent d’éviter les distributions hâtives au profit des actionnaires en imposant le respect de certains engagements d’investissement et d’endettement.

 

Ces engagements peuvent aussi porter sur l'obtention de conditions de services seulement si certains critères de gestion sont respectés (Caf, Endettement, fonds propres, résultat, etc.)

Il est donc primordial de mettre en concurrence les établissements financiers et/ou de faire appel à un conseiller spécialisé avant de souscrire un contrat, surtout pour un emprunt.

 

Ces covenants inscrits dans certains contrats de financement d'entreprises sont souvent basés sur les comptes consolidés. Il faut donc particulièrement être attentif à l'incidence des IFRS sur ces contrats

 

Une variante de ces dispositions (Material Adverse Change ) consiste à prévoir un risque majeur, lié par exemple à une crise boursière, pour mettre fin à un contrat.

 

 Voir aussi : Bâle II ; Borne ; Clause de changement de contrôle ; Contrat ; Credit Management ; Fonds propres ; IFRS ; Management de contrats ; REEL ; SIG ; Sûreté négative ;

 

Voir aussi les autres clauses

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Clause de sortie

La clause de sortie Souvent utilisée au montage de projet d’entreprise conjointe la permet de déterminer avant la conclusion du contrat les conditions de sortie du financeur surtout si celui-ci n’est pas concerné par le projet commercial et industriel. 

 

D’autres clauses de sortie sont basées sur une obligation de vendre ou acheter (= Buy or sell ) en priorité aux autres actionnaires déjà engagés.

Ces clauses peuvent inclure des enchères.

 

 Voir aussi : Cession progressive du capital ; Clause de sauvegarde ; Clause de changement de contrôle ; Clause d’intéressement ; Clause résolutoire ; Entreprise conjointe ; Pacte d’actionnaire ; Reclassement capitalistique ; Management de contrats ;

 

 

Clause d'intéressement

La clause d’intéressement  = Earn out.

C’est une disposition contractuelle prévoyant l'accession pour un vendeur ou intermédiaire à des avantages de natures diverses, en fonction de résultats atteints, mais prévus dès l'origine du contrat.

Ce principe permet à l'acheteur de ne payer le complément de prix convenu que si le résultat est atteint.

 

L'objet de cette clause peut-être lié à la signature d'un contrat commercial substantiel dont la négociation est engagée mais non conclue lors de la vente d'une entreprise.

 

Attention : Ne pas confondre avec la prime de succès attribuée a l'intermédiaire d'une transaction. 

 

 Voir aussi : Activité d’affaires ; Comitologie ; Contrat ; Hurdle rate ; Management de contrat ; Mentor ;

Prime de succès ;

 

Clause hollandaise

 

 Voir : Clause de sortie

 

Clause Léonine

La clause léonine est une disposition contractuelle jugée disproportionnée et de ce fait accordant un avantage défavorisant à l'un des cocontractants.

 

Attention : C'est parfois une "clause non écrite" !

 

 Voir  : autres clauses ;

        Voir aussi : Tribunaux ; Procédures ; Dol ; Contrat ;

 

Clause limitative de responsabilité

La clause limitative de responsabilité définit dès la conclusion du contrat les modalités qui limite : 

- la responsabilité sur certaines prestations ou lors de la vente de matériel.

-.le montant maximum des dommages et intérêts en cas de conflit

Pour un client cette clause doit malgré tout permettre de couvrir les dommages.

 

Pour le prestataire, vendeur, cette clause lui permet surtout de maîtriser le niveau de préjudice qu’il doit couvrir.

Mais suite à de nombreux abus (notamment d’opérateurs téléphoniques, transporteurs) cette clause est très encadrée. Elle doit par exemple :

- Préciser les sinistres, défauts, concernés par l’application de la clause.

- Etre assortie d’un niveau de qualité (Produit ou service)

- Ne pas être abusive (Ex : Pratique normale des activités et respect des garanties professionnelles)

 

Dans de nombreux cas la responsabilité est souvent limitée en montant (Clause pénale)

 

 Voir aussi : Accord de qualité de service ; Clause pénale ; Contrat ; Management de contrats ; Préjudice ; Responsabilité ; Sous-traitance ;

 

Voir aussi les autres clauses

 

Clause pari-passu

La clause pari-passu est une disposition contractuelle, notamment à l’initiative d’un banquier, impliquant qu’il bénéficiera des mêmes garanties à venir sur tout nouveau concours qu’il pourrait accorder.

 

Attention cette clause qui paraît anodine peut s’avérer lourde de conséquences sur les garanties futures.

Elle doit être assortie, lors de sa conclusion, d’une contrepartie équilibrée au profit de l’emprunteur sinon elle n’est pas justifiée.

 

 Voir aussi : Clause de sauvegarde ; Management de contrats ;

 

 

Clause pénale

La clause pénale est une condition figurant dans un contrat et permettant à une des parties d'obtenir le paiement de dommages et intérêts de la part d'une autre partie au contrat en cas d'inexécution d'une obligation.

 

Elle présente l'avantage d'accélérer un processus d'indemnisation en offrant au plaignant la possibilité d'invoquer cette clause à l'occasion d'une procédure de référé provision ou d'une injonction de payer.

 

Cette clause incluse dans les conditions de vente s'impose aux parties et facilite l'application des règles de droit pour les juges.

Elle peut aussi être utilisée pour compenser des frais de recouvrement d'une créance non payée à son échéance.

 

 Voir : Clause(s) ; Clause limitative de responsabilité ; Contrat ; Injonction de payer ; Tribunaux ; Management de contrats ; Privilège ; Procédures ; Référé provision ;

 

Voir aussi les autres clauses

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Clause résolutoire

Une clause résolutoire permet, en principe, de résoudre un contrat sans l'intervention d'un juge grâce au principe de liberté de convention.

 

Toutes les dispositions prévues par cette clause seront alors applicables de droit. Ainsi il peut être possible de prononcer l'annulation d'une vente si l'une des parties n'a pas exécuté une de ses obligations. Il faut donc être prévoyant et très prudent pour utiliser cette clause lourde de conséquences.

 

La résolution peut aussi être prononcée par voie judiciaire, le juge doit appliquer la sanction prévue par la clause et éventuellement exercer un contrôle de légalité.

 

Ne pas confondre avec la "Clause de déchéance du terme"

 

 Voir aussi : Management de contrats ;

  Voir aussi : Résolution ; Clause(s) ; Tribunaux ; Procédures ; Privilège ; Contrat ;

 

Clause suspensive

La clause suspensive est une mention, insérée dans un contrat, qui a pour objet de suspendre la réalisation de celui-ci relativement à la survenance ou non d’un événement.

 

Par exemple, en matière immobilière, il est fortement conseillé à l’acheteur de conditionner l’achat du bien à l’obention préalable d’un prêt à des conditions choisies (surtout taux) et éventuellement en précisant l’organisme financier.

A défaut de préciser le taux et l’organisme le vendeur pourra faire accepter à l’acheteur un prêt à des conditions beaucoup plus honéreuses que celles acceptables financièrement par ce dernier.

Si la condition se réalise, la vente est formée. Si elle ne se réalise pas, la promesse ou le compromis seront caduques et la vente n'aura pas lieu.

 

 Voir : Compromis de vente ; Promesse unilatérale ; Contrat ; Clause(s) ; Acte ; Option ; Garantie ;

Voir aussi les autres clauses

 

Clavardage

Le clavardage vient de la contraction des mots « clavier » et « bavardage »  = "Tchat"

 

Clearing

 

 Voir : Compensation  ;

 

Clé électronique

La clé électronique est une série de chiffres, lettres et ou signes constituants les critères de chiffrement d’un code éléctronique.

 

Cette clé est de plus en plus utilisée à partir de 2 modes d’utilisation :

- Clé publique ;

- Clé privée.

 

 Voir : Cryptographie ; Télétransmission ; Certificat numérique ;

 

Clé en main

L’expression « clé en main »  = Turnkey.  ;

C’est un concept qui désigne la livraison d’un bien ou service dans sa forme aboutie, prêt à fonctionner ou utilisé, etc.

 

Comme par exemple pour une usine clé en main qui sera construite, équipée, donc livrée en état de production.

 

Ainsi lors de la réflexion sur certains projets, si les compétences ne sont pas acquises en interne pour sa réalisation le choix pourra se porter sur une solution clé en main.

 

 Voir : Management de projet ; VEFA ; Propriété ;

 

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 Infos :

Conférence PMI®– Christian MIGNONAT :

       « Contrat(s) outil(s) formatant & fondateurs du Management de Projet »

 

Client actif

Client = Customer  ; Kunde  ;  ;

 

Client actif, désigne celui qui, selon l’activité, a effectué au moins un achat dans une période donnée et s’inscrit dans une relation commerciale récurrente.

De nombreuses entreprises ont dans leurs comptes comptables un nombre trop important de clients anciens qui parfois n’ont pas été facturés depuis plusieurs années. Ce phénomène pose de nombreux problèmes et en particulier :

 

- Gestion alourdie du système d’information et surtout de la comptabilité, tant sur le plan des équipements que des charges de personnel et de prestataires externes affectés à cette gestion (ex : Credit management, DSO) ;

 

- Analyses statistiques des activités faussées dangereusement ce qui est forcément préjudiciable à l’entreprise tant sur la valeur de son fond de commerce (clientèle) que sur l’évaluation de ses résultats et de son marché ainsi que pour la détermination de sa politique commerciale ;

 

- Communication faussée donc non productive car elle ne s’adresse pas à la bonne population et ne peut donc valoriser les rapports existants ;

 

- Sur le plan commercial mais aussi réglementaire les conditions appliquées aux clients notamment si elles sont particulières doivent être justifiées par les relations existantes entre fournisseur et clients.

 

Attention donc aux nombreux risques commerciaux, juridiques et donc financiers.

 

 Voir : Conditions de Générales de Vente ; Credit Management ; DSO ;  Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; NRE ;

 

Client léger

Le terme client léger est un concept lié aux technologies de communication et donc du système d’information mais concernant notamment :

- Les terminaux, légers eux aussi, qui favorisent la mobilité ex :

      Micro portable, assistant électronique de poche.

- Les réseaux qui les concernent et en particulier ceux de la téléphonie mobile.     

Pour véhiculer des informations différentes par leurs sources et contenu ex :

      Données, texte, voix, image.

 

Ce client léger se conçoit simultanément tant par les technologies du virtuel (logiciel) et du matériel que par des pratiques et organisations, de plus en plus conviviales, rapides et efficaces destinées à favoriser à la fois l’indépendance de chaque acteur et le travail collaboratif pour servir la performance.

 

 Voir : Client riche ; Client serveur ; EDGE ; Fourniture d’Application Hébergée ; Mobilité ; Organisation ; Performance ; Réseaux ; Travail collaboratif ; UMTS ;

 

Client Riche

Le concept "Client Riche" est l'évolution qui permet de bénéficier des notions et techniques précédemment existantes et optimisées :

- "Client serveur" (chaque utilisateur relié au serveur par une interface mais sans standard de communication) 

- "Client web" (qui résout les problèmes de communication avec la navigation mais peu parfois manquer de souplesse en matière de configuration.

 

Ainsi avec le "Client Riche" les avantages des 2 précédents concepts vont être cumulés. Les nouvelles techniques (dont .NET et .XUL ou d'autres plus anciennes mais en pleine évolution JAVA, FLASH) permettrons notamment les saisies en masse indispensables aux utilisateurs distants et surtout déconnectés. Ceci va largement bénéficier au concept de mobilité. 

 

 Voir aussi : ASP ; Langages ; Client léger ; Réseaux ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

Cloud Computing

 

 Voir : Fourniture d’Application et Services Hébergés.

 

Cluster

 Cluster

 

 Voir : Grappe d’entreprises

 

CMMI

CMMI : Capability Maturity Model Integration  = Modèle intégré du niveau de maturité

Objectif : Lutter contre les dpassements de délais, budgets, améliorer la qualité et la productivité grâce à de bonnes pratiques.

 

Créé par le SEI (Software Engineering Institute) c’est une méthode modélisée, sous forme de bonnes pratiques, pour permettre d’acquérir un niveau de maturité suffisant afin de mener à bien un projet, à l’origine dans le domaine des logiciels et  maintenant appliqué dans différents métiers liés au relations commerciales, pour tendre vers la qualité.

Le modèle CMMI s’articule sur 5 niveaux de maturité :

- Niveau 1 = Initial

- Niveau 2 = Processus géré ;

- Niveau 3 = Processus défini ;

- Niveau 4 = Processus maitrisé

- Niveau 5 = Optimisation.

Chaucun des processus contient des sous-ensembles et c’est l’entreprises qui doit définir les outils et moyens à mettre en œuvre pour passer d’un niveau à l’autre.

 

La démarche CMMI, elle aussi certifiée, plus complexe et spécifique, mais moins étendu que la norme ISO 9001, est un formidable atout pour envisager d’obtenir cette reconnaissance de qualité organisationnelle.

 

 Voir : Evaluation ; Management de projet ; Norme(s) ; Qualité ; Organisation ; Exigence ; Performance ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; COBIT ; COSO ; DMAAS/DMAIC ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; PDCA ; Production au plus juste ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2 ; Tenstep ;

 

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 Infos :

-   CMMI - Conférence PMI® – Cédric FOULON de Logica  - Chez Volvo IT :

        « CMMI - Capability Maturity Model Integration » ou la performance par l’acquisition d’un niveau de maturité suffisant afin de mener à bien un projet »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

CMP

 = Code des Marchés Publics

 

 Voir : AAPC, AO, DGP, NRE, Maître d’œuvre ;

 

CMPC

CMPR

Coût Moyen Pondéré du Capital - CMPC = WACC  

Globalise le coût des dettes financières et le coût des capitaux propres.

 

Mode d’évaluation = (coût dette net d'impôts + rémunération minimale, des capitaux propres, attendue pour actionnaires) / (dettes financières + capitaux employés)

 

Autre définition CMPR = Coût Moyen Pondéré des Ressources.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : EVA ; Gestion des actifs ; NPV ; RENI/NOPAT ; RCE ; SIG ;

 

CMS

Content Management System  = Système de gestion de contenu  

 

 Voir : Gestion de contenu ;

 

CNE

 

 Voir : Créance Née à l’Etranger ;

 

CNEI

Comité National des Entreprises d'Insertion

Fédération française d’entreprises d’insertion.

 

 Voir : Economie sociale.

 

CNIL

Commission Nationale Informatique et Liberté

En France, la CNIL se veut le garant des libertés concernant les pratiques utilisant les identifiants des internautes et les moyens utilisés en matière de communication et plus perticulièrement à but commercial.

 

Depuis juin 2010 les internautes bénéficient d’un nouveau service en ligne qui leur permet de porter plainte s’il considèrent avoir été abusé.

Consulter le site de la CNIL pour connaître vos droits et donc protéger votre entreprise et vous-mêmes et le cas échéant :

- Demander l’intervention de la CNIL en déposant une plainte ;

- Signaler des pratiques abusives en matière de non respect de votre demande de désinscription de listes d’envoi de méls et SMS.

 

 

 Voir aussi : Fichiers ; Spam ; LCEN ;

 

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 Infos : http://www.cnil.fr/

 

Coach

 Coach

 

 Voir : Entraîneur.   Management ;

 

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 Infos :

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

COBIT

Control OBjectives for Information & related Technology - COBIT.

 

Référentiel de gouvernance des systèmes d'information basé sur 300 objectifs de contrôle, 34 processus et 4 grands domaines :

-  Organisation et calendrier ;

- Acquisition et Mise en place ;

- Fourniture de service et supports ;

- Suivi, et mesures.

 

COBIT à pour objectif d'optimiser la gestion des investissements et des risques surtout de sécurité et de conformité.

A l’origine destiné exclusivement à l’audit des systèmes informatisés notamment en définissant des objectifs de contrôle, ce référentiel peut désormais être utilisé par des non-informaticiens dans le cadre d’un processus de contrôle métier.

 

Avec la généralisation des multiples applications informatisées de nombreux métiers de la gestion et plus particulièrement pour favoriser la performance de la gouvernance de tout type d’entité cette pratique se conjugue en mode projet.

Ainsi il est plus aisé d’intervenir en matière de calendrier, d’affectation des ressources, de définition des processus notamment de sécurité et aussi pour les tableaux de bord prospectifs chers aux décideurs.

 

 

 Voir : EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Exigence ; Management de projet ; Norme(s) ; Organisation ; Qualité ; Performance ; Management des risques ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; IFRS ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2; Tenstep ;

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 Infos :

 AFAI - Association Française de l'Audit et du conseil Informatique – portail français su COBIT

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

Co-branding

 

 Voir : Cogriffage.

 

Code

 

 Voir : Normes ; Exigences ; Règlementation ; Droit(s)

 

Code barre 2D

Code QR

Code Barre 2D  = Quick Response code  

 

C’est l’évolution du cade barre permet notamment par étiquette (Tag) de décoder des informations grâce à un outil de capture approprié comme un téléphone mobile sous réserve qu’il dispose d’ue application appropriée.

 

L’accès à l’information, une page web, ou autres coordonnées, devient instantané par automatisme.

Exemple pour accéder gracieusement à différents supports de conférences en management :

  Habillez aussi votre visuel mobile ex :

Ainsi vous pourrez disposer de ce visuel par exemple sur vos :

    - Kakemono/Totem – Affichages mobiles y compris sur véhicules – Vêtements publicitaires -

   – Vitrines et autres espaces bureaux surtout quand vous êtes fermé, pour permettre à ceux qui le souhaitent de rentrer dans votre espace permanent de commuication et d’information  –

 

 Voir aussi : Mouchard 

 

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 Infos :

- CODEQR.FR : informez-vous et réalisez vou-même vos étiquettes que vous pourrez disposer là où vous le souhaitez à titre personnel ou professionnel !

 

Code juridique

Code juridique exemple :

Le code pénal est le recueil des lois qui régissent les infractions, délits, crimes et précise les peines encourues.

 

Même pour un non initié il est possible de trouver de nombreuses définitions et exemples de jurisprudence dans les différents codes existants (ex : Civil, de commerce, des marchés, des impôts et même électoral)

Il est ensuite plus facile et moins coûteux de formuler une question ou de soumettre un cas précis à un juriste ou avocat spécialisé, judicieusement sélectionné et seul habilité à dispenser un conseil en la matière.

 

 Voir aussi : Droit(s) ;

 

Coefficient de Capitalisation des Résultats

- PEG - PER

Coefficient de Capitalisation des Résultats - CCR = Price Earning Ratio- PER 

Ratio de croissance du capital   Price Earning Growth – PEG  

Ce ratio donne une évaluation boursière de l’entreprise :

 

Méthode d'évaluation basée sur une approche de marché par les comparables.

 

Le PER d’une action s’obtient selon la formule suivante : Cours de l’action/Bénéfice net par action

 

Remarque : Lorsqu’une société cotée a un PER de 10 c’est qu’elle capitalise dix fois ses bénéfices !

 

Le PEG = PER/ Taux de Croissance attendue du résultat net.

Cette approche permet de comparer l évolution entre la valeur boursière et le produit de l’activité.

 

Attention : Ne pas confondre avec le Price to Book Ratio - PBR.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Actions ; Evaluation ; IFRS ; Marché ; PBR ;

 

Coefficient de marge

En matière commerciale et financière, pour définir cet indicateur utile pour comparer ses pratiques avec celles de la concurrence :

      Prix de vente / Prix d’Achat = Coeffficient mutiplicateur

   => Prix Achat X Coef.marge = Prix de vente

 

 Voir : Evaluation ; Marge ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Ratio(s) ;  Taux de marge & marque  ; 

 

Cogriffage

Cogriffage  = Co-branding  :

Co = Synonyme d’association & Brand = Inscription faite par une marque, à l’origine au fer rouge et synonyme de griffe. Ing = définissant l’action.

 

Le cogriffage c’est donc l’association de marques pour mettre en commun des moyens, aux choix : matériels, humains, financiers, pour optimiser leur synergie au service d’une griffe. On parle aussi de « Co-marquage »

Certains exemples de ce type de coopération font depuis des années l’objet de publicité évolutive dans le domaine de l’informatique entre logiciels et matériel et dans la consommation de denrées.

 

Cette pratique concerne surtout, mais pas seulement, la communication. Elle à des objectifs multiples (ex : économies d’échelles en matière de communication, complémentarité d’une solution. Elle concerne aussi bien des produits que des prestations de services pour faciliter l’accès à des nouveaux clients et marchés

 

Attention cependant aux risques majeurs inhérents à cette pratique.

a) Si l’image du cogriffage se détériore c’est l’ensemble des autres associées à celle-ci qui en pâtiront. C’est pourquoi le cogriffage doit être une véritable action de coopération et non le parasitage d’une marque par un passager clandestin de sa politique commerciale !

b) En cas de préjudice subit par un consommateur, celui-ci étant de mieux en mieux protégé, la solidarité de associés au cogriffage sera vraisemblablement de mise. D’où l’impérieuse nécessité de bien définir les conditions contractuelles de cette coopération avant la réalisation de celle-ci (Voir : Management de contrats)

 

 Voir : Contrat ; Management de contrats ; Marque ; Mercatique ; Propriété ; Segment de clientèle ;

 

Collar

Collar

 

 Voir : Tunnel

 

Collecticiel

Collecticiel = Groupware  

C’est un logiciel collaboratif permettant à différentes parties d’échanger des informations, de développer des sujets, d’organiser des actions, de favoriser des contacts, de partager des expériences, etc.

 

Ces échanges sont de plus en plus distants et notamment par le biais de plateformes.

Celles-ci peuvent stocker ces informations mais aussi des procédés favorisant les échanges simultanés comme la vidéoconférence, des calendriers et listes de tâches, des wikis, etc.

 

Ainsi au-delà des travaux et échanges dont les accès sont limités à certains acteurs d’un groupe précis les échanges peuvent avoir lieu entre acteurs qui ne se connaissent pas et donc sans lien de subordination.

 

 Voir : Management des Relations de Partenariat-PRM ; Travail collaboratif ;

 

Collectivités territoriales

En France depuis 2003 ont le statut de collectivité territoriale :

- les communes ;
- les départements auxquels s'ajoutent les quatre départements d'outre-mer ;
- les régions auxquelles s'ajoutent également quatre régions d'outre-mer ;
- les collectivités à statut particulier ;
- les collectivités d'outre-mer.

 

 Voir : Dotation globale d’équipement ; DGP ; Appel d’offre ; AAPC ;

 

Co-marquage 

= Co-branding

 

 Voir : Cogriffage.

 

Comité des risques  Comité Crédit

Le comité des risques appelé aussi comité de crédit, c’est la réunion de responsables d’une même entreprise, qui mettent au point les conditions commerciales et de crédit Clients dans le cadre de l’élaboration d’une politique et donc correspondant à une stratégie.

 

L’objectif est de rendre cohérentes les typologies de clients, les conditions commerciales (CGV dont les délais accordés et dérogations) les rémunérations des commerciaux, les états de gestion et procédures etc.

 

 Voir : Credit Management ; DSO ; Profil payeur ; Management de risques ; Risques ;

 

Comitologie

Le terme de comitologie est né de la formalisation d’une procédure de décision au niveau de la communauté européenne. Notamment pour intégrer le droit de regard du parlement sur les décisions de la Commission et du Conseil de l’Union Européenne.

 

Même si la démarche peut à priori sembler favoriser le rôle du Parlement et donc l’expression de la démocratie il s’avère que certains lobbyistes l’on détourné à leur profit par des pratiques délictueuses !

Certains spécialistes de l’IE affirme ainsi que le pouvoir européen est confisqué !

 

Ainsi, ce terme est détourné pour décrire les négociation de couloir pour ne pas dire tractations qui ont pour objectif de servir des intérêts spécifiques d’une minorité organisée au détriment de l’expression émise par une communauté y compris lorsque cette expression c’est faite à l’occasion d’un vote !

 

Tant au niveau européen qu’au niveau d’autres communautés et groupes il donc impératif de tenir compte de ces luttes d’influences, souvent officieuses, pour participer à des opportiunités d’affaires.

La prise en compte de cette nouvelle donnée doit rapidement être intégré dans la politique de veille et d’intelligence économique des organisations concernées.

 

 Voir : Abilene (Paradoxe) ; Activité d’affaires ; Aides européennes ; Appel d’offre ; Clause d’intéressement ; Gouvernance ; Groupe de pression ; Intelligence économique ; Organisation ; Pression ; Procédure ; Procrastination ; Veille ;

  

Commande

La commande est lié à l’injonction, l’ordre qui en découle : le commandement, ou l’action sur un mécanisme.

 

La commande s’entend aussi de l’action liée à l’acquisition d’une marchandise, un produit, service, travail à exécuter, etc.

Au sens commercial c’est un acte avec tous ses effets juridiques qui entraine des obligations. Cepandant, la commande n’est pas obligatoirement écrite.

 

Attention ne pas confondre avec : Demande d’achat qui dans certaines pratiques est seulement, une étape préalable à la commande.

Cette demande d’achat est en principe utilisée pour permettre au fournisseur d’enregistre le demande et de pouvoir faire les vérifications préalables (Stock, solvabilité du demandeur, niveau d’encours déjà atteint, etc.) à la commande et donc avant de l’accepter ou de la refuser.

 

 Voir : Acte ; Achat(s) ; Approvisionnement(s) ; Assistant d’achat ; Demande d’achat ; e-business ; Management de contrat ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mandat ; Sous-traitance ;

 

Commanditaire

Voir les 2 acceptions :

 

Le commanditaire = Silent or limited partner  ;

Désigne l’associé apportant les fonds, (Finanzirer ) mais non mandataire social d’une entreprise en commandite.

Est aussi appelé « Bailleur de fonds » ou improprement : Sponsor  = Parrain

 

Le Commanditaire = Sponsor

Désigne aussi l’acteur de soutien, financier ou matériel d’une campagne, d’un évènement, etc. et qui en attend un bééfice en retour. Ce bénéfice pouvant être une promotion de sa marque, la collecte de données relatives à des cibles commerciales, des recettes liées à des ventes lors d’un évènement, etc.

Attention : Dans ce cas le retour attedu à un aspect lucratif ! C’est pourquoi le droit français rend l’opération fiscalisable. Il ne faut pas confondre cette pratique avec le mécénat !

 

Le commandité étant celui qui a reçu mandat de diriger.

 

 Voir : Arbitrage ; Commanditaire ; Commettant ; Conciliation ; Contrat ; Courtier ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Ducroire ; Fiduciaire ; Garantie ; Mandant ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Management de contrats ; Mécène ;  Médiation ; Parrain ; 

 

Commercial

L’activité commerciale est celle qui est en relation directe avec le client.

Elle doit être basée sur une politique élaborée par la direction avec des moyens et méthodes appropriés qui font appel pour l’analyse des marchés, produits et moyens de communication à la mercatique ;

 

Outre les méthodes de vente les plus diversifiées et adaptées à chaque métier et typologie de clientèle (ex : AEV : Argument Emotionnel de Vente) , le commercial est de plus en plus amené à mesurer périodiquement ses performances et notamment par rapport à différents objectifs complémentaires pouvant servir différents DAS.

Ainsi le vendeur devient de plus en plus un stratège et un gestionnaire. Il doit notamment maintenir la cohérence des conditions de vente (CGV et CPV = Attention à la LME), mais aussi l’appréciation du risque d’insolvabilité, avec la rentabilité.

D’où le fait qu’il est le plus souvent payé après encaissement effectif des ventes.

 

Le suivi devenant de plus en plus contraignant il prend parfois trop de temps sur les actions de « production du commercial » d’où la nécessité de mettre en place des outils de communication et de traitement des données afin de lui offrir les données de pilotage mais aussi de ne pas le cantonner trop longtemps à l’analyse au détriement du terrain. C’est notamment le prévisionniste, sur évaluation des ventes = «  Demand Planner »  qui pourra être sollicité.

 

En ce qui concerne les moyens, les entreprises les plus performantes mettent en place de nombreux outils d’automatisation des forces de vente, de gestion de la relation Clients, de mobilité, de gestion des frais professionnels, etc. Tous ces moyens s’incrivent dans le concept de GGP/CPM.

 

Avec l’avènement d’Internet de profonds changements se sont opérés du fait du développement exponentiel de l’e-commerce que ce soit avec des professionnels ou des particuliers. Le vendeur est alors confronté aux acheteurs, eux aussi, rodées aux techniques commerciales.

 

La concurrence s’est accrue et les exigences de performances aussi.

De nombreuses entreprises ont transféré partiellement ou totalement leur activité commerciale vers d’autres acteurs spécialisés du même groupe ou externes. Elles ont ainsi fait le choix d’un recentrage sur un cœur de métier comme par exemple la production industrielle.

Une autre pratique s’est ainsi fortement développer : les centres d’appels.

 

Prenant en compte la pression des achats et l’infidélité croissante des clients, mais aussi les enjeux des risques contractuels, l’un des éléments clé de la concrétisation de la vente est la proposition commerciale.

Celle-ci doit être conçue de manière collaborative entre Direction commerciale, juriste, mercatique et force de vente. En effet de nombreux échecs de la vente tiennent exclusivement à une mauvaise ou non attrayante proposition où l’acheteur peut ne pas retrouver la satisfaction des besoins qu’il a exprimé.

Ainsi un nouveau concept se développe = « Proposal Management »  dans le cadre de la Gestion Globale de la Performance/CPM et du management de contrats.

 

 Voir : Activité d’affaires ; AIDA ; AEV ; Agent commercial ; Automatisation des Forces de Vente ; BOGO ; Centre d’appels ; CGV ; Communication ; Contrat ; Credit Management ; DIDADA ; Domaines d’Activités Stratégiques ; e-commerce ; EMOFF-FFPM ; Externalisation ; Force de vente ; Gestion de la Relation Clients ; ; Gestion Globale de la Performance ; Habilitation ; Incitations économiques ; LME ; Management de contrats ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management par objectifs ; Marge(s) ; Mentor ; Mercatique ; OCARA ; Pecha Kucha ; Pression ; Prime de succès ; Proposal Management ; Pyramide des besoins ; SIAD ; SONCAS ; Tableaux de bord ; Teambuilding ; Temps Moyen de Manipulation ; Temps Moyen d’Attente ;  VAKO ;

 

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 Infos :

-  Livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

-  DCF-Dirigeants commerciaux de France :

       1er réseau d'entrepreneurs et d'experts de la fonction commerciale      

 

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-  Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image064.jpg Jack in the box – Proposal Management : Favoriser la concrétisation des ventes Aider vos commerciaux à vendre plus, plus vite, avec plus de marge tout en rentrant plus tôt le soir ! – Méthodes et outils.

 

 

Commettant

 

Le Commettant est la personne au nom de laquelle agit le " préposé ".

 

Il est aussi le client du commissionnaire qu’il charge de réaliser les transactions pour son compte.

 

Le parrain = Sponsor  , d’une opération de communication ou autre, est un commettant.

 

 Voir : Arbitrage ; Commanditaire ; Conciliation ; Contrat ; Courtier ; Commissionnaire ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Ducroire ; Fiduciaire ; Garantie ; Management de contrats ; Mandant ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Médiation ; Parrain ; Prime de succès ; Proposal management ;

 

Commissaire aux apports

Le commissaire aux apports est un spécialiste, d’une profession réglementée, chargé d'évaluer les apports en nature au capital d'une société.

 

Il est désigné, selon les structures, par les associés ou par le Président du tribunal de commerce

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Apports en entreprise ; Attestation d’équité ; Bilan ; Brevet ; Evaluation ; Statut(s) ;

 

Commissionnaire

Le commissionnaire est une intermédiaire du commerce qui agit, en son nom propre, pour le compte du commettant, son client.

Sa responsabilité est engagée dans l’exécution des opérations qu’il réalise. Il est de ce fait garant de la solvabilité du commettant, d’autant que le vendeur ne connaît pas forcément ce dernier.

 

Attention : Ne pas confondre avec le courtier qui n’est qu’un intermédiaire ou le mandataire qui agit pour le compte du mandat et au nom de ce dernier.

 

 Voir : Arbitrage ; Conciliation ; Contrat ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Ducroire ; Mandant ; Courtier ; Commanditaire ; Commettant ; Droit(s) ; Garantie ; Management de contrats ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Médiation ; Prime de succès ;

 

Common law

Common law = Droit anglo-saxon

 

 

Communauté des Etats indépendants - CEI

Suite à l’effondrement du bloc communiste « URSS » la « CEI = Communaute des Etats Indépendants » a été crée à partir de 1991. Depuis, elle regroupe :

L’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Biélorussie, la Géorgie, le Kazakstan, le Kirghizstan, la Moldavie, l’Ouzbékistan, la Russie, le Tadjikistan, le Turkménistan et l’Ukraine.

 

Les différences de cultures et de religions longtemps confinées et réprimées reprennent leurs coutumes et pratiques.

Les richesses de matières premières multiples + réserves détenues par ces différents pays leur conférent un poids économique et politique considérable.

 

Tous ces éléments concourrent à exacerber les rivalités entre ces pays qui ont beaucoup de mal à coopérer. Leur situation économique a attiré bien des convoitises notamment de leur ancien rival les USA qui à vite compris qu’une refonte du droit civil soviétique vers le droit anglo-saxon pouvait être à long terme un plus dans les relations commerciales.

 Par alleurs beaucoup de pays dans le monde et en particulier l’Europe sont dépendant de la CEI en matière énergétique.

La principale motivation des guerres successives depuis des décennies en Afganistan, Irak, Iran, le rôle de la Turquie dans cette région, etc. et les effets du terrorisme dans de nombreux pays développés trouvent leur origine dans la question de l’exploitation et des débouchés physiques du pétrole depuis la CEI.

 

C’est pourquoi l’Europe a conçu des aides spécifiques pour ces pays et les entreprises européennes afin de leur permettre de tisser des liens économiques forts et durables (Entreprises conjointes). 

 

Les Etats baltes intégrés de force, à et par l’URSS, après la seconde guerre mondiale et avec le consentement implicite des « alliés » après Yalta, ont préféré rejoindre l’Union Européenne plutôt que de rejoindre la CEI..

 

 Voir : Aides européennes ; Droit(s) ; Entreprise conjointe ; Zone géographiques économiques internationales ;

 

Communication

La communication c’est  génériquement l’émission d’un effet, d’une sensation comme la chaleur, ou d’un message et sa réception permettant de constater l’effet produit, l’impact.

Cette communication peut se concevoir entre des individus (ex : formation)  et des objets, lieux (ex : Conduite entre deux sites) mais aussi entre des individus et des choses (ex : Chaleur).

 

Ethymologiquement c’est, une communion, être en rapport, transmettre, rendre compte à l’occasion de relations.

 

Rapporté à la communication entre humains et dans le cadre du management ont peut retenir les éléments suivants :

- En premier lieu la communication implique au moins :

  Une expression exemple l’émission d’un message + Une réception + Un impact.

L’incertitude sur la nature du message lui-même c’est l’entropie.

 

- Qu’elle soit verbale ou autre et pour produire des effets il faut :

    Pour l’audition = Ecouter pour entendre avant de comprendre.

   Ou pour d’autres sens = Etre en éveil pour percevoir avant de comprendre

    Sinon, il n’y a pas communication !

    On peut, au minimum, concevoir que la communication commence à la réception (Sauf ci celle-ci correspond à une poubelle !)

  L’une des finalités est, au moins, une accusé réception du message, au mieux, une réponse ou un acte constructif.comme on peut le faire pour un mél

  Ainsi l’a communication peut être unilatérale, réciproque, de masse.

 

    Il faut donc faire attention aux 4 étapes suivantes d’un message :

     - Ce que vous voulez dire ;

     - Ce que vous dites, réellement ;

     - Ce que l’autre entend ;

     - Ce l’autre comprend.

 

   D’autant que l’inné, comme les sens de chacun plus ou moins développés et l’acquis donc ce que nous avons appris sont de marqueurs de nos perceptions avec les effets induits qu’ils génèrent ex :

 

 

- Le vecteur de la communication est indispensable comme la langue quelle soit, le vocabulaire des peuples d’un zone géographique, issue d’u glossaire, codée ou non.

     Mais le simple transport ne suffit pas à la définir.

 

- La redondance nuit à la communication !

   Malgré ce qu’en pense quelques manipulateurs en mal de « buzz » pour créer des effets de consommation, comme les « journaleux » et « marketinger’s »

   En effet, selon des études scientifiques la redondance est préjudiciable à la quantité de l’information transmise. Celle-ci prenant la place d’autres communications. C’est donc un moyen de tuer la diversité de l’information.

 

- En revanche il est très souvent utile, salvateur, de pratiquer la reformulation pour s’assurer d’une bonne compréhension.

 

Rappelez-vous que :

- En règle générale nous ne retenons que 10% de ce qui nous est dit !

 

- Votre interlocuteur est influencé par :

     20% de votre communication = Verbale ;

    80% par le reste ex : Apparences physiques telles que l’allure, l’aspect vestimentaire, les mimiques, les position et la gestuelle…

 

- Ce sont les premières minutes et parfois secondes, d’une recontre qui détermie l’appréciation de ceux qui vous observent et vous écoutent !

 

Alors méfiez-vous des conférences téléphoniques pourtant si pratiques et économiques !

Mettez-vous à votre avantage surtout aux yeux des autres vous n’en serez que mieux apprécié !

Pour autant ne feignez pas, restez vous-même et portez de l’attention aux autres ex : Par un regard, une attention personnelle pouvant les valoriser… tout ceci devant rester une marque de respect de l’autre !

 

Quelle que soit la finalité des études, analyses, pratiques, pour comprendre les comportements humains y compris pour exercer un contrôle, elles ont en commun, in fine, de favoriser le développement intellectuel de chacun.

De nombreux concepts, méthodes issues de la psychologie ou de l’évolution des technologies, sont nés tels que : Cybernétique ; Ethologie, PNL, Télécommunication

 

L’évolution de la communication entre humains et entités est également à la base des droits et technologies qui la conditionnent. Ex : Droit à l’image ; Protection de la vie privée et des données personnelles

 

Le « Mobbing » est également une pratique de communication mais destructive pour la victime !

 

Dans l’évolution des pratiques professionnelles et en particulier des échanges d’informations, il faut privilégier, la qualité, l’intelligence, qui permettent de valoriser chacun et de favoriser l’efficience par le travail collaboratif.

 

 Voir : 100ème singe ; Effet Pavarotti ;  Ethique ; Ethologie ;  Initié ; Intelligence ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management participatif ; Mél ; Mercatique ; Mobbing ; Palo Alto ; PNL ; Pression ; Proxémie ; Sémiotique ; Spam ; Test(s) ; Théorie des signaux ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ; XRM ;

 

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 Infos :

"Managez humain, c'est rentable" Livre de Franck Martin (Congruences) aux éditions De Boeck

 

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Congruences - Conseil et formation en communication et management d’équipe : L’efficacité des organisations par l’harmonie des hommes et des stratégies.

 

Compensation

La compensation est un processus qui permet de solder des comptes par le constat et l’accord des parties sur des sommes identiques représentant des dettes par rapport à des créances.

Ainsi seul le solde est à payer.

 

Ce type d’opération est autorisé par les services fiscaux mais bien évidemment les valeurs doivent être enregistrées comme pour toute autre opération et le justificatif de l’opération de compensation conservé comme tout autre mode de règlement.

 

Ce peut être aussi une disposition contractuelle prévoyant l’acquittement par un débiteur du solde de ses obligations à la suite de l’application d’une clause de déchéance du terme.

Dans certains cas, exemple période suspecte, un juge peut considérer que l’opération est infondée ou illégale. Il prendra alors les décisions appropriées à la situation.

 

Le terme utilisé par les anglo-saxons est : Netting  ou clearing (Pratique d’apurement des dettes et créances dans le secteur bancaire notamment ou encore Countertrade.

 

Attention :

- Ne pas confondre avec la novation en compte courant dont les effets juridiques sont différents.

- La réglementation française évolue rapidement pour ce qui concerne la compensation des dettes fiscales

 

 Voir : Barter ; Clause de déchéance du terme ; Evaluation ; Novation ; Période suspecte ; Règlement et liquidation judiciaire ; Ventes croisées ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Compétence(s)

= Competence, ability, proficiency, Skill  ;   ;

On qualifie de compétence l’ensemble des capacités, aptitudes, disposition qu’un individu ou une structure met en œuvre à l’occasion de ses paroles et surtout de ses actes dans des situations concrètes pour parvenir à la performance.

Ce peut être la reconnaissance dans une matière donnée, comme pour la désignation d’une juridiction ou par la qualité des prestations réalisées dans le cadre d’une certification professionnelle.

 

Les compétences ne dépendent pas seulement de la formation acquise :

- Selon le principe de Peter : « ...Tout humain à tendance à s'élever jusqu'à atteindre son niveau d'incompétence. »

- La loi de Gauss : Permet de classifier les catégories de compétences et d’incompétence dans l’entreprise mettant en évidence les comportements objectifs ou non des uns par rapport aux autres et aux effets parfois négatifs qui en découlent. (ex : test de QI, calcul de probabilité)

 

D’autres théories expliquent l’incidence des aspects comportementaux sur l’exercice des compétences pour accéder à la performance ex :

- La théorie des mandats (dite de l’agence) qui essaye de concilier organisation, notamment des filiales et agences de groupe, avec les objectifs financiers et en particulier ceux des actionnaires.

- La théorie de l’enracinement qui met en évidence la volonté de dirigeants en perte de compétences et ou ayant un manque de motivation de rendre leur remplacement trop coûteux pour ce maintenir en poste (y compris parfois par rétention d’information).

- La théorie des signaux qui étudie les capacités notamment de certains décideurs à influencer leurs partenaires commerciaux, médias, financiers pour influencer un marché ou des financeurs.

 

 Voir : Aptitude(s) ; Abilene ; Capacité juridique ; Comportement ; Effet Pavarotti ;  Ethologie ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Formation ; Gestion Globale de la Performance (CPM) ; Initié ; Intelligence ; Johari ; Juridiction ; Loi de Parkinson ; Management participatif ; Mandat ; Mobilité ; Plan de succession ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Ressources Humaines ; Rétention ; Stratégie Océan Bleu ; Test(s) ; Théorie(S) ; Travail collaboratif ;

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  Infos :

- Wiki Métiers : Voir les informations, dont compétences requises,sur de nombreux métiers.

 

- Conférence : « Gestion des Compétences : Evaluations & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance.

 

-  CLASS : Cercle Lyonnais des ASsistants et Secrétaires : Bénéficiez de tous les avantages d’un réseau créé par des professionnels. Se former, s’informer, échanger, s’entraider …

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

Compliance

Compliance

 

 Voir : Conformité.

 

Comportement

 

 Voir : 100ème Singe ; Abandonniste ; Abilene ; AIDA ; Conduite du changement ; DIDADA ; Dilatoire ; Dol ; Effet de singe ; Ethologie ; Etude d’usages et attitudes ; Evaluation ; Fichier ; Générations : BB, X, Y ; Joharie ; Management d’équipe ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Méthode 5S ; Mouchard ; OCARA ; Plan de succession ; Portrais chinois ; Procrastination ; Profil payeur ; Proxémie ; Pression ; Pyramide des besoins ; Ressources humaines ; Score d’appétence ; Sémiotique ; SONCAS ;

 

 Voir aussi « Compétences » pour les termes :

- Loi de Gauss ; Principe de Peter ;

- Théorie(S)  : de l’agence ou des mandats - de l’enracinement - des signaux ;

 

Composants

 

 Voir : Approche par composants.

 

Compound annual growth rate

 

 Voir : Taux actuariel  ;

 

Compromis de vente

Le compromis de vente est un contrat synallagmatique qui par conséquent engage les parties selon les conditions convenues. Il est donc prudent de prévoir des clauses suspensives du contrat.

 

Attention : Ne pas confondre avec la promesse unilatérale !

 

 

De nombreux compromis impliquent le versement d’arrhes.

 

En matière immobilière notamment la vente fera l’objet d’un acte authentique.

 

 Voir : Acte ; Arrhes ; Contrat ; Clauses ; Option ; Garantie ; Promesse unilatérale ;

 

Comptabilité

 

 Voir : Approche par composants ; Bilan ; Budget ; Compte ; Compte courant d’associé ; Compte de l’exploitant ; Compte de résultat social ; Compte pivot ; Déclarations fiscales ; IFRS ; Plan comptable ; Passif ; PGI/ERP ; SIG ; Trésorerie d’échelle ;

 

Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Compte

Plusieurs acceptions dont :

 

- Convention de compte courant : convention entre un banquier et son client pour gérer les flux monétaires en l’exprimant notamment par un solde débiteur ou créditeur qui seul est exigible = Effet de novation : Toutes les créances sont fondues dans le solde ;

 

- Comptes de la comptabilité : Destinés à recevoir les saisies d’écritures relatives à l’exploitation de l’activité et à l’évaluation du patrimoine de l’entité concernée.

Ex : compte client = trade debtor or Account receivable ;

 

 Voir : Compte courant d’associé ; Compte de résultat social ; Compte fiscal simplifié ; Compte pivot ; Contrat ; Convention ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Plans comptables ;

 

Compte courant d'associé

Si le compte courant d’associé enregistre des avances de fonds comme ressources durables pour l’entreprise le compte figurera dans le haut de bilan au niveau des capitaux propres.

Si en revanche les montants sont de simples ajustements épisodiques le compte sera considéré comme dette à court terme.

 

 Voir : Associé ; Analyse financière ;Bilan ; Comptabilité ; Capitaux permanents ; Fonds propres ;

 

Compte de l’exploitant

Compte de l’exploitant désigne le poste comptable réservé au opérations concernant le dirigeant de l’entreprise individuelle.

 

 Voir : Comptabilité ; Forme juridique ; Patrimoine ; Statut ;

 

Compte de résultat social

Le compte de résultat social  = Profit and Loss account , anciennement appelé « Compte d'Exploitation », car il représente les activités réalisées par l’entreprise (la société = Social) au cours d’un exercice dont :

- La comptabilisation par postes des produits et charges sur une période donnée ;

- Au-delà de la notion « profits et pertes = Profit and loss ; Income statement ;

   Ce compte donne l’expression des différents résultats (ex : RCAI), voir notamment les SIG et autres ratios

 

Constitués des comptes de la classe 6 = Produits et de la classe 7 = Charges.

Ce compte enregistrant les flux financiers liés à l'exploitation de l'activité, est soldé en fin d'exercice par alimentation des comptes de bilan dont l’affectation au Résultat (Cpt 120 ou 129)

Ainsi cette présentation permet de déterminer les aspects fiscaux.

Pour avoir une approche plus économique il est indispensable de se référer aux SIG = Soldes Intermédiaires de Gestion !

 

Intégrant les éléments comptables et d’analyse financière tels que le CA et les SIG dont le résultat net  il est qualifié de « Compte de résultat social » de l’entreprise donc de la « Société » au sens de tout ce qui la compose.

 

 Voir : Actif-S ; Bilan ; EBE ; Evaluation ; Passif ; Résultat ; SIG ; Subvention ;

 

Compte Fiscal Simplifié

Le Compte Fiscal Simplifié permet la consultation des déclarations et paiements effectués (dans le cadre de marchés publics)

 

Compte pivot

Un compte pivot sert à optimiser la gestion de trésorerie par centralisation.

 

Ainsi les soldes (positifs et négatifs) sont fondus au sein de celui-ci par une pratique dite de balayage de différents comptes (Sweeping account ).

 

Ce type de compte présente encore plus d’attrait dans le cadre d’une gestion dite de « Trésorerie d’échelle » = Cash pooling  ; 

 

 Voir : Trésorerie d’échelle ;

 

Concentration

La concentration, intégration, d’entreprises peut être de trois types :

 

- Concentration horizontale lorsqu’elle a pour but de regrouper des activités de même type (ex : Dans la presse l’acquisition de titres différents. Dans de nombreux pays des dispositions particulières ont été prises pour éviter les monopôles d’information et favoriser la liberté de la presse) 

 

- Concentration Verticale C’est quand une entité contrôle les différentes phases d’un processus de production soit en amont ou aval dans le but de mieux maîtriser une filière.

Selon l’exemple ci-dessus le groupe de presse va se diversifier en faisant l’acquisition d’imprimerie ou d’activités de messagerie.

 

- Concentration Multisectorielle Dans ce cas l’objectif est souvent spéculatif. Il consiste à réaliser des opérations de type fusion, acquisition en constituant un conglomérat. Celui-ci pour servir les intérêts de ses actionnaires va chercher à revendre des entités et activités après les avoir valorisées pour en tirer un bénéfice substanciel dans les méilleurs délais.

 

Cette dernière pratique c’est largement développée notamment par l’avènement des fonds de pension

Ces investisseurs ont permi d’optimiser le management en favorisant la culture de performance mais sont souvent peu intéressés aux questions industrielles et d’éthique.

 

Ces trois types ont en commun de rechercher des effets de synergie pour améliorer leurs performances et donc les résultats.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

   Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi :  Dépositaire ; Fiduciaire ; Conduite du changement ; Holding ; Filiale ; Intégration fiscale ; Evaluation ; Cession progressive du capital ; Marché ; Valeur mobilière ; Gestionnaire d’actifs ; Fusion Acquisition ;

 

Concept

L’idée même de « Concept » est beaucoup plus proche de la création y compris dans un domaine artistique que le terme  anglais « design » galvaudé et utilisé à mauvais escsient par des personnes mal informées peu cultivées et, plus grave, n’ayant envie que de paraître en utilisant des mots à la mode  (Snob = Sans noblesse).

 

Le « design » correspond essentiellement à une approche, à un point de vue, esthétique qui parfois n’est que l’expression d’un tiers confronté à l’objet.

 

Le concept relève d’une démarche poïétique.

part, en principe, d’une idée originale donc d’un auteur, qui peut être un groupe. (Différent de CirCept !)

Puis, surtout pour trouver des aboutissements dans le secteur marchand, il s’engage dans une démarche à la fois intelligente et productive.

Enfin, il va se structurer pour donner naissance à un nom, une méthode, un produit ou service.

 

La mercatique prendra toute sa part dans ce processus intelligent pour analyser les potentialités sur un marché donné avant de concevoir sa promotion.

C’est cette démarche structurée en projet qui sera finalisée pour donner lieu à la production.

 

« Stylique »  = Design .

Le mot design vient de 2 mots issus du français :

-         Dessin : Qui concerne les formes ;

-         Dessein : Qui allie projet et intention.

 

Stylique est le terme recommandé par les autorités culturelles et linguistiques françaises.

Cette désignation concerne par définition un concept de forme, de dessin appelé aussi esthétique industrielle.

Ainsi par différence au concept le stylique, s’intéressant plus à l’esthétique et donc aussi aux effets de mode, pourra davantage jouer sur la communication pour mettre en avant différents aspects qui selon le moment pourront être l’utilisation de certaines couleurs, formes ou matériaux, etc.

 

Le stylique se veut un élément de démarque qui interpelle.

Il l’est aussi par les effets de mode devenus un critère de motivations, de référence, pour les prospects et aussi pour les partenaires et collaborateurs de l’entreprise notamment pour ce qui concerne les équipements et autres cadeaux. Dans ces derniers cas c’est un élément de motivation à caractère économique.

 

Le « design » s’inscrit donc parfaitement dans une politique de gestion de plus en plus axée sur les habitudes de consommation et donc des moyens de communication pilotés par des outils adaptés (ex : Etude d’usages et attitudes, Management du rendement).

 

La création stylique donnant naissance à des noms de marque des logos et autres objets liés intimement à un produit, service, l’entreprise devra obligatoirement se protéger pour exister et donc faire appel à différents processus adaptés comme le dépôt de nom, dessin et modèle auprès d’organismes habilités.

 

 Voir : CirCept ; Droits d’auteur ; Etude d’usages et attitudes ; Incitation économique, INPI ; Marque de fabrique ; Mercatique ; Management du rendement ; Poïétique ; Propriété ; Stratégie Océan Bleu ;

 

Conciergerie d’entreprise

La conciergerie d’entreprise, est un concept de mise à disposition des salariés d’une gamme de services, sur lieu de travail et parfois aussi à domicile, pour alléger des tracasseries du quotidien et les aider dans la gestion des imprévus.

 

Ce type de prestations relève soit d’une organisation interne de l’entreprise ou du recours à une entité externe spécialisée dans ce type de métier.

 

Les services proposés sont variées, tant par leur nature (Pressing, service à domicile permettant l’utilisation du CESU, organisation de loisirs, etc.) que par l’accès à celle-ci (ex : accueil in situ ou en ligne, langues, horaires).

 

Ce type de service est conçu par les entreprises dans le but de se rentre attrayante pour ses collaborateurs et de participer à la réduction de leur tension (stress) de toute nature. Ainsi elle compte pouvoir réduire l’absentéisme et globalement optimiser la performance de travail en temps et qualité.

Par ailleurs l’investissement est financièrement intéressant pour l’entreprise. En effet pour 100€ d’investi sous cette forme elle bénéficiera  de plus de 50% d’avantages fiscaux (dont crédit d’impôt) alors que cette même somme en salaire lui aura couté environ 180€.

 

 Voir aussi : Externalisation ; Incitations économiques ; Services généraux ; Tension ;

 

Conciliation

La conciliation est une pratique de règlement amiable des conflits qui est menée sous l'autorité d'un juge de juridiction civile (ex : Prud'hommes) ou commerciale. L'objectif est d'obtenir une solution négociée, entre les parties au conflit, qui fera l'objet d'un constat officiel.

La conciliation est différente de l'arbitrage et de la médiation par le fait qu'il n'y a pas de tiers externe au conflit impliqué dans la résolution de celui-ci. En ce sens, seules les parties au conflit négocient entre elles. Les instances judiciaires ne faisant qu'entériner la décision finale.

 

La loi de sauvegarde des entreprises en difficultés de juillet 2005 introduit une procédure spécifique de conciliation relevant des tribunaux de commerce.

Cette ouverture de conciliation est possible pour toute entreprise qui, soit n'est pas dans un état avéré de cessation de paiement, soit l'est depuis moins de 45 jours

La période de conciliation est ouverte pour 4 à 5 mois maximum.

Les créanciers qui auront participé à un apport de ressources nouvelles pour l’entreprise bénéficieront d'un privilège sur ceux de la période préalable à la procédure ( Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés)

 

 Voir aussi : Arbitrage ; Conflit ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; Management de contrats ; Médiation ; Recours ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   BCR - Bureau Central de Recouvrement : Résolution amiable et actions judiciaires ;

 

Concurrence

La concurrence  = Competition ; Rivalry  ; Wettbewerb  ;   ;

C’est la rivalité d’intérêts entre des personnes, physiques ou morales, qui poursuivent un même but.

 

Le marketing et la force commerciale sont les services qui oeuvrent en permanence pour défendre les intérêts de l’entreprise face à des acteurs ou procédés qui peuvent limiter voir réduire ses débouchés et donc menacer son activité ou au moins son développement.

Dans les études menées par l’entreprise sur son marché il faut bien videmment savoir comment se comprte les cibles mais aussi les concurrents grâce à une pratique d’étalonnage économique (Benchmarking)

 

Parmi les offres tierces qu’il faut évaluer pour anticiper et tenter de supplanter, il faut distinguer :

- La concurrence directe = Celle qui fait le même métier ;

- La concurrence indirecte = Celle qui souvent détourne le prospect en lui proposant des choix différents.

   Exemple : L’organisation de certains évènements éloigne la clientèle, en zone géographique et durée, des pôles de vente ; La location d’un bien/objet s’oppose à la vente et inversement ; 

 

Cette concurrence peut être déloyale dans de nombreuses pratiques par exemple :

- Du fait d’un employé qui dévoilerait des informations à des tiers externe au détriement de son entreprise ou par détournement de clientèle (y compris après avoir quitté son employeur)

- Du fait d’un concurrent qui utilise des moyens ou procédés illégaux pour en tirer avantage (Voir dispositif NRE).

 

 Voir : Domaines d’activité stratégique ; Etalonnage économique ; Evaluation ; Initié ; Intelligence économique ; Marché ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Perquisition civile ; Proposal Management ; SRP ; Veille ;

 

Voir aussi : Brevet ; CGV ; Contrat ; Contrefaçon ; DGCCRF ; NRE ; Recours ; Dumping ;

   

Conditions Générales de Vente - CGV

Les CGV – Conditions Générales de Vente, sont régies, en France notamment, par les dispositifs NRE et LME.

 

Ces Conditions Générales fixent les bases du contrat de vente en incluant notamment les :

- Différentes clauses qui encadrent la vente ex : Réserve de propriété ; Droit/ressort du contrat ;

- Conditions de règlement dont : Délais de paiement ; Escompte de règlement ; Base de calcul des intérêts moratoires ;

Les éléments tarifaires renvoient à des barèmes et réductions de prix public. Mais les tarifs facturés peuvent relever de l’application de conditions particulières.

Ces conditions particulières ne sont, par conséquent, pas détaillés dans les Conditions Générales. En revanche les prix grand public font généralement l’objet d’une obligation d’affichage.

 

La loi ne rend pas obligatoire les CGV mais condamne de violation de l'obligation de communication.

Pour cette raison et les suivantes les CGV sont indispensables.

 

En France, depuis la circulaire Dutreil 16 mai 2003 les CGV sont fortement recommandées car elles permettent de s'en prévaloir face à des CGA (Conditions générales d'achat) qui parfois peuvent être imposées abusivement et donc condamnées – ce qui tend à rendre les CGV opposables aux CGA -

 

Lorsqu'elles existent les CGV permettent de justifier des différences appliquées à certaines catégories de clients (ex : Clients particuliers, professionnels, ou par niveau de CA réalisé par période) sans qu'il puisse être question de discrimination.

 

Bien d'autres dispositions dont les délais et modes de règlement, clauses diverses (ex : pénale), sont ainsi précisés dans les CGV et permettent d'encadrer la vente et les recours en cas de conflits.

 

Pour éviter leur contestation, les CGV doivent faire l'objet d'une acceptation expresse par l'acheteur (Par exemple le simple renvoi aux mentions figurant au dos d'un document telle que la facture ne suffit plus).

 

Pour ne pas être opposables, ces conditions doivent être clairement exprimées dans un langage compréhensible par un acheteur lambda et surtout être lisibles.

Donc attention aux textes en trop petits caractères !

 

Parfois le contrat relatif aux CGV fait l’objet d’un avenant notamment pour ce qui concerne les conditions particulières.

 

 Voir : Clauses ; Comité des risques ; Concurrence ; Contrat ; Credit Management ; Dumping ; Intérêts moratoires ; LME ; Management de contrats ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mandat d'apparence ; Marge arrière ; NRE ; Profil payeur ; Proposal Management ; SRP ;

 

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 Infos :

- Livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

- 2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image064.jpg Jack in the box – Proposal Management : Favoriser la concrétisation des ventes Aider vos commerciaux à vendre plus, plus vite, avec plus de marge tout en rentrant plus tôt le soir ! – Méthodes et outils.

 

Conduite du changement

Avec l’évolution de la mondialisation, la pression toujours plus forte de la concurrence, l’hyperinflation réglementaire, le développement exponentiel des technologies, etc. toutes les entités doivent en permanence anticiper les mutations nécessaires pour assurer la pérennité de leurs activités.

 

La conduite du changement est à la fois :

- Un mode de management intégrant l’adaptation permanente aux contraintes et innovations

- Une étape stratégique pour une entreprise qui, après un audit de situation, à décidé de réorganiser un ou plusieurs services, métiers, filiale, ou est contrainte de se restructurer. (Ré-ingénierie = Reengineering )

 

Pour s’assurer un maximum de réussite, toute nouvelle orientation stratégique doit pouvoir être engagée dans le cadre d’une démarche projet et s’appuyer sur une véritable culture d’entreprise.

 

La qualité de la communication doit être de mise tant dans la phase préalable de l’état de situation que pendant tout la durée de la gestion du projet.

 

Ainsi il faudra identifier les freins au développement (Qualité, rendement, compétences, processus) avoir la vision nécessaire à la détermination des nouveaux objectifs et en définir les moyens matériels, humains et bien évidemment financiers tout en s’assurant de la mesure d’impact de ses nouveaux objectifs pour mieux les piloter.

La stratégie de communication devra intégrer les forces et faiblesses des processus (avant et après) et des acteurs (ex : Tueurs d’idées, porteurs de projets).

 

En plus de la communication la conduite d’un tel projet porte essentiellement sur : 

    - Management (ex : Orientations stratégiques, compétences, volonté et pouvoirs de décision,)

    - Technique et technologies appropriées pour optimiser les résultats (ex : Analyse de marché et production, méthodes commerciales, outils de gestion et communication,)

    - Moyens humains (ex : Compétences, motivations)

    - Moyens financiers dont ceux nécessaires à la conduite du changement.

 

Il faudra aussi savoir identifier les résistances au changement qui peuvent être individuelles, ou collectives, structurelles ou conjoncturelles.

 

Pour coordonner le tout il faut bien évidemment réorganiser les processus. (Simplifier, raccourcir mais aussi sécuriser)

 

C’est pourquoi il est souvent indispensable d’avoir recours à un spécialiste qui ne sera pas partie prenante à l’entreprise pour une meilleure objectivité tant dans l’état de situation que dans le choix des solutions et la conduite de projet.

 

 Voir : Altermanagement ; Amélioration continue ; Analyse fonctionnelle ; Aptitudes ; Audit ; Beyond budgeting ; BPR ; COBIT ; Compétence ; EMOFF-FFPM ; Equilibration ; Ethologie ; Excellence Opérationnelle ; Gestion Globale de la Performance ; Gouvernance d’entreprise ; Intrapreneur ; Loi de Parkinson ; Loi de sauvegarde ; Management de projet ; Management de transition ; Management par activité ; Management par objectifs ; Organisation ; Pragmanagement ; Pression ; Procrastination ; Synergie ; Syndrome du survivant ; Système de Management Intégré ; Théorie(S) ; Théorie des contraintes ; Tableaux de bord ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;  

 

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  Infos :

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- LOGO_ACTISS_HD ACTISS Partners - Cabinet spécialiste du Management de Transition : En temps de crise et pour des projets stratégique. Le manager de transition assisté d’un  directeur de mission, prend les rênes, pour redresser la situation, avant de les remettre aux dirigents et gestionnaires.

 

Confiance

 

Du latin « Con fides » = Avec foi = Faith

Confiance  = Vertrauen  ;   ;

 

C’est une forme de sentiment qui se situe dans l’espèrance d’une personne ou d’un groupe en une autre ou même en une chose, matérielle ou non.

 

La confiance n’implique pas forcément l’action. Parfois même elle est le refuge d’un attentisme qui conduit à l’inertie en attedant que d’autres fasset ou qu’un élément se produise…

 

C’est pourquoi il ne faut pas confondre confiance et motivation comme le font certains mauvais coach !

 

 Voir : Abus de confiance ; Analyse transactionnelle ; Confidentialité ; Dol ; Fiduciaire/fiducie ; Gouvernance des risques et conformités ; Intrapreneur ; Mentor ; Risques ;

 

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 Infos :

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Confidentialité

Confidentialité   = Vertraulichkeit  ;   ;

La confidentialité pour les entreprises se conjugue à toutes les sauces ex :

- Pour les accès au système d’information et pour autant il faut communiquer ! Ainsi de nombreux systèmes permettent de partager, transférer de nombreux documents…

- Pour les actions commerciales on parle souvent de contrat qui comporte une clause de confidentialité, un accord de non divulgation (= NDA : Non Disclosure Agreement ) entre employeur/salarié, client/prestataire, fabricant/distributeur.

- Dans certaines opérations de haut de bilan l’acheteur potentiel peut demander à son mandataire de ne pas divulguer l’identité de l’achateur tant que la phase de négociation n’est pas à une étape suffisamment avancée. Ceci non seulement pour éviter d’en informer ces concurrents mais aussi pour ne pas influer sur le prix de la future transction.

 

En principe cet accord doit prévoir des contreparties équitables et s’inscrire dans un laps de temps définit, à défaut d’être contesté devant, par, un juge !

 

 Voir : Activité d’affaire ; Brevet ; Contre-lettre ; Cryptage ; Fiducie ; Gestion des actifs ; Gestion de contenu ; Prime de succès ; Risques ; Sécurité ; Signature électronique ;

 

Conflit

Le conflit =  ;

C’est l’opposition entre 2 ou plusieurs forces (Physiques ex : mécanique, électronique, ou morales ex : lois, sentiments), pour obtenir un droit, un avantage, un bien, une reconnaissance, etc.

 

Les conflits observés en entreprises ont des sources multiples liées par exemple à la qualité des relations, pour des questions de divergences d’Intérêt, pour des causes externes aux parties, etc.

 

Souvent ils naissent du fait que les parties n’ont pas les mêmes informations ou ne les lisent pas de la même manière. C’est notamment le cas en matière d’évaluation d’un bien ou service, tant sur la méthode de cette évaluation que sur ses sources.

Ainsi la référence à un droit et à une langue, basés sur des usages et coutumes différents est générateur de nombreux conflits sans compter sur le caractère objectif ou subjectif des revendications qui vient compliquer et le plus souvent multiplier et agraver les conflits.

 

C’est pourquoi il est primordial de corriger chez soi les dysfonctionnements internes avant d’envisager les relations surtout commerciales avec des partenaires, associés, collaborateurs, fournisseurs ou clients qui passent par le contrat.

Ainsi les services RH, qualité, commerciaux et mercatique s’inspirant des études de comportement portent une attention accrue à l’anticipation et la gestion des conflits notamment en management de projet.  Cette pratique permet d’abord de favoriser la réflexione en amont et la réolution des conflits pendant et après la réalisation d’un projet.

Seront ainsi traités des questions comme le tryptique qualité, coûts, délais, les priorités, la personnalité des acteurs et leusr aspirations, la gestion administrative, etc.

Avec une bonne préparation il sera alors plus aisé d’envisager le tratement des conflits résiduels par des pratiques appropriées à la situation ex : l’apaisement, la négociation, la résolution d’un problème, le retrait, l’évitemment, le passage en force.

 

 Voir : Analyse transactionnelle ; Clauses ; Comportement ; Droit(s) ; EMOFF-FFPM ; Ethologie ; Evaluation ; Litige ; Maintenance ; Management de contrat ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management de risques ; MARC ; Mercatique ; Pression ; QCD ; Système de Management Intégré ;

 

Conformité

Le terme « Conformité » est très souvent utilisé pour désigner la mise en accord avec les réglementations, en cohérence avec les processus groupe, concernant de nombreux projets de management.

 

Cette mise en conformité, = Compliance  , émane essentiellement de 2 types de contraintes réglementaires et économiques qui imposent de fait les règles techniques.

 

La mise en conformité réglementaire est imposée par le droit et les lois qui en découlent mais aussi par les règlements de toutes sortes pris par ceux qui s'y soumettent par voie contractuelle. (ex : règles corporatives, contrats commerciaux).

Ainsi certaines règles techniques et non oligatoires , à priori, impliquent cependant leur respect lorsqu’elles ont été acceptée comme les certifications ex : ISO ; PMI® ; 

 

 Voir : Agréage ; Bâle II ; Clauses ; Coût total de la Qualité ; Droit ; Exigence ; Gouvernance des risques et conformités ; LME ; Loi Sécurité Financière ; Management de contrats ; Management de projet ; Norme ;  NRE ; Proposal Management ; Qualité ; Système de Management Intégré ;

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Connaissement

Le connaissement   = Bill of loading.  ; Konnossement  ;

C’est un document établi par un transporteur maritime/fluvial, attestant de la prise en charge des marchandises. Ce n’est donc pas un titre de propriété.

 

Ce document est utilisé notamment par les banques et surtout dans le crédit documentaire pour vérifier le bon déroulement des étapes du transit, mais aussi et surtout ce document servira au porteur à effectuer la livraison ultérieure.

 

 Voir : Lettre de transport ; Incoterms ; Crédit documentaire ; Credit Management ;

 

Connexité

La connexité c’est ce qui a un rapport étroit avec autre chose, éléments considérés d’un seul tenant.

 

Peut signifier que deux ou plusieurs affaires peuvent être jugées simultanément, soit par la nature des acteurs du conflit, par considération des patrimoines, par assimilation des causes, etc.

 

 Voir aussi : Action collective ;

 

Conseil

 Plusieurs acceptions :

- Conseiller : Dit aussi consultant. A ce titre certains sont de simples commerciaux salariés. De nombreux professionnels libéraux exercent en indépendant ex : Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion NAF depuis 2008 = 70.22 (ex : 741G). Chargé, notamment, de préconiser des solutions, en principe, suite à un état de situation. D’autres acteurs du conseil relèvent de professions réglementées ex : juriste.

 

- Conseil d’administration : Organe de décision au plus haut niveau de l’entreprise. Il dispose des pouvoirs les plus étendus pour agir au nom de l’entité (Société ou association) Il est composé d’administrateurs qui peuvent être rémunérés par des jetons de présence.

 

- Conseil de surveillance : Organe de contrôle du Directoire, qui lui-même dirige une société anonyme.

 

 Voir : Activité d’affaires ; Administrateur ; Evaluation ; Forme juridique ; Gouvernance ; Management ; Management de projet ; Management de transition ; Responsabilité ; Aptitudes ; Compétences ; Jeton de présence ;

 

Consensuel

Consensuel, se dit d’un accord, contrat, formé sur la base du consentement des parties

 

 Voir : Consentement ; Dol ; Contrats ;

 

Consentement

Consentement  = Zustimmung  ; Consent  ;

 

 Voir : Contrats ; Dol ;

 

Consommation de l’exercice en provenance de tiers

SIG = Solde Intermédiaire de Gestion : Permttant d’évaluer la consommation interlédiaire représentant les biens et services achetés à des tiers externes à l’entité.

Calcul à partir de la liasse fiscale française ex :

     Achat de matière  (Ligne FU)

     + Variation de stock (Ligne FV)

     + Autres achats externes (Ligne FW à détailler selon comptes 61 & 62)

 

 Voir : Achat(s) ; Compte de résultat social ; Liasse fiscale ; Marge(s) ; SIG ; Stock ;

 

Constituants

 

 Voir : Fiduciaire.

 

Consumérisme

Le consumérisme c’est la réaction, de mieux en mieux organisée, des consommateurs face à la mercatique et ses effets pervers.

 

Le consumérisme est plutôt emprunt d’intérêts personnels et du chacun pour soit.

Depuis les dernières années du XXème siècle et à la suite d’une prise de conscience de certains consommateurs sur les dangers de la surconsommation ou des produits eux-mêmes un nouveau concept s’est créé et organisé pour défendre cette fois les intérêts de la collectivité.

 

Ce phénomène de plus en plus puissant économiquement a donné naissance à l’éthique ou alter consommateur.

 

 Voir : Action collective ; Ethologie ; Etudes d’usages et d’attitudes ; Groupe de pression ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; PLV ;

 

Contentieux

Le contentieux  = Litigation, dispute  ; Streitsache  ;

Au sens générique, c’est un différend qui a dépassé le cadre du règlement amiable et de ce fait s’est transformé en conflit susceptible d'être porté en justice.

 

Pour les entreprises le contentieux va impliquer une comptabilisation spécifique (dont provision) et un traitement particulier (Mode de recouvrement) selon l’importance de la créance le degré supposé de solvabilité du débiteur et la nature des relations entre les parties (typologie clients/fournisseur), etc.

 

 Voir : Action collective ; Arbitrage ; Contrat ; Clauses ; Credit Management ;Garantie ; Injonction de payer ; Loi de sauvegarde ; Management de contrats ; MARC ; Médiation ; Mise en demeure ; NRE ; Points de risque ; Privilège ; Profil payeur ; Provisions ; Recours ; Recouvrement ; Référé provision ; Règlement et liquidation judiciaire ; Score ;

 

Contract Management

 Contract Management

 

 Voir : Management de contrats

 

Contrat(s)

Le contrat = Agreement, Convention, Contract.  ; Vertrag  ;    ;

C’est un accord volontaire conclut entre des personnes morales et ou physiques ayant pour objectif d’engendrer une ou des obligations qui pourront le cas échéant avoir une reconnaissance de tiers, d’un arbitre ou d’un juge.

 

Les conditions de la formation d’un contrat, notamment commercial, requièrent, sur la base d’une offre et d’une demande :

- un consentement, librement exprimé des parties ayant chacune la capacité à contracter,

- un objet certain, déterminé ou déterminable

- une cause licite.

 

Ce consentement peut être vicié notamment s’il y a :

- Erreur sur la substance, la personne ou faisant obstacle ;

- Manœuvre dolosive, mettant en évidence une intention frauduleuse ;

- Violence physique ou morale qui remettrait en cause le libre consentement.

 

Cette convention fait naître des obligations, ex : Réciproques (= Synallagmatique) ou non, de faire ou ne pas faire quelque chose.

 

Le contrat n’est pas nécessairement écrit par exemple s’il est usuel (= achat de denrées). Il peur être qualifié contrat d’adhésion notamment lorsque les conditions ne sont pas négociées (ex : location de voiture, abonnement téléphonique, assurance.)

Ce pacte verbal, mais souvent écrit, pour permettre l’administration de la preuve, peut se présenter sous de nombreuses formes et supports (contrat de travail ou de mariage, convention de formation, bail, pacte d'actionnaires, police d'assurance, contrat d'entretien, ou de sous-traitance, accord cadre, option sur marché et promesse d'achat ou de vente, facture, Partenariat Public Privé, etc.)

 

Selon sa nature la qualité des acteurs et les domaines concernés les règles qui le régisse sont encadrées par des codes comme par exemple : Civil, de commerce, des marché publiques, du travail. Selon le même principe les conflits sont traités devant différentes juridictions.

 

Pour favoriser la réalisation des contrats et mieux organiser la résolution des conflits les parties ont intérêts à apporter une attention soutenue au contenu du contrat c'est-à-dire à la rédaction des propositions commerciales des conditions contractuelles et clauses diverses. (Ex : Réserve de propriété, de sortie, pénale, compromissoire).

 

Il est souvent considéré primordial de préciser le droit applicable et le lieu où devront être jugés les conflits (Ressort).

Le contrat peut faire l’objet d’exécution ou inexécution volontaire ou involontaire, notamment par des procédures telles que la résolution, la résiliation, l’exception d’inexécution, l’exécution forcée, des manœuvres dilatoires, etc.

 

Par ailleurs les préposés agissant pour le compte de leur employeur, commettant, engagent la responsabilité de ces derniers dans la réalisation des contrats et des effets qui en découlent (ex : préjudice causé suite à l’utilisation d’un engin ou véhicule dans le cadre des travaux objet du contrat) d’où la nécessité d’une bonne couverture de risques.

 

Ne pas confondre : Contrat de vente et de location avec celui de prestation de service.

Dans ce dernier les risques pour les clients de se voir poursuivi en justice, y compris pour son représentant légal, portent surtout sur les dispositions de lutte contre :

-         le travail dissimulé = obligations de vigilance et de contrôle notamment sur la situation sociale et fiscale du prestataire.

-         le prêt de main-d’œuvre = Attention au « lien de subordination » qui définit qui est employeurs et au « délit de marchandage » qui à pour objectif de favoriser l’employeur au préjudice de l’employé.

 

Selon Michel DION il existe 5 principaux types de contrat en management de projet : (Voir lien Infos)

- Contrat en régie avec pourcentage des coûts = Cost-plus-percentage of costs contract

- Contrat en régie avec honoraire fixe = Cost-plus-fixed fee contract

- Contrat en régie avec intéressement = Cost-plus-incentive fee contract

- Contrat à prix fixe avec intéressement = Fixed-price incentive fee contract

- Contrat à prix fixe ou forfaitaire = Firm-fixed-price contract  

Le risque supporté par le client ou le fournisseur est plus ou moins élevé selon le choix du contrat.

 

C’est pourquoi il faut apporter la plus grande attention à l’élaboration ainsi qu’au suivi des contrats.

Caroline STEPHANE Avocat au Bareau de Lyon précise d’ailleurs que 3 phases distinctes sont parties intégrantes de la gestion juridique des contrats :

- La période précontractuelle ;

- La gestion en cours d’exécution ;

- La période post-contractuelle.

 

 Voir ces termes :

Modalités : Clauses ; Convention ; Acte ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Clause(s) ; Clause de sauvegarde ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Promesse ; Compromis ; Dilatoire ; TRC = Assurance Tous Risques Chantier ; Ressort ;

 

Applications : Agréage ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Avenant ; Cession de créance ; CGV ; Commercial ; Credit Management ; Gouvernance des risques et conformités ; NRE ; Partenariat Public Privé ; Contre-lettre ; Régimes matrimoniaux ; Externalisation ; Cindynique ; Management de contrats ; Management de projet ; Management de risques ; Management participatif ; Mobilité ; Proposal Management ;  Système de Management Intégré ;

 

Acteurs : Mandant ; Courtier ; Commissionnaire ; Commanditaire ; Commettant ; 

 

Effets, actes : Dol ; Garantie ; Caution ; Ducroire ; Propriété ; Conciliation ; Médiation ; Arbitrage ; Exception d’inexécution ; Résolution ; Résiliation ; Syndication ; Contrat Chapeau ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Caroline STEPHANE :

        «  La Gestion Juridique des Contrats »

Conférence PMI® – Christian MIGNONAT :

       « Contrat(s) outil(s) formatant & fondateurs du Management de Projet »

Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

-  Selon Michel DION Les types de contrat en management de projet ;

 

-  Livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

Contrat chapeau

Contrat Chapeau =  Contrat cadre.

Contrat qui, notamment lorsqu’il existe plusieurs autres contrats entre différents acteurs d’un même projet (Ex : Syndication ; sous-traitant, Assurance Tous Risques Chantier), vient se superposer à ceux-ci.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Contrat ; Management de contrat ; Management de projet ; TRC ; Syndication ;

 

Contrefaçon

= Counterfeiting  ; Falsificación  ; Counterfeiting  ;   ;

La contrefaçon est un délit (ex : Imitation d’œuvre/marque) ou un crime (Faux billets) qui caractérise l’usurpation du droit de propriété d’autrui.

 

L’action en contrefaçon est le recours civil et/ou pénal de celui qui a été copié contre le contrefacteur.

 

Attention : Celui qui est en possession d’un bien contrefait peut être poursuivi de recelle. (Pas de prescription !)

 

 Voir : Abus de confiance ; Brevet ; Contrat ; Dol ; INPI ;

 

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Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  INVESTIPOLE : Détective, agents de recherche : Défendez votre entreprise contre la concurrence déloyale, la contrefaçon, la corruption, la fraude, le vol, et le débauchage …

 

Contre-lettre

La contre-lettre est un acte confidentiel par lequel les parties prenantes définissent les dispositions des actes et conditions qui régiront leurs relations et notamment les transactions qui en découlent.

 

Le caractère secret de ces dispositions les rend inopposables aux tiers.

 

Cette pratique est le plus souvent utilisée pour contrevenir à des dispositions contractuelles déjà formalisées, pour lesquelles, par exemple, le prix de vente réel d’un bien ou d’une prestation va être dissimulé pour en retirer des avantages financiers fiscaux ou autres.

 

La contre lettre est parfois appelée « dessous de table » ou « Entente ». Il est bien évident que si l’objectif recherché par cette pratique est illicite (ex : concurrence faussée.) les parties prenantes s’exposent à des poursuites judiciaires.

 

 Voir : Contrat ; Confidentialité ; NRE ; Pacte d’actionnaire ;

 

Contributeur

Participant actif en soutien matériel, technique, financier…

 mais aussi à la réflexion ou au travail d’un groupe.

 

Que ce soit en mode coopératif ou collaboratif c’est un actif qui peut aussi être partie prenante à la réflexion ou au travail d’un groupe en étant  un simple exécutant mais aussi un expert dans un domaine particulier de compétence

 

 Voir : Management de projet ; Partie prenante ; Travail collaboratif :

 

Contribution Economique Territoriale (CET)

En France la CET remplace au 1er janvier 2010 la Taxe Professionnelle.

En période de mutation ceci aura notamment une incidence sur les obligations de documentation  pour ce qui concerne les prix de transfert.

 

 Voir : Prix de transfert ;

 

Contrôle de gestion

= Management control  ;   ;

 

 Voir : Audit ; Beyound budgeting ; Centre de profits/coûts ; COSO ; Credit Management ; Décisionnel ; EMOFF-FFPM ; Gestion globale de la performance (CPM) ; Gouvernance des risques et conformités ; IFRS ; LSF ; Maîtrise des dépenses ; Management de contrats ; Management de projet ; OVAR ; Production au plus juste ; Rapport ; Système de Management Intégré ; VaMPs ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

- L’Antiblible du Contrôle de Gestion : Les 10 commandements de la rénovationLivre de Florent FOUQUE

- Livre « La mutation du contrôle de gestion » Collection DFCG chez : Editions d’organisation.

 

- RAPPORT de L’AMF sur le GOUVERNEMENT d'ENTREPRISE et le CONTRÔLE INTERNE : Objectifs, méthodes, références, codes, acteurs, etc.

 

- Voir aussi : DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

Convention

La convention est un accord, pacte, règle « convenu » passé entre 2 ou plusieurs personnes, physiques ou morales.

Elle peut revêtir des formes multiples adaptées aux situation et objectifs :

- Assemblée, souvent chargée de définir les relations entre ses membres, dans le cadre par exemple de soutenir une constitution pour un pays et maintenant adapté à la gouvernance d’entreprise au travers de manifestation à caractère incitatives pour ses partenaires internes et externes « Incentives »

- Convention collective du travail, dont le rattachement, selon l’activité exercée par l’employeur (ex : NAF) est déterminant pour les relations employeurs, employés (Rémunérations, congés, modalités de licenciement, cotisations sociales, etc)

- Convention d’établissement, réservée aux investissements d’entreprises étrangères dans des pays en voie de développement ;

 

Le contrat (ex : commercial, pacte d’actionnaire) est aussi une forme de convention.

En langage courant celui-ci fait penser à la rédaction d’un acte alors que sur le plan philosophique la convention fait plus référence à ce qui est admis par une communauté et assimilable aux usages et coutumes.

 

 Voir : Incitation économique ; Pacte d’actionnaire ; Contrat ; NAF ; Management de contrats ;

 

Convention d’occupation précaire

 

 Voir : Bail ;

 

Convergence Téléphonique et Informatique

 

 Voir : CTI.

 

Cookies

 

 Voir : Mouchard.

 

Copyright

Le Copyright  est une procédure mise en place aux USA et qui permet de rattacher une propriété intellectuelle pour en réglementer notamment les « droits à la copie »  

 

 Voir : Droits d’auteur ; Propriété ;

 

Corporate entrepreneurship

 

 Voir : Intrapreneur

 

Corporate governance

 

 Voir : Gouvernance d’entreprise

 

COSA

COSA = COmmission pour les Simplifications Administratives :

Dont dématérialisation des procédures

 

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 Infos :

- La Documentation Française

 

COSO

Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission  .

Cadre conceptuel de réflexion sur le contrôle interne.

 

C'est un référentiel que connaissent bien les directeurs financiers et contrôleurs de gestion en particulier dans le cadre de la mise en conformité avec le "Sarbanes Oxley Act"  US qui correspond en France à la loi sur la sécurité financière.

 

 Voir : Audit ; Contrôle de gestion ; Evaluation ; Exigence ; LSF ; Management de projet ; Norme(s) ; NRE ; Organisation ; Performance ; Qualité ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; Tenstep ;

 

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 Infos :

- Voir aussi : DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

- RAPPORT de L’AMF sur le GOUVERNEMENT d'ENTREPRISE et le CONTRÔLE INTERNE : Objectifs, méthodes, références, codes, acteurs, etc.

 

Cote

La cote , est l’appréciation, le constat d’un niveau de mesure, prix, taux, cours. Cette notion peut parfois être similaire de : Rate  ;

                                           

L’évaluation d’une valeur ainsi exprimée permet de définir un classement et éventuellement de suivre son évolution.

 

Pour les sociétés cette cote peut être ciblée pour mieux apprécier le cours de ses titres émis sur le marché ou son niveau de solvabilité. Ex : activité, crédit, paiement, etc.

 

Cette partique permet aussi de donner une note pour définir un classement, fixer des priorités ou de niveau d’intérêt comme le font les managers de projets par ce qu’il appelle le plus communément « Scoring » puisque c’est aussi une action.

 

 Voir aussi : FIBEN ; Marché ; Points de risque ; Prix ; Rate ; Score ; Taux ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 10 : Modèle de cotation  = Scoring model

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Count back

 

 Voir : DSO.

 

Coupe-feu

Coupe-feu = Firewall

Le coupe-feu est un ensemble de logiciel et matériel(s) permettant à la façon d’un miroir translucide de sécuriser l’accès, par Internet, aux ordinateurs et aux réseaux.

 

Technique de protection contre l'intrusion dans un système informatique.

 

 Voir aussi : Logiciel espion ; Virus ; Cheval de Troie ; Mouchard ; Ver ; Réseau ;

 

Couplage téléphonique

 

 Voir : CTI.

 

Couponnage

Le couponnage   = Couponing  ;

C’est un principe de mercatique consistant à solliciter un prospect en l’incitant à retourner un coupon (réel ou virtuel) pour le faire adhérer à une action de communication.

 

L’objectif recherché est d’obtenir non seulement ses coordonnées les plus complètes possibles, éventuellement ses aspirations personnelles et le cas échéant ses choix d’achat.

Pour ce qui concerne les coordonnées du prospect l’élément important c’est de formaliser ainsi son accord pour permettre de l’intégrer dans des fichiers informatisés qui serviront à le contacter/solliciter ultérieurement en toute légalité.

 

 Voir : DanOptin-out ; Spam ; CNIL ; Mercatique ; Segment de clientèle ;

 

Courbe en cloche

La courbe en cloche est aussi appelée « Coubre de Rogers » peut être utilisée notamment pour illustrer le cycle de vie d’un produit ou la résistance au changement ex :

- Cycle de vie produit :

.   1- Développement : Phase de fortes dépenses sans recettes notamment en phase innovation ;

    2- Lancement sur le marché : Phase de coûts élévés notamment de production et commercialisation ;

    3- Croissance : Période de rentabilité forte due notamment aux effets précédents directs et induits ;

    4- Maturité : Période de stabilité avec augmentation de coûts dùs au maintien du produit sur le marché ;

    5- Déclin : Phase pendant laquelle plusieurs indicateurs annoncent le retrait d’un produit.

- Résistance au changement :

    1- Initiateurs ; 2- Progressistes ; 3- Conservateurs prgmatiques 4- Opposants

 

  Voir : Achats ; Amélioration continue ; Approvisionnement ; Conduite du changement ; Coût total de la qualité ; EMOFF-FFPM ; Force de vente ; Gestion du cycle de vie de l’information ; GMAO ; IPECC ; Management du cycle produit - PLM ; Plan industriel et commercial ; Production au plus juste ; SONCAS ;

 

Courbe en S

Méthode qui permet de visualiser dans un graphique les évolution de certaines mesures comme les coûts et délais dans le cadre d’une gestion de projet.

 

Cette pratique mets en évidence les coûts budgétés et délais prévus par rapport aux réels, leurs écarts et ce qu’il reste à réaliser.

 

 Voir aussi : Management de la valeur acquise ; Management de projet ;

 

 

Courtier

Le terme « Courtier » est d’origine provençale = Brocker  ; Makler  ; Corredor  ;

 

Intermédiaire, personne physique ou morale, très répandu dans le commerce mais dont la vocation n’est pas de traiter directement avec les parties.

Sa seule mission est de les rapprocher.

Dans certaines professions il peut être assermenté et avoir le statut d’officier ministériel.

 

Dans les faits il soumet les contrats pour signature, rapproche les offres (ex : lorsqu’il propose de signer un contrat avec une compagnie apéritrice en matière d’assurance)

 

Les activités de courtier les plus répandues sont dans les domaines de l’assurance, la banque et notamment en matière de devises, le fret et en particulier maritime, mais aussi sur les marchés financiers où ils ont remplacé les anciennes charges d’agents de change, etc.

 

Les spécialistes de gestion des actifs boursiers (Assets managers), comme les fonds de pension, sont les plus importants acteurs en rapport avec les « Brockers ».

 

Attention : Le courtier n’est donc pas un commissionnaire, ni un agent ce qui peut être trompeur surtout dans le respect des contrats signés.

 

 Voir : Arbitrage ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Contrat ; Commissionnaire ; Commanditaire ; Commettant ; Conciliation ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Ducroire ; Fiducie ; Gestion des actifs ; Intermédiation ; Management de contrats ; Mandant ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Médiation ;

 

Coût économique global - CEG

Le coût économique global – CEG  = TEI : Total Economic Impact  :

Incorpore le TCO, et prend aussi en compte les notions de bénéfices (ex impact d'un CRM /développement clientèle), la flexibilité (ex : liquider le projet à un moment donné et de reconvertir les moyens humains et techniques mobilisés) et les risques (ex : taille du projet, calendrier, fiabilité de l'éditeur et architecture du produit)

 

 Voir aussi : Coût total de la possession ; Décisionnel ; Evaluation ; Retour sur investissement ;

 

Coût Total de Possession - CTP

Coût Total de Possession : CTP  = Total Cost of Ownership : TCO  :

Indicateur qui évalue le passif et l'actif d’une acquisition.

 

Comme beaucoup de concept de gestion celui-ci est particulièrement apprécié des directions financières et achats en particulier dans une période confrontée aux offres diverses d’externalisation que l’on peut comparer avec des investissements pour lesquels il faut en plus assurer la maintenance, ou l’hébergement pour des logiciels.

 

 Voir : Coût économique global ; Décisionnel ; Ecart d’acquisition d’entreprise ; Evaluation ; Retour sur investissement ;

 

   Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Coût total de la qualité - CTQ

Le CTQ : Coût total de la qualité c’est la somme de la non conformité et de la mise en conformité.

Comme le met en évidence l’estimation du « Coût Total de la Qualité » la mise en conformité est peut coûteuse par rapport à un refus de mettre en place une démarche qualité !

En effet, on estime couramment que le coût de la conformité représente au maximum 5 à 7% du CA lors de la mise en place d’une démarche qualité et beaucoup moins par la suite.

En revanche le CTQ peut être de 30% du CA chaque année et même couter la vie à une entreprise notamment en cas de problème de santé qui au-delà des couts d’indemnisation serait fatal à une marque ! 

 

 Voir : Accord de qualité de service ; CMMI ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Genchi Genbutsu ; Gouvernance des risques et conformités Management de contrats ; Management de projet ; Plan d’expérience ; Qualité ; SMP2 ; Stratégie Océan Bleu ;

 

Couveuse

 

 Voir : Pépinière d’entreprise ;

 

Covenants

Covenants

 

 Voir : Clause de sauvegarde ;

 

CPL

Courant Porteur en Ligne – CPL, c’est l'Internet sur une prise électrique.

 

Le CPL n'est pas encore un concurrent sérieux de l'ADSL, mais il défie déjà le WiFi et le LAN Ethernet, avec des prix et des débits intéressants.

 

Attention : Ne pas confondre avec « Coût par lead »

 

 Voir aussi : Réseaux ; ADSL ;

 

CPL – CPM

CPL (Coût par lead) ou CPM (Coût par mille). Signes souvent utilisés mais mal appropriés !

 

Attention : Le nombre de clic des internautes n’est pas en soi une garantie de succès !

En effet il y a les curieux et concurrents et autres statisticiens (dont les étudiant) et donc qui ne se transforment pas en clients.

Mais plus grave certains acteurs de l’Internet font volontairement grimper le nombre de clic par des procédés manuels et surtout automatisés dans le seul but est de facturer le propriétaire de la marque / produit concerné.

 

Le prix payé n’est donc que rarement en rapport avec les résultats escomptés, un clic n’étant pas un acte d’achat. Autant acheter des trous pour mettre dans l’Emmental ! (En effet le Gruyère n’a pas de trou)

 

 Voir : e-business ; Mercatique ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mouchard ;

 

CPM

CPM : Corporate Performance Management.

 

Attention : Ne pas confondre avec « Coût par mille »

 

 Voir : GGP : Gestion globale de la Performance.

 

CRDS

CRDS = Contribution pour le Remboursement de la Dette Sociale.

 

Impôt dont l’assiette porte sur l'ensemble du patrimoine d’un contribuable : Revenus d'activité ou de remplacement.

Il est destiné au remboursement des dettes du régime général.

 

 Voir : Déclaration fiscale ; Assiette ;

 

Créance certaine

Une créance certaine est une obligation qui peut être identifiée de manière incontestable, dette d’un débiteur qui peut être prouvée sans discussion par son créancier. Ex :

- Contrat reconnu par un acte authentique.

- Intérêts moratoires sur facture acceptée*

 

Attention* : Les intérêts moratoires, dus sur une créance commerciale acceptée par le débiteur et non payée à l’échéance, doivent être comptabilisés au plus tard à la fin de l’exercice concerné car ils représentent une créance certaine du fait de la loi (dispositif NRE), même sans que ceux-ci soient réclamés par le débiteur !

 

 Voir : Intérêts moratoires ; NRE ;

 

Créancier

= Acreedor  ; Gläubiger  ; Creditor  ;   ;

Un créancier au sens général c’est celui qui est titulaire d’une obligation.

 

L’image prend tout son sens avec le titre boursier du même nom qui confère à son propriétaire un droit de créance et non d’association.

 

De même celui qui vend un produit ou une prestation et qui en attend le paiement de l’acheteur est un créancier.

 

Note : Créance = Receivable ; Claim ;

          Dette = Debt ;  ; Deuda  ;

 

  Voir : Accipiens ; Astreinte ; Intérêts moratoires ; Obligation ; Contrat ; Cession de créance ; Contentieux ; Credit Management ; Mise en demeure ; Injonction de payer ; Lettre de créance ; Crédit d’impôt ; Créance Née à l’Etranger ;

 

Créance Née à l’Etranger - CNE

La CNE = Céance Née à l’Etranger, comme son nom l’indique résulte d’une transaction entre acteurs de pays différents.

Ces créances ont ceci de particulier qu’elles concernent aussi la politique d’un pays au soutien de l’exportation. Des dispositions particulières notamment liées au financement de ces créances commerciales (ex : effet de commerce) ont donc été mises au point. Celles-ci s’appuient aussi sur un système de refinancement spécialisé appelé MCNE : Mobilisation de CNE (= Papier financier et nom commercial).

 

 Voir : Avance en devise ; BFR ; Crédit documentaire ; Credit Management ; Délais de paiement ; DSO ; Escompte commercial ; Financement du poste Clients ; Garantie(s) ;

 

Création d’entreprise

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Aides ; Approvisionnement ; BFR ; Bilan ; Capacité d’autofinancement ; CFE ;  CGV ; Comptabilité ; Compte de résultat social ; Contrats ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Evaluation : Fonds de commerce ; Fonds propres ; Force de vente ; Formation ; Formes juridiques ; Frais professionnels ; Gestion de la relation Clients ; Management de projet ; Marge(s) ; Mercatique ; Plan d’affaire ; Passif ; QPQQCOC ; Réseau ; Ressources humaines ; Risques ; SIG ; Tableau de bord ; TICC ; Travail collaboratif ;

 

Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Credentials

 

 Voir : - Lettre de créance  &   Référence active

 

Crédit Acheteur

Le crédit acheteur est un montage qui permet à un fournisseur, essentiellement exportateur, de demander à son banquier de financer un acheteur le plus souvent grâce à une garantie du banquier de ce dernier.

 

Ne pas confondre avec un crédit documentaire.

 

Outre le fait de favoriser les ventes du fournisseur le montant du crédit accordé ne figurera pas dans l’endettement du fournisseur.

 

 Voir aussi : Affacturage ; Cash custing ; Credit documentaire ; Credit Management ; Escompte bancaire ; Dailly ; Forfaitage ; Titrisation ; Window dressing ;

 

Crédit bail

Crédit-bail    Financial lease = Leasing  ;    ;

Comme son nom l’indique le Crédit bail est une formule de location dans la durée et adossée à un financement. Le contrat prévoit « in fine » une promesse de vente du bien concerné.

 

Bien que n’étant pas la propriété du « locataire » le bien est pourtant assimilé aux immobilisations comptables des entreprises.

 

Certaines entreprises cèdent des immeubles, matériels ou outils à des structures spécialisées de crédit bail qui leur remettent ensuite à disposition (= Lease back). Cette opération est destinée à alléger le bilan, à dégager des liquidités sans se départir de l’utilisation du bien qu’il soit immobilier (Locaux) ou mobilier (outil de production) Mais attention aux incidences fiscales liées aux plus values de cession et droits d’enregistrement, etc. Ces pratiques sont le plus souvent incluses dans des contrats d’externalisation sur le long terme.

 

 Voir : Allègement de bilan ; Amortissement ; Analyse financière ; BOT ; Engagements hors bilan ; Externalisation ; Propriété ; Services généraux ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Crédit de campagne

Le crédit de campagne correspond à une « ligne de découvert » autorisé par un établissement financier  pour palier les décalages entre période de production, achat,transformation et vente ex : Jouets, Vins ;

 

 Voir : Découvert bancaire.

 

Crédit de trésorerie 

Un crédit de trésorerie est accordé par un établissement financier mais il ne porte pas sur l’acquisition d’un bien ni directement sur la mobilisation de créances commerciales.

 

 Voir : Découvert bancaire ; Billet de trésorerie ;

 

Crédit d’impôt

Le crédit d’impôts c’est une créance qu’un contribuable, personne physique ou morale, détient sur le Trésor Public notamment dans le cadre de certaines activités aidées.

 

Exemple pour un particulier :

 Crédit d’impôt pour équipement de récupération des eaux pluviales.

 

Exemple pour une entreprise :

 « CIR » Crédit Impôt Recherche » qui est issu d’une disposition fiscale qui a pour objectif de favoriser les initiatives d’entreprises en matière de R&D. Le principe économique étant que l’impôt non payé va faciliter le développement de l’innovation donc le développement de l’entreprise bénéficiaire.

 

 Voir : Avoir ; Avoir fiscal ; Brevet ; Défiscalisation ; Délai fiscal de reprise ; Evaluation ; INPI ; LME ; PME de croissance ; Rescrit ;

 

Crédit documentaire

Crédit documentaire = Dokumentenakkreditiv  ;   ;

Le principe du repose sur des circuits parallèles de contrôle et de circulation d'une part des marchandises et d'autre part des documents (Ex : de transport, liste de colisage) qui les concernent et nécessaires à la réalisation , sécurisation, de la transaction.

Il se matérialise par un engagement formalisé par la banque de l'importateur de payer une créance au banquier de l'exportateur en échange de certains documents relatifs à l'expédition des marchandises et permettant otamment que les marchandises soient livrées d’un coté pendat que de l’autre le processus de règlement se concrétise.

Cet engagement peut revêtir plusieurs formes dont celle du "credoc irrévocable et confirmé" qui offre un maximum de garantie car impliquant les banquiers des deux parties.

 

La banque émettrice est à l’origine du crédit = Issiung bank , C’est celle doit payer en échange des documents.

La banque notificatrice = Advising bank , c’est l’organisme intermédiaire simplement chargé d’aviser le bénéficiaire du crédit documentaire, sauf s’il accepte de « confirmer » le crédit documentaire.

 

Autres formules utilisées, pour en particulier, assurer les règlements internationaux avec plus ou moins de sécurité, garantie :

a) Boléro (Système permettant la dématérialisation des documents pour le credoc)

b) Lettre de crédit "Stand By"

c) Encaissement documentaire (= Opération sans garantie).

d) Forfaiting (Rachat de créance sans recours)

 

 

 Voir : Agréage ; Bolero ; Caution ; Clauses ; Credit Management ; Dématérialisation ; Forfaitage ; Incoterms ; Lettre de crédit garantie ; Liste de colisage ;

 

Credit Management

Le « crédit management » c’est à la fois la gestion fonctionnelle, opérationnelle et surtout managiériale des créances commerciales.

Si un terme convient parfaitement pour exercer le métier de credit manager c’est « Congruence » car il requiert une nécessaire correspondance entre formation théorique et pratique, compréhension des besoins et apport d’expériences, reconnaissance des individualités et travail collaboratif, etc.

 

Les enjeux liés au poste clients (Poids au bilan et rentabilité, qualité des relations avec les « Clients »,  mesures de performances pour l’entreprise et création de valeur, etc.) nécessite un travail collaboratif entre tous les acteurs :

Partenaires internes (Commerciaux, financiers, juristes, etc.)

- Partenaires externes (services externalisés de relances amiables ou contentieuses, fournisseurs de renseignements, etc.)

- et bien évidemment les différents contacts chez les Clients dans le cadre d’une stratégie définie par la direction générale de l’entreprise en s’appuyant sur un système d’information performant, d’où la notion forte de « Management ».

 

Une véritable politique de crédit management ne peut donc être conçue sans une démarche en mode projet dans un concept de gestion globale de performance et donc avec une équipe pluridisciplinaire qualifiée et motivée.

Les moyens et méthodes utilisées relèvent de la responsabilisation de chacun quelle que soit sa fonction et niveau hiérarchique, mais aussi de la qualité des relations tant en interne que vers l’extérieur = Faire de la production au plus juste !

Le Credit management est au centre de la gestion d’entreprise car il touche de très près à la réalisation du chiffre d’affaires qui est le carburant de l’entreprise. Très impliqué dans le système d’information car c’est un métier de gestion des données clients et fourisseurs qui distribue les tâches gère des échéances et alertes  puis doit fournir des analyses tant financières que de comportement. Il est partie prenante à la logistique de production et des transports, etc.

 

La mesure permanente de nombreux indicateurs clés, liés au Clients (ex : Scores, délais et autres conditions) ou à la performance interne (Qualité des analyses de risques et relances, identification des disfonctionnements internes et résolution des litiges).

 

Administrateur des crédits = Credit Manager  :

Responsable de la gestion du crédit Clients. Il participe à l’élaboration de la politique crédit et au « Comité Crédit-Risques » Ex : Typologie et conditions appliquées aux Clients notamment en établissant un profil payeur pour chacun ).

Par ses compétences il aide la Direction Générale à définir l’organisation, les processus de gestion et actions pour servir les objectifs stratégiques de l’entreprise.

C’est pour cette raison que son rattachement hiérarchique et son affectation fonctionnelle doivent être judicieux.

Puis dans son service il mettra en place les stratégies de relances et de résolution des litiges, le suivi des règlements.

 

Le Credit Manager participe à la réduction des charges et coûts financiers.

Adepte de l'analyse financière et des outils de gestion informatisés, il doit posséder une bonne culture juridique tant pour adapter les conditions et modes de paiement que les procédures de recouvrement en cas de litiges ou autres difficultés.  

Ses fonctions l'amène également à former et motiver ses collaborateurs, négocier et communiquer tant en interne que vers l'extérieur de l'entreprise.

Chasseur de coûts, il essaye de concilier entre intérêts commerciaux et exigences financières. C’est aussi un élément clé de la gestion du BFR.

 

Evolution du métier vers :

- D’autre métier parralèles : Trésorier, contrôleur de gestion, manager de risques ;

- Des fonctions de décideurs du fait de cette spécialisation tranverse à la fois financière, relationnelle, SI, etc. : DAF ; Dirigeant de PMO (Petites et Moyennes Organisations).

 

 Voir : Affacturage ; Analyse financière ; Assurance crédit ; BFR-BFE ; Cash custing ; Conditions générales de vente ; DSO, Fournisseur ; Garantie ; Gestion Globale de la Performance ; Litiges ; LME ; Loi de sauvegarde ; Maîtrise des dépenses ; Management au plus juste ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Points de risque ; Profil payeur ; Qualité ; Recouvrement ; Renseignements ; Score ;

 

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 Infos :

Article : « Métier Credit Manager » ;

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

- Découvrez la présentation du livre sur "Cash Custing" pour aller au-delà du Credit Management vers l’optimisation du BFR !

 

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 Formations Appropriées :

-   INSEEC : Module Credit Management sur Masters Finances/gestion

 

CRM

Customer Relationship Management  (Customer = client; Relationship = lien de parenté)  

 

 Voir : Gestion de la Relation Clients : GRC   

 

Cross docking

 

 Voir : Débordement 

 

Cross selling

 

 Voir : Ventes croisées.

 

Crowdfunding

 

 Voir : Financement par la foule

 

CRTE

CRTE : Coût Réel du Travail Effectué = ACWP (Actual Cost of Work Performed)  

 

Mesure les dépenses effectivement réalisées à un moment donné : Ce que cela a déjà coûté.

C’est un marqueur de l' EVA- Earned value Analysis.

 

Se renseigner sur Coût budgété du travail effectué (CBTE) élément d’évaluation du « Management de la valeur acquise (EVM ) et Coût budgété du travail prévu (CBTP)  = BCWS (Budgeted Cost of Work Schedule

 

 Voir : EVA ; Evaluation ; Management de la valeur acquise ; PVA ;

 

Cryptographie

Cryptographie du grec : Crypto = Caché et Graphie = Ecriture

Concept générique relatif aux méthodes et technologies ayant pour objectif de cacher, sécuriser la transmission de messages, données par des procédés notamment issues du codage et du chiffrement.

 

La cryptographie utilise par exemple deux systèmes.

- Celui dit alphabétique par substitution (utilisé notamment par César) et transposition des lettres ;

- Celui dit à codes qui à vu son développement notamment avec des machines à coder et grilles de lecture, pour des missions d’espionnage surtout à l’occasion des grands conflits militaires, de la guerre froide et suite à la révolution industrielle.

 

Le chiffrement est longtemps resté un privilège exclusif de nombreux Etats. En France c’est la Direction centrale de la sécurité des systèmes d’information qui à en charge la surveillance de ceux-ci.

Il s’est largement développé librement avec l’avènement d’Internet et des impératifs liés à la sécurisation des données transmisses et en particulier pour l’innovation et le règlement des transactions.

 

Le chiffrement est aujourd’hui principalement utilisé selon deux principes :

- Symétrique : Qui est utilisable par un système d’accès par une clé électronique, dit « Clé unique » pour le chiffrement et le déchiffrement ;

- Asymmétrique : Qui par opposition au précédent, utilise une clé dite publique pour le chiffrement et une clé privée pour le déchiffrement, sachant qu’il ne doit pas y avoir de possibilité de déterminer l’un à partir de l’autre.

 

 Voir : Document numérique ; Facture électronique ; Signature éléctronique ; Certificat numérique ; EDI ; Télétransmission ; Loi Confiance dans l'Economie Numérique ; Tiers de confiance ; e-Business ;

 

CSI

Centre de Services Informatiques (ex : CSI) = Serveur de l’administration fiscale à Strasbourg pour télétransmissions.  Attention différent de CDI : Centre Des Impôts = interlocuteur du contribuable.

 

 Voir :  IFU ; EDI ; EFI ;

 

CSP

 

 Voir : Centre de Services Partagés        Ou     Catégories socioprofessionnelles.

 

CSSS

Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés

 

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 Infos :

Voir site net-entreprise

 

CTI

Convergence Téléphonie Informatique : CTI (ou couplage téléphonique intégré)

 

Fait appel aux fonctions routage intelligent des appels (ICR), le serveur vocal interactif (SVI), pour aboutir à la distribution des appels.

 

Cette technique est très utile notamment dans les centres d’appels, services achats et administration des ventes ainsi que pour les relances clients.

 

 Voir : Centre d’appel ; Appels alternatifs ; PABX et (T) IPA ; Automatisation des forces de vente ; Mercatique ; Réseaux ; Client léger ;

 

Customer-Care

« Customer-car »  C’est une méthode de fidélisation du client.

 

 Voir : Commercial ; Domaines d’Activité Stratégique ; Effet d’usure ; Etalonnage ; Etude d’usages et d’attitudes ; Génération : BB, X, Y ; Intelligence économique ; Mercatique ; Modèles d’analyse de portefeuille ; Pyramide des besoins ; Réponse Optimale au Consommateur ; Score d’appétence ; Segment ; Stylique ; Veille ;

 

CVA

Client Value Added - CVA  : Valeur créée au niveau du client  :

Indicateur prédéfini mesurant le degré de satisfaction de la clientèle.

 

 Voir : EVA et PVA (valeur créée au niveau du personnel)

Voir aussi : Commercial ; Mercatique ; Score d’appétence ; Etude d’usages et d’attitudes ; SONCAS ;

 

Cycle en V

Modèle de gestion de projet qui a pour particularité de vouloir découper le projet en phases qui feront l’objet de test avant de passer à la suivante en évitant de revenir à ue phase précédente en cas de découverte d’une aomalie. Le tableau d’un cycle en V ce décrit par ex :

    - En ordonnée : Les rôles des acteurs concernés 

    - En Abscisse : les phases du cycle comme = Analyse des besoin -  

 

Même si parfois cette pratique peut faire penser à celles agiles notammet par les actions empiriques les puristes du managemet de projet agile la récuse comme telle.

D’autres lui trouvent bien des inconvénients pour s’affranchir des incohérences entre la théorie et la pratique notamment lorsque des facteurs humains interviennent et que les prérequis aux test sont insuffisants.

 

C’est aussi pour mieux maitriser cette pratique que les parties prenantes sont impliquées au niveau d’un comité de pilotage.

 

 Voir : Développement Dirigé par les Tests ; Maitre d’Ouvrage ; Management de projet ; SCRUM ; VABF ;

 

D

 DFCG : Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion.

   Elle facilite le perfectionnement professionnel de ses membres : Réflexion, débats, congrès ...

 DCF-Dirigeants commerciaux de France :

       1er réseau d'entrepreneurs et d'experts de la fonction commerciale.

DADS 

DAS2

Déclaration Annuelle des Données Sociales - DADS

Chaque année les employeurs (hors particuliers et fonction publique) sont tenus de déclarer différentes informations relatives à leur personnel.

 

Ces déclarations de données sociales sont faites à l’administration fiscale et aux URSSAF.

Elles concernent en particulier des éléments de rémunération catégoriels, de classements par professions, métiers, d’âge, genre, situation de famille, etc.

 

Outre de servir pour différents contrôles ces informations sont notamment transmises à l’INSEE pour réalisations d’études démographiques et économiques qui par la suite permettent aux services mercatique de réaliser leurs propres études de marché et en particulier sur certains classements comme les CSP.

 

Ces obligations rejoignent, pour l’emploi, certains sujets et obligations inclus dans le dispositif NRE.

 

Attention : Conformément aux dispositions fiscales (Art.240.1 du CGI) les sommes versées au titres de : Commissions ; Courtage, ristournes, honoraires et vacations, jetons de présence, droits d'auteur, droits d'inventeur et autres gratifications, doivent faire l’objet d’une déclaration spéciale : DAS 2 tant par les sociétés commerciales que les associations.

 

N4DS : En 2012 cette nouvelle norme remplacera la DADS-U = Déclaration Automatisée des Données Sociales Unifiée

 

 Voir : Catégories Socio-Professionnelles ; Déclarations ; DUE ; Mercatique ; INSEE ;NRE ; ROME ; Télé déclarations ;

 

Dahir

Dahir  : Désigne un décret royal marocain.

 

 Voir : Droit(s) ; Adoul ; Juge ;

 

Dailly (loi)

La « Loi Dailly » du 2 janvier 1981 du Sénateur éponyme, a permis de mettre en place un nouveau procésus de refinancement pour les entreprises par un mode de cession de créances professionnelles, sans création d'effet de commerce (ex : depuis facture, Bdc, BL) à un organisme bancaire (sur bordereau) en contrepartie d'un financement à court terme.

 

Attention aux procédures et aspects juridiques !

 

 Voir : Escompte bancaire ; Cession de créance ; effets de commerce ; Credit Management ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Dashlets

Suite de liens ou nuage de tags notamment situés sur un page web et permettant d’accéder rapidement à différentes sources d’information.

 

 Voir : Mouchard ; Référenement ;

 

Datamart

 

 Voir : Entrepôt de données.

 

Datamining

 

 Voir : Exploration de données  

 

Datation

La datation est le fait de déterminer l’âge d’une chose (ex par le carbone 14) ou la date d’un évènement.

 

L’expression des dates varie selon les cultures qui peuvent indiquer les données chiffrées relatives au jour, mois et année dans des ordres diffrents.

Ainsi en informatique la présentation par des séries de chiffres dans l’ordre année+mois+jour, permet notamment d’obtenir un nombre qui facilite le classement numérique et donc des recherches ultérieures.

 

Pour exemple nous vous recommandons de sauvegarder vos fichiers en faisant précéder le nom de celui-ci de ce nombre ainsi constité par la date de sa conception ou diffusion = AAMMJJ

De plus vous pourrez mieux identifier les différetes versions d’un même support.

 

Data warehouse

 

 Voir : Entrepôt de données.

 

Dation

La dation c’est le transfert de propriété d’un bien pour extinction de dette entre créancier et débiteur.

 

Attention :

- à l’opposabilité aux tiers.

- ne pas confondre avec la vente en rémére

 

 Voir : Réméré ; Clause de réserve de propriété ; Bien(s) ; Propriété ;

 

DBR

Acronyme pour « Drum Buffer Rope »

 

Symbolique dans la théorie des contraintes pour l’organisation efficace d’une chaîne de production.

- Drum = Tambour  : Rythme imposé à la chaine  

– Buffer = Tampon   : Protégeant la contrainte

– Rope = Corde  : La chaine de production.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- ProCC Conseil : Vous rêvez de réduire de 40% la durée de vos projets ? 

      Passez du rêve à la réalité !

 

 Voir : Théorie des contraintes ;

 

DEB

Quelque soit la taille de l’entreprise et biens qu’à l’intérieur de la communauté européenne la circulation des biens et services soit libre, donc pas de déclaration douanière, il faut néanmoins que chaque mois les entreprises remplissent une déclaration d’échanges de biens – DEB.

 

Celle-ci à une vocation statistique et permet également des vérifications fiscale à postériori.

 

 Voir aussi : Télé déclarations ; DUE ; DADS ; Crédit documentaire ; Incoterms ;

 

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 Infos :

Voir le site de la douane : Pour savoir comment pratiquer en matière de DEB !

 

Débenture

Le terme débenture désigne un titre de créance qui n’est garanti que par la réputation du débiteur émetteur ex : Etat ;

 

 Voir : Titre ; Lettre de change ; Billet à ordre ; Débiteur ; Créancier ; Garantie ; Nantissement ; Gage ;

 

Débiteur

= Debtor  ; Schuldner  ; Deudor  ;    ;

Le débiteur est celui qui doit exécuter ses obligations au profit de son créancier.

En particulier en ce qui concerne le solde d’un compte bancaire, par tolérance = facilité de caisse ou par accord écrit = Découvert autorisé.

 

 Voir : Solvens ; Novation de créance ; Découvert ; Facilité de caisse

 

Débordement

Le terme débordement concerne plusieurs métiers dont :

- Les centres d’appel qui doivent gérer les flux de travail en fonction des aptitudes mais aussi de temps de présence et de durée des communications ;

 

- La logistique doit aussi gérer le passage d’un quai, d’un bord, à un autre sans pour autant transiter par une zone de stockage.

Cette action est désignée sous le terme de débordement ou transbordement = Cross docking

Parfois cette action doit prendre en compte un retraitement lié au conditionnement (ex : allotissement).

 

 Voir : Allotissement ; Centre d’appels ; Chaîne d’approvissionnement ; Plate-forme logistique ; Temps Moyen d’Attente ; Qualité ;

 

Débours

Issu du mot débourser, le débours est une somme avancée à un tiers pour le compte d’autrui ex :

 

- Pratique fréquente en matière de tranports ou les débours sont des frais mineurs et accessoires ajoutés sur la « Lettre de transport"

 

- Dépenses engagées personnellement par un mandataire pour le donneur d’ordre, l’avocat pour son client et représentant l’acquittement de certains frais (voyage, correspondance, etc.) n’ayant pu faire l’objet d’un accord préalable

 

 Voir : Dépens ; Irrépétibles ; Lettre de transport ;

 

Debt collector agent

 

 Voir : Agent de recouvrement   ;

 

Déceptive (Information)

 

 Voir : Dol ;

 

Déchéance du terme

 

 Voir : Clauses ; Clause de déchéance du terme ;

 

Décisionnel

On désigne communément par « Décisionnel » le système d'information et d'aide à la décision = SIAD. Outils dits de "Business Intelligence"  = Intelligence d'Affaires.

 

Précisons que la décision :

C’est s’inscrire dans l’action y compris de ne pas faire. C’est un acte fondateur, créateur.

Informer, entériner, appliquer sont des termes qui découlent d’une décison.

Décider n’est pas l’apanage des dirigeants et managers mais de ceux qui prennent position ou de fait, évènements, qui influence les situations.

Ces décisions sont souvent classées selon quelles sont :

- Stratégique : Qui ont une vision, un objectif souvent à long terme notamment sur nos relations avec notre environnement ;

- D’organisation : Fixant notamment le cadre, les processus et moyens liés à la réalisation des activités ;

- De gestion : Qui assurent le respect des objectifs fixés par les stratèges et organisateurs  et rendent compte des résultats à court terme sur l’évolutio des choix qui devraient conduire au but fixé ;

- Opérationnelles : Parfois intégrées à la gestion ces décisions ont pour vocation de favoriser le fonctionnement  quotidien pour assurer une bonne exécution.   

Dans ces actes de décision, il est également important de ne pas confondre la stratégie (ex : Gagner la guerre) de la tactique (Ex : Gagner une bataille)

 

Progiciels permettant de réaliser des analyses multidimensionnelles depuis des bases de données muettes pour optimiser les prises de décisions.

1) Extraire et nettoyer les données d'un système (outils ETL = extraction, transformation, loading)

2) Organiser et consolider dans une structure adaptée (ex : Datamart métiers ou Datawarehouse)

3) Fournir aux différents utilisateurs des outils d'interrogation et de restitution d'analyses (Olap, Datamining) grâce à l'API

 

Le décisionnel selon son niveau de sophistication permet : Analyse prédictive, simulation, traitement statistique.

 

De nombreuses applications en ont fait son succès ex :

- La gestion des frais professionnels et des achats permettant aussi d’analyser les données fournisseurs ;

- Le crédit management en mettant à disposition des graphiques liés aux typologies et en cours clients ;

- Le commercial qui utilise maintenant les fonctions géomarketing ; la finance et le contrôle de gestion pour analyser les performances ; etc.

 

Les PGI et solutions dédiées à certains métiers ont su utiliser les nouvelles technologies (réseaux et développement) pour optimiser les prises de décision y compris à distance.

 

La pratique de l’Enterprise Feedback Management -EFM permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques.

 

 Voir aussi : Beyond budgeting ; Cobit ; Datamining ; Data warehouse ; EAI ; EFM ; ETL ; Evaluation ; Gestion Globale de la Performance ; IPA ; Maîtrise des dépenses ; Management ; Management de contrats ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management Intelligent ; OLAP ; PGI ; SIAD ; Stratégie ;

 

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 Infos :

- « Cherry picking 1.0 : Informatique Opportunités et Menaces pour l’Entreprise.

 Entre DG et DSI comment répondre aux enjeux économiques ? Livre d’Yves Cavarec à télécharger ou papier. 

 

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- Axxone Strategy ; Logiciel de Competitive et Business Intelligence :

        Connaître parfaitement son marché devient vital !

 

Déclaration de créance impayée

La déclaration de créances impayées est un acte par lequel un créancier, ou son représentant, produit, auprès du mandataire judiciaire, les justificatifs de ces créances qu'il détient sur un débiteur qui est dans une procédure de redressement, liquidation judiciaire ou de bénéfice de la loi de sauvegarde.

 

Ces créances doivent être suffisamment détaillées, causées, pour faire l'objet d'un avis d'admission de cette déclaration.

 

De plus, sous peine de forclusion, le dépôt de cette déclaration doit être dûment enregistré dans un délai n'excédant pas 2 mois après la date de publication officielle (BODACC) de la procédure concernée.

 

 Voir : Cessation de paiement ; Liquidation et redressement judiciaire ; Procédure ; Loi de sauvegarde ; Huissier de justice ; BODACC ; Credit Management ; Assignation ; Certificat de non-paiement ; Certificat d’irrécouvrabilité ; MARC ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Déclarations fiscales et sociales

Toutes les entreprises ont maintenant la possibilité de faire leurs différentes déclarations fiscales et sociales (ex : TVA, LF, TP, DUE) par télétransmission ce qui en améliore l’efficacité grâce à l’automatisation, mais aussi réduits les coûts tout en ayant un impact non négligeable sur la gestion de trésorerie.

 

Les procédés diffèrent pour télédéclarer.

Il est possible de transmettre des fichiers = EFI ou des données EDI.

Les modalités et les coûts sont également, eux aussi, différents.

 

Clôture Rapide = Fast Close  :

Tendance forte, depuis la crise de 2007, pour rassurer les marchés c’est d’accélerer et de multiplier la mise à disposition d’indicateurs clés de performance.

Bonne initiative pour ne pas attendre 6 mois  enrtre 2 publications.

Mais pour autat cette nouvelle pratique sera-t-elle une nouvelle mode pour stimuler encore plus les seules spéculations sur les marchés

Ou est-ce que ce sera enfin la transparence tant attendue, promise depuis toujours, mais jamais au RDV ?

 

Note : TVA = IVA  ; VAT  ;

 

 Voir : DADS & DAS2 ; DGI-DGE ; DUE ; EDI ; EFI ; Filiale ; Bilan ; Régime fiscal ; Télé déclarations ; Liasse fiscale ;

 

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 Infos :

Voir : « Obligations fiscales pour l’année de création » sur le site de l’Administration fiscale.

 

Découvert bancaire

= Bank overdraft  ; Entdeckt Bankkonto  ;

Un découvert bancaire est un accord donné par un établissement financier et permettant à son client de bénéficier d'un solde débiteur d’un montant maximum déterminé et remboursable selon des modalités convenues d’avance, notamment dans la convention de compte ou sur un contrat spécifique.

 

Le crédit de campagne est un découvert qui à pour objectif de financer une activité périodique/saisonnière.

 

Ne pas confondre avec la "facilité de caisse" qui n'est pas contractuelle. Celle-ci doit en effet être considérée comme une faveur exceptionnelle et temporaire (maxi 15j consécutifs par mois) octroyée par le banquier à son client.

A défaut et notamment si l'utilisation devient régulière cette facilité pourra, le cas échéant, être assimilée, en particulier par un juge, comme un découverts autorisé de fait.

 

Ces prestations financières sont qualifiées de « Crédits de trésorerie » Car il ne porte pas sur un bien comme les crédits d’investissement.

 

 Voir : Contrat ; Covenants ; Bâle II ; Billet de trésorerie ; Trésorerie d’échelle ; Agios ;

 

Dédit

 

 Voir : Clauses ; Clause de dédit.

 

Defeasance

 

 Voir : Allègement de bilan 

 

Défiscalisation

La défiscalisation est un système organisé, par des dispositions législatives, pour soutenir certains investissements ayant des impacts sur l’économie, par exemple la création d’entreprise l’innovation industrielle, le soutien aux investissements dans les zones géographiques défavorisées.

En contrepartie le contribuable se voit accordé une réduction de certaines charges fiscales.

 

 Voir : Propriété ; PME de croissance ; FCPI ; Pons (loi) ; 

 

Délai de règlement

= Payment time  ; Zahlungsfrist  ;

Période comprise entre la date d’appel de fonds et celle de l’encaissement. Sachant que la première est en principe la date de facture et la seconde est la date d’échéance = Due date  ; Fecha de vencimiento  ;

Date limite de paiement =    ;

Délai de Règlement Moyen : = DSO : Days sales outstanding

 

Pour le client ce délai peut être exprimé en nombre de JCR /période. (JCR = jours de crédit réel) soit nombre de jours de CA (cf. DSO)

 

Pour un fournisseur le DPO est exprimé en nombre de jours d'achat.

 

Les délais de paiement sont régis par les dispositifs : NRE et LME.

 

 Voir : Achats ; Cession de créances ; Credit Management ;Dailly ; DSO ; DPO ; DGP ; Escompte bancaire ; Forfaitage ; Intérêts moratoires ; Lettrage ; LME ; NRE ;  Points de risque ; Profil payeur ; Titrisation ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

-  Article métier« Délais de paiement…la solution NRE ! »

 

Délai fiscal de reprise

Délai fiscal de reprise appelé aussi : Droit de reprise.

 

Laps de temps légal pendant lequel l’administration fiscale peut revenir sur les déclarations des contribuables pour apporter des modifications aux bases de calcul d’impôts et éventuellement opérer des redressements.

Au-delà de cette période il y a prescription et notamment en cas de rescrit.

 

 Voir : Crédit impôt ; Période suspecte ; Prescription ; Défiscalisation ; Prix de transfert ; Rescrit ;

 

Delayering

 

 Voir : Habilitation ; Management d’équipe ;  

 

Délégation de paiement

Délégation =   ;

La délégation de paiement est une disposition législative française (31/12/75) qui permet, par exemple, d'offrir à un sous-traitant une garantie de paiement direct du client sans passer par le maître d'œuvre, pour éviter la mise en place d'une caution.

 

 Voir aussi : Action directe ; Barter ; Caution ; Délégation de pouvoir ; Délégation de signature ; Garantie ; Maitre d’œuvre ; Management de contrats ; Sous-traitance

 

Délégation de pouvoir

La délégation de pouvoir est un acte juridique qui confère le transfert de pouvoirs et donc des responsabilités (y compris pénales) qui y sont rattachées, de la part de celui qui détient ces pouvoirs (Vérifier si elle émane d'un représentant légal de l'entité concernée !) le "délégant" au délégataire (celui qui reçoit) appelé aussi « fondé de pouvoir ».

Ce dernier doit avoir non seulement les compétences pour exercer ce droit mais aussi entretenir un lien de subordination avec le délégataire (donc être salarié de la même entité).

 

Attention :

- Le délégant se dessaisit de pouvoirs, attributions, précis.

En conséquence il n'aura plus à les assumer même partiellement ou occasionnellement sauf … il en va de même pour les responsabilités liées aux pouvoirs transférés. C'est donc le délégataire qui devra assumer.

- La cession d’activité du délégant ne suffit pas à mettre fin à la délégation.

C’est normal car c’est avant tout la fonction, au sens de l’organigramme, qui confère le pouvoir. Il faut donc être très vigilant de tenir à jour ce type de relation contractuelle. A défaut cela peut couter très cher à tous points de vue y compris juridiquement et financièrement.

 

- Le formalisme n'est pas obligatoire mais fortement recommandé pour que la délégation puisse être reconnue devant une juridiction comme étant "certaine et exempte d'ambiguïté".

L'écrit permettra une traçabilité de l'acte et donc servir de preuve tant pour ce qui concerne les consentements réciproques que pour la définition précise et les limites (dont durée et publicité appropriée) de la dite délégation.

 

- La délégation peut être juridiquement contestée, refusée, invalidée (Voir par ex : Les incidences de l’Art 117 du NCPC relatif aux nullités pour vice de fond concernant le défaut de capacité ou de pouvoir d'une personne ex : pour ester en justice ! Ce qui peut toucher la personne, comme le Credit Manager, chargée par délégation de "Produire" pour des créances impayées.)

 

Attention : Ne pas confondre avec la délégation de signature !

 

 Voir : Assistant ; Contrat ; Credit Management ; Délégation de signature ; Effet singe ; Habilitation ; Mandat ; Management de contrats ; Management participatif ; Responsabilité ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Délégation de signature

La délégation de signature permet à un tiers d'agir au nom et pour le compte du délégant. Ce qui est bien différent de la délégation de pouvoirs car dans le cas présent le délégataire ne se dessaisit pas de ses attributions.

 

 Voir : Contrat ; Délégation de pouvoirs ; Mandat ; Management de contrats ; Management participatif ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Délit

= Délikt  ; Delito  ;

Le délit est une infraction qui relève d’une peine correctionnelle se qui le différencie de la contravention (Tribunal de police) et du crime (Assises). Il est définit par tout fait illicite et dommageable, commis envers autrui avec une intention de nuire.

 

Un délit peut être commis par une action ou simplement une ommission.

 

En matière de gestion d’entreprise nombreux sont les risques encourus notamment par les dirigeants, de se voir accusées d’un délit même si l’intention ne leur paraissait pas être la leur comme par exemple l’abus de bien social ou le non respect des règles de la concurrence.

Les délits sont également nombreux en matière de règles relatives au travail et à l’emploi ex : l’entrave à l’activité syndicale, ainsi qu’à la protection de l’environnement.

 

Attention : Le commettant est juridiquement responsable des délits commis par son préposé dans l’exercice de ses fonctions.

 

 Voir : Abus de biens sociaux ; Abus de confiance ; Cindynique ; Commettant ; Développement Durable ; Dol ; Initié ; NRE ; Responsabilité ; Risques

 

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 Infos :

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Délocalisation

 

 Voir : Externalisation ; Pays à bas coûts ;

 

Delphes

Delphes désigne une technique de collecte anonyme d'informations destinée à réduire les influences des parties sollicitées sur le résultat pour développer des analyses. (Delphi = Technique/méthode)

 

Méthode utilisée, comme processus d’estimation, tant en gestion de projet qu’en mercatique.

 

 Voir : EMOFF-FFPM ; Management de projet ; Mercatique ;

 

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 Infos :

- Voir l’association des chefs de projets « Project Management Institute »

                                      

Demande d’achat

 

Demande d’achat : Ne pas confondre avec commande.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; Commande ;

 

Demande de devis

Demande de devis = Request for Quotation – RFQ

C’est une démarche qui a notamment pour objet :

- D’évaluer le coût d’un projet, (prix/tarif des produits, matériels, prestations) afin de valider ou non celui-ci ;

- De faire préciser, par le fournisseur, les bases de ses engagements notamment sur les prix ;

 

Ces demandes émanant des clients sont souvent considérées comme chronophages par les fournisseurs. Dans un marché ou ces derniers ont un large choix de clientèle ils auront tendance à ne pas donner suite souhaitant davantage se consacrer à d’autres. Si l’acheteur poursuit la démarche sans ce devis il s’expose donc à des risques particulièrement en matière de rapport qualité/prix.

 

En matière d’import/export les conditions de vente et notamment selon l’impact des questions logistiques sont elles aussi au cœur des évaluations financières des transactions commerciales. (Voir conditions d’expédition)

 

 Voir : Appel d’offre ; Approvisionnements ; Cahier des charges ; Débours ; Evaluation ; Fournisseur ; Incoterms ; Pays à bas coûts ;

 

Demande d’information

Demande d’information = Request for Information – RFI

 

La recherche d’information est de plus en plus présente dans de nombreux métiers ex :

- R&D et amélioration des processus industriels pour lesquels des logiciels de résolution des problèmes d’inventions ont été développés (TRIZ) ;

 

- Systèmes informatisés d’aide à la décision destinés à favoriser la gestion globale de la performance ;

- Nécessité d’anticiper sur les risques clienst en matière de crédit management en faisant appel aux spécialistes de l’enquête économique et financière ;

 

- Impératifs liés à la sélection de fournisseurs/fabricants/partenaires, etc. notamment dans les procédures d’achats, approvisionnement « sourcing » vers les pays à bas coûts ;

 

- Evaluation d’entreprises dans le cadre de projet de fusion acquisition

 

 Voir : 6 Sigma ; Achat ; Approvisionnement ; Credit Management ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Intelligence économique ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Pays à bas coûts ; QPQQCOC ; SIAD ; Score ; Théorie de résolution des problèmes d’invention (TRIZ) ; Veille ; Visite de terrain ;

 

Demand Planner

 

 Voir : Budget ; Commercial, Force de vente ;

 

Demande reconventionnelle

La demande reconventionnelle, appelée aussi reconvention, est une action en justice, d'un défendeur auprès d'une juridiction afin d'introduire auprès de celle-ci une demande qui à pour objectif de contrer son adversaire en le faisant condamner dans une procédure qui a précédemment été engagée par ce dernier.

 

Le cas le plus explicite c'est de souhaiter qu'un tiers, qui vous a poursuivi dans le cadre d'une procédure abusive, soit sanctionné. C'est alors le défendeur qui prend l'offensive.

Ce type d'action ne peut être "re-conventionnée".

 

Attention : Ne pas confondre avec la "demande additionnelle" qui selon l'article 65 du NCPC permet à une des parties de modifier ses prétentions antérieures.  

 

Réf : Art 64 du NCPC.

 

 Voir : Clauses ; Management de contrats ; Recours ; Tribunaux ;

 

Démarkéter

 

 Voir : PESTEL

 

Dématérialisation de documents

La dématérialisation c'est la possibilité technique de transformer un document qui a une consistance physique en un support virtuel (ex : fichier + extension mais aussi image).

Cependant à l'ère de l'informatique la plupart des documents sont conçus tout d'abord en virtuel et selon les besoins sont matérialisés. (ex : lettre, facture,)

Cette matérialisation peut aussi s'avérer indispensable pour donner naissance à un acte authentique destiné à recevoir une signature manuscrite (contrat)

 

Ces documents matérialisés, et reconnus comme tels juridiquement, peuvent cependant faire l'objet d'une dématérialisation pour différentes raisons économiques, techniques, etc. :

- Réduire les coûts,

- Accélérer, sécuriser et faciliter sa transmission et l'archivage d'informations diverses. (ex : Contrats dont factures et crédit documentaire)

 

Le problème majeur réside dans le fait de ne pas altérer le document et les informations qu'il contient et de lui garder son caractère authentique et en particulier pour servir de preuve.

 

Attention : il ne pas confondre :

- Geide ou sauvegarde de données avec l’ « Archivage » qui a pour objectifs : fiabilité du support, sécurisation et confidentialité des données et accessibilité dans le temps (ex : pour justification, authentification).

- Dématérialisation et numérisation de documents : En effet un documents qui par exemple est scannérisé, qui à fait l’objet d’une lecture ou d’une reconnaissance n’est pas obligatoirement dématérialisé surtout au sens fiscal du terme.

 

En revanche de nombreuses techniques et technologies participent plus ou moins à la dématérialisation. Elles  relèvent de différents procédés, langages, spécifiques et parfois complémentaires pour aboutir au résultat recherché (Scannérisation, Numérisation, LAD, RAD ; ROC ; Signature électronique, GED, EDI, XML, etc.) 

Il ne faut donc pas confondre document électronique voir ce terme) et dématérialisation de document.

 

Métiers concernés :

L'un des métiers directement concerné par les nouvelles technologies du virtuel comme la numérisation, dématérialisation ainsi que l'archivage et le suivi, de documents (ex : Factures, bons à payer) c’est le Credit Management.

Autre métiers notamment associés aux projets de factures électroniques ou dématérialisées mais cette fois concernant les fournisseurs ce sont les acheteurs et les responsables de la gestion des frais professionnels, en particulier pour les déplacements.

En effet, compte tenu des volumétries et émetteurs des différentes factures l'intérêt majeur c'est de pouvoir "scanner" les documents papiers reçus. Ensuite ils pourront être lus et codifiés pour être archivés. A partir de là, les demandes de validation seront envoyées au destinataire interne pour acceptation ou refus de la facture fournisseur, éventuellement selon le bon de commande initiale et enfin donner un accord de paiement (Si le bon à payer est partiel il sera alors facile de demander un avoir).

 Toutes ces actions et biens d'autres seront générées automatiquement sans se déplacer ni téléphoner, ni faire de copies. Des listes de travail et actions pourront être élaborées et transmises automatiquement, (ex : messagerie) aux acteurs concernés quelle que soit leur localisation. Ce travail collaboratif valorisant pour tous s'inscrira parfaitement dans le concept de gestion globale de la performance (CPM).

 

Gestion de projet :

La dématérialisation de documents juridiques et financiers requiert encore plus de précautions tant sur le plan de la sécurité des transactions que sur celui de la confidentialité.

Le choix de la dématérialisation doit se concevoir dans le cadre d'une politique d'entreprise car au delà des aspects juridiques, financiers et fiscaux, il implique des moyens et méthodes pour aboutir à des objectifs.

La dématérialisation doit donc faire l'objet d'un audit et d'une étude avant de se concevoir en management de projet. Ce nouveau concept implique également une stratégie de gestion du cycle de vie des informations.

 

Pour menr à bien un processus de dématérialisation il faut évidemment qu’il s’inscrivent dans une pratique de travil en mode projet.

Compte tenu des enjeux tant en effet directs qu’induits il faut impérativement prvoir se qui doit ou non être envisager, pourquoi mais aussi comment et pour combien ? comme le préconise le « Questionnement générique organisé : QPQQCOC » 

 

Evolutions :

Après la dématérialisation de la comptabilité (du papier à l'informatique), les déclarations fiscales (en particulier pour les obligations imposées par la DGI en 2001), l'un des grands chantiers depuis le début des années 2000 est la dématérialisation des factures. (voir rubrique).

 

Voir aussi les nouvelles dispositions à compter du 1/1/06 pour la dématérialisation des documents authentiques, encadrées par les décrets n° 2005-972 et 2005-973 du 10 août 2005.

 

 Voir : Bolero ; Credit Management ; Document électronique ; EDI ; e-procurement ; e-sourcing ; Facture électronique; Gestion de contenus ; Gestion du cycle de vie de l’information ; Geide ; Gestion éléctronique de processus ; Jeton comptable ; LAD ;  Management de contrats ; Numérisation ; QPQQCOC ; Reconnaissance automatique de documents (RAD) ; Reconnaissance optique de caractères (ROC) ; Scannérisation ; SED ; Signature électronique ; XML ;

 

Voir dispositifs réglementaires : Loi sur la Sécurité Financière ; Loi pour confiance dans l'économie numérique ; Autorité de certification ;

 

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  Infos :

E-Business.info : Organisateur d’évènements et supports d’informations métiers ;

 

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

-  ESKER - téléchargement du livre blanc :

           " Etat & Perspectives de la dématérialisation des documents sortants"

 

Démembrement de propriété

 

 Voir : Propriété.

 

Départ Usine

Départ usine est un terme du commerce international signifiant que la vente est considérée comme conclue à la sortie des marchandises de l’usine expéditrice = Ex-works par opposition à d’autres pratiques comme par exemple : CAF.

 

 Voir : CAF ; Incoterms ; Credit documentaire ;

 

Dépens

Les dépens sont des frais de justice (dits répétibles) et débours, et non les honoraires d'avocat (irrépétibles), engagés à l'occasion d'un procès et à l'issue duquel le tribunal décide de celui ou ceux qui doivent en supporter la charge.

 

 Voir aussi : Débours ; Irrépétibles ; Contrats ; Demande reconventionnelle ; Procédure ;

 

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 Infos :

- Pour « article 700 » voir : http://assoc-ddp.ifrance.com/assoc-ddp/art_700_ncpc.htm

 

Dépositaire

Le terme dépositaire à plusieurs acceptions dont :

 

Finance :

Les propriétaires d’actifs financiers s’adressent à différents professionnels (banque, ste fiduciaire) pour gérer leurs biens et effectuer des transactions

- Stakeholder  = Dépositaire au sens de création de valeur, qu’il soit ou non porteur de part ou salarié, pourvu qu’il participe à la valorisation. Parfois même appelé « Trustee »  au sens fiduciaire.

Ne pas confondre avec :

Shareholder = Actionnaire au sens patrimonial, de simple détenteur d’un bien, (ex : titre boursier);

Stockholder = Actionnaire.au sens rentier, spéculateur (ex : Stockoption).

 

Logistique/transports :

- Dépositaire en douane = conserve les marchandises sous sa responsabilité en attendant que les formalités soient effectuées.

- Plate-forme-logistique chargée de stocke les marchandises avant, le cas échéant, de les ventiler et de les livrer.

 

 Voir : Action ; Fiduciaire ; Logistique ;

 

Dépôt de bilan.

Le dépôt de bilan est une action de remettre une situation comptable, de l’entreprise, au greffe du tribunal de commerce du ressort de l’activité, suite à cessation de paiement.

 

 Voir : Cessation de paiement ; Période suspecte ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficulés ; Ressort ; Greffe ; Production de créance ;

 

Dérivés de crédit

Le dérivé de crédit est un produit financier hors bilan qui se négocient de gré à gré (= Peer to peer  ) sur la base d'un sous jacent qui est un crédit (créance ou titre).

 

L'objectif est essentiellement de transférer les risques (et aussi les résultats spéculatifs) liés au crédit sans toucher à cet actif qu'est le crédit lui-même.

Cette pratique est interdite en finance islamique  tant par l’aspect spéculatif que par le manque d’adossement.

 

 Voir aussi : Droit(s) ; Egal à égal ; Marché(s) ; Opérateur ; Option ; Sous-jacent ; Swap ;

 

Dernier planificateur

= Last planner

Personne (ou équipe) qui permet de valider un processus ou de franchir une porte dans celui-ci pour pouvoir passer à l’étape suivante.

Cette pratique, de management agile, a pour objectif d’optimiser la réalisation d’un projet au fur et à mesure de son avancement et notamment en détectant et corrigeant les anomalies.

 

 Voir : 6 sigma ; Evaluation ; GANTT ; Gating ; Liste de contrôle ; Management de projet ; Management de risques ; Organigramme des tâches ; Planifier ; Processus ; Qualité ; Temps parcelles ; Travail collaboratif ;

 

 

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  Infos :

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

 

Design

= Stylique.

Concept de forme/dessin appelé aussi esthétique industrielle.

 

Le mot design vient de 2 mots issus du français :

-         Dessin : Qui concerne les formes

-         Dessein : Qui allie projet et intention

 

 Voir : Concept ;

 

Désintermédiation bancaire

Très proche de l’intermédiation, la désintermédiation répond de mieux en mieux à certains besoins de financement des entreprises en leur permettant d’aller chercher des capitaux importants, stables et diversifiés,  parfois moins contraignants et même couteux, que les financements offerts par certains établissements financiers.

 

 Les sources de la désintermédiation se sont diversifiées notamment avec l’ouverture de nouveaux marchés des capitaux ex : Le second marché en France largement ouvert aux PME-PMI.

 

Ces marchés offrent un financement souvent beaucoup plus important en montant et plus direct entre les dépositaires et bénéficaires, par rapport au circuit bancaire classique. Ils favorisent largement le développement économique des entreprises qui optent pour ce choix.

 

 Voir : Courtier ; Introduction en Bourse ; Intermédiation ; PACEO ; Marché(s) ; Valeur mobiliaires ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

 EFI – Europe Finance et Industrie : N°1 de l’introduction boursière en Europe

       Notamment pour les dirigeants propriétaires soucieux du développement de leurs activités ;

 

Dessous de table

 

 Voir : Contre-Lettre ;

 

Développement Dirigé par les Tests

- DDT – DPT - TDD

DDT : Appelé aussi Développement Piloté par les Tests = Test Driven Development (TDD)

 

Méthode qui à pour particularité de vérifier et valider les étapes d’un processus, l‘une après l’autre, pour conforter une démarche sur des acquits solides, sécurisés, vérifiés…

 

Pouvant être décrite comme une démarche « en cascade » ou « à petits pas » cette pratique permet de corriger les orientations, choix techniques ou autres au fur et à mesure de l’avancée du projet. Les anomalies sont donc détectées plus tôt avec tout ce que cela implique en terme de temps, coûts, etc.

 

En informatique cette pratique évite notamment de valider un développement à partir de code faux qui n’auraient pas été vérifiés par étapes… Au lieu d’écrire « le nez dans le code » on écrit les tests avant d’écrire le code !

Ainsi la progression est à la fois incrémentale (= Augmentation de la valeur des variables) et itérative (= Optimisation  des orientations par bénéfice des corrections)

Le cycle idéal serait de 15 minutes maxi en passsant par les étapes suivantes :

- Ecrire un nouveau test ;

- Compliler ;

- Constater l’échec du test ;

- Ajouter du code ;

- Vérifier le bon fonctionnement du test ;

-  Remanier (en évitant toute duplication = DRY : Do not Repeat Yourself)

Un bon moyen pour s’entrainer : les pentaminos !

 

Cette pratique DDT s’est largement étendue à différents métiers en particulier avec le développement du « Management de Projet Agile » et en particulier « SCRUM »

 

 Voir : EMOFF ; Evaluation ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Points de fonction ; Pragmanagement ; SCRUM ; Théorie des contraintes ; Test(S) ; Transformation organisationnelle ;

 

Développement Durable

La notion de Développement Durable = sustainable development  implique des comportements qui satisfont les besoins d’une génération en préservant les intérêts des suivante notamment pour l’environnement ou l’endettement.

« Développement » Par ce que l’évolution est une constante naturelle et imposée dans tous les domaines. Il est donc préférable de d’orienter cette évolution en fonction de l’intérêt commun plutôt que d’en subir les conséquences sans rien faire ;

« Durable » Par ce qu’il est primordial de construire sur les acquits des générations passées pour conforter celles du futur et consolider leur évolution. C’est en ce sens que le facteur temps est primordial. On peut notamment le cosntater en matière de connaissances et également dans le domaine de la protection de l’environnement.

 

Ce concept est souvent illustrée par trois cercles, qui représentent les objectifs qualitatifs et quantitatifs concernant et décrits par les règles de cohérence dites :

            « 3 E » Economie, Ethique, Environnemental.

            « 3 P » Profit, Peuple, Planète.

 

Cette cohérence s’observe par la visualisalisation de 3 cercles concentriques qui mettent en évidence les critères de performance, qualité qui doivent conduire vers les objectifs de Développement Durable :

 

- Environnement et Planète :

Une planète Viable  ex : Choix des matières et modes de production qui permettent de préserver la nature et les espèces grâce à des pratiques de recyclage des déchets et de limitation de la pollution…

 

- Economie et Profit :

Des pratiques Equitables ex : tendre vers une répartition des profits entre les acteurs, ceux qui produisent, ceux qui gèrent  et ceux qui financent, en favorisant la transparence…

 

- Ethique et Peuple :

Valoriser le Social Privilégier la sécurité et la qualité de vie pour les peuples … au sens large et donc instaurer le respect de chaque « Individu » et des différences notamment culturelles et aussi lutter contre la pauvreté et la faim dans le monde.

 

Ces 3 cercles, situés sur les axes du temps des programmes et politiques des états et autres structures. Ce n’est plus simplement le concept économique de soutien/dépendance propre au concept « nord-sud »

L'objectif est de faire se superposer une partie importante de chacun des cercles.

Ces zones de superposition permettent de conjuguer la qualité et de la pérenniser dans les 3 domaines.

 

 

Ce concept éthique, lorsqu’il conjuque des performances pour les 3 dimensions, est appelé «Développement Durable ».

Le DD n’est pas seulement un idéal pour « écolo raveur » ni une contrainte rétrograde pour « Industrieux spéculator » « Stakeholdupers ». C’est l’ouverture vers de nouvelles exigences de qualité globale qui sera certainement très utile à l’émergence de nouvelles technologies au service de tous..

Le DD est maintenant passé dans les actes avec différents modèles d'économie solidaire, dont les "entreprises citoyennes" le "Commerce équitable" la naissance de nombreux organises (ex : ONG) qui influencent l'économie, le social, la recherche, les lois et même la création d'établissements financiers spécifiques.

 

Plus que le concept ces actions font, elles aussi, l’objet de notation (scoring) notamment des entreprises.

 

Cette nouvelle culture concoure au développement de nouvelles pratiques, parfois normalisatrices et réglementaires, qui ont pour objectif d’améliorer les performances de gestion ex :

Production maîtrisée ; Contrôles financiers, d'aide au développement et à l'innovation ; Réduction des consommations d’énérgie dont déplacements ; Transformation des supports papier en virtuel et amélioration du traitement des informations ;

 

Entre innovation, qualité, réglementation, mercatique, achats, logistique, finance, etc. tous les acteurs vont de plus en plus être amenés à travailler en mode projet et donc de réfléchir avant d’agir pour developper une culture d’efficence !

 

Cependant il ne faut pas réver car le passé et les orientations conditionnant le futur sont déjà largement en contradiction avec ces beaux principes l’humain à le plus souvent exploité les siens et son environnement à des fins purement spéculatives et individualistes.

 

La solution n’est-elle pas d’abord dans une « Ré-Education » tant sur des concepts moraux condamnant notamment les dérives spéculatives (ex : celles des pratiques financières débridées responsables de la crise qui à débuté en 2007)  que sur des pratiques plus valorisantes pour l’ « Individu »  .dans son quotidient pour respecter le vivant qui l’entoure et d’éviter de céder aux sirènes du consumérisme surtout celles qui nuisent à la valorisation de la personnalité.

Cette solution, dans un deuxième temps, serait de  canaliser les activités économiques en favorisant l’innovation dans un objectif d’amélioration de la qualité de vie selon les principes du Développement Durable. Ainsi le profit deviendrait le moteur de celle-ci et pas seulement sa finalité.

En conclusion les belles idéees ne suffisent pas il faut donc, aussi,  encourager les financiers à investir dans l’entreprenariat pour créer de la valeur : Travail, service, produit et revenus compatibles avec notre qualité de vie et donc de notre environnement. 

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; ADEME ; Cindynique ; Conduite du changement ; Dématérialisation ; Ethique ; Gestionnaire des énergies et réseaux ; Gestion Globale de la Performance ; Gouvernance d'entreprise ; ISO ; LSF ; Management de projet ; Management participatif ; NRE ; Qualité ; Score ; Système de Management Intégré ; Télé-Travail ;

 

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  Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

-  ADEME : Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie présente dans toutes les régions : Agir pour le Développement Durable, le management de l’environnement et la maîtrise des énergies, gavoriser la R&D, etc.

 

-  Pro-Environnement : Toute l’info sur l’environnement et le Développement Durable ;

 

-  Conférence Synertal : Télétravail et performance des entreprises ;

 

- Télécharger l’article l’ART du management 3/3 = Développement Durable  Réalisé par Les Echos en partn avec HEC Paris : Changements et ruptures, actifs carbone, capitalisme et solidarités, stratégies dont achats, …

 

DGCCRF

Direction Générale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes.

 

 Voir aussi : Concurrence ; Contrat ; Credit Management ; Délai de paiement ; DSO Gouvernance des risques et conformités ; Intérêts moratoires ; LME ; NRE ; Prix d’éviction ;

 

DGE-DGI

Direction des Grandes Entreprises à la DGI,

 

Voir périmètre en 2004 : Bilan > 600millions d’euros et entreprise détenant ou détenue à +50% /entité de +600m€

 

Attention : Ne pas confondre avec DGE = terme de la comptabilité publique : Dotation Globale d’Equipement.

 

 Voir : Déclarations fiscales ; Télé declarations ; EDI ;

 

DGP

Délai Global de Paiement – DGP :

Terme utilisé dans le cadre de contrats avec l'Etat et les collectivités.

 

 Voir : AAPC ; Credit Management ; Délai de règlement ; DSO ; NRE ; Partenariat Public Privé ;

 

Diagnostic organisationnel  

 

 Voir : Analyse FFPM ;  HALO ; Management de projet ; Organisation ;

 

Diagramme

- Diagramme de causes à effets, dit aussi « en arête de poisson »  Voir : Qualité ;

- Diagramme de FAST   Voir : FAST ;

- Diagramme à barres   Voir : GANTT ;

 

DIAMS

DIAMS est un nouveau langage commun pour les sociétés de gestion destiné à faciliter et normaliser les échanges d'informations avec leurs clients et prestataires.

 

 Voir aussi : Langages

 

DIF

Droit Individuel à la Formation.

 

 Voir : Formation ;

 

Digital économie

 

 Voir : Economie numérique

 

Dilatoire

Caractère dilatoire se dit d’un comportement, d’une mesure, destinée à gagner du temps.

 

Si un juge confond une partie d’avoir recours à ce type de procédé il peut la poursuivre notamment pour entrave à la justice.

 

 Voir : Recours ; Juge ; Procédure ;

 

Dilemmes

Le dilemme désigne la difficulté de choix entre 2 parties, propositions, obligations, qui comportent chacune des inconvénients et parfois des incompatibilités.

 

Dans le modèle d’analyse de portefeuille du Business Consulting Group, les parts de marchés du domaine d’activité stratégique sont les produits classés dans les 4 catégories suivantes :

 

- Vedettes : Rapportent et s’autofinancent. De plus ils contribuent à la croissance ;

- Dilemmes : Coûtent mais contribuent à la croissance ;

- Vaches à Lait : Contribuent peu à la croissance et rapportent ;

- Poids morts : Ne rapportent et ne contribuent pas à la croissance

Ce classement permet de mesurer le potentiel de génération et d'utilisation des liquidités.

 

 Voir : Domaines d’activités stratégiques Mercatique ; Modèle d’analyse de portefeuille ; SIAD ;

 

Direction participative par objectifs - DPO

 

 Voir : Management par objectifs.

 

Directive européenne

La Directive européenne est une disposition de droit issue du parlement européen.

 

A ne pas confondre avec le « Règlement » qui, lui, n’est pas voté mais imposé par la Commission et s’impose aux représentations nationales.

 

 Voir aussi : Aides européennes ; Comitologie ; Droit(s) ; PCRD ; NRE ;

 

Direct Marketing

Le marketing direct   est un concept de mercatique mettant face à face client et fournisseur.

 

Cette relation qui tente de se faire sans intermédiaire nécessite la mise en place de différentes méthodes permettant d’identifier des concommateurs par produit ou service mais aussi une adresse de contact du client pour lui proposer l’offre la plus attrayante.

Dans un monde de concurrence extrème, ce mode de mercatique a su évoluer notamment par des pratiques réduisant les intermédiaires et donc les coûts et également utiliser les nouvelles technologies de communication et paiement, d’où l’utilisation des d’Internet et de ses différents véhicules et pratiques.en ligne. 

 

Pour la protection du consommateur contre les pratiques excessives les pratiques du marketing direct son très enacdré notamment dans la législation française.

 

Exemples de pratiques du marketing direct :

- VPC = vente par correspondance ;

- VaD = vente à domicile

- Télé-achat ;

 

Pour mieux apprécier les pratique qui concourent à la réussite et à son développement voir les différents concept à partir du terme « Mercatique »

 

  Voir : Achats ; B to C ; CNIL ; Etude d’usage et d’attitudes ; Mercatique ; Réponse Optimale au Consommateur ; Score d’appétence ; Scrivener ; Segment de clientèle ;

.

Distribution

La distribution c’est l’ensemble des actions par lesquelles un produit ou service est mis en rapport avec le consommateur notamment par un « Circuit de distribution », direct (du producteur au consommateur), court ou long ; qui peur être constitué de différents « Canaux de distribution ».

 

Pour être performante elle doit découler d’une « Politique de distribution » qui met en cohérence les moyens (ex : choix des implantations, personnels, rotation des marchandises, etc.) conformément à la segmentation du marché, aux objectifs fixés et moyens alloués.

 

 Voir aussi : Mercatique ; GMS ; Produit ; Circuit de distribution ; Segment de clientèle ; Domaines d’Activités stratégiques ;

 

Diversification horizontale

 

 Diversification Verticale

 

 Voir : Concentration.

 

Dividendes

=    ;

Le dividende c’est la part des bénéfices distribués aux actionnaires, conformément à la politique de l’entreprise et aux décisions de l’assemblée générale Ordinaire.

 

Payout ratio  : Exprime le pourcentage de cette distribution.

 

 Voir : Capital ; Bénéfice ; Action ; Marché(s) ; Introduction en Bourse ;

 

DLL

Dynamic Linked Library sous Windows = Dynamic Shared Object sous Unix.

 

Librairie d’objets partagés entre plusieurs programmes. Permet d’alléger les programmes en n’activant qu’une seule fois la base concernée pour plusieurs programmes ouverts.

 

DMAAS - DMAIC

DMMA = Définir, Mesurer, Analyser, Améliorer/ Innover (Improve en anglais) et Surveiller ( Control en anglais)

 

 Voir : 6 Sigma

 

DNA

 

 Voir : Langages

 

Doctrine

Le terme doctrine est tiré du latin doctus cum libro = Savant avec le livre. Se qui implique ne rien savoir par soi même et puiser dans les ouvrages des autres. « … c’est ainsi car c’est écrit ! » !

 

Ensemble des principes et croyances traduisant des concepts, des opinions, interprétations, thèses… notamment pour ce qui concerne les sujets phylosophiques, religieux, politiques, économiques et donc de droit !

La doctrine, comme la jurisprudence, permet d’annoter et d’orienter le droit

 

Ainsi l’Administration est régulièrement amenée à interpréter le droit et autres dispositions, notamment, fiscales à l’occasion de certaines décisions écrites.

Mais ces écrits n’ont pas force de loi. Ils sont donc opposables.

 

 Voir : Droit(s) ; Ethique ; Jurisprudence ; Rescrit ; 100ème singe ;

 

Document électronique

Un document électronique est par nature virtuel car il a été conçu selon des procédés informatiques qui ont notamment pour but d'éviter la création d'un support papier.

 

L'intérêt premier est surtout de réduire les coûts d'édition et de transfert de ces supports papier. Dans un deuxième temps, ce "document électronique" va permettre de mieux identifier différentes zones d'informations utiles aux émetteurs et destinataires pour des retraitements. Ces retraitements sont destinés à optimiser la gestion de tous, tant en volumétrie que rapidité et qualité des informations traitées.

 

Enfin, pour sécuriser les échanges de données et en particulier les contrats le caractère authentique et unique d'un document doit malgré tout souvent rester la règle. Ainsi des dispositions réglementaires ont été prises notamment en France (Décrets du 10/08/05) et un peu partout dans le monde pour interdire qu'un document électronique puisse être transformé en support papier.

 

Il ne faut donc pas confondre document électronique et dématérialisation de document.

Il ne pas non plus faire d’assimilation entre Geide ou sauvegarde de données avec l’ « Archivage » qui a pour objectifs : fiabilité du support, sécurisation et confidentialité des données et accessibilité dans le temps (ex : pour justification, authentification).

 

Depuis 2001 des obligations déclaratives en matière fiscales ont amené à utiliser des documents électroniques (déclarations sociales et fiscales, etc.) voir solutions logicielles déclaratives.

 

L'un des métiers directement concernés c'est la gestion du crédit client qui permet au fournisseur de générer des factures électroniques. Outre les objectifs recherchés, ci-dessus, la mise en place de cette technique est destinée à optimiser la gestion des litiges et à réduire les délais de paiement.

 

Attention : Aussi simple que puisse apparaître les intérêts d'utiliser les techniques utilisant les documents électroniques, la réflexion structurée doit être un préalable à toute démarche de gestion de projet et de BPM

 

 Voir : Dématérialisation de documents ; Facture électronique ; EDI ; XML ; Lecture électronique de documents ; GEIDE ; LSF ; LCEN ; Management de contrats ; Management de projet ;

 

Document unique

Le DU = document unique est issu du décret 1016 du 05/11/01. C'est un document d'entreprise, obligatoire, destiné à l'évaluation des risques.

 

Le DU doit être réalisé par l'employeur et transcrire les résultats de cette évaluation et en particulier les mesures prise. Il doit être tenu à jour sous peines de sanctions, dont pénales.

 

 Voir : Cindynique ; NRE ;  Risques ;

 

Dol

Le dol est une manœuvre frauduleuse intentionnelle destinée à tromper un tiers lors de la réalisation d'un acte juridique.

Le vice de consentement reconnu pourra entraîner l'annulation des actes concernés nonobstant des poursuites envers l'auteur pour dommages et intérêts.

 

En matière de mercatique, des informations déceptives, c'est-à-dire destinées à tromper les consommateurs sur l’origine, la qualité, etc. d’un produit, peuvent être assimilées au dol si l’intention est prouvée, (Voir les inscriptions figurant sur le contenant (emballage) ou l’étiquette.

 

Voir également les pratique en marketing dites de Recrutement mystifié » = Hoax recruiting  Technique assimilable au cheval de Troie.

 

 Voir : Cheval de Troie ; Mercatique ; Commercial ; Comportement ; Consensuel ; Contrat ; Ethique ; Tribunaux ;

Domaine

Le terme domaine à de nombreuses acceptions ex :

- Secteur d’activité => Voir codes « NAF » et Mercatique ;

 

- Nom déposé en particulier dans le cadre de ceux utilisés comme identifiants sur le web (voir extensions) qui peut correspondre à une « Marque déposée » Ce qui relève de la propriété ;

 

- Ne pas confondre avec « les Domaines » qui sont la désignation des services qui administrent les biens de l’Etat.

 

 Voir : INPI ; Marque de fabrique ; Marque déposée ; Mercatique ; Propriété ; Soleau ; Whois ;

 

Domaine d’Activité Stratégique

- DAS

Domaine d’activité stratégique - DAS = Strategic Business Unit

 

Segment stratégique : Secteur choisi par la mercatique pour ces implantations (Marché/produit)

 

Ce choix est notamment défini en utilisant un mode d’analyse selon le modèle d’analyse de portefeuille du Business Consulting Group ce concept a été développé par McKinsey & C°.

 

 

Les parts de marchés du domaine d’activité stratégique sont les produits classés dans les 4 typologies suivantes :

                  

- Vedettes : Rapportent et s’autofinancent. De plus ils contribuent à la croissance ;

- Dilemmes : Coûtent mais contribuent à la croissance ;

- Vaches à Lait : Contribuent peu à la croissance et rapportent ;

- Poids mort : Ne rapportent et ne contribuent pas à la croissance

Ce classement permet de mesurer le potentiel de génération et d'utilisation des liquidités.

 

 Voir : Distribution ; Matrice(s) ; Mercatique ; Modèles d’analyse de portefeuille ; PESTEL ;  Pyramide des besoins ; Segment de clientèle ; 

 

Domiciliation

Le domicile légal d’une entreprise est celui de son siège social.

 

Cependant il y a plusieures autres acceptions ex :

- Domicilaition épistolaire : Adresse courrier ;

- Domiciliation commerciale : Souvent confondue avec l’adresse courrier, elle n’est le plus souvent que celle retenue pour communiquer entre clients et fournisseurs. Cest parfois le cas d’un bureau de représentation ;

- Domiciliation d’un effet de commerce : Guichet de l’organisme financier qui doit en effectuer le règlement

 

 Voir : Bail ; Forme juridique ; Pas de porte ; Statut ;

 

Donaciel Donationware

Donaciel = Donationware - Donatware  

C’est un logiciel dont l’utilisation est liée à une rétribution sous forme de don laissé à la libre apréciation des utilisateurs.

 

Cette pratique qui aide les éditeurs à créer de nouvelle solutions. Pour autant ceux-ci le font parfois uniquement das un esprit collaboratif et même dans un but caritatif en offrant ces dons à des organismes spécialisés.. Elle permet aussi d’aider ceux qui ont peu de moyens finaciers en leur offrnat des solutios souvent très itéressantes.

 

 Voir aussi : CNIL ; Communication ; Logiciel espion ; Mél ; Mercatique ; Opt in/out ; Software ; Spam ; Travail collaboratif ; Troyen ; Ver ; Virus ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  : EMA est un logiciel-donaciel d'envoi de courriels et d'infolettres en masse totalement gratuit pour une utilisation personnelle ou pour une association, Pour les autres faire un don pour encourager ce formidable travail collaboratif !

 

Dotation Globale d’Equipement

Terme des finances publiques la dotation globale d’équipement (DGE) date de 1982 et est issu de la politique de décentralisation.

 

La DGE représente donc le versement annuel fait aux collectivités territoriales par l’Etat.

 

Attention : ne pas confondre avec la DGE = Direction générale des grandes entreprises qui est une entité spécifique de la DGI.

 

 Voir : Collectivités territoriales ; Plans comptables ;

 

Dotcorp

 

 Voir : Mortier 

 

DPMO

Défauts Par Million d'Opportunités  = Defects Per Million Opportunities .

 

  Voir : 6 Sigma.

 

DPO

Ne pas confondre :

 

a) Days Purchase Outstanding  : Délai de règlement moyen fournisseur(s)

S’exprime en nombre de jours d'achats.

 Voir : Cash custing ; Credit management ; Délais de règlement ; DSO ;

------------------

 

b) Direction Participative par Objectifs

 Voir : Management par Objectifs.

 

DQP - ASAP

DQP : Dés Que Possible  = ASAP : As soon as possible

L’acronyme DQP utilisé depuis longtemps dans certains corps de l’armée française a pour objectif de racccourcir la transmission d’un message tout en optimisant sa compréhension.

 

Ainsi le gain de temps est réel particulièrement dans certaines transmission écrites mais aussi messages par radio pas toujours audibles surtout pour des phrases longues susceptibles d’être entrecoupées.

 

Cette pratique à été reprise lors de l’avènement du minitel et se retrouve de nos jours dans les messages électroniques.

Le terme US ASAP bien que plus long ! est portant davantage utilisé pour des questions de mode = SNOB ! Alors que tant qu’à faire d’utiliser un acronyme autant faire le plus court possible et dans la lange de votre interlocuteur !

Ainsi il est préférable d’utiliser ASAP, plus répandu, pour certaines communications internationales.

 

Attention :

 

 Voir : Juste à temps ; Procrastination ; Réunion déléguée ; Temps moyen d’attente ; Temps moyen de manipulation ; 

 

Drill down

Drill down  = Forer vers le bas.

 

 Voir : Forage de données ;

 

Driver

 Driver

 

 Voir : Pilote

 

Droit de suite

Le droit de suite permet au créancier bénéficiaire d’une sûreté et qui voit son bien aliéné au profit d’un tiers, de la faire saisir afin notamment d’exercer son droit de préférence sur le prix de vente (Voir l’article 2166 du code civil)

(Ne pas confondre avec le droit de préférence)

 

 Voir : Clauses ; Clause de déchéance du terme ; Sûreté ;

 

Droit(s)

Droit (Loi) = Right (Law)  ;

Le droit est issu des usages et coutumes et donc doctrines, mais aussi de l’éthique, qui ont été érigées en règles écrites et évoluent en partie du fait de la jurisprudence. 

 

L'Europe réunit de nombreux pays qui disposent de systèmes juridiques hérités soit :

      - du droit romano-germanique = droit écrit dit aussi civil ou latin (dont en France)

      - de la common law   = droit anglo-saxon dit de tradition (USA, Canada sauf Québec, Inde pays du Commonwealth, et scandinaves)

      - du système civil soviétique = Eclaté sur les pays de l'ex pacte de Varsovie.  Vu les enjeux économiques de l’influence du droit sur les affaires ces pays ont été très courtisés par les USA dès 1990.

 

Au sein de l’Union Européenne, dans de nombreux domaines qui ne sont plus régaliens, chaque pays membre dépend des "Directives" de l'UE et des « Règlements » édictés par la « Commission ».

 

En France :

Pour l'aspect législatif : Les lois sont issues principalement de la représentation nationale et votées par l'Assemblée nationale et le Sénat sous réserve des avis et décisions du conseil constitutionnel, le chef de l'Etat étant garant de la constitution.

Pour l'aspect exécutif : Différentes entités sont chargées de l'application des lois au travers des instances de justice et des services de police.

Le droit fait l'objet de multiples classifications selon le sujet, le mode de transcription, les procédures et instance de jugement ou de contrôle, les intervenants des professions réglementées, … par exemple :

      - Constitution, loi organique, lois et décret, codes (Civil, Commerce, travail, Urbanisme, marchés…,) jurisprudence, doctrine.

      -  Tribunaux (voir ce terme), Cour d'Assises, d'appel et de cassation, Cour des comptes, - Procureur, Juges, Avocats, Huissiers, Notaires,

 

Dans le monde :

Il existe de nombreux droits comme celui du Québec ou d'Ohada (Organisation de l’Harmonisation des Droits des Affaires en Afrique) utilisé dans de nombreux pays africains. Mais aussi des droits coutumiers pratiqués dans les pays d'Asie et religieux comme le droit islamique qui serait le 3ème plus important au monde et qui a la particularité de proscrire la spéculation.

 

Il est primordial de définir de quel droit relève un contrat et qui juge, dans quel lieu (juridiction) : Clause de for élu, clause attributive de compétence.

Il y va non seulement de son interprétation mais aussi des frais multiples qu’engendreent des imprécisions

 

Voir aussi l’initiative d’uniformation, codification, du droit au niveau international et notamment pour ce qui concerne les contrats =  UNIDROIT

 

 Voir : Acte ; Adoul ; Clauses ; Contrat ; Directive européenne ; Doctrine ; Ethique ; Fonds souverains ; Juge ; Jurisprudence ; Loi de sauvegarde ; LSF ; LCEN ; Management de contrats ; NRE ; Procédure ; Propriété ; Recours cambiaire ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

-   Travaux de la Commission Des Finances du Sénat français :

 « Finance internationale - Finance islamique - Table ronde consacrée à l'intégration de la finance islamique dans le système financier global »

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

- Les principes relatifs  au contrats du commerce international= UNIDROIT = Institut international pour l’unification du droit privé.

 

-  AFJE Association Française des juristes d’Entreprises ;

 

Droits d’auteur

Particulièrement en France les créations originales d’œuvres de l’esprit sont protégées par le principe des droits d’auteurs = Royalties  ; Regalias . Ceci sans distinction du mérite de celui-ci, du mode d’expression de l’œuvre, mais surtout sans formalité ! Cest un élément distinctif significatif par rapport à la création de type industriel.

 

Les droits relatifs à ces œuvres sont d’ordre :

- Moral attaché à la personne et donc inaliénable. Ce droit confère en particulier celui de « Divulguer » notamment pour diffuser publiquement, de « Respect » qui impose l’interdiction de toute modification sans accord explicite de l’auteur.

- Patrimonial qui confère en particulier les droits de « Reproduction et représentation » qui permettent à l’auteur de choisir les moyens, partenaires et surtout conditions, qui seront autorisés pour exploiter l’œuvre.

 

Bien qu’en principe l’employeur soit titulaire des droits attachés à la création des œuvres conçues par ses salariés, dans biens des cas la création d’œuvre de l’esprit pour une entreprise doit être préalablement convenue de manière contractuelle avant toute coopération. Cette pratique et précautions ont pour objectif de favoriser la création et l’innovation qui sont les moteurs du développement, mais surtout d’éviter les litiges postérieurs à la création et afin de savoir qui pourra exercer les droits attachés à l’exploitation de l’œuvre concernée.

 

Des dispositions particulières concernent notamment la création de logiciels.

 

Des droits voisins du droit d’auteur mais directement liés à la création sont par exemple la production phono et vidéo et l’interprétation.

 

Les autres principales créations physiques ou de l’esprit sont par exemple :

- Les conférences et allocutions, les supports comme les livres et autres écrits, les dessins, créations graphiques photos et vidéos.

Pour protéger la création attention au copiage, streaming.

 

Il est vivement conseillé de se renseigner auprès de la SACEM et l’INPI et ensuite de consulter un spécialiste de la propriété intellectuelle.

Les enjeux sont de taille car ils concernent les activités et acteurs de l’entreprise, mais aussi les relations contractuelles avec les clients.

Il faut donc prouver la qualité d’auteur d’une œuvre avant de pouvoir exercer tout droit.

En conséquence différents processus d’administration de la preuve, démarches de reconnaissance, de déclaration (ex : au nom de qui à été faite la déclaration), de rédaction de contrats, etc. sont à identifier et à réaliser.

 

Voir aussi le concept de ‘’Sources Libre’’ et de ‘’Copyleft’’

 

 Voir : Brevet ; Contrefaçon ; INPI ; Management de contrats ; Marque de fabrique ; Marque déposée ; Propriété ; Management de contrats ; SACEM ; Source libre ; Streaming ;

 

Drop off 

 

 Voir : Taux d'attrition 

 

DRP

Distribution Requirement Planning – DRP = Planification des Besoins de Distribution 

 

Mode de gestion spécifique aux entités dont les activités relèvent de la distribution.

Comme son nom l’indique son objectif est de planifier leurs besoins entre la demande à satisfaire et l’offre en s’attachant paticulièrement aux approvissionements.

 

Les enjeux concernent tous les services et acteurs que ce soit les achats, la logistique, etc. dans le but d’optimiser cette gestion pour la rendre performante tant pour répondre dans les temps à la livraison du client final que pour réduire les coûts inutiles et optimiser la gestion financière.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; Gestion de la chaîne des approvisionnements ; Juste à temps ; Logistique ; Référencement ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Zéro stock ; 

 

DSO

Plusieurs acceptions pour « DSO» dont :

a) Développement de Systèmes d'Organisation : Chaire au CNAM

 

b) Dynamic Shared Object : Bibliothèque d'objets partagée, sous Unix, à la manière des DLL sous Windows.

 

c) DSO  ou GDSO : Global Days Sales Outstanding  = Délai de paiement moyen des clients

S’exprimé en nombre de jours de Chiffre d’Affaires

 

Directement lié aux conditions de paiement contractuelles, le DSO prend en compte le délai de règlement moyen (délais accordés + subis)

Différentes méthodes de calcul du DSO dont :

 

    a) Bilancielle ou comptable (ex : Encours fin de mois / valeur moyenne quotidienne CA ttc)

    b) Par épuisement du CA ou Roll/Count back  : Consiste à ôter successivement de l’encours financier, jusqu’à épuisement de celui-ci, le CA TTC de chaque mois et d’additionner le nombre de jours de chacun des mois correspondants. Inconvénient Pas de distinction entre délais contractuels et subis. Avantage absorbe la saisonnalité

   c) Normative : Répartition CA selon les délais contractuels (seulement !)

 

Voir aussi :

- BPDSO (Best possible DSO ) = Calculé sur les meilleurs délais possibles donc ceux accordés = contractuels !

- PDDSO (Past due DSO) = Calculé seulement sur les créances échues (encours exigible), en jours moyens de retard (JMR) ce qui permet d’obtenir leur coût moyen = ACD - Average Cost Deliquency .

 

Pour une plus juste cohérence de l’évaluation entre encours du moment et CA, les effets escomptés et cessions de créances doivent être intégrés dans l'encours total.

 

Le DSO n'est pas représentatif de la durée réelle de crédit ni de l'âge moyen des créances.

Il n'est qu'un indicateur moyen dont la formule peut varier (méthodes) d'une entreprise à l'autre (ex : base du nombre de jours ou exclusion des effets en portefeuille) et pourtant, publié.

Le DSO sert pourtant de référence aux banquiers, entreprise de Rating et autres fournisseurs (incidences/conditions).

Les concurrents aussi peuvent utiliser ces données comme étalonnage économique = benchmarking .

 

 Voir : Cession de créances ; Credit Management ; Délai de règlement ; DGP ; DLL ; DPO ; DSO ;  Etalonnage économique ; Evaluation ; Intérêts moratoires ; Litiges ; NRE ; Risques ; Window dressing ;

 

--------------------

  Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

-  Article métier« Délais de paiement…la solution NRE ! »

 

DSS

Decision Support System  :

Elément de Business intelligence.

 

 Voir : Décisionnel ; SIAD ;

 

Ducroire

Ducroire désigne un engagement par lequel un mandataire s'engage à réaliser, le cas échéant, les engagements des parties pour lesquelles il a été l'intermédiaire. Cette pratique a pour objectif de favoriser la réalisation de négociation en faisant valoir une forme de garantie de réalisation de l'objet d'un contrat.

 

 Voir : Contrat ; Management de contrats ; Mandat ;

 

--------------------

 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

DUCS

Déclaration Unifiée de Cotisations Sociale – DUCS

 

Concerne par exemple les versements de :

- Urssaf

- Chomage

- Retraite complémentaire

- Prévoyance collective

 

 Voir aussi : DADS ; DEB ; DUE ; Liasse fiscale ; Télé déclaration ;

 

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 Infos : net-entreprises.fr : Service gratuit de déclaration par Internet

 

DUE

Déclaration Unique d’Embauche - DUE

 

Document qui doit être établi préalablement à tout recrutement de personnel et faisant l’objet d’une inscription sur le registre spécialement réservé à cet effet conservé dans l’entreprise.

 

 Voir aussi : DADS ; Déclarations fiscales ; DUCS ; Télé déclarations ;

 

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 Infos : www.due.fr

 

Dumping

= Déprécier, vider  ;

Le dumping c’est l’action de déprécier une valeur, humaine (dumping social), et ou d’un bien (ex : vente à perte) pour capter un marcher, une zone de chalandise.

 

Procédé délictuel qui à comme conséquence de fausser la concurrence.

Il fait l’objet de dispositions particulières dans le dispositif « Nouvelles Régulations Economiques » issues de Directives européennes.

 

 Voir : Chaland ; Concurrence ; NRE ;

 

Dysfonctionnement

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Litiges ; Qualité ; Management de risques ; Cindynique ;

 

E

 

 European Outsourcing Association :

Structure indépendante visant à développer, promouvoir et améliorer les pratiques d'externalisation…

EAI

EAI = Enterprise Application Integration  :

C’est l’intégration des applications informatiques dans le système d’information de l’entreprise.

 

La solution sur offre EAI modélise les processus et les échanges qui en découlent. Elle passe par un projet (Ex : Application to Application en interne pour permettre les échanges entre bases données et systèmes de communication ou via Internet pour favoriser le e-commerce).

 

Il faut dessiner le workflow (gestion des flux de travail) inter-applicatif à partir de cette carte des flux le logiciel EAI prend en charge la transformation des données = traducteur entre les différentes applications puis s'appuie sur les « Logiciel intermédiaire »  = Middleware   pour les véhiculer (voir fonctions ETL).

 

Les logiciels du milieu "middleware" ne sont que des routeurs et ne représentent que la dernière étape d'une offre EAI qui pour être complète doit inclure l'API et la gestion du temps aussi bien pour les messages qu'agendas.

 

Exemple D'EAI : entre log CRM et gescom ou PGI et Management de contrats.

 

 Voir aussi : Application Orienté Services ; Décisionnel ; ETL ; IPA ; Logiciel médiateur ;

 

Earn out

 

 Voir : Clause d'intéressement 

 

EBE – IBE

EBE = Excédent Brut d’Exploitation assimilable à l’EBIT :   anglo-saxon. (Voir ce terme)

C’est un SIG : Solde Intermédiaire de Gestion, du compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Exemple de Formule :

a) Sommairement c’est : CA – Services extérieurs – Charges de personnel – Impôts et taxes

 

b) Dans l’arborescece du compte de résultat (Complété par des repères de la liasse fiscale française) c’est :

  Valeur ajoutée

+ Subventions exploitation (LF : ligne FO)

- Salaires (LF : ligne FY)

- Impôts & taxes (LF : ligne FX)  

- Charges sociales (LF : ligne FZ)

 

L’EBE est le le critère économique du profit avant la prise en compte de la politique de financement et d’amortissement de l’entité concernée.

Ce SIG permet d'évaluer la rentabilité et la capacité d’emprunt d’une entreprise.

 

IBE = Insuffisance Brute d'Exploitation.

 

Le ratio EBE/CA (Chiffre d’Affaires) permet d'apprécier la performance aussi bien industrielle que commerciale réelle de l'entreprise en mesurant la marge par rapport au prix de revient donc la rentabilité.

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; Plan Industriel et Commercial ;  SIG ;

 

Voir aussi : EBITDA ; Autofinancement ; Capacité d’autofinancement ; Marge(s) ; MBA ; Taux de marge ;

 

EBIT – DA

EBITDA = Earnings Before Interest Tax, Depreciation and Amortization.

Indicateur financier d'origine anglo-saxonne se rapprochant de l'EBE , et incluant les amortissements.

 

Attention : les terminologies (DA) anglo-saxonnes ne recouvrent pas les mêmes notions et critères de sélection, que dans la pratique comptable française ! (Intéressement et participation des salariés étant des charges de personnel en compta anglo-saxonne)

 

 Voir : EBE ;

 

EBM

Equipement de biens mobiliers - EBM

 

 Voir aussi : Actif ; Actif comptable ;

 

e-business

L’ e-business est un concept très générique décrivant les affaires réalisées grâce à un système de communication électronique.

Selon que le principe mette en contact un ou plusieurs demandeurs et une ou plusieurs offres les appellations changent ex : e-commerce et e-procurement. Voir les différentes terminologies du lexique..

 

Le e-business concerne également tous les métiers et techniques directement concernées par les échanges  ainsi générés comme la dématérialisation, ainsi que les actions marketing et commerciales qui sont utilisées.

 

Contrairement à des idées simplistes la réalisation de ce tye d’affaires relève d’une stratégie d’entreprise menée en mode projet afin d’éviter les erreurs stratégiques et d’investissement.

En effet, au-delà d’une étude de marché appropriée concernant les cibles commerciales pour les informer et leur permettre de réaliser leurs achats, il faudra définir les méthodes et moyens pour traiter les informatiosn et transactions.

 

 Voir : e-commerce ; e-procurement ; e-marché ; e-sourcing ; eb-Xml ; Poste à poste ;

 

Voir aussi : Achats ; Approvisionnements ; Logistique ; Dématérialisation ; EDI ; Gestion de la relation Clients ; Cookies ; Veille ; Management de projet ; Mercatique ;

 

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 Infos :

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E-Business.info : Organisateur d’évènements et supports d’informations métiers ;

 

eb-XML

 

 Voir : Xml

 

Ecart d'acquisition d'entreprise

Ecart d'acquisition entre le prix d'achat d'une entreprise et sa valeur nette comptable.

- S’il est soit poitif  = Survaleur = Goodwill

- S’il est négatif =  Sous-valeur = Badwill  

 

C’est aussi la différence entre le coût du capital à investir et le rendement espéré de cet investissement.

Cet écart n'est qu'une évaluation permettant d’informer les parties à la transaction.

Ensuite comme dans toute vente c'est la loi de l'offre et de la demande qui prime.

 

Cette notion est différente de " Produit de cession d'éléments d'actifs" (cpt 775).

 

Exemples de critères constituant une survaleur :

- Les actifs incorporels non identifiables tels que le ‘’savoir faire’’ des équipes,
- Le potentiel de croissance et de développement existant chez l’entité acquise,
- et les synergies propres à l’acquéreur.

 

  Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

        Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Allocation de prix d’acquisition ; EVA ; Evaluation ; IFRS ; PBR ; Ecart d’acquisition ; REEL ;

 

Ecart social du travail

L’écart social du travail mesure la différence entre le coût total du travail supporté par l'entreprise et le salaire net après cotisations sociales.

 

Remarque : La présente définition correspond au régime français dans lequel les impôts ne sont pas prélevés à la source.

En effet, dans les pays où les impôts sont prélevés à la source, la notion de « tax wedge » correspond plus précisément à l'écart entre le coût total du travail supporté par l'entreprise et le salaire net après impôt et cotisations sociales, dans ce cas, il s’agit d’un « écart fiscal ».

 

 Voir : Ressources humaines ; Effet GVT ; Effet de NORIA ;

 

ECM

 Enterprise Content Management – ECM = Gestion de Contenu d'Entreprise

 

Attention : Ne pas confondre avec : Enterprise Contract Management  

 

 Voir : Gestion de contenu ; Management de contrats ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

Jalios JCMS  Spécialiste de la gestion de contenu : ECM, Ged… Solution pour faciliter le travail collaboratif = diffuser, collaborez, personnalisez, dynamiser l’intelligence collective de votre entité.

 

Ecole de Palo Alto

Cette école en psychologie et sociologie porte le nom de la ville éponyme située en Californie.

 

L’école de Palo Alto fait également référence dans le domaine des sciences de l’information et bien évidemment de la communication.

 

 Voir : Aptitudes ; Association ;  Communication ; Compétences ; Ethologie ; Etude d’usages et attitudes ; Génération : BB, X, Y ; Johari ; Mentor ; Mercatique ; PNL ; Principe de Peter et Gauss, Pyramide des besoins ; Théorie(S) de l’enracinement et des signaux ;

 

e-commerce

L’ e-commerce est un concept de commerce électronique dit « en ligne », via Internet, mettant en contact :

      1 fournisseur + des clients

 

Ne pas confondre avec : e-marché, e-procurement.

 

 Voir aussi : A To B et to C ; B to B et to C ; e-procurement ; e-marché ; Place de marché ; Enchère inversée ;

 

Economie numérique

Economie numérique = Digital économie  

C’est un terme générique prenant en compte à la fois les données relatives aux échanges internationaux, les méthodes et technologies qui s’y rapportent dont les règlementations (Ex : LCEN)

 

 Voir : Achats ; Approvisionnements ; CNIL ; Dématérialisation ; EDI ; Evaluation ; Loi sur la Confiance en l’Economie Numérique ; Facture électronique ; Lecture électronique de documents ; GEIDE ; Management de contrats ; Mercatique ; NRE ; Organisation ; Spam ; Signature électronique ; Tiers de confiance ; XML ;

 

Voir aussi : e-business ; e-commerce ; e-procurement ; e-marché ; Inforensique ;

 

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 Infos :

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Economie sociale

Les sociétés dites de « l’économie sociale » sont des sociétés de personnes dont l’organisation et le fonctionnement reposent notamment sur :

- Un objet social sur la base de valeurs relatives à l’utilité sociale comme la solidarité, l’éthique ;

- Un statut en cohérence avec l’objet social et l’exercice de l’activité ex : Mutuelle santé et prévoyance, coopérative, structure d’nsertion professionnelle ;

- L’expression démocratique de ses membres (ex : 1 personne = 1 voix contrairement au système capitalistique : 1 part = 1 voix).

 

Ces entreprises ne sont donc pas classifiées comme étant du secteur public bien que nombres d’entre elles, surtout les associations, dépendent des aides de l’Etat et des collectivités.

Elles font ainsi partie du secteur privé et bien que de plus en plus en concurrence avec les entreprises commerciales elles ne sont pas considérées comme « Capitalistiques » car c’est l’objet qui prime et non l’enrichissement individuel et encore moins la spéculation.

L’entreprise d’insertion en est un exemple idéal du fait qu’elle peut avoir un statut d’association ou de société coopérative de production ou SARL.

 

Les principales entités structurées de l’économie sociale, notamment en taille financière et d’employés, sont les :

- Mutuelles ;

- Associations (dont ONG et fondations) ;

- Coopératives

 

 Voir : Action-Actionnaire ; AG ; Associé ; Capital ; Forme juridique ; Pacte d’actionnaire ; Propriété ; Sociétaire ; Société ; Statut ;

 

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 Infos :

-  ALEES - Assoc. Lyonnaise d’Ethique et Economis Sociale : Amélioration de la réflexion et des connaissances sur les questions éthiques par l’ l’action et la formation.

 

ECR

Efficient Consumer Response - ECR   

 

 Voir : Réponse Optimale au Consommateur

 

EDGE

GPRS permettant en particulier de réaliser une vidéo conférence avec un téléphone mobile.

 

EDGE est une norme de communication permettant de bénéficier d'application vision conférence sur téléphone mobile. Cette technique, au débit maximum de 384 KBPS, est issue de l'évolution du GPRS.

 

 Voir : GPRS ; UMTS ; HSDPA ;

 

EDEN

Dispositif d’Encouragement au Developpement d’Entreprises Nouvelles – EDEN

Ancienne subvention devenue avance remboursable c’est une aide de l’Etat à caractère socio économique destinée à certains créateurs et repreneurs d’entreprises.

 

Attention :

Eden fonctionne depuis longtemps avec un système de budget annuel qui s'avère régulièrement insuffisant par rapport aux nombre et besoins des dossiers présentés par les créateurs et repreneurs.

Effet induit, de l’insuffisance de ces budgets, les organismes qui accordent cette aide sont souvent contraints de réduire les montants attribués a chaque dossier accepté pour pouvoir satisfaire un plus grand nombre de demande.

Ainsi certains projets sont contraints de trouver d’autres financements : Mutualistes ou solidaires ; Aides (locales, régionales, européennes) ou plus diffoicile encore un concours bancaires classiques,. A défaut le projet ne peut être soutenu et le porteur risque de rester en situation d’exclusion sociale et économique.

 

 Voir : Accre ; Aide(s) ;

 

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 Infos :

Voir : Fiche pratique Eden Ministère du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité ;

 

EDI

Echange de Données Informatisées – EDI :

 

Mode de télétransmission, sécurisé !notamment par les services achats et les dtélédéclarations fiscales (Hors déclaration partielle.)

 

EDI est + orienté vers les professions comptables et organismes agréés (voir partenaires EDI).

Permet 1 grand nombre de déclarations longues et fréquentes en 1 envoi unique complexe comme logiciel de paie ou de gestion, intégrant des fonctions d’élaboration automatique de la déclaration (voir ¹ avec EFI)

 

EDIFACT : (Electronic Data Interchange For Administration Commerce and Transport = Groupe de réflexion de l'UNECE)

EDI-FACT est la norme du format EDI-TDFC et autres (transmission par ex : Transpac ou Itinéris).

EDI-TDFC : format (ancien Transmission de Données Fiscales et Comptables) de fichier pour télétransmission pour liasse et intégration, propre à DGI (technique Danel électronique = centre relais électronique -MTAE)

 

EDI-Liasse : format issu réflexion Ordre des experts comptables + complet que TDFC

 

EDI-TVA = format de fichier pour télé déclaration et règlement pour TVA. Règlt par TIP Internet ou RTC. Possibilité de désigner 3 Banques pour les débits. (voir aussi doc./télétva).

 

L’EDI n’est bien évidemment pas réservé aux déclarations fiscales mais à tous les domaines qui tirent un bénéfice à l’échange de données informatisées comme la gestion de la chaîne logistique et donc des achats, etc.

 

 Voir aussi : Certificat numérique ; EFI ; e-procurement ; e-sourcing ; Facturation électronique ; GENCOD ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Jeton comptable ; Mercatique ; Système de Management Intégré ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Tiers de confiance ; XML ;

 

--------------------

 Infos :

- Voir sites d’information : www.finances.gouv.fr ; www.edificas.org ; www.edifiscal.org

 

Editique

Editique = Desktop publishing

C’est l’édition liée à la bureautique et comprenant aussi bien les moyens matériels que les supports utilisés comme par exemple les fonctionnalités et pages issues d’Internet.

 

L’éditique concerne également le routage et l’impression de documents dématérialisés.

 

 Voir : Scannérisation ; Dématérialisation ; EDI ; 

 

Effectuation

 

 Voir : Pragmanagement ;

 

Effet de ciseaux

Description d’un phénomène, souvent économique et financier, pour illustrer de manière graphique (droites qui se croisent) des évolutions contraires ex :

- Baisse de l’offre et augmentation de la demande sur un marché/produit ;

- Divergence entre activité et trésorerie.

 

 Voir : Evaluation ; Décisionnel ; Contrôle de gestion ; Tableau de bord ;

 

Effet de commerce

Effet de commerce  Commercial paper = Instrument of trade  ; Handelswechsel   ;   ;

C’est un engagement formalisé sur papier ou support informatisé (LCR-BOR) transmissible/endossable, pris par 1 débiteur, de payer un créancier selon des conditions précises. Peut bénéficier d'un aval. Il en existe deux formes :

- La lettre de change = Bill of exchange  ; Letra de cambio  ; est émise par le créancier. Elle peut être acceptée ou non par le débiteur.

- Billet à ordre = Traite ou effet de commerce dont le débiteur est l'émetteur = Promissory note.

 

La lourdeur et les coûts de traitements des effets papier ont amené à l'utilisation d'un système permettant de dématérialiser certaines procédures… d'où l'avènement de la notion "R" signifiant relevé. Celui-ci apporte un autre avantage très apprécié en matière de gestion c'est de faciliter les rapprochements grâce aux données figurant le cas échéant sur ce nouveau support.

La difficulté reste dans l'envoi à l'acceptation et dans l'attente du retour.

Avec la "LCR directe" des dispositions permettent de remettre directement à la banque du tiré qui avise son client pour acceptation et ainsi d'accélérer le processus.

 

 Voir aussi : Affacturage ; Aval ; Dailly ; Escompte bancaire ; Warrant ; Credit Management ; Acceptation ; Recours ;

 

Effet d’effectif

L’effet d’effectif mesure l’évolution de la masse salariale par rapport au nombre de salariés.

 

 Voir : Effet de structure de population ; Effet GVT ; Effet noria ; Evaluation ; GEPC ; Ressources humaines ; Théorie(S) de l’agence et de l’enracinnement ;

 

Effet de structure de population

L’effet de structure de population s’observe :

- Tant sur des études de statistiques économiques concernant les variations des effectifs de population notamment pour définir une politique mercatique ;

- Que sur des évolutions en matière de personnels salariés notamment sur les variations entre qualifications et niveaux de rémunérations tels que les effets GVT et NORIA.

 

 Voir :

a) Effet GVT ; Effet noria ; Evaluation ; GEPC ; Ressources humaines ; Théorie(S)  de l’agence et de l’enracinnement ;

b) Mercatique ; INSEE ; Etude d’usages et d’attitudes ; Veille ; 

 

Effet d’usure

Effet d’usure = Burn out

En mercatique, c’est l’observation du phénomène de perte d’impact d’une campagne (dont spot publicitaire) et souvent liée à une répétition qui peut être trop rapprochée des messages mais aussi qui dure depuis trop longtemps.

 

Voir aussi l’effet du surmenage, du stress, sur la qualité du travail accompli et le degré d’absentéisme.

 

 Voir : Abandonniste ; Barattage ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Pression ; Pyramide des besoins ; ROC ; Spam ; Taux d’attrition ;

 

Effet GVT

GVT : Glissement – Vieillesse - Technicité –

 

Ces effets sont gérés par les RH pour mesurer l’incidence de la répartition des tâches et responsabilités sur les coûts et performances d’une entité du domaine public ou privé.

Cet effet peut être qualifié de :

- Positif ex : effet de consolidation de carrière notamment par habilitation, formation  

- Négatif ex : effet noria par compression de la masse salariale.

 

 Voir : Effet noria ; Evaluation ; GEPC ; Ressources humaines ; Théorie(S) de l’agence et de l’enracinnement ;

 

Effet NORIA

Effet NORIA :

La noria est une machine à godets permettant de puiser l’eau pour irriguer, ou de faire monter des munitions vers des pièces d’artillerie.

 

Ce système à godets adaptables en fonction du contenu et de roue sans fin illustre le concept de RH dit « effet de NORIA », et assimilié parfois à l’« effet GVT », qui consiste notamment à réduire la masse salariale sans diminuer le nombre des salariés mais en récrutant ou formant des collaborateurs plus performants.

 

Certains limitent cet effet noria à des pratiques de réduction des salaires par des recrutement de jeunes pour remplacer des anciens ou par d’autres pratiques de salariés moins bien payés à compétences égales.

Il est bien évident que ce genre de gestionnaire non seulement agit à court terme, mais ne peut qu’affaiblir son entreprise en ne comptant que sur la masse salariale et non sur l’habiliation qui offre de la plus-value en qualité et une meilleure rentabilité.

 

 Voir : Compétences ; Effet GVT ; Evaluation ; GEPC ; Habilitation ; Management d’équipe ; Management participatif ;  Ressources humaines ; Théorie(S) de l’agence et de l’enracinnement ; Travail collaboratif ;

 

Effet papillon

L’effet papillon décrit un élément mineur de perturbation qui par des effets induits peut provoquer des conséquences majeures sur d’autres.

 

Exemple :

La distraction occasionnée sur un chantier peut conduire à une mauvais manœuvre qui en cascade provoque un accident grave, ou la déterioration d’une construction.

 

L’effet papillon participant à la théorie du chaos est bien connu et pris en compte dans le management de projet agile.

 

 Voir : Management de projet ; Chaordique ;

 

Effet Pavarotti

Effet Pavarotti ; Personne carismatique ; Vedettariat = Leadership ; Personal branding,      

Concept selon lequel une seule personne, plutôt que plusieurs, peut être déterminante et même avoir un impact démesuré sur une action donnée, un objectif.

Pavarotti est un chanteur de classe exceptionelle ce concept est donc en principe descriptif de qualités qui le sont aussi. Mais par extension il peut aussi désigner d’autres appréciations moins flatteuses  ex :

 

a) Personne qui mieux que d’autres fait valoir ses arguments avec différentes conséquences :

    Avantages : Ses idées, projets, solutions proposées, sont mieux perçues et donc prises en compte.

      C’est le rôle d’un véritable leader, mentor, chef de projet de soutenir au mieux les intérêts notamment d’un travail de groupe, d’une équipe, d’un centre de profit, etc.

    Inconvénients : Parfois lorsque les décideurs sont influençables et particulièrement lorsqu’ils ne sont pas en mesure d’apprécier un sujet ils s’en remettent à celui qui parle le « plus fort » mais pas toujours à bon escient !

 

b) Utilisation de vedettes du sport ou du show business pour promouvoir des produits de consommation.

Ceci bien que ces « stars » ne soient pas des spécialiste ni de la pub ni des acteurs chevronnées et alors que le recrutement d’acteurs formés au 7ème art, même en nombre ne produirait pas les mêmes effets !

 

 Voir : 100ème singe ; Communication ; Compétences ; Ethologie ; Mercatique ; Mentor ; Ressources humaines ;

 

Effet singe

L’effet singe = « Transférer le singe sur l’épaule d’un autre ».

 

C’est l’observation des pratiques de transfert des problèmatiques d’une personne à l’autre.

 

Ainsi est mise en évidence, dans une entité donnée, la propention des individus, de l’exécutant au dirigeant, à transmettre, se décharger et assumer ou accumuler, les charges de travail liées à la résolution de problèmes.

 

Attention : Ne pas confondre avec la procrastination !

 

Pour un responsable il faut en permanence arbitrer entre écoute et fuite dans ses relations avec les subalternes.

En effet, il ne faut pas trop esquiver et ainsi prendre le risque de ne pas traiter un problème qui pourrait être grave. En revanche il ne faut pas non plus assumer les responsabilités d’autrui.

 

Chacun doit faire ce qui lui est assigné dans le cadre d’une organisation structuré qui fait toute sa place aux initiatives et à la responsabilité individuelle. Il faut par aileurs hiérarchiser les problèmes rencontrés.

 

Différentes méthodes et outils permettent d’évaluer les comportements, aptitudes, capacités de tous les acteurs y compris les dirigeants.

 

 

 Voir : 100ème singe ; Compétences ; Délégation(S) ; Efficience ; Ethologie ; Evaluation ; Théorie(S) ; Habilitation ; Manager ; Mandat ; Organigramme ; Procrastination ; Ressources humaines ;

 

Effet Veblen

 

 Voir : Management du Rendement ;

 

Effets de synergie

 

 Voir : Concentration.

 

Efficience

L’efficience c’est la capacité d’un individu ou d’un système à produire de manière performante en prenant en compte le rapport qualité prix au sens de l’ensemble des moyens utilisés et des résultats atteints.

 

L’efficience c’est l’efficacité au moindre coût !

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Evaluation ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du rendement ; Qualité ; Gestion globale de performance ;

 

 

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  Infos :

- e-Livre : 55 Conseils pour être plus efficace et plus productif. En entreprise, sur Internet et dans la vie.

 

EFI.

Echange de Formulaire Informatisé - EFI :          

Mode de télétransmission par Internet, sécurisé !

Pour les déclarations courtes et peu nombreuses.

 

EFI-TVA :

1) téléchargement formulaire ;   2) Saisie hors ligne;   3) Impression+archive;   4) Rechargement/Internet

 

 Voir aussi : EDI ; AC ; Certificat numérique ; Xml ;

 

EFM

Enterprise Feedback Management – EFM .

Concept de communication et de management basé sur l’écoute des attentes des différents partenaires de l’entreprise pour favoriser les bonnes décisions de gouvernance.

 

Ainsi peuvent être réalisées des enquêtes auprès des clients sur les produits et services mais aussi des fournisseurs pour optimiser la chaîne logistique ou anticiper sur une création produit.

Les acteurs internes de l’entreprises seront également consultés tant sur leurs besoins personnels que de leur service que sur les idées novatrices qu’ils peuvent apporter à l’entreprise ou la qualité d’une formation, d’un outil, etc.

 

Tous ces éléments d’information seront classifiés comme indicateurs pour renvoyés de manière exploitable vers le management.

 

Tous les services : Production, achat, informatique, qualité, RH, R&D, Finance, administratif, etc. sont bien évidemment concernés pour donner une nouvelle dimension au travail collaboratif gràace à des outils spécialisés de SIAD.

 

Les concepts d’EFM.et ERM sont proches.

Les différences sont plus marquées sur les processus amont d’enquêtes et questionnements pour l’EFM et de gestion des contacts et actions pour l’Enterprise Relationship Management : ERM.  

 

 Voir : Comportement ; Décisionnel ; Evaluation ; Génération : BB, X, Y ; Gestion des relations clients ; Intelligence économique ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Olap ; Qualité ; SIAD ; Travail collaboratif ; Veille ; XRM ;

 

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  Infos :

- Conférence : du PMI® – Project Management Institute : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée » Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance.

 

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

Egal à égal

= Peer to peer : P2P

 

 Voir aussi : Poste à poste.

 

EIRL

Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée : EIRL

 

Cette nouvelle disposition législative française de juin 2010 prévoit que « toute Entrepreneur Individuel pourra affecter à son activité professionnelle une patrimoine spécéfique qui sera séparé de son patrimoine personnel et sans que cette action ne ne crée de personne morale »

 

 Voir : Formes juridiques ; Régime fiscal ; 

 

EIS

Executive Information Systems

Est aussi appelé DSS et SIAD

 

 Voir : SIAD ;  Décisionnel ;

 

Elaboration progressive

Concept lié à la planification par vague pour un projet = Rolling wave

 

 Voir : Management de projet ; Planifier ;

 

e-marché

ou

e-place

e-place = e-market

L’e-marché est un concept de marché électronique, via Internet, mettant en contact :

      des clients + des fournisseurs.

 

Le développement du commerce électronique via la téléphonie mobile a créé un nouveau vocable

  = m-commerce

 

Ne pas confondre avec : e-place, e-commerce et e-procurement.

 

 Voir : Place de marché ; e- business ; e-commerce ; e-procurement ; e-sourcing ; A to B, C ; B to B-C ; Enchère inversée ; Poste à poste ;

 

Embargo

Embargo = Boycott.

Pratique d’une sanction qui consiste à exclure une entité (Entreprise, pays) d’un système d’échange économique, financier, culturel.

 

C’est un outil de pression de plus en plus utilisé par les groupements de consommateurs.

 

 Voir : Groupe de pression ; Action collective ;

 

EMEA

 

 Voir :  Zones géographiques économiques internationales

 

EMOFF

EMOFF = Concept de gestion de projet prenant en compte les critères :

          Environnement – Menaces – Opportunités - Forces - Faiblesses –

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Appelée aussi analyse FFPM : Forces, Faiblesses Possibilités (ou Opportunités) et Menaces 

est aussi désignée sous le vocable : SWOT = Stengths, Weaknesses, Opportunities and Threats  

Dans le concept anglo-saxon l’environnement n’est pris en compte qu’implicitement, trop souvent, et notamment seulement au niveau des facteurs externes : Opportunities - Threats  

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Faire l’OEUF d’un projet :

Comme pour savoir qui à commencer de l’oeuf ou de la poule mais en trouvant des réponses exploitables !

 

Ainsi certains ont développé le concept mnémotechnique sur la base d’un ordre établi = OEUF :

- Opportunités : Car, notamment en entreprise, on est constamment en recherche d’opportunités = IE ;

- Environnement : Comme pour définir un nouveau marché, une niche à partir d’une idée = Création ;

- Usage : Moyens à adapter en fonction des besoins et des risques ;

- Forces et Faiblesses : Anticiper, identifier, évaluer celles-ci et leurs parts dans le projet potentiel.

Cette pratique permet notamment de faire un disagnostic sommaire avant d’aller plus loin !

 

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Ces méthodes d’anticipation ou de progression, tant en matière de qualité que de coûts sont basées sur la collecte des informations liées à un projet.

Elle permettent d'analyser celui-ci à partir de ses points forts et faibles et son caractère de faisabilité et éventuellement dans un environnement précis.

 

L'un des objectifs est de mieux appréhender les risques avant ou pendant leprojet afin de décider de faire ou de ne pas faire et le cas échéant d'en optimiser le management, l’organisation, les moyens ...

 

De Nombreux domaines sont concernés par cette démarche du simple fait de l’importance des enjeux et moyens ex :

- L’externalisation de services informatiques comme l’archivage de données et l’accès à un PGI ou à des applications métiers comme celles de la relation clients ou leur développement, l’infogérance ;

- Le développement de nouveaux produits et services notamment vers des marchés étrangers en intégrant la conception, fabrication, la logistique et la force commerciale, etc. 

- Le management de projet, participatif ou de transition, impliquant la cohérence entre le diagnostic de situation, les objectifs réalisables et moyens à mettre en œuvre.

 

Plus le projet est important plus il nécessitera de creuser les différentes hypothèses.

Il sera alors peut-être nécessaire d’envisager une assistance à la maîtrise d’ouvrage ou d’œuvre.

 

 Voir : 5M ; 5 Pourquoi ; 8D ; AMDEC ; Amélioration continue ; Arbre des causes ; Audit ; Cindynique ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; IE : Intelligence Economique ;  Logistique ; Maître d’ouvrage, d’œuvre ; Management de projet ; Management de risques ; Méthode 5S ; PESTEL ; Plan d’expérience ; Points de fonction ; QPQQCOC ; Qualité ; Risques ; Stratégie Océan Bleu ; Système de Management Intégré ; Technique de concassage ; Télétravail ; Théorie des contraintes ; TRIZ ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

- Voir l’association des chefs de projets « Project Management Institute »

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux QCM

 et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

Emoluement(s)

Du latin = Bénéfice

Avantage pécuniaire attribué à un héritier.

 

Les émoluments désignent aussi des appointements et des rétributions d’actes tarifés d’un officier ministériel ou d’un avocat.

 

 Voir aussi : Irrépétibles ; Dépens ; Débours ;

 

Emphytéotique

 

 Voir : Bail.

 

Empirisme

Se dit d’une méthode basée seulement sur l’expérience et non sur une théorie qu’il faudrait mettre en pratique, partant du principe que la plupart de aptitudes viennent de nos multiples expériences.

 

 Voir : Amélioration continue ; Itératif ; Icrémental ; Management de projet ; SCRUM ; Temps parcelles ; Travail collaboratif ;

 

Emplois financiers

 

  Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Employabilité

L’employabilité c’est l’ensemble des aptitudes d’une personne à occuper un emploi que ce soit à s’y maintenir ou à en obtenir un nouveau.

 

Ceci implique d’être en capacité de répondre à une offre, de chercher et postuler, d’exercer des fonctions spécifiques, etc.

 

En effet, les recruteurs se basent sur différentes études notamment de comportement et d’évaluation des connaissances, mais aussi sur des indicateurs de motivations, de mobilité, sur des tests de compétences … pour sélectionner leurs recrues.

 

 Voir : 100ème singe ;  6 chapeaux ; Aptitudes ; Compétences ; Comportement ; Effet (Noria-GVT) ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Formation ; Habilitation ; Manager ; Méthode 5S ; Ressources humaines ; Test(s) ; Théorie(s) ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

Empowerment

= Méthode d’habilitation.  ;    ; Ermächtigung  ;

 

 Voir : Habilitation ;

 

Enchère inversée

Le processus est inversé par rapport à la démarche classique d’un vendeur qui formule une annonce et attend une réponse à son offre.

 

Le principe de l’enchère inversée consiste pour l’acheteur potentiel à proposer un prix d’achat pour un objet donné et c’est à partir de ce critère que les vendeurs pourront se manifester.

 

L’informatique et le développement des achats via Internet à vue se développer très fortement se type d’offre grâce aux nombreux traitements, requêtes possibles, offerts par les nouvelles technologies et moteurs de recherches.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnements, e-Commerce ; e-marché e-place ; e-procurement ; B to C ;

 

Encours

En suspens  = Outstanding

 

L’encours exprime le montant des créances non échues que ce soit en compte courant ou réprésenté par des effets de commerce ou simplement des factures.

 

 Voir : Achats ; Credit Management ; DSO ;  Effet de commerce ;

 

Endettement financier

L’endettement financier est en général constitué des emprunts obligataires (et certains TCN), bancaires (dont crédit bail et cessions de crénces avec recours) et autres dettes financières (sauf groupe ou associés)

Par principe l’endettement financier ne comprend pas les dettes commerciales et pourtant celles-ci peuvent peser lourdement sur la pérennité des activités de l’entreprise ou au moins sur sa rentabilité, performance.

 

Selon l’évaluateur les dettes vis-à-vis du groupe pourront également être exclues des dettes financières. En effet ces dettes peuvent

-  Résulter d’une stratégie de groupe qui, par exemple se satisfait de la localisation de certaines dettes dans une de ses filiales

- Ne présenter aucun intérêt pour l’évaluation de l’entreprise endéttée car ces dettes représentent davantage un investissement du groupe, par exemple de production, et ne représente pas une menace, bien au contraire, pour la survie de l’entreprise.

 

 Voir : Associé ; Créancier ; Emprunts ; Evaluation ; Immobilisations ; Ratio(s) ;

 

Endos

L’endos est une pratique qui à l'origine permettait de transmettre un billet et ce qu'il représente, par exemple une valeur monétaire à un ou plusieurs tiers successifs.

 

Un peu comme la monnaie fiduciaire qui pouvait ensuite être convertie en or par le dernier porteur. Cette pratique s'est ensuite étendue aux échanges commerciaux et s'est matérialisée sur les lettres de change au dos de celles-ci « En dos ».

 

Plusieurs types d'endos ont ensuite été imaginés pour répondre à des besoins plus particuliers ex :

- Pour permettre à un banquier de se charger de l'encaissement le bénéficiaire appose en endos de procuration d'encaissement.

- Pour une avance de trésorerie l'effet de commerce était transmis avec en endos pignoratif. C'est à dire que l'effet est remis en contrepartie d'un prêt.

-  Celui qui cède définitivement sa créance appose un endos dit "Translatif de propriété". Attention aux règles de la cession de créance.

 

 Voir : Escompte bancaire ; Dailly ; Cession de créance ; Affacturage ; Garantie ; Caution ; Aval ; Pignoratif ;

 

Engagement de qualité et de service

 = SLA 

 

 Voir : Accord de qualité et de service

 

Engagement hors bilan

L’engagement hors bilan se rapporte à une conception financière des obligations contractées ou reçues au profit de l’entreprise mais qui ne figurent pas au bilan de celle-ci.

 

Il est revanche indispensable de mesurer le « poids » de ces engagements qui peut être lourd de conséquences sur les activités de l’entreprise et conditionner la valeur patrimoniale de l’entreprise.

 

Les cautions émises ou reçus figurent dans ces engagements qualifiés de hors bilan.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

  Voir aussi : Bilan ; BOT ; Caution ; Contrats ; Evaluation (s) ; Garantie ; IFRS ; Management de contrats ; Patrimoine ; Privilèges ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Enquête

= Investigation  

 

 Voir : EFM ; Etallonage ; Evaluation ; Intellignece économique ; Renseignement ; Veille ;

 

Enrichissement des tâches

L’enrichissement des tâches relève d’un concept de management qui à pour objectif d’inclure dans les activités des collaborateurs des éléments :

-         Qui prennent en compte la facilitation du processus en aval ;

-         Des opérations de contrôle continu.

 

Les objectifs recherchés sont multiples comme par exemple l’amélioration de la qualité et la réduction des acteurs.

 

 Voir : Habilitation ; ; Organisation ; Performance ; Qualité ;

 

Enrichissement sans cause

Enrichissement sans cause désigne une action, non contractuelle ni dictée par une décision de justice, par laquelle une personne voit son patrimoine augmenter au détriement de celui d’une autre.

 

Cette pratique peut être le fait d’une mauvaise gestion d’affaire, d’une action dolosive, etc.

 

 Voir : Cause ; Contrat ; Convention ; Dol ; Gérant ; Recours ; Tribunaux ; Indu ;

 

Entraîneur

= Coach  ; Trainer  ;   ;

L’entraîneur est celui qui a pour tâche de faire progresser les autres par la pratique avec des objectifs de performance.

 

Attention ne pas confondre avec :

- Mentor : C’est un exemple, une référence reconnue et souvent bien appréciée au sens de la qualité relationnelle. Souvent pédagogue, emprunt d’éthique, c’est un sage, un Maître..

- Meneur : Celui qui fédère et conduit les autres en montrant le chemin par sa participation, sans pour autant détenir un pouvoir hiérarchique = Leader  ; Spitzenreiter  ;    ;

- Manageur : Qui détient un pouvoir hiérarchique et doit assumer des responsabilités = Manager

 

 Voir les différents termes et concepts du : Management ;

 

        Voir aussi : Comportement ; Evaluation ; Objectif ; Ressources humaines ;

 

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 Infos :

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

Entrepôt de données

Terme officiel français : Magasin ou Entrepôt de données = Data warehouse

 

Ensemble des données stockées dans le système d'information de l'entreprise et relatives à un métier ou un sujet déterminé. Plusieurs Datamart forment le Data warehouse de l'entreprise

 

Cet outil informatique est une application dédiée à la prise de décision basée sur la base de la collecte et du stockage de données en provenance de différentes applications de production dans le but de produire des analyses.

 

Outil très poussé de descriptif client qui favorise l'organisation de stratégie marketing.

Il favorise la vente aux clients existants car il est 7 fois moins coûteux de vendre à ses clients que de prospecter. Ce concept est renforcé par l’adage : connaître ses clients c'est connaître ses prospects.

 

 Voir : Data warehouse ; Décisionnel ; EAI ; ETL ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; SIAD ;

 

Entreprise conjointe

Entreprise conjointe  = Joint venture.  ;  ;

Désigne l’alliance de plusieurs entreprises sur la base de complémentarités industrielles, techniques, commerciales, financières dans le but de mettre en commun, au sein d’une nouvelle entité juridique, des moyens et savoir pour développer des activités.

 

Ce type de structures c’est largement développé dans le cadre d’investissement dans des pays en développement (ex : CEI, PECO) soutenus par des fonds publics (ex : Programmes européens = JOP, ECIP.)

 

 Voir : Aides européennes ; Clause de sortie ; CEI ; Management de contrats ; PECO ;

 

Entreprise individuelle

 

 Voir : Formes juridiques ; Auto-entrepreneur ;

 

Eonia

European Over Night Index Average

 

 Voir : TEMPE

 

EPCI

Etablissement Public de Coopération Intercommunal – EPCI 

Ex : District, communauté de commune et d'agglomération, SIVU, SIVOM, syndicat mixte, etc.

 

Attention : Ne pas confondre avec EPIC

 

 Voir : Formes juridiques ; GIP ; EPIC ;

 

EPIC

Etablissements Publics Industriels et Commerciaux - EPIC

 

Attention : Ne pas confondre avec EPCI.

 

 Voir aussi : Formes juridiques ; GIP ;

 

e-procurement

L’e-procurement est un concept du commerce électronique, que l’on pourrait qualifier « e-obtention »  et basé sur :

     - La notion : 1 client + des fournisseurs ;

     - Des échanges au travers du commerce électronique entre professionnels.

 

Ne pas confondre avec : e-commerce et e-marché.

 

Comme ont peut le découvrir notamment en participant aux rencontres organisées par les professionnels des achats (ex : CDAF) l’e-procurement repose sur un triptyque :

1) Un outil de gestion de la relation fournisseur ; 

2) Une application informatique sécurisée de commande en ligne ; 

3) Une gestion des flux de travail = Workflow.

 

Les acheteurs ont fait évoluer les pratiques commerciales grâce à l’e-procurement. Ainsi les coûts administratifs de la gestion des achats, ont été considérablement réduits. 

 

L’e-procurement offre différents services comme l’accès aux places de marché virtuelles et appels d’offres en ligne.

Cependant la pratique de l’e-procurement et plus encore de l’e-sourcing qui est plus l’aspect stratégique de la fonction achats nécessite la mise en place d’une démarche en mode projet.

 

 Voir : e-sourcing ; e-marché ; e-commerce ; A to B; B to B ;

 

Voir aussi : Approvisionnements ; Assistant d’achats ; EDI ; Enchère inversée ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Kanban ; Management de contrats ; Mercatique ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

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  Infos :

-

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

 

Equilibration 

Si on voulait faire un parralèle entre le pilotage d’une entité et celui d’un corps (humain ou animal) on pourrait se référer au terme « Equilibration » qui permet d’assurer la maitrise instantanée et coordonnée des mouvements dans l’espace en activant les centres nerveux provoquants les réaction musculaires apprpriées.

 

En effet cette fonction est assurée en grande partie par le cervelet (gouvernance) qui, informé préalablement de la direction à prendre (Opportunités), de l’environnement (Marché) incluant les obstacle à franchir (Concurrence), prenant en compte les contraintes d’apesanteur et autres risques (Moyens et droits) pour atteindre l’objectif fixé ou au mois d’échapper à un prédateur.(Assurer la pérenité)…

 

 Voir : Amélioration continue ; Conduite du changement ; Gouvernance ; Management de projet ; Management de transition ; Organisation ; Pragmanagement ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

Equipe projet intégrée

Integrated Project Team

 

 Voir : Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;  

 

Equities

Shareholder's equity = Capitaux propres

 

 Voir aussi : Actions ; Bilan ; Capitaux propres ; Fonds propres ; Rentabilité des Capitaux Employés ;

 

Equity Line

 

 Voir : PACEO   ;

 

ERM

Enterprise Relationship Management

 

 Voir : Management des Relations Partenariales ;   

 

ERP

ERP :

- Employé Recruté sur Place = Locally employed staff : ELS

 

- Enterprise Ressource Planning  Progiciel de Gestion Intégré : PGI 

 

 Voir : PGI 

 

Erreur de consentement

En matière contractuelle le consentement peut être vicié par une erreur qui peut porter sur la substance de la chose (ex : confusion de terminologie) ou sur la personne (ex : liée à l’Intuiti personae)

 

Attention : Ne pas confondre l’erreur de consentement avec le vice pour dol ou violence.

 

 Voir : Comportement ; Contrat ; Consensuel ; Dol ; Vice de consentement ;

 

Escompte bancaire

L’escompte bancaire est un moyen de financement des créances non échues remises à un banquier en échange d'une avance de trésorerie et en contrepartie d'agios.

 

Pas de cession de créance = débit en compte si retour impayé.

 

 Voir : Cession de créance ; Credit Management ; Dailly ; Effet de commerce ; Escompte de règlement ; Titrisation ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Escompte de règlement

L'escompte de règlement permet une réduction du prix total, taxes incluses, si paiement avant l’échéance.

 

L’escompte de règlement est basée sur la possibilité et non l'obligation, offerte au débiteur par le créancier, de s'acquitter de son achat par un paiement anticipé et éventuellement au comptant, par rapport aux conditions contractuelles prévoyant des délais de paiement.

 

Cet escompte est calculé en pourcentage de réduction sur la base du montant toutes taxes comprises du prix facturé car s'il intervient ce sera après fixation de la transaction d’origine.

 

C’est un excellent moyen, pour le fournisseur, de réduire les délais de paiement et de rémunérer ses excédents de trésorerie pour le client car en principe le taux offert peut être beaucoup plus motivant pour un trésorier que celui offert par son banquier.

 

Ceci distingue cet escompte des rabais, remise, ristourne, accordés sur le prix de vente hors taxes. (Voir incidence comptable et présentation de la facture.

C’est pourquoi Pour être plus juste économiquement il est pertinent d’en tenir compte pour calculer la marge commerciale.

Selon que l’on accorde ou que l’on soit bénéficiaire les montants sont comptabilisés :

- Escompte accordés (Cpt.665)

- Escompte obtenu (Cpt.765)

 

Attention : Avec la mise en place des IFRS et pour une plus grande cohérence économique

L’escompte relatif aux immobilisations doit être déduit du compte d’immobilisation et en contrepartie du compte fournisseur approprié ;

 

Ne pas confondre non plus avec l’escompte bancaire.

 

 Voir : Acompte ; Arrhes ; Caution ; CGV ; Credit Management ; DSO ; Escompte bancaire ; Garantie ; Marge(s) ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Rabais-remise-ristourne ;

 

Eisenhower (Matrice d’)

 

 Voir : Matrice(s)

 

ESOP

ESOP = Employee Share Ownership Plan  = Plan d’actionnariat salarié.

 

 Voir : Actionnariat salarié  ; RES ;

 

e-sourcing

L’e-sourcing est un concept du commerce électronique = e-approvisionnement .

 

Moyens et méthodes destinés à optimiser la fonction achats en automatisant et standardisant la recherche et la collecte des informations (Punch out => Catalogues). L’objectif est également de simplifier et réduire les transactions dans un échange gagnant <=> gagnant entre le client et ses fournisseurs.

Le résultat recherché est une réduction importante des cycles d’achat et coûts liés aux négociations mais aussi aux transactions.

 

 Voir : Achats ; A to B ; B to B ; Fournisseurs ; Analyse transactionnelle ; Approvisionnement ; EDI ; e-procurement ; e-market ; e-commerce ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Kanban ; Management de contrats ; Management de projet ; Mercatique ;  Punch out ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

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  Infos :

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

 

Espace Collaboratif

L’Espace Collaboratif (Obeya Room, ou War Room), est un espace privilégié de travail et de rencontre pour une équipe projet.

Cela part du fait que das le domaine de l’amélioration continue, de l’innovation, dans un projet, la communication entre membres de l’équipe est primordiale.

Les décisions doivent se faire fréquemment et rapidement. L’unicité de lieu de cet espace donne à l’équipe les moyens de s’organiser efficacement.

L’éthologie démontre l’importance des comportements dans un environnement. L’espace physique est important car il permet de mieux se retrouver et de s’observer davantage. En revanche les espaces Internet avec en plus le partage de fichiers, documents outils et la vidéo, offre de plus en plus des atouts appréciables en matière de travail collaboratif

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 Infos :

 

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 23 : Espace collaboratif = Obeya/war room

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Essaimage

Concept de dispersion de groupe (Comme le pratique les abeilles)

 

L’essaimage est aujourd’hui une pratique qui se conjugue au niveau de l’entreprise.

 

- Ainsi certaines, anticipant les évolutions technologiques ou de marché, favorisent la reconversion de leurs collaborateurs en leur apportant des aides pour créer leur entreprise grâce à un accompagnement en formation, financier ou en favoriser leur reclasement dans chez d’autres employeurs en usant de leus réseaux relationnels (Outplacement).

 

- L’essaimage c’est aussi une stratégie de groupe qui à pour objectif la cession d’activités (ex : production) ou filiales (Spin off).

 

 Voir aussi : Opération de recentrage ; Outplacement ; Ressources humaines ;

 

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  Infos :

-  Guide de l’Essaimage : Réalisé par l’APCE et l’association DIESE :

            « Favoriser la création et la reprise d’entreprises par les salariés »

-   essaime : Association des créateurs d’entreprise par essaimage.

 

Ester en justice

Etre intervenant ou partie prenante à une action judiciaire comme défendeur ou demandeur

 

 Voir aussi : Délégation de pouvoirs ; NRE ;  

 

Esthétique industrielle

Concept de forme/dessin appelé aussi : Stylique = design

 

 Voir : Concept

 

Etalonnage économique

 L’étalonnage économique est une pratique d’analyse de la concurrence pour comparaison = Benchmarking

 

Différentes techniques sont très utilisées par les services marketing pour réaliser des études de marchés.

 

Certains éléments et critères de gestion publiés par les entreprises sont également comparés pour permettre de mieux apprécier les performances par métier. (BFR, CAF, mais aussi, DSO, Provisions sur clients douteux, etc.).

 

 Voir aussi : Comportement ; Concurrence ; EFM ; Intelligence Economique ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Score ; Veille ;

 

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  Infos :

-  Testez gratuitement et faites progresser vos pratiques d'Intelligence Economique !

           Réalisé par CRCI RAIntelleco - Drire

 

ETAO

ETAO : Entretien Téléphonique Assisté par Ordinateur = CATI : Computer Assisted Telephone Interview

 

Pratique utilisée notamment en mercatique, dont service client pour faire évoluer les produits, mais aussi en RH tant pour l’évaluation des connaissances qu’à des fins de motivation.

 

Les techniques les plus performantes permettent aux acteurs d’utiliser un logiciel adapté intégrant les questions et réponses afin de pouvoir exploiter ultérieurement les données..

 

 Voir : Comportement ; CTI ; EFM ; Mercatique ; Ressources humaines ; XRM ;

 

ETEBAC

Norme asynchrone bancaire de télétransmission par modem.

   (56.600 bps bits pour transmission par ETEBAC 3)

Ex : rapprochements bancaires ; LCR, Virement, Prélèvement, magnétiques

 

Remplcé en 2010 par un nouveau service d’Orange (OBS) et Swift = HUB FINANCE

 

 Voir : ADSL, EDI

 

Ethernet

Ether = étymologie grecque signifiant air pur.

L’Ether ou Akâsha représenté par le symbole :   est aussi synonyme de quintessence.

Il représente le « Tout » en réunissant les 4 éléments : Air, eau, terre, feu.

 

Ethernet  = LAN:  local Area Network

Technologie de réseau local ou toutes les machines sont connectées à une même ligne de communication (économique) constitué de câbles cylindriques (permettant différentes vitesses : 10mb/S; 100mb/s, etc. selon les besoins de portée de 100 à 500m) Les protocoles et micro commutateurs (switch ) selon l'équipement choisi permettent d'assurer les transmissions en simultané en gérant les collisions au niveau des bus en place.

 

 Voir : Réseaux ; Switch ; Bus ;

 

Ethique

L’éthique c’est la mise en pratique par les êtres humains de concept moraux  qu’ils vont appliquer vis-à-vis des autres et de toutes choses dans le but d’agir au mieux.

 

Dans le management cette pratique se retrouve dans bien des domaines ex : la recherche notamment sur le vivant  (Bioéthique). Mais elle touche de plus en plus les comportements dans les secteurs marchands, de la production et du conseil, donnant naissance à de nombreux labels, certifications et normes…

 

Cette philosophie s’incrit donc dans le pragmatisme des comportements, actes,  et la normalisation pour traduire en faits des engagements moraux vertueux, porteurs de qualité.

C’est ce qui participe à l’établissement de règles déontologiques que l’on retrouve dans de nombreux métiers. Cest aussi ce qui fait évoler les usages et dont les lois.

 

Basée sur des valeurs morales elle est évidemment aussi issue de principes cultuels parfois antagonistes et y compris dans les domaines les plus sophistiqués du business international.

Cest le cas notamment dans la finance. Ainsi la crise du système financier surtout anglo-saxon à croisé le chemin des fondmentaux de la finance islamique sur les questions de taux d’intérêt, spéculation, sous-jacent, etc.

 

 Voir : Acte ; Communication ; Développement Durable ; Droit(s) ; Ethologie ; Fonds spéculatifs ; Habilitation ; ; Intelligence ; Management Intelligent ; Norme ; Procrastination ; Qualité ; Responsabilité ; Ressources humaines ; Sous-jacent ; Travail collaboratif ;

 

Ethologie

L’éthologie c'est l'étude des comportements d’un individu dans son environnement.

 

Qu'ils soient issus de l'inné ou des acquis les comportements des individus, qui sont l’expresion même d’un langage primaire, comme chez les animaux, sont de plus en plus étudiés au travers de concepts différents tels que :

- Mercatique ex : score d'appétence ; Etudes d’usages et d’attitudes ;

- Ressources humaines ex : Recrutement et formation interculturels ; Tests ;

- Commercial : Techniques de négociation ;

- Etc.

… pour mettre au point des méthodes et outils de gestion et d'organisation  ex :

Empowerment, kaizen, décisionnel ; Tableau de bord ;  intelligence économique ; QCM ; Organigramme ;

 

Ainsi, considérant que l’individu est un tout une approche holistique s’avère souvent plus performante pour apporter des remèdes à ses maux mais aussi des solutions à ses besoins personnels.

Dans le management d’équipe la bonne connaissance de chacun dans son ensemble est un facteur d’optimisation du travail collaboratif.

 

Le « Mobbing » est une pratique de communication mais destructive pour la victime !

 

Pour la gestion d’entreprise, voir par ex dans ce lexique :

- Principe de Peter et Gauss,

- Théories de l’enracinement et des signaux.

 

 Voir chacun de termes soulignés ci-dessus.

 

Voir aussi : 100ème singe ; Abandonniste ; Altermanagement ; Analyse transactionnelle ; Aptitudes ; Association ; Cindynique ; Communication ; Compétences ; Comportement ; Effet Pavarotti ;  Ethique ; Etude d’usages et attitudes ; Evaluation ; Génération : BB, X, Y ; Intelligence ; Johari ; Management d’équipe ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Méthode 5S ; Multitasking ; OCARA ; Organisation ; PNL ; Pragmanagement ; Pression ; Pyramide des besoins ; Sémiotique ; Société ; Tenségrité ; Test(s) ; Théorie(S) ; Travail collaboratif ;

 

ETI

Entreprise de Taille Intermédiaire

Ce concept européen est entrée en vigueur en France par la « Loi de Modernisation de l’Economie »

 

l’ETI désigne  une catégorie d’entreprise dont les critères spécifiques sont :

- Effectif est compris entre 250 et 5 000 personnes ;

- Chiffre d'Affaires inférieur à 1,5 Mds € ;

- Bilan total n'excède pas 2 Mds €

 

Attention : ne pas confondre avec : Ethical Trading Initiative

 

 Voir : Aides européennes ; Forme juridique ; LME ; PME ; Statut ; TPE ; VaMPs ;

 

ETL

ETL = Extraction, Transformation and Loading  

 

C’est un outil informatique destiné à extraire des données de diverses sources (bases de données de production, fichiers, Internet, etc.), à les transformer et à les charger dans un entrepôt de données.

Sous-ensemble d'un EAI.

 

 Voir : EAI ; Décisionnel ;

 

Etude d’usages et attitudes

L’étude d’usages et d’attitudes permet de « profiler » les consommateurs pour connaître leurs habitudes, comportements,  aussi bien d’achat que de consommation proprement dite.

 

 Voir : Abandonniste ; Analyse textuelle ; BOGO ; Comportement ; Ethologie ; Génération : BB, X, Y ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Mouchard ;  Multitasking ; OCARA ; PESTEL ; Prospect ; Pyramide des besoins ; Score d’appétence ; Sémiotique ; Taux d’attrition ;

 

Euribor

EURIBOR = Euro InterBank Offered Rate.

 

 Voir : TIBEUR

 

EURL

 

 Voir : Forme Juridique.

 

Eurolist

l'EUROLIST regroupe sur Euronext Paris, toutes les entreprises, du Premier, Second et Nouveau marché.

 

Au sein de ce marché réglementé unique, les sociétés cotées sont classées par ordre alphabétique et sont identifiables grâce à un critère de capitalisation, permettant de distinguer facilement les petites valeurs (capitalisation boursière inférieure à 150 millions d'euros = Alternext), les moyennes (entre 150 millions et 1 milliard d'euros) et les grandes valeurs (supérieure à 1 milliard d'euros).

 

 Voir : Alternext ; Marché ;

 

EVA

EVA = Economic Value Added ou Earned Value Analysis  

 

Mesure la valeur créée en particulier pour l'actionnaire en comparant le coût moyen pondéré des capitaux engagés et le retour sur le capital investi.

 

Formule : EVA = Capital investi x (Retour sur capital investi – coût moyen pondéré du capital)

 

 Voir aussi : Analyse financière ; Capital ; CMPR-CMPC/WACC ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ; CRTE ; CVA ; Evaluation ; EVM ; RENI/NOPAT ; NPV ; SIG, Taux de Rentabilité Interne ; Valeur acquise ; VBM ;

 

Evaluation

Evaluation = Bewertung  ;   ; Assessment, appraisal, rating-  ;

L’évaluation varie dans sa définition, les méthodes et moyens employés, selon la « chose » le sujet, à évaluer mais surtout selon l’objectif recherché.

Il arrive même parfois quelle s’exprime, comme les sondages, en fonction de celui à qui il est destiné, facturée ! C’est pourquoi le choix de l’évaluateur, pour son expertise et son intégrité, est incontournable.

 

Attention : Evaluer ne crée pas plus de valeur que de se peser fait perdre du poids !

 

En matière de RH l’évaluation est pratiquée depuis très longtemps soit par des entretiens d’évaluation = Appraisal interview , des questionnaires (ex MBTI = Méthode de Myers et Briggs destiné à étudier la personnalité), tests (ex : de Rorschach) sur les tâches et autres aperceptions thématiques ou souvent de manière officieuse et par des analyses à postériori (ex : Lettre de motivation, graphologie, entretiens périodiques)

Les modalités d’évaluation peuvent être de types différents et plus ou moins aléatoires selon la méthode utilisée par le recruteur et la préparation, plus ou moins préparée (Mentor), des candidats !

 

Exemples d’évaluation : Tests psychotechniques ; Mises en situation (négociation, prise de décision).

Ces évaluations ont pour objectif de mesurer les aptitudes à un poste, le potentiel de maîtrise des connaissances acquises et comportements dans différentes situations, d’analyser la personnalité et les facultés de communication, etc.

 

Bien d’autres domaines font l’objet d’évaluations :

 

Comme par exemple l’évaluation d’entreprise pour son potentiel de développement, sa performance, gouvernance, rentabilité, etc.

Selon l’objectif recherché et le statut du demandeur (Actionnaire ou dirigeant entrant ou sortant, fournisseur, client, partenaire) la méthode (ex : comparables, patrimoniale, VAN, TRI, etc.) et l’auditeur (degré d’indépendance), doivent être déterminés avec la plus grande attention.

C’est le principe du sondage : Il faut savoir qui le réalise et à la demande et même parfois au profit de qui est-il réalisé ?

 

Il est également de plus en plus incontournable de vérifier la qualité des marchandises, produits avant leur expédition, livraison, mise sur le marché et de se faire délivrer à cet effet un certificat de conformité suite à une agréation.

 

Il est aussi de plus en plus indispensable de bien évaluer une marque, le degré de satisfaction d’un produit, la popularité d’un site web, etc.

 

La pratique de l’Enterprise Feedback Management-EFM permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques et donc la conduite du changement.

 

La logistique et la gestion des relations clients ont également intégré le concept de performance globale basé sur le tryptique : Qualité – Coûts – Délais.

 

En conséquence, pour évaluer, au mieux, une entreprise :

- Dans le cadre de l’analyse financière (comptable et économique) ex : il faut par exemple évaluer les actifs adjacents et engagements hors bilan et pratiquer l’analyse boursière (CCR) et la comparer à la valeur comptable (PBR)

Depuis la mise en place des normes IFRS les besoins et surtout impératifs d’évaluation se sont démultipliés ainsi en parallèle de l’auditeur les entreprises doivent maintenant avoir recours à un évaluateur.

 

- En parallèle il faut procéder à une analyse commerciale et technique/industrielle.

L’objectif est d’avoir une vision cohérente et objective de son marché (débouchés), de ses moyens de production (investissements et RD), du management et de ses performances (qualité de gestion) mais aussi de sa perception par le marché financier (risques attaché à la spéculation boursière).

Pour exemple :

Le nouveau plan comptable français, depuis 1982, à remplacé la Marge Brute d’Autofinancement par celle de la capacité d’autofinancement désignée souvent par CAF.

Car à l’inverse de la CAF la MBA intègre le résultat de cession d’actifs qui ne relèvent pas réellement de l’activité de l’entreprise faussant ainsi le résultat de la seule perfomance d’exploitation.

Cependant il ne faut pas perdre de vue que de plus en plus d’entreprises s’évaluent par leur rentabilité globale y compris celle réalisée sur la gestion d’actifs immobilisés ou les plus values de gestion de trésorerie.

 

Remarques et questions :

La valeur des titres des entreprises est-elle celle de leur partrimoine et le reflet de leur activité principale ?

Aussi juste que soit l’évaluation au prix du marché, certains affirment quelle n’a été pensée que pour favoriser et accélerer les opérations de haut de bilan et la prime aux simples investisseurs au détriment de acteurs laborieux !

Alors, il ne faut pas s’étonner que le métier passe au second plan et que la spéculation à tous les niveaux de l’entreprise (interne et externe) soit devenue la règle.

Certains spécialistes affirment que les IFRS sont en partie responsables de la crise financière de 2008.

Alors quid de l’évaluation d’entreprise et de nombreuses normes, issues elles aussi de précédents scandales financiers, sensées apporter transparence et comparabilité en matière de mesure de perfomance et de gouvernance ?

 

 Voir : Agréage ; Altermanagement ; Analyse par les Options Réelles ;  Analyse transactionnelle ;  Aptitude(s) ; Attestation d’équité ; Audit ; BFR-BFE ; Beyond budgeting ; Coefficient de Capitalisation des Résultats/PER/PEG ; Compétences ; Comportement ; Dernier planificateur ; Développement Dirigé par les Tests ; DSO ; Effet de NORIA ; EFM ; EMOFF-FFPM ; Engagements hors bilan ; Ethologie ; EVM & EVR ; Excellence Opérationnelle ; Formation ; GEODE ; Gestion Globale de la Performance (CPM) ; Handicap ; Heuristique ; Holding ; Holistique ; IFRS ; Intelligence ; Johari ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Maîtrise des dépenses ; Management de contrats ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management des risques ; Management du rendement ; Marge(s) ; MEDAF/CAPM ; Mentor ; Méthode(s) ; Modèles d’analyse de portefeuille ; NRE ; OVAR ; PAMP ; PBR ; PDCA ; PESTEL ; Plan de succession ; Point mort ; Points de fonction ; Portrait chinois ; Pragmanagement ; QCD ; Ratio(s) ; RCE ; REEL ; Relutif ; Résultat(s) ; SMART ; Supposition ; Taux de Rentabilité Interne ; Temps Moyen d’Attente ; Temps Moyen de Manipulation ; TPMC ; Transformation organisationnelle ; Valeur nette comptable ; VAN/NPV ; Zéro défaut ;

 

Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

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  Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 10 : Modèle de cotation  = Scoring model

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

- Boutiques de Gestion : Associations d’aides à la création d’entreprises = Audit de projet ; Accompagnement et formation.

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 Réf. Pro. :

-  PhPmyVisites Le compteur gratuit de statistiques et mesures d’audience de votre site !

 

Eviction

(Indemnité, Prix)

 

 Voir : Bail ;  Prix d’éviction ;

 

EVM & EVR

 Earned Value Management Management de la valeur Acquise

& Earned Value Running = Management de ce qui Reste à Faire »

 

 Voir : Management de la valeur acquise    ; Procrastination ; Transformation organisationnelle ;

 

EVOP

EVOP = EVolution des Opérations  = EVolutionary Operations.

 

Méthode d’optimisation des processus pour évaluation continuelle des inconvénients détectés sans pour autant interrompre le processus en cours.

 

L’objectif est de continuer à travailler, produire, tout en anticipant sur les améliorations à apporter à des méthodes, outils, notamment en utilisant des méthodes MSP (Maîtrise statistique des processus).

 

 Voir : Autonomation ; Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Qualité ;

 

Excédent Brut d’Exploitation

 

 Voir : EBE

 

Excellence Opérationnelle

L’excellence opérationnelle : C’est l’adaptation à la culture française du « Lean  Management»

EO est un concept qui a pour objectif la réduction des coûts et l’augmentation de la productivité.

De plus il intègre pour les pratiquants un esprit ouvert en permanence sur la satisfaction du « Client » final. Enfin, pour favoriser la pérennisation des activités ce concept prend également en compte la nécessité de pratiquer l’amélioration continue et l’innovation.

Sur l’aspect organisationel la pratique de l’EO se fixe de fédérer tous les acteurs autours de ses objectifs tant en terme de hiérarchie que de spécificité des acteurs, services, unité de production ex :

- R&D – Production – Logistique - Force de vente ; Services administratifs dont financiers – Gouverance et stratégie - 

 

Pour ceux qui connaissent le Lean c’est un peu la même approche mais avec une très forte implication de chacun des acteurs sur l’aspect management stratégique et amélioration continue.

C’est donc l’Humain qui est largement valoriser pour faire la différence au-delà des savoirs limités à la seule notion d’exécution aussi maitrisée soit-elle. D’où le rapprochement avec la notion de Management Intelligent

 

 Voir : 3M ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Conduite du changement ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Genchi Genbutsu ; Gouvernance des risques te conformités ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management de la valeur acquise ; Management intelligent ; Multitasking ; Organisation ; Poka-Yoké ; Pragmanagement ; Procrastination ; Production au plus juste ;  Qualité ; Responsabilité ; Syndrome de l’étudiant ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

 Accédez aux vidéos des conférences et autres interviews sur le management !

 

- Conférence : INEXO Usine-École la Valorisation de l’Humain par l’Excellence Opérationnelle  ou Comment créer de la compétitivité  pour Péreniser les Activités des Entreprises.

   Et pour le(s) film(s) = Rendez-vous sur le site « Excellence Opérationnelle TV » dont :

- Conférence INEXO – Présentation de l’usine école de Lyon présetée par Alexandre FIDANZA

- Zahir MESSAOUDENE nous explique comment pallier les différences culturelles dans l’application du Lean

- Gwenhaël Le Grand, Lean Manager nous explique la mise en place du Lean sur un site d’Arcelor Mittal

 

- e-Livre : 55 Conseils pour être plus efficace et plus productif. En entreprise, sur Internet et dans la vie.

 

Exception d’inexécution

L’exception d’inexécution est un acte par lequel un créancier décide unilatéralement de suspendre ses obligations après avoir constaté que son cocontractant n’a pas réalisé son engagement contractuel que l’inexécution soit temporaire ou définitive.

 

Cette pratique appelée aussi « non adimpleti contractus » relève de mesures de coercition ou de rétorsion engagées unilatéralement par le débiteur il faut donc qu’elle le soit à bon escient pour ne pas se retourner contre lui. Il serait bien avisé de consulter préalablement un juriste.

 

Bien évidemment cette pratique ne s’applique qu’aux contrats synallagmatiques.

 

 Voir : Astreinte ; Clause pénale ; Contrat ; Management de contrats ; MARC ; Synallagmatique ;

 

Exequatur

Exequatur du latin   « que l’on s’exécute »

 

Décision judiciaire autorisant l'exécution en France d'une décision rendue par une juridiction étrangère ou une juridiction arbitrale.

 

C’est aussi la décision d’un juge = Ordonnance, rendant exécutoire la décision, sentence, d’arbitrage.

 

 Voir : Arbitrage des conflits ; Management de contrats ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Exigence

Exigence = Requirement 

Se dit de ce qui est commandé par une volonté, une demande et qui revêt un caractère impératif.

Les exigences peuvent être techniques, philosophiques, cultuelles, etc.

 

Ce sont des obligations réglementaires, contraintes normatives, dispositions contractuelles et autres circonstances liées par exemple à lexpression et la réalisation des besoins personnels, à ceux des groupes et entités.

Ce sont ainsi les conditions requises pour une structure, un prestataire, produit, service ou système, afin d'être en conformité par rapport à un objectif donné, un projet. Ex : Cahier des charges.

 

Parfois qualifiées de contraintes au sens inertie elles sont pourtant logiquement dictées par des objectifs de qualité et recherche de performance.

 

Les exigences sont souvent en rapport avec la nature et ses éléments et constituants, dont les matières et évènements qui pour l’humain représentent, par exemple, des ressourses, énergies mais aussi les nombreux risques qui y sont liés.

 

 Voir : Agréage ; CGV ; Conformité ; Gouvernance des risques te conformités ; Handicap ; Loi de Confiance Economie Numérique ; Loi de Sécurité Financière ; Management de contrats ; Management de projet ; Management de risques ; Norme ; NRE ; PESTEL ; Réglementation ; Stratégie Océan Bleu ; Système de Management Intégré ; Théorie de résolution des problèmes d’invention / TRIZ ; Théorie des contraintes ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

Exigible

Exigible :

- Se dit d’une créance arrivée à son échéance ou lorsque le contrat prévoit que le non respect de celui-ci (ou d’une obligation) permet de réclamer le paiement sans délai de la dette, m^me si celle-ci n’est pas échue.

 

- Le plan comptable français impose de classer les dettes au bilan dans l’ordre d’exigibilité. En haut du bilan ce qui sera remboursé en dernier = Capital puis les dettes à long terme, en milieu les dettes à moyen terme et en bas de bilan les dettes à très court terme comme un compte courant débiteur chez un établissement financier.

 

 Voir : Bilan ; CapitalClauses ; Clause de déchéance du terme ; Créancier ; Garantie(s) ; Intérêts moratoires ; Procédure ;

 

Exploit d’huissier

 

 Voir : Huissier de justice.

 

Exploration de données

Terme officiel français = Exploration de données = Datamining . Littéral = '' forage de données''

 

Ensemble des techniques, de logiciels, principalement statistiques, utilisés pour transformer (ou regrouper) des données en connaissance. (ex : segmenter les clients)

 

Technique d'analyse utilisant un logiciel pour dénicher des tendances ou des corrélations cachées parmi des masses de données ou encore pour détecter des informations stratégiques ou découvrir de nouvelles connaissances, en s'appuyant sur des méthodes de traitement statistique.

 

C'est l'utilisation de ces données statistiques (ex : nombre) associées à des évènements historisés (notion de temps) qui permet par exemple de définir des comportements (ex : appétence).

 

En matière de mercatique une pratique plus précise d’exploration concernant une sous rubrique est désignée sous le vocable « Sampling»

 

 Voir : Décisionnel ; Entrepôt de données ; Fichier ; Gestion Globale de la Performance ; OLAP ; Score ;

 

Externalisation

 Externalisation = Outsourcing.  

 

Externaliser c'est confier l’exécution de certaines tâches hors cœur de métier à des structures externes à l’entreprise. ex : Formation, logistique, gardiennage, nettoyage, SAV, comptabilité, recouvrement, informatique, force de vente, recrutement.

 

Ne pas confondre avec l’impartition

Ex : La sous-traitance qui concerne l'activité dite "cœur de métier"

 

Cette externalisation peut revêtir plusieurs formes et donc contrats ex :  

-  L’Infogérance = concerne surtout la gestion complète (ou partielle) des ressources informatiques.

Elle comprend généralement la reprise, par le prestataire, du personnel et des matériels de son client. Si cette reprise n'est pas prévue on peur alors parler de "Centre de services partagés" ou d'internalisation dont le principe consiste pour un prestataire à intervenir avec son propre personnel dans une entreprise. La notion de "Manged services"  se rapproche de ces 2 notions.

 

- L'externalisation peut également être physique.

Dans ce cas les prestations de services pour le compte de l'entreprises se trouvent physiquement chez un prestataire (ex : Actions commerciales) appelé le cas échéant hébergeur (ex : logiciel en location de droit d’usage - ASP)

 

- TMA : Tierce Maintenance Applicative = voir maintenance.

 

Cette externalisation peut également être réalisée en extraterritorialité (Offshore) et très souvent pour des questions de coûts de main-d’œuvre depuis des pays à bas coûts, mais aussi de savoir-faire spécialisé.

 

Pour favoriser un projet d’externalisation on peut utiliser plusieurs référentiels, méthodes ex : COBIT ;

 

Attention : Ne pas confondre externaliser qui implique un rapport direct de client à fournisseur qui n’est pas un intermédiaire et la sous-traitance qui est un mandat dans lequel celui qui confie une tâche à un intermédiaire en reste le maître d’œuvre. Ainsi au lieu que la réalisation soit faite par un de ses salarié elle est est faite par un tiers.

 

 Voir : BOT ; Centre de services partagés (CSP) ; Clause de réversibilité ; COBIT ; Credit Management ; FAH-ASP ; Location de droit d’usage –SaaS ; Maintenance ; Maître d’œuvre ;  Management de contrats ; Mandat ; Offshore ; Pays à bas coûts ; RPO ; Services généraux ; Sous-traitant ; TMA ;

 

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 Infos :

- Isabelle RENARD ingénieur et avocat.

Qui a publié un ouvrage aux Editions d'Organisation « L’Externalisation en pratique »

 

-  European Outsourcing Association :

Structure indépendante visant à développer, promouvoir et améliorer les pratiques d'externalisation…

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Extranet

L’extranet c’est la partie d’un Intranet accessible de l’extérieur du réseau par autorisation préalable.

 

Utilisé pour permettre un accès gratuit ou payant (ex : e-formation, partenaires, collaborateurs distants, visio conférence, etc.) Cette utilisation c’est notamment développée dans le concept PRM et XRM pour permettre une optimisation des relations entre des acteurs internes mais mobiles et externes d’une entité à qui il faut donner accès à des éléments du système d’information.

 

 

 Voir aussi : Fourniture d’application hébergée-ASP ; Location de droit d’usage –SaaS ; Réseau ; PRM ; XRM ;

 

Ex Works

 

 Voir : Départ usine.  ; Incoterms ;

 

F

  Flash-Infos : La synthèse quotidienne de l’activité économique régionale = par email !

Facilité de caisse

 

 Voir : Découvert bancaire

 

Facilities Management

= Gestion d’équipements et services.

 

 Voir : Services Généraux.

 

Factor

Factoring

 

 Voir : Affacturage

 

Facture

 et      Mentions obligatoires

Facture = Invoice

Attention à l'évolution des réglementations diverses d'ordre économique (ex : IFRS, Concurrence) fiscal (ex : TVA,) et technologiques (ex : dématérialisation) etc.

 

Il faut également faire très attention aux pratiques comme : l'acompte, les factures pro forma, les CGV, etc.

 Voir les références législatives et les dispositions de la DGI ainsi que de la DGCCRF sur les sites web en accès libre ou spécialisés.

 

A titre indicatif :

- Mentions obligatoires et pénalités :

Le décret n° 2003-632 du 7 juillet 2003, précise les mentions à faire figurer sur les factures. :

a) identifiants de l'entreprise émettrice : Dénomination sociale, adresse, forme, n°identifiant RCS et TVA intracommunautaire, idem pour le client sauf pour la forme et le RCS, différents dans d'autres pays)

b) Chronologie de la facture = Numéro (Unique et dans une séquence chronologique continue) et date d'émission.

c) Désignation précises des prestations ou biens vendus dont la quantité le prix unitaire et le total hors taxes

d) Les réductions accordées

e) l'indication de la TVA ex : exonération ou taux appliqué(s) et montant.

f) les conditions générales (qui doivent être acceptées sans contestation par le client) doivent préciser les bases de calcul des intérêts moratoires (dont Taux référence)

G) la date précise prévue pour le règlement (échéance)

Les pénalités en cas de manquement sont dissuasives : de 15 à 375.000 € + éventuellement des sanctions pénales.

 

 Voir : CGV ; Clauses ; Dématérialisation de documents ; Document électronique ; EDI ; Intérêts moratoires ; LCEN ; NRE ; Signature électronique ; XML & eb-XML ;

 

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  Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Facture dématérialisée Facture électronique

Facture électronique, numérisation et dématérialisation fiscale :

 

Remarque :

a) Il ne faut pas confondre numérisation et dématérialisation. La numérisation est l’utilisation d’un procédé technique, comme la lecture ou reconnaissance automatique de documents, qui permet d’enregistrer un support papier, en particulier pour en faciliter le stockage et les recherches ultérieures

b) Une facture électronique par définition n’a pas de substance matérielle (Voir document électronique)

.

Depuis 2003 Il est possible d'utiliser 2 procédés de dématérialisation pour les factures, l'échange de données informatisées (EDI déjà utilisé pour les déclarations fiscales) et la signature électronique.

L'article 289 bis du CGI, modifié, permet, pour sa part, aux entreprises de transmettre des factures au moyen d’un échange de données informatisées (EDI).

Le décret n° 2003-659 du 18 juillet 2003 définit les modalités d’émission et de conservation des factures transmises par voie électronique et sécurisée au moyen d’une signature électronique.

L'utilisation pour la facture électronique de la norme eb-XML favorise non seulement la comptabilisation mais aussi les règlements et rapprochements bancaires ainsi que la gestion des stocks. (Voir ce terme)

 

Attention :

- Toute facture fiscalement dématérialisée ne peut faire l'objet d'une nouvelle matérialisation sans perdre son statut fiscal (ex : déductibilité de la TVA)

- La facturation électronique ne peut être imposée à un client.

- Si les CGV sont incluses dans la facture il faut toujours pouvoir prouver l'acceptation de celles-ci par l'acheteur !

 

 Voir : Document électronique ; Dématérialisation de documents ; Scannérisation ; EDI ; Certificat numérique ; Signature électronique ; Tiers de confiance ; XML & eb-XML ; Jeton comptable ;

 

Voir aussi : CGV ; Clauses ; Credit Management ; Intérêts moratoires ; LCEN ; Management de contrats ; NRE ;

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  Infos :

- Voir « livre blanc de la facture électronique » rédigé par DESKOM  publié par EBG – Electronique Business Group

 

- MÉDÉ (Mission pour les Echanges Dématérialisés) dont le principal objectif est de faciliter l'accès à la commande publique aux TPE et PME.

Voir en particulier le livre blanc sur le certificat et la signature numérique.

 

FAH

 

 Voir : Fourniseur d'Application Hébergée.

 

FAI

Fournisseur d’Accès à Internet = FAI

 

De profonde modification des partiques liées à l’explosio des échanges via Iternet amènent les FAI à devenir des  Réseaux de diffusion de contenus = Content Delivery Network - CDN

 

Ne pas confondre avec Fourniture d’Application Hébergée  = FAH;

 

  Voir : FAH ; Opérateur ;

 

Fairness Opinion

 

 Voir : Attestation d'équité   ; Audit ; Garantie ;

 

Fair value

Fair value = Juste valeur

 

 Voir : Evaluation ; IFRS ;

 

FASEP

FASEP = Fonds d’Aide au Secteur Privé :

 

a) Le FASEP-Études finance principalement des études de faisabilité, ainsi que des opérations d'assistance technique ou de coopération institutionnelle à finalité économique et financière, destinées à des bénéficiaires étrangers et réalisées par des prestataires français, en amont de projets d'infrastructures dans les pays émergents et en transition. – Source : http://www.senat.fr/rap/l05-099-34/l05-099-3419.html

 

b) Le FASEP-Garantie permet d'assurer contre le risque économique les investissements en fonds propres réalisés dans les filiales situées dans les pays émergents et les économies en transition : Amérique latine (dont Mexique), Asie, Europe Centrale et Orientale (dont Turquie), Maghreb, Proche et Moyen Orient, et Afrique du Sud. – Source : http://www.senat.fr/rap/l03-073-313/l03-073-3137.html

Le FASEP Garantie est : Une procédure d’aide publique piloté par la Coface et OSEO.

Cette garantie est destinée à favoriser l’implantation des PME françaises à l’étranger en garantissant contre le risque d’échec économique d’une filiale. – Source Coface Procédures publiques.

 

 Voir : Aides ; Financement ; Garantie ;

 

FAST

FAST = Fonction Analysis System Technique.

 

Méthode basée sur le diagramme éponyme et qui a pour parcularité de présenter sous forme visuelle l’arborescence des éléments étudiés.

Les présentations servent des applications très différentes  (= Eléments réliés par des flèche, traits) ex :

- En cristaux pour le multidimensionnel ;

- En arborescence verticale pour les d’organisation hiérarchique ou fonctionnel et de type généalogique,

- Convergeants pour les analyses fonctionnelles de type : Pourquoi ó Comment relatif à un produit ou service ;

- Chemin optionnel ex : Répondre Oui/non à des questions successives favorisant un choix final, etc.

 

Le diagramme met en évidence le lien entre le besoin fondamental et le concept final d’un produit tout en passant par les aspects techniques (désignés : fonctions internes) qui sont au service des utilisations de celui-ci (appelées : fonctions externes).

 

Ainsi ont peut mieux appréhender certaines solutions aux problèmes qui se posent en ayant une vision hiérarchisée, décomposée à partir du pourquoi et comment jusqu’à la solution.

 

Certains logiciels permettent d’utiliser cette méthode notamment par leurs fonctions de recherche amont aval en passant d’une fenêtre/diagramme à une autre.

 

 Voir : AMDEC ; Drill down ; EMOFF-FFPM ; GANTT ; Gating ; Management de projet ; Poka-yoké ; QPQQCOC ; Qualité ;

 

Fast Close

Clôture Rapide

 

 Voir : Déclarations fiscales et sociales ;

 

Faute

Faute  = Fehler  ; Falta  ;   ;

C’est manquer à un devoir, un règlement, avoir commis une négligence, ce qui peut entraîner une sanction..

 

 Voir : Abus de biens sociaux ; Action collective ; Action sociale ; Cessation de paiement ; Gouvernance ; Lien de causalité ; Régimes matrimoniaux ; Responsabilité ; Responsabilité civile professionnelle ; Révocation ad nutum ; Risques ; Risque de liquidité ;

 

FCC

Fond commun de créances.

 

 Voir : Titrisation

 

FCL

Full Container Load

 

 Voir : Bout en bout ;

 

FCPI

Fonds Communs de Placement dans l'Innovation – FCPI

 

Support de collecte de l’épargne et de répartition des investissements gérés par des établissements spécialisés.

 

Outil de gestion de patrimoine et de « Capital Investissement/risque » qui permet à son propriétaire de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu (25% du montant investi) et d’exonération d’imposition sur les plus values (hors prélèvements sociaux).

 

Les FCPI sont particulièrement utilisés dans les opérations de recentrage (Spin off) liés à la politique de R&D d’une entreprise.

 

Ce choix est donc à la fois un produit de défiscalisation pour un épargnant et un outil de développement pour les entreprises innovantes.

 

 Voir : Capital ; Capital Investissement ; Capital Risque ; Innovation ; Patrimoine ; Titre ;

 

FCPR

Fonds Commun de Placements à Risques – FCPR

Support de collecte de l’épargne et de répartition des investissements gérés par des établissements spécialisés.

 

Certains sont destinés à des investissements régionaux fiscalement avantageux : Fonds d’Investissements de proximité –FIP

 

 Voir : Action ; Billet de trésorerie ; Capital risque ; Marché(s) ; Obligation ; Sicav ;

 

Feature costing

 

 Voir : Méthode des coûts stables

 

FEMIP

Facilité Euro-Méditerranéenne d'Investissement et de Partenariat – FEMIP.

 

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 Infos :

- Commission européenne 

La Commission propose d’adapter la FEMIP pour renforcer le soutien aux PME et l’importance du partenariat avec les pays méditerranéens

Extraits :

 « …ces prêts concernent des projets d'infrastructure tels que le système de métro léger à Tunis, la rocade routière d'Amman ou le parc d'éoliennes de Tanger.

Les prêts aux sociétés privées et aux PME, principalement au travers des intermédiaires locaux, ont triplé au cours des trois dernières années.

En outre, le capital-risque financé sur les ressources budgétaires de l'UE a permis la participation à de fonds de placement privés, des institutions de micro-finance ainsi que des régimes de garantie de prêts aux PME. Une enveloppe spéciale de la FEMIP a été créée en 2003 pour les prêts à haut risque. Mais, le soutien au secteur privé n'a cependant pas encore atteint son plein potentiel.

À la suite de discussions avec les pays partenaires méditerranéens lors de la réunion ministérielle en juin dernier à Tunis, ainsi que de la consultation des parties prenantes à la FEMIP, la Commission conclut que l'action de la Facilité visant à promouvoir le développement du secteur privé peut être renforcée, notamment auprès des PME, qui représentent plus de 95% de toutes les entreprises, ainsi que 50 à 70% des emplois

 

 Voir : Aides européennes ; Capital Risque ;

 

FFPM

 

 Voir : EMOFF-FFPM ;

 

FIBEN

FIBEN = Fichier interbancaire des entreprises.

 

Ce fichier géré par la Banque de France centralise des informations recueillies non seulement auprès des entreprises elles mêmes et suite à leurs déclarations fiscales. Les tribunaux de commerce pemettent également de compléter cette base de données par la teneur des décisions de justice. Enfin elles obtiennent également toutes les informations relatives aux incidents de paiement auprès des établissements financiers qui ont obligation de les déclarer.

 

Toutes ces informations permet d’établir un système de cotation qui sera mis, exclusivement des administrations et établissements financiers qui s’en servent comme d’une aide à leur décision notamment de crédit mais aussi pour définir les conditions liées aux typologies de clientèle établies grâce, en partie, à ce fichier.

 

Voilà ce qui explique le plus souvent les réticences d’un banquier à négocier vos conditions mais surtout à refuser un concours bancaire. En revanche une bonne cote peur vous permettre de négocier beaucoup plus facilement !

 

 Voir : CNIL ; Score ; Cote ; Loi de sauvegarde ; Procédures ; GEODE ; Evaluation ;

 

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 Infos :

Il est donc souhaitable que chacun sache quelle est sa cote au FIBEN

 

Fichiers

= File  ;   ;

Attention : aux obligations de déclaration à la CNIL

 

- Fichier de compilation : regroupe des informations de sources différentes ex. annuaires divers.

- Fichier de comportement : conçu à partir d'analyses pouvant porter sur des habitudes de consommation ou activités ex : sur Internet

 

 Voir : CNIL ; Comportement ; Gestion de contenu ; Gestion des relations clients ; Mouchard ;

 

Fiduciaire

Fiduciaire est un terme utilisé, pour désigner la monnaie en espèces (Pièces et billets) émise en contrepartie de biens ou métaux précieux servant d'étalon de valeur (= convertibilité) = Voir Fiducie

 

Depuis la loi de février 2007 sur la Fiducie, fiduciaire désigne une personne morale, administrateur de biens qui lui ont été confiés par des fiduciants appelés aussi constituants.

 

Cette entité fiduciaire peut aussi être celle qui va gérer les intérêts de certains créanciers obligataires face aux emprunteurs. Ce statut sera réservé à certains organismes financiers relevant d’une profession réglementée.

 

 Voir : Action ; Administrateur ; BOT ; Contrat ; Fiducie ; Holding ; Mandat ; Personne morale ; Propriété ;

 

Fiducie

Fiducia est un terme du droit romain signifiant :

Confiance  ; Vertrauen  Confianza  ; Trust  ;   ; Amanah

 

En France, depuis février 2007 La fiducie fait l’objet d’une loi :

« C’est une opération par laquelle un ou plusieurs constituants transfèrent des biens, des droits ou des sûretés, ou un ensemble de biens, de droits ou de sûretés, présents ou futurs, à un ou plusieurs fiduciaires qui, les tenant séparés de leur patrimoine propre, agissent dans un but déterminé au profit d’un ou plusieurs bénéficiaires. »

 

Cet instrument juridique novateur pour le droit français existe déjà depuis longtemps en droit anglo-saxon (Trust) et romano-germanique (Suisse)

.

Cette nouvelle loi à de multiples répercussions sur la notion de patrimoine.

Les biens remis au fiduciaire constituent, en effet, un patrimoine autonome donc non soumis aux procédures collectives et bénéficiant d’une fiscalité particulière tant sur les plus values que les droits d’enregistrement, la TVA, etc.

 

 Voir : Capital Investissement ; Courtier ; Ethique ; Fiduciaire ; Management intelligent ; Mentor ; PACEO ; Patrimoine ; Propriété ; Responsabilité ;

 

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 Infos :

- Article source EFI   Crise de liquidité ou de confiance ?

 

FIFO

FIFO = First In First Out  

 

 Voir : PEPS   

 

Filiale

= Subsidiary  ; Tochterfirma  ;   ;

La filiale est différente de l’établissement par le fait qu’elle possède la qualité de personne morale (voir SIRET)

Ce terme recoupe plusieurs acceptions.

En France le statut de filiale est reconnu fiscalement à compter d’une participation de 5% de son capital par une autre société dite « Mère ». (Voir déclaration à l’AMF surtout pour l’entreprise est cotée). Sur un plan plus générique c’est le pouvoir de contrôle notamment au-delà de 50% qui est retenu.

Il faut préciser la recherche notamment en fonction du droit et de la fiscalité.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Fiducie ; Formes juridiques ; Holding ; Intégration fiscale ;

 

Financement

Le financement des activités économiques doit faire feu de tout bois !

Que ce soit pour des besoins d’investissement ou de fonctionnement, d’achats liés directement à l’exploitation comme les marchandises ou de ceux qui permettent de travailler comme les locaux et autres mobiliers, avant de dépenser il faut réfléchir, évaluer, comparer, etc.

Le choix étant fait il faut alors trouver le financement approprié aux besoins et moyens notamment de rembourser un emprunt.

En principe la durée d’un financement est liée à celle de l’usage du bien ou service concerné : Court, moyen ou long terme

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Achats ; Aide(s) ; Approvisionnement ; Autofinancement ; Capacité d’autofinancement ;  Caution ; Cession de créances ; Clients ; Créance Née à l’Etranger ; Dailly ; Délais de paiement ; DSO ; Désintermédiation bancaire ; Escompte ; FASEP ; Fiducie ; Financement de foule/Crowdfunding ; Financement du poste Clients ; Fournisseurs ; Garantie(s) ; Haut de bilan ; Marché(s) ; OSEO ; Taux ; Titrisation ; Trésorerie d’échelle ;

 

Financement du poste Clients

 

 Voir : Affactutage ; BFR ; Cavalerie ; Créance née à l’étranger ; Credit Management ; Dailly ; Effet de commerce ; Escompte commercial ; Titrisation ; Trésorerie d’échelle ; 

 

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 Infos :

-  Dubly-Duval Consultants : « La Trésorerie d’entreprise » Découvrez la présentation : Concours bancaires, Dailly, MCNE, affacturage, Titrisation, gestion …

 

Financement par la foule

Appelé aussi « Prêt d’union » ou Financement communautaire = Crowdfunding 

A pris son essort en 2012 aux USA avec le « Jobs Act » en permettant à des entreprenants de solliciter des financements via Internet pour développer leurs projets.

Cette alternative aux financements bancaires par des levées de fonds importants et largement réparties ne présente pas non plus de garanties fiables notamment sur le contrôle des projets et opérations.

 

Le développement de cette pratique est trè rapide et important dans de nombreux pays, ce qui nécessite souvent une adaptation de la règlementation.

 

 Voir : Capital ; Capital risque ; Capital d’amorçage ; Désintermédiation ; Modaraba ; Pacte d’actionnaire ;

 

Financement structuré

Au-delà d’une technique financière le concept de « Financement Structuré » comme son nom le laisse supposer peut être considéré comme une organisation d’acteurs, moyens et produits.

 

L’objectif est d’offrir des alternatives de financement à des entités qui ont quelques difficultés à obtenir du crédit plus classique ( notamment faute d’une bonne cote) tout en rassurant les préteurs en limitant leur risque. Les transactions en seront donc facilitées.

 

Compte tenu de la complexité de ces montages ces pratiques concernent des montants et des sousjacents (actifs)  relativement importants comme les biens immobiliés, les stocks en entrepôts et les gros portefeuilles de créances clients ex :

- La titrisation est un financement structuré faisant appel à une entité intermédiare  = Fond Commun de Créances, qui est une forme de SPV = Special Purpose Vehicule

 

Cependant même si’il relève de techniques génériques connus, les pratiques, de financements structurés, sont essentiellement liées à des montages au cas par cas sur différents paramètres ex :

- Acteurs, parties prenantes ;

- Bien sous-jacents ;

- Contexte économique ou politique ;

- Structure Ad Hoc (SAH)

 

 Voir : Actifs ; Affacturage ; Bâle II ; BFR ; Capital ; Capacité d’autofinancement ; Capital Investissement ; Cavalerie ; Cession de créances ; Créance née à l’étranger ; Credit documentaire ; Droit(s) ; Effet de commerce ; Escompte commercial ; Fonds propres ; Forfaitage ; Garantie(s) ; Gestion d’actifs ;  Gestion de la chaine d’approvisionnement/SCM ; Gestion des actifs ; IFRS ; Management de contrats ; Risques ; Sequestre ; Titrisation 

 

 

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 Infos :

Support de la BRI –Banque des Règlements Internationaux :

             « Financements structurés : complexité, risque et rôle des notations »

 

Firewall

 

 Voir : Coupe feu.  ; Réseau ; Sécurité ; Troyen ; Virus ;

 

Fixed assets

 

 Voir : Actif comptable   ; Patrimoine ;

 

Flat

Flat  = Plat, Uniforme  ; Fijo

 

S’applique notamment à des calculs de commissions, prix, taux, sur une base simple n’incluant pas d’autre agrégat.

 

 Voir : Flat fee ; TEG ; Taux... ;

 

Flat fee

 

 Voir : Prime de succès    

 

Floor

Floor désigne Garantie Plancher   qui permet au vendeur de se protéger contre une baisse de prix d'achat ou de taux d'un sous-jacent sur une période donnée.

 

Seule la prime (d'assurance) est payable lors de la conclusion de la transaction de la garantie.

 

 Voir : Cap ; Tunnel ; Garanties sur transactions de marché ;

 

Voir aussi : Swap ; Option ;

 

FM

Facilities Management  = Gestion des équipements et services

 

 Voir : Services généraux.

 

FMEA

 

 Voir : AMDEC ;

 

FOAD

Formation Ouverte à Distance.

Principe selon lequel on peut accéder à la formation :

- A distance : c'est-à-dire sans se déplacer sur un lieu fixe exemple par Internet = e-formation

- Ouverte : c'est-à-dire avec un minimum de contrainte d’accès, de pédagogie,

 

Exemple de ce « Lexique Glossaire du Management » qui permet un accès libre et gratuit via Internet et de se cultiver dans différents domaines, à son rythme, en bénéficiant de multiples supports et renvois vers d’autres sources d’information et test ++.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Formation ;

 

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 Infos :

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

-  Ma Création d’Entreprise.fr :

Centre d'Accompagnement et de Formation des Entrepreneurs :

    Formations modulaires et à distance : Démarrage, marché, plan d’affaires, statut…

    Espace affaires : Créer, Céder, reprendre… Assistance, et conseil 

 

FOB

Free on board

 

 Voir : Franco à bord – FAB   ; Incoterms ;

 

Fonds Communs de Créances

 

 Voir : Titrisation

 

Fonds de commerce

Le fonds de commerce est un ensemble d'éléments corporels (ex : matériels et mobilier) et incorporels (ex : Droit au bail, nom commercial, clientèle) nécessaires à l'exercice de l'activité d'une entreprise commerciale.

 

Ne pas confondre avec le pas de porte qui n'est qu'un droit d'entrée dans des locaux.

 

 Voir : Actifs comptables ; Bilan ; Formes juridiques ;

 

Fonds de Roulement - FR & FRNG -

Fonds de roulement = Working capital.

 

Excédent des ressources stables (capitaux permanents) sur les biens durables (valeurs immobilisées).

Peut servir à financer en partie le BFR donc l’activité.

FRNG = Fonds de roulement net global.

 

 Voir aussi : Analyse financière ; BFR ; Bilan ; Cavalerie ; Capitaux permanents ; Capitaux propres ; Credit Management ; Fonds propres ; SIG ;

 

Fonds propres

Fonds propres : Eigenkapital  ;

a) Au sens large, les fonds propres sont constitutifs des ressources de l'entreprise au passif du bilan. Ils se composent des Capitaux propres (Capital + réserves) + Comptes courants d'associées + Provisions pour risques + non-valeur, auxquels il faut retirer, en particulier, les dividendes non payés.

 

b) Fonds privés d'investissements = Private Equity

 

c) Au sens ressources durables = Stockholders equity  (ce qui en culture anglo-saxonne dépasse largement la notion dirigeants et actionnaires du marché financier puisque les salariés peuvent être inclus)

 

 Voir aussi : Allègement de bilan ; Analyse financière ; BFR ; Bilan ; Capital ; Capital Investissement ; Capitaux permanents ; Capitaux propres ; Covenants ; Fonds de Roulement ; Haut de bilan ; Management de transition ; NACRE ; Passif ;  REEL ;

 

Fonds souverains

= Sovereign wealth funds

La terminologie « Fonds souverains » désigne communément les disponiblités financières appartenant à des Etats. Leur utilisation peut par exemple servir à prendre des participations majoritaires ou non dans des entités, du pays ou extérieures, dont le secteur économique est jugé important sur le plan stratégique.

 

Avec l’essort économique de certains pays ces fonds sont devenus tellement importants qu’il a d’abord fallu prévoir l’avenir en créant de nouvelles activités durables puis investir à l’étranger mais surtout en faisant l’acquisition d’activités économiquement très lucratives et à fort potentiel de développement.

 

Certains Etats ont perdu du pouvoir au profit des autres ce qui peut à terme provoquer des conflits surtout si les fondamentaux de la culture, de ses Etats, sont les moteurs de ces investissements. Car au dela du management des activités il faut considérer les différents droits, mais aussi les règles de fonctionnement et objectifs recherchés par ces cultures différentes. Il existe notamment des oppositions fortes entre leconcept financier anglo-saxon et islamique tant sur la spéculation que sur l’exercice de certaines activités.

Ainsi de nombreux pays tentent de réglementer les investissements de fonds souverains pour garder leur autonomie en matière économique et culturelle.

 

 Voir : Droit(s) ; Fonds spéculatifs ; Fusion acquisition ;

 

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 Infos :

-   Travaux de la Commission Des Finances du Sénat français :

 «Finance internationale - Finance islamique - Table ronde consacrée à l'intégration de la finance islamique dans le système financier global »

 

 

Fonds spéculatif

Fonds spéculatifs = Hedge funds  ;   ;

Ils sont constitués d’investisseurs financiers dont la vocation n’est pas de s’intégrer durablement au capital de l’entreprise.

 

Leurs interventions sont fréquentes sur le développement de projets innovants dont ils constituent un moteur de développement très important.

 

Ces fonds sont également très présents dans des montages complexes où ils prennent des positions avec ou sans options et autres produits de couveture de risque ex : de taux et de change.

 

Ces fonds sont très utiles pour soutenir des projets de développement basés sur la recheche, l’innovation et donc la création. C’est pourquoi ils doivent pouvoir espérer toucher les fruits du risque qu’ils acceptent de porter pendant un temps.

Ils sont également très utiles lorsqu’ils servent les intérêts nécessaires à leurs actionnaires pour que ces derniers puissent décemment vivre des fruits de leurs placements ex : retraite.

 

Mais la seule spéculation sur des concepts éloignés de l’économie réelle ne génère que des effets pervers et terriblement dangereux. Ainsi :

- La valeur des titres d’entreprises cotées na plus rien à voir avec son cœur de métier ni avec le travail ou les produits, fournis par celles-ci.

- Lorsqu’ils servent de support à des opérations délicteuses donnant lieu au blanchiement de capitaux, ils participent très largement au déséquilibre de l’économie réelle par le soutien atificiel à des de zones défavorisées et à l’exploitation de leurs populations et par ailleurs se soustraient aux règles communautaires suportées par d’autres comme les impôts et autres taxes nécessaires à de nombreux investissements publics.

 

C’est pourquoi il faudrait encadrer le fonctionnement de ces fonds en prenant en compte leur siège social et donc le droit qui leur est applicable, leurs sources de financements, leurs investissements, etc. afin de les soutenir ou de les détruire par tous les moyens.

Mais pour ce faire encore faudrait-il que des décideurs politiques financiers, juridiques, ne soient pas impliqués dans ces concepts condamnables, ce qui reste à démontrer. En effet, les énormes scandales et crises multiples qui se développent en nombre et ampleur attirent toujours plus de ces acteurs car leurs activités sont indispensables à la réalisation de leurs méfaits.

 

 Voir : Capital rique ; Clause de sortie ; Désintermédiation ; Ethique ; Fonds propres ; Fonds souverains ; Intermédiation ; LSF/Sox ; Marché des capitaux ; NRE ; Options ; Private equyties ; RCE ; Responsabilité ; Valeurs mobiliaires ;

 

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 Infos :

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

-   Travaux de la Commission des Finances du Sénat français :

   «Finance internationale - Finance islamique - Table ronde consacrée à l'intégration de la finance islamique dans le système financier global »

 

Forage de données

Forer vers le bas = Drill Down

 

Notion permettant d'orienter une recherche d'informations, selon le principe de la requête dans une base de données multidimensionnelle, en commençant par afficher des critères généraux.

 

Ensuite depuis cette zone affichée, un "clic" permettra de faire apparaître une nouvelle fenêtre qui affichera les détails constituants de la précédente zone et ainsi de suite…

 

La notion "Drill anywhere"  par définition concerne davantage une requête multidimensionnelle qui va bien au-delà d'un affichage successif du général au particulier.

 

 Voir : Décisionnel ; Entrepôt de données ; FAST ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Olap ; Requête ... ;

 

Force de vente

FDV : Force de vente = Kraftverkauf  ; Sales Force  ;    ;

 

Au sens large, dans une entreprise à but commercial c’est l’ensemble des acteurs et moyens permettant de réaliser le Chiffre d’Affaires = Turnover .

Cependant il faut remarquer que certaines organisations à but non lucratif adopte le même type de démarche en recrutant des démarcheurs pour placer desabonnement, encarts publicitaires ou collecter des fonds.

 

a) Les acteurs peuvent être répartis selon des catégories et statuts différents ex :

- Commerciaux de terrain dont VRP (Vendeur-Représentant-Placier) ;

- Commerciaux sédentaires : Soit en télé-vente soit en ventes récurrentes et parfois rattachés à l’ADV.

- Les prestataires externes dont les agents comerciaux (travailleurs indépendants qui n’ont pas vocation d’acheter pour revendre) ; 

- Autres mandataires.

 

Selon leur statut les modes de rémunération sous différentes et parfois multiples :

- Salaire fixe

- Commissions ou primes : Qui peuvent être diversesement réparties en montant fixe, proportionnel au résultat ou mixte.

- Incitations économiques (= Incentives ) et autres systèmes de prises en charge de frais divers (ex : Per diem)

 

b) Les moyens se distinguent principalement en :

- Méthodes dont de récurrentes actions de formation, d’accompagnement, de motivation.

- Matériels dont

  • le système d’information de l’entreprise qui permtra notamment l’utilisation d’outils de communication (ex : GRC = CRM) et de mesure de perfomance et d’analyse si possible prospective (ex : SIAD = BI) deux outils logiciels complémentaires souvent désignés sous le vocable :

AFV = Automatisation des forces de vente = SFA : Sales Force Automation .

  • Les outils de communication et mobilité (ex : PDA, PC ; Véhicule de fonction ; Carte affaires) ainsi que d’autres évolutions liées aux nouvelles technologies comme la dématérialisation et la numérisation, la voix sur IP…

 

 

La force de vente est en principe soutenue par différentes actions de mercatique savamment orchestrées comme par exemple :

- Campagnes de communications ;

- Supports de vente concus d’après les études de marchés /produits

 

La force de vente est donc avant tout issue d’une stratégie d’entreprise. 

Celle-ci met en place selon ses moyens, des acteurs, des techniques et outils pour atteindre les objectifs fixés.  Les actions et résultats sont mesurés et analysés pour optimiser les résultats et évaluer le prévisionnel des ventes, ce qu fait le « Demand Planner »

 

La FdV est tributaire des acteurs à tous les niveaux, des dirigeants et autres manageurs, aux exécutants. C’est pourquoi la communication au sein de celle-ci doit être de grande qualité et contrairement à certaines pratiques le stress doit être dosé et apprécié régulièrement pour développer le travail collaboratif garant du succès. A défaut c’est l’échec garanti !

 

 Voir : Assistant d’achats ; Assistant éléctronique de poche ; Automatisation des Forces de vente ; ADV ; BOGO ; Commercial ; Contrats ; Dématérialisation ; Evaluation ; Externalisation ; Gestion de la Relation Client-CRM ; Gestion des frais professionnels ; Incitations économiques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management par objectifs ; Mandataire ; Mentor ; Mercatique ; Per diem ; Pression ; Prime de succès ; Proposal management ; Scrivener ; SIAD ; SONCAS ; Tableaux de bord ; Travail collaboratif ; Workflow ; XRM ;

 

Force majeure

 

 Voir : Cas de force majeure ;

 

Force relative

Le concept juridique (Voir article 1165 code civil) de force relative a été reconnu  notamment pour permettre l’oposablilité au tiers et donc ne concerner que les co-contractants.

 

 Voir : Arbitrage ; Cas de force majeure ; Médiation ;

 

Forclusion

La forclusion c’est la perte d'un droit qui n'a pas été exercée dans les délais impartis.

 

Elle ne peut être ni suspendue ni interrompue (contrairement à la prescription)

Passé le délai il n’y à donc plus de recours possible tel que l’appel d’un jugement ou le pourvoit en cassation !

 

Attention :  Ne pas confondre avec « Prescription »

 

 Voir : Droit(s) ; Garantie ; Prescription ; Privilège ; Recours ; Sûreté ;

 

Voir aussi : Credit Management ; Management de contrats ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Forfaitage

Forfaitage = Forfaiting

 

C’est une technique de refinancement, par rachat de créances export.

 

Elle consiste pour une entreprise à se faire racheter (par son banquier par exemple) selon le principe de cession de créance sans recours, une créance reconnue par un débiteur et garantie par le banquier de ce dernier.

En principe la créance est matérialisée par un effet de commerce accepté par l'acheteur et avalisé par le banquier de celui-ci.

 

Cette pratique est de plus en plus utilisée à l'export et en particulier pour les crédits fournisseurs concernant des pays peu et même le plus souvent, pas du tout pris en compte par l’assurance crédit.

 

Méthode de financement mais aussi de couverture des risques. Exit le risque commercial, financier et politique.

 

Cette technique modifie également les équilibres du bilan et compte de résultat du fait des cessions de créances.

 

 Voir aussi : Allègement de bilan ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Affacturage ;  BFR ; Cavalerie ; Cession créance ; Compte de résultat social ; Credit Management ; Dailly ; Escompte ; Privilège ; Rachat de créance ; Titrisation ; Window dressing ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Formation

La formation, quelle soit initiale ou continue, doit être permanente - Formation tout au long de la vie   - pour permettre à chacun de se perfectionner selon son niveau, métier, âge, genre, etc. pour subvenir à ses aspirations et obligations …

Par ailleurs de nombreux métiers nécessitent l’acquisition d’expériences multiculturelles d’où le besoin de maitriser plusieurs langues et pratiques locales tant techniques que relationnelles. Ainsi la mobilité s’inscrit dans cette formation tout au long de la vie pour maintenir son niveau de compétences.

 

Le sujet est tellement vaste, évolutif et complexe, notamment concernant les dispositions réglementaires dont validations et aides multiples qu’il est illusoire d’être exhaustif en la matière.

 

Vous trouverez :

- Dans ce lexique de nombreux termes vous permettant de mieux appréhender différents métiers, techniques, ainsi que des renvois et autres liens vers des supports d’information plus élaborés et précis ;

- Dans les 3 rubriques ci-dessous (Voir ; Infos ; Formations) quelques pistes de réflexion et de recherche.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Effet singe ; Ethologie ; Evaluation ; FOAD ; Gestion Globale de la Performance ; Initié ; Johari ; Management d’équipe ; Management des connaissances ; Mentor ; Mobilité ; Ressources humaines ; Test ; Théorie(S) de l’enracinnement, de l’agence, des signaux ; VIE-VIA ;

 

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 Infos :

 

Niveaux de formation normes françaises :  

Position hiérarchique d'un diplôme, d'un titre homologué ou d'une formation dans une nomenclature.- Source : AFNOR :

- Niveau I : Personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation de niveau égal ou supérieur à celui de la licence ou des écoles d'ingénieurs ;

- Niveau II : Personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation d'un niveau comparable à celui de la licence ou de la maîtrise ;

- Niveau III : Personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation de niveau de brevet de technicien supérieur ou du diplôme des instituts universitaires de technologie, et de fin de premier cycle de l'enseignement supérieur ;

- Niveau IV : Personnel occupant des emplois de maîtrise ou possédant une qualification d'un niveau équivalent à celui du baccalauréat technique ou de technicien, et du brevet de technicien ;

- Niveau V : Personnel occupant des emplois exigeant normalement un niveau de formation équivalent à celui du brevet d'études professionnelles (BEP) et du certificat d'aptitude professionnelle (CAP) ;

- Niveau VI : Personnel occupant des emplois supposant une formation courte d'une durée maximale d'un an conduisant au certificat d'éducation professionnel ou à toute autre attestation de même nature ;

- Niveau VII : Personnel occupant des emplois n'exigeant pas de formation allant au-delà de la fin de la scolarité obligatoire.

 

- VAE = Validation des acquits de l’expérience 

 

- DIF = Droit Individuel à la Formation

 

BADGES : Brevet d'Aptitude Délivré par la conférence des Grandes Ecoles est accessible à toute personne justifiant d'un niveau de formation :

- Bac + 2 et de trois ans d'expérience professionnelle dans le domaine ou Bac + 5 ans d'expérience

Ce Brevet permet d'accéder directement à certaines formation de Bac + 5 (Source : fonction crédit n°28 –2006 P 31)

 

Les Nouveaux défis des Ecoles de Commerce : Entreprises Rhône-Alpes Avril-Mai 2006 :

- La course à l'international

- Test TOEIC : Evaluation du niveau d'anglais score mini souhaité = 650 points

-  Normes internationales d'accréditation :

   AACSB : Association Advance Collegiate Schools of Business (10 Ecoles françaises en 2005)

   EQUIS : European Quality Improvement System (15 Ecoles françaises en 2005)

 

- Wiki Métiers : Voir les informations, dont compétences requises,sur de nombreux métiers.

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

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 Formations Appropriées au management :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

 

Forme juridique d’entreprise

Formes juridiques d’entreprises :

 

A) Les principales formes juridiques en France :

Attention : Ne pas confondre avec catégorie socio-économique ex : TPE – PME ETI…

 

EI : Entreprise individuelle = 1 seule personne physique reconnue juridiquement et fiscalement.

        (dont : Auto-entrepreneur)

EIRL = Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (Voir ce terme)

 

EURL : Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée = Personne morale ne possédant qu’un seul associé.

 

SARL : Société à responsabilité limitée. Parts sociales pour les associés = Personne morale avec au moins 2 associés.

 

SA : Société anonyme (à conseil d’administration ou directoire). Titres = Action pour les actionnaires,

       Obligation pour les créanciers.

 

SAS : Société par actions simplifiée. Variante de la SA son administration et fonctionnement sont régis selon ses statuts. Destinée le plus souvent à protéger un groupe d’actionnaires contre l’entrée non souhaité d’un nouveau membre au capital et donc à la direction des affaires. Concerne particulièrement des sociétés familiales et aussi celles qui sont innovantes.

 

SCI : Société Civile Immobilière.

 

SCIC : Société Coopérative d’Intérêt Collectif. (Voir définition)

 

Autres : SNC, Ste commandite simple ou par actions, SCI, SCP, GIE ou GEIE, association, SEM, EPCI, GIP-DL, GAEC

 

Les établissements n’ont pas de personnalité juridique propre (ex : bureau, unité de production)

Se référer aux statuts juridiques et fiscaux de ces entités et de leurs dirigeants.

 

Il ne faut pas confondre : Forme juridique, statut et régime fiscal ou social.

Se renseigner sur les évolutions de critères notamment fiscaux attachés à chacune de ces formes juridiques.

 

B) Quelques transpositions dans d’autres pays et (Rapport approximatif à la France) :

 

Angleterre :

Limited -LTD (SARL), Public Companies (Ets public) - PLC, Limited Liability Partnership LLP (Entité de partenariat sans capital et en transparence fiscal)

 

Allemagne :

Kleingewerbetreibende (TPE individuelle), Vollkaufmann (Commerce indépendant), Einmann Gesellschaft mit beschränkter Haftung (EURL), GmbH (SARL), Aktiengesellschaft – GA (SA), Offene Handelsgesellschaft - OHG (SNC)

 

Espagne :

Trabajadores autonomos (Travailleur indépendant), Sociedad limitada (SARL), Socieda anónima (SA),

 

Chine :

Youxian zeren gougsi (SARL), Gufen youxian gougsi (Société par actions)

 

Maroc :

Identique à la Fance.

 

 Voir aussi : ACCRE ; Auto-entrepreneur ; Capital ; EIRL ; EPCI ; ETI ; Fiduciaire ; Filiale ; Fonds de commerce ; GAEC ; GIE ; GIP DL ; Holding ; LME ; Micro entreprise ; NACRE ; PME ; PME de croissance ; Régime fiscal ;  SEM ; SCIC ; SCPI ; SIRET ; Statut ; TPE ; VaMPs ;

 

Formule exécutoire

La formule exécutoire est un mention figurant sur al copie (dite "la Grosse") du jugement qui porte la mention permettant de faire procéder à l'exécution forcée des décisions de justice. Ne pas confondre les grosses avec les minutes d'un tribunal.

 

 Voir : Juge ; Management de contrats ; Minute ; Procédure ; Tribunal ;

 

Fournisseur

Fournisseur = Supplier, Provider, Purveyor, Vendor.  ; Suministror  ; Lieferant  ;   ;

Personne physique ou morale qui approvisionne, régulièrement, une autre, le plus souvent dans des conditions prédéfinies. Il peut être producteur, grossiste ou détaillant selon le circuit de distribution.

 

Dans les nouveaux rapports client/fournisseurs certains services achats très bien structurés et adoptant des méthodes performantes, développent des relations particulières avec leurs fournisseurs clés. Ainsi les acheteurs s’impliquent davantage avec ceux-ci et mettent la pression sur la fabrication des produits afin de mieux répondre aux attentes des leurs clients/consommateurs.

 

Compte comptable au bilan de l’entreprise (Classe 4), qui permet de mesurer, par simple visualisation du solde, les achats différés représentant la dette en cours. Ce compte est l’un des éléments d’appréciation du BFR. Jusqu’à extinction de la dette le fournisseur est créancier de l’acheteur.

 

  Voir : Achats ; Approvisionnement ; BFR ; Bilan ; Cash custing ; Circuit de distribution ; Conditions générales de vente ; Demande de devis ; DPO ; Facture ; Gestion de la chaîne des approvisionnements (SCM) ; Incoterms ; Logistique ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du cycle produit ; Mercatique ; Pays à bas coûts ; Qualité ; ROI et Coût total ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

 

Fourniture d'Application et Services Hébergée

- FAH – ASP -

Fourniture d’Application Hébergée - FAH = ASP : Application Service Provider.  

Pour être plus d’actualité nous devrions dire :

 

 Fourniture d’Application et Services Hébergés ou plus simplement FSH presque tout étant devenu « Service »

En effet, ces services proposent notamment :

- Infrastructure d’hébergement = IaaS ;

- Plate-formes = PaaS ;

- Applications/logiciels (Software) = SaaS

 

Voilà aussi le  Cloud Computing = Nuage informatique   ainsi que l’appellent certains comme pour faire réver, la tête dans les nuages et d’autres pour nous « enfumer » !?

Et quelle sera la nature de ce « Cloud » : Privé, partagé ?

 

FSH : Prestation par laquelle un utilisateur accède à des services, dont logiciel, bases de données partagées, qui sont hébergés par un prestataire censé en assurer le stockage, la protection et l’accès aux clients.

Ainsi plusieurs fournisseur (ex : éditeur d'une solution logicielle) peuvent mettre leurs application à dispostion des utilisateurs de celles-ci sur cette plate-forme d’hébergement.

En contrepartie l'utilisateurs s'acquitte d'une redevance souvent mensuelle (location) parfois variable selon  la consommation de certains services pouvant être évaluée selon différents paramètres (nombre d’accès, volumétrie des données et donc stockage, etc.).

 

Ces prestations, dites externalisées, permettent surtout aux entreprise d'avoir accès à des outils de gestion (ex : compta) ou de communication (ex : GRC-CRM) dont elles ne disposent pas soit par faute de moyens financiers pour les acquérir soit par stratégie préférant disposer de fonctionnalités évolutives sans réaliser d'investissement lourds. Dans ce dernier cas elles feront, en plus, l'économie d'une maintenance indissociable de ce type d’équipement.

 

Pour les grandes entreprises l'un des arguments qui plaide pour la FASH est l'accès facilité pour de nombreux collaborateurs distants et nomades à une application standardisée. En revanche leur taille peut leur permettre de développer leur propre structure « Cloud » et de refacturer les autres centres de profits/charges de leur groupe.

 

En revanche à l'inverse d'un investissement amorti, le client payera la prestation pendant toute la durée de l'utilisation ce qui implique une dépendance envers le fournisseur (voir clause de sortie et surtout récupération des données) et dans le durée des coûts récurrents.

 

Toute démarche FASH doit prendre en compte les risques contractuels et donc les clauses adaptées aux évolutions de ce partenariat dans la durée. En effet que deviennent les contrats de licence, intégration, maintenance/infogérance, etc. ?

 

Par ailleurs qu’en est-il des risques techniques ?

Les facteurs de risques liés à l’informatique sont très élevés ex :

- Comment évaluer ces risques d’autant qu’ils sont nouveaux ? Quid de la validité des évaluateurs et même de leurs certifications ?

- Quelles sont les besoins évolutifs des acteurs de l’entité et externes pour anticiper au mieux sur l’accessibilité et les risques inhérents ?

 

 

Cette démarche de satisfaction des « Clients » internes et externes, tout en conciliant les question de sécurité ne peut être menée à bien que dans le cadre de pratiques « Management de contrat » et « Management de Projet » toutes deux évolutives !

 

« Storm computing » en orages localisés et tempêtes…

A défaut d’une extrême prudence dans la démarche, attention à ceux qui perdront, ne pourront avoir accès ou se feront piller leurs données pour avoir voulu aller trop vite et en ne pensant qu’aux sollicitations commerciales alléchantes, ne voyant, comme trop souvent, que l’intérêt financier apparent ou lui aussi « embué ».

Plus largement il faut espérer que cette nouvelle mode ne va pas aboutir à une nouvelle crise mondiale liée à la sécurité des données…

 

Ne pas confondre avec : Le langage ASP Voir : ASP ;

 

 Voir aussi : AOS ; Arrobe ; Clause(s) ; Clause de réversibilité ; Client riche ; Contrat ; Externalisation ; Fourniture d'Application Hébergée-ASP ; Internet ; Location de droit d’usage-Saas ; Management de contrat ; Management de projet ; PGI ; PRM ; Réseaux ; Risques ; XRM ;

 

 

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 Infos :

- « Cherry picking 1.0 : Informatique Opportunités et Menaces pour l’Entreprise . Entre DG et DSI comment répondre aux enjeux économiques ? Livre d’Yves Cavarec à télécharger ou papier. 

 

FRA

Future rate agreement

 

 Voir : Accord à Taux futur = ATF

 

Frais professionnels

Frais professionnels = Professionals Charges

 

Les frais professionnels s'entendent des dépenses, justifiées, engagées par un salarié, dans l'exercice de ses fonctions et selon la politique de l'entreprise, pour lesquelles il pourra lui réclamer le remboursement exemple les Indemnités kilométriques et autres frais de transport liés aux voyages d'affaires, repas d'affaire, frais d'hébergement, etc. 

 

Ces remboursements doivent être dûment justifiés tant sur le fond que la forme (ex : attention au n° de facture et à la TVA) Ils ne sont pas soumis aux charges sociales et fiscales car ce ne sont pas des revenus mais la contrepartie d'une dépense qui incombe à l'entreprise.

 

Les notes de frais s'entendent tant de l'ancienne appellation des justificatifs de dépenses en frais professionnels que du processus périodique de remboursement demandé à l'entreprise.

 

Certaines entités mettent à disposition de leurs collaborateurs des cartes affaires tant pour des raisons de sécurité que de facilité de gestion. Ces cartes peuvent être limitées à certaines prestations (Carburant, péage autoroute, téléphone …) ou offrir plus de possibilités. La carte affaires optimise aussi la gestion des frais professionnels. Par exemple, elle permet le traitement des nombreuses données liées à chaque dépense, qu'elle soit personnelle ou professionnelle, budgétée ou non.

 

Avec l'avènement d'Internet les réservations et paiement de nombreux transports de personnes et de marchandises se dématérialisent. Ce qui favorise une gestion plus efficiente permettant aussi une meilleure sélection des fournisseurs et autres intermédiaires sollicités y compris ceux qui fournissent les cartes !

 

Parfois les dépenses sont prévisibles, notamment dans le cadre d'une mission, ce qui peut donner lieu à des avances qui peuvent être évaluées selon différentes formules (ex : Per diem). Dans ce cas certains mettent en place un processus appelé "Ordre de mission" qui permettra de prendre en compte tous les frais et autres débours. Ce qui souvent sert à la refacturation interne, celle d'un partenaire ou client.

 

Enfin, il est prudent de consulter les barèmes officiels émis par les services fiscaux de l'Etat pour calculer les remboursements et autres indemnités. En effet tout dépassement pourrait être re-qualifié par le fisc en revenus.  (voir les différents sites).

 

Avec les mesures réglementaires toujours plus contraignantes, les impératifs de transparence et de performance d'entreprises, de nouveaux concepts et outils de gestion se sont développés. Ils prennent en compte les aspects comptables, fiscaux, d'analyse financière et du décisionnel, en automatisant un maximum de tâches de la saisie (largement réduite surtout depuis la dématérialisation) jusqu'à l'analyse budgétaire la plus fine (ex : par collaborateur, type de dépense, fournisseur, budget, etc.).

 

 Voir : Indemnités kilométriques ; Ordre de mission ; Per diem ; Repas d'affaires ; Véhicule professionnel ;

 

        Voir aussi : Dématérialisation de facture ; TVTS-TDVM ;

 

Frame 

 

 Voir : Trame

 

Franchise de TVA

 

 Voir : Aides ; Micro entreprise ; PME de croissance ; TVA ;

 

Franchise financière

En matière d'assurance la franchise est une somme forfaitaire restant à la charge de l'assuré en cas de sinistre.

 

Concernant un prêt, c'est la suspension contractuelle, pendant une période donnée, du remboursement en principal ou du paiement des intérêts ex :

     - dans le cas d'une franchise partielle le client ne paie que les intérêts et l'assurance ;

     - dans le cas d'une franchise totale, le client ne rembourse ni capital, ni intérêts.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Cindynique ; Management de risques ;

 

Franco à bord

= Free On Board  = Net à bord  .

 

Franco à bord est un terme du commerce international (Incoterms) signifiant que la vente, au départ, est considérée comme effectuée à partir du moment ou les marchandises sont à bord, au  lieu d’embarquement convenu.

Les côts de transport et d’assurance, à partir de cet lieu d’embarquement, sont donc à la charge de l’acheteur

 

Cet incoterm à valeur de clause contractuelle est différente de :

- Départ usine : ENU = EXW  ou   CAF = CIF   concernant aussi des conditions de vente au départ !

- Rendu à quai : RAQ = DEQ   Concernant des ventes dites à l’arrivée !

 

 Voir : Incoterms ; Credit documentaire ; CAF-CIF ; Départ usine ;

 

Free On Board

= Net à bord

 

 Voir : Franco à bord ; Incoterms ;  

 

Frontale

L’offre frontale dite aussi linéaire = Facing   

 

Désigne le mode de présentation des produits en étalage, rayon tant par le nombre de produits, que par la situation (Tête de gondole) ou la dimension de celui-ci.

 

 Voir : DAS ; Mercatique ;

 

FRP

FRP  = Fonds des Redevables Permanents

Numéros d'identifiants auprès de l'administration utilisables lors des télétransmissions

 

FTP

File Transfert Protocol

 

 Voir aussi : TCP/IP

 

Fusion acquisition

Fusion acquisition = Merger & acquisition

 

 Voir : Activité d’affaires ; Attestation d’équité ; Capital Investissement ; Capital risque ; Cession progressive du capital ; Concentration ; Défiscalisation ; Evaluation ; Fiduciaire ; GAP ; Haut de bilan ; Opération de recentrage ; Prime de succès ; Prix de transfert ; REEL ; Taux de rentabilité interne ; Transmission d’entreprise ; 

 

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  Infos :

- Cahiers techniques de la DFCG « Fusion acquisition les bonnes pratiques vues par les DAF»

 

G

 GPO : Le magazine des Dirigeants d’Entreprises : Gérer – Prévoir – Optimiser.

GAEC

Groupement Agricole d’Exploitation En Commun GAEC

 

Société civile regroupant des exploitants agriculteurs qui mettent des moyens en commun tout en bénéficiant d’une transparence fiscale totale.

 

 Voir aussi : Forme juridique, Régime fiscal ;

 

GAFI

GAFI = Groupe d’Action FInancière sur le blanchiment des capitaux.

 

 Voir : LSF ; Fonds spéculatifs ; Marché ; Délit ;

 

Gage

= Pawn  ; Prenda  ; Pfand  ;

Le gage est une garantie affectée à un objet en paiement d'une dette.

Cette garantie peut être avec ou sans dépossession du débiteur selon les termes du contrat.

 

 Voir : Garantie ; Cession de créance ; Nantissement ; Pignoratif ; Sûreté ;

Voir aussi : Tribunaux ; Procédure ; Chirographaire ; Dol ; Réméré ;

 

GANTT

GANTT : Ingénieur ayant collaboré avec Taylor sur l’organisation du travail.

 

On lui doit notamment le diagramme à barres qui est organisé en deux éléments :

-         Un tableau

-         Un graphique représentant en particulier les tâches (en barres horizontales) et le temps (en colonnes)

 

Le diagramme de Gantt permet de visualiser, par exemple, dans un même élément le facteur temps (échéances) les acteurs concernés et l’avancement d’actions et pour chacune son dégré d’avancement (en noir) mais aussi les enchaînements séquentiels entre tâches (Flêches) ou étapes/Jalons importants (Balise).

 

Exemple :  

 

 Voir : Diagramme ; Dernier planificateur ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; FAST ; Management de projet ; Management d’équipe ; Méthode 5S ; Organisation ; Qualité ; Ressources humaines ; Tableau de bord ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                                  Annexe 19 : GANTT

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

GAP

Ne pas confondre avec : écart

 

 Voir : Garantie sur Actif et Passif.

 

Garantie

Garantie = Guaranty – Warrantee – Backing  ;  ;

 

 Voir : Acompte ; Arrhes ; Caution ; Gage ; GAP ; Garanties sur transactions de marché ; Lettre de crédit garantie ; Management de contrats ; Nantissement ; Privilège ; Recours ; Responsabilité Civile Professionnelle ; Tribunaux ; Sûreté ;

 

Garantie à première demande

 

 Voir : Clauses ; Clause de garantie à première demande ;

 

Garantie de bonne fin

Plusieurs acceptions selon les professions :

 

Batiment et TP :

Garantie de bonne fin est apportée, au maître d’ouvrage, par un établissement financier d’assurer l’achèvement des travaux par d’autres prestataires lors de la défaillance d’un promoteur d’une construction du bien immobilier.

 

- Finance :

Garantie utilisée sur les marchés à terme pour assurer les opérateurs de l’éxucution des contrats ;

 

 Voir aussi : Caution ; Egal à égal ;  Maître d’œuvre et d’ouvrage ; Marché(s) ; Opérateur ;

 

Garantie institutionnelle

La garantie institutionnelle correspond, par exemple, à celle délivrée par certains organismes dans le cadre d’une création d’entreprises ou d’un soutien à l’innovation par un principe de caution mutuelle en complément d’un prêt bancaire.

 

 Voir aussi : Aides ; Caution ; Gage ; Loi de sauvegarde ; PCE ; Privilège ; Sûreté ;

 

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 Réf. Pro.  Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  OSEO : PCE - Procédure du prêt à la création d’entreprise garanti par Sofaris.

 

Garantie sur Actif et Passif

GAP = Garantie sur Actif et Passif.

 

Engagement pris par le cédant d’une entreprise envers l’acquéreur, de combler les différences constatées entre le bilan de cessoin servant de référence et le bilan dressé à la date prévue pour effectuer la comparaison.

 

Attention aux incidences fiscales et sociales !

 

 Voir : Allocation de prix d’acquisition ; BOT ; Capital ; Clause de sauvegarde ; Contrat ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Management de contrats ; REEL ;

 

   Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Garanties sur transactions de marchés

Garanties sur transactions de marchés ;

Outils de marchés destinés à se prémunir contre les variations de prix et de taux ex :

      - Garantie Plancher = Floor

      - Garantie Plafond = Cap

      - Garantie mixte associant les 2 précédentes : Tunnel = Collar

 

 Voir : Avance en devise ; Cindynique ; Marché ; Opérateur ; Option ; Tunnel ;Swap ;

 

Gaspillages

 

 Voir : 3M ; Amélioration continue ; Excellence Opérationnelle ; Kaizen ; Lean ; Poka-Yoké ; Qualité ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

  Annexe 24 : Parrallele entre sources de gaspillages du Lean et les pertes en gestion de projet

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Gating

= Passage de porte  

Notamment en management de projet (surtout de protefeuile de projets) cette pratique a le plus souvent comme objectif de réaliser certaines tâches (livrables) avant de pouvoir franchir une nouvelle étape qui peut le cas échéant faire l’objet d’une validation soit du chef de projet soit du management de l’entité concernée.

 

Cette pratique, de validation, est également très utilisée en mercatique analytique pour améliorer les processus d'introduction de nouveaux produits sur les marchés.

 

 Voir : EMOFF ; FAST ; Management de projet ; Management par objectifs ; Mercatique ;

 

Gazelle

 

 Voir : PME de croissance.

 

GED

Gestion électronique de documents.

 

 Voir : GEIDE

 

GEIDE

Gestion Electronique d'Informations et de Documents pour l'Entreprise - GEIDE

 

Ensemble d’outils et de techniques qui permettent de dématérialiser, numériser, classer, gérer et stocker des documents.

 

 Voir : Architecture de stockage de données ; Architecture orientée service ; BPMS ; Dématérialisation et numérisation de documents ; Entrepôt de données ; Gestion de contenu ; LAD ; Management de contrats ; Système de Management Intégré ; Workflow ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

Jalios JCMS  Spécialiste de la gestion de contenu : ECM, Ged… Solution pour faciliter le travail collaboratif = diffuser, collaborez, personnalisez, dynamiser l’intelligence collective de votre entité.

 

Gemba Walks

 

 Voir : Visite de terrain   

 

Genchi Genbutsu

 

Genchi   = Local et Genbutsu  = Réel

 

Genchi Genbutsu est un concept de Toyota qui conçoit que certaines réunions doivent se tenir dans les ateliers avec les prinipaux acteurs = Réunion de terrain.

Et non dans des sales de réunion loin de la réalité physique des machines, outils et des spécialistes laborieux, souvent mieux placés pour faire avancer des idées etc.

 

Cette pratique qui responsabilise et valorise ceux qui font (= Habilitation/empowerment) en les faisant collaborer avec ceux qui pensent, permet une meilleure réactivité, de réduire de nombreux coûts dont gaspillages (= Lean) et d’améliorer grandement la quallité totale dans une pratique managériale (= Management de la Qualité Totale )

 

 Voir : Amélioration continue ; Coût total de la qualité ; Excellence Opérationnelle ; Habilitation ;  Pragmanagement ; Qualité ; Stratégie Océan Bleu ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

GENCOD

GENCOD = Groupement d'études de normalisation et de codification est devenu GS1France

C’est une structure française de promotion de la normalisation et de la numérotation des produits au sein de l’Europe et de ce fait affiliée à l’EAN.

L’EAN = European Article Number

Norme européenne concernant l'identification des produits du commerce à l'aide d'un code à barres

 

Différentes applications à des domaines et technologies ont produit un véritable langage :

- Déjà en place depuis longtemps ISSN et ISBN concernant respectivement les revues et livres

- Liées aux systèmes de normalisation et en particulier aux échanges de données informatisées –EDI.

- De plus en plus utilisés en gestion de la traçabilité et donc dans les métiers de la logistique ;

 

 Voir aussi : AFNOR ; Allotissement AMDEC ; Autorité de certification ; Certificat numérique ; EDI ; Logistique ; Norme ; Plate-forme logistique ; RFID ;

 

Génération (s) :

BB, X, Y

Générations : BB, X, Y selon William Strauss et Neil Howe.

 

Typologies de clientèle et de prospect selon leur génération :

- Grande génération : 1900 à 1925 Issue de la révolution industrielle du XIXème siècle.

C’est la génération des classes entre laborieux de terrain entre secteur agricole et industrie et ceux, biens nés qui possédaient déjà les biens matériels et financiers pour lancer ces nouvelles activités lourde à mettre en place et à gérer.

Il faut remarquer que certains de ses dirigeant, dits paternalistes, ont mis en place dans leurs entreprises des services sociaux au profit de leurs salariés comme le logement, se qui deviendra plus tard le « Comité d’entreprise »

 

- Génération Silencieuse dite aussi de tradition : 1925 à 1945

Respectueuse de traditions elle n’a pu connaître le développement souhaité du fait des nombreux conflits armés par le monde.

Pourtant beaucoup livrés à eux-même ont créé dans tous les domaines et surtout de nombreuses entreprises. Pour les mêmes raisons beaucoup d’entre-eux ont su assumer de nombreuses responsabilités et faire. C’est donc la génération des pragmatiques, des « self-made-man »

 

- Génération BB = Baby Boomer, dite d’expérience et propriétaire : 1945 à 1960-63.

Bénéficiant du soutien de leurs ainés et de la relance économique mondiale d’après guerre ils capitaliseront les expériences et seront acteurs de l’expansion économique.

Ils auront pour objectif de devenir propriétaires de leurs épargne, création, entreprises domicile, et autres biens mobiliers notamment de confort.

Nombreux seront les autodidactes et nouveaux riches. Ils vont également porter la révolution des mœurs et le développement de la consommation surtout de loisirs.

 

- Génération X dite Sacrifiée ou, tampon, nomade :

Née dans les années 1960-80, en recherche de nouveautés surtout technologiques, souvent passionnés de jeux électronique et d’informatique, sensible aux publicités et notamment télévisuelles et aux achats par internet.

Beaucoup plus qu’avant ils seront diplomés et dans de nombreux domaines techniques.

Ainsi ils seront les exécutants de la génération précédente qui s’est fait une place hiérarchique dans l’entreprise ou dans les administrations qui se sont très largement développées et ont beaucoup recruté.

 

- Génération Y dite Why, « Digital natives » ou mondiale : Née entre 1980 et 1995.

Postérieure à la génération X elle se caractèrise davantage par un comportement dit de tribu au langage parfois particulier.

Globe-trotters, ils sont aussi adeptes des outils de communication distante dont Internet et assistat électronique de poche, surtout pour rester en contact(s).

 

Ces « Yers » (contraction de Whyers) ont leur modes qui leur servent d’identifiant et ne souhaitent en général pas se mélanger aux autres catégories. Cependant ils sont indépendants et pensent à court terme privilégiant leur bien être personnel.

Ce type de prospect est qualifié, par certains « mercateur », de client infidèle, volatile, qui s’envole dès que son coup de coeur ou la mode change.

 

Ils ont un comportement plutôt « Usage » que « Propriété » et souhaitent avant tout se faire plaisir surtout par ce que les valeurs des anciens ne leurs paraissent pas probantes, telles que hiérarchie, épargne, rétribution à l’ancienneté, les journées de 8h surtout à plages fixes, etc.

 

Dans l’entreprise ils ne respectennt quasiment que ceux qui ont à leurs yeux en rôle de Mentor.

Dans ce cas la collaboration sera exceptionnelle, bénéficiant des atouts cumulés de 2 générations X et Y. Sur ce point des enquêtes mettent en évidence que ce n’est pas la rémunération qu’ils privilégie mais d’autres motivations liées aux projets et à ceux avec qui ils les réalisent (Start-up).

Ils sont faits pour les remue-méninges, le travail collaboratif

Ils ont besoin dêtre évalués souvent pour se remettre en cause, se comparer aux autres et surtout être récompensés sur leurs résultats. D’où le fait qu’il conçoivent mal la rétribution à l’ancienneté pensant que seul le mérite la justifie.

 

D’autres pensent que ce sont des porteurs d’idées et à ce titre des acteurs du changement.

Sont-ils pour autant de véritables entrepreneurs porteurs de projets ou des cobayes du type « telereality » ?

 

- Génération Z : Née depuis 1995

 

En tout état de cause toutes ces particularités font bouger… Et ces évolutions vont probablement servir le concept de management intelligent !

 

 Voir : Abandonniste ; AIDA ; Altermanagement ; Analyse transactionnelle ; Comportement ; CSP ; Ethologie ; Etude d’usages et attitudes ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management Intelligent ; Mentor ; Mercatique ; Pragmanagement ; Prospect ; Pyramide des besoins ; Remue-méninges ; Sémiotique ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

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 Infos :

« La Gen Y… Qui sont ces jeunes de 20 à 30 ans ? »

Article de Marie Jeanne Huguet Spécialiste PNL et dirigeant d’Abondance consulting

 

GEODE

Gestion Opérationnelle et Dynamique des Entreprises- GEODE

Prestation de la Banque de France, qui fournit une analyse, des tableaux, graphiques et en conclusion un diagnostic.

Les données, exploitées à partir d’un système expert et de la collecte de données de certaines entreprises de la Centraledes Bilans, sont tirées principalement de :

- la BACH (Base de données de comptes harmonisés de plusieurs pays d’Europe) ;

- Du service d’analyse financière et de diagnostic ;

- L’observatoire économique du tissu productif national ;

- Des déclarations officielles relatives aux incidents de paiements.

 

 Voir : Audit ; Evaluation ; FIBEN ; Intelligence économique ; Veille ;

 

Géomercatique

Géomercatique  = Geomarketing

C’est une technique qui permet d'analyser des données sociodémographiques à des fins commerciales.

 

Des logiciels de gestion de la relation clients, et de décisionnel sont de plus en plus associés à des techniques de localisation géographique pour optimiser les temps et actions de prospection notamment par rapport aux temps de déplacement.

 

Ainsi un RDV écourté ou annulé au dernier moment peut être mis à profit pour une autre visite de proximité.

 

 Voir : Décisionnel ; Gestion de la Relation Client ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Mobilité ;

 

Gérant

Attention : plusieurs acceptions dont :

   Gérant de société, gérant libre, gérant d’affaires, gérant de portefeuille ; gérant d’immeuble ;

 

Le gérant est un mandataire qui en droit des entreprises est chargé de l’administration d’une société (ex : SARL, SNC)

- Minoritaire : Qui détient moin de la moitiée du capital et donc ne peut prendre seul certaines décisions stratégiques ou financières majeures. S’il est salarié il sera soumis au régime général ;

- Majoritaire : Dirigeant qui compte tenu qu’il détient plus de la moitié du capital est amené à engager le patrimoine et la responsabilité de l’entreprise (sauf limitation inopposables aux tiers). Fiscalement il relève du régime des TNS Travailleurs Non Salariés.

 

Le gérant libre est juridiquement un commerçant qui dans le cadre d’un contrat de location-gérance exploite un fonds de commerce.

 

Pour les entreprises le gérant d’immeuble peut avoir différentes fonctions selon qu’il à en charge la gestion des énergies ; équipements, infrastructures. Ces fonctions sont rattachées aux Services Généraux.

 

 Voir : Capital ; Contrat ; Forme juridique ; Fonds de commerce ; Garantie ; Manager ; Mandataire ; Propriété ; Responsabilité ; Société ;

 

Gestion Actifs-Passifs

= ALM : Assets Liability Management

Principe qui à pour objectif de mettre en évidence et de gérer  les ressources issues des investissements et leurs charges financières.

 

 Voir : Actif ; ANR ; Approche par composants ; Bilan ; CMPC/CMPR ; Passif ; VAN ;

 

Gestion de contenu

La gestion de contenu c'est :

- A la fois les documents sauvegardés dans le système dont la structure est celle des fichiers et l'arborescence des répertoires (ex : de bureautique, audio, vidéo).

- Aussi maintenant avec le développement du Web les documents dynamiques mais en plus provenant de sources de données qui peuvent être multiples Ces contenus sont dits structurés (ex : HTML)

 

Les outils et techniques utilisés pour optimiser la gestion de toutes ces informations relève des définitions de GEIDE (Gestion électronique d'Informations et de Documents pour l'Entreprise) CMS (Content Management System) ECM (Enterprise Content Management), Worflow, etc.

 

L'évolution de la gestion de contenu permet aujourd'hui de passer à la vitesse supérieure pour la dématérialisation et la numérisation de documents.

 

La guerre du pouvoir par la possession des données :

La gestion des contenus devient aussi un des éléments du pouvoir économique tant par la qualité que la quantité des informations concernées exemples . 

- le management des connaissances surtout liées à l’innovation ;

- les données relationnelles et surtout commerciales incluant les coordonnées et actions ;

- les états de gestion et autres rapports destinés aux stratèges et décideurs.

L’informatique devient le point chaud du réseau de communication et les informaticiens seront de plus en plus les cibles des décideurs de leur entité et concurrents adverses, prêts à tout pour tout savoir. 

Qu’en sera-t-il :

- des données personnelles avec la prolifération des profils sur les réseaux dits sociaux ?

- des pressions exercées sur les responsables informatiques ou de leurs tentations ?

- des données hébergées en externe et plus précisémment dans des pays aux éxigences éthiques peu scrupuleuses ?

 

 

 Voir : Architecture de stockage de données ; Fourniture d’Application Hébergée ; GED - GEIDE ; LAD ; Gestion électronique de processus (Workflow) ; Dématérialisation ; Management de risques ; Management des connaissances ; Numérisation ; Point Unique de Faiblesse - PUF ; Sécurité ; SED ; SMO ;

 

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 Infos :

Markess International : Bibliographies et téléchargements gratuits sur la Gestion de Contenu d'Entreprise – ECM

 

Gestion de contrats

 

 Voir : Management de contrats ;

 

Gestion de la chaîne d’approvisionnement

Gestion de la chaîne d’approvisionnement = Supply Chain Management

 

C’est l’intégration des flux financiers, de marchandises et d’informations dans un processus complet : fournisseur –producteur –grossiste –détaillant -client final.

 

Les flux doivent être coordonnés et intégrés au sein et entre les entreprises.

L’optimisation se conçoit évidemment par une gestion électronique des processus (BPMS) adaptée à chaque métier et entreprise dans une démarche en mode projet.

 

 Voir : Allotissement ; Approvisionnements ; Aptitudes ; Cash custing ; Contrats ; e-business ; EDI ; e-sourcing ; e-procurement ; Gestion électronique des processus ; Intelligence économique ; Kanban ; Logistique ; Maîtrise des dépenses ; Management de contrats ; Management de projet ; Mercatique ; Plate-forme logistique ; SIAD ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Théorie des contraintes ;

 

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  Infos :

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

 

Gestion de la Relation Clients

GRC - CRM

 

GRC : Gestion de la Relation Clients = CRM : Customer Relationship Management   

             (Customer = Consommateur. Relationship = lien de parenté)

 

Pour être performante cette pratique doit intégrer les moyens de communication et méthodes de vente.

 

Elle doit donc nécessairement être assistée par ordinateur et, pour les plus sophistiqués, faire appel aux outils d’analyse et d’aide à la décision.

Ces analyses et décisions doivent évidemment correspondre à des affectations de tâches/Workflow et aux suivis et alertes… qui en découlent.

 

Avec l’avènement d’internet la gestion des relations c’est largement tournée vers les réseaux sociaux virtuels à la fois pour collecter ou diffuser des informations faisant ainsi évoluer les outils utilisés :

    e-CRM ; e-PMR ; XRM

 

Aujourd’hui cette pratique restrictive aux seuls Clients s’est développée pour l’optimisation des échanges avec les fournisseurs et autres partenaires pour aboutir au concept :

      MRP : Management des Relations Partenariales = PRM : Partners Relationship Management

 

La GRC/CRM assure une rationalisation des échanges avec les différents « Clients » au sens de contact à optimiser et donc d'une meilleure connaissance de ces derniers pour ajuster l'offre au plus proche des attentes.

Les logiciels permettent selon leur degré de développement ex :

- l’ Automatisation des Forces de Vente : AFV = SFA Sales force Automation   ;

- La gestion des campagnes mercatiques + rapports et la mise en place de portails d’échanges ;.

- Les analyses relèvant de fonctions logicielles spécifiques contenues dans le "Décisionnel" et en particulier de forage de données notamment pour apprécier le score d’appétence des consommateurs, l’effet d’usure et le taux d’attrition pour identifier les abandonnistes, etc.

 

 Voir : Management des Relations de Partenariat-PRM ;

 

       Voir aussi : Abandonniste ;  Automatisation des Forces de Vente-SFA ; Client Serveur/léger ; Commercial ;  Décisionnel ; Effet d’usure ; Forage de données ; Location de droit d’usage-Saas ; ; Mercatique ; PGI ; Proposal management ; Pyramide des besoins ; SCM ; SOA ; Taux d’attrition ; TCO ; Travail collaboratif ; Workflow ; XRM 

 

Gestion de projet

 

 Voir : Management de projet.

 

Gestion des actifs

Gestion des actifs = Asset Management

 

- Gestionnaire des actifs = Asset Manager :

Il étudie les demandes en matière d'acquisition ou de cession de biens et se prononce sur les choix budgétaires. Il gère les actifs au sens patrimonial en prenant en compte les incidences financières et donc fiscales.

 

 Remarque : Avec la mondialisation de l’économie cette activité, dependant à l’origine des services généraux pour les biens affectés à l’activité matérielle et les services financiers pour les placements, c’est organisée en gestion stratégiques des : 

 

- Investissements Métiers (Ex : industriels = sites et matières premières ou commerciaux = réseaux de dsitribution) ou d’équipements lourds et stratégiques = Informatique dont logiciels (Software Asset Management )

 

- Participations et Placements Spéculatifs (ex : Prises de participations dans d’autres entités liées ou non à l’activité et fonds risqués ou de pension)

Ainsi certaines fonctions de gestionnaire des actifs sont directement rattachées à la direction générale et souvent exercées au sein d'une entité spécialisée dite financière ou même fiduciaire.

 

En effet ces opérations, de haut de bilan et aussi de trésorerie, sont très spécialisées et complexes par leur montage, les outils utilisés, les règles de droit au niveau international.

Elles concernent des enjeux conséquents, déterminants par leurs résultats (bénéfices ou pertes qui peuvent très vite s’avérer très importants, démesurés par rapport à l’activité métier, surtout sur les marchés de gré à gré)

Pour réaliser ces opérations il est impératif de disposer des compétences très spécialisées (Opérateur) et moyens spécifiques (outils d’information, de gestion, de processus de sécurité, contrôle)

Les stratégies peuvent concerner des opérations industrielles et commerciales (ex : Pour anticiper ou influencer des cours, des situation de concurrence) ou sociales (ex : fonds de pension) ou purement spéculatives.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

       Voir aussi : Actions ; Analyse par les Options Réelles ;  Approche par les composants ; Biens ; Bilan ; BOT ; Cindynique ; Droit(s) ; Ecart d’acquisition ; Evaluation ; Fiduciaire ; Garanties sur opérations de marchés ; Haut de bilan ; Immobilisations ; Marché(s) ; Opérateur ; Management de contrats ; Management de risques ; Patrimoine ; Prix de transfert ; Propriété ; Services généraux ;

 

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  Infos :

-  ARSEG  l’Association des Directeurs et Responsables de SErvices Généraux ;

                                         Le management de l’environnement de travail !

- Voir aussi : DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- Qebsys-Patrimoine : QEBSYS Patrimoine = Solution collaborative de Gestion de Parcs Immobiliers :

   Aide à la décision pour le choix des opérations de Rénovation/mises en Conformité.

 

 

Gestion des énergies et réseaux

= Utilities Management

 

 Voir : Services généraux ; Externalisation ;

 

Gestion des équipements et services

= Facilities Management

 

 Voir : Services généraux ;  Externalisation ;

 

Gestion des frais professionnels

 

 Voir : Frais professionnels

 

Gestion des infrastructures

= Property Management

 

 Voir : Services généraux ; Externalisation ;

 

Gestion du compte clients

Cette expression « Gestion du compte clients » désigne essentiellement l’aspect comptable au sens juridique, financier et fiscal mais aussi de suivi des actions qui sont directement liées à la créance et son recouvrement (Risques, litiges et relances).

 

Les impératifs d’optimisation de cette gestion doivent tenir compte de la relation avec les Clients. Il est donc primordial d’instaurer une étroite collaboration entre les services administratifs et commerciaux.

 

Cette gestion doit aussi s’inscrire dans une politique globale de management qui prendra aussi en compte, tous les risques bien au-delà de l’insolvabilité, la Qualité, les processus de gestion et de transmission des informations, etc.

L’ensemble de ces éléments est pris en compte dans le concept de « Credit Management » qui seul permet d’établir la cohérence et de mesurer l’évolution des performances, en effet directs et induits.

 

 Voir : Credit Management ;

 

      Voir aussi : Affacturage, Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; BFR ; Bilan ; Cavalerie ; Créance commerciale ; Créance née à l’étranger ; Credit Management ; Dailly ; Délais de paiement ; Effet de commerce ; Escompte commercial ; Financement du poste clients ; Gestion de la Relation Clients ; Litige ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Plan comptable ; Relance ; Recouvrement ; Risques ; Titrisation ; Trésorerie ; Trésorerie d’échelle 

 

Gestion du cycle de vie de l’information

Gestion du cycle de vie de l’information = Information Lifecycle Management – ILM

 

C’est un concept IT qui tend à assurer la cohérence entre la valeur des informations (financières, règlementaires, etc.), le stockage et la restitution dans le temps, notamment avec le développement de la dématérialisation et des données numériques.

 

 Voir : Dématérialisation ; Geide ; Gestion des actifs ; Stockage ; GMAO ; Système de Management Intégré ;

 

Gestion électronique de processus

- GEP

Gestion électronique de processus – GEP :

 

- Flux de travail = Workflow .

 Tâche type + Liste de travail, qui en plus du profil utilisateur, donne accès ou non, à des actions ou informations autorisées.

Le Workflow est un système paramétré qui permet en tenant compte d'événement de déclencher de planifier des actions. Il se retrouve de manière beaucoup plus développée dans le concept BPMS.

 

- Système de gestion des processus métiers = BPMS - Business Process Management System  :  

 Ensemble logiciel destiné à formaliser les procédures qui font l'activité d'une entreprise dans le but de les automatiser. C'est l'alternative aux développements spécifiques lourds peu évolutifs et coûteux des PGI en matière de ressources informatiques et humaines indispensables aux différents processus métiers.

Cet ensemble comprend généralement :

1/ Un outil de modélisation qui servira à formaliser la description des fonctions exercées dans l'entreprise en processus, en applications informatiques. Il permettra de définir également les données échangées, les interfaces avec les autres modules.

 2/ Des outils de développement pour formaliser la logique qui régit les processus de l'entreprise, à énoncer les règles de fonctionnement.

3/ Un moteur d'exécution qui supervisera le déroulement des processus ainsi que les échanges de paramètres.

4/ Un moteur de règles qui évaluera l'état de tous les objets impliqués dans le déroulement des processus et déterminera si les conditions sont remplies pour en lancer, poursuivre ou arrêter l'exécution.

5/ Un référentiel qui mémorisera tous les objets manipulés, en particulier les définitions des processus, les règles qui doivent déclencher leur exécution, les contraintes d'intégrité, de sécurité ainsi que les mesures de référence relatives au métier de l'entreprise.

 6/ Des outils d'administration qui permettront de régler les paramètres de l'ensemble du système et d'obtenir des indicateurs de performance et des statistiques à partir des données collectées lors de l'exécution des processus.

 

La mise en place d'un outil BPMS bien qu'étant un projet lié à l’informatique est avant tout une démarche métier. Cette démarche doit se concevoir en gestion de projet et fédérer l'ensemble des collaborateurs concernés pour garantir un maximum de succès. Cette méthode collaborative s'inscrit parfaitement dans le concept Gestion globale de la performance.

ex : Pour la gestion commerciale, celle du crédit clients et des contrats afin d’optimiser non seulement la réalisation des actions des différents collaborateurs, mais aussi les outils de mesure.

 

 Voir aussi : Décisionnel ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Gestion Globale de la performance ; Management de projet ; Organisation ; SIAD ; Système de management intégré ; Wokflow ;

 

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  Infos :

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

Gestion Globale de la Performance

- GGP = CPM

Gestion globale de la performance – GGP = CPM - Corporate Performance Management   .

Concept novateur, de la fin des années 2000, pour la gestion d'entreprises et autres entités dont les ONG, collectivités et services d’Etat.

 

Il repose en premier lieu sur une philosophie mettant en avant des principes fondamentaux très anciens mais disposant de méthodes de gestion actualisées renforcées par les nouvelles technologies (TIC).

 

Par ailleurs, l’exigence (Requirement) de ce concept ne doit pas être conçue comme une contrainte négative mais au contraire uen possibilité d’élévation de la qualité et des performances.

 

Objectif : Disposer d'informations pertinentes destinées à rendre la gestion plus productive mais aussi améliorer la "Qualité" et accélérer la prise de décision objective. 

 

Cette pratique met, notamment, à contribution les outils PGI, GRC, Décisionnel, gestionnaires de tâches, actions et du temps, entrepôts de données, etc.

Il utilise les méthodes d'analyse les plus poussées possédant la maîtrise des processus métiers informatisés (BPMS, Olap, etc.).

Il sait tirer les enseignements de toutes les fonctions et actions de l'ensemble des collaborateurs et métiers (Travail collaboratif, Empowerment, Kaizen) pour réaliser des prévisionnels et simulations.

Ces principes appliqués permettent de modifier la stratégie en agissant sur les méthodes et les moyens. Tous les géants du progiciel se sont positionnés sur ce nouveau concept de gestion dont les outils se retrouvent dans le vocable "Décisionnel".

 

D'un autre point de vue la GGP s'appuie sur des principes prenant en compte :

     - Des valeurs fondatrices : Responsabilisation, circulation et exploitabilité de l'information, qualité du relationnel, réactivité.

     - Des innovations de gestion reposant pour l'essentiel sur des évolutions technologiques et de méthodes :

L'informatique et Ntic permettent à ce jour de traiter rapidement et de manière instantanée et dynamique, selon des axes multiples, des informations diverses, issues de sources différentes.

Elles permettent aussi des échanges d'informations, ultra rapide et sécurisées, vers tout destinataire sédentaire ou mobile. Non seulement l’information est identifiée et donc elle peut être traitée mais en plus grâce aux techniques (ex : forage de données et d’analyse multidimensionnelle) il est possible de comprendre des faits passés et de simuler des situations à venir.

 

Les nouveaux concepts de gestion, ainsi l'analyse comparative interne et externe (Benchmarking, ABM, etc.) permettent de réaliser des prévisionnels glissants (BSC  ) et d'assurer le suivi permanent des actions et des résultats successifs.

 

Ainsi de nombreux services utilisent de plus en plus :

- Des concepts de performance globale basé sur le tryptique : Qualité – Coûts – Délais.

- Une méthodologie en mode projet

 

L’esprit de travail collaboratif est maintenant renforcé par le système d’information et les réseaux dont le Web. 

 

En revanche la GGP se heurtera toujours aux problèmes de compétences et de hiérarchie les deux n'allant pas forcément de pair surtout quand ces notions sont soumises aux comportements très subjectifs des individus comme l'on bien énoncé les principes de Peter et la loi de Gauss et d’autres théories… décrites dans la définition « Compétences »

 

Enfin avec la multiplication des risques la GGP s’oriente de plus en plus vers la Gouvenance de risques et conformités qui s’attache surtout aux multiples exigences légales ou d’organisation ainsi qu’à la qualité.

 

 Voir : Altermanagement ; Beyond budgeting ; Compétences ; CRM ; Décisionnel ; ERP/PGI ; Evaluation ; Exigence ; Gouvernance d'entreprise ; Gestion des Contrats ; Gouvernance des risques et conformités ; Johari ; Management de projet ; Management par activité ; Olap ; PDCA ; Qualité ; RSI ; Système de Management Intégré ; Tableaux de bord Théorie(S) dont : de résolution des problèmes d’innovation/TRIZ ; Théorie des contraintes ; Temps Moyen d’attente ; Temps Moyen de Manipulation ; Maîtrise des dépenses ; XRM ;

 

 

 

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 Infos :

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

- Voir aussi : DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

-  Conférence Synertal : Télétravail et performance des entreprises ;

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

  Transitiss :  Management de Transition & Transmission d'Entreprise :

Confortez votre équipe de direction, soyez accompagné pour valoriser votre entité et dans vos négociations de transmission …

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

 

GIE - GEIE

Groupement (Européen) d'Intérêt Economique - GEIE.

 

Structure de droit civil permettant à différentes personnes morales, entreprises, de gérer des moyens en commun = transparence fiscale (différent de SCP réservé à certaines professions réglementées et de SCI pour ce qui concerne les biens immobiliers.

 

 Voir : Formes juridiques ;

 

GIP DL

Groupement d'Intérêt Public de Développement Local GIP DL :

 

Statut de personne morale publique à régime spécifique non reconnu comme établissement public et non soumis aux règles de passation des marchés du même nom mais conservant les règles comptables et en partie de contrôle du fonctionnement.

 

 Voir : Formes juridiques. ; EPIC ; EPCI ;

 

GMAO

Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur – GMAO

 

Progiciel de gestion productive des actifs qui au-delà de la simple maintenance gère le cycle de vie des biens, équipements et matériels :

 Acquisition, suivi financier, commande fournisseur, revente et recyclage

 

 Voir : Actif-S ; Gestion des actifs ; Gestion du cycle de vie de l’information ; Maintenance ; Services généraux ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   Be Safe : Logiciel de gestion : Parcs matériels ; Visites de contrôle ; Maintenance ; Contrats ; Alertes … Développé en PHP pour une utilisation optimale via Internet « Full Web » 

 

GMS

Grands Magasins et Surfaces :

 

 - GSA = Alimentaire – GSB = Bricolage – GSS = Spécialisé

 

 Voir : Gestion de la chaine logistique ; Marge(s) ; Marge arrière ; Mercatique ; PLV ;

 

Golden Share 

 

 Voir : Action.

 

Goodwill   

 

 Voir : Ecart d'acquisition d'entreprise  

 

Gordon Shapiro

Gordon et shapiro ont modélisé une méthode d évaluation  de la valeur terminale d’un bien en tenant compte de la somme actualisée des ressources qu’il procure périodiquement dans la durée.

 

Cette méthode peut s’appliquer lors de l’élaboration d’un plan d’affaire d’entreprise, mais aussi de l évaluation de titres boursiers notamment par actualisation de ses dividendes à venir.

Cette pratique comportant de nombreux inconvénients il est en revanche recommandé de l’utilisée en complément d’autre méthodes.

 

Exemple de formule utilisée pour évaluer une action d’entreprise :

   VT = Cash flow stabilisé / (CMPR-G’)

   VT =  Valeur Terminale ;

   CMPR = Coût Moyen Pondéré des Ressources

G’ = Tx de croissance à l'infini du cash flow.

       (Il faut, préalablement, que le cash flow normatif soit calculé !)

 

 Voir : Action ; Cash Flow normatif ; CMPC-CMPR ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ; EVA ; Evaluation ;  PBR ; Plan d’affaire ; VAN ;

 

Goulots d’étranglement

= bottleneck

 

 Voir : Théorie des contraintes ;

 

Gouvernance

La gouvernance recouvre plusieurs acceptions très différentes faites d'expériences :

 

- Sur le plan générique la gouvernance est le système par lequel chaque organisation est dirigée et contrôlée.

 

Si on voulait faire un parralèle entre le pilotage d’une entité et celui d’un corps (humain ou animal) on pourrait se référer au terme « Equilibration » … Voir ce terme !

 

- Ainsi les principes de la "Corporate governance" , venus encore une fois des USA, suite au crack de 1929, ont pour but de rendre le pouvoir aux actionnaires.

Les scandales financiers, notamment depuis 1992 et depuis 2006, ont mis à jour les nombreuses fautes graves de gestion, provoquées par la spéculation.

Ces agissements récurrents, ont également mis en exergue les rétributions de certains dirigeants malgré leur incompétence.

Ces « dérapages » ont provoqué la chute de nombreuses entreprises dans le monde, en France aussi.

Ainsi les législateurs ont pris des dispositions réglementaires tendant à rendre plus transparente la gestion notamment des grands groupes, de leurs dirigeants et des opérateurs de marchés.

Les dispositions que l'on retrouve aux travers de différentes réglementations (SOX-LSF, IFRS, NRE, etc.) ont pour vocation d'assurer plus de transparence et aussi la comparaison concernant la qualité des informations dispensées par les entreprises, propre à améliorer la gestion de celles-ci et donc leur image auprès des tiers (consommateurs, actionnaires, clients, fournisseurs, etc.)

   

- Pour d'autres, et plus le pouvoir des marchés financiers est important, le concept de gouvernance d'entreprises doit affirmer la prépondérance du pouvoir des dirigeants opérationnels propriétaires de l'entreprise sur l'actionnariat spéculatif.

Certains ont tendance à privilégier la "création de valeur" destinée au résultat distribué à court terme (spéculation boursière) et moins le renforcement des moyens nécessaires au soutient de l'activité de l'entreprise sur le long terme (Pérennité).

Jusqu'à ces dernières années ce type de spéculateur ne se souciait pas non plus de la notion éthique qui se retrouve aujourd'hui sous le concept de "Développement Durable Resposable". Malgré les moyens dont disposent les structures pilotées par l'actionnariat "boursier", ce sont statistiquement les entités de type actionnariat familial actif qui obtiennent les meilleures performances.

C'est donc une notion de direction, administration, d'entreprise par des acteurs "Responsables" dans tous les sens du terme (Juridiquement, financièrement, économiquement, socialement, etc.) que l'on retrouve dans cette approche.

 

Se référer à l'évolution de la législation et pour ce sujet en particulier au dispositif NRE de 2001 et à la loi Breton de juillet 2005.

 

Pour favoriser un projet de gouvernance on peut utiliser plusieurs référentiels, méthodes ex : COBIT ; Management de Projet ; ;

 

 

 Voir : Altermanagement ; Capital d’amorçage ; Capital investissement ; Capital risque ; Cindynique ;  COBIT ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ; Comitologie ; Décisionnel ; Désintermédiation ; Développement Durable ; Effet Pavarotti ;  Equilibration ; EVA ; Ethique ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Externalisation ; Fusion acquisition ; Gestion Globale de la Performance ; Gestion des actifs ; Gouvernance des risques et conformités ; Initié ; Introduction en Bourse ; Loi de Parkinson ; Loi Sécurité Financière–Sox ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management intelligent ; Management participatif ; NRE ; Opérateur ; PBR ; Responsabilité ; RSE ; Services généraux ; Télétravail ; Transformation organisationnelle ; VaMPs ; 

 

Voir aussi  : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

- Voir aussi : DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

 

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

-  Pro-Environnement : Toute l’info sur l’environnement et le Développement Durable ;

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

- RAPPORT de L’AMF sur le GOUVERNEMENT d'ENTREPRISE et le CONTRÔLE INTERNE : Objectifs, méthodes, références, codes, acteurs, etc.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- LOGO_ACTISS_HD ACTISS Partners - Cabinet spécialiste du Management de Transition : En temps de crise et pour des projets stratégique. Le manager de transition assisté d’un  directeur de mission, prend les rênes, pour redresser la situation, avant de les remettre aux dirigents et gestionnaires.

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Banque, Trading, Fiscalité Pub, Media- Achats, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

-  DFCG : Assoc. Nationale des Dir.Financiers et Contrôle de Gestion :

         Normes, Stratégies, Analyses, Contrôle de gestion, etc.

 

Gouvernance des Risques et Conformités

Gouvernance des risques et conformités = Governance Risk & Compliance 

C’est un concept issue :

- De l’hyperinflation législative et réglementaire née des nombreux scandales financiers et donc économiques mais aussi environnementaux de taille internationale.

- De la mondialisation des échanges donc de la multiplication des risques et dispositions liés au développement de la concurrence (Ex : Qualité) et à la perte de confiance en la parôle donnée des acteurs de marchés qui pour beaucoup sont devenus virtuels.

 

Au-delà de l’évolution des relations et technologies, les concepts de Gestion Globale de la Performance ont été obligés d’intégrer la cindynique. En effet les risques contactuels et l’observance des normes et autres codes, droits, etc. influencent largement les performances tant sur les aspects techniques et financiers que sur l’image et la qualité des relations.

 

Selon la taille, les implantations, des entités concernées il faut donc prévoir des méthodes et systèmes de management adaptés de gestion des risques et du respect des conformités ex :

- Normes industrielles et environnementales ;

- Contrats et autres clauses et recours ;

- Données sensibles et contraintes juridiques d’archivage ;

- Réseaux de communication et relationnels notamment pour la sécurité ;

- Reconnaissance et protection des biens et des savoirs ;

C’est pourquoi de nouvelles professions se sont spécialisées sur ces éléments transverses de gouvernance dont les enjeux sont considérables.

 

 Voir : Cindynique ; Conformité ; Contrats ; Coût total de la qualité ; Décisionnel ; Droit(s) ; Excellence Opérationnelle ; Management de contrats ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mandat ; Norme ; Organisation ; performance ; Qualité ; Recours ; Responsabilité ; Risques ; Système de Management Intégré ;

 

Voir aussi : Bâle 2 ; COBIT ; IFRS ; ISO ; LCEN ; LME ; LSF/Sox ; NRE ;

 

GPAO

Gestion de Production Assistée par Ordinateur - GPAO

 

Achat, planification, évolutions des méthodes et processus Gestion du suivi de production nomenclatures et versions, logistique, etc.

La mise en place d’un système de gestion performant requiert une très bonne modélisation sinon les ressources peuvent s’avérer inadaptées, la satisfaction clients non satisfaisante, les coûts de revient mal maîtrisés, etc.

 

 Voir aussi : CFAO et SGDT (entrepôt de données = passerelles entre conception et fabrication).

 

GPEC

Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences.- GPEC

Disposition législative française qui intègre une obligation de négociation périodique aux partenaires sociaux.

 

L’objectif est d’éviter les crises provoquées par les changements de stratégie de direction et capitalistique des entreprises en anticipant sur les moyens à mettre en œuvre pour faciliter le reclassement des salariés.

Ainsi les entreprises doivent essayer au mieux de favoriser la cohésion entre leurs besoins et les compétences de leurs collaborateurs notamment en ayant recours au bilan de compétences et à la formation.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Effet de NORIA ; Evaluation ; Formation ; Manager ; Ressources Humaines ; Théorie(s) ;

 

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  Infos :

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

GPL – General Public Licence

Général Public Licence désigne une des licences permettant de modifier, copier et même distribuer des logiciels développés selon le concept dit libre, c'est-à-dire sans restriction de droits et donc sous réserve de livrer le logiciel concerné avec ses codes source.

 

 Voir : Brevet ; Propriété ;

 

GPRS

GPRS = General Packet Radio Service

GPRS est une norme de transmission par paquets de textes et photos à partir de la téléphonie mobile. Cette technologie est l'intermédiaire entre GSM et Edge préparant l'arrivée de l'UMTS. Son débit est d'environ 128KBPS.

 

 Voir : GPRS ; Edge ; UMTS ; HSDPA ;

 

GPX

Gestion de Projet eXtrème - GPX

 

  Voir : Chaordique ; HALO ; Management de projet ;

 

Grappe d'entreprises

= Business cluster.

 

Une grappe d’entreprises, c’est un regroupement de petites et moyennes entreprises à l’échelon local, régional.

 

L’objectif est de mettre en commun des moyens (ex : Locaux industriels, bureaux et équipements, savoirs faire)

La mutualisation de moyens et de compétences permet de réaliser des économies d’échelles.et de créer des actions collectives et autres synergies (Ex : R&D, marketing et communication, logistique).

 

Lorsque la collaboration peut se réaliser entre différents acteurs il est alors possible de développer des projets professionnels en communs notamment en répondant à des appels d’offre plus complexes.

 

Certains de ces « Cluster » sont des pôles de compétitivité innovants axés sur des technologies spécifiques comme, la mécanique, l’informatique, l’enseignement et la recherche, etc.

 

Un concept voisin : ZAS = Zone d’Alliances Stratégiques est né sur 2 conditions essentielles :

- Fabrication de produits différents commercialisés sur les mêmes marchés ;

- Volonté de développer des synergies ex : Complémentarité industrielle ou de service ; Mutualisation de moyens liés à la zone d’activités.

Certaines entreprise ont notamment développé cette synergie en profitant des conditions favorables qui pouvaient lers êtres offertes sur des zones industrielles ou d’activités inoccupées.

 

 Voir aussi : Aide(s) ; Capital d’amorçage ; Cercle de réflexion ; Contrat ; Forme juridique ; Innovation ; Management de projet ; Pépinière ; Pôles de compétitivité ; Responsabilités ; Stratégie océan bleu ; Travail collaboratif ;

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 Infos :

- Cluster Edit : la dynamique Ouverte à tous les acteurs du marché de l’édition de logiciels en Rhône-Alpes ;

 

 

 

Gratuitiel - Gratuiciel

= Freeware

Gratuitiel désigne en français une application logicielle mise gracieusement à disposition par ceux qui en détiennent les droits de propriété.

Ce type de logiciel peut brider l’utilisation notamment des sauvegardes et la durée d’utilisation pour une période de découverte de l’application.

 

Attention : Ne pas confondre avec le « logiciel libre » définit et soutenu par « Free Software Foundation »

 

  Voir : Brevet ; Propriété ; GPL ;

 

GRC

 

  Voir : Gestion de la Relation Clients

 

Voir aussi : Gouvernance des Risques et Conformités

 

Gré à gré

= Peer to peer  ; Grado a grado  ;

 

  Voir : Egal à égal  .

 

Green belt

 

  Voir : 6 Sigma

 

Greffe du Tribunal

Le greffe du Tribunal de commerce comprend l’ensemble des services administratifs du siège et du parquet.

Le greffier (ou en chef) est un Officier Ministériel titulaire d’une charge. Il assiste les magistrats aux audiences, tient les rôles et différents registres.

 

Le geffe est ainsi le service au l’on conserve les « Minutes » des jugements et autres archives et par conséquent où sont délivrés les copies de certains actes dont l’extrait d’immatriculation des entreprises. (Kbis)

C’est également par l’intermédiaire du greffe des tribunaux que sont transmises aux huissiers de justice.

 

  Voir : Minute ; Déclaration de créances impayées ; Injonction de payer ; Cessation de paiement ; Loi de sauvegarde ;

 

Grille

Grille = Grid

Concept d’organisation de l’informatique basé en particulier sur le partage de données ayant pour objectif de mettre à disposition des utilisateurs des applications multiples et de réaliser des traitements très importants en terme de volumétrie.

La mise en place de ce type de partage des ressources à aussi comme but de générer des économies substantielles grâce à la mutualisation de ressources.

 

  Voir : Architecture orientée services ; Entrepôt de données ; Organisation ;

 

 

Grossiste

 = Wholesaler  ; Großhandel  ; Mayorista  ;    ;

 

  Voir : Achats, B to B ; Gestion de la chaine d’approvisionnement ;

 

Groupe de pression

Groupe de pression  ;  Lobby  ;   ;

 

Le groupe de pression, comme son nom l’indique, à pour objectif de faire reconnaître ses positions et le plus souvent ses intérêts par des systèmes administratifs, politiques ou marchands du domaine public ou privé.

Qu’il soit économique, philosophique, théologique, etc. il part de deux principes. L’un que l’union fait la force, l’autre que la qualité des relations influe largement les prises de décisions.

 

Le consumérisme est un grand pourvoyeur de groupes de pression et il y a presque toujours les « Anti » et les « Pour »

 

Avec la mondialisation de l’économie ces groupes de pression sont aussi des professionnels avertis qui allouent souvent des moyens considérables à la défense de leurs intérêts comme par exemple dans le domaine pétrolier tant pour les débouchés de l’industrie chimique que vers l’industrie plastique ou la productions d énergie.

 

Tous les syndicats ouvriers et patronaux sont des groupes d’intérêts puissants et qui pour les plus importants ont le monopole de la négociation avec les pouvoirs publics alors même qu’ils ne représentent tous confondus qu’une minorité de la population active notamment en France !

 

Au niveau européen certaines structures professionnelles du domaine des affaires ont leur siège à Bruxelles et Luxembourg et sont en contact permanent avec les représentations politiques mais surtout avec les décideurs de la « Commission » pour promouvoir certains « Règlements » et Directives » mais aussi pour être à l’initiatives de nombreuses dispositions de la politique européenne et surtout des actions économiques aidées -Voir PCRD.

Cette action en amont des projets, qui relève de l’intelligence économique, a largement dépassé la simple veille, qui par définition se situe en aval des décisions.

Le fait d’être en amont permet de concevoir au mieux les productions à venir et donc le cahier des charges pour y répondre (Appel d’offres) dans les meilleurs délais et conditions !

Bien évidemment les groupes de pression savent aussi communiquer et ils utilisent abondamment la presse qu’elle soit écrite, audiovisuelle et virtuelle. Bon nombre de groupes agissent par blogs interposés et sites Internet, tellement les enjeux sont conséquents.

 

Il est donc important pour nombre de décideurs de rejoindre certains groupes, non seulement pour s’informer et éviter d’être seul, mais aussi pour tenter de prendre sa part !

Il est également important que les décideurs et gestionnaires fassent valoir leurs points de vue pour faire évoluer les usages et réglementations.

La pratique de lEnterprise Feedback Management- EFM , permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques.

 

Ainsi nombre des entretiens ou actions de pression doivent restés confidentiels par les enjeux et souvent les méthodes utilisées dont celle du versement de commissions occultes. Cest pourquoi les anlo-saxons l’ont appelé Lobby qui signifie vestibule en français pour le caractère caché, secret …

 

 Voir : Action collective ; Aides européennes ; Cercle de réflexion ; Comitologie ; Comportement ; Consumérisme ; Directive européenne ; EFM ; Ethique ; Intelligence économique ; Management de projet ; PCRD ; Règlement européen ; Veille ;

 

Groupement d’employeurs

Le groupement d’employeurs est une association d’entreprises dont l’objectif est de recruter du personnel pour le mettre à disposition de ses membres.

 

L’association regroupant des employeurs met ainsi du personnel à leur disposition en fonction de leurs besoins. Cette pratique permet aux entreprises bénéficiaires de disposer de compétences ponctuellement alors m^me que leur charge de travail et/ou leurs moyens financiers ne leur permettent pas d’embaucher un salarié à temps plein.

 

Attention : Ne pas confondre avec l’Interim

 

 Voir : Externalisation ; Centre de services partagés ; GIE ;

 

Goupware

 

 Voir : Collecticiel  ; Travail collaboratif ;

 

H

  Handirect : Le magazine de valorisation des handicapés dans l’entreprise

Habilitation   (Principe d’)

Habilitation = Empowerment  ; Ermächtigung  ;  ;

Basée sur le principe de subsidiarité l’habilitation est destinée à accroître l’autonomie des salariés en les responsabilisant, leur faisant confiance = En donnant du pouvoir !

 

En réduisant les niveaux hiérarchiques pour favoriser la rapidité de prises de décisions (Delayering ) les objectifs visés sont multiples : Réduction des charges de personnel, développement d’idéees valorisantes et conduite de projets, donc du changement.

 

Adaptable à toutes entités et activités du domaine public ou privé et tous niveaux hiérarchiques, le principe d’habilitation trouve son application la plus prometteuse dans le concept de Management Participatif.

 

 Voir aussi : Altermanagement ; Beyond budgeting ; Comportement, Conduite du changement ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Excellence Opérationnelle ; Formation ; Genchi Genbutsu ; Génération : BB, X, Y ; Gestion globale de performance ; Gouvernance ; Initié ; Kaizen ; Management d’équipe ; Management participatif ; Manager ; Mentor ; Plan de succession ; Responsablilité ; Supposition ; Théorie(S) de l’agence, de l’enracinnement, des signaux ; Top down ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; 

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

HAD

 HAD =  Honoraire d’Agréé en Douane

 

HALO

HALO - Higher-performing, Agile, Learning, Organizations  = Haute performance agile, d’apprentissage et d’organisation  ;

 

Ce modèle prend comme repères l’apprentissage et le travail collobaratif,  l’écoute des besoins clients pour favoriser le développement par la remise en cause des moyens. Pour cela il préconise de situer ces critères sur un 2 axes : Présent/Futur et Interne/externe.

 

Ceci permet ensuite d’élaborer une méthodologie de « diagnostic organisationnel  à 360 degrés » qui mesure la capacité d'une entité, à intégrer et utiliser des habiletés organisationnelles vitales ex :

Implication du personnel, écoute client, développement des produits et services, Gestion des coûts du temps et de la qualité, remise en question des structures ainsi que des processus et donc des stratégies.

 

 Voir : Amélioration continue ; Audit ; Centième singe ; Compétences ; Décisionnel ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Exigence ; Management de projet ; Management participatif ; Norme(s) ; Organisation ; Performance ; Plan d’expérience ; Production au plus juste ; Qualité ; Tableaux de bord prospectif ; Visite de terrain ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ;  CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2; Tenstep ;

 

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Qualiscope : Outils de diagnostic organisationnel à 360 degrés-HALO

 

Hameçonnage

Filoutage = Phishing  

Technique frauduleuse qui a pour objectif d’obtenir des internautes leurs informations confidentielles.

Ces pratique relevant de l’usurpation d’identité sont le plus souvent destinées à effectuer des achats ou retraits sur les comptes bancaires de leurs propriétaires.  

 

  Voir : Dol ; Logiciel espion ; Pare-Feu ; Mouchard ; Risques ; SSL ; Ver ; Virus ; XSS ;

 

Handicap

Performance et handicap = des bénéfices multiples aux effets directs et induits très prometteurs !

 

Le monde des entreprises serait bien avisé de mieux considérer le handicap :

- les personnes handicapées sont toujours très motivés pour intégrer un emloi, une fonction. elles sont souvent passées par des formations qualifiantes et diplomantes. Ainsi elles ont acquis des aptitudes dans de nombreuses spécialités et souvent à un haut niveau technologique. (Informatique, recherche, finances, communication, droits, etc.).

C’est cette volonté sans faille qui leur permet d’obtenir ce passeport vers le travail.

L’intégration d’une personne handicapée au sein d’une activité professionnelle est très souvent un facteur d’appaisemment au sein des équipes et favorise le travail collaboratif.

- De nombreuses activités peuvent être externalisés grace aux personnes handicapées soit en partiques de télétravail (moins de locaux, moins de transport, = Développement Durable) soit en faisant appel à des structures spécialisées dans certains métiers (Fabrication, contrôle qualité, etc.)

- Les aides et contraintes réglementaires doivent également être prises en considération dans la recherche de performance, même s’il est pitoyable de constater que certains peuvent s’arrêter à ces constations. Faudra-t-il qu’ils sont concernés personnellement pour comprendre ?

 

L’organisation mondiale des personnes handicapées définit ainsi le handicap :

« Perte ou limitation des possibilités de participer à la vie normale de la collectivité sur

une base égalitaire avec les autres en raison d’obstacles physiques et sociaux. »

 

Par définition, le travailleur handicapé est une personne dont les possibilités d’obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites par suite de l’altération d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales ou psychiques.

En 2007 La France est le seul pays au monde à reconnaître le statut de travailleur handicapé. Mais de nombreux pays ont pris diverses dispositions ex : Les anglais et les irlandais estiment que l’acte, de ne pas recruter une personne en raison de son handicap, va à l’encontre de la notion démocratique d’égalité et

entraîne une traduction immédiate en justice. (Voir le management de contrats internationaux)

 

LES DIFFERENTS TYPES DE HANDICAPS :

Handicaps mentaux :

    Les déficiences intellectuelles et psychiques

Handicaps physiques :

    Les déficiences motrices, visuelles, auditives.

 

Abréviations françaises relatives au handicap (Aides et structures) :

AAH : Allocation d’Adulte Handicapé.

AGEFIPH : Association de Gestion du Fonds pour l’Insertion Professionnelle des Personnes Handicapés.

CAMSP : Centres d'Action Médico-Sociaux Précoce.

CAT : Centre d’Aide par le Travail.

CDES : Commission Départementale d'Éducation Spéciale.

CDAPH : Commissions des Droits et de l'Autonomie des Personnes Handicapées.

CDTD : Centres de Distribution de Travail à Domicile.

COTOREP: Commission technique d’orientation et de reclassement professionnel.

DARES : Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques.

DDTEFP : Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle.

EA : Entreprises Adaptées.

ECAP : Emplois exigeant des Conditions d’Aptitude Particulières.

EPSR : Equipes de Préparation et de Suite du Reclassement.

ESAT : Etablissement et Service d’Aide par le Travail (ex CAT : Centre d’Aide par le Travail).

FIPHFP : Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique.

MDPH : Maison Départementale des Personnes Handicapées.

OETH : Obligation d’Emploi de Travailleurs Handicapés.

OIP : Organismes d'Insertion et de Placement.

PDITH : Programme Départemental d’Insertion des Travailleurs Handicapés.

RQTH : Reconnaissance de la Qualité de Travailleurs Handicapés.

 

 Voir : Aides ; Aptitude ; Développement Durable : Ethique ; Evaluation ; Exigence ; Externalisation ; Management de contrats ; Performance ; Risques ; Télétravail ;

 

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 Infos :

-   AGEFIPH : Association d’aide aux handicapés et entreprises qui les recrutent.

-   Handirect : Le magazine de valorisation des handicapés dans l’entreprise

 

Hansei

Hansei  « Auto-réflexion corrective » ;

Concept japonais consistant à rechercher par introspection un moyen de progresser dans chaque situation.

C’est donc une pratique d’amélioration continue

 

A la fin d’un projet, par exemple, c’est le fait de provoquer une réunion « Hansei-Kai » pour rechercher les points d’amélioration sur le processus et le résultat.

 

Ne pas avoir l’humilité de reconnaitre des marges de progrès est suspect : « aucun problème est un problème ».

 

 Voir : 6 sigma ; Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Qualité ;

 

Hardship clause

Hardship clause = Clause de renégociation  ;

 

 Voir : Cas de force majeure ;

 

Hardware

Matériel Informatique ex : Unité centrale, écran, clavier, etc.

 

 Voir : Software ; Bureau de urgences ; Tierce Maintenance Applicative ; Externalisation ; Réseau(x) ; Client riche ; Client léger ; PABX ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

Haut de bilan

Haut de bilan est une expression française qui permet d’identifier par leur positionnement comptable, les éléments constituant des ressources stables (au passif) et emplois durables (à l’actif) par rapport aux postes de milieu (Ex : stock, Clients, fournisseurs) et de bas de bilan (Ex : Trésorerie).

 

Les opérations dites de « haut de bilan » désignent notamment les reprises d’entreprises et les opérations de fusion acquisition.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Analyse(s) ; Actif-S ; Bilan ; Cession progressive du capital ; Fusion acquisition ; Gestion des actifs ; Gouvernance ; Habillage de Bilan ; Management de transition ; Passif ; REEL ; RES ; Transformation organisationnelle ; Transmission ;

 

Hedge funds

 

  Voir : Fonds spéculatif   

 

Help desk

 

 Voir : Bureau des urgences

 

Heuristique (méthode)

Heuristique :

Tiré du grec et qui signifie trouver, heuristique se dit de ce qui concoure à trouver par l’étude scientifique de la structure successive des connaissances – épistémologie - et édicte des règles qui ont pour objectif de conduire de la recherche à la découverte.

 

Ce qui compte dans cette méthode, d’expériences, c’est essentiellement l’approche par l’historique, empirique, des faits en s’enrichissant des faits antérieurs au fur et à mesure de la progression de la recherche.

 

Elle s’oppose à la pratique basée sur les algorithmes.

 

Ainsi il est possible d’élaborer un diagramme, une « Carte Euristique = Mind-map » basée sur les évolutions successives entre différents faits pour progresser vers une éventuelle solution.

 

Méthode utilisée pour la recherche de documents dont les contrats.

Elle est aussi très performante pour la protection des systèmes d’information dans l’analyse des attaques virales.

Ses principes sont également utilisés pour l’aspect éthologique en mercatique et gouvernance d’entreprise, c’est pourquoi elle concoure à la prise de décision, surtout par comparaison avec d’autres.

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ; Geide ; Gouvernance d’entreprise ; Innovation ; Mercatique, Management de contrats ; Management de projet ; Management des connaissances ; Management intelligent ; Mercatique ; Plan d’expérience ; Poïétique ; SIAD ;

 

Hoax recruiting

= Recrutement de mule

 

 Voir : Cheval de Troie.

 

Holding

Holding, en français plusieurs termes sont utilisés : Société mère ; Entité faîtière ; Société de contrôle

 = Holding Company  ; Sociedad tenedora  ;

Très souvent « Société de portefeuille » donc financière, qui détient des particiations dans d’autres entités commerciales ou civiles.

 

Sa fonction première est d’assurer et de préserver, l’unité de direction en exerçant le contrôle des entités concernées.

Ce contrôle peut seulement être financier ou total impliquant la politique industrielle et de communication.

 

Beaucoup de ces sociétés ce sont de plus en plus orientés vers des activités plus spécialisées en matière de fusion acquisition pour faire face à la concurrence, saisir des opportunités, se diversifier, ou au contraire se dégager à temps, se restructurer.

 

Puis, sous la pression des actionnaires, certaines se sont diversifiées vers des opérations plus pséculatives.

Ainsi elles interviennent régulières dans de nombreuses opération de haut de bilan (Capital investissement et risque)

 

Pour favoriser leurs performances financières elles ont également judicieusement choisi leur implantation géographique.

 

Elles font également payer leur gestion aux entités detenues et sont plus puissantes pour interférer auprès des fournisseurs.

 

De nombreuses holdings assurent les besoins de refinancement des entités du groupe et parfois même elles couvrent certains risques. Transfert ;

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

     Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Capitaux permanents ; Fiduciaire ; Fusion acquisition ; Gestion des actifs ; Ecart d’acquisition ; Filiale ; Liasse fiscale ; RCE ; REEL ; Société ;

 

Holistique

Tiré du grec « Hole » = Totalité

 

Considérant que l’individu est un tout une approche holistique s’avère souvent très performante pour apporter des remèdes à ses maux mais aussi des solutions à ses besoins personnels.

Dans le management d’équipe la bonne connaissance de chacun dans son ensemble est un facteur d’optimisation du travail collaboratif.

 

Par extension, cette approche s’applique également au système d’information d’une entité…dans son ensemble !

 

 Voir : Ethologie ; Etude d’usage et d’attitude ; Evaluation ; Management d’équipe ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; PNL ; Temps parcelles ; Travail collaboratif ;

 

HSDPA

= High Speed Downlink Packet Access

Protocole de la téléphonie mobile, issue de l'évolution de celle dite UMTS , dont le débit est au moins dix fois supérieur à ce dernier. Soit 14 MBPS.

 

 Voir : GPRS ; Edge ; UMTS ; Baud ;

 

HTML

Hyper Text Mark-up Language  :

Langage utilisé pour décrire les pages web, donc celles de votre site et ce qui peut conditionner son référencement

Des balises sont insérées dans le texte pour définir les fonts de caractères, les styles, ainsi que les liens vers d'autres documents.

 

 Voir : Langages ; XML ; Référencement ; Php ;

 

Huissier de justice

= Bailiff 

L’huissier de justice est un officier public et ministériel chargé des significations judiciaires et extra judiciaires et de l'exécution forcée des actes publics (jugements et actes notariés)

L’exploit d’huissier est un acte rédigé par un huissier dont une copie est remise à chaque partie.

 

 

Certains huissiers sont chargés du service intérieur des tribunaux (huissier d'audience).

 

 Voir : Formule exécutoire ; Procédure ; Injonction ; Saisie ; Acte ;

 

Human intelligence = "humint"

 

 Voir : Veille.

 

Hurdle rate

Hurdle  = Haie, Obstacle .

Désigne le taux de rendement au-dessus duquel les investisseurs ont convenu d’intéresser les dirigeant, d’une  structure de gestion, sur une part des plus values réalisées.

Ce taux se situe entre 5 et 10% de la plus valeu. Mais en principe une clause spécifique est prévue à l’origine pour excluant pour les ste de portefeuille lvaleurs risquées. (A préciser)

 

 Voir : Clause d'intéressement ; Mandant ; Prime de succès ;

 

Hypothèque

= Mortgage

L’hypothèque est une sûreté réelle, immobilière et indivisible dont est grevé un bien immeuble pour garantir le paiement d'une créance.

 

Ce droit dit accessoire de créance, sans dessaisissement, fait l'objet de l'enregistrement par un officier public ministériel d'un acte avec publication.

 

L'hypothèque peut être conventionnelle (accordée par contrat), judiciaire (à la suite d'un jugement) ou légale (ex. hypothèque du Trésor public).

 

En cas de non-paiement de sa dette par le débiteur et de poursuites, le créancier peut faire procéder à la réalisation du bien par vente forcée, aux enchères publiques, du bien saisi.

 

Il est également possible pour un propriétaire de bien immobilire de s’acquitter d’une dette à uilisant l’antichrèse.

 

La IPPD est l’Inscription en Privilège du Prêteur de Deniers qui est en principe mise en place par l’organisme qui octroi le prêt destiné à l’acquisition.

 

 Voir : Sûreté réelle ; Garantie ; Procédure ; Huissier ; Caution ; Antichtèse ; Nantissement ;

 

I

 Classe-Export : Magazine, guides, évènements et accompagnement à l’international.

IAA

IAA = Industrie Agro-Alimentaire.

 

IAM

Identity and Access Management

 

 Voir : Management des Identités et Accès

 

IAS

International Accounting Standards

 

 Voir : IFRS

 

IFRS

International Financial Reporting Standards – IFRS. 

En remplacement de la terminologie IAS biens que celle-ci soit encore largement utilisée et notamment pour désigner les normes concernées. Voir tableau de normes ex :

     IAS = Normes comptables 1 à 41 et développées par les anciennes IASC jusqu'en 2001.

                Ex : n°1 Présentation des états financiers ; n°2 Méthode de valorisation des stocks ;

     IFRS = Normes comptables désormais développées par l'IASB.

     SIC = Standing Interpretation Committee chargé de rédiger les recommandations pour la mise en place des normes IAS.  Ex : n°1 Cohérence des méthodes

     IFRIC = International Financial Reporting Interpretations Committee Nouvelles recommandations rédigées pour les IFRS. Ce commité remplace le SIC

 

Les IFRS sont donc devenues le nouveau standard comptables et de communication financière.

Prévus pour favoriser la transparence et la comparaison des critères d'évaluation de rentabilité, niveau d'activité, etc. des entreprises au niveau international.

 

Basés notamment sur :

-  L’appréciation des biens de l’entreprise par la notion de « Juste valeur = Fair value » qui doit dorénavant s’apprécier sur une évaluation par rapport au marché plutôt que par le prix d’acquisition.

- L’approche par composants = Principe de ventilation des immobilisations en dissociant éventuellement leurs éléments lorsque ceux-ci ont des durées d’utilisations différentes et lorsqu’ils procurent des avantages spécifiques.

 

Ces nouvelles normes (2005 pour les sociétés cotées avec comparatif /exercice antérieur) touchent directement l'organisation et la stratégie des entreprises tant en RH que R&D, stocks, etc.

 

Remarques et questions :

La valeur des titres des entreprises est-elle celle de leur partrimoine et le reflet de leur activité principale ?

Aussi juste que soit l’évaluation au prix du marché, certains affirment quelle n’a été pensée que pour favoriser et accélerer les opérations de haut de bilan et la prime aux simples investisseurs au détriment de acteurs laborieux !

Alors, il ne faut pas s’étonner que le métier passe au second plan et que la spéculation à tous les niveaux de l’entreprise (interne et externe) soit devenue la règle.

Certains spécialistes affirment que les IFRS sont en partie responsables de la crise financière de 2008.

Alors quid de l’évaluation d’entreprise et de nombreuses normes, issues elles aussi de précédents scandales financiers, sensées apporter transparence et comparabilité en matière de mesure de perfomance et de gouvernance ?

 

 Voir : Approche par composants ; Barter ; Bilan ; Comptabilité ; Gouvernance ; LSF /SOX ; PCG ; Reporting ; VaMPs ; Xbrl ;

 

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Infos :

- Livre : NORMES IAS/IFRS Que faut-il faire ? Comment s'y prendre ? Editions d’organisation

 

- DFCG - l’association françaises des directeurs financiers et du contrôle de gestion ;

En vous connectant vous pourrez également découvrir le magazine « Echanges»

 

IFU

IFU = Interlocuteur Fiscal Unique à la DGI ou DGE = Préposé pour toutes les questions fiscales.

 

 Voir aussi : Déclarations fiscales ; DGE-DGI ;

 

ILM

= Information Lifecycle Management

 

 Voir : Gestion du cycle de vie de l’information   

 

ILV

ILV est un terme de mercatique qui signifie : Information sur le Lieu de Vente.

 

A la différence de la Publicité sur le Lieu de Vente, on peut dire que l’ILV concerne surtout les éléments de signalétique qui permettent notamment de trouver un type de produits ou un stand, un rayon spécifique dans un commerce, un grand magasin.

 

 Voir : 4P ; BOGO ; Mercatique ; PLV ; SONCAS ;

 

Immobilisations comptables

= Fixed assets  ; Gastos de capital  ; Sachanlagen   ;

Les biens durables acquis grâce aux ressources stables de l’entreprise font partie des actifs du bilan et sont considérées comme immobilisations comptables sont enregistrées à l’actif du bilan, dans la classe de compte : 2, elles se distinguent en deux catégories :

 

- Immobilisations incorporelles (Non matérialisées) ex : les frais d’établissement, de recherche et développement, les conceesionset droits similaires (Brevets, licences, etc.) le droit au bail et le fond de commerce,

 

- Immobilisations corporelles ex : Terrains, constructions, métériels et outillages, parts et participations dans d’autres entreprises ou titres, prêts consentis au personnel, tous ces postes actualisés de amortissements et dépréciations les concernant.

 

Selon la taille des entreprises les immobilisations concernent différents gestionnaires d’actifs, d’énergies, de réseaux, de services, d’infrastructures pour ce qui concerne tant les aspects : acquisition stratégique, achat financier et fiscalité, entretien des immobilisations corporelles, etc.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

Gestion des actifs ; Gestion des énergies et réseaux ; Gestion des équipements et services ; Gestion des infrastructures ; Services Généraux ;

 

 Voir aussi : Approche par les composants ; Brevet de fabrication ; Compte ; Contrat ; Droits d’auteur ; Externalisation ; Plan comptable ; Propriété ; Subvention ;

 

Impartition

L’impartition est une stratégie économique d’entreprise qui consiste à faire réaliser, produire, par des entités externes des biens et services au lieu de les produire, de les développer, en interne.

Ex : Concession, Franchise, Sous-traitance.

 

Attention : Aux termes utilisés dans les contrats car il peut y avoir confusion entre impartition et externalisation

 

 Voir : Externalisation ;

 

Impôt sur la fortune - ISF

En France en 2007 l'ISF est un impôt payé par les personnes détenant un patrimoine net évalué à au moins 760.000 euros.

 

 Voir : Régime fiscal ; Fiducie ; Crédit d’impôt ; Défiscalisation ; Délai fiscal de reprise ; Rescrit ; Avoir fiscal ; Doctrine ; Patrimoine ; Propriété ;

 

Impôts sur les bénéfices/sociétés

Selon le type d'activité les bénéfices peuvent être industriels et commerciaux sont qualifiés de BIC ou non BNC.

En fonction, ils font l'objet de déclarations fiscales selon le statut du déclarant et donc relèvent d'une imposition.

 

Par exemple l'impôt sur les sociétés (IS) est un impôt sur les bénéfices réalisés par une "société" en tant que personne morale.

 

Voir : Résultat fiscal => liasse 2065 & 68 et plus values, crédit d'impôts ;

 

 Voir aussi : Bénéfice ; Bilan ; BIC ; BNC ; Formes juridiques ; IFRS ; Micro entreprise ; PCG ; Propriété ; Régime fiscal ; RENI/NOPAT ; RBE ; Résultat(s) ; SIG ;

 

In bonis

« Société in bonis » désigne une entreprise qui dispose d’un bonus d’appréciation par le respect de ses engagements et sa cote financière et donc n’est pas une « société en retournement » c'est-à-dire en redressement

 

 Voir : Redressement ; Loi de sauvegarde ; Cote ; Score ; Etalonnage économique ;

 

INC

Institut National de la Consommation

 

Grâce aux statistiques fournies par l’INC il est possible de réaliser de nombreuses études de marché.

Mais pour accéder aux actualités, documents et base documentaire il faut s’abonner.

 

 Voir aussi : Action collective ; Consumérisme ; INSEE ; Mercatique ;

 

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Infos :

- I.N.C.

 

Incapacité

 

 Voir : Capacité juridique ; Habilitation ; Responsabilité ;

 

Incentive

 

 Voir : Incitation économiques

 

Incitation économique

Incitations économiques = Econimics incentives .

Méthodes et moyens destinés à stimuler un acteur de l’entreprise, ou externe comme client, fournisseur ou sous-traitant, afin de l’amener à plus de dynamisme, participation, production, rendement, qualité, etc.

 

Ces incitations peuvent revêtir différentes formes comme une prime, ou un cadeau qui pourra être une offre de spectacle, d’activité ludique ou sportive, d’un voyage, mais ce peut-être aussi une participation à un séminaire, etc.

 

Attention aux déclarations fiscales à partir d’une certaine valeur !

 

 Voir aussi : Coaching ; Contrat ; DADS & DAS2 ; Empowerment ; Gestion globale de performance ; Kaizen ; Mentor ; Organisation ; Prime de succès ; Score d’appétence ; Team building ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   I-WAY : Concept exeptionnel à destination des entreprises :

      Motivation des partenaires, Séminaires, Convention, Relation publiques, dans 4 univers :

          Courses automobile ; Sport et Spa ; Bar lounge ; Restaurant & boutique.

 

Incoterms

Incoterms = Termes du commerce international  .

Ils permettent de fixer certaines règles et usages (Ex : RUU 600 & eUCP) en particulier pour :

- les modalités de transport : Dont la répartition des frais de transports et douanes (ex : Fob = net à bord) ;

- la couverture des risques liés aux marchandises ou évènements comme grèves : Notamment les lieux à partir des quels les risques sont définis (ex : Clause SRCCC) ;

- le règlement des transactions : En particulier les procédures et documents réels ou virtuels concernés (ex par : SBLC, Credoc).

 

Ainsi selon le cas ils définissent par un langage international reconnu, mais non obligatoire, le dégré d’implication du vendeur de l’acheteur selon les bases de livraison des marchandises.

 

Une nouvelle version depuis janvier 2011 :

ATTENTION :

- La mention « Incoterms® CCI 2010 » doit figurer dans les contrats de vente. Sinon ce sont toujours les anciennes règles Incoterms qui s’appliqueront.

- Les nouveaux incoterms 2010 prennent en compte le transport multimodal. Les marchandises en conteneurs sont régies par les Incoterms multimodaux. Certains termes sont réservés exclusivemet au transpor fluvieaux, maritimes *

- Certains termes ont été supprimés : DAF - DES - DEQ – DDU, ainsi que du concept lié au franchissement du bastingage.

 

Au nombre de 11 :    & 

- Départ usine = Ex Works : EXW :

- Franco Transporteur/chargeur : Remise des marchandises dédouanées = Free Carrier : FCA ;

- Franco le long du navire = Free Alongside Ship : FAS* ;

- Franco à bord (chargé à bord navire) = Free on Board : FOB* ;

- Coût et frêt = Cost and FRet : CFR* ;

- Coût assurance et frêt = Cost Insurance and Fret : CIF* ;

- Port payé jusqu’à destination = Carriage Paid To : CPT ;

- Port payé assurance comprise = Carriage and Insurance Paid To : CIP ;

- Rendu frontière = Delivered At Frontier : DAF ;

- Rendu port de destination = Delivered Ex Ship : DES ;

- Rendu à quai = Delivered Ex Qay : DEQ ;

- Rendu droits non acquittés = Delivered Duty Unpaid : DDU ;

- Rendu au Terminal (Remplace DEQ et s'applique pour tout transport)  = Delivered At Terminal : DAT.;

- Rendu sur place. (Remplace les DAF/DES/DDU) = Delivered At Place : DAP ;

- Rendu droits acquittés = Delivered Duty Paid : DDP ;

 

Voir sur Internet les tableaux/images permettant de visualiser la répartition des coûts et risques entre vendeur et acheteur

 

 

 Voir aussi : Clauses ; Crédit documentaire ; Bolero ; Lettre de crédit Garantie ; CAF-CIF ; Franco à bord ; Management de contrats ; Management de risques ;

 

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 Infos :

- Interex : Liste exhaustive et analyse des différents Incoterms

 

Incrémenter

C’est accroitre une valeur par ajouts successifs

   Ex : Chaque nouvelle information vient enrichir une base de données

 

Ne pas confondre avec l’itération qui concerne plus le caractère répétitif comme par exemple des calculs réalisés par tatonnement pour s’approcher au plus prêt du but recherché : Plan d’expérience

 

 Voir :  Empirique ; Management de projet ; Plan d’expérience ; SCRUM ;

 

Incubateur

 

 Voir : Pépinière d’entreprise ;

 

Indemnités

Les indemnités sont des sommes d’argent destinée à réparer, compenser, un préjudice, ou à rembourser une dépense qui n’aurait pas du être à la charge de celui qui a effectué un paiement.

 

Indemnisation =   ; Entschädigung  ;

 

 Voir aussi : Intérêts moratoires ; MARC ; Préjudice ; Taux ; Pretium doloris ;

 

Indicateurs de Performances Clés  – IPC

Indicateurs de Performances Clés : IPC = KPI.

 

Les IPC sont des repères destinés à être exploités en analytique et en particulier pour des besoins marketing ou de production. ex : nombre d'appels /minute ; Nombre visites /jour.

 

Attention les critères quantitatifs doivent être associés à des éléments qualitatifs et à l'étude de l'évolution des résultats pour acquérir une certaine crédibilité => Décisionnel

 

 Voir aussi : Analyse financière ; Analyse par les options réelles ; Credit Management ; Décisionnel ; Décisionnel ; Evaluation ; Gestion Globale de Performance ; IFRS/IAS ; OVAR ; SIAD ;

 

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  Infos :

-  Article métier : « Gestion Globale de la Performance – CPM »

 

Indice de Chiffre d’affaires  -  ICA

Notamment suite aux déclarations de TVA, faites par les entreprises, aux services fiscaux, l’INSEE détermine par statistiques l’ICA.= Indice de chiffre d’affaires.

 

Ainsi chaque mois l’activité des entreprises est mesurée et publiée selon les secteurs d’activité principale = NAF (Ce qui fausse bien des études les entreprises étant de plus en plus diversifiées dans leurs activités et la NAF étant unique).

 

Ces données sont reprises dans différentes nomenclatures de synthèse tant au niveau nationale qu’européen (NES –NACE). Toutes ces études permettent notamment au service de mercatique et risques de suivre les tendances globales d’évolution d’activités.

 

 Voir : Déclaration(s) ; INSEE ; Mercatique ;

 

Indivision

L’indivision = Qui ne se divise pas !

 

C’est le fait de reconnaître juridiquement à plusieurs personnes un droit de propriété sans pouvoir définir exactement la part revenant à chacun. Si l’un des copropriétaires souhaite vendre il devra donc obtenir l’accord des autres.

 

 Voir : Propriété ; Contrat ; Régimes matrimoniaux ; Clause d’accroissement ;

 

Indu

L’indu est un montant acquis à tort.

Par exemple :

- Reçu sur un compte sans en être le réel destinataire. Notamment suite à une erreur de saisie ;

- Acquis dans le cadre d’une gestion d’affaire et s’il y a « Enrichissement sans cause »

 

La procédure pour engager une restitution est : « L’action en répétition de l’indu »

 

Voir les dispositions de la Loi de modernisation de l’Economie notamment pour ce qui concerne les très lourdes sanctions en répétition de l’indu.

 

 Voir : Enrichissement sans cause ; Dol ; Propriété ; LME ;

 

Infogérance

 

 Voir : Externalisation

 

inforensique

L’inforensique c’est l’ensemble des techniques d’investigations légales dans le domaine du numurique, permettant notamment l’administration de la preuve.

 

Comme d’autres procédures de droit celle-ci est faite à la demande d’une autorité judiciaire, sur réquisition.

 

 Voir : Economie numérique ; LCEN ; Management de risques ; Open-PGP ; Preuve ; Procédure ; Risque ; Signature électronique ;

Initié

Plusieurs acceptions :

 

- Le « délit d’initié » est comme son nom l’indique un avantage obtenu illégalement d’une partie par rapport à d’autres et qui lui procure l’information nécessaire à la réalisation d’opérations lucratives.

Certains ont ainsi une information avant les autres pour s’imposer sur un marché ce qui peut se produire dans le cadre d’une « entente »

D’autres diffusent une fausse information pour manipuler les cours à leur profit.

 

- Les « Sachants », spécialistes, experts sont des initiés dans un domaine particulier.

Que leur rôle soit de conseiller gracieusement ou non, de réaliser des prestations au profit de leurs clients ils sont de plus en plus nombreux comme en témoignent l’évolution des filières et spécialités de formation.

Ces acteurs sont notamment indispensables en matière de gouvernance (éminence grise) de R&D (chercheurs), de management de projet (Contributeur), etc.

 

 Voir : Aptitudes ; Audit ; Compétences ; Délit ; Formation ; Management de projet ; Mentor ; Travail collaboratif ;

 

Injonction de payer

L’injonction de payer est une procédure introduite par un juge, de tribunal d'instance ou de commerce, à la demande du créancier.  Elle est de notifier par voie d'huissier (= Bailiff ) à un débiteur une obligation de payer une créance. (2005 = Créance inférieure ou égale à 7.600€)

 

Il est bien évidemment indispensable de justifier la démarche et en particulier l’existence d’une créance échue non réglée par le débiteur. Sans contestation de ce dernier la procédure devient exécutoire.

 

Maintenant il est possible de télécharger le document "Cerfa" de l'injonction de payer

Suivre l'évolution depuis 2006 d'une procédure européenne d'injonction de payer..

 

Attention : Il est prudent de bien choisir la procédure, comme par exemple l'injonction de payer ou l'assignation en référé, car tant sur le fond que sur la forme les conséquences peuvent être lourdes.

C'est pourquoi il est fortement conseillé de se faire assister d'un juriste.

 

 Voir : Arbitrage ; Cavalerie ; Conciliation ; Credit Management ; Délais de règlement ; DSO Loi de sauvegarde ; Médiation ; Mise en demeure ; NRE ; Procédures ; Protêt ; Référé provision ;

 

Innovation

Innover c’est introduire du nouveau dans de l’ancien.

Si le concept parait simple il faut, notamment, être en mesure d’avoir des idées et de les structurer, d’inventer.

 

Le terme anglais « Serendipidity » synthétise très bien ce concept qui met en évidence les aptitudes de certaines personnes à composer avec plusieurs idées. Ces facultés d’extrapoler qui favorisent la réflexion et donc l’innovation, la création.

 

 

L’ouverture d’esprit et donc la culture, la curiosité, l’observation favorise la recherche permanente, le gout pour le dépassement de la performance. Ce sont les conditions préalables à une démarche d’innovation.

 

Ces quelques repères et bien d’autres induisent de s’organiser pour optimiser ses chances d’innover en étant efficient car c’est souvent l’usage d’une invention qui va déterminer son intérêt.

 

De nombreuses méthodes simples ou plus élaborées selon qu’il s’agisse d’observation, individuelle, de stratégie et R&D, etc. permettent de se préparer, de s’organiser, de conduire un projet …

 

L’Intelligence Economique pratiquée parfois en Intelligence Inventive fait notamment l’objet de conseils et démarche en étapes pour se donner les moyens de l’innovation.

 

Le Management de projet confère des méthodes éprouvées notamment de questionnement, d’organisation ex :   DMAICEMOFFHALOTRIZ -

 

L’une des problématique de l’innovation c’est de tester sa faisabilité ce qui impose le plus souvent de concevoir un modèle, qui requiert souvent des compétences diverses.

Passé ce cap du test l’autre difficulté c’est la protection de l’innovation, de son concept, style, etc. Celle-ci  peut s’évérer complexe et couteuse (Brevets)

Ces difficultés résolues il faudra alors s’attaquer aux questions de développement industriel et commercial en s’attachant particulièrement aux contrats.

 

 Voir : 5 pourquoi ; 6 sigma / DMAIC ; Aides ; Brevet ; EMOFF-FFPM ; Exigence ; HALO ; Heuristique ; Intelligence économique ; Management de projet ; Organisation ; Plan Industriel et Commercial ; Poïétique ; Pôle de compétitivité ; Propriété ; Qualité ; Serendipidity ; Stratégie Océan Bleu ; Supposition ; TRIZ – Théorie de résolution des problèmes d’innovation ; Veille ;

 

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 Infos :

-  ARDI – Agence Régionale du développement de l’Innovation.

 

- Ettighoffer Digital Campus : Décoder les risques et les atouts de la société et de l'économie !

   Dont : « L’Innovation organisationnelle, clé de la compétitivité des nations »

 

INPI

Institut National de la Propriété Industrielle - INPI

Etablissement public, chargé par le ministère de l’industrie, de l’enregistrement et de la protection des innovations, qu’elles soient des marques/noms et concepts de fabrication, dessin, etc.

Ainsi la propriété peut être déterminée notamment par une date certaine, surtout à l’occasion de procédures judiciaires (Ex : contrefaçon). Il est ensuite plus facile d’organiser les circuits de fabrication, distribution pour une exploitation dans la durée notamment sur la base de contrats.

 

Il est possible sur place d’effectuer des recherches, de demander des renseignements, de bénéficier de conseils d’experts et bien évidemment d’effectuer toutes les démarches de dépôts, enregistrements, publication, etc.

 

Cependant les services de l’INPI sont également accessibles en ligne.

 

 Voir aussi : Brevet ; Domaine ; Droits d’auteur ; Innovation ; Management de contrats ; Marques ; Propriété; Source libre ; Stylique ;

 

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 Infos :

-  INPI

 

INSEE 

Institut de la Statistique et des Etudes Economiques.

 

 Voir aussi : INC ; AFNOR ;

 

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 Infos :

- INSEE

 

Intégration fiscale

L’intégration fiscale est une technique autorisée par le fisc, pour les sociétés mères possédant une partie du capital de leur filiale, et permettant notamment de faire remonter les dettes de la filiale à la maison mère pour les déduire de ses résultats et ainsi réduire l’IS.

 

 Voir : Capital ; Carve out ; Filiale ; Gestion des actifs ; Liasse fiscale ; Holding ;

 

Intelligence

L’intelligence c’est notamment la faculté de raisonner et non de résonner comme une cloche !

 

Les aptitudes cognitives bien que liées à l’accumulation de savoirs et pratiques, issus de l’inné et des acquis, ne doivent pas supposer que l’érudition confère l’intelligence.

L’intelligece c’est aussi la faculté de faire des suppositions, d’échafauder des hypothèses pour extrapoler face à une situation et ainsi optimaser les actions à venir.

 

L’étalage du savoir peut au minimum permettre de paraître en « résonnant » notamment par redondance !

C’est le cas de nombreux « conférenceurs » qui truffent leurs exposés de mots étrangers ou techniques sans les traduire, les expliciter à leur propre auditoire, alors que leur rôle de facilitateur serait de transmettre un savoir.

Ces gens là ne pensent qu’à se faire voir, alors qu’ils y aillent… car il ne seront jamais des mentors !

 

L’intelligence permet de mettre les connaissances en pratique pour obtenir notamment le « savoir-faire » et le « Savoi-être ».

 

Le QI = Quotient intellectuel n’est qu’une méthode mesurant certaines aptitudes.

En effet, des scientifiques affirment qu’il existe 8 formes d’intelligence qui se rapprochent plus du concept QE = Quotient Emotionnel :

- Spatiale - Gestuelle - Sociale - Linguistique - Musicale - Logique - Intra personnelle - Naturaliste –

Ce qui tendrait à prouver qu’au dela des cinq sens connus - utilisés dans le concept VAKO - le moteur de notre intelligence serait liés aux sensibilités individuelles.

 

La prise en compte de ces remarqes permet, au dirigeant et responsable des ressources humaines, de mieux apprécier leurs collaborateurs pour les affecter aux tâches, équipes, sites, etc. selon leurs sensibilités personnelles pour favoriser le travail collaboratif. Cest en cela surtout que l’on peut parler de management intelligent.

La pratique revient à confier, à quelqu’un, une tâche qu’il sait faire et qui correspondont à ses goûts pour obtenir un meilleur résultat plutôt que de lui imposer celle-ci de manière incohérente et autoritaire donc sous pression.

 

Le cerveau :

De nombreux chercheurs de différents domaines ont mis en évidence certaines aptitudes, facultés, chez l’humain à partir de zones du cerveau ex :

- Cerveau reptilien ; Centre de stimuli déclenchant des réflexes fonctionnels entrainant des actions ;

- Cerveau limbique :Centre de la mémoire et des émotions ;

- Cerveau néocortex : Centre de l’analytique et du language.

D’autres spécialistes voient les choses autrement, notamment pour conjuguer performance et plaisir ex :

- Cerveau - Emysphère droit : Plutôt émotionnel, féminin et lié aux fonctions corporelles à gauche

                 = Empathie, sensibilité, subjectivité, perception des images, instinct de protection, vue élargie..

- Cerveau – Emysphère gauche : Plutôt analytique, masculin et lié aux fonctions corporelles à droite 

                 = Langage, Calcul, systématisation, objectivité, sens de l’orientation, vue ciblée…

 

Nous pouvons tous avoir une part d’autisme (limitatif mais aussi de facultés exacerbée). Le manager d’équipe doit donc tenir compte des spécificités de chacun pour favoriser les motivations, la création, le travail collaboratif, etc.

 

En matière économique l’intelligence aussi est primordiale et trop peu de décideur y consacrent les moyens pourtant indispensables pour pérenniser leurs activités…

C’est pourquoi des concepts, méthodes et outils tels que l’intelligence inventive, veille, EFM, ont été définis pour tendre vers la performance.

 

La performance peut aussi être le fruit de la pratique conjuguée de l’intelligence et du travail collaboratif c'est-à-dire : l’Intelligence collective. Cette notion implique non seulement une collaboration technique mais aussi intellectuelle de tous les métiers et hiérarachies au service de l’innovation.

Si la gouvernance et chaque manager deviennent davantage des animateurs, mentors, les effets de cette performance seront exponentiels. (Voir travail collaboratif)

 

Si le décideur, manager retient ces éléments, s’applique ces principes, il peut également envisager de pratiquer le Management participatif !

 

 Voir : Aptitudes ; Business Intelligence ; Communication ; Compétences ; Ethique ; Ethologie ; Heuristique ; Intelligence économique ; Management d’équipe ; Management intelligent ; Management participatf ; Mentor ; Organisation ; Plan de succession ; PNL & VAKO ; Poïétique ; Pression ; Procrastination ; Ressources Humaines ; Supposition ; Tenségrité ; Théorie(s) ; Travail collaboratif ;

 

Intelligence économique

 L’intelligence économique : Mode de gouvernance dont l’objet est la maîtrise de l’information stratégique et qui a pour finalité la compétitivité et la sécurité de l’économie »

Extrait : Alain Juillet - Haut responsable chargé de l’intelligence économique auprès du gouvernement -2003

 

L'intelligence économique est basée sur :

- Un principe de veille et de collecte de l'information dans un cadre légal ;

- La faculté d'analyse, de réflexion et de partage des résultats ;

- L'objectif d'engager des actions et développer des projets à caractère économique.

 

Ce concept requiert un ensemble de techniques informatiques et de méthodes qui permettent de rechercher, stocker et retraiter les informations pour optimiser l'organisation et la performance.

 

L'intelligence économique se distingue de l'espionnage économique car elle utilise exclusivement des moyens légaux.

 

La pratique de l’Enterprise Feedback Management – EFM  permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques.

 

Le concept « Intelligence Inventive », développé notamment par Bernard BESSON, met en évidence la nécessité d’une vision commune de tous les acteurs dans leurs pratiques pour favoriser un processus d’innovation.

Pour pratiquer ce concept il est indispensable d’utiliser un mode projet, agile, faisant appel à l’intelligence et pourtant respectueux d’une démarche cindynique et d’un plan d’action (12 étapes) mettant en exergue l’observation, la différenciation, et autre étapes de fécondation de l’innovation et de promotion d’un projet collaboratif.

L’audit préalable et l’implication des acteurs sont aussi les éléments déterminants de la réussite de cette pratique également inluencée de nombreux autres concepts tels que : TRIZ ; Management de Projet ; EMOFF, etc.

 

 Voir : Aides européennes ; Audit ; Cercle de réflexion ; Cindynique ; Comitologie ; Consumérisme ; Décisionnel ; EFM ; EMOFF ; Ethique ; Evaluation ; Gouvernance d'entreprise ; Groupe de pression ; Initié ; Innovation ; Management de contrats ; Management de projet ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; MEMs ; OCARA ; Renseignement ; Sécurité ; Veille ; Travail collaboratif ; TRIZ ;

 

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 Infos :

 Portail de l’Intelligence Economique en Rhône-Alpes

                Découvrez les axes de coordination du shéma IE des CCI, et les acteurs…

-  Guide des bonnes pratiques en matière d’Intelligence Economique - Réalisé par le SCIE - Service de Coordination a l’Intelligence Economique : Quoi, pourquoi, comment … ?

 

-  Testez gratuitement et faites progresser vos pratiques d'Intelligence Economique !

           Réalisé par :  CRCI RAIntelleco - Drire

 

- HRIE- Mission gouvernementale Intelligence économique : Maîtrise et protection de l’information stratégique ;

 

- Livres de Bernard Besson : Introduction à l'intelligence économique / Chlorofeuilles- L'audit d'intelligence économique / Dunod.

 

-   RIE Magazine de l’intelligence économique : Stratégie, sécurité, innovation, veille ;

 

-  Intelligence Inventive : Découvrez le concept et le princie d’autoévaluation ;

 

- ADBS Assoc.des professionnels de l’information et de la documentation : Référentiel métiers, VAE, tests, etc.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

Axxone.News: Solution de Veille Stratégique et d'Intelligence Economique sur Internet

 

Intérêts

L’intérêt peu être un avantage, un profit.

 

C’est aussi une somme que paie le débiteur au créancier en contrepartie d’un montant prêté (Emprunt) ou d’une créance non payée à son terme (Moratoire).

Selon la formule des intérêts simples le calcul s’effectue selon la formule suivante :

            I = Montant x Taux x Durée.

Les intérêts composés impliquent la capitalisation successive des intérêts (Annuités) à chaque période de rémunération. C'est-à-dire que les intérêts intégrés au capital produisent aussi des intérêts pour les périodes suivantes ;

 

les formules impliquent des calculs différents selon l’objectif recherché et le respect de règles de droit comme par exemple la gestion de la valeur acquise, les intérêts moratoires, etc.

 

 Voir : Bénéfice ; Intérêts moratoires ; Management de la valeur acquise ; Taux ;

 

Intérêts Moratoires

Les intérêts moratoires sont inscrits dans le dispositif législatif français :

- loi NRE du 15 mai 2001 et particulièrement dans les articles L441-3 et 6 du code de commerce.

- Loi LME applicable au 1 janvier 2009

 

Ces intérêts de retard sont dus, sur le montant TTC de la créance, par le débiteur dès le premier jour qui suit l'échéance contractuelle sans que le créancier ne soit tenu d'en faire la réclamation au débiteur.

S'il n'est pas nécessaire de réclamer c'est que le débiteur n'est pas censé ignorer la loi et que d'autre part les mentions relatives à la loi et aux bases de calcul doivent figurer dans les documents contractuels.

 

Attention :

- Le fait de ne pas respecter les obligations légales en matière d'information (omission de mention obligatoire) ou de paiement des pénalités peut entraîner des amendes pénales entre 15 et 375 K€ + d'autres sanctions. 

 

- Base de calcul TTC (comme préconisé par la DGI) ce qui paraît normal car il ne s'agit pas seulement du montant de la transaction mais bien de la somme totale due par le débiteur au créancier qui fait l'objet de ce retard de paiement.

 

- La base de calcul du taux peut varier. La référence recommandée est le taux de refinancement de la Banque Centrale Européenne. A défaut de retenir le taux Banque Centrale Européenne -BCE, c'est au moins 1 fois et demie le TIL-Taux d'Intérêt Légal, et sans maximum car c'est une pénalité et non un intérêt d'emprunt (attention à la comptabilisation). Il est donc possible d’utiliser un taux disuasif et donc supérieur à celui de l’usure, car ce n’est pas un prêt !

 

Pour lutter contre les pratiques abusives de certains acheteurs, qui veulent notamment imposer leurs conditions d’achat, car il est aisé de dénoncer anonymement ceux-ci. Cette pratique permet aux plus faibles de se défendre, face à un éventuel abus de position dominante, et aux autorités de faire respecter le droit.

 

Remarque : Voilà un exemple flagrant de l’imbroglio législatif français qui ne permet pas d’atteindre les objectifs recherchés (Baisse des charges et risques du vendeur et notamment pour permettre aux entreprises européennes de se défendre contre la concurrence des pays à bas coûts).

En effet un prix de vente est considéré au comptant à défaut l’acheteur peut emprunter auprès d’un banquier ou demander des délais à son fournisseur.

La logique voudrait que le coût de ce crédit soit dans tous les cas à la charge de l’acheteur. Il n’y aurait donc pas plus simple en matière d’harmonisation des délais de paiement.

Mais voilà que le législateur, en but aux groupes de pression et manquant de courage politique, est incapable de fixer un taux (BCE ou TIL-) et prend des mesures qui pour l’essentiel seront préjudiciables, financièrement  fiscalement et commercialement aux plus faibles !

 

 Voir aussi : Cavalerie ; Créance certaine ; Credit Management ; DGP ; DSO ; LME ; Loi de sauvegarde ; Mise en demeure ; NRE ; Pays à bas coûts ; Référé provision ; Taux ;

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

-  Article métier« Délais de paiement…la solution NRE ! »

 

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  Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  ELOFI  LME : Progiciel d’optimisation et de gestion des intérêts moratoires.

 

Interface de Programmation d'Applications   -IPA

Interface de Programmation d'Applications = API.

 

Ensemble de méthodes, fonctions (dont l’automatisation de certaines), écrits dans un langage de programmation unique et permettant de développer des programmes plus performants

Ces interfaces permettent d'intégrer des échanges, pour le son, l'image, les langages, etc. à partir de différentes fonctionnalités et ou applications : (TAPI = téléphone, MAPI = messageries, ISAPI = server Internet Microsoft).

Ex : communication entre :   PC, Palm, GSM    et     langages : Java, html, etc.

Elles sont de plus en plus présentes via Internet notamment avec le développement du Web2 (et 3) afin de favoriser la communication entre les internautes.

 

 Voir aussi : Carte mère ; Mémoire(s) ; Réseaux ; BUS ; Pilote ; Langages ; DLL ; Web 2 ; XML ;

 

Intermédiaire

 

 Voir : Activité d’affaires ; Désintermédiation ; Externalisation ; Intermédiation ; Maître d’œuvre ; Mandat ; Sous-traitance ;

 

Intermédiation

A l’origine l’intermédiation était la fonction des intermédiaires financiers qui collectaient des fonds pour les mettre à disposition de leurs clients. Aujourd’hui il n’est plus souhaitable de collecter pour des raisons diverses de rentabilité et de sécurité ainsi par leur entremise (= Vermittlung ) les intermédiaires mettent en relation les offreurs et demandeurs de capitaux.

 

L’intermédiation s’est beaucoup développée dans de nouveaux métiers notamment ceux liés aux activités d’affaires notamment pour négocier sur des secteurs très spécialisés comme pour certaines matières premières et la réalisation d’opérations de haut de bilan et autres courtiers.

 

  Voir : Activité d’affaires ; Capital ; Capital investissement ; Courtier ; Désintermédiation ; Fonds spéculatifs ; Fusion acquisition ; Introduction en Bourse ; Marché(s) ;

 

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  Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

 EFI –Europe Finance et Industrie : N°1 de l’introcduction boursière en Europe

       Notamment pour les dirigeants propriétaires soucieux du développement de leurs activités ;

 

 

Intranet

Intranet désigne un réseau d’ordinateurs communiquant exclusivement entre eux.

 

 Voir aussi : Ethernet ; Extranet ; Réseau ; VPN ; Web ;

 

Intrapreneur

Intrapreneur = Corporate entrepreneurship

 

C’est une personne qui, dans une entreprise ou un groupe, est génératrice et/ou porteuse d’idées motivées par un « esprit d’entreprise ».

 

C’est évidemment quelqu’un qui dispose d’un minimum d’autonomie et de pouvoir et donc bénéficie de la confiance à la fois de sa hiérarchie et de ses collaborateurs pour soumettre et parfois même concevoir un projet.

 

Ce type de dynamique peut ce concevoir de différentes façons comme par exemple par la « Boîte à idées », le « Cercle de qualité », la « Culture projet », au service de la gouvernance d’entreprise pour favoriser la conduite du changement.

 

 Voir : Conduite du changement ; Confiance ; Gouvernance d’entreprise ; Management de projet ; Organisation ; Qualité ;

 

Introduction en Bourse

L’introduction en bourse c’est le processus et résultat d’une recherche de financement durable par une entreprise en ouvrant son capital à l’épargne publique toute catégorie confondue d’investisseurs y compris les institutionnels, les concurrents, les particuliers, les fonds, etc.

 

La valeur des actions ainsi proposées sur le marché évoluera selon la loi de l’offre et de la demande.

 

Il existe plusieurs marchés qui proposent et imposent des processus différents encadrés ou non par une autorité de régulation (En France = l’AMF -Autorité des marchés Financiers)

 

 Voir : Capital ; Initié ; Marché(s) ; Désintermédiation ;

 

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  Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

 EFI –Europe Finance et Industrie : N°1 de l’introcduction boursière en Europe

       Notamment pour les dirigeants propriétaires soucieux du développement de leurs activités ;

 

Inventories

Inventories =  Stocks  ; Lagerberstand  ;   ;

 

 Voir : Stock ; Actif /circulant. 

 

Investissement en actif

Investissement en actif = CAPEX : Capital expenditure.

 

Certain investissements sont directement affectés à des actifs corporels ou incorporels (ne pas confondre avec apports) ex : Des réseaux, constructions, brevets, etc.

 

Cette opération peut également se concevoir dans le cadre de celle d’un contrat BOT

 

 Voir : BOT ; Gestion des actifs ; Impartition ; Prix de transfert ; Propriété ; Services Généraux ;

 

   Voir aussi : Actif(s) => Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Invitation for bid

 

 Voir : Appel d'offre

 

IPA

2 acceptions :

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IP- Internet Protocol Address :

Pour faire simple c’est le numéro qui permet d’identifier un terminal (Ex : Ordinateur) connecté à Internet.

 

Cette adresse IP peut être couplée à un nom de domaine.

 

Les techniques utilisées ont pour objectif d’identifier un émetteur euprès d’un destinataire et le cas échéant de répondre à ce dernier. Ainsi outre l’identité du terminal le point de connection est aussi fourrnit.

 

Le développement des échanges par Internet arrive à saturation, notamment pour le nombre d’adresses !.

Ainsi une nouvelle version = IPv6 , va permeettre d’attribuer des identifiants de manière quasi illimitée.

 

Attention : Cette évolution, IPv6, est innéluctable. Elle va obliger tous les acteurs et utilisateurs à s’adapter à cette nouvelle technologie : Matériels, applications informatiques, réseaux et outils de communication. Surtout dans le cadre de l’entreprise étendue !

 

 Voir : Réseaux ; RPV ; Sécurité ; SIP ; TCP/IP ;

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IPA = API.

 

 Voir : Interface de Programmation d'Applications

 

IPECC

Initiation, Planning, Execution, Controlling / Monitoring, and Closure

 

5 phases du cycle de vie d’un projet telles que définies par le PMI® – Project Management Institute –

Dans son corpus de connaissances : PMBOK®

 

Voir aussi un concept voisin = DMAIC ex : 6 Sigma

 

 Voir : ;  6 sigma ; Management de projet  ; Management du cycle produit ; PMBOK ;

 

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 Infos :

-  Voir le site de l’association « PMI® - Project Management Institute »

 

IPEEC

IPEEC : International Partnership for Energy Efficiency Cooperation = Partenariat international pour la coopération en matière d’efficacité énergétique

 

Accords, du G8 en 2008, ayant notamment pour objectif :

- La réduction des dépendances énergétiques ;

- La réduction des coûts ;

- La réduction des gaz à effets de serre.

 

 Voir : Développement Durable ;

 

IPPD

 

 Voir : Hypothèque.

 

IRM

Interactive Relationship Management IRM   

Variante de la Gestion de la Relation Contacts.

 

Cette relation étant dans ce cas plus coopérative, interactive.

L’objectif pour les 2 parties, étant de développer des liens plus forts que la simple relation vendeur acheteur et notamment dans la recherche de nouveaux produits.

 

Peut parfois, pour le fournisseur, se rapprocher du concept de « Mangement du rendement » (Yield management).

 

 Voir aussi : Achat(s) ; Gestion de la relation Clients et Contacts ; Management du rendement ; Mercatique ; XRM 

 

Irrépétibles

Les irrépétibles sont des frais engagés à l'occasion d'une procédure de justice mais n'entrant pas dans les dépens, comme par exemple les frais d'avocat. Ces frais restent à la charge de celui qui les engage même s'il gagne le procès, sauf si le juge en décide autrement, pour raison d'équité, et sous couvert de l'article 700 du nouveau code de procédure pénale.

 

 Voir aussi : Dépens ; Débours ; Emoluments ; Procédures ; Demande reconventionnelle ;

 

ISAPI

Internet Server Application Programming Interface - ISAPI.

Interface propriétaire développée notamment pour les applications de Microsoft et permettant d’effectuer des requêtes.

 

L’autre version la plus connue de ce type d’interface, et normalisée, est le CGI = Common gateway interface largement développé autour des serveurs http.

 

 Voir : Interface de Programmation d'Applications ;

 

Ishikawa

 

 Voir : Arbre des causes ; Qualité ;

 

ISO

 

 Voir : Norme(s) ;

 

Issuing bank

Issuing bank = Banque émettrice.

 

 Voir : Crédit Documentaire.

 

Item

Tiré du latin = De même

Item est un mot désignant le ou les éléments d'un ensemble.

 

Ce qui justifie son utilisation de plus en plus fréquente et en particulier dans l'informatique le marketing et la gestion de projet pour désigner l’équivalent de référence, qui cependant en tant que constituant se distingue du tout jusqu’à devenir une unité , l’article.

 

 Voir : Management de projet ;

 

Itération

L’itération implique un caractère répétitif comme par exemple des calculs réalisés par tatonnement pour s’approcher au plus prêt du but recherché : Plan d’expérience

C’est égalemet un concept que l’on retrouve dans la pratique de management agile « SCRUM »

 

Ne pas confondre avec l’incrémentation est un concept différent au sens quelle cumule des itérations pour augmenter une valeur.

 

 Voir : Développement Dirigé par les Tests ; Empirique ; Management de projet ;  Plan d’expérience ; SCRUM ; 

 

ITIL

ITSM

ITIL : Information Technology Infrastructure Library.

 

L’OGC dépositaire et à l’origine de ITIL qui est le référentiel des bonnes pratiques de gestion de services informatiques.

 

L'objectif est de fournir des recommandations qui permettent d'optimiser notamment l'organisation et la qualité de services par une approche processus.

 

La réalisation de ce concept de niveau de la qualité de service au Client est désignée sous le vocable :

 

 ITSM : Information Technology Service Management 

Ensemble d’aptitudes mises en oeuvre de manière cohérente pour définir des processus permettant de créer des services à valeur ajoutée dans le domaine des technologies de l’information. 

Ce n’est pas un concept technolopique mais de qualité organisationnelle (ex : Gestion des services informatiques) au service du client pour favoriser la réalisation d’objectifs stratégiques.

En effet ce n’est pas l’outil le plus sophistiqué soit-il qui compte mais la façon de s’en servir … intelligemment !

 

 Voir : Décisionnel ; Evaluation ; Management de projet ; Management intelligent ; Norme(s) ; Qualité ; Organisation ; Exigence ; Performance ; Système de management intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2; Tenstep ;

 

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 Infos :

-  Team-UP :   Téléchargez le LIVRE BLANC : « Le niveau de maturité ITIL des entreprises »

 Et inscrivez-vous gracieusement aux Petits déjeuners : ITIL et ITSM

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

J

 Legiteam : l’info des Juristes et professionnels du droit. Voir : village–justice.com et Law in firm.

 Jeune Chambre Economique –Internationale : Mouvement des jeunes citoyens entreprenants.

Jalon

Milestone  

Balise déterminant notamment la réalisation d’une action ou le passage de porte d’une étape d’un projet

 

 Voir : Chemin critique ; Gating ; Management de projet ;

 

JEI –  Jeune Entreprise Innovante

En France, la jeune entreprise innovante – relève d’un statut social et fiscal ouvert par la loi de finances pour 2007, destine à aider les TPE et  PME innovantes ayant moins de 8 ans d’exercice, en leur faisant bénéficier notamment d’exonérations de charges de personnel recruté pour la R&D, IS, TP, TF, et IFA et cumulable avec le CIR.

 

Ce dispositif est très proche de celui des « Gazelles » mais réservé aux entreprises de moins de 8 ans d’exercice.

 

 Voir : PME de croissance ; Statut(s) ; Régime(s) ;

 

Jeton comptable

Jeton comptable = Accounting token

 

 Voir: XML & eb-XML.

 

Jeton de présence

Jeton de présence =   ; Token presence  ;

Se rapporte à un mode de rémunération des activités d’administrateur d’entreprise (Compte comptable 653)

 

Attention aux déclarations fiscales !

 

 Voir : Administrateur ; DADS & DAS2 ;

 

Jidohka

 

 Voir : Autonomation.

 

Johari

Fenêtre de Johari.

Dans les relations humaines c’est une analyse des comportements au sein d’un groupe.

 

Sous forme tabloïde la fenêtre Johari fait apparaître quatre zones :

- Ce qui est connu de soi et d’autrui, dite zone d’activité libre ;

- Ce qui est connu de soi mais non des autres, dite zone secrète ;

                  (Puis en inversant l’analyse)

- Ce qui est inconnu d’autrui et de soi, dite zone d’activité inconnue ;

- Ce qui est iconnu de soi et connu des autres, dite zone aveugle.

 

Cette analyse qui relève de la dynamique des groupes permet de mieux appréhender le dégré de connaissance de soi et des autres dans les comportements, les émotions et sensations ainsi que pour ce qui concerne les sentiments d’un individu en relation avec un groupe.

 

L’objectif est de mieux se connaître, de mieux appréhender les autres et de les aider à se connaître.

 

 Voir : 100ème singe ; Abilene ; Analyse transactionnelle ; Aptitudes ; Compétences ; Evaluation ; Ethologie ; Gestion Globale de la Performance ; Ressources humaines ;

 

       Voir aussi : Les termes, concepts liés au Management

 

Joint venture

 

 Voir : Entreprise conjointe  

 

Jouissance

Avoir la jouissance d’un bien c’est avoir la faculté d’en user ou d’en tirer librement les fruits.

 

Elle peut être entravée notamment par atteinte au droit de propriété, de ses composantes ou par dépossesion physique.

 

 Voir : Bien ; Droit(s) ; Propriété ; Recours ;

 

Jour

En management les jours doivent être clairement identifier pour servir de bases à différentes évaluations :

- Calandaire = du calendrier inclluant donc les jours fériés, les samedis et dimanches =365

- Ouvrable = Jour pendant lequel il est possible mais non obligatoire de travailler. Tous sauf en principe les dimanches et jours fériés.

- Ouvré = Jour effectif de travail. Pour certains calculs ne prend pas en compte les jours fériés et en principe pas le samedi ni dimanche (en France)

- Chomé = Non travaillé mais payé.

- Férié = Jour de fête reconnu par l’autorité locale, nationale, donc par disposition légale, et considéré comme étant dispensée de travail donc chomé et payé.

 

La distinction est très importante notamment en réglementation du travail mais aussi sur le plan financier.

Les intérêts courus et les dates de valeurs appliqués sur des opérations financières (Emprunts, echelles d’intérêts, etc.) peuvent se calculer notamment sur l’une de ces trois premières notions.

 

 Voir : DGP ; DSO ; Intérêts moratoires ; Taux ;

 

Juge

= Richter  ; Juez  ;   ;

Cadi = Juge en droit islamique

 

Les juges sont différents selon ce qui doit être jugé et qui est concerné, exemple, juge d'instruction, d'application des peines, des référés, commissaire, consulaire, pour enfants, des prud'hommes.

 

Rechercher chacun de ses termes et les juridictions, tribunaux compétents.

 

 Voir aussi : Loi de sauvegarde ; Procédures ; Référé ; Tribunaux ;

 

Junior entreprise

Une junior entreprise est une association loi 1901 = à but non lucratif, fondée et animée par des élèves de l'enseignement supérieur.

 

Elle ont pour activité la réalisation d’études commandées par des tiers en compensation d’une rétribution destinée à promouvoir la formation professionnelle des étudiants impliqués dans la mission.

 

 Voir : Association ; Société ;

 

Junk mails

Junk mail désigne l’envoi massif de courriers électroniques non sollicités (différent de Spamming)

 

 Voir aussi : Spam ;

 

Jurisprudence

= Rechtsprechung  ; Case law  ;

La jurisprudence est une source du droit, dont l'émanation directe n'est pas une loi mais qui est constituée par un ensemble de solutions suggérées par des décisions suffisamment concordantes rendues par des juridictions sur une question de droit.

 

 Voir :  Doctrine ; Droit ; Tribunaux ;

 

Juste à temps

Juste à temps = Just-in-Time.  Appelé parfois : Flux tendu

 

Technique de gestion de la production, inventée par Ohno   ingénieur de Toyota selon les modalités du système Kanban.

Cette méthode à pour objectif principal de réduire les stocks et leurs coûts de gestion en ne produisant qu’en fonction des besoins au bon moment.

Elle implique fortement les services achats, la production et la logistique.

 

L’un des principes est de ne pas acheter ou produire si l’écoulement des stockes n’est pas optimal. On comprend alors l’importance d’un outil de production flexible et/ou d’un service achat doté de meilleures méthodes et outils.

 

Le principe du juste à temps imlique en particulier un personnel responsabilisé et motivé, des outils adaptés aux changements de cycles pour permettre une mise sur le marché dans les temps (Time to market)

 

 Voir : Approvisionnements ; CMMI ; Dernier planificateur ; Excellence Opérationnelle ; Kanban ; Loi de Parkinson ; Management de projet ; Multitasking ; Organisation ; PDCA ; Procrastination ; Production au plus juste/Lean ; Qualité ; QPQQCOC ; Retour sur investissement ; Syndrome de l’étudiant ; Théorie des contraintes ; Travail collaboratif ;

Zéro stock ;

 

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 Infos :

Conférence :  « Quand  la Gestion de Projet devient un sport eXtrème »

                Support de Claude Emond ingénieur et conférencier canadien, dirigeant de Qualiscope.

 

K

 ISKO-International Society for Knowledge Organization.Collège international sans but lucratif, Favorisant la recherche et les échanges sur les sciences de l’information et de la communication.

Kaizen

Le terme Kaizen se rapporte à une politique d’amélioration permanente d’origine japonaise, la standardisation évolutive, grâce à un système de suggestion impliquant tous les acteurs.

 

 Voir aussi : 3M ; Amélioration continue ;Coaching ; Excellence Opérationnelle ; Gestion globale de la performance ; Habilitation ;  Incentives ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management d’équipe ; Mentor ; Multitasking ; Organisation ; Poka-Yoké ; Procrastination ; Qualité ; Syndrome de l’étudiant ; Théorie(S) de l’agence, de l’enracinnement, des signaux ;  Théorie des contraintes ;Travail collaboratif ; 

 

Kanban

Kanban   = Fiche ou carte .

 

La méthode Kanban est issue de la gestion du rayonnage adaptée à la production et développée chez Toyota au Japon.

 

L'objectif est de produire en fonction de la demande.

Ce qui suppose d'adapter les méthodes et outils de production ainsi que de commande et gestion pour s'approcher du "Zéro stock".

 

 Voir aussi : Cash custing ; e-sourcing ; e-procurement ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Mercatique ; Production au plus juste ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Zéro Stock ;

 

Kano

KANO Noriaki a mis au point une modèle de représentation de la satisfaction client basé sur un questionnaire permettant de déterminer :

- Les facteurs :  Incertains, indifférents et inversés ;

- L’impact sur le client des facteurs : De base d’un produit ou service, attractifs, de performance ; 
L’un des objectifs est de mesurer l’évolution favorable ou non, dans le temps.

 

C’est une pratique très utile en management de la qualité

 

 Voir : Abandonniste ; Management de la qualité ; Mercatique ; Priorité ; Pyramide des besoins ; Qualité ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

Karôshi

 

 Voir : Pression.

 

Knowledge Management

 

 Voir : Management des connaissances 

 

KPI

 

 Voir : Indicateurs de Performances Clés   

 

L

-  Lettre des Achats – LDA : Toute l’actualité de la fonction achats :

        Chroniques, dossiers, interviews, emplois, etc.

L5G

L5G : Est un langage de programmation dit de 5ème génération.

 

L’objectif étant notamment d’optimiser l’adaptabilité des logiciels aux exigences métiers et entités en se basant sur la résolution de contraintes, grâce au programme ainsi établi, au lieu de se limiter à l’utilisation prédefinie par des algorithmes sensés être moins maléables.

 

 Voir : Langages ;

 

LAD

Lecture automatisée de document - LAD.

Technique et technologie de numérisation qui permet d’identifier de lire un document papier à des fins de stockage et éventuellement retransmission.

 

 Voir : Dématérialisation ; Factures ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Numérisation ; Reconnaissance automatisée de documents ; Reconnaissance optique de caractères ; Scannérisation ; Stockage ;

 

LAN

Local Area Network - LAN

 

 Voir : Ethernet ; Réseaux

 

Langages de développement-Programmation

 

 Ex : 4D ; Asp ; C++ ; Dbase ; Dna ; html ; Java ; L5G ; Pascal ; Php ; Ruby ; SQL ; Xbrl ; XmL ; Xul ;

 

 Voir aussi : CTI ; EAI ; ETL, Olap ; Software ; W3C ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

LBO

Leverage By Out - LBO

 

 Voir : REEL   ;

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 Infos :

- Article source EFI   Le Mistigri des LBO et des Fonds D'investissement ;

 

LCC

Low Cost Countries

 

 Voir : Pays à bas coûts  .

 

LCEN ou  LEN

 

 Voir : Loi sur la Confiance en l'Economie Numérique

 

LCL

Less than Container Load

 

 Voir : Bout en bout ;

 

LCR directe

 

 Voir : Effets de commerce ;

 

LDAP

LDAP = Lightweight Directory Access Protocol.

 

C’est un protocole permettant à un tiers d'accéder à des annuaires en particulier grâce au principe d'authentification unique (= SSO ). Pour imager, c'est un peu comme si grâce à un accès unique une personne pouvait accéder sur le tronc d’une architecture en arbre dont il pourra ensuite choisir la branche correspondant à l'annuaire recherché.

 

Cette technologie permet à une entité d'optimiser la gestion des accès aux différentes bases de données d'annuaires au gré des nouveaux recrutements, départs, changements d'affectations, etc. de ses collaborateurs.

 

 Voir : Réseaux ; Authentification unique ;

 

Leader

 

 Voir : Meneur  ;  Management ;

 

Lean concept

Lean production

Pratique d’amélioration continue qui a notamment comme objectif de réduire tout type de gaspillage en s’attaquant particulièrement à la gestion des processus.

 

 Voir : Excellence Opérationnelle ; Production au plus juste   ; Transformation organisationnelle ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

              Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Lean Six Sigma

LSS : Cette méthode de conduite de projet s’appuie sur la complémentarité des outils du Lean et du Six Sigma.

Le Lean  particulièremet pour réduire les gaspillages et 6 Sigma pour essentiellement améliorer la qualité.

 

 Voir : 6 sigma-DMAIC ; Amélioration continue ; Excellence Opérationnelle ; Management de projet ; Quallité ; Stratégie Océan Bleu ;

 

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 Infos :

Livre de Florent FOUQUE : A la découverte du Lean Six Sigma

 

 

Lease-Back

 

 Voir : Crédit-bail ; Externalisation ; Allègement de bilan ; Services généraux ;

 

Lettrage

Lettrage d’écritures :

Pointage automatique ou manuel de saisies ou d’opérations générées par le système d’information.

 

Ainsi il est possible d’affecter les paiements d’un client à une ou plusieurs factures et idem pour les règlements faits aux fournisseurs.

Ceci permet en particulier de mettre en évidence les écarts de paiement sur des créances comptabilisées.

 

Permet de réaliser des états de rapprochement par analogies de zones de référence de lignes d'écritures comptables.

Cependant le rapprochement est un terme utilisé plutôt pour des comparaisons et apurements de comptes, par exemple effectuer des pointages entre le compte banque dans l’entreprise et celui tenu chez le banquier.

 

 Voir aussi : Apurement ; Cavalerie ; Credit Management ;

 

Lettre de confort

La lettre de confort est un engagement écrit par lequel une personne prend l'engagement envers une autre de lui apporter une aide pour que cette dernière puisse faire face à ces obligations.

 

Ce type d'engagement peut concerner indifféremment des personnes morales ou physiques et porter sur des obligations de moyens aussi bien que de résultat. Ex : une société mère peut ainsi soutenir une filiale.

Parfois, improprement appelée "lettre d'intention".

 

Attention : Ne pas confondre avec la caution.

 

 Voir : Caution ; Garantie ; Holding ; Lettre d'intention ; Lettre de créance ; Pacte d’actionnaire ;

 

Lettre de créance

La lettre de créance est un document qui permet d’être accrédité.ou de se voir reconnaître la qualité de créancier.

 

A l’origine ce document permettait à une personne de se faire identifier auprès d’un autre par un écrit et souvent même un sceau émanant d’un tiers préalable connu des parties.

 

Très utilisé en diplomatie ce procédé fut par la suite utilisé pour débloquer des fonds par la remise de cette lettre de créance qui comme son nom l’indique conférait la qualité de créancier à son porteur/bénéficiaire.

 

 Voir : Accréditif ; Lettre d’intention ; Lettre de change ; Créancier ; Accipiens ; Obligation ; Contrat ; Fiducie ;

 

 

Lettre de crédit garantie

La lettre de crédit est un document utilisé en garantie de paiement sur des échanges à l’export ou domestiques, commerciaux ou non. C’est donc une garantie et non un moyen de paiement !

 

Appelée communément = SBLC = stand by letter of credit ) cette pratique est surtout utilisée dans les échanges commerciaux récurrents. Son principe est de garantir le paiement des transactions en allégeant le coût des processus (Pas d'analyse des documents) en particulier par rapport au crédit documentaire mais aussi de faire respecter les délais de paiement par le débiteur surtout si le mode de règlement associé est le virement Swift.

 

Contrairement au crédoc la LCSB n'est utilisée qu'en cas de non-paiement à l'échéance.

 

Attention : ce type de garantie peut être rattaché à différentes règles de droit international (RUU, ISP)

 

 Voir : Barter ; Connaissement ; Crédit Documentaire ; Forfaiting ; Incoterms ; Liste de colisage ;

 

Lettre de transport

= Carta de porte  ;

Comme le connaissement maritime, La lettre de transport (qu’il soit aérien = LTA/Airwaybill, ou routier) est délivrée par le transporteur et atteste de la prise en charge de la marchandise.

 

  Voir : Incoterms ; Connaissement ; Credit documentaire ; Lettre de crédit garantie ; Preuve ; Débours ;

 

Lettre d'intention

La lettre d’intention est généralement destinée à marquer seulement des souhaits (intentions) en préalable à une action contractuelle et pendant la phase de négociation, par exemple pour favoriser la création d'une activité professionnelle.

 

Il est prudent de formaliser un « Accord de principe » verbal ou écrit, en amont de certaines affaires commerciales ou financières. Celui-ci permet ensuite soit de favoriser le développement du projet en cours soit d’obliger la contrepartie défaillante ou obtenir compensation.

 

Ainsi en droit anglosaxon des éléments de preuves précontractuels, appelés « Gentleman’s agreement » peuvent avoir valeur de contrat !

 

 

Ne pas confondre avec la "Lettre de confort"

 

 Voir : Lettre de confort ;

 

        Voir aussi : Caution ; Contrat ; Droit(s) ; Garantie ; Pacte d’actionnaire ;

 

Lex mercatoria

Loi de marchands

 

 Voir : Arbitrage ; MARC ;

 

Liabilities

Liabilities = Passif comptable

 

Attention :

Ne pas confondre Liabilities avec Liability.

Liabilities désigne le « passif comptable » alors que liability est employé en matière d’assurance pour désigner la « Responsabilité »

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Garantie ; Passif comptable ; Responsabilité ;

 

Liasse Fiscale

Liasse fiscale :

2050-1 bilan actif/passif ; 2052-3 Cpt résultat ; 2054 Immo ; 2055 Amort ; 2056 prov ; 2057 éch dettes – créances ; 2058 résultats+rens div; 2059 + value, Valeur ajoutée, capital social, filiale et particip ; 2065 bis IS; 2067 frais généraux + annexes (1001=TP)

 

Voir : L’échéancier fiscal pour déclarations et règlements

 

 Voir aussi : Actif-S ; Bénéfice ; Capital ; DGE ; EDI ; SIG ; Télédéclarations ;

 

Lien de causalité

Pour qu’une personne voit sa responsabilité engagée sur le plan civil, pénal ou en matière administrative il faut qu’une relation directe soit démontrée entre le fait générateur de la responsabilité et le dommage = lien de cause à effet, appelé lien de causalité

 

Le lien de causalité c’est ce qui relie un fait, acte, etc. à un autre

 

C’est notamment l’élément qui permettra d’administrer la preuve et notamment de définir la préméditation, etc.

 

Attention : Le lien de causalité ne joue pas si la faute n’est pas intentionnelle.

 

 Voir : Responsabilité ;

 

LIFO

Last In First Out - LIFO.

 

 Voir : PEPS  

 

Liquidation Judiciaire

La liquidation judiciaire est le résultat d’un jugement prononcé par un tribunal de commerce en matière de procédure collective (ou un tribunal de grande instance) à l’encontre d'une personne morale ou physique de droit privé commerçante ou non, artisan ou agriculteur, dès lors quelle est en état de cessation de paiement et dans la mesure où le redressement judiciaire n'est pas accordé par le tribunal.

 

Les biens seront donc utilisés pour payer les créanciers, dans la mesure du possible et en tenant compte des privilèges. Cette décision implique la cessation de toute activité et la dissolution de l’entité concernée.

.

 

 Voir : Administrateur judiciaire ; Cavalerie ; Cessation de paiement ; Credit Management ; Déclaration de créance ; Evaluation ; Loi de sauvegarde ; Procédure ; Production de créance(s) ; Redressement judiciaire ;

 

Liste de colisage

Liste de colisage = Packing list.  ;    ; Embalaje lista  ;

 

La liste de colisage est un document qui comme son nom l’indique détaille le contenu des colis.

 

L’objectif est souvent de vérifier la cohérence entre les contenus d’un colis et la commande pour favoriser le règlement de la facturation.

 

En matière de crédit documentaire se document est indispensable car pour ceux qui les analyseront, notamment pour paiement, qui ne sont pas des spécialiste des produits concernés, ils s’attacheront donc au descriptif de chaque ligne de ce document à la virgule prêt pour avvepter ou non les documents et donc leur règlement

 

Cette liste est également largement utilisée en logistique pour la ventilation des lots et en douane pour les contrôles.

 

Ne pas confondre avec la liste de contrôle !

 

 Voir : Allotissement ; Crédit documentaire ; Credit Management ; Incoterms ; Lettre de crédit garantie ; Liste de contrôle ; Preuve ;

 

Liste de contrôle

Liste de contrôle = Check list

 

La liste de contrôle est un document comportant des descriptifs détaillés, ordonnés, etc. qui permet d’exercer un contrôle des biens et/ou processus concernés. Comme par exemple la liste de colisage utilisée dans les transports.

 

Dans le domaine de la qualité, sécurité, ce document est également utilisé pour respecter une méthode des procédés, étapes (Stage, Milestone), de manière exhaustive.

 

Ne pas confondre avec la liste de colisage !

 

 Voir : Dernier planificateur ; Liste de colisage ; Qualité ;

 

Liste restreinte

Liste restreinte = Short list .

La liste restreinte reprend les seuls candidats ou prestataires retenus après une présélection.

 

C’est une pratique courante surtout dans les projets importants et appel d'offre de ne retenir en phase finale que les candidats qui ont répondus de manière favorable aux premières consultations.

 

 Voir : Appel offre ; Management de projet ;

 

Litige

Litige = Dispute  ;   ;

Contestation pouvant donner lieu à conciliation, jugement.

Les litiges sont bien souvent des dysfonctionnements internes qui n’ont pas été corrigés.

Outres les coûts de gestions induits par ces dysfonctionnements les désaccords, qui peuvent naître entre les parties, coûtent toujours trop cher en réduisant les marges.

 

Exemple :

- Les délais de paiement non respectés (à juste titre !)

- Les avoirs consentis pour conserver les Client !

- La dégration de l’image de l’entreprise/produit

 

Attention : Il est important de mettre en place un système de codification des litiges qui permettra d’identifier plus facilement et précisément les dispositions à prendre vis-à-vis des acteurs concernés et dans le temps d’analyser les causes et conséquences de ces litiges, qui parfois aussi peuvent cacher des difficultés financières de vos clients pour ce qui concer les créances commerciales.

 

Dans tous les domaines il est fondamental d’analyser les causes des litiges. De nombreux moyens et méthodes (ex : EMOFF) permettent notamment d’anticiper ceux-ci dans le cadre de la gestion de projet

 

C’est pourquoi il est indispensable de mettre à disposition des acteurs concernés (Chef de projet, Responsable qualité ou production, Credit Manager, chargé de relances, Direction commerciale et financière, etc.) des outils qui permettent d’optimiser rapidement la gestion la résolution des litiges.

 

 Voir : Cindynique ; Contrat ; Créancier ; Credit Management ; EMOFF-FFPM ; Halo ; Loi de sauvegarde ; Management de contrats ; Management de projet ; MARC ; Marge(s) ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   BCR - Bureau Central de Recouvrement : Résolution amiable et actions judiciaires ;

 

LMBO

 

 Voir : RES 

 

LME

LME = Loi de Modernisation de l’Economie .

Loi française applicable depuis le 1 janvier 2009, elle définit 4 catégories d’entreprises selon le concept européen :

- Micro-Entreprise En France on utilise le vocable TPE = Très Petite Entreprise car "Micro" est réservé à un statut fiscal.

- Petite et Moyenne Entreprise = PME

- Entreprise de Taille Intermédiaire = ETI

- Grande entreprise.

 

La LME traite de nombreux sujets dont :

- La protection du patrimoine des entrepreneurs, et le capital risque ;

- La réduction des délais de paiement ;

- Le rescrit social et le credit impôt recherche ;

- l’accès au marché public pour les PME ;

- Les baux ;

- Le droit des entreprises en difficulés ;

- La propriété industrielle et intellectuelle ;

- Statut d’auto-entrepreneur.

 

Pour ce qui concerne l’application des nouvelles règles de droit relatives à la concurrence et notamment aux conditions de paiement il devient primordial d’anticiper et de se réorganiser non seulement pour définir les Conditions Générales de Vente et donc les catégories de clients ainsi que les délais de paiement applicables.

 

Il serait totalement irresponsable et risqué tant juridiquement que financièrement de ne pas se mettre en conformité avec cette nouvelle loi.

D’autre part de nombreux avantages peuvent être tirés des nombreuses dispositions et en particulier pour favoriser le développement des entreprises.

 

C’est pourquoi il est indispensable de faire appel à un spécialiste capable de faire un audit de situation de l’entreprise, de faire les préconisations cohérentes avec la situation de cell-ci, avant de conduire le changement applicable aux stratégies, processus, etc.

 

 Voir : Audit ; Auto-entrepreneur ; Bail ; Capital/risque ; Clauses ; Concurrence ; CGV ; Conduite du changement ; Délai de règlement ; Droit(s) ; ETI ; Evaluation ; Gouvernance ; Intérêts moratoires ; Loi de sauvegarde ; NRE ; Propriété ; Rescrit ;  Statuts ;

 

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 Infos :

http://www.modernisationeconomie.fr/

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  ELOFI  LME : Progiciel d’optimisation et de gestion des intérêts moratoires.

 

Lobby

 

 Voir : Groupe de pression 

 

Location de droit d'usage

Location de droit d’usage = Saas = Software as a Service = « On demand »

 

Ce concept s’est notamment développé dans le monde de l’informatique de gestion.

Après l’acquisition de licence pour l’utilisation d’une application intégrée au système d’information  les utilisateurs ont souhaité, pour de nombreuses raisons (techniques, financières et fiscales, etc.) louer des applications hébergées (ASP).

Ce nouveau concept à évolué vers une prestation plus élaborée de location de droit d’usage appelée : « SaaS », dite aussi « on demand » ce qui illustre  l’esprit dans lequel le client (léger) et le fournisseur (d’application) vont travailler, contracter.

 

Attention :

Cette solution permet de profiter de nombreux atouts tant sur le plan de la souplesse budgétaire en matière d’investissement que d’outil aux technologies et fonctionnalités évolutives en maintenance allégée qui favorise le travail collaboratif.

Le problème majeur est celui du transfert de données sensibles vers l’extérieur et la fiabilité des accès à celles-ci.

 

 Voir : Actif /immobilisé ; API ; Clause de réversibilité ; Client léger ; Contrat ; CRM-GRC ; CSP ; Externalisation ; Fourniture d'Application Hébergée-ASP ; Maintenance ; OPEX ; PRM ; SOA ; Software ; TCO ; Travail collaboratif ; XRM ;

 

Lock box

Lock box = Boîte aux lettres .

 

 Voir : Trésorerie d'échelle.

 

Logiciel espion

Logiciel espion = Spyware, Traight Trough Processing,

 

 Voir : Mouchard ;

 

Logiciel libre

Logiciel libre = Free software

 

 Voir : Collecticiel ; Source libre ;

 

Logiciel médiateur

Logiciel médiateur : Parution au Journal officiel le 16 mars 1999. 

Terme anglo-saxon : middleware  appelé aussi « Logiciel intermédaire »

 

Logiciel qui permet le fonctionnement de plusieurs ordinateurs en coordination, en attribuant à chacun une tâche spécifique, comme les échanges avec les utilisateurs, l’accès aux bases de données ou aux réseaux.

 

 Voir aussi : EAI ; Fourniture d'Application Hébergée-ASP ; Location de droit d’usage –SaaS ; PGI ;

 

Logistique

A l’origine la logistique c’est l’organisation militaire concernant les transports et bien évidemment le ravitaillement qui conditionne le fonctionnement des hommes et des matériels.

 

Conjuguée comme stratégie d’entreprise dans un monde de plus en plus confronté à la concurrence ces services sont parfois devenus de s spécialités d’entités externes à l’entreprise, ces dernières étant sollicitées seulement en cas de besoin.

 

La logistique est largement confrontée aux exigences en matière environnementale (Transports, conditionnement, stockage) c’est l’une des raisons qui pousse de nombreuses entreprises à confier certains métiers à des spécialistes à la pointe de ces technologies innovantes et soucieuses de la réduction des coûts et délais dans un servive de qualité, d’où la pratique du concept de performance globale basé sur le tryptique : Qualité – Coûts – Délais.

 

 Voir aussi : Allotissement ; Débordement ; Dépositaire ; EDI ; Externalisation ; GENCOD ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement ; Juste à temps ; Kanban ; Maîtrise des dépenses ; Plate-forme logistique ; QCD ; Retour sur investissement ; Services généraux ; Slotting ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Théorie des contraintes ;

 

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  Infos :

- Article de Christian HOHMANN, manager au sein du cabinet Agamus Consult. « La convergence qualité / logistique »

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Mercatique, Pub, Media- Achats, Logistique, Aéronautique, etc.

 

Loi Breton

Loi française dite loi « Breton » pour la confiance et la modernisation de l'économie du 26/07/05 sur le gouvernement d'entreprise, le contrôle interne et la rémunération des mandataires sociaux.

 

 Voir : Contrôle de gestion ; Gouvernance d'entreprise ; IFRS ; LCEN ; LSF ; NRE ;

 

Loi de Murphy

La loi de Murphy appelée « principe de la tartine beurrée » qui décrit (qu’après qu’on s’en soit mis plein les doigts), lorsqu’elle tombe, c’est presque toujours le coté beurré qui touche le sol en provoquant des effets induits = en salissant la surface réceptrice.

 

Illustre notamment en management de projet les problèmes incontournables  : Ce qui doit échouer doit échouer !

 

Principes connus et pris en compte dans la gestion de projet extrème, pour prendre en compte les aléas afin de poursuivre le projet..

 

 Voir : Aléa ; Chaordique ; Cindynique ; Effet papillon ; EMOFF-FFPM ; Management de projet ; Management de risques ; Qualité ;

 

Loi de Parkinson

La loi de Parkinson met en évidence la multiplication des besoins de coordination des différents service par des recrutement successifs sans que le travail final concerné n’augmente en proportion.

 

Qualifié de cancer, les pratiques observées mettent en évidence l’extension inappropriée ex :

- Des postes d’une organisation pour servir les besoins de certains « chefs » de multiplier le nombre de leurs collaborateur pour justifier leur place, rétribution, etc.

- Des espaces de stockage réels ou virtuels, notamment en démultipliants certains supports sans impérieuse nécessité et sans rechercher prioritairement d’autres solutions…

 

Le premier point concerne l’esprit carriériste observé à tous les niveaux hiérarchiques notmment dans les grandes entreprise et surtout dans la fonction publique, au détriment de l’efficience.

 

Concernant la gouvernance, ce phénomène devient non seulement trop couteux mais surtout dangereux pour favoriser les prises de décisons stratégiques. 

En effet, outre les perturbations liées aux franchissemment des strates hiérarchiques, d’autres dysfonctionnement (Paradoxe d’Abilene, procrastination, théorie de l’agence, etc.) conduisent à la dégradation de l’efficacité et des résultats.

 

L’observation de ce phénomène, l’analyse de l’organigramme et une simple consultation auprès des personnels et Clients, permettent d’évaluer rapidement les carences en matière de management.

La « réunionite » fait partie de cette organisation déficiente.

 

Il ne suffit pas d’avoir un titre de responsable, chef ou directeur pour en avoir les compétences !

 

 Voir : Administrateur ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Aptitudes ; Chaine critique ; Compétences ; Conduite du changement ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Gouvernance ; Juste à temps ; Management intelligent ; Management participatif ; Multitasking ; Organisation ; Paradoxe d’Abilène ; Procrastination ; Ressources humaines ; Syndrome de l’étudiant ; Théorie(s) de l’agence ; Théorie des contraintes ; Travail collaboratif ;

 

Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés

La loi de sauvegarde des entreprises en difficultés est une disposition législative mise en place, en France, depuis début 2006. 

 

L'objectif est d'aboutir à un plan de restructuration arrêté par un tribunal et qui permettra la poursuite des activités de l'entreprise en évitant une cessation d'activité définitive entraînant souvent des défaillances en cascade et des licenciements.

 

Procédure qui consiste à donner un droit au débiteur de suspendre le règlement de dettes et la suspension des poursuites y compris contre les cautions et d'initier une négociation obligatoire avec un comité représentant les établissements de crédit et les fournisseurs.

 

Ce nouveau dispositif devrait permettre d'obtenir de nouvelles conditions de règlement des administrations financières et organismes sociaux (délais, remises de dettes). Il donnera aussi des privilèges aux nouveaux créanciers (fournisseurs et banquiers) qui s'engageront à maintenir leurs relations avec l'entreprise bénéficiaire de la mesure.

Cependant cette disposition française, adaptée du chapitre 11 USA (Chapter 11), sera difficilement opposable à une juridiction extra territoriale. Certains créanciers hors France auront donc un autre traitement, mais lequel, et au détriment de qui ? D'où la nécessité de bien spécifier et faire accepter contractuellement la juridiction chargée des litiges.

 

ATTENTION :

- La loi sur les faillites aux USA = Bankrupcy code, comprend d’autres chapitres dont 7 et 13

- Ne pas confondre Chapter 11 et ‘’Bankrupcy clause’’ qui comme son nom l’indique est une clause insérée das un contrat, dite « Ipso facto » car elle s’appliquera de fait entre les parties . Cette clause peut aussi favoriser l’application des dispositions plus générique du Bankrupcy code.

 

 Voir : Assignation ; Cavalerie ; Credit Management ; Injonction de payer ; Mandat "ad hoc" ; Management de Transition ; Mise en demeure ; Procédure ; Sûreté personnelle et réelle ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

Loi sur la Confiance en l'Economie Numérique

 

- LCEN ou LEN -

Loi sur la Confiance en l'Economie Numérique LCEN ou LEN du 21 juin 2004.

 

Elle a notamment pour objet la protection des consommateurs et en particulier pour ce qui concerne les paiements en ligne via Internet et la protection des données personnelles (Voir : CNIL)

 

La LCEN a également comme objectif d’encadrer les règles en matière d’échanges de données numériques et de faciliter le développement de la dématérialisation de documents. Notamment grâce aux technologies et outils permettant le cryptage et la signature électronique.

 

 Voir aussi : CNIL ; Dématérialisation ; Gouvernance des risques et conformités ; Inforensique ; LSF ; Management de contrats ; NRE ; Signature électronique ; Spam ; Tiers de confiance ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Loi sur la Sécurité Financière

- LSF

La Loi sur la Sécurité financière LSF en France est inspirée du SOX = "Sarbanes-Oxley Act», mais elle a un caractère moins contraignant.

La LSF est à l’origine de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) en 2003.

 

Les objectifs affichés étaitent d'assainir les pratiques financières en surveillant les professions réglementées et favorisant la transparence et l'uniformisation des règles de gestion des entreprises françaises.  

 

Le (SOX) de 2002 prévoit un rapport de gestion pour les sociétés faisant appel à l'épargne publique. Ses dispositions préconisées par un comité (COSO) instaurent une responsabilité directe des dirigeants pour la réalisation et la probité du contrôle interne.

 

 

La crise financière de 2007a démontré au moins 2 choses d’une part l’inéfficacité des dispositions prévues d’autre part l’incompétences des organismes de contrôle.

 

 Voir : Cavalerie ; Cindynique ; Gouvernance des risques et conformités ; LCEN ; Management de contrats ; NRE ; Ponzi ; Système de Management Intégré ; VaMPs ; Xbrl

 

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 Infos :

- Voir site du Sénat : http://www.senat.fr/rap/r03-431/r03-431.html ;

 

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Loss ratio

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ;

 

Love money

Love money = Investisseurs affectifs

 

 Voir : Business angels ; Capital investissement ; Capital risque ;

 

Low cost countries

 

 Voir : Pays à bas coûts 

 

LSF

 

 Voir : Loi sur la sécurité financière.

 

M

 Manager-GO : Accès direct aux meilleures ressources SUR LE MANAGEMENT :

                       365 catégories !

 

MAC

Material Adverse Change

 

 Voir : Clause de sauvegarde.

 

Magasin d’usine

= Factory retailing store

L’article L. 310-4 du Code de commerce précise que : « La dénomination de magasin d’usine ou de dépôt d’usine ne peut être utilisée que par les producteurs vendant directement au public la partie de leur production non écoulée dans le circuit de distribution ou faisant l’objet de retour. Ces ventes directes concernent exclusivement les productions de la saison antérieure de commercialisation, justifiant ainsi une vente à prix minoré. »

 

 Voir : Management du cycle de produit ; Kanban ;

 

Mailing

= Publipostage

 

 Voir : Mél ; Mercatique ; Spam ;

 

Main levée

La « main levée » est une déclaration par laquelle un ayant droit, affectant un bien, déclare renoncer à ce droit.

 

La mainlevée peut être prononcée par un juge ex : dans le cadre d’une saisie conservatoire.

Ex : mainlevée de caution, d’hypothèque

 

 Voir : Caution ; Hypothèque ; Management de contrats ;

 

Maintenance

- Définition de l'AFNOR pour le terme maintenance :

« Ensemble des actions permettant de maintenir et de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d’assurer un service déterminé. »

 

La maintenance fait l'objet d'un contrat qui prévoit généralement des mesures préventives destinées en principe à prévenir les risques.

Ce contrat prévoit, aussi et tout naturellement, des mesures curatives destinées à résoudre les problèmes constatés. C'est ainsi qu'en informatique on parle de hot-line qui désigne la ligne téléphonique ou le centre d'appel des urgences, de télémaintenance pour assurer ce service à distance.

 

- La Maintenance Productive Totale  = Total Productive Maintenance : TPM  

C’est un concept de maintenance soutenue des outils, notamment de production, mais aussi des pratiques attentionnées des acteurs envers l’outil de travail en général.

Ainsi ce concept s’inscrit dans un objectif d’amélioration de la productivité globale par l’implication des personnels affectés aux matériels soi pour assurer l’attention nécessaire aux machines et le cas échéant en pratiquant certaines interventions de maintenance.

Les effets de cette responsabilisation favorise la rapidité d’intervention, et réduit la gravité des problèmes donc participe à la réduction des coût de maintenance mais aussi d’investissement les outils étant mieux utilisés.

 

Par exemple, les moyens mis en œuvre permettent en particulier de réduire les temps d’arrêt liés à la maintenance. Mais c’est aussi une manière de mobiliser l’ensemble tous les acteurs à la productivité en anticipant sur les problèmes qui peuvent survenir et ainsi de les éviter ou de les limiter.

 

- La TMA : Tierce Maintenance Applicative s'occupe des applications déjà présentes dans l'entreprise dont celles développées par elle-même

 

 Voir aussi : Bureau des urgences ; Contrat ; Externalisation ; Infogérance ; Management de contrats ; Management de risques ; Point Objectif de Reprise ; Sous-traitance ; Temps Objectif de Reprise ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

 PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

Maître d'œuvre

Définition générique :

Le maître d’œuvre c'est celui qui conçoit pour le compte et selon les prescriptions du maître d'ouvrage.

 

MOE = Maîtrise d’œuvre   - Pour ne pas confondre avec :

                                                              MO = Main d’œuvre

                                                              MOA = Maîtrise d’ouvrage

AMOE = Assistance à la Maîtrise d’OEuvre

 

 Voir aussi : AAPC ; AO ; Maître d'ouvrage ; Contrat ; Sous-traitance ; Management de contrats ; Management de projet ; Mandat ; MOP ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Maître d'ouvrage

Définition générique :

Le maître d’ouvrage c'est le donneur d'ordre pour qui l'ouvrage est réalisé. Celui-ci peut alors confier la réalisation à un maître d'œuvre.

 

MOA = Maîtrise d’OuvrAge - Pour ne pas confondre avec :

        MO = Main d’œuvre

        MOE = Maîtrise d’œuvre

        MOA++ : D = Délégué – O = Opérationnel - S = Stratégique - 

 

 

AMOA = Assistance à la Maîtrise d’OuvrAge

 

MOP = Maîtrise d’Ouvrage Publique : La « Loi MPO » reprend les différents textes relatifs à la maîtrise d’ouvrage publique et ses rapports avec la Maîtrise d’Oeuvre Privée.

 

 

 Voir aussi : Maître d'œuvre ; Contrat ; Sous-traitance ; Mandat ; Management de projet ;

 

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 Infos :

-  Synertal demander le support « Loi MOP » Synthèse : les différents textes de loi, définitions, relatifs à la Maîtrise d’Ouvrage Publique et ses rapports avec la Maîtrise d’Oeuvre Privée.

 

Maîtrise des dépenses

Maîtrise des dépenses = Spend control/Management

Les moyens et méthodes pour contrôler puis maîtriser les dépenses des entreprises sont diverses et variées. Elles ont en commun la responsabilisation de tous les acteurs de l’entreprise dans le cadre de la gestion globale de la performance et donc du travail collaboratif et de préférence dans une méthodologie de gestion de projet.

 

En pratique la première réduction des dépenses concerne l’organisation pour permettre d’affecter la personne compétente à chaque poste/activité concerné.

Cette action s’inscrit dans les objectifs de l’entreprise par les choix de recrutement et formation à tous les échelons. elle concerne donc au premier chef la gestion des Ressources Humaines.

Puis l’une des activités directement concernée par cette réduction des dépenses est, bien évidemment, celle des achats d’investissement, puis de manière quotidienne sur les activités de gestion des frais professionnels = achats administratifs (dont notes de frais, fournitures) et surtout commerciales (ex : matières premières) qui conditionnent les marges.

Car c’est dans la justesse des achats que se construit le premier niveau de performance des résultats financiers et ceux de la qualité.

 

Bien d’autres postes intéressent les chasseurs de coûts, comme par exemple le credit management qui se doit d’optimiser la gestion du crédit Clients (dépenses liées aux enquètes/scores, relances, litiges et autres gestions des conflits).

 

De nombreux stratèges planchent régulièrement sur des questions d’externalisation, de dématérialisation, car le personnel, les supports papiers tant pour les éhanges d’information que le stockage, pèsent très lourd dans les dépenses des entreprises et nécessitents une évolution permanente des systèmes informatisés.

La logistique est également un poste clé pour la maîtrise des dépenses.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnements ; Compétences ; Contrôle de gestion ; Credit Management ; Décisionnel ; Dématérialisation ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Externalisation ; Frais professionnels ; Gestion de la chaine d’approvisionnement ; Gestion Globale de Performence ; Habilitation ; Management de projet ; Marge(s) ; Points de fonction ; Ressources humaines Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Travail collaboratif ;

 

Maîtrise Statistique des Processus

Maîtrise Statistique des Processus – MSP = Statistical Process Control

Pratique d’amélioration de la qualité développée par Deming et qui a pour objectif d’améliorer les procédés/processus de fabrication grâce à une représentation  graphique tirée des statistiques qui ont pu mesurer les écarts dans la durée en utilisant différentes pratiques ex : Diagramme de Pareto ; Plan d’expérience

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; EVOP ; Heuristique ; Plan d’expérience ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Pareto ; Qualité 

 

Management - Manageur

Manager  vient du « vieux françois » qui recoupait plusieurs acceptions dont :

          Ménager ; Aménager ; Ranger.

Cette terminologie a été adoptée par les normands avant d’être essentiellement utilisé par les anglais, puis de figurer à nouveau dans les dictionnaires français : Manager = Diriger.

Le concept de management se conçoit dans l’action. Il  intègre l’ensemble des techniques d’organisation et de gestion. Pour servir les objectifs stratégique de chaque entité il devra coordonner les moyens matériels,  humains et donc financiers puis rendre compte.

 

Le « Manageur » est celui qui fait fonctionner le manège et éventuellement fait le « ménage » !

 

Attention ne pas confondre avec :

- Mentor : C’est un exemple et encore plus une référence reconnue et souvent bien appréciée au sens de la qualité relationnelle. Souvent pédagogue, emprunt d’éthique, un sage, déconnecté de la hiérarchie !

- Entraîneur : Au sens de faire progresser par la pratique = Coach  ; Trainer  ;   ;

- Meneur : Celui qui fédère et conduit les autres en montrant le chemin par sa participation, sans pour autant détenir un pouvoir hiérarchique = Leader  ; Spitzenreiter  ;   ;

 

Les modes de management sont variées et évolutifs ex :

- Paternaliste – Par objectifs – Intelligent – Participatif – etc.

Et surtout beaucoup ont compris que le seul concept de performance notamment financière n’est pas sufissant et s’avère souvent contreproductif ne laissant pas assez de place aux respect des acteurs et clients !

Plusieurs de ces pratiques peuvent être complémentaires et par ailleurs des méthodes et outils de gestion viennent servir ces modèles.

 

Le manageur est celui qui possède le pouvoir de définir la stratégie et d’organiser les moyens pour atteindre les objectifs.

Soit il possède les compétences, techniques soit il fait appel à des salariés envers qui il a un lien de subordination soit il fait appel à des sous-traitants ou prestataires de l’externalisation réaliser ses activités et les gérer.

C’est donc nécessairement un décideur même s’il agit dans un cadre contractuel.

Il peut donc être hiérarchiquement un administrateur et donc un dirigeant ou seulement un gestionnaire.

En conséquence il doit assumer des responsabilités par rapport aux pouvoirs qui lui sont impartis, délégués.

 

La différence fondamentale entre les acteurs réside le plus souvent dans l’intelligence qui est une faculté individuelle, qui sera ou non, mise au service d’une collectivité de manière plus ou moins performante et bien intentionnée !

C’est pourquoi le manager doit aussi pratiquer l’Excellence Opérationnelle !

 

Selon les cultures des individus et donc l’histoire des civilisations le management fait nécessairement appel à une implication personnelle emprunte de celles-ci. Ainsi dans les pays à forte tradition éthique c’est la parôle donnée qui prédomine.

Cependant la morale des affaires est battue en brêche par la mondialisation ou seul le gain est l’objectif. Ainsi les USA s’appuient davantage sur les relations contractuelles pour les défendre mais aussi pour mieux les contourner.  

 

Les zones géographiques influencées par les grandes routes marchandes, comme l’Afrique privilégient davantage la négociation, qui a fini par instaurer des pratiques telles que le marchandage systématique et donc « le dessous de table ».

 

Ces cultures sont d’origines sociales et influencées par des pratiques professionnelles multiples.

C’est pourquoi le manageur doit, de plus en plus, être un communiquant, qu’il soit un référent, un négociateur ou entraineur.

 

Vu le développement des processus métiers dans la gestion globale de la performance il y a donc de plus en plus de spécialisations en management comme par exemple :

Project Manager, Asset Manager, Credit Manager ; Risk Manager ;

… et voient le développement des activités de Manageur de transition pour des missions ponctuelles externalisées, sous-traitées.

 

Le terme magique qui convient au management efficient est « Congruence ».

En effet comme indiqué ci-dessus le manager doit pouvoir conjuguer la prise de conscience de ce qui l’entoure (ex : individus, technologies) et ses aptitudes inées et acquises (ex : l’expérience) 

 

Enfin, le « Manager » dans bien des cas, ne saurait exister sans assistant.

En effet longtemps cantonné au rôle de secrétaire cet assistant aux compétences multiples permet, dans un cadre à la fois confidentiel mais aussi de communication, d’organiser et fluidifier le travail du manager en organisant des priorités, de désamorcer ou détourner des attaques,  de réaliser certaines actions notamment par délégation et très souvent de participer au management de nombreux projets.

 

 Voir : Décisionnel pour mieux apprécier le concept de « Décision » quelle soit stratégique, organisationnelle, de gestion ou fonctionnelle, sans pour autant confondre stratégie et tactique

 

Voir aussi : 100ème singe ; Actif-S ; Administrateur ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Assistant ; Beyond budgeting ; Credit Management ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Excellence Opérationnelle ; Externalisation ; Gouvernance ; Habilitation ; Loi de Parkinson ; Management de contrats ; Management de  transition ; Management de projet ; Management du rendement ; Management Intelligent ; Management par activité ; Management participatif ; Organisation ; Responsabilité ; Revocation ad nutum ; Système de Management Intégré ;Transformation organisationnelle ;

 

Voir aussi les activités dites de Services généraux :

 Gestionnaire d’actifs et d’infrastructures ; Gestion d’énergies et réseaux ; Gestion d’équipements et services ;

 

Voir aussi : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Aptitudes ; Compétences ; Intelligence ; Johari ; Mentor ; Meneur ; Entraîneur ;

 

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 Infos :

- Livre : « La Méthode MBM » : Pour un management de la performance durable  – Editions d’organisation ;

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

Management au plus juste

Management au plus juste = Lean Management  ou tout simplement management Intelligent ?

 

C’est une pratique qui à pour objectif une démarche l’amélioration continue en réduisant les gaspillages à tous les niveaux que ce soit sur le plan conception, fabrication, service.

La pratique veut que l’on ne s’occupe pas seulement de réduire les coûts à postérioriori mais d’anticiper sur les pertes de temps, de qualité, etc.

 

Ce concept intégré au management permet de s’attaquer à tout type de gaspillage, perte, dépense... Il faut donc qu’il prenne en compte les forces et faiblesses dans leur environnement - EMOFF

Que ces gaspillages soient issus de la simple organisation du travail de chacun à son poste « 5S » ou des pratiques de « Travail Collaboratif » que l’on peut observer notamment dans les méthodes de managemet agile

 

Mais au dela de s’appliquer à l’organisation et aux outils, pour être efficace le « lean Management » devra lui aussi s’occuper préalablement de l’état d’esprit qui conditionne les pratiques donc aux comportements néfaste tels que la procrastination, la confiscation du pouvoir doublée des coûts de celle-ci mis en évidence par la « Loi de Parkinson » le consensus mou des décideurs observé sous le  « Paradoxe d’Abilene », etc.

 

5M ; 5 pourquoi ; 8D ; Amélioration continue ; Conduite du changement ; EMOFF ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Gouvernance ; Loi de Parkinson ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management intelligent ; Méthode 5S ; Organigramme de tâches ; Organisation ; Procrastination ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Roue de Wallace ; Temps parcelles ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; TRIZ ; Visite de terrain ;

 

Management calme

Management tranquille = Slow management

Ce concept met en évidence qu’il est préférable de bien réfléchir avant d’agir et de ne pas confondre vitesse et précipitation !

En effet avant de faire vite il faut faire bien !

Et trop de décisions prises en urgence et donc souvent sans comprendre les tenants et aboutissants conduisent à l’échec ou au moins au manque de performace.

Il est primordiale de prendre son temps dans de nombreuses pratiques qui conditionnent la performance  ex :

   Remue méningesInnovationCommunication - Réalisation/conceptionContrôle - Visite de terrain - Evaluation/AnalyseConduite du changement

 

En affaire comme en amour il faut savoir prendre du temps pour se comprendre = communiquer, s’apprécier,  pour construire ensemble et profiter, etc.

Vous prendrez alors l’avantage sur vos concurrents qui souvent ne font que suivre des effets de mode, se disperser, ne pas respecter leurs collaborateurs, ne pas répondre aux besoins des clients, etc.

En revanche à l’écoute de vos collaborateurs, fournisseurs, clients, vous pratiquerez une forme de management plus efficace de type collaboratif et intelligent qui s’inspirera de l’excellence opérationnelle… avec moins de stress et limitant les gaspillages pour de meilleurs résultats.

 

 Voir : Altermanagement ; Amélioration continue ; Excellence Opérationnelle ; Management intelligent ; Management participatif ; Qualité ; Travail collaboratif ;

 

Management de contrats

Management de contrats :

Notamment avec la mondialisation des échanges et l'abandon du principe de la parole donnée, au profit d'engagements écrits, les sociétés industrielles et commerciales et toutes les autres entités de droit public ou privé sont passées d'un monde de l'anomie à une hyper-inflation réglementaire et à la gouvernance d'entreprise via la gestion de tous les processus :

Gestion Globale de Performance  /CPM  

et la gouvernanance du risque et de la conformité  = GRC : Governance Risk & Compliance .

 

100% de nos relations d’affaires sont liées à des contrats !

Et pourtant trop peu d’acteurs d’entreprises publiques et privées, de toutes tailles sur tous les continents, prennent en compte cette donnée qui pourtant conditionne la rentabilité et la pérennité de nos activités et la qualité de nos relations !

 

La gestion des contrats est devenue un concept : "Management de Contrats" = Contract Management

 

Le contexte réglementaire et économique :

De nouvelles contraintes de gestion s'imposent du fait de l'évolution des réglementations :

- LSF "Loi sur la Sécurité Financière

- Rapport Bouton en France

- Sarbanes Oxley Act aux USA

- Rapport Higgs au Royaume-Uni

- Code Cromme en Allemagne

- NRE (Nouvelles régulations économiques) en France, issues des directives européennes ;

- Bâle 3 (rapport Mc Donought ex Ratio Cooke) concernant le système bancaire ;

- IFRS (Nouvelles normes comptables et financières),

- etc.

 

Par ailleurs d'autres impératifs de mesure, affectent les besoins des entreprises, tels que :

- la création de valeur ;

- la nécessité toujours plus forte de réduire les coûts de gestion ;

- le souci constant d'améliorer la qualité des relations d'affaires et de résoudre au mieux les litiges ;

- le besoin de réduire au maximum tous les types de risques ;

- la démarche d'uniformisation des contrats au sein d'un groupe ;

- etc.

 

La nécessaire organisation managériale et opérationnelle :

Toutes ces nouvelles contraintes amènent de plus en plus d'entreprises à adopter les concepts de "Gestion Globale de la Performance" (CPM) et de "Gestion électronique de processus" (BPMS) mais aussi et de plus en plus le « Management des propositions commerciales  = Proposal Mgt» dans un cadre plus large de « Gouvernance des riques et conformités ».

 

La gestion des contrats est directement concernée par tous ces aspects.

 

Il faut donc apporter la plus grande attention à l’élaboration ainsi qu’au suivi des contrats.

Caroline STEPHANE Avocat au Bareau de Lyon précise d’ailleurs que 3 phases distinctes sont parties intégrantes de la gestion juridique des contrats  (Ce qui en fait un sous-projet) :

- La période précontractuelle ;

- La gestion en cours d’exécution ;

- La période post-contractuelle.

 

A l’occasion de plusieurs conférences Dominique Garret à mis en évidence :

-  la nécessité du travail collaboratif et d’une gestion en mode projet pour optimiser la valorisation des acteurs et développer les performances des entités concernées.

- que les exigences sont à prendre au sens de qualités atouts du changement et surtout pas de manière pessimiste comme des contraintes insurmontables…  

 

Grâce à des outils de gestion performants et à une culture de travail collaboratif, l'information sera plus pertinente et circulera mieux (rapidité, sécurité).

Ces outils utilisent des méthodes et technologies optimisées (BPMS, GEIDE, EAI-SOAP, LDAP, XML, Contract Modeling Technology, etc.) qui favorisent les processus métiers, de la DG au juridique en passant par le commercial, l'administratif et le SI.

Ainsi pour préserver les intérêts de l'entreprise, il deviendra de plus en plus facile de faire intervenir le bon acteur (interne ou externe) au bon moment dans la vie du contrat (négociation, rédaction, modification, gestion des conflits, analyse financière, etc.) face aux interlocuteurs concernés (Clients, fournisseurs, partenaires, etc.) sur le lieu approprié dans les meilleures conditions.

 

Le Proposal Management associe des méthodes et des outils pour améliorer l'efficacité interne (processus de production) et externe (impact) des propositions commerciales et réponses à appels d’offre. 

 

Les gains sont multiples par exemple :

- Optimiser une négociation en limitant les risques,

- Eviter les pénalités financières et fiscales dues au non-respect des engagements contractuels et réglementations,

- Mieux suivre les conditions contractuelles pour lutter contre les abus de facturation ou les oublis et en particulier mieux gérer les tacites reconductions et autres obligations de moyens et de résultat ;

- Favoriser la gestion des appels d'offres, les soumissions, la sous-traitance ou l'externalisation ;

- Améliorer la gestion des mandats sociaux : pouvoirs et responsabilités, jetons de présence …

- etc.

L'optimisation de la gestion des dates et acteurs multiples liés à un contrat, la réduction considérable des temps de recherches et de reproduction papier, sont génératrices d'une forte réduction des risques et d'une rentabilité accrue.

 

Pourquoi devient-il indispensable d'utiliser un logiciel de gestion des contrats :

Les cabinets d'analystes et de conseil Price waterhouse Coopers, Mc Kinsey & Company, Goldman Sachs, Gartner, AMR Research, et Aberdeen Group s'accordent à reconnaître les bénéfices et le retour sur investissement rapide d'une implémentation de logiciel de gestion des contrats.

- Maximiser la gestion de vos actifs

- Minimiser le risque de failles financières et de limites de conformité

- Améliorer la "circularisation" des informations contractuelles

 

Selon Michel DION il existe 5 principaux types de contrat en management de projet : (Voir lien Infos)

- Contrat en régie avec pourcentage des coûts = Cost-plus-percentage of costs contract

- Contrat en régie avec honoraire fixe = Cost-plus-fixed fee contract

- Contrat en régie avec intéressement = Cost-plus-incentive fee contract

- Contrat à prix fixe avec intéressement = Fixed-price incentive fee contract

- Contrat à prix fixe ou forfaitaire = Firm-fixed-price contract

Le risque supporté par le client ou le fournisseur est plus ou moins élevé selon le choix du contrat.

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Activité d’affaires ; Actif-S ; Approvisionnements ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Externalisation ; GEIDE ; Gestion des actifs ; Gestion électronique de processus (BPMS) ; Gestion Globale de la Performance ; Gouvernance des risques et conformités ; Handicap ; Heuristique ; Intelligence économique ; LDAP ; Management de projet ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management participatif ; Mandat ; Points de fonction ; Proposal Management ; Risques ; Services généraux ; Système de Management Intégré ; Subrogation ; Technologie de modélisation de contrat ; Veille ; XML ;

 

Voir aussi : Clauses ; Droit(s) ; IFRS ; Loi de sauvegarde des entreprises ; Loi sur la Sécurité Financière ; NRE ;

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

-  Conférence PMI® – Caroline STEPHANE :

        «  La Gestion Juridique des Contrats »

-  Conférence PMI®– Christian MIGNONAT :

       « Contrat(s) outil(s) formatant & fondateurs du Management de Projet »

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

- Selon Michel DION Les types de contrat en management de projet ;

-   livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image064.jpg Jack in the box – Proposal Management : Favoriser la concrétisation des ventes Aider vos commerciaux à vendre plus, plus vite, avec plus de marge tout en rentrant plus tôt le soir ! – Méthodes et outils.

 

Management de données de référence

Management de données principales/essentielles : MDM = Master Data Management 

 

C’est une méthode de classement des données de base du système d’information d’une organisation largement influenée par des concepts métiers.

 

Evolution de la « Business Intelligence et l’ETL, elle à pour principe de regouper ces données par catégories qui peuvent être :

- Typologies de contacts (Ex : Clients, fournisseurs, salariés)

- Règles ou normes à respecter impérativement (Ex : Certification, fabrication, comptable, fiscales).

Mais toujours des données majeures qui serviront de référence pour le traitement d’autres informations et requêtes multidimensionnelles.

 

Les atouts de cette démarche sont la mise en cohérence de définition (lexique) l’harmonisation de procédures (dont  mises à jour) propres à l’organisation concernée sur ses référentiels prioritaires.

 

Pour intégrer cette méthode il faut impérativement en mesurer les tenants et aboutissants car cette démarche est complexe tant en conceptin qu’en maintenance donc couteuse.

Il n’est pas évident d’en sortir sans compter la perte d’autonomie des équipes due à une centralisation de cette gouvernance.

 

 Voir : Business intelligence ; Décisionnel ; Entrepôt de données ; ETL ;

 

Management de la qualité

 Le management de la qualité a une forte reconnaissance notamment grâce à sa défiition dans la norme ISO 9001.

La démarche qui consacre cette certification repose sur la mise en place d’une véritable politique d’amélioration continue au service du ‘’Client’’ grâce à une implication des personnels et autres parties prenantes dans les différents  projets et activités. Ceci implique aussi des pratique de maitrise et contôle des processus, mesures de sécurité, de qualité et dont d’environnement profitables à tous… 

 

Ainsi la pratique s’est identifiée à celle du SMQ – Système de Management de la Qualité = Quality Management System.

 

Le concept de système de Management de la Qualité est tout aturellemet l’un des 9 domaines du management de projet inscrit dans le PMBOK = Corpus des connaissances du PMI®

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Amélioration continue ; Coût Total de la Qualité ; Excellence Opérationnelle ; Exigences ; Heuristique ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; MSP-Maîtrise Statistique des Procédés ; Normes ; Points de fonction ; Qualité ; Risques ; Plan industriel et commercial ; Système de Management Intégré ;

 

Management de la valeur acquise

Management de ou par la valeur acquise   = EVM : Earned Value Management

 

Ce concept d’analyse financière et de management de projet utilise une méthodologie de recherche de performance en matière de respect des délais et des coûts budgéts afin d’atteindre les buts fixés/objectifs.

 

Implicitement et du fait des exigences de marché et de respect des engagements contractuels, la qualité est omniprésente dans ce concept.

 

Cette analyse prends également en compte les actions et production refaites suite à des changement d’orientation ou des erreurs, etc.

Ainsi pour rattraper ces erreurs, corriger les dysfonctionnement, les pratiques « EMOFF » et de « Plan d’expériences, et de DDT = Développement Dirigé par les Tests, sont parfois largement intégrées à celle du management par la valeur acquise.

Elles permettent,  notamment d’intégrer plus rapidement les changements nécessaires en limitant les dérives couteuses.

 

Ce management permet de déceler à temps des problèmes de performance afin d’apporter les actions correctives grâce à l’intervention des acteurs compétents.

 

Cc concept implique aussi le « Management de ce qui Reste à Faire »  

   = EVR : Earned Value Running  

 

C’est aussi une méthode prévisionnelle.

 

 Voir : Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Beyond budgeting ; Courbe en « S » ; CRTE ; Développement Dirigé par les Tests ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Gestion Globale de la Performance ; Management de projet ; Management par objectifs ; Plan d’expérience ; PMBOK ; PMO ; Qualité ; Temps Moyen d’attente et de manipulation ; Transformation organisationnelle ; Valeur Acquise ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

 

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                      Annexe 21 : Management par la valeur acquise -MVA = Earned value management EVM

                    

     Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Management de Projet

Le management de projet :

Choix de gouvernance permettant d’atteindre les objectifs fixés grâce à la mise en place de méthodes, processus, outils, éprouvés, dans le cadre de pratiques collaboratives, avec des acteurs motivés,  compétents et responsables.

 

Après avoir amassé des savoirs et compétences, l’idée germe de pratiquer le management de projet, pour éviter perte de temps, d’énergie et favoriser la recherche de l’efficience.

En effet, se mettre en situation d’éveil faire des suppositions et notamment pour réduire les risques conduit aussi à détecter des opportunités !

Alors, la réflexion collaborative et structurée permet de concevoir ce projet pour définir s’il doit être ou non réalisé et dans ce cas comment en assurer sa réalisation, le suivi et son adaptation.

C’est la démarche poïetique qui, se structurant, deviendra un projet aboutissant à une création.

 

Mise en œuvre de projet par équipe pluridisciplinaire = Intrapreneur et Pilote/Manager de projet.

 

Pour mener à bien un projet il est souhaitable de :

- Bien définir les Priorités du projet et celles de chacune des parties prenantes.

Ceci peut notamment être soutenu par une démarche dite « PMO » Project Management office. Différente du Management de projet lui-même notamment pour mettre en œuvre l’alignement stratégique et favoriser une démarche d’amélioration continue.

 

Voir concepts : VoDePo /MoSCoW . Voilà aussi l’élément déterminant pour fédérer une équipe projet.

- Disposer d’une matrice de répartition des tâches et responsabilités ex :

       - Méthode d’Organistion et Stratégie d’Intervention ;

       - Organigramme des Tâches = Work Breakdown Structure

       - Matrice d’Affectation des Responsabilités  ( RAM – Responsability Assignment Matrix) notamment sur la base du concept PMI® « RACI » (Voir images)

           - Responsible  =  Responsable au sens de celui qui fait = Réalise ;

           - Accountable  = Approuve : Au sens de celui qui rend compte de l’avancement

                                        ou détient la décision, l’autorité ;  

          - Consulted     = Consulté : Au sens d’échange bilatéral = Retour attendu avant validation ;

          - Informed      = Informé : Au sens unilatéral pour ceux qui doivent l’être comme le client, sponsor.

Cette matrice sera avantageusement présentée sous forme de tableau précisant en :

   - Abscisse = les fonctions et personnes concernées ;

   - Ordonnée = les activités (ex : Définir – Concevoir – Développer – Tester).

 

Mais attention ! Ceux qui sacrifieront « L’Humain » au profit des processus et techniques même les plus performantes auront toujurs tort. Notamment du fait que chaque individu à besoin de trouver une justification, personnelle ou collective, au changement avant de s’opposer ou soutenir celui-ci. D’où la nécessité d’exceller en management d’équipe. En effet sans les acteurs tous les projets ne sont même pas des rêves !

A l’inverse même les plus ingénieux ne peuvent se passer du MP pour faire aboutir leurs idées, innovations…

 

C’est pourquoi il est indispensable de pratiquer l’Excellence Opérationnelle !

 

Les besoins de faire évoluer les méthodes et moyens sont dictés par une impérieuse nécessité de performance dans tous les domaines ex : R&D, développement international, marketing nouveau produit, passage aux normes, déménagement, réorganisation, gestion des risques, changement de systèmes d'information, externalisation…

 

Ainsi chaque projet quelle que soit sa taille doit faire l'objet d'une réflexion appropriée qui doit fixer des objectifs fonctionnels et de rentabilité dans le temps.

D’autant que l’une des particularités d’un projet c’est d’avoir un début et une fin.

 

C'est pourquoi de nombreuses pratiques et techniques ont été élaborées pour facilité la réflexion, la réalisation et le suivi du projet. (ex : Crawford, Analyse EMOFF, Managment de la valeur acquise, 6 sigma/DMAIC et SIPOC, MOSI, etc.).

 

Il faut également prendre conscience qu’un projet c’est un ensemble de contrats ex :

- Acceptation de la mission pour le chef de projet ;

- Contrat, au moins moral et surtout salarial, pour l’engagement des différents acteurs de l’équipe projet ;

- Contrats avec les clients et fournisseurs internes et externes ;

Il faut donc apporter la plus grande attention à l’élaboration ainsi qu’au suivi des contrats.

Caroline STEPHANE Avocat au Bareau de Lyon précise d’ailleurs que 3 phases distinctes sont parties intégrantes de la gestion juridique des contrats  (Ce qui en fait un sous-projet) :

- La période précontractuelle ;

- La gestion en cours d’exécution ;

- La période post-contractuelle.

Bien des référentiels servent les pratique du travail en mode projet :

- Cadre conceptuel de réflexion sur le contrôle interne = COSO ;

- Processus logistiques types = SCOR ;

- Gouvernance des systèmes d'information = COBIT ;

- Organisation, Fourniture et support de services informatiques = ITIL, SMI (Système de Management intégré) ;

 

Par ailleurs des méthodes et techniques ciblées ont été mises au point pour répondre aux besoins à chaque phase de la gestion du projet. Quelques exemples :

- Mangement des idées (voir logiciel spécifique pour optimiser la gestion des idées en matière d’innovation, mercatique, etc.)

- Plan d’expérience : Pour limiter certains essais au stricte nécessaire ;

- Pour l’organisation : Charte projet, Organigramme (= Flow chart) de gestion de projet (PMO), Administration de contrats ;

- Pour la collecte d'information : Technique de Delphes, Analyse EMOFF (SWOT) ;

- Proposal Management : Pour mieux répondre auxappels d’offres, optimiser les CDC, favoriser la conclusion des ventes !

Le Proposal Management associe des méthodes et des outils pour améliorer l'efficacité interne (processus de production) et externe (impact) des propositions commerciales et réponses à appels d’offre ;

- Pour l'élaboration et le suivi : Gestion des exigences, Compte de contrôle, Management de la Qualité (PQM), Management par la valeur acquise (EVM).

 

Méthodes Prédictives, définies de Management de Projet

Dictées par des concepts de Gestion Globale de la Performance ont donné naissante à de nombreux référentiels comme :

- Gestion de projet et de programme de projets sur la bases du PMB0K = Project Management Body Of Knowledge qui est le Corpus de connaissances du PMI® = Project Management Institute ;

 

Le PMI® – Project Management Institute – Fondation internationale de chefs de projets à éléboré un :

Corpus de connaissances : PMBOK base de nombreuses certifications

Cette approche décrit les différentes phases, domaines et processus du management de projet :

5 phases cycle de vie d’un projet :  - IPECC*

-  Initiation =  Conception                 = Initiation*                          sortie: charte projet

 - Planification = Développement     = Planification*                    sortie: plan projet

 - Exécution = Réalisation                 = Execution*                         sortie: résultats

 - Contrôle =  Suivi                            = Controling */Monitiring      sortie: changements

 - Clôture = Fin de projet                   = Closure*                             sortie: accord / paiement

 

 9 Domaines et 44 processus :

Management de l’Intégration du Projet (Integration Management)

· Il comporte le démarrage du projet, sa réalisation, le management des modifications et sa clôture.

Management du Contenu du Projet (Scope management)

·  Il comporte la planification, la définition, la structure de découpage, la vérification et la maîtrise du contenu.

Management des Délais du Projet (Time Management)

·  Il comporte l’identification des activités, le séquencement des activités, l’estimation des ressources nécessaires aux activités, l’estimation de la durée des activités, le développement de l'échéancier et sa maîtrise.

Management des Coûts du Projet (Cost Management)

·  Il comporte la planification et estimation des coûts, la budgétisation et la maîtrise des coûts.

Management des Ressources Humaines du projet (Human Resource Management)

·  Il comporte la planification des RH, leur obtention et le management de l’équipe de projet.

Management de la Qualité du Projet (Quality Management)

·   Il comporte la planification de la qualité, l'assurance et le contrôle qualité.

Management des Communications du Projet (Communication Management)

·   Il comprend la planification des communications, la diffusion de l’information, les rapports d’avancement et Manager les parties prenantes.

Management des Risques du Projet (Risk Management)

·   Il comporte la planification du management des risques, l’identification des risques, les analyses qualitative et quantitative des risques, l’élaboration des plans de réponse, la surveillance et la maîtrise des risques.

Management des Approvisionnements du Projet (Procurement Management)

·    Il comporte la planification des approvisionnements, la planification des invitations à soumissionner, le choix des fournisseurs, l’administration des contrats et la clôture des contrats.

 

Une autre approche :

Méthodes dites Agiles empiriques, adaptatives aux pratiques itératives et incrémentales :

La Gestion de Projet agile dont « EXtrème : GPX » qui à pour objectif de livrer du contenu et non des contraintes en maîtrisant les délais et coûts du projet (Time to market) notamment en optimisant la communication entre acteurs du projet.

Ainsi le projet permet de mieux s’adapter aux aléas et de progresser par étapes (Stages, Milestones) validées par des livrables.

En management de projet agile des partique axées sur des hypothèses, suppositions et  des systèmes de gestion relatives à une élaboration progressive itérative permettent de déclencher une planification par vagues  (= Voir le terme Planifier)

La gestion de projet devient donc adaptable pour s’inscrire entre théories du chaos et de l’ordre = « Chaordique ».

La GPX s’appui en particulier sur le « modèle HALO » et la méthodologie « Diagnostic organisationnel 360° »

Le PMI® Initiateur de référentiels sur les méthodes prédictives à également développé une certification spécifique au management Agile.

 

Exemples de principes pour la gestion de projet Agile la + utilisée = Méthode SCRUM = Mêlée  :

- Interagir avec les personnes plutôt que les processus

- Livrer un produit opérationnel plutôt quune documentation pléthorique

- Collaborer avec le client plutôt que négocier un contrat

- Etre réactif face au changement plutôt que suivre un plan

Modèle simple, rapide et facile à pratiquer donc attrayant :

- l’état d’esprit = Préalable incontournable :

Notamment : Participation motivée, ouverte et respectueuse de chacun. Communication élargie, transparente.

3 étapes de  3 ou 4 semaines :

Chaque étape fait le point sur les besoins et priorités en progressant de manière itérative adaptant ses moyens,  les rôles de chacun et en rendant compte régulièrement avant de poursuivre vers la prochaine étape.

- 3 acteurs principaux :

 Client = Product Owner + Pilote de projet = Scrum Master + Equipe pluridisciplinaire

En un mot s’affranchir du carcan des méthodes par l’intégration des valeurs individuelles basées sur l’intelligence et le travail collaboratif.

 

Concept voisin souvent associé aux différentes pratiques agiles

              = « Change-boxing » = Opération coup de poing 

C’est une démarche de gestion de projet au plus Juste = « Lean project Management »  appliquée à l’organisation. Lorsqu’elle tout particulièremet aux aspects stratégiques elle est aussi désignée sous le vocable :

                          « Projet de Transformation organisationnelle »

Cette approche, comme beaucoup d’autres, permet aussi d’introduire la notion « Equipes projet Intégrées = Integrated Project Teams  Ces parties prenantes internes (ADV ; Commercial ; Production…) et externes (Fournisseurs ; Clients…) vont contribuer à la solution finale efficiente !

 

D’autres approches métiers et certifications : Voir les sigles ci-dessous ;

 

Selon Michel DION il existe 5 principaux types de contrat en management de projet : (Voir lien Infos)

- Contrat en régie avec pourcentage des coûts = Cost-plus-percentage of costs contract

- Contrat en régie avec honoraire fixe = Cost-plus-fixed fee contract

- Contrat en régie avec intéressement = Cost-plus-incentive fee contract

- Contrat à prix fixe avec intéressement = Fixed-price incentive fee contract

- Contrat à prix fixe ou forfaitaire = Firm-fixed-price contract

Le prix de la transaction est très différent et le risque supporté par le client ou le fournisseur est plus ou moins élevé selon le choix du type de contrat.

 

La pratique de l’Enterprise Feedback Management permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques et notamment la gestion de projet.

 

C’est certainement le terme « Congruence » qui convient le mieux au management de projet tellement la convergence, de nombreuses données, critères, appréciations, méthodes… et la pertinence de réflexions, permettent au travail collaboratif de conduire vers l’efficience.

 

La pratique du management de projet à aussi donné naissance à de nombreux modèles de maturité ex :

   CMM-I ; PMMM (Kerner) ; MPCM (Brésil) ; OPM3 (PMI®) ; P2M ; P3M3 (UK=OGC) ; PEM (IPMA) ; SMP2 (IQar).

Dont certains permettent, à une organisation, de certifier son système de managemet de projets

 

Attention :

- La compta analytique peut être un tueur de projets = Sachez évaluer avant d’argumenter…

- Comme le démontrent les concepts d’Excellence Opérationnelle, de Lean PM, d’agilité, l’humain est le principal levier, transverse, vers l’efficience…

- Si vous ratez votre planification => Vous planifiez vos prochains ratages !

 

 Voir : 5M ; 5 Pourquoi ; 8D ; Abilene ; Accord de qualité de service ; Activité d’affaires ;  Altermanagement ; AMDEC ; Amélioration continue ; Analyse fonctionnelle ; Analyse par les Options Réelles ;  Arbre des causes ; Assistant ; Beyond budgeting ; Chaordique ; Communication ; Credit Management ; Cycle en V ; Décisionnel ; Delphes ; Dématérialisation ; Dernier planificateur ; Développement Dirigé par les Tests ; Développement durable ; EFM ; EMOFF-FFPM ; Equilibration ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Exigence ; Externalisation ; Gantt ; Gating ; GGP ; Gouvernance des Risques et Conformités ; Heuristique ; Initié ; Intelligence Economique ; Intrapreneur ; Johari ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management de contrats ; Management de la valeur acquise ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management intelligent ; Management participatif ; Matrice d’affectation des responsabilités ;  Mentor ; Méthode 5S ; Méthode Crawford ; Multitasking ; Niveau de prix supposé ; Norme(s) ; Ordonnancement ; Organigramme ; Organisation ; Performance ; PERT ; Plan de succession ; Plan d’expérience ; Planifier ; Plan industriel et commercial ; Poïétique ; Points de fonction (Méthode) ; PMO ; Pragmanagement ; Priorité ; Procrastination ; Production au plus juste ; Proposal management ; QPQQCOC ; Quallité ; Retour sur investissement ; Réunion déléguée ; Risques ; Roue de Wallace ; SCRUM ; SMP2-Modèle de maturité Portef. Projets ; Stratégie Océan Bleu ; Supposition ; Syndrome de l’étudiant ; Système de Management Intégré ; Tableau de bord prospectif ; Technique de concassage ; Technologie de modélisation de contrat ; Temps Objectif de Reprise ; Temps parcelles ; Théorie(S) ;  Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;  

 

Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; Tenstep ;

 

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 Infos :

-  Voir le site de l’association « PMI® - Project Management Institute » :

  Consulter le corpus des connaissances « PMBOK » et choisissez votre chapitre de proximité pour assister aux réunions à thème.

 

- Conférence PMI® et Club Agile Rhône-Alpes à l’INSA :

       SCRUM - Management Agile : Un état d’esprit avant d’être une pratique !

-  Conférence : La Gestion de projet de A à Z selon le Project Management Institute

 

-  Conférence PMI® – Caroline STEPHANE :

        «  La Gestion Juridique des Contrats »

 

Conférence PMI® – Christian MIGNONAT :

       « Contrat(s) outil(s) formatant & fondateurs du Management de Projet »

Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles » 

 

-   CMMI - Conférence PMI® – Cédric FOULON de Logica  - Chez Volvo IT :

        « CMMI - Capability Maturity Model Integration » ou la performance par l’acquisition d’un niveau de maturité suffisant afin de mener à bien un projet »

 

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

 

- Conférence « Lean Project Management » : Quels sont les Facteurs Clés de Succès des Projets de Transformations Organisationnelles, en mode Agile et/ou Lean ?

 

Conférece  « Quand la Gestion de Projet devient un sport eXtrème »

                Support de Claude Emond ingénieur et conférencier canadien, dirigeant de Qualiscope.

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

- Livre « Manager un projet pour la 1ère fois » d’Alain Asquin et Thierry PicqEditions d’organisation.

 

-  Le blog pour s'améliorer en Management de Projet !

   Objectif annoncé : Rechercher en permanence  le meilleur du meilleur !

      Espace communautaire de discussion autour du Project Management +articles, évènements…

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- Axxone.Project : Logiciel Collaboratif de Gestion de Projets Métiers (équipes transverses)

   Planification, gestion des écarts, Espace collaboratif, Tableaux de bord, Historiques…

 

-  Qualiscope : Outils de diagnostic organisationnel à 360 degrés-HALO

 

- CREDOLOG : Distributeur de @task Project Management software®

Et expertise dans l'amélioration des organisations par les meilleures pratiques de la Valeur Ajoutée et des Méthodes Agiles.

 

Management d’équipe

Management d’équipe  = Team Building

Le concept de construction et management d’équipe basé sur l'indépendance et les complémentarités est synonyme de haute performance au service d’objectifs stratégiques.

 

Le management d’équipe fait appel à la sélection, l’entraînement (Coaching) puis à l’habilitation des collaborateurs (Empowerment) et parfois aux méthodes dites de motivation (Incentives).

Certains se fixe des devises et autres références à des histoires racontées (= storytelling), de mentor ou situations valorisantes pour mobiliser, galvaniser leurs troupes. ;

 

 

Il peut amener vers l’organisation horizontale qui est très différent du management transversal (Organisation géographique éclatée = problèmes de communication)

 

Que ce soit au sein d’une entreprise d’un centre de profit, dans le cadre d’une organisation éclatée, de type télétravail ou services externalisé, le management d’équipe favorise la rapidité des prises de décisions par la réduction des niveaux hierarchiques (Delayering)

 

Certaines méthodes pragmatiques favorisent ainsi la performance par des concepts tels que Management par objectifs, direction participative par objectifs – DPO.

 

Considérant que l’individu est un tout, une approche holistique s’avère souvent plus performante pour apporter des remèdes à ses maux mais aussi des solutions à ses besoins personnels.

Dans le management d’équipe la bonne connaissance de chacun dans son ensemble est un facteur d’optimisation du travail collaboratif.

 

Attention :

Ceux qui sacrifieront « L’Humain » au profit des processus et techniques même les plus performantes auront toujurs tort. Notamment du fait que chaque individu à besoin de trouver une justification, (Personnelle ou collective, objective ou non, etc.) au changement avant de s’opposer ou soutenir celui-ci.

D’où la nécessité d’exceller en management d’équipe avant de concevoir un projet avec plusieurs acteurs. En effet sans les acteurs tous les projets ne sont même pas des rêves !

A l’inverse même les plus ingénieux ne peuvent se passer du Management de Projet pour faire aboutir leurs idées, innovations…

 

C’est pourquoi il est indispensable de pratiquer l’Excellence Opérationnelle !

 

Le dénigrement  « Mobbing » est également une pratique de communication mais destructive pour la victime et nuisible au travail d’équipe !

 

 Voir : 100ème Singe ; 8D ; Altermanagement ; Aptitudes ; Communication ; Compétences ; Dernier planificateur ; Equipe projet intégrée ; Ethologie ; Excellence Opérationnelle ; Gestion Globale de performance ; Habilitation ; Incitations économiques ; Kaizen ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management de transition ; Management par objectifs ; Management participatif ; Mentor ; Méthode 5S ; Plan de succession ; PNL ; Pression ; Proxémie ; Réunion déléguée ; Ressources humaines ; Télétravail ; Temps parcelles ; Tenségrité ; Théorie(S) de l’agence,  de l’enracinnement, des signaux ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;  Visite de terrain ;

 

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 Infos :

"Managez humain, c'est rentable" Livre de Franck Martin (Congruences) aux éditions De Boeck

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Congruences - Conseil et formation en communication et management d’équipe : L’efficacité des organisations par l’harmonie des hommes et des stratégies.

 

Management de Risques

Management de risques = Risk Management

 

Le risque est incertain et préjudiciable lorsqu’il se réalise.

Pour autant les effets directs ou induits d’un risque peuvent être positifs mais pas le risque !

 

Pour autant certains peuvent être prévisibles et quasi certains c’est grace à des suppositions, hypothéses et autres évaluation que l’on peut mieux appréhender les risques et donc les évite, les assumer ou les transférer.

 

Pour mesurer le risque il est important de connaitre le degré d’occurrence et celui de gravité ex : 

     

Ainsi entre les deux il plus aisé de gérer pour savoir comment faire ou ne pas faire… notamment pour réduire contourner, transférer ces risque et élaborer le meilleur plan d’action et les priorités.

 

Car d’une part le fait de le prévoir et d’être en éveil permet de mieux apprécier l’environnement et donc conduit à la qualité.

D’autre part, les conséquences de certains risques devenus des dommages, conflits, etc. peuvent générer des avantages et autres profits que ce soit sur des actions spéculatives, dans le domaine organisationnel ou relationnel, etc.

 

« 1 personne avertie en vaut 2 ! »

 

Il est donc très important dans le management de risques d’être éduqué pour anticiper.

En effet, si une personne sait appréhender les risques elle peut non seulement les réduire mais aussi dans une même réflexion, action, détecter des opportunités, comme c’est le cas dans une démarche d’Excellence Opérationnelle.

Ces pratiques intelligentes, de coupler réduction des risques et recherche d’opportuités, provoquent elles aussi des effets induits, réflexes, bénéfiques et si elles sont appliquées dans un groupe collaboratif les effets bénéfiques sont exponentiels. C’est l’efficience !

       

Les enjeux relatifs aux risques sont devenus tellement importants que la nécessité de mieux les appréhender est devenue incontournable.

Les conséquences de risques non assumés, amène parfois à la cessation d’activité de l’entreprise, soit par destruction de biens, indemnisation de préjudice à des tiers, détérioration de l’image de marque, frais de procédures et financiers très importants, etc.

 

De nouveaux risques seront toujours découverts surtout avec l’évolution des technologies. C’est notamment le cas de ceux liés à la manipulation des données. Là, les tentations sont grandes tant en interne qu’en externe :

   La guerre du pouvoir par la possession des données : Voir Gestion de contenu

 

Ainsi de nouvelles fonctions de gestionnaire de risques (Risk Manager), en interne ou externe se sont développées et une nouvelle norme ISO 31000 est conçue pour le management des risques.

 

Le management de risques consiste surtout à anticiper, détecter, tous les risques pour pouvoir les réduire et à défaut de les supprimer, de les transférer sur d’autres notamment par externalisation ou sous-traitance ou par une couverture d’assurance savamment négociée.

Le processus simplifié peut être décrit en au moins 3 phases :

   - Identifier : veille, réflexion, alerte, …

   - Evaluer la probabilité, mesurer l’impact …

   - Gérer l’acceptable et ce qui ne l’est pas pour pouvoir éliminer, diminuer ou transférer…

 

Pour les risques les plus importants de nombreuses entités élaborent, en amont de tout sinistre majeur, un PRA Plan de Reprise d’Activité ou PCA Plan de Continuation d’Activité. Celui-ci consiste en une anticipation de l’arrêt d’une activité et donc la possibilité de continuer celle-ci, y compris dans un autre lieu, ou son redémarrage rapide que ce soit pour l’équipe de gouvernance, la production, la communication, les opérations administratives, commerciales, financières, etc.

 

Les risques concernent tous les acteurs et toutes les activités.

C’est pourquoi il est devenu indispensable de porter une attention particulière à la gestion des contrats et des relations humaines grâce en particulier à la communication (Voir : ERM).

 

  

 

 Voir : 5M ; 5 Pourquoi ; Analyse par les Options Réelles ;  Arbre des causes ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Cindynique ; Contrats ; EMOFF-FFPM ; Gouvernance des risques et conformités ; Heuristique ; Inforensique ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management participatif ; Méthode 5S ; Perquisition civile ; Plan de succession ; Plan d’expérience ; Point Objectif de Reprise ; Point Unique de Faiblesse ; Pression ; Qualité ; Risques ; Supposition ; Système de Management Intégré ; Technique de concassage ; Temps Objectif de Reprise ; Théorie des contraintes ;

 

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 Infos :

- Livre : « Le management des risques de l'entreprise » Institut de l’Audit InterneEdition d’organisation

 

- Baromètre du Risk Management 2011 – A télécharger/PROTIVITI

 

 

Management des connaissances

Management des connaissances = Knowledge Management

 

a) Forme classique : Utilisation intelligente des connaissances détenues par les individus plus ou moins bien identifiables et transcriptibles et quils se transmettent de manière méthodique dans le but d’atteindre des objectifs personnele et communs.

Basée sur l'inné et les acquis (intuition, savoir-faire, compétences, etc.) ces connaissances font l’objet de tests et autres mises en situation (ex : portrait chinois) pour servir des évaluations qui serviront à définir les tâches et responsabilités de chacun au sein d’une entité.

 

b)  Forme assistée par ordinateur : Complémentaire de la précédente elle utilise divers outils tels : e-learning, GEIDE, Workflow, Bpms, et d'analyse de contenus comme la gestion d'informations textuelles (utilisée en veille et traitement automatique du langage) mais aussi de systèmes de requêtes.

 

c) Le management des connaissances est également devenu un enjeu stratégique :

   La guerre du pouvoir par la possession des données : Voir Gestion de contenu

 

 

 Voir : 100ème singe ; Aptitudes ; Communication ; Compétences ; Entraîneur ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Habilitation Heuristique ; Management participatif ; Mentor ; Plan de succession ; Portrait chinois ;

 

Voir aussi : Gestion de contenu ; Geide ; Intelligence économique ; Management des risques ; TRIZ ; EFM ; Décisionnel ; Système de Management Intégré ;

 

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  Infos :

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

Management des Dépenses de Télécommunications

Telecom Expenses Management -TEM

C’est une pratique d’évaluation à la fois des actifs mais aussi des autres dépenses (dont cosommations, liges, outils, personnel, prestataires y compris opérateur) liées au télécommunications.

 

C’est bien un démarche de management qui parfois s’incrit dans un concept de Développement Durable (ex : Green IT)

Intégré dans une perception de management intelligent donc d’efficience, l’objectif n’est pas seulement de réduire les gaspillages – Comme pour le « Lean » - mais aussi de pratiquer la conduite du changement pour utiliser aussi les actifs, technologies les plus performants et adaptés aux besoin de l’utilisateur, qui permettent aussi de mieux communiquer à distance (Ex : Télétravail ; Visio-conférence ;) et de favoriser le travail collaboratif pour péreniser les activités de l’organisation concernée.

 

Même si chacun peut être sensibiliser, responsable de so propre comportement et de ses outils, il est évidemment que cette démarche ne s’improvise pas.

L’idéal est d’avoir un outil (TEM) approprié à l’évalution de ses dépenses. Puis de diagnostiquer avant d’envisager une démarche projet pour conduire les changement nécessaires et réalisables.

 

 Voir : 8D : Amélioration continue ; Conduite du changement ; Communication ; Développement durable ; Evaluation ; Management Intelligent ; Management de projet ; Télétravail ; Travail collaboratif ;

 

Management des Identités et Accès

Le management des identités et accès = IAM : Identity and Access Management

 

C’est une démarche concernant le système d’information qui à pour objectif de définir les droits d’accès, procédures d’authentification, cycle de vie du compte, etc. pour chaque acteur admis à celui-ci.

 

Elle doit à la fois s’inscrire dans une réflexion cindynique et favoriser la cohérence des pratiques tant hiérarchiques que de listes de travail…

 

 Voir : Audit ; Cindynique ; Management de données de référence ; Management de risques ; Sécurité ; Workflow ;

 

Management des relations d’entreprise 

Management des relations d’entreprise  = Enterprise Relationship Management : ERM

 

Au-delà de la « Gestion des Relations Clients (= CRM : Custmer Relationship Management) l’entreprise doit impérative savoir non seulement gérer mais surtout manager l’ensemble de ses réseaux et contacts relationnels :

Clients, fournisseurs, partenaires, dont les administrations, collectivités et associations (quelles soient professionnelles comme les partenaires sociaux, ou de consommateurs, etc.) les prescripteurs, les associés, actionnaires et collaborateurs (toutes fonctions confondues = Employee relationship management), les médias et autres structure de communication et d’organisation d’évènements, les sous-traitants, les concurrents, les organismes de scoring ; etc.

 

 Voir : Management des Relations de Partenariat-PRM ;

 

        Voir aussi : Altermanagement ; Commercial ; Communication ; Credit Management ; Conduite du changement ; EFM ; Ethologie ; Evaluation ; Fournisseur ; Génération : BB, X, Y ; Gestion des Relations Clients/GRC  ; Gestion globale de la performance ; Gouvernance des risques et conformités ;  Holistique ; Management de contrats ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management Intelligent ; Management participatif ; Mentor ; Mercatique ; Plan de succession ; Prospect ; Qualité ; Risques ; Système de Management Intégré ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ; XRM ;

 

Management des Relations Partenariales

–MRP/PRM

Management des Relations Partenariales = PRM : Partners Relatioship Management

Cette approche holistique bien plus large que le GRC/CRM permet donc de tenir compte des interactions entre collaborateurs internes et externes comme les clients ainsi que les fournisseurs d’exploitation et autres (Banques et assurances), mais aussi les institutionnels (Services de l’Etat et des collectivités), etc.

 

L’objectif de cette vision en 3D des contacts, actions, … est d’optimiser la gouvernance !

C’est en s’intéressant aux besoins, motivations, exprimés ou non y compris par leurs comportements, de tous groupes et individus que l’entité concernée, du domaine public ou privé, pourra anticiper sur l’optimisation de ses décisions stratégiques.

 

Méthodes et outils assurent une gestion optimale de la relation des consommateurs qu’ils soient prospects, clients, fournisseurs ou autres partenaires du domaine public ou privé, etc.

Mais pour cela il faut des outils performants capables d’effectuer des requêtes multicritères pour répondre aux besoins des différents métiers ex : Mercatique et commercial ; Finance et gouvernance ;

Les PGI/ERP souvent trop lourds pour évoluer rapidement de manière satisfaisante C’est ainsi que se sont développés des outils dits Décisionnel/Business intelligence ou d’autres plus spécifiques liés à la Maîtrise Statistique des Procédés/Processus : MSP = Statistical Process Control

 

La notion de GRC/CRM à l’origine purement commerciale et donc seulement sur les clients s’est développée et structurée pour tout type de contact susceptible d’améliorer les performances de gestion, ex :

- Fournisseurs d’exploitation ou d’investissement pour réduire les coûts ;

- Fournisseurs de prestations financières et autres couvertures de risques ;

- Contacts auprès des administrations (ex : sollicitation d’autorisations, impôts) ;

- Mais aussi la gestion des relations de communication externe (ex : presse) et interne vers les collaborateurs.

 

D’autres applications permettent d’accéder plus généralement à tous les contacts de l’entreprise et notamment aux différentes ressources = Management des relations d’entreprise   (ERM : Enterprise Resource Management et pas seulement aux clients.

Cette pratique comme celle du MRP à pour objet de manager l’ensemble de ses réseaux et contacts relationnels. Elle à permis de développer certaines applications logicielles.

 

Les concepts d’EFM = Entreprise Feedback Management.et ERM sont proches.

Les différences sont plus marquées sur les processus amont d’enquêtes et questionnements pour l’EFM et de gestion des contacts et actions pour l’ERM.

 

Attention:

- Enterprise Risk Management (Voir Risque) implique également la prise en compte de la communication et l’écoute des différents partenaires de l’entreprise.

C’est en ce sens que les deux terminologies se recoupent pour anticiper sur les risques encourus et corriger les dysfonctionnements pouvant être préjudiciables à l’activité.

 

Avec le développement d’Internet et du travail collaboratif le concept GRC/CRM a évolué pour permettre d’aller au-delà de la gestion des contacts et actions ainsi que du suivi des performances.

Ainsi il est maintenant permis d’optimiser le traitement ex :

- des consommateurs pour développer de l’interactivité ;

- Des CV et autres publications sur les réseaux sociaux pour les RH ;

- De la communication tant pour les actionnaires que les partenaires tels que les prescripteurs, mais aussi destinée à la presse ;

Les applications informatiques permettant tous ces traitements sont appelées :

Gestion de la relation étendue = XRM : eXtended Relationship Management

 

Avec le développement des réseaux sociaux virtuels la gestion des relations c’est profondément modifiée tant pour les méthodes que les moyens à la fois pour collecter ou diffuser des informations faisant notamment évoluer les outils utilisés ex :

    e-CRM ; e-PMR ; XRM

 

Le web-sémantique et les concepts d’Intelligence Economique, de Veille produisent déjà eux aussi leurs effets sur les pratiques de gestion des relations.

 

Et attention aux comportement dit « Mobbing »

 

Livres rangés Voir : Abandonniste ;  Automatisation des Forces de Vente-SFA ; Commercial ;  Conduite du changement ; Décisionnel ; Effet d’usure ; EFM ; Ethologie ; Etude d’usages et d’attitudes ; Forage de données ; Gestion de la relation Clients ; Gouvernance des risques et conformités ;  Holistique ; Location de droit d’usage-Saas ; Maîtrise Statistique des Procédés-SPC ; Management de contrats ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management Intelligent ; Management participatif ; Mercatique ; PGI/ERP ; PLV ; PNL ; Proposal management ; Prospect ; Pyramide des besoins ; Qualité ; Référencement ; SCM ; Score d’appétence ; Sémiotique ; SOA ; Taux d’attrition ; TCO ; Travail collaboratif ; Workflow ; XRM 

 

 

Management de Transition

Le management de transition, comme son intitulé l’indique :

- Relève du domaine stratégique d’une entité ou d’un groupe.

- Est limitée dans le temps.

 

Attention Ne pas confondre : Management de transition et Interim Management  .

En effet l’intérim, c’est le temps pendant lequel une fonction vacante est exercée par un autre acteur que le titulaire, quel que soit le niveau hiérarchique.

L’intérimaire peut éventuellement rester dans l’entreprise à l’issue de la mission pas le manageur de transition !

 

Cette mission doit permettre à l’entité d’optimiser sa gestion du changement pour atteindre de nouveaux objectifs.

Cette solution, limitée dans le temps, est une alternative au  recrutement durable, soit pour des raisons de disponibilité ou aptitudes ou de compétences spécifiques des dirigeants en place, soit pour des questions de budget ou surtout de temps pour réaliser un projet.

 

Les situations qui conduisent le plus souvent au choix de manageurs de transition sont souvent issues de crises ou de la volonté des dirigeants et actionnaires de s’adjoindre des compétences précises pour changer de gouvernance ex :

- Départ d’un dirigeant clé ;

- Fusion ou acquisition ;

- Reconversion industrielle ;

 

La mission prise en charge par le manageur de transition est :

- Spécifique à chaque cas. Il faut donc que la confiance soit parfaite avec le demandeur.

C’est notamment ce qui va permettre de faire un diagnostic objectif de situation puis de réellement apprécier les moyens mobilisables pour atteindre des objectifs précis dans un délai  imparti.

- Souvent dictée par l’urgence d’une situation et la mision soumise à de nombreux aléas compte tenu des enejux économiques, financier, sociaux  et des moyens matériels humains, de communication et donc financiers qu’il va falloir envisager et mobiliser ;

- Conçue en mode projet, et souvent en portefeuille de projets, notamment pour définir les méthodes et moyens surtout rélationnels qu’il est indispensable de conforter pour avoir une chance d’atteindre les objectifs prévus. En effet les aspects financiers sont le plus souvent secondaires et conditionnés à la qualité des relations internes et externes.

Certaines structure du Management de transition proposent non seulement de travailler en mode projet mais surtout d’adjoindre au chargé de mission un directeur de projet.  Ce binôme présente plusieurs atouts majeurs pour le client.

- D’une part le manageur de transition peut bénéficier des avis de son directeur de projet ou de ses autres collègues du cabinet pour infirmer ou confirmer un diagnostic ou une action particulière.

- D’autre part ce Directeur de projet est présent dans les réunions avec le client qui bornent l’évolution du projet.

 

Les besoins, des demandeurs, dictés par les enjeux et la volatilité des marchés, sont tels, que de plus en plus d’entités du domaine privé et public font appel à ces spécialistes externes rompus aux situations de crise.

Ceux-ci sont le plus souvent des anciens directeurs généraux, administratifs et financiers, ingénieurs projets dans les domaines industriels, etc. qui ont l’avantage de bien connaître les rouages d’entreprise, le contexte des relations sociales et la pratique des méthodes et outils perfectionnés de gestion.

Ainsi de multiples entités se sont développées pour proposer ce type de mission pour différentes fonctions ex :  DAF, DG, Directeur d’usine, etc.

Indépendants ou organisés en cabinet ce ne sont pas des consultants car selon l’adage, les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Eux, décident de s’engager personnellement  surtout dans des situations d’urgences et dans des situations qui ne sont pas gagnés d’avance.

Ce sont donc de véritables acteurs qui savent prendre les rênes d’une entité avant de les remettre entre les mains de leurs dirigeants et gestionnaires après avoir optimisé et souvent sécurisé une organisation.

Ont peut les qualifiés de compétants, pragmatiques et responsables

 

L’important dans ce type de mission c’est de créer un climat de confiance entre le client et le « Manager de Transition ». Cette confiance permettra un peu comme chez le médecin de parler ouverttement des problèmes, de les reformuler, afin qu’un diagnostic, un audit approfondi, puisse servir de base au démarrage d’un véritable projet efficient.

 

 Voir : Altermanagement ; Amélioration continue ; Analyse par les Options Réelles ;  Beyond budgeting ; Conduite du changement ; EMOFF-FFPM ; Equilibration ; Evaluation ; Gestion Globale de la performance ; Gouvernance ; Gouvernance des risques et conformités ; Heuristique ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management intelligent ; Manager ; Mandat ; Mentor ; Ordre de mission ; Opération de recentrage ; Organisation ; Performance ; Rapport ; RCE ; REEL ; Supposition ; Système de Management Intégré ; Théorie des contraintes : Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

Voir aussi : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

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  Infos :

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- LOGO_ACTISS_HD ACTISS Partners - Cabinet spécialiste du Management de Transition : En temps de crise et pour des projets stratégiques. Le manager de transition assisté d’un  directeur de mission, prend les rênes, pour redresser la situation, avant de les remettre aux dirigents et gestionnaires.

 

  Transitiss :  Management de Transition & Transmission d'Entreprise :

Confortez votre équipe de direction, soyez accompagné pour valoriser votre entité et dans vos négociations de transmission …

 

Management du Cycle Produit 

Management du Cycle Produit = Product Lifecycle Management  ;

 

Cette notion est l’une des dominantes du management s’attachant particulièrement aux cycles de vie des produits par la transversalité des métiers depuis l’extraction des matières premières, la création (R&D dont concept)  la production  (ex : Technique et qualité de fabrication) la mercatique (ex : Conditionnement et Positionnement marché) les services (ex : SAV) et donc consommation intégrant les notions de qualité mais aussi de recyclages des déchets.

 

Ces concepts de qualité et de performance ont permis de mettre au point des méthodes d’analyse :

     - Environnementale du cycle de vie des produits (ACV) ;

     - Des coûts de ce cycle (ACCV) ;

     - Sociale liée au cycle produit (ASCV).

Mais aussi de concevoir l’éco-étiquettage.

 

Les enjeux de management du cycle produit vont bien au-delà d’une simple perception mercantile.

C’est pourquoi, cette notion intègre, de plus en plus, tous les acteurs concernés à titre individuel et collectif, qu’ils soient internes (ex : Ingénieurs, contrôleur de gestion, commerciaux, SAV) ou externe (ex : Client, fournisseur, organismes certificateurs, plate-formes logistiques)

Ainsi de nombreuses disposition réglementaires, normes, lois, certifications s’imposent aux praticiens et consommateurs.

 

 Voir : 4P ; Allotissement ; CAO ; Certification ; CFAO ; Concept ; Coût Total de la Possession ; Développement Durable ; GMAO ; ILM ; ISO ; Juste à temps ; Mercatique ; Norme ; Production ; Qualité ; SAV ; SCM ; SGDT ; Stratégie océan bleu ; Stylique ; Théorie des contraintes ;

 

Management du Rendement

Management du rendement = Yield management.  

(Traduction littérale qui semble la plus appropriée)

 

Issu de de l’Organisation Scientifique du Travail (Taylor), c’est aujourd’hui un concept de mangement orienté mercatique qui consiste à offrir aux consommateurs des produits attractifs qui permettent à l’entreprise de réaliser les meilleures CA avec les marges les plus fortes donc de privilégier le rendement mais pas forcément en volume.

 

Ce type de politique sélectionne en principe des produits à forte marge à destination de consommateurs à fort pouvoir d’achat et aussi qui sont sensibles aux phénomènes de marques et modes pour pouvoir les fidéliser.

 

Le fait d’accéder à ces produit seulement par le niveau de prix très élevé en appelé : « Effet Veblen » décrit aussi comme effet VIP ou SNOB – Sachant que l’origine du mot snob est : « Sans NOBlesse » = CQFD !

 

Cette politique est bien évidemment très différente du concept plus classique de répartition par DAS.

Elle réclame une force mercatique performance capable de sélectionner des produits ou prestations selon les opportunités et de concevoir des circuits de distribution appropriés, ou autres réseaux performant pour s’imposer sur le marché.

 

Ces détracteurs lui opposent le Management participatif.

 

 Voir : Altermanagement ; Analyse textuelle ; Domaines d’activités stratégiques ; Excellence Opérationnelle ; Heuristique ; Loi de Parkinson ; Management intelligent ; Management participatif ; Marge(s) ; Mercatique ; Score d’appétence ; Temps Moyen d’attente et  de manipulation ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Visite de terrain ;

 

Management Intelligent

Le management intelligent fait référence à :

- L’intelligence ;

- Management ;

 

Il paraît en effet important de différencier ces 2 termes car leur confusion peut créer des situations lourdes de conséquences ex :

 

- Certains affirment que l’entreprise détient des connaissances et des savoirs-faire qui lui permette d’appréhender les risques, de négocier au mieux, de concevoir, créer…

Quelque soit l’entité concernée  Tout ceci n’est que de la gestion ! ou de la propriété intellectuelle.

Car bien que l’entreprise puisse être juridiquement une personne morale elle n’est qu’objet et surtout au niveau de l’intelligence.

 

Comme le rappellent les spécialistes du mangement intelligent ce concept est beaucoup plus facile à appliquer dans une enttreprise de taille réduite que dans un groupe car c’est la qualité et la rapidité des relations entre les individus qui favorise l’analyse et les prises de décisions. Ceci est d’autant plus vrai que les sujets à traiter et ceux de discordes sont moins nombreux.

 

Preuve est faite que ce sont les acteurs qui possèdent l’intelligence au vrai sens du terme et la mettent au service d’une collectivité. - Voir les 8 formes d’intelligence – et pas les entités ni les systèmes.

 

Même les techniques les plus sophistiquées ne sont que des concepts issus de la réflexion humaine.

En revanche, l’évolution des technologies inventées par des personnes favorisent le stockage, l’exploitation et la restitution de données sous une forme qui peut paraître intelligente. - Voir : Décisionnel -

 

- L’intelligence fait appel à des sensibilités, du ressenti, qui rendent les discernements, jugements, propres à l’intelligence, très variables et souvent subjectifs.

Dans ce domaine la « Machine » n’est pas encore prête à remplacer l’Humain !

C’est aussi pour cela que la communication et le gestion des relations s’inscrivent dans le management intellligent notamment sur le plan linguistique et social.

 

Même les soi-disants spécialistes du marketing dotés des meilleurs outils sont obligés de manipuler les consommateurs pour tenter de se rendre utile et justifier leur rétribution. Car malgré tout le consommateur est, lui aussi inteligent individuellement ou collectivement et finit par le faire savoir. - Voir : Abandonniste - Score d’appétence

 

- Par ailleurs, ramener les objectifs et surtout les résultats d’un management qualifié d’intelligent aux seules expressions chiffrées de bénéfices financiers ou mêmes économiques serait une vulgarisation insultante à l’intelligence elle-même. C’est ce qui est prouvé en prétextant que ce sont les marchés qui deviennent fous alors que ce sont des individus qu’ils soient opérateurs mandatés par des spéculateurs débridés ou ceux qui organisent ces marchés.

 

Pourtant c’est bien l’intelligence qui a fait et fera la différence dans le travail et particulièrement dans le management surtout sur le plan stratégique. Merci Tsun-ZU !

 

Cest donc dans une conception plus cartésienne, par assimilation, que l’on peut qualifier le Management d’intelligent par exemple lorsque cette intelligence est économique ou pour concevoir des requêtes multidimensionnelles grâce au système d’information…

 

… Encore que parfois les décisions humaines soit dénuées de bons sens ou pire !

 

La performance peut aussi être le fruit de la pratique conjuguée de l’intelligence et du travail collaboratif c'est-à-dire : l’Intelligence collective. Cett notion implique non seulement une collaboration technique mais aussi une intellectuelle de tous les métiers et hiérarachies au service de l’innovation.

Si la gouvernance devient davantage un animateur, un mentor les effets de cette performance seront exponentiels.

Mais le manager intelligent s’attachera à proscrire les comportements de « Mobbing » très destructeurs !

 

Enfin, pour être intelligent encore faut-il se poser les bonne question et pour cela prendre le temps nécessaire comme le préconise le slow Management/Management calme

 

 Voir : 3M ; 5S ; Abandonniste ; Altermanagement ; Amélioration continue ;Analyse par les Options Réelles ;  Communication ; Décisionnel ; EFM ; Ethique ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Heuristique ;  Intelligence ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Méthode 5S ; Plan de succession ; Mobbing ; Multitasking ; PNL ; Pragmanagement ; Pression ; Qualité ; Remue méninges ; Requête ; Score d’appétence ; Supposition ; Système de Management Intégré ; Tenségrité ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Veille ; Visite de terrain ;

 

    Voir aussi : les différentes termes du : Management ex : d’équipe…des connaissances… de transition…du rendement…participatif…

 

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 Infos 

- e-Livre : 55 Conseils pour être plus efficace et plus productif. En entreprise, sur Internet et dans la vie.

 

Management Par Activité – MPA –ABM

Management par activité - PMA = ABM : Activity Based Management.

 

Le management par activité – MPA est une méthode de gestion par l'activité, complémentaire de l'ABC, mais prenant davantage en compte l'environnement et les aspects qualitatifs.

 

L’ABM pourra notamment s’attacher à mesurer la valeur ajoutée de processus, services, etc afin de déterminer les actions à engager pour optimiser leur gestion ou proposer une alternative ex : Se séparer de l’activité ou l’externaliser.

 

 Voir : Altermanagement ; Beyond budgeting ; Décisionnel ; Gestion Globale de la Performance ; Management par objectifs ; Méthode des coûts par activité ; Rapport ; Tableaux de bord ; VAN ;

 

Management par Objectifs

Management par objectifs = Management By Objectives : MBO   

Attention : Ne pas confondre avec Management Buy Out.

 

Le management par objectifs c’est un principe de gestion stratégique basée sur des buts fixés à l’avance.

Sommairement, il s’organise selon les étapes suivantes :

-         Définition des objectifs généraux ;

-         Fixation des objectifs individuels ;

-         Détermination des actions individuelles qui doivent concourrrir au but recherché ;

-         Contrôle et mesure des résultats en cour de projet ;

-         Mise en place des actions complémentaires ou correctives nécessaires pour atteindre les objectifs d’origine.

 

le système de direction par objectifs se déroule en six phases :

- détermination des buts généraux ;

- fixation des buts individuels ;

- action personnelle en vue de les atteindre ;

- contrôle des résultats ;

- lancement des actions correctives ;

- appréciation des personnes.

 

Attention pour réussir le management par objectif il ne faut pas négliger la gestion de la pression qu’il engendre sur les individus !

 

Autre concept : DPO = Direction participative par objectif

Axée sur des prartiques d’habilitation pour motiver aux maximum l’ensemble des acteurs quelque soit leur niveau hiérarchique. Elle favorise notamment le management par projets 

 

 Voir : Altermanagement ; Beyond budgeting ; Décisionnel ; Evaluation ; Gestion globale de la performance ; Habilitation ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management de transition ; Pression ; Tableau de bord ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

Management Participatif

Le  management participatif est basé sur une évolution de l’organisation scientifique du travail du fait que ce concept de Taylor a finit de produire ses effets bénéfique et a engendré des travers qui nuisent à la performance des individus et entreprises.

 

Le principe du management participatif peut se résumé en quelques points :

- Habilitation : Qui est la reconnaisance des individus autrement que par le simple rendement. Ainsi elle  génère la motivation et aussi la satisfaction de l’accomplissement (Dernier échelon de la pyramide des besoins de Maslow)

Information : Cette habilitation ne peut se concevoir sans une bonne communication, évitant les déperdition d’informations nuisibles à l’efficience et une formation permanente donc actualisée à tous les échelelons pour valoriser chacun des collaborateurs.

- Décision et Gouvernance : Les décisions doivent être prises au niveau le plus pertinent. Ce qui implique la responsabilisation et la délégation quand c’est souhaitable et possible.

Cette coopération créera une véritable culture d’entreprise qui fortifiera les relations et optimisera les prises de décisions.

- Management d’équipe et engagements individuels pour susciter l’innovation et l’efficience qui favoriseront la pérennité des activités par la qualité des produits, services et relations…

 

Cette pratique de gouvernance d’entreprise permet au plus haut niveau d’appliquer d’autres concept de responsabilisation et de participation comme la gestion de projet, de mettre en place des processus tels qu’un Plan de Continuation d’Activité, de tendre vers des concepts de qualité et de Développement Durable au service de la performance.

 

La mise en place du management participatif implique le pragmatisme :

- Une volontée délibérée des dirigeants qui s’inscrit dans une stratégie durable de gouvernance ;

- Des méthodes relationnelles axées sur l’écoute des autres et la valorisation de chacun ;

- Des outils  de communication particulièrement adaptés à l’innovation et la mobilité

C’est un véritable projet de conduite du changement qui doit aboutir à l’amélioration continue !

 

Attention : Comme dans tous les domaines l’excès est nuisible.

Ainsi chacun doit être à sa place !

Il ne s’agit pas que les cadres se contentent de déléguer mais que chacun donne le meilleur de lui-même.

Les dirigeant restent également les seuls à assumer leurs responsablités décisionnelles notamment sur les grandes orientations stratégiques mais aussi en matière juridique. 

L’objectif n’est pas non plus de tomber dans la « réunionite » sous prétexte de communiquer , de dialoguer, etc.

L’objectif est d’agir, tous ensemble et dans le bon sens.

 

Pour être participatif encore faut-il se poser les bonne question et pour cela prendre le temps nécessaire comme le préconise le slow Management/Management calme

 

 

 Voir : Altermanagement ; Abilene (Paradoxe) ; Amélioration continue ; Communication ; Conduite du changement ; Contrat ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Développement Durable ; DMAIC ; EFM ; EMOFF-FFPM ; Excellence Opérationnelle ; Gouvernance ; Habilitation ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du rendement ; Management Intelligent ; Mandat ; Performance ; Plan de succession ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Qualité ; Responsabilité ; Ressources humaines ; Roue de Wallace ; Théorie(s) ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ; XRM ;

 

Mandant

Le mandant est celui qui se fait représenter par un mandataire, lui ayant délégué certains pouvoirs (de négocier, conclure …).

 

 Voir : Mandat ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ;

 

Voir aussi : Arbitrage ; Conciliation ; Contrat ; Garantie ; Habilitation ;

 

Mandat

Le mandat est un acte (de préférence écrit) par lequel une personne physique ou morale, le mandant (ordonnateur) donne à une autre personne, le mandataire (exécutant) un pouvoir de représentation (=  ) pour agir en son nom et pour son compte. La personne mandatée va ainsi pouvoir réaliser des actes (en principe juridiques) au nom et pour le compte du mandant. Ce mandat peut être fait à titre gracieux ou onéreux.

 

 Voir : Commanditaire ; Commettant ; Commissionnaire ; Courtier ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Effet singe ; Initié ; Mandant ; Mandat ad hoc ; Mandat apparent ; Ordre de mission ; Management participatif ;

 

Voir aussi : Arbitrage ; Conciliation ; Contrat ; Ducroire ; Garantie ; Médiation ; Management de contrats ;

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Mandat "ad hoc"

Le mandat ad hoc est une procédure amiable du droit français permettant de lutter contre les défaillances d'entreprises.

 

Le Président du Tribunal de Commerce, s'il estime, fondée, la requête de l'entreprise qui en fait la demande, désigne par ordonnance, un mandataire dit "ad hoc" dont la mission est d’assister les dirigeants pour trouver des solutions permettant la poursuite des activités de l'entreprise et d'éviter ainsi une liquidation judiciaire.

 

La loi de juillet 2005 dite de sauvegarde des entreprises en difficultés ne fait pas obligation aux tribunaux de communiquer cette ordonnance mais seulement les conciliations au Ministère public.

 

Voir : Evolution des procédures collectives depuis 1984-5 et 2005-6 et «Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés" ; Conciliation ;

 

 Voir aussi : Garantie personnelle et réelle ; Loi de sauvegarde ; Management de contrats ; Mandat ; Responsabilité ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Mandat apparent

La pratique du mandat apparent peut se constater à partir d’une mission, d’un contrat, passé avec un acteur agissant comme s'il était habilité par le mandant et qui de ce fait peut faire croire au mandataire qu'il traite avec une personne ayant pouvoir de représenter et contracter le mandant.

 

Il est possible d'invoquer cette terminologie en particulier lorsque des relations suivies, des règlements commerciaux, etc. ont été réalisés avec le mandant et antérieurement à un conflit.

D'où l'impérieuse nécessité de s'assurer du pouvoir que doit avoir un acteur pour conclure une affaire, signer un contrat.

Ce type de précaution peut en particulier se prendre au moment de l'ouverture du compte Client, chez le fournisseur, par la remise de certains documents officiels dont extrait "K" et les statuts de l’entreprise.

 

 Voir aussi : Contrat ; Credit Management ; Délégation(S) ; Management de contrats ; Mandant ;

 

Mandataire de justice

 

 Voir : Administrateur judiciaire ;

 

MAPI

 

 Voir : IPA

 

MARC

Mode Alternatif de Résolution des Conflits : MARC

 

Depuis 1995 il existe deux Modes Alternatifs de Résolution des Conflits, avant le jugement devant un tribunal : La médiation et l'arbitrage.

 

Le M.A.R.C. est issu de l'ADR Alternative Dispute Resolution  pratiquée aux USA où, on le sait, les recours à la justice sont souvent longs et les coûts très importants surtout en frais d'avocats et indemnités.

 

 Voir : Arbitrage ; Conflit ; Management de contrats ; Médiation ;

 

Marchandage

Délit de marchandage 

 

 Voir : Contrat ; Délit ; NRE ;

 

Marché

= Marktplatz  ; Mercado  ;   ;

Le marché est le lieu ou se rencontre l’offre et la demande pour un prix par rapport à un volume d’échange.

 

Le marché des capitaux se divise en :

- Marché monétaire : lieu au se négocie les monnaies et se pratiquent les opérations à court ou moyen terme en particulier pour les refinancements.

 

- Marché financier : lieu où se négocient les capitaux à long terme sous formes d'émission ou vente de titres exemple : Bourse de Paris-Euronext, Second Marché, Marché Libre.

Mais encore : l’EASDAQ,

ou encore ceux appelés « Nouveaux marchés électroniques » de France d’Allemagne d’Italie, de Belgique et de Hollande.

 

 Voir : AAPC ; Appel d’offre ; Désintermédiation ; Garanties sur transactions de marché ; Initié ; Introduction en Bourse ; Matif et Monep ; Mercatique ; Sourcing ; Valeurs mobilières ;

                         

Voir aussi : A to B - B to B, C ; e-place, market, procurement :

 

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 Infos :

- Article source EFI   Crise de liquidité ou de confiance ?

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Marché gris

Pas encore « noir » ce marché gris désigne des biens qui se situent à la périphérie du marché dit officiel.

 

Par exemple des transactions réalisées sur des titres qui ne sont pas encore cotés. Ce terme désigne également les marchandises produites pour officiellement pour des débouchés à l’étranger et qui réapparaissent sur le marché local.

Dans ces 2 cas il faut pouvoir déceler par exemple un délit d’initié ou la complaisance d’acteurs de la marque concernée. 

 

 Voir : Marché.

 

Marchéage

 

 Voir : Mercatique.

 

Marge (s)

Marge : Plusieurs acceptions :

 

a) Marge commerciale. C’est un solde intermédiaire de gestion, du « Compte de résultat social », utilisé pour l’analyse financière d’une entreprise :

 

Formule concernant les activités de ventes de marchandises :

1) En produits nets :

   Prix de Vente.(hors taxes) des marchandises  (Cpt.707)

   - Rabais, Remise, Ristourne Accordées (Cpt.7097)

   - Pour être plus juste économiquement il est pertinent de déduire les Escompte de règlement accordés (Cpt.665)

 

2) En

   Coût (ht) des marchandises vendue = Achats (Cpt 607)

   - Rabais, Remise, Ristourne Obtenues (Cpt.6097)

   - Variations des stocks*  (Cpt.603 pour les matières premières, autres approvisionnements et marchandises)

 

 

Différent de :

 

b) Marge brute = Prix de Vente hors taxes - Prix d’achat hors taxes ;

 

    Marge Brute d’Autofinancement = Voir ce terme dans le lexique.

 

c) Marge nette :

La marge nette induit le principe de marge bénéficiaire que l’on pourrait exprimée ainsi :

Prix de revient incluant les coûts d’investissement et de fonctionnement + La marge nécessaire pour, rétribuer les acteurs de l’entreprise (Associés et salariés), rembourser les emprunts et favoriser l’autofinancement.

 

   Marge nette d’exploitation =  Voir le terme :  Marge opérationnelle

 

Attention : Ne pas confondre marge et bénéfice !

 

Coefficient de marge :

En matière commerciale et financière, pour définir cet indicateur utile pour comparer ses pratiques avec celles de la concurrence :

      Prix de vente / Prix d’Achat = Coeffficient mutiplicateur

   => Prix Achat X Coef.marge = Prix de vente

 

 Voir : Analyse financière ; Approvisionnements ; Bénéfice ; Classes de comptes ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ;  Prix (de revient) ; ; Ratio ; RENI/NOPAT ; Résultat(s) ;  SIG ; Taux de marge & marque  ; 

 

Voir aussi : Marge arrière ; Marge Brute d’Autofinancement ; Marge opérationnelle ;

 

Marge arrière

La marge arrière à été réglementée avec l'ancienne loi Galand qui a instauré un prix seuil de vente pour chaque produit afin d'imposer l'équité entre petite et grande entreprise.

 

Cette loi à également définit l'interdiction de vente à perte. De ce fait une parade des professionnels, surtout de la grande distribution, à consisté en une majoration du prix de vente au consommateur final et à la facturation de prestation, dites de coopération commerciale, au fournisseur (ex : référencement catalogue, tête de gondole, etc.) 

Ce procédé n'apparaissant pas sur la facture d'achat des marchandises concernées. Donc réduction de prix hors factures. En fait certaines pratiques ne relevaient pas de coopération commerciale mais d'une pratique de remise en fin de période sur objectif de vente.

 

Depuis le 1er janvier 2006, la loi Dutreil +Jacob et Sarkozy ayant pour ambition de corriger le tir en période d'augmentation des prix, due aussi à l'euro, a imposé de nouvelles disposition comme la limite des marges arrières à 20% du prix d'achat au fournisseur et sous réserve d'être justifiée par une coopération vérifiable.

Cette nouvelle réglementation qui à pour but d'agir sur la réduction des prix au bénéfice du consommateur, s'inscrit dans le dispositif NRE et en particulier dans la lutte contre les procédés anticoncurrentiels.

 

En revanche de nouvelles parades des principaux acteurs commerciaux, viennent déjà de voir le jour pour préserver les intérêts et profits des plus forts, dont la grande distribution, au détriment des plus petits producteurs. Reste à savoir si le consommateur y trouvera son compte !?    

 

 Voir aussi : CGV ; Contrats ; LME ; NRE ; Référencement ;

 

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Marge Brute d'Autofinancement - MBA

La MBA – Marge Brute d’Autofinancement : Est destinée à mettre en évidence l’autonomie financière d’une entreprise au cours d’un exercice comptable.

Cette appréciation basée sur les éléments du bilan et non du compte de résultat.

La formule peut s’exprimer ainsi :

+ Résultat net après impôts  (incluant les résultat de cession d’ Capacité d’autofinancement ;  s)

+ Amortissements et provisions

= MBA

C’est donc la possibilité pour l’entreprise de se financer par ses propres moyens mais avant la distribution des bénéfices.

 

Le nouveau plan comptable français, depuis 1982, a préféré la Marge Brute d’Autofinancement à celle de la « Capacité d’autofinancement » désignée souvent par CAF.

Car à l’inverse de la CAF la MBA intègre le résultat de cession d’actifs qui ne relèvent pas réellement de l’activité de l’entreprise faussant ainsi le résultat de la seule perfomance d’exploitation.

Cependant il ne faut pas perdre de vue que de plus en plus d’entreprises s’évaluent par leur rentabilité globale y compris celle réalisée sur la gestion d’actifs immobilisés ou les plus values de gestion de trésorerie.

 

 Voir : Analyse financière ; Autofinancement ; Bénéfice ; Bilan ; CAF, Cash-flow ; Compte de résultat social ; Evaluation RENI/NOPAT ; REEL ; Résultat(s) ; SIG ;

 

Voir aussi : Marge(s) ;

 

Marge opérationnelle

Marge opérationnelle : Appelée aussi Marge nette d’exploitation.

 

Formule = RENI  / CA

 

Ce ratio est souvent utilisé pour apprécier rapidement une entreprise dans un objectifs d’opération de haut de bilan (Fusion acquisition, REEL, etc.)  Cet indicateur est ainsi comparé avec celui des entreprise concurrentes ou plus généralement de son domaine d’activité.

 

 Voir : Analyse financière ; Chiffre d’affaires ; Compte de résultat social ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Ratio ; RENI/NOPAT ; REEL ; Résultat(s) ; SIG ;

 

        Voir aussi : Marge(s) ; Marge arrière ; Marge Brute d’Autofinancement ; 

 

Marketing

 

 Voir : Mercatique 

 

Markup rate

 

 Voir : Taux de marque/marge

 

Marque de fabrique

Marque de fabrique = Trademark. : ™  ; (Marque   =  )

 

A l’origine ce nom, cette griffe, correspondait effectivement à celui qui en était à la fois le concepteur et fabricant.

Cette marque de fabrique était un gage de qualité d’où le vocable « image de marque » souvent reprise dans le « Nom commercial ». 

 

Avec la mondialisation de l’économie, le développement des complémentarités et spécialisations des différents acteurs, le concept a évolué par exemple vers des marques dites de distributeur (MDD)

 

Ces évolutions ont fait naître de nouvelles pratiques ayant leur propre terminologie comme par exemple : « ROC » = Réponse optimale au Consommateur = trade marketing , ou merchandising. 

 

Attention : Ne pas confondre avec la marque déposée, enregistrée = ® 

 

 Voir aussi : Cogriffage ; Communication ; Nom commercial ; Raison sociale ; INPI ; Merchandising ; Marque déposée ; Droits d’auteur ;

 

Marque déposée

Marque déposée = Registred mark  ; Handelsmarke  ;

 

Système de dépôt officiel d’une marque en vue de sa protection.

Il est souvent identifiable par le signe ®

 

Attention : ne pas confondre avec la marque de fabrique = ™

 

 Voir : INPI ; Brevet ; Soleau ;

 Voir aussi : Marque de fabrique ; Nom commerciel ; Propriété ; Raison sociale ; Droits d’auteur

 

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 Infos :

- INPI : Institut National de la la Propriété Industrielle.

 

Maslow

 

 Voir : Pyramide des besoins ;   Management participatif ;

 

Material Adverse Change

 

 Voir : Clause de sauvegarde  

 

MATIF

Marché à Terme International de France – MATIF

Ex Marché à terme d'instrument financier sur des taux, devises et indices.

 

Permet de fixer la couverture de certains risques financiers liés aux décalages de temps ou de devises.

Ce marché comme beaucoup d'autres est devenu essentiellement spéculatif.

 

Attention : Différent du MONEP qui ne concerne que les valeurs mobilières.

 

 Voir : Monep ; Option (de marché) ;

 

Matrice

Voir différents concepts :

 

- Matrice d’Affectation des Responsabilités :

Le PMI®  - Project Managemet Institute - dans son corpus des connaissances (PMBOK) décrit cette grille comme une « Matrice d’Affectation des Responsabilités » ( RAM – Responsability Assignment Matrix) notamment sur la base du concept PMI® « RACI » : (Voir images)

- Responsible  =  Responsable au sens de celui qui fait = Réalise ;

- Accountable  = Approuve : Au sens de celui qui rend compte de l’avancement

                                        ou détient la décision, l’autorité ;  

- Consulted     = Consulté : Au sens d’échange bilatéral = Retour attendu avant validation ;

- Informed      = Informé : Au sens unilatéral pour ceux qui doivent l’être comme le client, sponsor.

Cette matrice sera avantageusement présentée sous forme de tableau précisant en :

   - Abscisse = les fonctions et personnes concernées ;

   - Ordonnée = les activités (ex : Définir – Concevoir – Développer – Tester).

 Voir : Management de projet ; Responsabilité ;  Technique de concassage ;

 

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- Matrice de répartition des Tâches = Work Breakdown Structure : WBS

   Appelé aussi Structure de Répartition des Activités ou Structure de Découpage de Projet

 Voir : Organigramme des tâches ;

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- Matrice des priorités (dite d’Eisenhower/urgent et important) :

   Visuel permettant de différencier l’important de l’urgent afi de favoriser les prises de décisions :

 Voir : MoSCoW ; Priorité ; QPQQCOC ;VoDePo ;

 

 

MBA

MBA : Le Master of Business Administration est le diplôme de niveau international le plus élevé (études supérieures) en terme de gestion globale d'entreprise :        

               Ex : Ressources humaines, finances, stratégie, management, marketing.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Employabilité ; Formation ; Ressources humaines ;

 

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 Infos :

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  INSEEC 

-  : IAE Lyon 3 

 

MBO

Différentes acceptions :

 

MBO = Management Buy Out      Ne pas confondre avec :    Management by objectives

 

 Voir : OBO ; REEL ;                         ou                        Management par objectifs

 

MBTI

Méthode de Myers et Briggs destinée à étudier la personnalité des individus.

 

 Voir : Evaluation ;

 

MCA

 

 Voir : Méthode des coûts par activité.

 

MCNE

Mobilisation de Créances Nées à l’Etranger.

 

 Voir : Créance Née à l’Etranger ;

 

MDM

Master Data Management 

 

 Voir : Management de données principales/essentielles

 

Mécénat

A l’inverse du parrain (= sponsor), le mécène conduit une action désintéressée au sens spéculatif.

 

Même s’il soutien souvent des actions de communication celles-ci ne sont pas réalisées dans un but commercial.

Le mécène n’est donc pas un commettant !

 

Le Mécénat d’entreprise est une action qui ne peut exister que grâce au développement économique et à de nombreuses activités spéculatives.

Les effets induits du mécénat sont à l’origine de nombreuses activités économiques et commerciales. Cependant il reste un formidable vecteur du développement culturel et de conservation du patrimoine collectif. C’est aussi un accélérateur du développement économique et social.

 

Attention : Il ne faut donc surtout pas confondre mécénat et parrainage à défaut de requalification surtout sur le plan fiscal.

 

 Voir : Aides ; Commanditaire ; Commettant ; Contrat ; Mercatique ; Parrain ;

 

MEDAF

Modèle d'Evaluation/Equilibre des Actifs Financiers – MEDAF = Capital Asset Pricing Model (CAPM)

 

Concept controversé, utilisée pour mesurer, évaluer, la rentabilité des différents actifs, notamment ceux exigés par les actionnaires des fonds, en fonction des risques (Marché, Taux, etc.)

 

La modélisation de ce concept par de principes tels que les acquéreurs de titres :

-         Ont les mêmes anticipations sur les risques et la rentabilité (recherche de risque mini et rentabilité max) ;

-         Sont rationnels dans la constitution de leur portefeuille (Reduction des risques en diversifiant)

Ainsi le risque, sur un marché en équilibre, porterait seulement sur la part de portefeuille non diversifiable !?

 

Le MEDAF n’est pas la seule mesure de rentabilité des actifs financiers, ni la plus juste (ex : Gordon et Shapiro) Mais l’avantage du concept permet de porter une appréciation comparable sur les gestionnaires de portefeuille en applicant une formule modélisée.

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;      

 

Voir aussi :  Actions ; Coefficient de capitalisation des résultats - PEG ; Evaluation ; PBR ;

 

Médiation

Médiation =   ;

Depuis 1995 il existe deux Modes Alternatif de Résolution des Conflits, avant le jugement devant un tribunal. La médiation et l'arbitrage. Le M.A.R.C. est issu de l'ADR = Alternative Dispute Resolution, pratiquée aux USA où les recours aux actions en justice sont souvent longs et les coûts très importants surtout en frais d'avocats et indemnités.

 

La médiation permet de traiter différents types de conflits (litige commercial, problème financier, désaccord entre partenaires et associés, etc.) Cette action est souvent moins coûteuse, longue et contraignante qu'une procédure judiciaire. Elle est surtout totalement confidentielle, même à posteriori le médiateur ne pourra témoigner sur cette médiation.

 

Il existe 2 types de médiation :

- Conventionnelle qui est soit déjà inscrite dans les termes d'un contrat soit qui fait l'objet d'un accord ponctuel entre les parties.

a) Intégrée dans un contrat la clause de médiation impose aux parties de passer par cette action avant le recours devant un tribunal. Cette disposition a bien évidemment pour effet de suspendre les délais de prescription

b) Dans le cas d'un accord ponctuel, l'action peut être introduite par seulement une des parties qui peut mandater un tiers afin de solliciter la partie adverse pour proposer et définir les conditions de la médiation. L'avantage est que les termes de l'accord sont libres et que ce type de procédure est amiable donc dans un contexte de négociation. Une solution négociée est d'autant plus facilitée que les parties ont déjà accepté le principe de la médiation.

 

- Judiciaire encadrée par la loi du 8 février 1995. La médiation est proposée par un juge à l'initiative ou non d'une des parties.

La médiation n'est pas une procédure contradictoire comme l'arbitrage ni une simple négociation entre les parties.

Elle repose sur un principe structuré qui implique la participation pleine et entière du médiateur.

 

Le médiateur est un tiers impartial, neutre accepté par les parties. Son rôle est de faciliter les relations à propos d'une situation conflictuelle et de permettre la négociation pour aboutir à un accord et mieux encore à la reprise des relations commerciales, le cas échéant.

 

Le médiateur ne donne pas son avis et ne prend aucune décision et encore moins ne prononce de sentence comme le ferait un médiateur ou un juge.

 

La mission de médiation renouvelable 1 fois, dure 2 mois en conventionnelle et 3 en judiciaire pour des coûts de 300€ de l'heure qui sont à priori partagés par les parties.

 

 Voir : Arbitrage ; Clauses ; Credit Management ; Management de contrats ; Pression ; Procédure ; Ressources Humaines ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

-  CIMA = Centre Interprofessionnel de Médiation et d’Arbitrage, regroupant des avocats, notaires et Experts-comptables.

 

- RME = Réseau des Médiateurs en Entreprise regroupe des professionnels indépendants venant d'horizons différents ex : DRH, formateurs, managers, juristes.

- Voir aussi : L'association française d'arbitrage et le CMAP Centre de Médiation et d'Arbitrage de Paris

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Mél

Message électronique - Mél = Courriel , e-mail .

 

Mél = Alternative plus courte, explicite et moins compliquée que le mot courriel pour désigner un message électronique et pour une fois plus court que le terme anglo-saxon !

 

Les services utilisant des logiciels d’envois de méls en masse sont connus sous : ESPs = Email Service Provider. Ils peuvent être gratuits, notamment sur un concept de donatiel ou payant exemple par abonnement liée au nombre d’envois.

 

Comment bien utiliser le mél ? :

Il est important de ménager le destinataire et éviter de parler que de soi !

Attention aux images et autres liens trop nombreux qui peuvent conduire directement à la poubelle du destinataire !

- Objet : Il est bon de bien le structurer car beaucoup de destinataire ne lisent pas le contenu si l’objet ne retient pas leur attention

    1°) Privilégier ce qui est important pour le destinataire !

    2nd ) Structure type : du général au particulier et préciser ce qui est attendu ex : Réponse ; Action ; Information. Pour avoir une chance d’être suivi dans vos attentes !

    3ème ) Si vous changez de sujet mais pas de destinaire ne soyez pas stupide = Changez l’objet !

- Destinataire :

    - Principal : A = Choisir la bonne adresse ;

    - Secondaire : Copie = donc seulement => pas de retour 

     - Incognito : Cci = Eviter les témoins cachés => source de manque de confiance de ceux qui le savent ! Sauf si à dessein = Justifié !

- Contenu : Il doit être de qualité !

    - Et s’il est volumineux, pour permettre une réflexion ou autre travail ultérieur = Utiliser les polices appropriés pour mettre en valeur certains points, termes, etc.

La pratique en texte brut est non seulement peu attractive mais fait perdre beaucoup de temps au lecteur le  contraignat à tout lire !

- Signature : Soyez reconnu et joignable autrement que par mél et adoptez une signature épurée, surtout en image et liens !

- Suivi : Puisque vous êtes l’initiateur, le demandeur, c’est à vous d’assurer le suivi de vos actions ! Même si vous avez sollicité les autres. Ex : Quand vous parlez c’est à vous de faire en sorte que l’on vous perçoit…

    Evidemment il faut savoir gérer ses priorités ex : « Gros cailloux » et il est bon de coupler vos actions avec un outil de gestion des relations.(GRC-MRP-XRM…)

- Archivage : Si nécessaire seulement, penser à l’archivage pour vous mais aussi vos destinataires et avant l’envoi ex :

    a) Utiliser l’objet. Mais au fur et à mesure des échanges successifs adaptez le = Plus facile à gérer à postériori ex : en précisant RE : Qui +Spécifité de mél comme phase, nouvelle action…

    b) Adopter un classement visuel et informatique facilitant les recherches ultérieures notamment en commençant votre ‘’Objet’’ ou au moins sauvegarde par : AAMMJJ = Vos fichiers se classeront automatiquement et dans le bon ordre !

 

Grâce à ces quelques principes vous allez gagner en temps et efficacité

   et surtout vous serez mieux perçus et donc apprécié de vos contacts…

 

 Voir : Arrobe ; Donatiel ; GRC ; Logiciel espion ; Mouchard ; Multitasking ; Opt-In et out ; Spam ; Ver ; Virus ; Troyen ;

 

       Voir aussi : CNIL ; LCEN ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  : EMA est un logiciel-donaciel d'envoi de courriels et d'infolettres en masse totalement gratuit pour une utilisation personnelle ou pour une association, Pour les autres faire un don pour encourager ce formidable travail collaboratif !

 

Mémoire(s)

=   ; Gedächtnis, Denkschrift  ;

Dispositif qui emmagasine des informations dans le but de les restituer. La capacité mémoire se mesure en octets. Il y a plusieurs façons et conserver les données de masse en mémoire, par exemple sur disque dur interne ou externe, ou clé USB, disque optique, etc.

 

Chaque ordinateur possède plusieurs mémoires :

- Mémoire vive = RAM : Random Access Memory  . Mémoire en lecture/écriture

- Mémoire morte = ROM : Read Only Memory   Mémoire en lecture seule

- Mémoire Tampon = Buffer  Mémoire qui est temporaire et destinée à être transférée vers un périphérique. Les imprimantes possèdent leur propre mémoire tampon.

 

 Voir aussi : Carte mère ; Mémoire(s) ; Réseaux ; BUS ; Pilote ; API ;

 

MEMs

Micro Electro Mechanical system = Système Micro-électro-mécanique

 

Les systèmes intégrant des composants électroniques miniaturisés utilisés pour capter, détecter, piloter des mécaniques diverses en automobile, optique, armement, médical, énergie, séccurité, communication, etc. sont présents tout autour de chacun d’entre nous et conditionnement la pérennité de nos activités professionnelles notamment par les applications industrielles et de communication au sens le plus large !

 

Les choix relatifs à ces MEMs peuvent servir des besoins fonctionnels mais ils sont avant tout issue de l’évolution des applications technologiques de nos entreprises.

Pour l’un comme pour l’autre il faut parfois se rendre compte de nos besoins matériels et de la manière dont ils sont satisfaits pour innover, vendre, évoluer dans nos pratiques… pour atteindre l’efficience.

 

 Voir : Intelligence économique ; Sécurité, Veille ;

 

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 Infos :

CAP’Tronic association Jessica France : Voir notamment les séminaires régionaux organisés à propos des MEMs

 

Meneur

= Leader  ; Spitzenreiter  ;    ;

Le meneur est celui qui fédère et conduit les autres en montrant le chemin par sa participation, sans pour autant détenir un pouvoir hiérarchique et faire du « Mobbing »

 

Attention ne pas confondre avec :

- Mentor : Qui est une référence reconnue et souvent bien appréciée au sens de la qualité relationnelle, c’est un Maître, un sage.

- Entraîneur : Au sens de faire progresser par la pratique = Coach  ; Trainer  ;    ;

- Manageur : Qui détient un pouvoir hiérarchique et doit assumer des responsabilités = Manager

 

 Voir : Manager ;

 

   Voir aussi : Altermanagement ; Communication ; Ethologie ; Etudes d’usages et habitudes ; Evaluation ; Management de transition ; Management Intelligent ;  Organisation ;  Ressources humaines ;

 

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 Infos :

Télécharger l’article l’ART du management 1/3 = Leadership  Réalisé par Les Echos en partn avec HEC Paris : Vision, dirigeants, responsabilités, apprentissage, commandement, équipe, …

 

Mentor

Mentor : C’est une personne qui est devenue un exemple, mais plus encore, une référence reconnue et appréciée au sens de la qualité relationnelle et de sa perception de différentes problématiques.

Souvent pédagogue, emprunt d’éthique, ce modèle est aussi un Maître, un sage.

 

Par principe le mentor n’est pas directement partie prenante par intérêt personnel à un projet. C’est pour cette raison que dans certains cas il ne perçoit qu’une indemnité plafonnée et non au résultat !

 

La relation « Mentor-Mentoré » repose exclusivement entre des personnes physiques.

Car c’est la relation personnelle et la communication, la compréhension, entre elles qui peut produire les effets bénéfiques.

 

Le mentor dispose nécessairement d’expériences dans de nombreux domaines qui lui permettent d’avoir une perception tranversale sur différents sujets, problématiques, projets.

Ainsi il peut favoriser la réflexion du « Mentoré » en l’aidant à reformuler ses questions, en lui proposant un accompagnement et le cas échéant lui faire de véritables recommandations personnalisées.

 

Lorsqu’il s’implique dans un projet il ne peut cependant pas exercer un pouvoir de décision.

En effet, ce n’est pas un consultant ni un manager de transition, un financeur, etc. Il perdrait alors son rôle d’aide à la réflexion. Il serait intéressé comme partie prenante dans une affaire et donc moins objectif dans l’aide qu’il peut apporter.

 

Attention ne pas confondre avec :

- Entraîneur : Au sens de faire progresser par la pratique = Coach  ; Trainer  ;    ;

 

- Meneur : Celui qui fédère et conduit les autres en montrant le chemin par sa participation, sans pour autant détenir un pouvoir hiérarchique = Leader  ; Spitzenreiter  ;    ;

 

- Manageur : Qui détient un pouvoir hiérarchique et doit assumer des responsabilités = Manager

 

Dans l’entreprise le mentor est en principe un collaborateur d’expérience et pédagogue chargé d'améliorer les compétences et la réussite professionnelle d'un individu et/ou d'une équipe.

 

Le mentor est bien plus qu’un entraineur c’est un modèle et dans certaines professions il porte la distinction de « Maître » car il maîtrise souvent la matière concernée (d’où diplôme)

 

Il peut aussi être une référence au sens de la philosophie et des méthodes. C’est pourquoi certains enseignants, formateurs qui savent captiver leur auditoire deviennent des « Maîtres à penser »

 

Apportant davantage qu’un simple savoir à un individu ou un groupe (100ème singe)  il permet la « Cohésion d’équipe ». Au sein d’une entité il peut ainsi s’impliquer dans la stratégie et le travail accompli. Il donne alors la preuve par l’exemple. Dans ce rôle il est aussi un meneur  = leader , un chef de projet.

 

 Voir : Management ;

 

    Voir  aussi : 100ème singe ; Activité d’affaires ; Aptitudes ; Altermanagement ; Clause d’intéressement ; Compétences ; Effet Pavarotti ;  Excellence Opérationnelle ; Externalisation ; Fiduciaire ; Habilitation ; Incitation ; Initié ; Intelligence ; Kaizen ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management de transition ; Plan de succession ; Pression ; Prime de succès ; Syndrome de l’étudiant ; Travail collaboratif ;

 

 

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 Infos :

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Xavier Vandenbulcke : Coach d’Affaires certifié, Accompagnement et pilotage du changement des TPME.  

 

Mercatique

Mercatique ou Marchéage :

Terminologies française du marketing ;   ;

 

C’est l’action qui s’inscrit dans la connaissance du marché. = Recherches + analyses = stratégie

On désigne souvent le processus général de cette action en 3 phases dites : DOP = STP 

   - Découpage de marché = Segmentation ;

   - Objectif/ciblage = Targeting ;

   - Positionnement = Positioning ;

 

L’activité commerciale s’exerce sur le terrain face au prospect et clients, elle bénéficie des moyens et méthodes élaborées par la mercatique.

 

La mercatique c’est l’ensemble des actions qui ont pour objet de connaître, de prévoir, de stimuler les besoins des consommateurs et d'adapter l'appareil productif, la stratégie commerciale et la logistique en fonction de ces besoins.

Selon les objectifs recherchés, les méthodes employées par les structures concernées, les activités, peuvent se décliner de différentes façons ex : Mercatique stratégique, opérationnelle (= Field marketing), virale, ethnique (= Sustainable marketing), de rue (= Street marketing), en lien direct client-fournisseur ( = Direct Marketing) etc.

 

Bien évidemment les outils de gestion, dont l’entrepôt de données, son indispensables aux fonctions mercatiques ex : Analyse multidimensionnelles, géomarketing, etc.) et les techniques d’échanges de données sont primordiales ex : EDI.

Les services utilisant des logiciels d’envois de méls en masse sont connus sous : ESPs : Email Service Provider = Fournisseur de service e-méls. Ils peuvent être gratuits, un concept de donaciel ou payant exemple par abonnement liée au nombre d’envois.

 

Les principes de la mercatique ont largement dépassé le secteur marchand.

Ainsi les méthodes sont aujourd’hui appliquées en politique tant sur le plan électoral (étude de marché et présentation des produits), que pour la gestion des collectivités territoriales, mais aussi dans l’armée ou par les ONG ex pour l’élaboration des actions de promotion destinées à la recherche de financements.

 

 Voir aussi : Abandonniste ; Approvisionnements ; Aptitudes ; BOGO ; Chaland ; Communication ; Décisionnel ; Direct marketing ; Domaine d’Activité Stratégique ; Donaciel ; EDI ; Effet d’usure ; Effet Pavarotti ;  Etalonnage ; ETAO ; Entrepôt de données ; Etude d’usages et d’attitudes ; Externalisation ; Génération : BB, X, Y ; Géomercatique ; Gestion de la chaîne des approvisionnements (SCM) ; Incitation économique, Intelligence économique ; Management de projets ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du rendement ; Modèles d’analyse de portefeuille ; OCARA ; One shot ; Pecha Kucha ; PESTEL ; Plan industriel et commercial ; Prospect ; Prospectus ; Pyramide des besoins ; référencement ; Réponse Optimale au Consommateur ; Segment ; Score d’appétence ; Sémiotique ; Stratégie Océan Bleu ; Stylique ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Veille ; XRM ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Lyon-Entreprises.com : L’annuaire des entreprises en Rhône-Alpes : Renseignements, partenariats, référencement, etc.

-  : EMA est un logiciel-donaciel d'envoi de courriels et d'infolettres en masse totalement gratuit pour une utilisation personnelle ou pour une association, Pour les autres faire un don pour encourager ce formidable travail collaboratif !

 

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 Formations Appropriées :

-  INSEEC : Masters : Mercatique, Pub, Media- Achats, Logistique, Aéronautique, etc.

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – RH – Marketing – etc.

- IMIS- Instit.Mgt des Industries de Santé : Masters Mgt et Marketing des industries de Santé

 

Merchandising

 

 Voir : Réponse Optimale aux Consommateurs.  

 

Merise

Méthode, d’origine française issue de l’analyse systèmique et procédant du mode projet, particulièrement utilisée en informatique de gestion et notamment pour les bases de données relationnelles.

Particulièrement utilisée pour les flux RSS.

 

 Voir : SGBD ; Web 2 ; Bottom-up ; Top-down ; Management de projet ; 6 Sigma ; ITIL ;

 

MESORE

Méthode mnémotechnique qui permet de définir la MEilleure SOlution de REchange – MESORE, applicable lors d’une négociation.

 

En effet tout négociateur professionnel doit savoir que la préparation doit lui permettre d’anticiper les différents écueils auxquels il peut être confronté et en conséquence bénéficier d’arguments et techniques alternatives aux solutions prévues en cas de blocage pour faire aboutir la négociation.

 

Ex : Cette pratique permet de mieux dire non à une expression de l’autre partie en proposant une solution acceptable par les négociateurs dans un rapport « Gagnant = Gagnant » sans pour autant qu’elle apparaisse comme une contre-proposition aux allures de « récupération » ce qui entraîne souvent de nouveaux blocages.

C’est le propre d’un comportement assertif propre à l’analse transactionnelle.

 

 Voir : Analyse transactionnelle/Assertivité ; Commercial ; EMOFF-FFPM ; Morphopsychologie ;

 

Meta tag

Meta tag est un type de balise   Tag ,  HTML, attachée a des mots clés ou a l’adresse URL, à la description d’une page web, etc. utilisée par les moteurs afin de répondre aux multiples requêtes.

 

Ainsi mieux la page est renseignée, meilleur sera le référencement sur Internet, c’est-à-dire le rang d’apparition d’une page /url suite à une recherche.

 

 Voir : HTML ; Internet ; Mouchard ; Moteur de recherche ; Mercatique ; Référencement ; URL ;

 

Metaframe

 

 Voir : Application déportée ; Trame ;

 

Métaphore de l’iceberg

 

 Voir : Communication ;

 

Méthode 5 S

En matière d’organisation dans le travail les japonais ont un concept traduit par «Méthode des 5S »

 

- Seiri : Supprimer l’inutile. Ne garder que le nécessaire ;

- Seiton : Situer les objets de manière accessible. Une chose à sa place donc une place pour chaque chose !

- Seiso : Saleté à proscrire. Travailler dans un environnement propre favorisant le respect des autres et des choses (qualié des relations et matériels + hygiène de vie)

- Seiketsu : Suivi des règles. Respecter les consignes et méthodologies qui favorisent la cohésion d’équipes ;

- Shitsuke : Satisfaire entre rigueur et ouverture. Pour mobiliser et pérenniser dans la qualité.

 

Ces définitions ne sont pas des traductions littérales mais d’un concept d’organisation et de qualité tel que l’a perçu Axcion dans la réalisation de ce lexique.

 

Ces concepts d’organisation dans le travail soutiennent la cohérence et la performance des groupes pour un travail de qualité.

Cette méthode permet également d’optimiser la qualité de vie pour chacun par l’instauration d’un respect de soi, des autres et des choses dans l’environnement de travail.

Ces principes mis en pratique servent également d’autres intérêts en effet :

- Une meilleur organisation individuelle sert l’ensemble d’un groupe en favorisant les échanges, l’aide en cas de surcharge ou la polyvalence en cas d’abscence qui elle aussi favorise l’acquisition de multiples compétences ;

- Confidentialité et surtout sécurité sont renforcées par ce mode d’organisation. Il ne faut pas oublier qu’en dehors de l’espionnage industriel des concurrents peuvent utiliser toutes sortes de moyens pour collecter des données trainant sur un bureau ou accessibles sur un ordinateur, pour connaître les pratiques de votre entreprise ou plus grave encore nuire à celle-ci

 

L’ensemble de ces repères participent au management intelligent.

 

 Voir : Comportement ; Ethologie ; Management au Plus Juste ; Management de projet ; Management de risques ; Management Intelligent ; Organisation ; Qualité ;  Sécurité ; Travail Collaboratif ;

 

 

Méthode Crawford

La méthode Crawford utilisée en management de la qualité et de projet consiste pour chacun à remplir confidentiellement une fiche avec un maximum d’idées sans risquer d’être publiquement remis en cause.

 

 Voir : Remue méninges ; Organisation ; Qualité ; Management au Plus Juste ; Management de projet ;  

 

Méthode des coûts cibles - MCC

Méthode de coûts cibles – MCC = Target costing.

 

Ensemble de méthodes et d'outils de gestion permettant de déterminer un objectif de coûts à partir du prix de vente visé, dont on déduit la marge souhaitée.

 

 Voir aussi : Management par activité ; Marge(s) ; Méthode des coûts par activité ; Méthode des coûts stables ;

 

Méthode des Coûts par Activité - MCA

Méthode des coûts par activité - MCA = ABC : Activity Based Costing.

 

 Méthode de gestion qui a pour objectif d'améliorer la répartition des coûts indirects sur les produits et ou services concernés par l'activité de l'entreprise.

C’est une variant de celle de PARETO

 

Approche ABC : Comptabilité analytique d’activité. Concept voisin de la méthode du coût sur objectif (target costing). Permet de déterminer les niveaux des coûts directs et indirects sur 1 produit ou service

 

La méthode des coûts par activité est destinée à favoriser une politique de redistribution des ressources et pas seulement de réduction des coûts.

C’est pour cette raison qu’elle doit s’appliquer à chaque activité, métier, centre de coûts ou de profit en prenant en compte ses acteurs, son environnement de travail et donc les moyens utilisés, notamment en complétant sa pratique par celle du management par activité !

 

Ainsi une fois ces critères d’appréciation clairement identifiés il sera plus évident  de définir la cohérence entre les activités, les produits ou services concernés et les ressources nécessaire à affecter.

La première démarche s’attachera au coûts directs puis ils sera ensuite plus évident et facile de s’attacher aux coûts indirectes.

 

Si cette méthode est bien appliquée elle dévient redoutable en matière de :

a) Travail collaboratif car cette méthode, dans bie des cas a permis de considérer chaque métier de l’entreprise comme un fournisseur et ou un client des autres pour sensibiliser et responsabiliser chacun à la rentabilité mais aussi à favoriser e travail collaboratif.

 

b) Prévision en matière de production en permettant de faire des simulations avant de lancer un nouveau produit ou service.

 

 Voir : Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Décisionnel ; Gestion Globale de la Performance ; Gouvernance ;  Management par l'activité ; Méthode des coûts cibles ; Méthode des coûts stables ; OVAR ; Pareto ; Tableaux de bord ; Travail collaboratif ;

 

 

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 Infos :

Voir aussi communiqué " La gestion des coûts basée sur les activités" ;

 

Méthode des Coûts Stables  – MCS

Méthode des coûts stables = Feature costing.

 

Méthode de détermination du coût de revient d’un produit ou d’un service qui consiste à en déterminer les caractéristiques stables pour prendre en compte le coût des activités successives nécessaires à leur production.

 

Remarque : On trouve aussi le terme "méthode du calcul des coûts caractéristiques" (MCCC ou M3C).

 

 Voir aussi : Méthode des coûts par activité ; Management par activité ; Méthode des coûts cibles ;

 

Méthode Monte-Carlo

La Méthode Monte-Carlo est une pratique scientifique ayant pour objectif de fournir une valeur chiffrée à partir de calculs de probabilité notamment à partir de suppositions, hypothèses et autres postulats et tests.

 

Dans les métiers de la finance, du management par projet, etc. c’est une façon de prendre en compte l’aléatoire dans de nombreux domaines pour évaluer statistiquement certains risques ou opportunités.

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ;  Audit ; Chaordique ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Halo ; Heuristique ; Management de projet ; Management de transition ; Supposition ; Test ; Transformation organisationnelle ;

 

Mezzanine

La dette Mezzanine est celle dont le remboursement commence seulement lorsque la dette principale, dite « dette senior » est remboursée.

 

 Voir : Créancier ;

 

Micro entreprise

Micro entreprise :

 

a)= Régime fiscal français (et nom statut d’entreprise). En conséquence vérifier les critères selon l’évolution des dispositions en vigueur.

 

- Ne concerne que les entreprises individuelles (ex : CA 2006 < 76.300K€ ht pour des activités de Vente de marchandises ou de 25 K€ si prestations de services)

 

- Franchise de TVA : Ces entreprises ne peuvent pas facturer la TVA et donc pas de récupération (Elles doivent notamment en informer leurs clients en faisant mention de l’article 293B du CGI sur les factures)

 

 - l’imposition se fait sur la base du CA total auquel est appliqué un abattement forfaitaire (ex : 68% en 2006 /Vte mdses. ou 45%/Prest.)

 

Offre essentiellement l’avantage d’utilisation un processus de déclaration fiscale et de tenue de compte simplifié. Ce régime est optionnel et peut bien évidemment évoluer surtout en cas de sortie de critères fiscaux du moment.

 

- Voir autres dispositions dont : le dispositif «Auto-entrepreneur » de la Loi de modernisation de l’économie.

 

b) Classement européen de catégorie d'entreprise = une micro entreprise est le concept d'une entité économique (dont association) constituée au maximum de 10 personnes et dont le CA ou total Bilan ne dépasse pas 2M€

 

Ce concept rejoint celui retenu généralement en France sous le vocable de TPE (très petite entreprise)

 

 Voir : Auto-entrepreneur ; BIC ; BNC ; IS ; Formes juridiques ; LME ; Statut ; ETM ;

 

Mid cap

 

 Voir : PME

 

Middleware

 

 Voir : Logiciel médiateur   PGI ;

 

MIF

MIFID

Marché des Intruments Financiers.

Encadré en Europe par la Directive MIFID =  Markets in Financial Instruments Directive.

Cette disposition réglementaire à pour objet de régir les activités des sociétés d’investissement pour l’ensemble des pays de la communauté européenne, notamment pour les questions de sécurité des opérations.

 

 Voir : Marché ;

 

Milestone

Milestone = Borne kilométrique

 

 Voir : Clause de sauvegarde ; Borne.

 

Minute

Minute est le nom donné à l'original d'un jugement conservé au greffe du tribunal et revêtu de la signature du Président ainsi que de celle du Greffier.

 

C'est aussi l'original d'un acte rédigé par un officier public comme un notaire, huissier, etc. Ne pas confondre avec la formule exécutoire.

 

 Voir : Formule exécutoire ; Juge ; Procédure ; Tribunal ;

 

Mise en demeure

La mise en demeure est une sommation initiée par un créancier, ou son mandataire, par courrier recommandé (ou autre moyen ayant date certaine) adressé à son débiteur pour lui signifier qu'il n'a pas honoré ses engagements de paiement d'une dette/créance et qu'en conséquence une procédure judiciaire pourra être engagée contre lui faute de paiement dans des conditions précises.

 

 Voir aussi : Délais de règlement ; Injonction de payer ; Intérêts moratoires ; LME. NRE ; Recours ; Référé provision ; Protêt ;

 

Mission

 

 Voir : Activité d’affaires ; Contrat ; CSP ; Externalisation ; Frais professionnels ; Management de projet ; Management de transition ; Mandat ; Ordre de mission ; Per diem ;

 

Mobilité

La mobilité se conjugue aujourd’hui de mille et une manière. Dans le monde professionnel on parle surtout de déplacements, de communication ex :

 

- Pour bien démarrer dans la vie professionnelle il est de plus en plus indispensable que les étidiants réalisent une partie de leur formation dans au moins un pays étranger ;

 

- Mutation professionnelle pour rester employable et donc mobilité sociale car il faut prévoir les changements de résidence et d’habitudes de vie notamment sur le plan affectif ;

 

- Moyens de communication mobile : Comme les téléphones, l’accès à des bases de données même sans outil personnel, l’utilisation des réseaux et technologies appropriées, etc.

 

 Voir : Client riche ; Conciergerie d’entreprise ; Externalisation ; FAH ; Formation ; Gestion de la relation Clients ; Réseaux ; VIE-VIA ; Zones Géographiques et économiques internationales ;

Voir aussi : GPRS ; Edge ; UMTS ; HSDPA ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

Mobbing

 

 Voir : Pression ;

 

Modaraba

« Modaraba » est un système d’aide d’institution financière islamique destiné à des créateurs d’entreprises n’ayant pas les moyens financiers nécessaires.

 

Ce contrat prévoit que l’institution sera directement intéressée aux profits de l’activité.

Cette pratique comme d’autres (ex : Morabaha) est réalisé dans le cadre du droit islamique qui organise le principe de rémunération autrement que par l’utilisation d’un taux d’intérêt.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Aide(s) ; Taux ;

 

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 Infos :

-   Travaux de la Commission Des Finances du Sénat français :

 «Finance internationale - Finance islamique - Table ronde consacrée à l'intégration de la finance islamique dans le système financier global »

 

Mode Alternatif de Résolution des Conflits

M.A.R.C.

 

 Voir : Médiation ; Arbitrage ;

 

Modèles d’analyse de portefeuille

Modèles d’analyse de portefeuille :

 

- L’approche BCG (Business Consulting Group) défend la théorie selon laquelle la compétitivité d’une entreprise est directement liée à une pratique des coûts les plus bas du fait notamment de l’augmentation des volumes de production et de la diminution des temps de production. (d’où taux de croissance)

  Voir : DAS = Domaines d’Activités Stratégiques  (Voir : Tableau)

 

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- L’approche ADL (Arthur D. Littel) est en revanche basée sur des données variables différentes comme :

a) La maturité du métier, prenant ainsi en compte des notions bien plus étendues et de meilleure qualité que dans l’approche BCG ;

b) Le positionnement stratégique par rapport à la concurrence.

 

D’autres approches font école comme celles dites :

 

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- de Mc Kinsey : 3 positions (Fort ; faible ; Moyen ;) sur 2 axes L’intérêt du secteur pour l’entreprise et La position concurrentielle dans les Domaines d’Activités Stratégiques.

 

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- de Porter aussi appelée « Analyse industrielle » et qui porte sur :

   a) L’analyse de la concurrence, rivalité et menaces entre anciens et nouveaux acteurs ;

   b) L’attrait de solutions alternatives, concurrence indirecte ;

   c) Les rapports de force entre vendeurs et acheteurs = Pouvoir de négociation ;

plus axée sur l’environnement moteur de la stratégie et donc plus étendue encore que par ABC et ADL.

Porter est également à l’origine du concept « Chaîne de valeur » qui met en évidence pour un client le prix d’un produit ou service.

Ce modèle utilise souvent un diagramme (Force ou diamant de porter) en forme de toile d’araigné (ou un graphique de type liens multidimensionnels.

 

 Voir : Audit ; Domaine d’Activité Stratégique ; EMOFF ; Evaluation ; Mercatique ; PESTEL ;

 

Modem

Modem est tiré de la contraction de : Modulateur, démodulateur :

Appareil qui permet l’accès d’une liaison au RTC pour télé transmettre.

 

Pour connexions multiples, il faut associer un concentrateur au modem (ex : Perle)

 

 Voir : IPA ; ADSL ; PABX ;

 

Module d'extension

Le module d’extension est un petit logiciel ajouté à une application dont les fonctionnalités sont destinées à faciliter les échanges d’informations en simultané en particulier avec des applications externes.

 

 Voir aussi : IPA ; Mouchard ;

 

MONEP

Marché des Options Négociables de Paris – MONEP :

Ne concerne que les valeurs mobilières.

Différent du MATIF.

 

 Voir aussi : Matif ; Option (de marché) ;

 

MOP

Loi française MOP : Maîtrise d’Ouvage Publique

 

 Voir : Maître d’œuvre ; Maitre d’ouvrage ;

 

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  Infos :

-  Synertal demander le support « Loi MOP » Synthèse : les différents textes de loi, définitions, relatifs a la Maîtrise d’Ouvrage Publique et ses rapports avec la Maîtrise d’Oeuvre Privée.

 

Morphopsycologie

Science des relations basée sur l’analyse des formes, notamment du visage, pour déterminer, le comportement, la personnalité, d’un individu.

Cette pratique ancestrale et même animale est l’une formed’expression primaire. De nombreux animaux, dont l’humain, la pratiquent pour communiquer dans bien des situations ex : Prévenir d’une menace imminente

 

L’humain voulant toujours dominé davantage essaye grâce à cette pratique de deviner ce que les autres sont, souhaitent, n’apprécient pas, etc. notamment pour influencer des actes négociations.

 

La morphopsychologie est pratiquée dans bien des domaines ex :

- Mercatique par les choix des expressions et allures des personnages de pub ;

- Commercial pour étudier le prospect et ses réactions lors d’une négociation ;

- RH pour évaluer les comprtements potentiels des candidats lors de recrutement ; 

 

 Voir : Commercial ; Communication ; Comportement ; Ethologie ; Evaluation ; Mercatique ; Mesore ; PNL ; Portrait chinois ; Pression ; Ressources humaines ;  

 

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 Infos :

DCF – Dirigeants Commerciaux de France- à Lyon :

Conférence Morphopsychologie, le visage miroir de la personnalité par Patrice Ras

 

Mortar

 

 Voir : Mortier

 

Mortier

Mortier = Mortar

Le terme mortier désigne une entreprise réelle (construite en dur) par opposition à une activité virtuelle comme par exemple les sociétés qui pratiquent la vente exclusivement sur Internet et donc ne disposent pas de magasins.

 

Apellation :

-         Pour les 2 activités = Clic et Mortier

-         Pour une filiale internet = Dotcorp:

 

 Voir : e-commerce ; Dotcorp ;

 

MoSCoW 

 

 Voir : Priorité ;

 

MOSI

Méthode d’Organistion et Stratégie d’Intervention

 

Pratique simplifiée de planification de projet utilisant un graphisme de type organigramme de tâches, diagramme à barre, pour préciser dans le temps, les étapes, les particpants et principales actions.

 

 Voir : 8D ; GANTT ; Management de projet ; Matrice d’Affectation des Responsabilités ; Organisation ; PERT ; Transformation organisationnelle ;

 

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 Infos :

Pour exemple voir le support de Nicolas MOINET/ICOMTEC

 

 

Motivation(s)

La motivation engendre un acte, une décision.

A l’nverse de la confiance qui peut rester statique la motivation s’inscrit dans le pragmatisme.

C’est pourquoi il ne faut pas confondre confiance et motivation

 

En management d’équipe, d’autant que nous pouvons tous avoir plusieurs motivations sur un même sujet, il faut identifier le type de motivation, qui peut être bien différent pour chacun ex :

  - Altruisme et confiance : Dont admiration pour un mentor ;  

  - Ego et Exister : Simplement faire partie de l’équipe ou devenir le chef !

  - Vénale : Appât du gain ;

Selon le cas, mais aussi les aptitudes et compéteces, il faudra composer pour enclencher le moteur de cette motivation… 

 

Sans vouloir offenser Einstein et voulant rendre hommage à Jacques POMMIER et Glaudius BOUCHON la formule de l’efficacité serait :

   E = C.M2 : L’ efficacité est égale à la compétence multipliée par le carré de la motivation !

 

 Voir : Acte ; Amélioration continue ; Conduite du changement ; Confiance ;  Evaluation ; Habilitation ; Incitation économique ; Management d’équipe ; Procrastination ; Responsabilité ; Travail collaboratif ;

 

Mouchard

Mouchard = Cookies

Procédure automatisée implantée dans le système informatique de l'internaute, par le serveur consulté, en principe pour faciliter la lecture de certains messages.

 

Ce système permet notamment de mesurer le taux de sélection d’un lien par exemple sur un bandeau publicitaire taux de mouchardage (= taux de capping) et d’effectuer un profilage selon les pages consultées et une veille pour affiner la connaissance de l’internaute qui s’apparente à une véritable traque (= Tracking).

 

Ce type de pratique est interdit sauf accord de l’internaute (comme c’est le cas de blogs interactifs)

Le logiciel espion est un mouchard (ou plus sophistiqué) implanté dans un système d’information informatisé pour récupérer des données sans l’accord du site introduit et lui porter préjudice ex : en matière de concurrence déloyale.

D’autres pratiques de marketing viral relèvent du « Recrutement mystifié » = Hoax recruiting  Technique assimilable au cheval de Troie.

 

Attention : Le mouchard peut être utilisé à des fins d'identification ou très souvent de comptage d'entrée dans un site et en particulier sur les bandeaux ou les autres fenêtres temporaires à l’aide de procédés appelés :

 - Marqueur (Patte, accroche, étiquette)    = tag   qui permet notamment le contrôle instanané (marqueur de page basé sur un code javascript inséré dans une page HTML)

- « Log » qui permettent en particilier de réaliser des fichiers statistiques journaliers générés par et à partir de serveurs qui enregistrent le trafic

Ces techniques permettent de mesurer :

- Le taux de clic par des indicateurs divers ex : activité = visites, provenance ; Performance = taux de conversion des visites en contacts ; pages vues,

- Le taux de rebond : internaute qui quitte rapidement un site

 

Ceux qui ont développé les méthodes et techniques mercatiques et publicitaires basées sur le comptage des connections ont mis en place de systèmes tarifaires basés sur le nombre de « Clic » par lien.

Cette pratique consiste notamment à faire payer le client à l’origine du message publicitaire par CPL (Coût par lead) ou CPM (Coût par mille).

 

Attention : Le nombre de clic des internautes n’est pas en soi une garantie de succès !

En effet il y a les curieux, les concurrents et autres statisticiens (dont les étudiants).

Toutes ces entrées n’ont évidemment pas comme objectif de se transformer en clients pour générer les achats attendus par celui qui paye les clics !

Mais, plus grave ! certains acteurs de l’Internet font volontairement grimper le nombre de clic par des procédés manuels et surtout automatisés dans le seul but de facturer le client propriétaire de la marque / produit concerné.

 

 Voir : Spam ; opt in/out ; plug-in ; Logiciel espion ; Virus ; Cheval de Troie ; Ver ; Bogue ; Meta tag ; CNIL ; LCEN ;

Voir aussi : Communication ; Comportement ; Mercatique ; e-Business ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ; e-business ; HTML ; Référencement ;

 

Moulinette

 

 Voir : Barattage

 

Moyens de paiement

Les plus connus des moyens de paiement sont :

Numéraire/espèces - ChèqueEffet/traite – Virement & V.com – PrélèvementTUP (Titre universel de paiement) – Troc = échange de biens – Barter ;

 

Attention : A part l’aspect pratique qui peut paraître évident mais s’avérer trompeur, les recours sont différents pour ce qui concerne l’administration de la preuve et donc attester de la volonté de contracter des parties, mais aussi pour ce qui concerne les suites en cas de conflit tant sur le paiement que sur la propriété du bien.

 

D’autre part selon le moyen de paiement utilisé celui-ci pourra ou non offrir au créancier la possibilité de l’utiliser à des fins de refinancement pour couvrir ses propres besoins de trésorerie. Le prix (ex : agios d’escompte) de ce « Papier » selon les garanties qu’il offre (Acceptation, aval, caution, gage, etc.) sera un atout majeur de transaction.

 

Il faut donc porter une attention toute particulière sur le moyen de paiement pour toute transaction. C’est ce qu’enseigne le Credit Management notamment aux commerciaux pour les aider à conforter leurs ventes tout en optimisant la gestion de l’entreprise.

 

 Voir : Les termes ci-dessus désignant les moyens ;

 

   Voir aussi :  Accipiens ; Aval ; Barter ; Caution ; Contrat ; Credit Management ; Endos ; Gage ; Management de contrats ; Recours ; SEPA ; Trésorerie ;

 

MSP

Maîtrise Statistique des Procédés = Statistical Process Control

 

 Voir : Management des Relations Partenariales

 

M to M

Machine to Machine.- M to M 

Désigne la télécommunication et les interactions, entre objets, qui en découlent entre des systèmes informatisés distants pouvant concerner de nombreuses applications comme la sécurité d’accès, la gestion automatisée des approvisionnements, la maintenance, le paiement à distance, le suivi de colis en transit, la signalisation, à partir de technologies multiples comme par exemple :

 

GSM, GPS, GPRS, RFID, WAN, WIFI,  Blue tooth, Edge,

 

 Voir certains des termes ci-dessus.

 

MUDA – MURA - MURI

Types de gaspillages.

 

 Voir : 3M ;

 

Multitasking

Multitasking  Multi-Tâches : C’est une pratique qui consiste à vouloir effectuer plusieurs actions en même temps

 

Attention :

 a) Nombre d’entre nous sont capables de chasser plusieurs lièvres à la fois, surtout s’ils vont dans le même sens ou d’être à la fois chasseurs cueilleur ex :

   - Un bon commercial étudie les comportements, attitudes de son interlocuteur pour déterminer sa personnalité, son caractère, il le teste en lui demandant des recommandations. Sur le chemin de ses déplacements il repère les prospects potentiels ;

   - Un dirigeant innove en rêvant tout éveillé pendant qu’il écoute un rapport de ses collaborateurs et échafaude une nouvelle stratégie en rapport avec ce qu’il entend…

Toute ces pratiques sont efficaces mais font partie de phases traitées séparément. Même un court instant votre esprit se concentre sur un élément principal délaissant en partie tous les autres.

 

   b) Multitasking : C’est complétement différent d’une réflexion stratégique, ou d’appréhender ce qui se trouve sur un même chemin.

En effet le cerveau humain n’est pas conçu pour réaliser plusieurs tâches à part entière et surtout si elles ont  des moyens et objectifs différents ex :

   - Soutenir une discussion tout en effectueant une recherche sur Internet ou en réalisant des analyses.

   - Téléphoner en conduisant voir les délais de réaction et les dégâts que cela peut provoquer pour s’en convaincre.

et pourtant nombreux sont ceux qui sont persuadés pouvoir y arriver et le prouvent notamment pour l’accident de voiture qu’il provoquent en ayant téléphoné !

Ces personnes ne se rendent pas compte que d’une part elles manquent de respect à d’autres mais surtout sont inefficaces dans leur travail.

Il leur faut vite changer avant d’être addict à ce type de pratique, de s’adonner à la procrastination et de s’imposer des pressions qui deviendront insurmontables = Gérer les priorités 

 

 Voir :  Ethologie ; Excellence Opérationnelle ; Heuristique ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management intelligent ; Organisation ; Pression ; Priorité ; Procrastination ; Qualité ; Syndrome de l’étudiant ; Théorie des contraintes ;Travail collaboratif ;

 

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 Infos 

- e-Livre : 55 Conseils pour être plus efficace et plus productif. En entreprise, sur Internet et dans la vie.

 

 

N

 Novacité : CEEI, incubateur de projets innovants : Accompagnements divers, suivi post création.

NACRE

Nouvel Accompagnement pour la Création et la Reprise d’Entreprise.

 

Dispositif d’aide qui en France remplace à la fois EDEN et le chéquier conseil depuis janvier 2009.

- Aide au montage du projet

- Structuration financière et intermédiation bancaire

- Appui au démarrage et au développement

Destiné aux créateurs et repreneurs d’entreprises sous conditions qu’ils soient chomeurs et ou bénéficiaires de minima sociaux

 

Se renseigner auprès des  Chambres de commerce, dans les Pôles Emplois et aussi aux directions déârtementales et régionales du travail et de l’emploi

 

 Voir : ACCRE ; ADIE ; Aides ; Formation ; Forme juridique ; Boutiques de Gestion ; Statut ; TPE ;

 

NAF -NACE

La Nomenclature d'Activités Française – NAF, est la nouvelle nomenclature statistique nationale d'activités qui se substitue depuis le 1er janvier 2003 à la NAF de 1993.

 

Aux Usa : NAICS : North American Industrial Classification System anciennement code SIC .

 

NAF reprend tous les niveaux de la NACE (Nomenclature d'Activités de la Communauté européenne)

 

Le code caractérisant l'activité principale exercée par les unités économiques (code APE), attribué par l'Insee, est déterminé à partir du niveau le plus détaillé de la NAF.

 

 Voir : Centre de formalité des entreprises ; INSEE ; TAXI ;

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- INSEE : Nomenclature d’activité française

 

-  EDD Toute la presse archivée : 40.000.000 de communiqués, des infos sociétés, scores, etc.

   Et consultez la nomenclature d’activités « TAXI »

                                      

Nantissement

Le nantissement = Pledge  ; Pignoración, prenda  ; est une garantie réelle donc portant sur une chose et qui confère à un créancier une sûreté de la dette. (ex : Fond de commerce) Cette garantie peut être convenue avec ou sans dépossession de la chose.

Si la chose porte sur un bien mobilier on parle de gage, si c'est un bien immobilier on parle d'antichrèse ou d'hypothèque.

 

Attention

-le nantissement peut revêtir plusieurs formes qui selon les clauses peuvent impliquer une garantie moindre ne conférant qu'un droit de préférence ou de suite, en particulier pour un fonds de commerce.

-Pour être opposable au tiers la publicité de l’acte doit être faite notamment par une « inscription » auprès de l’autorité compétente ex : Greffe du tribunal de commerce du ressort du siège social de l’entreprise pour un fonds de commerce, préfecture du département ou il est immatriculé pour un véhicule gagé.

 

 Voir : Garantie ; Management de contrats ; Privilège ; Procédure ; Sûreté réelle et personnelle ; Tribunaux ; Warrant ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

NAS

 

 Voir : Architecture de stockage de données.

 

Navigateur

Navigateur = Browser  ;   ;

Logiciels permettant de naviguer entre serveurs, de « feuilleter », de structurer, hiérarchiser les informations afin d'en faciliter l'accès, la recherche ex : Internet explorer ; Firefox ; Safari ; Netscape ; Opera ;

 

NDA

NDA : Non Disclosure Agreement = Accord de non divulgation

 

 Voir : Confidentialité ;

 

Negative pledge

 

 Voir : Sûreté négative  ;

 

Neiertz

= Loi Neiertz relative à la protection des consommateurs et en particulier de lutte contre le surendettement

 

 Voir : Scrivener ;

 

Net

= Filet, maille.  ;   ; Netz  ;

 

 Voir : Réseaux.

 

net-entreprise

Guichet électronique pour les télé-déclarations sociales auprès des divers organismes de protection sociale : DUE, déclaration unique d’embauche ; CSSS, contribution sociale solidarité des sociétés ; DADS, déclaration annuelle de données sociales ;

Déclaration gratuite et par Internet.

 

 Voir : Certificat numérique ; EDI ; EFI ;

 

Netting

Netting = Maillage  .

 

 Voir : Clause ; Compensation ; Contrat ;

 

Network

= Réseau professionnel

 

 Voir : Réseaux

 

Niveau de prix supposé

- PTA

Niveau de prix supposé  = Point of Total Assumption.

 

C’est le prix retenu dans la réalisation d’un contrat à prix fixe avec intéressement prévoyant notamment un bonus de performance sur le prix fixé.

 

 Voir : Contrat ; Management de projet ;

 

Nom Commercial

= Handelsname  ; Nom commercial  

Dénomination, à caractère marchand, d'un produit ou service. Cet identifiant est destiné à favoriser la promotion d'une marque dont le nom est en principe déposé auprès d'un organisme officiel qui à vocation à attester de la propriété du nom à un détenteur dépositaire. Pour de nombreux commerces ce nom commercial apparaît sur l’enseigne. Celle-ci pouvant également intégrer un dessin, une gravure, photo ou autre signe distinctif protégé ou nom.

 

Le nom de domaine (e-Brand ) réservé à l’Internet est également considéré comme nom commercial sous réserve d’une exploitation réelle.

Ne pas confondre avec Raison sociale.

 

 Voir : Co-griffage ; INPI ; Marque de fabrique ; Marque déposée ; Propriété ; Raison sociale ;

 

Non aedificandi

Non aedificandi :

Désigne une servitude qui interdit une quelconque « Edification » sur un terrain même à son propriétaire !

Voir le POS = Plan d’Occupation des Sols.

 

 Voir : Jouissance ; Propriété ; Servitude ;

 

NOPAT

Net Operating Profit After Taxes : NOPAT  

 

 Voir : RENI = Résultat d'Exploitation Net d'Impôts   

 

Norme

=   ;

La norme relève d'un consensus approuvé par une structure reconnue pour ses spécificités liées au sujet concerné.

L'objectif est de reconnaître une modélisation, une compétence, une qualité, etc. qui pourra aussi être appelé "Standard".

Cette norme définit le plus souvent des règles de conception, d'usage, etc. mais le respect n'est pas une obligation généralisée comme pour la réglementation. En revanche certaines activités peuvent se voir imposer une norme comme c'est souvent le cas pour des raisons de sécurité dans la construction, l'énergie, etc.

 

Le problème majeur du développement des normes réside dans les conséquences des contradictions et incohérences entre celles-ci notamment dans les principaux groupes :

- Normes de sécurité, de qualité et d’environnement ;

- Normes du domaine social

- Normes comptables et financières ;

- Normes du commerce international ;

Ces incohérences aboutissent à superposer des pratiques et surtout des procédures de management qui pénalisent l'efficacité  et nuisent à  l'efficience.

 

Exemple de normes internationales :

- ISO 9000 pour la Qualité ;

- ISO 14001 pour l’Environnement ;

- OHSAS pour les questions liées au Travail en matière de santé et sécurité ;

- SA 8000 et SD 21000 relatifs à l’Ethique sociale ;

- ISO 20000 et 27000 pour les Systèmes Informatiques : Services et sécurité

Mais aussi :

- EMAS pour  l’audit écologique

- Seveso pour les risques industriels pouvant affecter les populations ;

- MASE : Manuel pour l’Amélioration de la Sécurité des Entreprise (Démarche SHE)

 

Pour favoriser un projet de mises aux normes on peut utiliser plusieurs référentiels, méthodes ex : COBIT ; SMI ; 

 

 

 Voir : Ethique ; Evaluation ; Exigence ; Management de projet ; Organisation ; Performance ; Qualité ; Réglementation ; Risques ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GENCOD ; GPX ; HALO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2; Tenstep ;

 

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 Infos :

AFNOR – et consulter aussi :   Wiki Métiers 

 

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

Notes de frais

 Voir : Frais professionnels

 

Novation

La novation est un processus selon lequel de nouvelles règles se substituent aux anciennes.

 

Ex : pour la convention dite de compte courant.  Toutes les écritures se fondent dans le solde du compte qui seul est exigible par l'une ou l'autre des parties selon que le compte est débiteur ou créditeur.

 

Ne pas confondre avec la compensation dont les effets juridiques sont différents.

 

 Voir aussi : Compensation ; Contrat ; Créancier ; Débiteur ; Découvert ; Facilité de caisse ; Solvens ;

 

NPV

Net Present Value – NPV   

 

 Voir : Valeur Actuelle Nette VAN 

 

NRE

Loi sur les Nouvelles Régulations Economiques - NRE :

 

Dispositif législatif concernant de nombreux domaines dont la responsabilité sociale et environnementale de l'entreprise et en particulier des objectifs de régulation financière et de la concurrence dont les intérêts moratoires, ainsi que le cumul des mandats sociaux. (Ce dispositif est notamment à l'origine de la prise de contrôle des actionnaires sur la Direction d'Eurotunnel en avril 2004)

 

Voir dispositions particulières inscrites dans le code de commerce (dont art L441-3, 6 & 7; L442-6) concernant en particulier les conditions générales de vente et intérêts moratoires.

 

Ces dispositions, issu des directives européennes, ont notamment pour objectif d'uniformiser les délais de paiement au sein de l'union et de favoriser des pratiques commerciales plus équilibrées entre entreprises de taille différentes.

 

En Janvier 2009 l’application de la Loi de Modernisation de l’Economie vient compléter le dispositif NRE.

En 2013 les pays membres de la Communauté Européenne ont souhaités que soient harmonisées les délais de paiement.

 

 Voir : Cash custing ; Cavalerie ; Concurrence : Credit Management ; DSO-DGP ; Dumping ; Gouvernance des Risques et Conformités ; Intérêts moratoires ; LME ; Loi Breton ; RSE ; Système de Management Intégré ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Nue-propriété

 

 Voir : Propriété.

 

Nullité

La nullité est une sanction prononcée par un juge et qui a pour objet d’annuler un contrat du fait qu’il ne remplit pas les conditions minimales requises pour sa formation.

 

La nullité peut être absolue si du fait de la loi elle concerne l’intérêt général, ou relative si elle concerne au moins une disposition destinée à protéger une des parties au contrat.

 

 Voir : Contrat ; Dol ; Erreur ; Management de contrats ; Vice de consentement ;

 

Numérisation

La numérisation est un procédé de codage de l’information qui se fait par des chiffres en mode binaire.

 

La numérisation est basée sur l’analyse intégrale d’un support d’information, (image, dessin ou texte).

Ainsi il est plus aisé de "capturer" un document par exemple par procédé "scanner" pour le reproduire, modifier, l'archiver, etc. car l'informatique utilise aussi le codage binaire.

 

Pour menr à bien un processus de numérisation il faut évidemment qu’il s’inscrivent dans une pratique de travail en mode projet.

 

Compte tenu des enjeux tant en effet directs qu’induits il faut impérativement prévoir ce qui doit ou non être envisagé, pourquoi mais aussi comment et pour combien ? comme le préconise le « Questionnement organisé générique : QPQQCOC » 

 

 Voir : Dématérialisation ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Gestion éléctronique de processus ; LAD ;  Management de contrats ; QPQQCOC ; SED ;

 

Voir aussi : Credit Management ; LCEN ;

 

O

OPCA. Organismes Paritaires Collecteurs Agrées par l’Etat pour collecter les contributions au financement de la formation.

Obeya Room

Espace collaboratif

Notamment en matière de management de projet c’est une salle dans laquelle de nombreux éléments d’information, questions et réponses sont affiché pour que chacun profite de cette situation et que l’équipe projet et parfois les autres parties prenantes puissent échanger, participer pour le succès de tous et du projet.

 

 Voir : Management de projet ; Travail collaboratif ;

 

Objectif

= Sachlich  ; Target, Aim.  ;   ;

L’objectif c’est un but à atteindre, un résultat que l’on vise, un point qu’on s’est fixé, d’où découle une direction vers où aller et des moyens à mettre en œuvre, qui peuvent être de nature complémentaire, matériels, humains, financiers, temporels.

 

L’objectif est une expression concrète, chiffrée, datée, réaliste du but que l'on se propose d'atteindre par l'action individuelle ou collective. C’est pourquoi, Le plus souvent, les objectifs s’incrivent dans une stratégie et une méthodologie de gestion de projet.

 

 Voir : Décisionnel ; Gestion des Relations Clients ; Gouvernance ; Management de projet ; Management par objectifs –DPO ; Mercatique ; OVAR ; Temps Objectif de Reprise ;

 

Objet

 

 Voir : Bien ; Cause ;

 

Obligation

Obligation : 2 définitions différentes mais ayant un sens commun :

 

- L'obligation (ex : de faire ou ne pas faire) relève du devoir imposé par des règles morales, écrites ou de lois, qui incombent à une personne morale ou physique.

Voir : droit des obligations, législation sur les contrats et quasi-contrats.

Au sens engagement = Verplichtung  ; Commitment  ;    ;

 

Titre en bourse = Bond         (Obligataire = Bondholder )

 L’obligation est aussi une valeur mobilière représentant une créance sur une entreprise l'Etat ou une collectivité. Confère un statut de créancier et non d'associé.

 

 Voir : Oceane ; Action ; Créancier ; Taux ; Contrat ; Valeur mobilière ; RCE ; Fonds propres ; Propriété ; Fiducie ;

 

Obligation cautionnée

L’obligation cautionnée est un engagement souscrit par une entreprise privée au profit du Trésor Public ayant pour objectif de différer le paiement de droits (ex : Douanes) et taxes (ex : TVA).

Cet engagement fait l’objet d’une garantie bancaire sous forme de caution (ou Aval)

 

 Voir aussi : Aval ; Caution ; Garantie ; Warrant ;

 

Obligation de communiquer

« e-discovery »

Obligation que peuvent avoir les entreprises à communiquer tout support électronique sur demande d’une autorité de police ou de contrôle.

 

OBO

 

OBO = Owner Buy Out.

 

 Voir : Cession progressive du capital    

 

OCARA

OCARA = Observvation, Compréhension, Adaptation, Réaction, Attention.

 

Acronyme spécifique à l’intelligence économique et mettant en évidence la nécessité d’une veille permanente en matière commerciale concernant les comportements des clients, de la concurrence et l’incidence de l’évolution des différentes réglementations pour adapter les produits et services proposés dans les meilleurs délais et conditions.

 

 Voir : Commercial ; Communication ; DIDADA ; Ethologie ; Etude d’usages et d’attitudes ; Intelligence économique ; Mercatique ; Sémiotique ; Veille ;

 

OCEANE

OCEANE = Obligation Convertible Echangeable en Actions Nouvelles ou Existantes

 

 Voir : Obligation ;

 

OCR

OCR = Optical Character Recogintion

 

 Voir : Reconnaissance Optique de Caractères  

 

ODBC

ODBC = Open Data Base Connectivity .

Processus informatique permettant l'échange de données par connections entre bases distinctes.

 

 Voir : ASCII ; EAI ; ETL ;

 

ODMA

ODMA = Open Document Management API  :

Technique utilisant une interface de programmation d'application qui permet l'accès et l'utilisation des ressources d'un système de gestion électronique de documents (GED).

 

 Voir : GED ; IPA ; Langages ;

 

OEA

Opérateur Economique Agréé : OEA = AEO

 

Ce dispositif européen est liée au contrôle douanier.

Il a pour objectif d’améliorer la sécurité sur les importation et exportation de marchandises en associant directement les entreprises.

 

Une certification spécifique OEA délivrée par les Douanes permet de revendiquer ce statut permettant aussi une simplification des démarches et traitements administratifs.

Pour le bénéficiaire de cette certification c’est aussi un avantage concurrentiel dans de nombreux domaines pour mettre en évdence un niveau de reconnaissance de qualité de services  (Ex : Solvabilité, chaine logistique sécurisée… )

 

D’autres concepts internationaux sont assimilables comme aux USA = CTPAT, mais trop localisé !

 

 Voir : DEB ; Débordement ; Dépositaire ; Gestion de la chaîne d’approvisionnement ; Logistique ; Norme ; Plate-forme logistique ; Télé déclaration ;

 

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 Infos :

http://www.douane.gouv.fr/page.asp?id=3421

 

OEB

OEB = Office Européen des Brevets

 

 Voir : Brevet ; INPI ; Propriété ;

 

OEUF

Faire l’OEUF d’un projet !

 

 Voir : EMOFF-FFPM ;

 

OEM

Fabricant de composants informatiques ou telecom de base

 

Acronyme de Original Equipment Manufacturer  : le terme OEM est le plus couramment utilisé pour des "logiciels OEM", ces logiciels sont normalement identiques aux versions courantes, parfois ce sont des versions plus légères ou modifiées, mais ils sont vendus uniquement avec des ordinateurs complets.

 

Les logiciels OEM ne peuvent pas être vendus seuls.

 

Fabricant OEM (Original Equipment Manufacturer) Un fabricant OEM achète généralement des composants auprès d'autres constructeurs et les intègre dans ses propres produits, pour les revendre ensuite au grand public.

 

Offshore

Notion signifiant : Au-dela du littoral. Notamment pour désigner les recherches pétrolières en mer.

 

Par extension cette notion désigne les activités externalisées en zone extra territoriales.

Une variante qui se veut attrayante désigne les activités externalisées, mais à proximité du client = Nearshore.

 

Cet attrait commercial met en évidence la qualité des relations client fournisseur tout au long du contrat pour optimiser les prestations dans le temps en fonction de l’évolution, des besoins du client mais aussi des prestations du fournisseur.

 

A l’occasion de la crise financière le grand public a pu découvrir le concept de « Banque Offshore » qui ne sont pas simplement destinées à servir les intérêts des importateurs/exportateurs par une présence de proximité auprès des acteurs du commerce, mais le plus souvent des organismes « battant pavillon de complaisance » pour contourner des règlementations économiques et financières et favoriser la seule spéculation. Il faut préciser dans ce cas que ces organismes spécialisés servent également les intérêts des organisations criminelles de tous les pays notamment en favorisant le blanchiement des transactions financières illégales.

 

Bien évidemment ces structures portent également préjudice aux entreprises honnètes qui offrent des services de qualité !

 

 Voir : Externalisation ; FAH-ASP ; Sous-traitance ;

 

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 Infos :

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

- Livre « L’Externalisation en pratique » d’Isabelle RENARD ingénieur et avocat. –  Editions d’organisation.

 

Ohada

Ohada = Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires

 

 Voir : Droit(s)

 

Ohno 

 

 Voir : Juste à temps   

 

OLAP

OLAP = One Line Analytical Process :

 

Désigne une catégorie d'applications et de technologies permettant de collecter, stocker, traiter et restituer des données multidimensionnelles, à des fins d'analyse.

Une autre définition est résumée dans l'acronyme FASMI (Fast Analysis of Shared Multidimensional Information)

 

Olap permet de qualifier la méthode analytique pour des axes multidimensionnels (CA, catégorie client, produits, zones géographiques, commerciaux, prix, etc.) contenus dans un "cube" défini (ex : sur bases de datamart ou data warehouse)

 

 Voir : Datamining ; Décisionnel ; EAI ; SIAD ;

 

OLE

OLE = Object Linking and Embedding

Technique, développée par Microsoft, permettant l’insertion, le lien, la copie de documents entre eux

 

 Voir aussi : Interface de Programmation d'Applications; Appliquette ;

 

OMBM

OMBM = Office Mondial des Brevets et des Marques

 

 Voir : Brevet ; INPI ; Innovation ; Marque ; Propriété ;

 

One shot

One shot = Prise unique  exemple :  Spot publicitaire à diffusion unique

 

 Voir : Mercatique

 

OnlyLyon

 ONLYLYON : Sigle destiné à promouvoir l’image de Lyon au nivau international.

Chacun peut devenir ambassadeur en signant la charte d’engagement.

 

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 Infos :

Accéder à la charte :

 

OPA-OPE -OPR

 Infos :

« Offres publiques d’achat et offres publiques d’échange (OPA ou OPE) – Source : Crédit Agricole SA :
 Il s’agit de la voie réglementaire pour acquérir une entreprise cotée. Leur déroulement s’exécute selon un règlement établi par l’AMF et homologué par le ministère de l’Économie.

Les offres sont dites “amicales” lorsque la cible y a été associée et que son Conseil d’administration en a approuvé les termes, et “hostiles” lorsqu’elles sont déclenchées sans le consentement de l’entreprise visée.

 

Dans l’Offre publique d’achat, l’initiateur propose de racheter, en payant cash, les actions en circulation de la cible.

L’Offre publique d’échange est une offre faite aux actionnaires d’une société cible d’apporter leurs actions en échange d’actions de la société initiatrice de l’offre. Les opérations peuvent également être mixtes. »

 

L’OPR = offre publique de retrait à pour objectif de retirer une société du marché par le rachat de tous ses titres.

 

 Voir : Alternext ; Analyse par les Options Réelles ;  Holding ; Marché financier ; Pilule anti OPA ;

SAS ; Titres ;

 

OPCA

Organisme Paritaire Collecteur Agréé (par l'Etat) - OPCA

 

Ces organismes (environ une centaine en France) collectent auprès des entreprises les cotisations obligatoires (min légal 2004 = 1,5%) relatives à la formation professionnelle continue.

 

La redistribution se fait par la possibilité de prise en charge financière des formations dispensées aux collaborateurs de ces entreprises par des professionnels déclarés spécifiquement pour cette activité.

Ces prises en charge ne sont pas systématiques et font l'objet de processus et contrôles multiples.

 

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 Infos :  

OPCA. Organismes Paritaires Collecteurs Agrées par l’Etat pour collecter les contributions au financement de la formation.

Voir organismes : AGEFOS, FAF, OMA, OPACIF, OPCALIA, etc.

 

OPCI

OPCI = Organisme de Placement Collectif en Immobilier.

 

 Voir : Actif-S ; FCPR ; Gestion des actifs ; Patrimoine ; SCPI ;

 

OPCVM

OPCVM = Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (incluant les FCP et les Sicav)

 

 Voir aussi : Actions ; Obligations ;

Open source

 

 Voir : Source libre

 

Open-PGP

Open PGP est une norme internationale de cryptage à double clé utilisée pour télétransmissions.

 

  Voir : Clé électronique ; Inforensique ; LCEN-Loi sur la Confiance en l'Economie Numérique ; RPV ; Télétransmission ; Teletva ; TLS ;  

 

Opérateur

Nombreuses acceptions ex :

- Opérateur de marché = C’est celui qui négocie et conclut les opérations émanant de l’offre et la demande.

 

        Négociateur  = Verhandlungsführer  ;   ; Trader  ;

- Opérateur en centre d’appel : Téléprospecteur ;

- Opérateur téléphonique : Ceux qui offre l’accès aux réseaux téléphoniques et à Internet

- Opérateurs de certifications : Chargés de mettre à disposition et de gérer les certificats électroniques ;

 

 Voir : Appels alternatifs ; Autorité de certification ; Clause limitative de responsabilité ; FAI ; Garantie de bonne fin ; Marché ; Système d’acquisition dynamique ; Tiers de confiance ;

 

Opération de recentrage

L’opération de recentrage est aussi appelée Spin-off   (qui signifie aussi sous produit).

 

L’opération consiste à recentrer l'activité d'une entreprise sur son objet principal par apports partiels d'actifs, par fusions ou, plus souvent, par scissions.

Cest également une pratique d’essaimage de certaines entités d’un groupe.

 

 Voir aussi : Analyse par les Options Réelles ;  Apports en entreprise ; Capital investissement ; Capital risque ; Essaimage ; FCPI ; Fusion-Acquisition ; Management de transition ; REEL ; RES ;

 

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  Infos :

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

OPEX

 Operational expenditure – OPEX   = Charges opérationnelles

 

 Voir : Charges d’exploitation.

 

OPM3

OPM3 : Organizational Management Maturity Model  = Modèle de maturité en management Organisationnel  

Norme du PMI® – Project Management Institute.

OPM3 est la synthèse de plus de 30 modèles de maturité (dont CMMI)

 

Démarche engagée dans une entité, structure, qui sur la base de bonnes pratiques permet de mesurer ses capacités à conduire, des programmes et portefeuile de projets destinés aux orientations stratégiques.

 

= Environ 600 bonnes pratique recensées qui mesurent 4 niveaux de maturité dans 3 domaines.

 

 Voir : Evaluation ; Exigence ; Management de projet ; Norme(s) ; Organisation ; Qualité ; Performance ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2 ; Tenstep ;

 

Opt-in / out

Opt-In   = Consentement exprès donné par l’utilisateur d’une adresse électronique à recevoir des messages par le réseau Internet dans des conditions qui lui sont précisées lors de la collecte de ses données (consentement général, et/ou par centre d’intérêts, etc.)

 

Opt-out   = Information explicite fournie à l’utilisateur d’une adresse électronique, lors de la collecte des données à caractère personnel, par un moyen immédiatement à sa disposition, sur le fait qu’il est susceptible de recevoir des courriers électroniques et qu’il peut s’y opposer.

 

 Voir aussi : CNIL ; LCEN ; Mél ; Logiciel espion ; Spam ; Troyen ; Ver ; Virus ;

 

Option

Option   =    ;

L’option de marché est un droit matérialisé par un contrat et qui donne à son détenteur la possibilité d'acquérir (Call) ou de livrer (Put) un bien, sous-jacent, clairement identifié à un prix fixé à la conclusion de ce contrat et durant une période déterminée. (C'est un droit et non une obligation).

 

Option d'achat = Call ; Option de vente = Put  ;

Le Thêta est la mesure de l'érosion d'une option en rapport avec son échéance.

 

Depuis la fin du XXème siècle une nouvelle pratique d’ Analyse par les Options Réelles = AOR, bien différente du concept Valeur Actuelle Nette = VAN  s’est développée à partir d’outils financiers, sur la bases de l’évaluation d’options, pour favoriser les prises de décision en matière d’investissement.

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ;  Garanties sur transactions de marché ; Sous-jacent ; Stellage ; VAN ; Warrant ;

 

Voir aussi : Cap ; Floor ; Obligation ; Swap ; Tunnel ;

 

Options réelles

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ;  

 

Ordonnancement

Ordonnancement = Scheduling

Plusieurs acceptions dont :

a) Acte d’un administrateur, des services de l’Etat et des collectivités, consistant à donner un ordre de paiement au comptable des finances publiques.

 

b) Pratique organisationnelle de production permettant :

- d’aménager, d’ordonner un processus de fabrication dans ses différentes étapes ;

- de superviser la répartition des charges de travail et temps d’attentes notamment des ateliers pour controler la progression des commandes en cours.

L’un des principaux objectifs est de respecter les délais fixés pour respecter les engagements clients,  notamment en détectant toute anomalie pour y apporter un remède rapide et satisfaisant.

Cette pratique fait partie du Plan ou Programme Directeur de Production : PDP = MPS - Master Production Schedule   

 

 Voir : Achats ; BFR ; Cash custing ; Créance ; DGP ; Juste à temps ; Kanban ; PEPS ; PERT ; Plan industriel et commercial – PIC ; Stocks ; Zéro stock ; 

 

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 Infos :

- Voir l’excellent support réalisé par la « Communauté CPIM » et l’ARDI :

 « Les bonnes pratiques en matière d’ordonancement » en matière de production.

Découvrez les concepts de :  PIC, MES ; PDP, CBN, temps d’attente, etc.

 

Ordre de mission

Mission =   ;

L’ordre de mission est un document qui désigne nomément un mandataire et la tâche qui lui est confiée. Très utilisé dans les administrations et notamment dans l’armée et surtout par les représentations parlementaires et diplomatiques cette pratique c’est également largement développée dans les entreprises. Elle permet également d’identifier un préposé et d’autentifier un donneur d’ordre.

 

Dans la gestion des frais professionnels, l’ordre de mission, est un accord préalable à un déplacement qui souvent génèrera d'autres débours. Ainsi il est plus aisé de débloquer des fonds à postériori et donc sans justificatif de dépenses celles-ci n’étant pas encore réalisées.

 

C'est une démarche prévisionnelle qui permet d'obtenir une avance sur frais, de déclencher les réservations voyages, hôtel, etc. Pour une gestion optimisée prenant en compte l'analytique l'ordre de mission est rattaché à une action spécifique (ex : chantier) qui en principe fait l'objet d'une feuille de route validée.

 

 Voir : Activité d’affaires ; Frais professionnels ; Mandat ; Per diem ;

 

Organigramme

= Flow, organization, chart

L’organigramme est une méthode de représentation graphique de la structure d'une organisation complexe, liée à une entité, entreprise, projet.

 

Cette méthode permet notamment de représenter les relations entre individus par rapport à des métiers et fonctions pour atteindre un ou plusieurs objectifs communs afin d'optimiser la définition des tâches et responsabilités.

 

L'organigramme sert à définir des relations hiérarchiques (degré des pouvoirs) et fonctionnelles (par métier) ou décrire un processus de résolution d'une problématique comme la gestion d'un projet.

 

Dans la gestion de projet il est d’ailleurs essentiel de disposer d’un outil qui rappelle l’organigramme :

    La matrice de répartition des tâches et donc responsabilités = Work Breakdown Structure  

 

L’ordinogramme appelé aussi logigramme, algorigramme :

Relatif à la programmation en informatique, il peut aussi représenter des flux de matériaux pour en définir les quantités y compris celles perdues, dans le domaine de la production.

 

 

 Voir : Altermanagement ; Aptitudes ; Compétences ; Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Effet singe ; Management de projet ; Manager ;  Organigramme de tâches ; Organisation ; PMO ; Ressources humaines ; Travail collaboratif ; Workflow ;

 

Organigramme de tâches

Organigramme de tâches = WBS : Work Breakdown Structure 

Le PMI® = Project Management Institute, dans son corpus de connaissance =  PMBOK, traduit cette expression comme : SDP : Structure de Découpage de Projet.

 

En français on peut également faire des disctinctions adaptées à certains contextes, métiers ex :

- Structure de Répartition des Tâches ;

- Matrice de Répartition des Activités ;

- Structure de Découpage de Projet.

 

Méthode qui permet de visualiser les tâches, activités, notamment dans une arborescence du type organigramme et particulièrement lors d’un travail en mode projet.

 

 

 Voir : 5M ; Dernier planificateur ; GANTT ; Management de projet ; Organigramme ; PERT ; Planifier ; Réunion déléguée ; Worflow ;

 

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

             Annexe 17 : SDP-Structure de découpage de projet  WBS- Work Breakdown Structure

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

-  Conférence PMI® – Christian MIGNONAT :

       « Contrat(s) outil(s) formatant & fondateurs du Management de Projet »

 

Organisation

Organisation =    ;

L’organisation est un terme générique qui peut désigner une entité, un concept économique, une méthode ou théorie, etc.

Elle peut tout aussi bien ne concerner qu’un individu (ex : Poste de travail, plannification des tâches), que faire appel à de nombreux acteurs métiers et hiérarchiques (ex : Stratégie, production, stockage de données). C’est pourquoi bien qu’essentiellement destinée à la gestion économique, elle est tributaire de la sociologie.

 

Qu’elle soit, à but non lucratif ou non, hiérarchique ou pyramidal, matricielle (Soit Processus et non métiers + fonctionnelle) ou anarchique, administrative ou commerciale, l’organisation c’est tout à la fois. Elle est faite pour ordonner, structurer, plannifier, des moyens (matériels, financiers et humains) et des actions, processus, pour atteindre des objectifs.

 

Ainsi il faut pratiquer une démarche intelligente pour une bonne organisation :

Que chacun commence par s’organiser lui-même par exemple en identifiant les tâches à faire et en les classant ex : Urgent –Important – Secondaire – En attente -  mais aussi en s’attachant à son poste de travail selon la méthode « 5S » et attention au « Multitasking »

Par la suite il paraîtra plus évident de s’attacher au travail collaboratif dans un premier temps en situant des acteurs sur un organigramme, en identifiant leurs besoins et en pratiquant le management par projet,  en portant une attention particulière aux risques et conformités.

 

C’est pourquoi en matière de management d’entreprise il est de plus en plus incontournable de faire appel à des spécialistes pour définir cette organisation et notamment dans la réflexion stratégique, la communication interne et plus particulièrement dans la conduite du changement parfois spécifique à la Réorganisation des processus  = Reengineering   ;   ;

 

Parfois, pour palier de nombreux inconvénients liés à la période de transition et optimiser les prises de décisions lors d’une réorganisation due à un changement d’actionnaire, les administrateurs, font appel à un spécialiste en management de transition pour assurer l’intérim de certains décideurs et la conduite du changement.

 

L’organisation peut aussi relever de pratiques malhonnêtes ex : Dol, l’organisation de transactions frauduleuses.

 

Pour s’attacher à une réflexion sur l’organisation, il faudra donc rechercher une définition plus précise avec d’autres termes et acteurs concernés afin de mieux cerner le sujet à traiter.

 

Attention : Si vous ratez votre planifictaion => Vous planifiez vos prochains ratages

 

 Voir : 8D ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Aptitudes, Chemin critique ; Comitologie Communication ; Compétences ; Conduite du changement ; Décisionnel ; Dol ; DQP ; Effet singe ; Equilibration ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Formes juridiques ; Gestion Globale de la Performance ; Gouvernance ; Incitation économique ; Intelligence ; Johari ;  Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management de projet ; Mentor ; Mercatique ; Méthode(s) ; Méthode 5S ; Mobilité ; MOSI ; Multitasking ; Ordonnancement ; Organigramme ; OVAR ; Plan d’expérience ; Planifier ; Plan Industriel et Commercial ; Pragmanagement ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Qualité ; Réunion déléguée ; Réseaux ; Ressources humaines ; Risques ; Roue de Wallace ; Services généraux ; Statuts fiscaux ; Syndrome de l’étudiant ; Système de Management Intégré ; Temps Objectif de Reprise ; Temps parcelles ; Théorie(S) (agence, contraintes…) ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;  Visite de terrain ;

 

  Voir aussi les termes liés au  Management : de contrats ; de projet ; d’équipe ; de risques ; de transition ; intelligent ; participatif ;

 

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

-  Conférence Synertal : Télétravail et performance des entreprises ;

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences : Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance.

 

- Ettighoffer Digital Campus : Décoder les risques et les atouts de la société et de l'économie !

   Dont : « L’Innovation organisationnelle, clé de la compétitivité des nations »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

  Transitiss :  Management de Transition & Transmission d'Entreprise :

Confortez votre équipe de direction, soyez accompagné pour valoriser votre entité et dans vos négociations de transmission …

 

Organizer

 

 Voir : Agenda électronique

 

OSEO

Oseo est un organisme issu du rapprochement de l’Anvar (Agence pour la valorisation et la recherche) et la BDPME (Banque de développement de PME)

Ses partenaires sont multiples de l’Etat aux collectivités territoriales, des organismes bancaires à ceux de caution mutuelle, des CCI aux réseaux d’accompagnement, des écoles centres de recherche et pôles de compétitivité, etc.

 

Cette nouvelle entité, ses compétences capacités et relations lui permettent dans le cadre d’une politique nationale de conforter ses activités de soutien à la création d’entreprise (ex : PCE) et transmission d’entreprise, mais surtout à l’innovation technologique.

 

Largement présent sur le territoire ses délégations permettent de renseigner et d’orienter tous les porteurs de projet sur les nombreuses initiatives d’aide au développement.

 

 Voir : Aides ; Capital ; Capital d’amorçage ; Cession progressive du capital ; Credit bail ; Fonds propres ; Garantie institutionnelle ; Prêt à la création d’entreprise ;

 

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 Réf. Pro. :

-  : OSEO : Issue de la BDPME et de l’Anvar : Création d’entreprise innovante, appels à projets technologiques, favorisation de la coopération interentreprises, aide au transfert de technologies, etc.

 

Outplacement

Outplacement = Reclassement externe

 

Démarches engagées par une entreprise pour faciliter la réorientation professionnelle de ses salariés.

 

Cette pratique est souvent due à une fermeture, un rachat d’entteprise qui nécessite pour ses nouveaux dirigeants de trouver un emploi, pour les salariés, dans une entité externe.

 

Il faut bien évidemment bénéficier du consentement des salariés concernés et dans bien des cas cette mesure implique des actions de formation, de prépartion psychologique, etc.

 

 Voir : Essaimage ; Ressources humaines ;

 

Outsourcing

 

 Voir : Externalisation  

 

OVAR

La méthode OVAR = Objectifs-Variables d’Action Responsables.

 

Elle a été développée au sein d’HEC qui bien que s’ouvrant à tout professionnel pour faire évoluer la pratique reste le garant de la pertinence de la méthode et à conçu une certification OVAR.

 

Par rapport au BSC de Kaplan et Norton, OVAR est un nouveau concept de tableau de bord prospectif basé sur le travail en mode projet et destiné à mieux appréhender les relations de causes à effets entre les objectifs et actions, dans le but d’améliorer les plans d’action d’une entité (Entreprise ou seulement service).

 

 Voir aussi : 8D ; Analyse par les Options Réelles ;  Balanced ScoreCard ; Contrôle de gestion ; Décisionnel ; Evaluation ; Heuristique ; Management de projet ; Management par objectifs ; Rapport ; Responsabilité ; Tableau de bord ; Temps Objectif de Reprise ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :  

Comparaison BSC Kaplan Norton & OVAR par : Abdelhaq SARI Doctorant en administration des affaires

 

Overlay bank

= Banque centralisatrice.

 

 Voir : Trésorerie d’échelle ;

 

Owner buy out

 

 Voir : Cession progressive du capital  

 

P

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

PABX, PCBX

= Autocommutateur privé ou géré par informatique/ordinateur

 

               PABX = Private Automatic Branch Exchange

               PCBX = Private Computer Branch Exchange

 

 Voir : CTI ; Centre d'appels ; Réseaux ; Olap ; ETL, EAI ; Hardware ; Software ; Centrex IP ; MODEM ;

 

PACEO

Programme d'Augmentation de Capital par Exercice d'Options - PACEO = Equity Line

 

Cette pratique est notamment utilisée pour permettre aux PME cotées de favoriser une augmentation de capital

grâce à un droit de tirage sur son banquier qui aura la charge de placer les titres correspondants sur le marché.

 

Le coût de cette opératipn pour l’entreprise représente en moyenne 8% du l’augmentation de capital réalisée.

 

 Voir : Action-Actionnaire ; Attestation d’équité ; Capital ; Capital investissement Cession progressive du capital ;  Désintermédiation ; Evaluation ; Fiducie ; Option ; Pacte d’actionnaire ; Portage d’actions ; Prix de transfert ; REEL ; RES ;

 

Packing list

 

 Voir : Liste de colisage   ;

 

Pacte d’actionnaire

Le pacte d’actionnaire est un contrat entre les actionnaires (ou futurs associés ex : cas d’entreprise en création) qui régit les relations entre eux mais aussi leur rapports avec l’entreprise concernée. (Participations en capital et rétributions, cession d’actions, stratégie de l’entreprise, etc.

 

Le cas échéant le pacte peut prévoir par un acte extra statutaire de désigner l’arbitre futur de certaines décisions en cas de partage des parts sociales si les associés ne peuvent trancher faute de position déterminante dans les prises de décisions de gestion (ex : répartition égalitaire des parts)

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Actionnaire ;  Apports en entreprises ; Clause de sortie ; Fiducie ; Lettre d’intention ; Lettre de confort ; Management de contrats ; PACEO ;

 

Pair

C’est le nominal d’un titre en bourse.

 

 Voir : Action ;

 

PAMP

PAMP = Prix d’Achat Moyen Pondéré.

 

Cette pondération est basée sur le nombre d’opérations réalisées et le niveau de prix de chacune afin de déterminer un prix de revient à l’unité notamment de certains actifs.

Il est ainsi permis d’évaluer soit la plus value ou le seuil de revente bénéficiaire pour un produit.ou un titre boursier.

 

Certains courtiers et asset managers appliquent la formule suivante :

(Nombre des titres, valeurs, produit en portefeuille x leur PAMP) +(Nombre titres, valeurs, produit achétés x Prix d’achat) /Nouveau nombre total des titres/valeurs/produits en portefeuille

 

 Voir : Achat ; Evaluation ; PEPS ; Titre ; PBR ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ;

 

   Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Panel test

Panel test = Access panel

Base de données (ex : prospects/clients) cibles prédéfinies permettant de réaliser rapidement un étalonnage ou l’étude d’une action de communication.

 

 Voir aussi : Etalonnage ; Etude d’usage et attitudes ; Mercatique ; Pyramide des besoins ; Score d’appétence ;

 

Paradoxe d’Abilene

 

 Voir : Abilene

 

Paradoxe de Cobb

Martin Cobb du trésor pubic d’Ottawa énonce :

"On sait pourquoi les projets échouent, on sait comment empêcher leur échec ; pourquoi continuent-ils donc à échouer ?"

En substance ont peu retenir que :

- Si la gouvernance, et ses principaux managers, n’ont pas une vision responsable il est impossible de demander aux exécutants de combler ces acarences en bricolant sur les moyens et méthodes… la qualité doit être intégrée dans la conception et non à postériori !

- Pour autant les exécutants ne doivent pas non plus se limiter à réclamer des moyens et en cas d’échec à accuser la gouvernance de ne pas leur avoir donné les moyens.

Chacun doit s’inscrire dans la complémentarité pour tendre vers l’efficience !

 

 Voir : 6 Sigma ; 8D ; Abilene ; Amélioration continue ; Arbre des causes ; EMOFF/FFPM ; Gouvernance ; Heuristique ; Management de projet ; Management intelligent ; Procrastination ; Qualité ;

 

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 Infos :  

PMI® a publié sa l’enquête du pouls de la profession (« Pulse of the Profession survey »)

PMI a vraiment mis en évidence une différence flagrante entre les organisations très performantes avec un taux de réussites de plus de 80 % et des organisations peu performantes avec un taux d’échec de plus de 40 %.

 

Etude Standish Group : « Le voyage inachevé » :

Partant sur le paradoxe de cobb, le Standish Group, après avoir identifié les dix causes majeures d'échec et les solutions possibles, estime qu'on n'a pas démontré que ces solutions peuvent être implantées.

 

Pareto

Loi des 80/20 dite de Pareto, sociologue et économiste, qui fit un un constat aussi inéluctable qu'inexplicable mettant en évidence un principe, adaptable à différentes situations. Exemple :

 

- 20% des individus possédent environ 80% de la richesse ;

- 20% d’acheteurs peuvent représenter 80% du Chiffre d’affaires ou que celui-ci est réalisé sur 20% des produits.

 

Ceci étant admis => 20 % des causes produisent 80% des effets !

Il suffirait d’agir sur les 20, plutôt que sur les 80, pour largement influencer les résultats de certaines actions .

 

Cette méthode est une variant de celle des coûts par activité = ABC

 

 Voir : Ethologie ; Compétences ; Evaluation ; Management par activité ; Mercatique ; Méthode des coûts par activité ;

 

Pari-passu

 

 Voir : Clauses ; Clause pari-passu

 

Parrain

= Sponsor.  ; Patrocinador  ;  Pate  ;   ;

 

Le terme parrain évoque, à l’origine, la notion de soutien notamment éducatif, moral et donc désintéressé.

Est-ce sous l’influence de l’utilisation de ce terme pour désigner un dirigeant de mafia, qui admet les nouveaux membres du clan et attends beaucoup d’eux en retour, que ce vocable à pris une connotation mercantile et intéressée ?  

 

Le parrain au sens de la loi française, depuis 1983, est le commettant d’un contrat de promotion dit sponsoring ceci afin de mieux encadrer, définir des actions publicitaires qui voulaient échapper à certaines règles éthiques et donc comptables et fiscales.

 

Le parrain peut être une personne physique, une entreprise ou une organisation qui passe un contrat de « sponsoring », en passant ou non par l’intermédiaire d’un agent, avec une personne physique ou une organisation, dans le but est de tirer les fruits de cette coopération.

Ainsi en management de projet le sponsor est le doneur d’ordre, le maitre d’ouvrage donc le client qui paye.

 

Attention surtout sur le plan fiscal à ne pas confondre le mécène qui soutient des initiatives, en principe culturelles, de manière désintéressée et le parrain qui s’engage dans une action intéressée par les retombées de celle-ci en s’impliquant comme commanditaire.

 

 Voir : Commanditaire ; Commettant ; Contrat ; Initié ; Maître d‘œuvre- d’ouvrage ; Mandant ; Mécènat ; Mentor ; Mercatique ;

 

Partenaire EDI

Le partenaire EDI sont des organismes spécialisés (voir conditions DGI = CDC) qui ont pour fonctions :

- Collecter données fiscales et comptables + autres données sociales et financières

               (Dont : Greffe TC ; BdF ; CGA ; Organismes financiers)

- Assurer conformité des données attendues par CSI

- Mettre en œuvre la procédure de sécurisation électronique

- Transmettre les données au CSI de Strasbourg

- Opérer le retraitement des données rejetées pour motif technique par CSI

 

 Voir aussi : EDI ; Déclarations fiscales et sociales ;

 

Partenariat Public Privé

Le Contrat de Partenariat Public Privé est un instrument de la LOLF (loi organique relative aux lois de finances) destiné à la commande publique et ratifié par la France en 2004.

 

Différent des autres processus des marchés publics il concerne des opérations particulières ou l'intérêt des collectivités nécessite une implication, dans la durée, du secteur privé tant pour des questions de savoir-faire que de financement, etc.

 

 Voir : Appel d'offre ; Management de contrats ;

 

Partie prenante

= Stakeholder

 

 Voir : Acte ; Actionnaire ; Associé ; Autofinancement ; Aval ; Cahier des charges ; Caution ; Contrat ; Contre lettre ; Contributeur ; Dépositaire ; Garantie(s) ; Pacte d’actionnaire ; Pays à bas coût ; Ester ; Management de projet ; Mandat ; Responsabilité ; RSE ; Shareholder ; Stockholder ; Subrogation ; TRC ;

 

Part sociale

Plusieurs acceptions pour « part sociale » dont :

 

- Au sens patrimonial un bien, mobilier ou immobilier, d’une entité constituée est une part de son capital investi par les associés ou sociétaires ;

 

- l’expression de patrimoine de nombreuses entités juridiques qualifiées de personnes morales comme les : SARL, SNC, SCS, coopératives, etc. est mesurable par le nombre de parts qui constituent son capital.

A cette « part sociale » constituant une contribution au capital, sont attachés des droits qui offrent certaines prérogatives à leur détenteur exemple : Participation aux Assemblées Générales dont : droit de vote pour approbation ou non des comptes – Quitus - Révocation de organes de direction -  Répartition des bénéfices et de certains risques …

 

- De nombreuses structures de « l’Economie sociale », dont les sociétés mutualistes et coopératives, permettent à leurs membres de devenir sociétaires par l’acquisition de parts sociales.

 

La possession de ces parts permet de contrôler les cessions et augmentations de capital.

Ainsi, si la cession des parts sociales entre associés peut est libre, elle est très souvent restrainte voir interdite au profit des tiers sinon elle doit être autorisé selon les modalités statutaires ou préalablement du pacte d’actionnaire ou d’associé.

 

 Voir : Action-Actionnaire ; AG ; Associé ; Capital ; Economie sociale ; Forme juridique ; Pacte d’actionnaire ; Préemption ; Propriété ; Sociétaire ; Statut ;

 

Pas de porte

Le « pas de porte » est un local à vocation d’activité professionnelle.

Lorsqu’il est mis sur le marché de l’immobilier, le plus souvent il est vide et n’est plus affecté à une activité précise contrairement aux négociations qui portent sur des activités clairement identifiables.

Il est donc qualifié de libre d’activité même si certains règlements posent des limites.

Ce local est indépendant ou dépourvu de certains éléments du fonds de commerce (= clientèle). Ce qui n’est pas négligeable pour l’acquisition !

 

D’autre part pour accéder dans ce local - d’où son appellation - le locataire en place demande une certaine somme pour quitter les lieux et laisser le champ libre à la rédaction d’un nouveau contrat de location avec le bailleur.

Parfois celui qui réclame le pas de porte est le bailleur lui-même. C’est pour cette raison qu’il devra également s’acquitter d’une indemnité d éviction pour recouvrer la disponibilité de son bien.

 

Ce type de transaction ne peut se réaliser légalement que pour les activités commerciales et donc préalablement à la signature d’un bail éponyme.

Le paiement du pas de porte ne dispense bien évidemment pas le nouveau locataire de payer le droit au bail.

 

Attention : Il faut être très prudent dans ce type de transaction car ultérieurement et selon les clauses et modalités il y aura nécessairement des incidences en matière juridiques et fiscales donc financières. (Ex : Comptabilisation en actifs ou charge d’exploitation = fiscalité et droit de mutation, révisions de loyer, etc.

 

 Voir : Actif-S ; Bail ; Convention d’occupation précaire ; Fonds de commerce ; Prix d’éviction ;

 

Passif comptable

Passif Comptable   = Liabilities   au sens responsabilités, engagements envers les tiers, handicap, et par opposition à : Assets.

Dettes à court terme : Passif éxigible = Current liabilities 

 

Les ressources qui, pour une entreprise, permettent d'investir, par exemple, dans des acquisitions immobilières, des matériels, la production ou des individus, etc. sont enregistrées au bilan sous une même rubrique appelée passif car ces valeurs n'agissent pas directement. Elles représentent les dettes de l’entreprise envers les « Apporteurs de ressources » Ex : Associés, fournisseurs.

 

Dans cette colonne appelée "Passif" ces valeurs sont classées, de haut en bas dans le bilan français, selon le degré décroissant du caractère d’exigibilité des ces éléments et, dans cette classification, correspond, à peu près, à la répartition des investissements réalisés à l’actif

 

- Dans le haut du bilan on trouve, les comptes de la classe 1 (qui représente les premiers apports) le capital de l'entreprise. Celui-ci est constitué notamment des apports d'actionnaires et réserves. Puis sont enregistrés le report à nouveau et le résultat de l'exercice, mais aussi les subventions et provisions réglementées.

Ce premier ensemble est aussi désigné sous le vocable de "Capitaux propres".

 

Puis apparaissent les emprunts (dont ceux dits "Obligataires") et dettes à long et moyen terme.

 

Cette partie haute du bilan et au passif représente la valeur des "Ressources durables".

 

- En milieu de bilan figurent les dettes à court terme moins d'un an logées dans les comptes de tiers (classe 4) tels que les fournisseurs dont ceux du domaine commercial, le personnel, l'Etat, etc.

 

- En bas du bilan comme pour l'actif, se retrouvent les comptes financiers qui enregistrent par exemple les découverts.

 

Ainsi le passif (= Liabilities ) alimente grâce à ses ressources l’actif (= Assets) par les emplois qui y sont logés comptablement.

 

Selon les besoins d'analyse de nombreux autres termes sont utilisés.

 

 Voir : Actif ; Analyse financière ; BFR ; Bilan ; Capitaux permanents ; Capitaux propres ; Fond de roulement ; Gestion Actifs-Passifs ;  IFRS ; Plan comptable ; Responsabilité ; Résultat(s) ;

 

Patch

 

 Voir : Retouche

 

Patrimoine

Le terme patrimoine désigne l’ensemble des biens possédés et des créances concédés d’une personne, physique ou morale.

 

 Voir : Biens ; Propriété ; Jouissance ; Non aedificandi ; Contrat(s) ; Actif ; Fiducie ; Revendication de propriété ; Défiscalisation ; Impôt sur la fortune ; Responsabilité ; LME ;

 

Pays à bas coûts

Pays à bas coûts =   ; Länder mit niedrigen Kosten  ; Low cost countries = LCC : et parfois Leading compétitives countries  (Par opposition HCC = High Cost Countries) ;

 

Des entreprises présentes dans ces pays proposent de plus en plus souvent des produits ou des prestations à des prix très attractifs le plus souvent du fait de contraintes réglementaires moins contraignantes que les pays développés et surtout pour des coûts salariaux moindres.

 

Idées reçues :

- Il faut savoir que bon nombre de ces fournisseurs ne sont autres que des entreprises des pays développés qui se sont installés dans ces LCC soit faute de pouvoir continuer leur activité dans leur pays d’origine soit par opportunité. Très souvent ces mêmes entreprises ont réussi leur installation délocalisée grâce à des financements publics des pays d’origine et/ou de destination.  (Voir aides) et donc à bon compte !

 

- Les occidentaux ne voient souvent que leurs craintes, de travailler avec certains pays, qui seraient justifiées par des pratiques malhonnètes (Argent sale, contrefaçon, etc.) Comme le décrivent de nombreux ouvrages ces pratiques ont souvent été initiées au profit d’entités de pays à la pointe des performances économiques et technologiques.

Beaucoup de dirigeants de PME, notamment asiatiques, ont également des craintes de travailler avec des pays dits développés. Car les motivations de ces dernières ne sont pas altruistes mais dictées par le seul profit lié aux seuls prix d’achat sans garantie de collaboration constructive et de pérennité des relations. Un autre acteur ou pays offrant mieux et le client abandonne sont fournisseur !

 

- Les risques de délocalisation existent et sont nombreux. Certains en sont revenus y compris pour des questions de coûts donc attention aux idées reçues.

 

Que l’on soit pour ou contre les choix d’achat aux pays à bas coûts ou de délocalisation, ils permettent néanmoins à de nombreuses activités de se pérenniser, diversifier, développer pour le bien de tous et participent à l’essor de nombreux pays qui donneront naissance à des millions de nouveaux consommateurs. D’autre part pour pourvoir lutter contre cette nouvelle concurrence liée à la mondialisation les pays développés sont obligés d’innover davantage et dans un cadre de plus en plus exigeant du fait de la pression des « nouveaux ou alter consommateurs » ces 2 phénomènes favorise les évolutions y compris industrielles dans le cadre notamment du « Développement Durable » et de la « R&D »

 

Souvent pour des questions non seulement de langue mais surtout de culture (y compris commerciale) et aussi de réseaux relationnels il est primordial de bénéficier de partenaires locaux, mais issus du milieu, qu’il soit décisionnel (Ex : Politique) ou professionnel (Ex : Corporatisme).

 

Par ailleurs, pour réussir à conduire ce type de changement que sont les opérations internationales, il faut investir beaucoup et durablement pour maintenir une délocalisation et l’externalisation ne relève pas des projets que l’on peut stopper et à plus forte raison annuler du jour au lendemain tant pour des questions techniques, de coûts de revient, que de clauses contractuelles. D’autant que les lois appliquées dans les pays concernés par les parties prenantes sont souvent très différentes. (Voir : Droits et externalisation)

 

Enfin il faut aussi savoir investir à bon escient dans l’organisations de son service achat pour non seulement sélectionner les fournisseurs et donc les produits les plus appropriés à la politique commerciale de l’entreprise, mais aussi pour mettre en place les moyens et outils de gestion (Voir : qui eux s’ils sont bien pensés permettront réllement de réduire non seulement les coûts d’achat mais surtout de gestion.

 

Pour apprécier de nombreux éléments des enjeux de la gouvernance d’entreprises il faut se référer à plusieurs termes du lexique et aussi consulter les liens vers les ref. bibliographiques, les conférences et solutions professionnelles.

 

 Voir : Approvisionnements ; Aptitudes ; Domaine d’Activité Stratégique ; EDI ; Etalonnage ; Entrepôt de données ; Externalisation ; Décisionnel ; Droit(s) ; Intelligence économique ;  Segment ; Gestion de la chaîne des approvisionnements (SCM) ; Management de contrats ; Management de projet ; Modèles d’analyse de portefeuille ; Offshore ; Score d’appétence ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ; Veille ;

 

PBC

PBC = Planification des Besoins en Capacité

 

 Voir : Juste à temps ; Kanban ; Planification des besoins ;

 

PBR

PBR = Price to Book Ratio

Rapport entre la « Capitalisation boursière » d'une entreprise cotée et sa valeur au bilan.

 

Il est important de ne pas retenir que ce ratio pour évaluer une entreprise car les notions de valeur sont fortement impacté par :

- La réévaluation des actifs comptables ;

- L’évaluation des actifs cachés dits adjacents ;

- mais surtout les fortes évolution du titre en fonction des tendances spéculatives des marchés.

 

Attention : Ne pas confondre avec la « Ratio de croissance du capital » = PEG

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Amortissement ; Bilan ; Coefficient de capitalisation des résultats ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Gordon Shapiro ; Gouvernance ; IFRS ; Marché ; MEDAF ; PAMP ; REEL ; VaMPs ;

 

   Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ; 

 

PCAO

PCAO = Préparation de Commandes Assistée par Ordinateur ;

 

 Voir : Achats ; Assistant d’achats ; Planification des besoins ;

 

PCE

 

 Voir : Prêt à la Création d’Entreprise ; OSEO.

 

PCEC

Plan Comptable des Etablissements de Crédit.

 

 Voir : Plan comptable

 

PCRD

Le Programme Cadre de Recherche & Développement de l’Union Européenne est un instrument de financement d'actions de recherche et de développement technologique.

 

Le 7e PCRD est porté à 7 ans soit 2007 à 2013

Il cible cette fois 7 domaines :

- Aéronautique et espace ;

- Nanotechnologies ;

- Technologies de l’information

- Les sciences de la vie ;

- Qualité des aliments ;

- Développement Durable ;

- Citoyenneté et gouvernance ;

 

Ce choix est déterminant pour beaucoup de projet d’entreprises en revanche il faut être un spécialiste dans la recherche de financements européens pour constituer un dossier et surtout faire aboutir la demande.

 

Attention : Il est très important de bien choisir son prestataire pour concevoir une telle démarche.

 

 Voir : Aides européennes ; Pôles de compétitivité ; AAP ; OSEO ; Veille ; Intelligence économique ; Groupe de pression ;

 

PDA

Personal digital assistant (PDA).

 

 Voir : Assistant électronique de poche

 

PDCA

 

 Voir : Amélioration continue .

 

Pecha Kucha

Pecha Kucha

Présentation vidéo d’un sujet de manière précise et concise.

 

Cette technique de communication se base sur 20 diapositives en 20 secondes. Partant du principe, qu’en général, nous ne retenons que 10% d’une discussion !

 

Ainsi la durée totales (6’40’’) et la limitation des informations permettent à ceux qui assistent à cette présentation de mémoriser plus facilement les sujets visualisés complétés par les explications qui s’y réfèrent.

 

 Voir : Commercial ; Mercatique 

 

PECO

Pays d'Europe Centrale et Orientale - PECO = Central and Eastern Europe countries

 

Constitués de : Bulgarie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, Slovénie, Slovaquie, République tchèque.

 

Tous ces pays dès l’effondrement du bloc soviètique avait vocation à rejoindre la communauté européenne non seulement par le fait qu’ils n’étaiaent pas intégrés dans la CEI, mais surtout par proximité géographique et des liens culturels et économiques forts et anciens avec plusieurs pays de l’UE.

 

Des aides de l’Union Européenne ont été conçues pour aider ces pays à se développer et à renforcer leurs liens économiques et culturels avec elle et pour favoriser leur intégration dans l’UE.

 

 Voir : Aides européennes ; Communauté des Etats Indépendants ; Entreprise conjointe ; Zone géographiques économiques internationales ;

 

Peignage

Le peignage est une pratique de gestion des relations commerciales qui à pour objectif d’actualier le contenu des données contenues dans les fichiers.

 

Cette action nécessaire permet d’éliminer les doublons, de supprimer les entités ayant cessé leur activité, d’actualiser les adresses notamment pour éviter des envois et retours de courrier et mél, couteux, chronophages et qui faussent les analyses statistiques, etc.

 

L’une de ces actions consiste notamment à effectuer cette actualisation sur le n° Siren pour les entreprises.

 

 Voir : Sirenage ; Gestion de la Relation clients ; Fichier ; Mercatique ;

 

Pépinière d’entreprises

La pépinière d’entreprises est une organisation mutualisé de moyens au profit de créateurs d’entreprise en phase de lancement.

 

Elle offre, pour une période déterminée, une série de services inclus dans un forfait ou à la demande :

- Accueil : Domicialition de siège social et de site professionnel parfois industriel et artisanal ; 

- Conseil : Généraux notamment pour certaines démarches administratives ou en organisant des rencontres à thèmes et échanges d’expériences. Parfois surtout dans un cadre d’aides publiques elles offrent des services d’évaluation de besoins dont formation ;

- Moyens matériels : Locaux (ex : Commodités, parking, ateliers, matériels (équipements et réseaux techniques) de reproduction et de communication ; 

 

Certaines permettent à leurs membres de fournir des prestations en interne à la pépinière ex : secrétariat, accueil téléphonique.

 

C’est un outil de développement d’activités professionnelles qui sinscrit dans le cadre d’une politique économique et social, national mais de proximité et qui impose des règles de fonctionnement strictes impliquant des collectivités territoriales et acteurs associatifs divers dans des processus d’aide à la création d’entreprise.

 

Attention ne pas confondre avec :

- L’Incubateur : Concept qui en France a été reconnu et soutenu par les pouvoirs publics (début des années 2000) à l’initiative des centres de recherche. Basé sur la notion d’innovation et donc R&D l’incubateur bénéficie de synergies multiples (aides financières notamment sur fonds publics nationaux ou eurpéens, appuis technologiques, moyens matériels, etc.). Il n’héberge pas forcément le porteur de projet

Exemple de structure servant d’incubateur : CEEI = Centre Européen d'Entreprises et d'Innovation.

Les incubateurs sont de plus en plus présents dans les pôles de compétitivité.

 

- La Couveuse qui plus largement permet d’accueillir des porteurs de projets qui sont des acteurs n’ayant pas encore créé une véritable activité professionnelle au sens juridique et fiscal.

 

- Centre d’affaires : Structure de droit privé qui propose différents services ex : Domiciliation épistolaire, secrétariat, permanence téléphonique, location ponctuelle de bureaux ou salles de réunions.

 

 Voir : Manager ; Portage ; Aides(s) ; Pôles de compétitivité ;

 

PEPS

Méthode d’évaluation des stocks selon formule :

Premier Entré, Premier Sorti – PEPS   +  = FIFO = First in first out  ;

 

Ainsi à l'inventaire le prix retenu des éléments en stock est celui de la dernière acquisition, ce qui est différent de LIFO : Last In First Out = Dernier entré premier sorti .

 

 Voir : Actif-S ; Bilan ; Evaluation ; IFRS ; Ordonnancement ; PAMP ; PUMP ; Stock ;

 

PER - PEG

Price Earning Ratio – Growth  

 

 Voir : Coefficient de Capitalisation des Résultats - CCR

 

Per diem

 Per diem du Grec, signifie : Par jour.

Notion utilisée pour désigner une indemnité ou base de rémunération de manière forfaitaire à la journée et en particulier pour débloquer une certaine somme allouée à une mission. Par exemple pour des déplacements à l'étranger afin de débloquer une somme nécessaire destinée à couvrir des frais de nature différente pour lesquels il ne sera pas toujours possible d'obtenir des justificatifs.

 

 Voir : Ordre de mission ; Frais professionnels ;

 

Performance

De l’ancien français « Parformance » = Achèvement ; Performance  = Leistung  ;

 

La performance est le résultat obtenu dans un domaine spécifique et considéré comme un aboutissement victorieux.

Peut être le fait d’une action humaine ou de celle d’un matériel, processus, etc.

Pour être appréciée elle fait l’objet de mesure (ex : de temps, distance, résistance, financière).

L’entreprise est cosntamment en recherche de performance dans tous les domaines, de la production (Innovation et technique), du commercial (achats et ventes), de la communication (marques et relations clients), financière (rétributions, investissements) …

Il faut donc sans cesse mesurer, se comparer, faire de la qualité, etc. Ainsi de nombreuses références, normes se sont établies comme autant d’étalons, d’exigence …

 

 Voir : Altermanagement ; Analyse par les Options Réelles ;  Aptitudes ; Audit ; Compétences ; Décisionnel ; EVA ; Evaluation ; Exigence ; Gestion Globale de la Performance ; Habilitation ; Handicap ; Heuristique ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management de transition ; Management participatif ;  Marge(s) ; Procrastination ; Proposal Management ; Norme(s) ; Qualité ; Référence ; Stratégie Océan Bleu ;

 

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 Infos :

Télécharger l’article l’ART du management 2 = Performance  Réalisé par Les Echos en partn avec HEC Paris : Enjeux, analyses, contrôles, évaluations, marketing, leadership, R&D, capital investissement, …

 

-   CMMI - Conférence PMI® – Cédric FOULON de Logica  - Chez Volvo IT :

        « CMMI - Capability Maturity Model Integration » ou la performance par l’acquisition d’un niveau de maturité suffisant afin de mener à bien un projet »

 

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

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 Formations Appropriées :

-  : IAE Lyon 3 : Management Int’l - I.T. – Finance et contrôle de sgestion, RH – Marketing – etc.

-  IDRAC : Ecole Supérieurede Commerce – International School of Management.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- http://www.axcion.eu/lexique/index_fichiers/image064.jpg Jack in the box – Proposal Management : Favoriser la concrétisation des ventes Aider vos commerciaux à vendre plus, plus vite, avec plus de marge tout en rentrant plus tôt le soir ! – Méthodes et outils.

 

- LOGO_ACTISS_HD ACTISS Partners - Cabinet spécialiste du Management de Transition : En temps de crise et pour des projets stratégique. Le manager de transition assisté d’un  directeur de mission, prend les rênes, pour redresser la situation, avant de les remettre aux dirigents et gestionnaires.

 

Période suspecte

Dans le cadre d’une procédure collective, la période suspecte est la phase, n’excédant pas 18 mois avant l’ouverture de la procédure, pendant laquelle vont être examinés les éléments permettant de définir la date qui sera retenue comme celle de la cessation de paiement avérée.

Si cette date diffère, par exemple de celle de dépôt de bilan fait par le dirigeant certains contrats pourront être remis en cause par le tribunal et sa responsabilité personnelle éventuellement engagée.

 

 Voir : Procédure collective ; Assignation ; Loi de sauvegarde ; Règlement judiciaire ; Liquidation judiciaire ; Responsabilité ;

 

Perquisition civile

La perquisition civile est une procédure de droit (En France = Article 145 du code de procédure civile)  conduite par un huissier de justice dont l’objectif est la recherche de preuve d’un délit. Cette recherche s’effectuant au domicile d’une personne physique ou morale.

 

Cette procédure peut notamment être engagée en référé pour pour permettre la saisie des preuves notamment dans le cadre d’une concurrence déloyale commise par le partenaire d’une entreprise et surtout avat que ces éléments de preuve ne disparaissent. Fort des preuves recueillis la victime pourra engager une procédure pour juger du délit et tenter d’obtenir réparation et au moins faire cesser ces pratiques préjudiciables pour elle.

                  

 Voir : Concurrence ; Intelligence économique ; Référé ; Responsabilité ; Veille ;

        Voir aussi : Brevet ; CGV ; Contrat ; Contrefaçon ; DGCCRF ; NRE ; Recours ; Dumping ;

 

Personne morale

 

Personne physique

Notion d'autonomie de la société ou du groupement à l'égard de ses associés et de ses dirigeants.

 

La "personne morale" se définit par différenciation de la personne physique qui est celle des individus.

 

Le regroupement d'individus pour agir en commun et notamment pour développer des activités commerciales a nécessité la reconnaissance en droit d'une personnalité propre à une entité comme pour exemple une société.

 

La personne morale possède ainsi de nombreux attributs identiques à la personne physique comme un nom = raison sociale, un domicile = siège social, une nationalité, etc.

 La reconnaissance de cette personnalité lui confère également des droits et des devoirs qui sont différents des personnes physiques qui en sont ses membres et ou ses administrateurs.

 

 Voir : Raison sociale ; Administrateur ; Société ;

 

PERT

PERT = Program Evaluation and Review Technic

C’est une méthode d’organisation, hiérarchisation d’actions, largement utilisée en gestion de projet et qui à pour objectif de réaliser celui-ci dans les meilleurs délais.

 

L’analyse qui en découle est basée sur une approche prenant en compte les éléments qui sont sans surprise, ceux que l’ont peut traiter de manière optimiste ou pessimiste pour anticiper sur les aspects critiques.

 

L’objectif est d’estimer un résultat probable qui pourra notamment permettre de mieux définir une tâche et en particulier dans sa durée pour favoriser la plannification.

 

Un diagramme spécifique permet de visualiser l’analyse mettant en évidence les liens en arborescence, aiguillage, etc.

 

                              

 

Exemple : ou chaque cercle intègre en partie haute le nom ou N° d’étape et en dessous les dates de début et de fin de celle-ci

 

 Voir aussi : Chaordique ; Chemin critique ; EMOFF-FFPM ; FAST ; Gantt ; HALO ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Modèle d’analyse de portefeuille ; Ordonnancement ; Organisation ; Plan Industriel et Commercial - PIC ; OVAR ; QPQQCOC ; Supposition ; Théorie des contraintes ;

 

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 18 : PERT  = Program Evaluation & Review Technique

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

 

PESTEL

PESTEL = Modèle d’analyse d’une organisation à partir de 6 facteurs génériques de son environnement qui ont des impacts souvent très importants sur ses activités et performances :

- Politique ;

- Economique ;

- Sociologique ;

- Technologique ;

- Ecologique ;

- Légal.

L’un des objectifs est de réorienter les clients, surtout fidèles, sur de nouveaux produits quand les évolutions l’imposent.

Cette pratique est désignée sous le vocable ‘’démarketer’’

 

 Voir : 3E ; Abandonniste ; Analyse par les Options Réelles ;  Domaine d’Activité Stratégique ; EMOFF ; Etude d’usages et attitudes ; Evaluation ; Exigences ; Heuristique ; Mercatique ; Modèles d’analyse de portefeuille ; SONCAS ; Stratégie Océan Bleu ;

 

PFIL

PFIL - Plates-Formes d’Initiatives Locales.

Structures de proximité pour l’aide à la création d’entreprises.

 

 Voir : APCE ;

 

PGI

- ERP - XRP

Progiciel de Gestion Intégré   = ERP : Enterprise Ressource Planning  

Solution globale de gestion informatisée qui associe plusieurs systèmes, sources d'information ex : Production ; Achats, Ventes, Comptabilité Générale & analytique, Immobilisations, frais généraux ; paye ; etc. (ex : Microsoft Dynamics NAV, Cegid, Oracle, Sap, JDE, Sage)

 

Avec l’évolution des exigences en matière de performance de gestion, les fonctions de base fournies par les PGI ont intégré soit des modules spécifiques à certains métiers, soit ils ont fait appel à des techniques d’analyses multidimentionnelles soit les éditeurs de ces outils ont racheté ou ont noué des partenariats avec des applications métiers spécialisées comme la Gestion des Relations Clients ; Achats …

Ainsi, compte tenu des enjeux de gestion tant sur l’investissement ou la location que sur le système d’information et l’analyse des performances, le choix d’un PGI doit impérativement faire l’objet d’une approche en mode projet.

 

XRP = ERP + Web + Front office (ex : crm, scm, e-procurement, etc.).

 

  Voir aussi : ASP ; Assistant d’achats ; Décisionnel ; Frais professionnels ; Gestion de la Relation Clients ; Maintenance ; Management de contrats ; Management de projet ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Plan Industriel et Commercial – PIC ; Temps Objectif de Reprise ;

 

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

PHP

PhP = Pré-Hypertexte Processor

 

C’est un langage de programmation, libre de droit et donc gratuit et concurrente d’ASP, qui permet d’extraire des contenus de bases de données pour réaliser des pages Web dynamiques.

 

 Voir : ASP ; Langage ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PhPmyVisites Le compteur gratuit de statistiques et mesures d’audience de votre site !

 

Pignoratif

Pignoratif : Tiré du latin, signifie « Engagé »,

 

- Se dit par exemple d’un endos de chèque ou d’effet de commerce apposé à titre de garantie mais qui ne transfert pas la propriété de la créance et n’est pas non plus donné pour encaissement.

 

- Ce terme est également utilisé dans certains contrats de prêts sur gage, il peut alors prendre la forme d’une vente à réméré.

 

 Voir : Contrat ; Effet de commerce ; Endos ; Gage ; Garantie ; Management de contrats ; Nantissement ; Recouvrement ; Réméré ;

 

Pilote

Pilote = Driver

Système de gestion de périphériques reliés à l’ordinateur ou fichier pour la connexion à un serveur.

Chaque périphérique doit avoir son pilote (Par défaut il est toujours possible de le rechercher sur Internet pour téléchargement.

 

 Voir aussi : Carte mère ; Mémoire(s) ; Réseaux ; BUS ; IPA ;

 

Pilule anti OPA

= Poison Pill

La pilule anti OPA est une disposition prises par les dirigeant d’un entreprise pour dissuader une OPA surtout inamicale ex :

- Primes de licenciement ;

- Conversion d’obligations en actions pour augmenter le volume sur le marché

- Accueil d’un chevalier blanc

 

 Voir : OPA ;

 

PIPES

PIPES = Private Investment in Public EntitieS

 

 Voir : Capital risque ;

 

Place de marché

= Marketplace  ;

Place de marché désigne un serveur professionnel à accès réservé gratuit ou payant permettant de mettre en relation acheteurs et vendeurs afin de réaliser des opérations sur le web (des clients + des fournisseurs)

 

 Voir aussi : B to B et C ; e-commerce/ market/ place/ procurement ; EAI ;

 

Plan comptable

= Accounting system

PCG 99 = Plan Comptable Général modifié en 1999 utilisé en France. (PCEC = pour établissements de crédit)

Il organise les comptes selon les classes suivantes :

 

a) Comptes d’évaluation de la situation patrimoniale de l’entreprise dits de bilan :

   1 = Comptes de capitaux

   2 = Comptes d’immobilisations

   3 = Comptes de stocks et en-cours

   4 = Comptes de tiers

   5 = Comptes financiers

 

b) Comptes d’exploitation de l’activité dits de résultat :

   6 = Comptes de charges

   7 = Comptes de produits (= profits)

 

c) Comptes spéciaux :

   8 : ex : Comptes d’engagements donnés et reçus, résultat en instance d’affectation ; 

 

 

US GAAP est la norme utilisée dans les pays anglo-saxons

 

HGB Handelsgesetzbuche, Allemagne est l'équivalent du code de commerce en France. Ce qui fait que leurs règles comptables ont une existence légale.

 

 Voir aussi : Actif-S ; Analyse financière ; Evaluation ; IAS/IFRS ; Passif ; Renseignement ; Résultat(s) ; Renseignement ;

 

Plan d’affaire

Le plan d’affaire  = Business plan  ;    ;

C'est un document détaillant de manière structurée les critères d’un projet. Il s’articule autour d’un descriptif du projet et d’une argumentation et en particulier destinée à obtenir le finacement de celui-ci.

 

Attention : Si vous ratez votre planifictaion => Vous planifiez vos prochains ratages

 

- La première étape de la réalisation du plan est de structurer l’idée par un état de la situation par exemple en mettant en évidence les forces et faiblesse tant de l’entité que de ses objectifs et en particulier sur les aspects : Produits, marché, concurrence ;

 

- La seconde étape Pourrait être de définir les orientations stratégiques au travers des indicateurs clés pouvant assurer le succès du projet naissant grâce à une démarche pöiétique.

 

- La troisième étape prendra en compte les 2 premières pour définir les moyens dont il faut disposer sur le plan matériel, humain et donc financier.

 

Généralement cette dernière étape contient :

- le cas échéant l’original du statut juridique et donc fiscal relatif à la personne morale concernée ;

 

- Dans le cadre d’une création d’entreprise un bilan et compte de résultat, prévisionnels sur 3 ans, seront adossés à la demande de financement.

La partie financière du plan d’affaire sera adaptée en fonction des interlocuteurs internes ou externes (Parties prenantes au projet ex : Associés, décideurs, financeurs, partenaires et autres collaborateurs, médias) ;

 

- Plus le projet sera complexe plus le processus de gestion en mode projet devra être élaboré ex : Cahier des charges, équipe projet, méthode, livrables, coûts, délais qualité…

 

 Voir : Audit ; Cahier des charges ; Bilan ; Compte de résultat social ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Gordon Shapiro ; Point mort ; Pragmanagement ; Management de projet ; Matrice : Affectation des responsabilité et des tâches ; QPQQCOC ; SIG ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Ma Création d’Entreprise.fr :

Centre d'Accompagnement et de Formation des Entrepreneurs :

    Formations modulaires et à distance : Démarrage, marché, plan d’affaires, statut…

    Espace affaires : Créer, Céder, reprendre… Assistance, et conseil 

 

Plan de Continuation ou de Reprise d’Activité  - PCA - PRA

 

 Voir : Management de risques ; Point Objectif de Reprise ; Temps Objectif de Reprise ;

Plan de succession

Le Plan de succession, en matière de gestion d’organisation des  resssources humaines, est un élément fondamental tant sur le plan éthique que fonctionnel.

 

Ainsi que le prouve les concepts d’entreprise collaborative, d’habilitation, l’heure n’est plus à la simple division du travail. Il est primordial d’être à la fois spécialisé, polyvalent, évolutif et collaboratif.

 

C’est pour ces raisons et aussi mieux maitriser les dépenses de fonctionnement et d’investissement liées au nombre de personnes présentes dans une entité que les décideurs doivent anticiper sur les changements et besoins futurs.

 

Le plan de succession intègre aussi bien :

- Sur l’aspect fonctionnel le passage de témoin entre un collaborateur qui part ou absent et un autre qui arrive ;

- Dans un concept d’intelligence collaborative, que chaque personne recrutée, quellle que soit son poste, prenne comme base de réflexion, son futur départ ou changement d’affectation. Ce concept d’éthique prévoit un objectif de qualité à la fois pour s’adapter mais surtout pour permettre aux individus d’évoluer favorablement en se bonifiant :

    « …je dois faire en sorte que mon successeur sera encore meilleur que moi !  par valorisation du poste et en participant ou non à la sélection, l’information et la formation du prochain titulaire »

 

Le plan de succession doit donc prendre en compte la formation, le mentorat. Ainsi avec des moyens efficients et des pratiques valorisantes l’entreprise et tous les collaborateurs peuvent anticiper l’avenir. C’est donc un excellent principe pour éviter ou au moins réduire les drames économiques et sociaux.

 

 Voir : Amélioration continue ; Aptitudes ; Compétences ; Conduite du changement ; Evaluation ; Habilitation ; Intelligence ; Management participatif ; Mentor ; Responsabilité ; Ressources humaines ; Technique de concassage ; Théorie(s) de l’enracinnement, de l’agence ; Transformation organisationnelle ;  Travail collaboratif ;

 

Plan d’expérience

Le « Plan d’expérience », c’est une pratique de recherche basée sur le suivi, l’observation, l’apprentissage, qui a pour objectif de réaliser des essais en nombre limité notamment pour affirmer une tendance, réorienter une recherche ou la stopper.

 

Cette pratique, de tatonnement, vieille comme le monde, en usage aussi  chez certains animaux, est très utile et appréciée pour limiter des inconvénients majeurs, notamments induits par ces essais, tels que la souffrance chez des animaux ou des humains en médecine et bien évidemment sur les risques financiers pour les gestionnaires.

Ainsi, il est moins couteux et plus rapide de prendre des décisions en se limitant aux strict nécessaire des essais réalisés ce qui est également très apprécié en « Recherche et Développement ».

 

Depuis quelques décennies cette pratique de plannification des expérimentations c’est largement développée donnant naissant à des méthodes éprouvées. De nombreuses acteurs du travail en mode projet s’inspirent largement de cette patique notamment la gestion de projets extrèmes et agile.

 

 Voir : 100ème  singe ; 5M ; 5 Pourquoi ; Analyse par les Options Réelles ;  Arbre des causes ; Développement Dirigé par les Tests ; EMOFF-FFPM ; Ethologie ; Excellence Opérationnelle ; HALO ; Heuristique ; Management de la valeur acquise ; Management de projet extrème ; Management intelligent ; Planifier ; Pragmanagement ; Qualité ; Supposition ; Temps parcelles ;

 

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 Infos :

- Plans d’expériences éfficaces selon Philippe ALEXIS.

 

Planification des besoins

La planification des besoins est une pratique informatisée, appelée parfois PBC = Planification des Besoins en Capacité, permet, dans une démarche de juste à temps, de mieux gérer les commandes afin de réduire les stocks.

 

 Voir : Achats ; BFR ; Cash custing ; Juste à temps ; Organigramme des tâches ; Plan industriel et commercial ; Stocks ; Théorie des contraintes ; Zéro stock/ Kanban ;

 

Planifier

Planifier, c’est organiser par plan.

 

Le planificateur est celui qui détermine les emplois du temps et souvent l’organigramme des tâches (WBS), que ce soit en matière de :

- Production, pour les Temps d’attente ;

- Management de projet, avec la notion de Dernier Planificateur = Last planer  

 

Dans la théorie des contraintes celui qui est le dernier planificateur (Fournisseur, Sous-traitant, installateur et même utilisateur) doit pouvoir faire remonter les anomalies pour que les corrections soient apportées.

 

Dans la pratique DDT = Développement Dirigé par les Tests, la planification se fait àprès chaque « Passage de porte » = Gating, réussi ! 

 

En management de projet des systèmes de gestion relatives à une élaboration progressive permettent de déclencher une planification par vagues = Rolling wave planning, pour optimiser les étapes, échéances, bornes, tests … et franchir les passages de portes = Gating, lorsque les buts ont été atteints, les livrables réalisés !

Cette élaboration progressive relève évidemment d’une pratique agile par itération qui favorise une adaptation quasiment en temps réel et donc une meilleure maîtrise des projets et de la qualité fournie au client du projet.

 

Attention : Si vous ratez votre planifictaion => Vous planifiez vos prochains ratages

 

 Voir : 8D ; Dernier planificateur ; Développement Dirigé par les Tests ; Gating ; Heuristique ; Management de projet ; Organigramme de tâches ; Organisation ; Plan d’expérience ; Pragmanagement ; Supposition ; Temps Moyen d’attente et de manipulation ; Temps Objectif de Reprise ; Théorie des contraintes ; Travail Collaboratif ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 15 : Planification par vagues  Rolling wave planning

                          Annexe 16 = Dernier planificateur = Last planneur system

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Plan Industriel et commercial

- PIC -

PIC : Plan Industrile et Commercial = Manufacturing and Sales Plan or S&OP = Sales Operation Planning

Comme son nom l’indique, le Plan Industriel et Commercial est un mode d’organisation de la production en rapport avec les moyens et objectifs commerciaux.

 

Elaboré à partir des études mercatiques et des commandes en cours ce plan va être intégré au niveau direction générale pour définir l’affectation des moyens, matériels, humains et financiers.

 

C’est donc un élément statégique, de gouvernance. Il implique l’utilisation d’outils décisionnels – ex : Système d’exécution des fabrications = MES   lié à l’ERP – L’objectif est d’adapter les moyens de production, la logistique dont le stockage, les ressources humaines, etc. pour répondre de manière efficiente à la demande du marché.

Cette pratique intègre un concept de PDPPlan ou Programme Directeur de Production = MPS - Master Production Schedule   intégrant une méthologie d’ordonnancement.

 

Les objectifs à atteindre se réaliseront d’autant mieux que les concepts cités seront les éléments d’une pratique en management de projet.

 

 Voir : Achats ; Approvisionnement ; BFR ; Cash custing ; Gestion de la chaine d’approvisionnement ; Décisionnel ; PGI/ERP ; Gouvernance ; Heuristique ; Juste à temps ; Management de projet ; Management de transition ; Ordonnancement ; Organisation ; Opération de recentrage ; Pragmanagement ; Stocks ; Temps d’attente ; Théorie des contraintes ; Zéro stock/ Kanban ;

 

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 Infos :

- Voir l’excellent support réalisé par la « Communauté CPIM » et l’ARDI :

 « Les bonnes pratiques en matière d’ordonnancement » en matière de production.

Découvrez les concepts de :  PIC, MES ; PDP, CBN, temps d’attente, etc.

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

Plate-forme logistique

Une plate-forme logistique est un lieu d’activités diversifiées pouvant aller seulement du débordement = Cross docking, au stockage.

 

De multiples activités se déroulent depuis la réception jusqu‘à la la réexpédition, en passant par le lissage, la palettisation, l’éclatement, l’allotissement, le reconditionnement, de colisages pour la ventilation vers des destinations diverses.

 

Bien évidemment elle intègre aussi les activités de transport, chargement et déchargement.

 

De plus en plus la plate-forme a pour fonction de gagner du temps en évitant au maximum le stockage et donc de réduire les charges.

Ainsi dès leur réception les marchandises sont retraitées, notamment par la pratique de l’allotissement, pour permettre une répartition donc un reconditionnement selon les detinataires et lieux et quantités de livraison.

 

 Voir : Achats ; Allotissement ; Approvisionnement ; Débordement ; Liste de colisage ; Logistique ; GENCOD ; Gestion de la chaîne d’approvissionnement ; Planification des besoins ; Théorie des contraintes ;

 

Pledge 

 

 Voir : Nantissement.

 

PLM

Product Lifecycle Management

 

 Voir : Management du Cycle Produit  

 

Plug-in

 

 Voir : Module d'extension   

 

PLV

PLV est un terme de mercatique qui signifie : Publicité sur les Lieux de Vente – PLV = POP : Point-Of-Purchase/sale advertising/ promotion

 

A la différence de l’ILV, on peut dire que la PLV désigne surtout les éléments d’information situés à proximité du chaland et sur les points de vente. L’objectif recherché est d’assurer au mieux la promotion directement liés aux services proposés et produits disponibles sur place. 

 

 Voir : 4P ; BOGO ; Commercial ; ILV ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; SONCAS ;

 

PMBOK

"Project Management Body Of Knowledge" PMBOK®  = Corpus de connaissances en management de projet  du PMI® – Project Management Institute

 

Ce référentiels est édité par PMI®–Project Management Institute, la fondation internationale des chefs et directeur de projets.

 

 Voir : Evaluation ; EVM ; Management de projet ; Norme(s) ; Qualité ; Organisation ; Exigence ; Performance ;

   Voir aussi : 6 Sigma ; AFNOR ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO  ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; Prince2 ; Tenstep ; Système de Management Intégré ; Théorie des contraintes ;

 

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 Infos :

-  Voir le site de l’association « PMI® - Project Management Institute » :

  Consulter le corpus des connaissances « PMBOK » et choisissez votre chapitre de proximité pour assister aux réunions à thème.

 

 

PME de croissance

PME de croissance désigne une disposition à caractère économique qui a pour objectif d’aider les PME ayant un fort potentiel de croissance.

 

Les entreprises bénéficiant de ce statut sont également désignées sous le vocable « Gazelles »

Statut fiscal et social issu de la loi de finance 2007 et du Code Général des Impôts art 220 decies.

 

Il repose sur 3 principales mesures :

-         Gel des impôts pendant la période de croissance ;

-         Décalage du paiement des cotisations salariales pour les nouvelles embauches ;

-         Possibilité de remboursement anticipé du Crédit Impôt Recherche.

 

Par ailleurs les « Gazelles » bénéficient également de mesures d’accompagnement.

 

 Voir aussi : Aides ; ETI ; ETM ; JEI-Jeune Entreprise Innovante ; PME ; Pragmanagement ; Régime fiscal ; Statut(s) ;

 

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 Infos :

- Gazelles : Site ministériel pour accompagner le développement des PME de croissance ;

 

PME - PMI

PME : Classement européen de catégorie d'entreprise depuis 2004 :

 

- Petite entreprise  = Small cap  : Concept d'une entité économique (dont association) constituée au minimum de 10 personnes et au maximum de 50 personnes et dont le CA ou total Bilan se situe entre 2M€ et 10M€ (en dessous de ces seuils la catégorie relève de la micro entreprise)

 

- Moyenne entreprise  = Mid cap  : Concept d'une entité économique (dont association) constituée d'un personnel compris entre 50 et 250 personnes et dont le CA ou total Bilan se situe entre 10M€ et 50M€ (au-delà de ces plafonds la catégorie relève de la Grande entreprise)

Voir : TPE et micro entreprise.

 

 Voir aussi : Formes juridiques ; Micro-entreprise ; Obligations déclaratives et périmètre DGE ; PMO ;

 

PMO

PMO : Plusieurs acceptions dont :

 

Petites et Moyennes Organisations :

Désigne les entités PME, PMI mais aussi, plus largement, les structures non commerciales ni industrielles comme certaines associations, ONG.

Cette terminologie se conçoit surtout du fait que de nos jours toutes les entités ont des nécessités de gestion qui sont communes ex : Administration, gestion financière dont comptable et fiscale, gestion des relations, logistique, juridique, etc.

Ainsi de nombreuses formations prennent en compte ce concept.

 

 Voir : Manager ; Statuts ; Formes juridiques ; Gestion de la Relation Clients ; Gestion Globale de la Performance ; PME ;

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 Formations Appropriées :

-  IAE Univ. Lyon 3 : Management des PMO.

 

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b) Le Project Management Office : Est une sorte d’organigramme, de démarche qualité, qui se distingue du management de projet, de programme et de portefeuille projet sur deux points :

 

- Premièrement, un PMO est une unité organisationnelle chargée de centraliser et de coordonner le management des projets qui relèvent de son domaine.

 

- Deuxièmement, cette organisation possède une double finalité qui permet de mettre en oeuvre deux activités :

       1- l’alignement stratégique du portefeuille de projet,

       2- l’amélioration continue de la qualité des méthodes de management de projets et de

programmes.

 

 Voir : Amélioration continue ; ETM ; Excellence Opérationnelle ; Management de projet ; Organigramme ; Supposition ;

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 Infos :

- Voir l’association des chefs de projets « Project Management Institute »

 

PNL

Psycho ou Programmation, Neuro, Linguistique - PNL :

C'est un ensemble de modèles descriptifs des structures de la subjectivité de l’expérience humaine.

 

C'est aussi un mode d’emploi des capacités du cerveau utilisées en particulier pour optimiser la communication avec soi et les autres.

 

Objectif : comprendre le monde pour agir en conséquence.

 

Considérant que l’individu est un tout une approche holistique s’avère souvent plus performante pour apporter des remèdes à ses maux mais aussi des solutions à ses besoins personnels.

Dans le management d’équipe la bonne connaissance de chacun dans son ensemble est un facteur d’optimisation du travail collaboratif.

 

Différentes techniques ont été développées par les entreprises dans les domaines de la gestion des relations internes et du commercial surtout pour rendre les négociations plus performantes.

 

Ainsi il est important en matière relationnelle de pouvoir utiliser les 5 sens selon la terminologie commerciale dite VAKO :

 

V = Vue : Il faut regarder, dans le bon sens, pour voir ;

A = Audition : Il faut écouter pour entendre avant de pouvoir comprendre ;

K = Kinestesie : Le sens du touché et autre gestuelle ou posture (= Proprioception) ;

O = Odorat et le goût.

 

Et attention aux comportement dit « Mobbing »

 

 

 Voir : Communication ; Empowerment ; Ethologie ; Heuristique ; Intelligence ; Kaizen ; Mobbing ; Pression ; SONCAS ; Théorie des signaux ;

 

        Voir aussi : Commercial ; Credit Management ; Force de vente ; Gestion des Relations Clients ; Mercatique ;

 

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 Infos :

"Managez humain, c'est rentable" Livre de Franck Martin (Congruences) aux éditions De Boeck

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Congruences - Conseil et formation en communication et management d’équipe : L’efficacité des organisations par l’harmonie des hommes et des stratégies.

 

Poids mort

Dans le modèle d’analyse de portefeuille du Business Consulting Group

Les parts de marchés du domaine d’activité stratégique sont les produits classés dans les 4 catégories suivantes

          - Vedettes - Vaches à lait – Dilemmes – Poids morts –

 

- Vedettes : Rapportent et s’autofinancent. De plus ils contribuent à la croissance ;

- Dilemmes : Coûtent mais contribuent à la croissance ;

- Vaches à Lait : Contribuent peu à la croissance et rapportent ;

- Poids morts : Ne rapportent et ne contribuent pas à la croissance

Ce classement permet de mesurer le potentiel de génération et d'utilisation des liquidités.

 

 Voir : Domaines d’activités stratégiques

Voir aussi : Modèle d’analyse de portefeuille ; Pyramide des besoins ;

 

Poïétique

La Poïétique c’est l’ensemble des moyens et méthodes qui concourent à la création.

 

Que ce soit du fait d’une observation hasardeuse, de la réflexion, de la recherche et de l’analyse, ou de l’utilisation de matériels, etc.

 

C’est ainsi que démarrent certaines pratiques de gestion de projet ou R&D.

 

 Voir : 100ème singe ; Heuristique ; Management de projet ; Qualité ; Mercatique ; Stylique ;

 

Point chaud de réseau

Point chaud de réseau = Wireless Internet Hotspot.

 

- Zone d’une page web sur laquelle se trouve un lien actif ;

- Lieu public équipé d’un système de connexion sans fil à Internet pour un grand nombre d’utilisateurs.

Ce type d’équipement est très développé notamment dans les grandes gares, ainsi que dans les aéroports et hôtels, etc.

 

 Voir : Internet ; M to M ; Point Unique de Faiblesse - PUF ; Réseau ; UWB ;

  

Point mort

Point mort = Break event point.  ; Neutralpunkt  ;   ;

Il y a plusieurs acceptions du terme « point mort »

 

a) La plus connu est le point mort d’exploitation :

C’est le niveau auquel le chiffre d’affaire couvre l’ensemble des charges fixes et variables.

C’est seulement à partir de ce « point mort » que se concrétise la rentabilité. => Seuil de rentabilité

 

b) Le point mort dit comptable met en évidence la récupération des investissements par la politique et les résultats produits par les amortissements.

 

c) Le point mort financier est destiné à apprécier la rémunération des capitaux investis (voir RCE)

 

 Voir : Charges d’exploitation ; Compte de résultat social ; Evaluation ; Marge commerciale ; RCE ; Seuil de rentabilité ; SIG

 

Point Objectif de Reprise

POR : Point Objectif de Reprise  

Il est l’élément  indissociable du « Temps Objectif de Reprise » dont il est l’indicateur et qui permet en particulier de définir les délais entre 2 sauvegardes de données informatisées.

 

Le POR/RTO est utilisé notamment pour définir avec précision la périodicité de sauvegarde de données informatisées après avoir appréhendé la dépendance, les risques, la charge de travail et les procéssus du Temps objectif de Reprise.

Il est en effet primordial de mesurer les effets directs et induits d’une perte partiel de données pour connaître le degré de dépendance et ainsi anticiper sur les mesures à prendre pour éviter ces incidents et le cas échéant prévoir un plan de continuation ou de reprise d’activité. (PCA-PRA)

 

 Voir : Maintenance ; Management de risques ; PCA-PRA ; Qualité ; Temps Objectif de Reprise ;

 

Points de fonction

La méthode des ‘’Points de fonction’’ est une pratique normalisée ISO qui a pour objectif de mesurer les performances d’un logiciel notamment sur la base des fonctionnalités offertes au client tout en s’attachant aux coûts de sa réalisation  ( Ex :Interne en CSP ou externalisés) et aux performances recherchées et en particulier dans le cadre du SI de l’entité concernée.

 

Ainsi il est plus aisé tant pour le prestataire que le maitre d’ouvrage et so responsable informatique de finaliser  le cahier des charges donc de concevoir le contrat liant les parties notamment pour ce qui concerne un éventuel ratio de productivité.

 

Cependant, il existe plusieurs méthodes PF et tout le monde n’a pas la même interprétation sur les points de fonction et surtout les ratios utilisés ce qui rend cette pratique délicate.

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Cahier des charges ; Développement Dirigé par les Tests ; EMOFF-FFPM ; Evaluation ; Maîtrise des dépenses ; Management de Contrats ; Management de projet ; Maintenance ; Point unique de faiblesse ; Système de Management Intégré ; TPMC ;

 

Points de risque

Méthode des « Points de risque » ou classes de risque est un véritable élément de la politique crédit associant les notions de profil payeur, scores, rating et dont l'un des principaux objectifs est de fixer un encours de créances à ne pas dépasser pour chaque client et les modalités de paiement associées.

 

Le principe consiste à apprécier le risque client en établissant une notation à partir d'éléments qualitatifs (ex : marché et dirigeants) et quantitatifs (ex : scores et ratios financiers).

 

La difficulté est de concevoir la grille des différents facteurs, critères d'appréciation et de trouver l'échelle de valeur de chacun de ces éléments par rapport aux autres (pondération). Il existe plusieurs méthodes/formules de base.

 

L'essentiel est de maintenir à jour les sources d'informations permettant de renseigner chaque critère.

 

 Voir : Cash custing ; Conditions générales de vente ; Credit Management ; DSO ; Management de risques ; Profil payeur ;  Rating ; Risques ; Score ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

-  Article métier« Délais de paiement…la solution NRE ! »

- Découvrez la présentation du livre sur "Cash Custing" pour aller au-delà du Credit Management vers l’optimisation du BFR !

 

Point Unique de Faiblesse 

- PUF

PUF : Point unique de faiblesse  = Spof : Single point of failure

 Comme son nom l’indique il désigne un élément, une zone de défaillance, qui en informatique, met en évidence un risque permanent de rupture de service, de panne, etc.

 

Ainsi en cas de risque avéré l’activité d’une entité peut être stoppée. Il faudra alors que le Plan de Reprise ou de Continuation de l’activité soit être mis en place.

 

 Voir : Management de risques ; Risques

 

       Voir aussi : Pare-feu ; Point chaud de réseau ; Réseau ; Troyen ; VPN ; Virus ;

 

Poka-Yoké

Poka-Yoké concept japonais qui s’incrit dans celui de « Zéro défaut », d’une politique Qualité, par détection préventive et correction des erreurs, dysfonctionnements, de manière rapide.

 

 Voir : EMOFF-FFPM ; FAST ; Kanban ; Lean concept ; Management de projet ; Point Unique de faiblesse ;  Qualité ; Zéro défaut ;

 

Pôles de compétitivité

66 Pôles de Compétitivité ont été créés en France en 2006 pour relancer l’activité économique et faire face à la concurrence mondiale.

 

C’est une politique de développement économique portée par l’Etat et à la demande des collectivités et surtout des entreprises pour mettre en place une stratégie industrielle (moyens importante et durables) au service d’une dynamique basée principalement sur l’innovation.

 

L’un des éléments fondamentaux de l’organisation de ces pôles de compétitivité c’est qu’ils sont spécialisés sur des métiers, et qu’ils sont confortés par le regroupement des acteurs de la formation (Ex : Université) de la recherche (Ex : Laboratoires) et qu’ils sont soutenus par des moyens importants et durables notamment par des financements locaux, nationaux et européens.

 

Autre choix conséquent c’est que ces pôles ont été judicieusement répartis sur le territoire en fonction des existants en matière de compétences liées à l’emploi et aux implantations des acteurs économiques existants.

 

 Voir aussi : Aide(s) ; Capital/d’amorçage ; Cercle de réflexion ; Grappe d’entreprises ; Innovation ; Management de projet ; Risques ; Stratégie océan bleu ;

 

Pons (Loi)

La loi Pons est un dispositif français de défiscalisation destinée à inciter les particuliers soumis aux tranches d’impôts les plus hautes en échange d’investissements immobiliers dans les DOM-TOM dans de nombreux secteurs d’activités comme par exemple : BTP – Transports – Audiovisuel – Tourisme - Pêche.

 

 Voir : Défiscalisation ; Aides ;

 

Ponzi

« Pyramide de Ponzi » ou « Chaîne de Ponzi ».

Principe dit « Cavalerie » qui consiste à réaliser des opérations financières spéculatives sur la base de ressources initiales puis successives qui permettent de verser des revenus substantiels aux membres de cette « pyramide ».

Tant que les ressources collectées sont supérieures aux intérêts versé, majorés des bénéfices prélevés par les organisateurs de cette chaine, le système fonctionne. Ainsi il fournit la preuve d’une performance attractive pour d’autres candidats au placement.

Mais si la progression équilibrée du système ne se poursuit pas, soit par manque de nouveaux arrivants soit par le retrait d’autres membres, alors il y a insuffisance de fonds pour rétribuer les placements et le phénomène exponentiel se retourne dans les mêmes proportions d’où l’image de pyramide.

 

Exemple en décembre 2008 Bernard Madoff est arrêté pour avoir escroqué des milliers d’épargnant avec ce système qui aurait perduré pendant plusieurs décennies ! ?

Toutes les victimes, n’ont pas été abusées par des manipulations dolosive puisqu’il a aussi floué ses partenaires  et amis qui pour beaucoup étaient des initiés de la finance, des membres de la famille et même parfois complices. Ceux-ci pensaient rester du coté du gagnant car le système était basé sur une organisation mafieuse ayant également échappé, comme par un curieux hasard et pendant des décennies, au contrôle du gendarme de la bourse des USA. Il faut dire que le gendre de cet escroc en était l’un des controleurs !

 

Moralité, de nombreux plaignants ne sont pas des victimes mais des complices.

En effet, le premier dégré de responsabilité aurait été de se demander pourquoi et comment peut-on engranger des revenus aussi alléchants sur des placements en dehors d’un système malhonnète ? 

En cela Madoff n’aurait profité que de spéculateurs avides pris à leur propre piège de la facilité de ce jeu. Tant mieux ! Mais ce sont pourtant les laborieux qui payent le prix de la crise financière. Elle aussi basée sur une spéculation effrénée et des pratiques foncièrement malhonnètes comme les « subprimes »  et autres montages non contrôlés notamments sur produits « dérivés ».

 

Attention : il ne faut pas confondre ce principe avec celui dit « Boule de neige » qui contrairement à la chaîne de Ponzi n’est pas systématiquement utilisé à des fins malhonnêtes.

 

 Voir : Boule de neige ; Cavalerie ; Contrôle ; Délit ; Dol ; Evaluation ; Exigences ; LSF/SOX ; Option ; Titrisation ;

 

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 Infos :

- Livre : « Un monde sans loi » La criminalité en images. Découvrez « l’économie casino », les pratiques de blanchiment, La coopération judiciaire conçue pour échouer, etc.Ed. Stock

 

Pool

 

 Voir : Syndication ; Apériteur-trice ;

 

POP

Point-of-purchase.

 

  Voir : PLV  .

 

Portage

Plusieurs acceptions pour Portage :

 

a) Portage d’actions :

Le portage d’actions est une convention qui lie le porteur à son donneur d’ordre sur la possession d’action à des conditions prédéfinies notamment de prix et surtout de risques.

Contractuellement, le porteur va bénéficier du transfert de propriété pendant une durée déterminée avec engagement de restituer au donneur d’ordre les titres concernés.

Ce type d’opération est utile nortamment dans un but d’acquisition discrétionnaire ou dans l’attente d’arbitrage pour le contrôle du capital d’une entreprise par ses actionnaires, etc.

Attention :

- Au franchissement de seuils d’acquisition pour les sociétés cotées = déclaration !

- A l’utilisation de cette pratique à des fins de garantie d’une dette = Risque financier !

- Aux montages pouvant être qualifiés de frauduleux (Simulation et dénaturage de portage) = Risque pénal !

 

 Voir : Action ; Allègement de bilan ; Capital ; Fiducie ; PACEO ; Propriété ; Réméré ; Sureté réelle ;

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b) Portage salarial :

C’est le principe selon lequel une entité, employeur, permet à l’un de ses salariés de réaliser des prestations ciblées le plus souvent pour permettre à celui-ci :

-         de tester un projet de création d’entreprise

-         d’exercer à son profit et dans un cadre légal une activité ponctuelle mais récurrente.

L’entité de portage et le prestataire (salarié) sont donc soumis au droit du travail. 

 

 Voir : Activité d’affaires ; Apport d’affaires ; Contrat ; Lien de subordination ; Responsabilité ; Statut ;

 

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 Infos :

- Syndicat National des Entreprises de Portage Salarial – SNEPS –

-  Conférence Synertal : Télétravail et performance des entreprises ;

 

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c) Portage export :

Accords, contractuels, selon lequels une entreprise exportatrice peut bénéficier de moyens alloués par une autre déjà implantée sur un marché étranger.

 

 Voir : Contrat ; Aides ; Pépinière d’entreprises ;  

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c) Portage mercatique :

C’est l’ensemble des moyens utilisés pour favoriser la distribution d’un produit, la transmission d’un message publicitaire, etc. par le biais d’un autre support.

 

 Voir : Mercatique ;

 

 

Portefort

Portefort désigne une personne qui s’engage à faire agir un tiers. Le tiers lui-même n’étant pas engagé.

 

Attention : Ne doit pas être confondu avec la caution ni le prête-nom.

 

 Voir : Caution ; Garantie ; Rétention ; Contrat ; Prête-nom ; Lettre d’intention ;

 

Porter

 (Approche/5 forces de Porter)

 

 Voir : Modèles d’analyse de portefeuille ;

 

Portrait chinois

Le « portrait chinois » désigne une technique d’enquête policière adaptée aux activités RH et mercatique.

L’objectif est de favoriser l’expression du sujet sur un thème qui lui est adapté afin de trouver des analogies à son comportement personnel dans un domaine recherché.

 

C’est aussi ce que l’on désigne par test d’aperception thématique qui lui, se base sur la représentation d’images. La sémiotique s’attache particulièrement aux signes par : Production, fonctionnement, réception.

 

 Voir : Analyse transactionnelle ; Ethologie ; Etude d’usages et d’attitudes ; Evaluation ; Mercatique ; Sémiotique ; Supposition ;

 

Poste à poste

Poste à Poste   = Peer to peer : P2P

Appellation donnée aux échange réalisés sur le web par les internautes, entre eux, sans utiliser un serveur d’où son autre appellation d’égal à égal

 

 Voir aussi : A to B ; Barter ;  B to C ; e-marché ;

 

PPA

Purchase Price Allocation – PPA   

 

Ne pas confondre avec : Parité de Pouvoir d'Achat : Taux de conversion monétaire utilisé par INSEE et qui a pour effet d’optimiser les analyses en supprimant les différences de niveaux de prix entre différents pays.

 

 Voir : Allocation de prix d'acquisition 

 

Pragmanagement

Le Pragmanagement ; est un concept de management pragmatique = Certains le désignent sou le vocable : Effectuation.

 

Les entreprenant ne sont pas tous des adeptes du suivisme de marché = Analyser les tendances pour positionner une activité, un projet.

 

Nombreux sont ceux qui innovent, créent leur concept, puis se lancent et s’adapte au fur et à mesure.

Ces acteurs ont pour eux le détachement sur les effets de modes qui fait la différence avec les vrai créateurs.

Ce qui caractérise leur pratique c’estpar exemple :

 

- Une Idée moteur :

Ils partent d’une idée majeur qui constitue la base de lancement du projet.

Même si quelques années plus tard l’idée de départ a disparu des pratiques et objectifs ;

 

Les moyens disponibles au lancement :

Sans présumer ce que sera l’avenir il démarrent souvent avec un minimum de moyens qu’ils soient matériels (Spécialité, méthodes, outils), humains (Détermination) et financiers (juste pour démarrer le reste viendra) ;

 

- Risque mesuré par les tests successifs :

L’activité démarrera aussi bien en production que commercialement sur des ajustement en fonction des test successifs réalisés sur le terrain. Les ajustements n’en seront que plus pertinents. C’est un judicieux mélange entre Suppositions/hypothèses ; DDT ; Genchi Genbutsu ; Agilité ; Excellence Opérationnelle ; Management participatif +++ 

C’est aussi le principe de travail collaboratif et co-création avec les acteurs internes et externes que le produit ou service sera réalisé pour correspondre réellement au besoins du ‘’Client » final = Qualité optimale ;

Et alors que le management classique s’intéresse au prédictif le pragmanagement construit ces succès sur les aléas et transforme les risques et observations en autant d’opportunités ;

 

- Eveil et adaptation = Pilotage efficient :

Ayant compris que maintenant tout bouge et dans tous les sens et très rapidement que ce soit les produits, méthodes, technologies, et les humains dans leurs besoins, règles, etc. les pragmanagers ses ont adaptés à ce nouvel environnement en perpétuel révolution ;

Les activités développés par le pragmanagement

Par ailleurs cette pratique ne tient que par un degré d’habilitation et de réactivité très important de tous les acteurs qu’ils soient des collaborateurs internes ou partenaires externes = Travail collaboratif et Management Intelligent.

 

Et si toutefois l’activité ne peut être pérenniser il est, là aussi, plus facile de cesser l’activité et de repartir sur d’autres opportuités. Car ceux qui ont gouté à ces pratiques sont en pertpétuelle réflexion et ne peuvent plus s’arrêter de concevoir et d’entreprendre…

 

Le pragmaagement c’est le même état d’esprit pour des actions tournées ver l’extérieur que l’altermanagement pour ce qui concerne les relations en interne. Les deux, très complémetaires, donnent souvent des résultats rapides et très performants.

 

 Voir : 5 pourquoi ; 6 chapeaux ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Chaordique ; Conduite du changement ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Genchi Genbutsu ; Management calme ; Management de projet ; Management Intelligent ; Management participatif ; Organisation ; Plan d’expérience ; Pression ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Risques ; Supposition ; Travail collaboratif ;

 

Précompte

Le précompte désigne notamment les sommes calculées et déduites du salaire brut d’un employé et affectées au paiement de ses cotisations sociales.

 

Ces montants, s’ils ne sont pas versés par l’employeur, aux organismes chargés de les encaisser, font l’objet d’un privilège en matière de recouvrement.

 

Attention : Ne pas confondre avec les charges patronales.

 

  Voir aussi : URSSAF ; AGS ; Ressources humaines ;

 

Préemption

La préemption est un droit acquit par contrat ou prérogative accordée par la loi, permettant d’acquérir un bien par préférence à un autre demandeur, acheteur potentiel.

 

Exemple :

- Terrain ou de locaux acquits par une collectivité ou la SAFER, pour servir ses projets de développement, objectifs sociaux ou d’aménagement rural.

 

- Actionnaires faisant valoir leur droit lorsque l’un d’entre eux souhaite céder ses parts.

 

 Voir : Droit de suite ; Propriété ; Privilège ; Clause de sortie ; Contre-lettre ;

 

Préjudice

 

= Schaden  ; Perjuicio  ; Damage  ;   ;

Le préjudice c’est l’atteinte qui est portée, du fait d’un tiers, aux droits d’une personne morale ou physique

Il peut être matériel ou morale (ex : Pretium doloris) et donner lieu à réparation.

 

En matière commerciale, par exemple, ce peut être le fait d’une concurrence déloyale, aujourd’hui très encadrée notamment par le dispositif NRE.

 

 Voir : Arbitrage ; Contrat ; Dol ; Intérêts moratoires ; Management de contrats ; NRE ; Pretium doloris ;

 

Prescripteur

Le prescripteur est une personne qui recommande, un produit, service ou de faire une action.

 

En mercatique c’est ce que l’on appelle une « référence d’opinion » qui simplement par ce qu’il représente peut influencer le comportement des consommateurs, quasiment sans considération de la qualité du produit.

 

En terme commercial c’est un partenaire qui souvent est intéressé par le résultat de ses recommandations si celles-ci aboutissent à générer un chiffre d’affaires. (Commissions ou échanges de procédés)

 

 Voir : Courtier ; Mandataire ; Mercatique ; Prescription ; Score d’appétence ;

 

Prescription

Plusieurs acceptions :

- Ordre donné, préconisation, pour suivre un processus ;

 

- Conseil prodigué par une personne qui recommande un produit ou service (Voir : Apport d’affaire).

 

- Principe selon lequel l'écoulement d'un délai ne permet plus d’exercer un droit.

En principe cette dernière prescription est trentenaire, mais en matière pénale plusieurs durée sont appliquées : 1, 3 ou 10ans selon la qualification retenue de contravention, délit ou crimes.

Pour les obligations nées du commerce : 10 ans, 5 ans pour les sommes payables périodiquement (ex : Loyer, salaire) et 2 ans pour ce qui concerne les achats de marchandises et les primes d’assurances.

 

Il faut être attentif aux éléments de preuve et au suivi des procédures car certaines prescription surviennent du fait que des suites non pas été données à une affaire.

Aini une prescription peut être suspendue ou intérompue mais seulement en cas de :

a) La reconnaissance de non-paiement par le débiteur. Il en est ainsi même sans formule explicite mais simplement s’il effectue un premier paiement relatif à la dette concernée ;

b) Commandement de payer notifié par huissier ;

c) Saisie

d) Actions en justice telles que citation, assignation et bien évidemment jugement.

 

Important : La conciliation ne prévaut en rien sur une suspension ou une interruption de la prescription.

Il faut donc se méfier des démarches de pourparlés proposées surtout verbalement et n’ayant parfois comme but ultime de laisse passer le temps...

 

Attention : Ne pas confondre avec « Forclusion »

 

 

 Voir : Archivage ; Assignation ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Chèque ; Clause d’intéressement ; Contrat ; Créance certaine ; Forclusion ; Mentor ; Prime de succès ; Référé provision ; Usucapion ;

 

Voir aussi : Apport d’affaire ; Mandataire ; Prescripteur ;

 

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 Infos :

- DGCCRF : Prescription de dette

 

Prescription acquisitive

 

 Voir : Usucapion ;

 

Pression

Pression = Druck  ; Stress  ;   ;

 

En matière de relationnel la pression, mal dosée devient synonyme de tension non seulement chez les individus (ex : Déprime, perte de mémoire) mais aussi entre eux (ex : Animosité, rebellion) ces effets engendrent une augmentation de l’absentéïsme, une baisse de la motivition et du travail en groupe, la fuite des compétences, etc. Cest l’effet dit de « mort par surmenage » = Burn out.  ;   

 

Au Japon une maladie professionnelle de mort par surmenage au travail = Karôshi    a été reconnue. Les conséquences fatales sont des maladies cardio-vasculaires dont la cause est une pression trop forte au travail agravé par la durée de celui-ci et qui touche tous les types de collaborateurs dans l’entreprise.

 

En matière commerciale la pression est diversifiée et constante seuls des entités et esprits dépendants et/ou faibles, mal protégés, qui sont les plus nombreux donc assurent la pérennité du système, sont sujets aux multiples manipulations orchestrées par certains acteurs dits de marketing et communication ou de l’encadrement, mais dénués d’éthique et surtout d’intelligence positive.

 

C’est pourquoi en matière de management, surtout des RH, la bonne gestion du « Stress » est un facteur d’optimisation de performance.

Ainsi les entreprises qui prennent le mieux en compte le bien-être de leurs dirigeants, cadres, techniciens, etc. sont celles qui obtiennent les meilleurs performances.

La « carotte » qui vient récompenser la réalisation d’objectifs ne suffit plus, les individus intelligents et sensibles, réclament de plus en plus une reconnaissance de leurs besoins personnels (Qualité de vie) et de leur personnalité (Respect).

C’est ainsi que le paradoxe des 35 heures, en France, à développé la pratique de nouveaux loisirs chez de nombreux cadres ayant les moyens de se les offrir et qui sont enclins à maintenir leur qualité de vie au lieu de jouer les « citrons » comme ce fut le cas pendant de nombreuses décennies.

 

Outre d’anticiper sur les risques liés à la gestion du personnel (ex : Accident, conflit, confort et ergonomie) la gestion de la tension chez chacun des colloborateurs est un élément déterminant dans une politique de gestion en mode projet. Ce qui implique alors le développement d’un travail collaboratif plus harmonieux et qui permet d’améliorer les relations.

Il devient alors beaucoup plus aisé, de lutter contre le gaspillage et les vols, de rechercher des idées de développement, de compter sur l’entraide, de favoriser la transmission des savoirs et surtout d’améliorer la satisfaction des clients.

Les résultats de gestion seront alors orientés vers la performance.

 

Le « Mobbing » est une pratique qui désigne une forme de harcèlement psycologique, individuel ou collectif, ayant pour objectif de nuire à la victime et notamment de la discréditer aux yeux des autres dont la hiérarchie.

 

Parfois, dans certains environnements rigides ou dans le cas de restructuration il faudra opter, avec l’appui d’un spécialiste, pour une conduite du changement et autres méthode de re-motivation pour tendre vers l’habilitation salvatrice !.

 

 Voir : Altermanagement ; Cindynique ; Comitologie ; Comportement ; Conduite du changement ; Conflit ; Habilitation ; Incitations économiques ; Intelligence ; Johari ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management de transition ; Management intelligent ; Management par objectifs ; Mentor ; Méthode 5S ; Multitasking ; Pragmanagement ; Pretium doloris ; Procrastination ; Qualité ; Ressources humaines ; Subsidiarité ; Syndrome du survivant ; Technique de libération des émotions ;

 

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 Infos :

 Conférence interassociations animée par Bernard Flavien – Coach et formateur :

      « Emotion, Stress, Performance : Comment concilier l’inconciliable ? »

 

 

Prêt à la Création d’Entreprise

- PCE

Le PCE – Prêt à la création d’entreprise :

Finance la trésorerie de départ, les investissements immatériels (frais commerciaux, publicité) et les aléas de démarrage.

 

Sont éligibles tous les projets de création d'entreprise, y compris par rachat de fonds de commerce et ce, quel que soit le montant du projet.

 

Le PCE accompagne obligatoirement un concours bancaire à plus de 2 ans (financement de matériel, véhicule...) d'un montant au moins égal à 2 fois le montant du PCE.

Les caractéristiques de ce concours (taux, durée, garantie) sont librement fixées par le partenaire bancaire. Ce dernier bénéficie d'une délégation d'OSEO pour décider du PCE et mettre en place le contrat de prêt.

 

 Voir : Aide(s)

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 Infos :

Informations tirées du site  PCE - Procédure du prêt à la création d’entreprise

          Voir suite !   PCE-OSEO  

 

Prête-nom

Comme la terminologie le précise, le prête-nom est une personne qui engage son nom à la place d’une autre.

 

C’est dans ce cas un mandataire, qui peut s’avérer être un « homme de paille » permettant à un tiers de ne pas engager directement sa responsabilité dans une affaire ou au moins de ne pas apparaître nominativement.

 

Attention : Ne pas confondre avec « Portefort ».

 

 Voir : Caution ; Contrat ; Garantie ; Mandataire ; Pacte d’actionnaires ; Patrimoine ; Portefort ; Recours ; Responsabilité ; Risques ;

 

Pretium doloris

« Pretium doloris » expression tirée du latin, signifie = Prix de la douleur.

 

Indemnités allouées en réparation d'un préjudice matériel, physique ou moral.

Le préjudice moral est souvent le plus difficile à évalué car il est fonction du ressenti de la victime.

 

 Voir : Indemnité ; Juge ; Mobbing ; Préjudice ; Pression ; Procédure ; Recours, Tribunaux ;

 

Preuve

= Prueba  ; Beweis   ; Proof  ;   ;

La preuve peu êtret un fait, un raisonnement, argument, un acte, une chose, etc. qui démontre, établi, prouve, la réalité, l’existence ou non, de quelque chose, d’un être, etc.

 

En droit français notamment (mais pas dans tous les pays) c’est celui qui allègue qui à la charge d’administrer la preuve.

 

Il est plus facile d’apporter une preuve grâce à un témoignage de personne ou à un écrit surtout si celui-ci est un acte authentique, ou au moins un contrat écrit qui permettra au juge de mieux apprécier la situation.

 

En matière commerciale les usages voulant que les transactions soient réalisées le plus rapidement possible le formalisme à longtemps été moins rigoureux. Parole de maquignon ou acquiescement d’agent de change à la corbeille ces acteurs se sont longtemps passés d’écrits au moment de la transaction.

 

Avec les exigences du commerce international, le développement de la mondialisation de l’économie et l’avènement d’Internet, notamment pour les opérations de marchés spéculatifs, il est devenu primordial, indispensable, de favoriser la traçabilité surtout des éléments immatériels.

 

L’hyperinflation réglementaire, la diversification des risques et la modification des principes et usages conduisent à une augmentation exponentielle de procédures.

C’est pourquoi l’adage « Les paroles s’envolent et les écrits restent » prend aujourd’hui tout son sens.

 

 Voir : Acte ; Contrat ; Droit(s) ; Inforensique ; Management de contrats ;

 

Pricing 

Le « pricing » est une méthode de fixation de prix lors d’une vente directe (en particulier au téléphone)

 

 Voir aussi : Approvisionnements ; Assistant d’achat ; Centre d'appels ; e-Procurement ; Mercatique,

 

Prime de succès

Prime de succès = Success fee.

Honoraires, rétribution, dus à un intermédiaire à l'occasion d'une transaction, seulement lorsque le ou les objectifs prédéfinis ont été atteints.

 

Cette pratique se retrouve surtout dans des opérations financières de levées de fonds, transfert de concession de marché, fusion acquisition, mais aussi dans les mandats dont la mission est de réaliser des achats de production ou d'équipements lourds.

 

Ainsi selon l'opération concernée elle implique généralement que l'intermédiaire ait réalisé ses obligations de moyens (ex : Audit, mise en relation client ou mise en concurrence de fournisseurs), mais surtout que le résultat d'objectif soit atteint pour prétendre à cette prime, souvent exprimée en pourcentage de l'opération concernée.

 

C'est pour ces mêmes raisons que les intermédiaires spécialisés dans ce type d'opération sollicitent, si possible, une commission forfaitaire (flat fee parfois appelée retainer) acquise dès la signature du mandat d'achat ou de vente pour s'assurer au moins de la couverture des frais engagés. Ainsi les engagements de moyens et de résultats peuvent être séparés.

 

Attention :

- Ne pas confondre avec la clause d'intéressement attribuée au propriétaire/dirigeant vendeur.

- Aux déclaration fiscales spéciques à certains honoraires et autres commissions !

 

 Voir : Activité d’affaires ; Clause d'intéressement ; Commettant ; Commissionnaire ; Confidentialité ; Contrat ; DADS & DAS2 ; Fusion acquisition ; Gestion des actifs ; Hurdle rate ; Incitation économique ; Management de contrats ; Mandat ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

PRINCE 2

PRINCE 2 = PRojects IN Controlled Environments.

 

Aujourd’hui dans le domaine public, c’est une méthode certifiée de gestion de projet structuré.

Ayant comme objectif le livrable, elle s’oriente autour de trois points :

 

- L’organisation ;

- La gestion ;

- Le contrôle  

 

A l’origine développée pour des projets liés à l’informatique elle est maintenant utilisée dans de nombreux autres domaines.

 

 Voir : Evaluation ; Exigence ; Management de projet ; Norme(s) ; Organisation ; Performance ; Qualité ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO  ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; Prince2 ; SMP2 ; Tenstep ;

 

Priorité

Ethymologiquement la priorité définit ce qui précède dans le temps pour une série d’actions, évènements, etc. et permet d’arbitrer l’ordre en définissant une première et une dernière place parmi ces priorités.

 

C’est pourquoi pour un minimum d’organisation il est primordiale de faire la différence entre :

    UrgentImportantSecondaireen Attente  Voir : Matrice des priorités

Le principe est que pour l’urgent, l’important et le secondaire vous avez la main pour agir.

En revanche ce qui est en attente ne relève pas de vous mais par exemple de la présence d’un tiers, ou le déclenchement d’un acte, d’un fait qui parfois tarde à se produire.

Pourtant une action peut aussi bien être :

- Urgente et en attente : Il vous appartient donc de relancer la partie concernée ou de favoriser le déclenchement de l’action attendue.

- Urgente et importante : Il faudra donc là aussi choisir la priorité.

Certains organisent aussi leurs actions/agenda, mais aussi les corbeilles de dossier de leur bureau selon ces 4 repères.Cette pratique permet aussi de visualiser rapidement non seulement les différentes priorités mais aussi leur volumétrie dans chaque catégorie, ce qui incite à leur réduire !

 

Le droit définit aussi une multitude de priorité notamment par statut priviligié mais aussi par degré de gravité dune situation.

.

Par ailleurs il faut savoir définir « Ses » priorités notamment par rapport à nos aspirations personnelles ?

C’est un excellent moteur de motivation. Car en plus de satisfaire certaines obligations, l’envie de faire peut influencer votre classement des priorités et donc favoriser leur réalisation.

Un excellent moyen pour mettre en évidence les priorités, de chacun, qui sont nos sources de motivations, c’est

L’anecdote des « Gros Cailloux ».

 

Ainsi, l’important est de Vouloir à partir de là il faut savoir ce que l’on va Devoir faire avant ce que l’on va Pouvoir faire. Vocable mnémotechique = VoDePo.

 

L’une des pratique de management  de projet agile « DSDM » a définit une pratique de ‘’Priorisation’’ sous le vocable « MoSCoW » (ignorer les voyelles) :

- Must have this. Le mieux qui soit, ce qui doit être !

- Should have this. Ce qui devrait être

- Could have this. Ce qui pourrait être

- Won’t have this. Ce qui ne peut être, mais qui était pourtant souhaité !

 

 Voir : Abilene ; Aléa ; Altermanagement ; DQP ; Droit(s) ; Evaluation ; Exigence ; Gestion du cycle de vie de l’information ; Heuristique ; Intelligence ; Juste à temps ; KANO ; Management de projet ; Matrice(s) ; Méthode 5S ; Organisation ; Privilège ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; QPQQCOC ; Réunion déléguée ; SONCAS ; Temps Moyen d’attente ;

 

Prise de participation

 

 Voir : Actions ; Capital investissement ; Capital risque ; Cession progressive du capital ; Filiale ; REEL ;

 

Private equity

 

 Voir : Capital investissement  

 

Privilège

Un privilège est un droit conféré par la loi à un créancier, en raison de la qualité de la créance, d’être préféré aux autres créanciers sur l’ensemble des biens de son débiteur ou sur certains d’entre eux seulement. (ex : Salarié, Trésor public, vendeur, prêteur de deniers, etc.)

 

Ces privilèges revêtent différentes formes selon leur nature : droits fondamentaux (ex : Sociaux), d'enregistrement et publications spécifiques (ex : Gage, hypothèque), de clauses contractuelles (ex : réserve de propriété), action/titre d’entreprise, etc.,

 

Attention :

-Environ 40% de créances privilégiées ne sont pas recouvrées !

-Un privilège ne garanti pas systématiquement le paiement intégral d'une créance, c'est simplement un droit qui confère une "préférence" par rapport à d'autres créanciers (chirographaires)

 

 Voir : Caution ; Clauses ; Chirographaire ; Contrat ; Gage ; Garantie ; Hypothèque ; Nantissement ; Management de contrats ; Procédure ; Sûreté ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Prix

= Preis  ; Precio  ; Price  ;   ;

Le prix exprime la valeur d’un bien en monnaie.

 

Par assimilation il exprime d’autres valeur comme celui de la douleur « Pretium doloris » et parfois celle d’une récompense par exemple à l’issue d’une compétition.

 

En matière de gestion de nombreuses expressions sont nées pour définir certaines valeurs ex :

- Prix de revient qui correspond aux dépenses effectuées pour les achats plus toutes celles qui ont été nécessaires à l’obtion et la promotion d’un bien, d’un produit ou service et notamment avant sa revente pour mieux définir la marge.

C’est ainsi que différents acteurs dont ceux de la mercatique, achats, commerciaux, financiers travaillent sur des critères tels que rentabilité, marge(s), charges, coûts de production,

Les économistes travaillent par exemple sur des concepts tels que « politique des prix », « mécanisme de formation des prix » ; etc.

Les juristes sont le plus souvent concernés par les pratiques de prix d’achat et de vente pour le repect des conditions générales de vente et de libre concurrence.

 

- Prix d’éviction ou de transfert…

 

En matière commerciale et notamment pour des questions de respect des règles de concurrence et aussi de blanchiement de fonds issus d’opérations délictueuses les prix sont de plus en plus soumis à des règles de transparence. Voir le disposition NRE.

 

 Voir : Pretium doloris ; Prix de transfert ; Prix d’éviction ; Prix forfaitaire avec honoraire ;

 

Voir aussi : CGV ; Concurrence ; Contrats ; Domaines d’activité strtégiques ; Marge(s) ; Marge arrière ; NRE ; Ratio(s) ; Rentabilité ; Résultat(s) ;

 

Prix de transfert

Prix de transfert :

Avec le développement de la mondialisation et de la concurrence dans les échanges internationaux de plus en plus de groupes se font et se défont au gré des politiques industrielles, de la pression des actionnaires, etc.

Ces groupes ont des entités, établissements et filiales, situés dans des zones géographiques différentes.

 

Lorsque des transferts de biens, services, risques, droits sont effectués au sein d’un même groupe ce n’est pas sans poser de nombreux problèmes juridiques, financiers, etc. notamment du fait que la fiscalité et le droit sont souvent différents.

C’est pourquoi, en particulier pour ne pas léser des tiers, mais surtout pour ne pas prendre des risques fiscaux trop importants (désaccord et double imposition), il est indispensable d’évaluer ces échanges intra groupe au prix du marché = « Prix de transfert »

 

Cette évaluation doit bien évidemment être justifiée …explicité.

 

A l’occasion de cette démarche il est envisageable de demander à l’Etat concerné un APP « Accord Préalable sur le Prix de transfert ». Celui-ci permettra notamment de faire jouer les conventions entre les différents pays pour éviter en particulier la double imposition.

 

En France il est aisé de se renseigner auprès des services fiscaux avant toute opération.

Cependant l’opération est complexe et les risques de natures différentes sont nombreux. C’est pourquoi il est fortement conseillé de faire appel à des acteurs spécialisés pour concevoir ces opérations. 

 

 Voir : Accord d’acquisition ; Accord Préalable sur les Prix de transfert ; Attestation d’équité ; BOT Droit(s) ; Evaluation ; Fiduciaire ; Filiale ; Holding ; PACEO ; Propriété ; Risques ; Transfert ; Transaction ;

 

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 Infos :

« Les prix de transfert : Guide à l’usage des PME » édité par Ministère de l’économie, des finances et de l’industrie.

 

Prix d’éviction

Prix d’éviction peut être le résultat :

- D’une clause contractuelle comme par exemple pour que le bailleur , qui souhaite retrouver la jouissance de son bien avant l’échéance, puisse indemniser son locataire. 

 

- D’une pratique commerciale discriminatoire délictueuses :

Citation de la définition édictée par la Commission Européenne relative au prix d’éviction :

« Stratégie (délibérée) d’une entreprise, généralement en position dominante, qui consiste à évincer les concurrents du marché en fixant des prix inférieurs aux coûts de production. Si l’entreprise “prédatrice” réussit à éliminer ses concurrents existants du marché et à dissuader de nouvelles entreprises d’entrer sur le marché, elle peut alors relever ses prix et réaliser des bénéfices plus importants. Le droit communautaire de la concurrence interdit aux entreprises en position dominante de pratiquer des prix d’éviction, considérés comme abus de position dominante… »

 

 Voir aussi : Délit ; DGCCRF ; NRE ; Préjudice ;

 

Prix forfaitaire avec honoraire

Prix forfaitaire avec honoraire = Fixed Price Incentive Fee – FPIF

 

 Voir : Contrat ; Management de projet ; Niveau de prix supposé ;

 

PRM

PRM : Partner Relationship Management

 

 Voir : = MRP : Management des Relations Partenariales

 

Procédure

= Verfahren  ;   ;

La procédure désigne une méthode formalisée définissant des règles, une marche à suivre, un programme, etc.

 

Les procédures peuvent être attachées à de nombreux domaines du management et en particulier pour les délégations de compétences (pouvoirs), la gestion financière (transferts, opération de marchés, cessions), la sécurité tant des locaux que des réseaux et bases de données, mais aussi la forme relative aux affaires judiciaires.

 

 Voir : Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ;

 

       Voir aussi : Cindynique ; Cobit ; Comitologie ; COSO ; Droit(s) ; Inforensique ; Injonction de payer ; ITIL ; Processus ; Management de contrats ; Management de projet ; Marché(s) ; Opérateur ; Organisation ; PMBOK ; Protêt ; Système de Management Intégré ;

 

Procédure abusive

 

 Voir : Demande reconventionnelle.

 

Procédure collective

La procédure collective désigne notamment le règlement ou de liquidation judiciaire, qui organisent le tratement collectif des créances selon leurs privilèges et les biens qui peuvent en répondre.

 

Elle est déclenchée par une déclaration de cessation de paiements du dirigeant (dépôt de bilan) au greffe du tribunal de commerce ou par une assignation à l’initiative d’un créancier, soit directement par le tribunal de commerce.

 

Attention : Ne pas confondre avec « Action collective »

 

 Voir : Période suspecte ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; Tribunaux ; Assignation ; Mandat "ad hoc" ; Mise en demeure ; Injonction de payer ; Sûreté personnelle et réelle ; Privilège ; Credit Management ; Cavalerie ; Action collective

 

Procédure d’alerte

La procédure d’alerte est une obligation qui incombe désormais aux fonctions de commissaire au compte.

 

C’est également un droit reconnu aux autres acteurs de l’entreprise, actionnaires, salariés et représentants du personnel, mais aussi au président du tribunal de commerce, d'interroger les administrateurs d'une société lorsqu'ils ont connaissance de certains faits de nature à porter gravement préjudice à l’entreprise notamment sur le plan patrimonial mais en tout état de cause si l’exploitation de l’activité peut être compromise.

 

 Voir : Abus de biens sociaux ; Action sociale ; Administrateur ; Attestation d’équité ; Cindynique ; NRE ; Quitus ;

 

Processus

=   ; Le processus est une suite structurée et continue d'actions, de phénomènes, utilisant des ressources, moyens, pour aboutir à un résultat. ex : processus économique, judiciaire, de fabrication, de communication, qualité, décisionnel.

 

Deux termes sont indissociables d'un processus : Enchaînement et avancement.

 

 Voir : 8D ; Altermanagement ; Décisionnel ; Dernier planificateur ; Gestion électronique des processus ; Organisation ; Procédure ; Management de projet ; Workflow ;

 

Procrastination

La procrastination c’est la tendance pathologique d’une personne à tout « remettre au lendemain ».

 

Employé, gestionnaire et aussi dirigeant ces personnes qui pratiquent l’évitemment pour de multiples raisons ont une facheuse tendance à négliger les réelles priorités en justifiant d’autres tâches et fonctions et/ou à se laisser distraire par d’autres.

Pour autant elle ne sont pas nécessairement des adeptes de l’Effet de singe.

 

- Certains sujets sont des résistants à la performance souvent, par l’incompétence qu’ils veulent dissimuler en accusant tout et tout le monde ou par la défense d’intérêts contradictoires inavouables.

 

- C’est parfois un signe avant coureur de la déprime.

 

- Mais contrairement à des idées recues les procrastineurs sont souvent très compétents et même perfectionnistes.

Ainsi se prenant à leur propre jeu de pouvoir faire mais d’avoir milles excuses, ex : de niveau d’exécution ou de temps imparti, ils différent.

 

Particularité :

- Les sujets sont d’autant meilleurs que certains apprécient particulièrement de travailler sous pression.

- Ils peuvent aussi trouver leurs motivations dans une valorisation de leurs actions, pour eux-même ou d’autres qu’ils soient collègues ou responsables hiérarchiques. Il faut donc que les bénéficiaires de leurs actions soient « aimés » par exemple comme des protégés ou des mentors.

 

Souvent victimes conscientes et culpabilisante de leur tendance à différer, motivée par des peurs diverses, (ex : de l’échec, de la perfection, du temps, du jugement d’autrui ou de soi...) il leur faut donc trouver les motivations pour exceller.

Ainsi le travail en équipe, créant des liens forts et des contraintes relatives au temps, s’avère un bon moteur et en plus une thérapie salvatrice.

 

Attention : Comme le précise ue autre définition, parfois ce concept est appelé à tort : Syndrome de l’étudiant. Il décrit alors le fait d’attendre le dernier moment pour effectuer une tâche. Alors que ce dernier concept releve plus d’un comportement mimétique…

 

 

  Voir : Amélioration continue ; Aptitude ; Compétence ; Comportement ; Délégation(s) ; Effet de singe ; Ethique ; Excellence Opérationnelle ; Heuristique ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Mandat ; Mentor ; Multitasking ; Organisation ; Pression ; Performance ; Procrastination ; Réunion déléguée ; Ressources humaines ; Syndrome de l’étudiant ; Synergie ; Théorie des contraintes ;Travail collaboratif ;

 

Production au plus juste

Production au plus juste   = Lean Production.  (Lean = maigre)

 

Ce concept de gestion des stocks est une évolution du système Kanban  et du juste à temps

 

La particularité de ce modèle est d’intégrer et d’adapter d’autre méthodes et pratiques pour réduire les gaspillages et améliorer la qualité des produits et services pour atteindre des objectifs de compétitivité selon le domaine de concurrence ou l’entreprise concernée se trouve.

Ainsi les objectifs peuvent avoir des priorités différentes pour augmenter la création de valeur.

 

Même si les prix sont un élément important il faudra peut-être privilégier la sortie d’un nouveau produit, la qualité, etc.

 

En tout état de cause cette méthode nécessite une parfaite collaboration entre les dirigeants et tout le personnel.

Tous doivent être compétents et motivés. S’attaquer à des critère et objectifs de coûts, qualité, délais, etc.

 

Le concept de production s’est aujourd’hui généralisé à bien d’autres activités de l’organisation concernée pour devenir le « Management au plus juste » :

3 objectifs principaux constituent les axes de travail collaboratif en mode projet, de préference :

- Réduire les coûts en luttant contre le gaspillage, et notamment les coûts cachés ;

- Tendre vers le concept : La Qualité du premier coût  = Heijunka  développé chez Toyota.

- Améliorer la satisfaction client (interne ou externe) notamment en réduisant les délais de réponse, traitement, etc.

L’étude du modèle Lean de Toyota arrive aujourd’hui à inventorier 14 principes

 

Ce modèle d’organisation au plus juste dans l'industrie peut également être appliqué dans les services mais aussi pour le SI notamment avec la méthode 6 sigma.

 

Cette pratique participe la Gestion Globale de la Performance et au management intelligent.

 

De plus en plus de concepts ce sont développés à partir de la notion « Lean » ex :

- Lean services (dont SI) – Lean Project Management –

 

 Voir : 3M ; 6 sigma ; Amélioration continue ; CMMI ; Contrôle de gestion ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Gestion Globale de la Performance/CPM ; Habilitation ; Heuristique ; Juste à temps ; Kanban ; Loi de Parkinson ; Management au plus juste ; Management de projet ; Management de transition : Organisation ; Poka-Yoké ; Pragmanagement ; Procrastination ; Qualité ; Subsidiarité ; Système de Management Intégré ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Visite de terrain ; Zéro défaut ; Zéro stock ;

 

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 Infos :

-  Institut Lean France : Association qui a pour objet de promouvoir, défendre et diffuser les principes et la pratique de la pensée Lean.

 

- Livre « L’entreprise Lean Production » ou la PME compétitive par l’action collective de Gérard Baglin et Mario Capraro chez : Presses universitaires de Lyon

 

- Communauté « Lean et Systèmes d'Information »  but : faire se rencontrer différents acteurs qui souhaitent réfléchir à la manière dont les SI peuvent soutenir les démarches Lean engagées dans les entreprises industrielles et de service.

 

- Voir l’excellent support réalisé par la « Communauté CPIM » et l’ARDI :

 « Les bonnes pratiques en matière d’ordonancement » en matière de production.

Découvrez les concepts de :  PIC, MES ; PDP, CBN, temps d’attente, etc.

 

- Conférence « Lean Project Management » : Quels sont les Facteurs Clés de Succès des Projets de Transformations Organisationnelles, en mode Agile et/ou Lean ?

 

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 Formations Appropriées :

- Lean Production et lean service : Contacter : Ceforalp 

 

Production de créances

Production de créances = Déclaration de créance impayées.

 

Acte de déclaration par un créancier, auprès d’un mandataire de justice, des créances non payées par un débteur suite au dépôt de bilan de celui-ci.

 

Attention : Se renseigner auprès d’un juristique professionnel pour l’intérêt et les modalités de la procédure.

 

 Voir : Déclaration de créances impayées ; Créancier ;

 

Production de l’exercice

Production de l’exercice. C’est un solde intermédiaire de gestion du compte de résultat utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Production vendue + stockée nette + immobilisée + produits nets partiels/op. LT

Déduction à faire des achats de sous-traitance.

 

Voir Liasse Fiscale française : lignes FM +FN

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; Marge(s) ; SIG ;

 

Produit

Multiples acceptions pour le terme « Produit » dont :

 

- En matière de production, d’où l’origine du mot, ce sont des biens fabriqués pour être vendus ou loués dans le cadre des activités.

 

- En matière commercial ou mercatique : Les biens produits ou achetés ont pour objectif de générer les moyens nécessaires à la pérennisation des activités de l’entreprise en assurant par exemple le chiffre d’affaires.

Ces vecteurs de vente sont catégoriés, classés pour être mieux analysés par marché, débouchés, rentabilité, environnement ex :

a)      Biens de consommation ou d’équipement qui se déclinent généralement par leur marché de destination : Particuliers/ménages ou entités professionnelles (ex : entreprises, administrations) ; Domestique ou export ;

b)     Produits blancs, qui pour certains, sont les appareils éléctroménagers, les « bruns » étant alors de l’audiovisuel et les gris ceux concernant les équipements informatiques ;

c)      Les DAS : Domaines d’activités stratégiques (Voir ce terme dans le glossaire).

 

- En matière de finance : Les produits enregistrés comptablement le sont logiquement sous des désignations sont multiples comme par exemple :

a)      Dans la classe 7, pour faire face aux charges se déclinent sous différents vocables dont les ventes, les produits financiers.

b)     Des produits fabriqués ou achetés sont enregistrés dans les stocks en attendant d’être vendus. Ce qui peut faire l’objet de réévaluations (ex : méthode PAMP –PEPS-PUMP).

 

 Voir : Bénéfice ; Compte de résultat social ; Evaluation ; GMS ; Marché ; Marge(s) ; Mercatique ; PAMP ; Plans comptables ; SIG 

 

Profil payeur

Profil payeur est l’appréciation donnée sur un client à partir de son historique des règlements (score) au sein de l'entreprise "fournisseur". 

 

Les critères les plus communs portent sur le respect des conditions contractuelles et surtout des délais, mais aussi sur l'objet des litiges, leur poids et fréquence.

 

Cette appréciation porte également sur les incidents de paiement et contentieux.

 

Certaines entreprises spécialisées fournissent des renseignements ou enquêtes précises sur des débiteurs locaux et ou à l'international. Elles peuvent aussi donner une cote de paiement qui peut être intégrée au profil payeur.

 

 Voir : BFR-BFE ; Cash Custing ; Comportement ; Credit Management ; DSO ; Gestion du poste Clients ; Litige ; Management de risques ; Gestion des Relations Clients ; Points de risque ; Rating ; Score ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

- Découvrez la présentation du livre sur "Cash Custing" pour aller au-delà du Credit Management vers l’optimisation du BFR !

 

Profitless

= Seuil de rentabilité

 

 Voir : Point mort

 

Profit warning

 

 Voir : Avertissement sur résultat 

 

Programme Directeur de Production

- PDP - 

PDP : Plan ou Programme Directeur de Production = MPS - Master Production Schedule   

 

 Voir : Plan Industriel et Commercial –PIC.

 

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 Infos :

 - Voir l’excellent support réalisé par la « Communauté CPIM » et l’ARDI :

 « Les bonnes pratiques en matière d’ordonancement » en matière de production.

Découvrez les concepts de :  PIC, MES ; PDP, CBN, temps d’attente, etc.

 

Project Management

 

 Voir : Management de projet ; PMBOK ;

 

Promesse unilatérale de vente

 

Promesse d’achat

Contrairement au compromis la promesse unilatéral de vente ou d’achat n’engage que le promettant.

 

Ce type d’engagement n’est pas un acte de vente ou d’achat.

 

La contrepartie, aussi désignée bénéficiaire de la promesse, bénéficie en principe d’un délai pour lever ou non son option d’achat ou de vente.

 

 Voir : Acte ; Clauses ; Commercial ;  Compromis de vente ; Contrat ; Garantie ; Garanties de marché ; Option ; Propriété ; Proposal management ;

 

Promissory note

 

 Voir : Billet à ordre 

 

Property Manager

Property manager = Gestionnaire des infrastructures

 

 Voir : Services Généraux.

 

Proposal Management

Proposal Management = Management des propositions commerciales

 

Le Proposal Management associe des méthodes et des outils pour améliorer l'efficacité interne (processus de production) et externe (impact) des propositions commerciales et réponses à appels d’offre. 

 

De manière succinte cette pratique va favoriser la cohérence entre la stratégie, les actions et les supports des administratifs, commerciaux et de la gouvernance pour savoir avec qui et comment travailler de manière rentable à risque moindre, en proposant des prestations plus proches des aspirations de chaque Client pour sedémarquer de la concurrence.

L’un des principaux atouts en matière d’efficience vient du fait que les acteurs commerciaux et juristes pourront travailler de concert pour favoriser la réduction des conflits et l’amélioration de la rentabilité des actions commerciales

 

 Voir : Appel d’offre ; Commercial ; Contrat ; Management de contrats ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Performance ;

 

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 Infos :

-   livre chez DUNOD «  Optimisez vos Propositions Commerciales » co-auteur Giandra de CASTRO Qui est aussi représentante de la branche française de l’APM « Association Proposal Management »

Et dirigeante de Jack in the box = Pionnier européen du Proposal Management :

-Elu « Gazelle du logiciel » par le Syntec Informatique ;

- Lauréat du trophée Deloitte Tecnology Fast 50 France et Fast 500 Europe ;

2 fois à l’origine de projets récompensés par les Trophées Le Monde Informatique

 

Propriété

= Eigentum  ; Ownership  ;   ;

 

La propriété est l’état du patrimoine appartenant à une personne morale ou physique.

 

Cette propriété se divise en plusieurs parties qui peuvent être dissociées = Demembrement de propriété :

- "Usus" confère le droit d'usage (ex : occupation d'une résidence ;

- "Fructus" confère le droit d'en retirer les fruits (ex : loyer) ;

- "Abusus" confère le droit de disposer (vendre).

 

Le démembrement du droit de propriété confère différents statuts :

 

- L'usufruitier (= Beneficial/limited owner ) est celui qui bénéficie d'un droit réel d'utiliser le bien et d'en retirer les revenus mais pas de le vendre.

- La nue-propriété reconnaît le droit de propriété d'un bien mais sans permettre à son au nu-propriétaire (= Bare owner  ) de disposer de l'usage ou des revenus de ce bien.

 

La propriété, notamment pour les affaires, se conçoit aussi selon quelle soit intellectuelle (ex : droit d'auteur) industrielle (ex : Brevet) à but commercial (droit au bail) ou capitalistique (ex : action).

 

La lutte contre l’usage abusif des droits de propriété s’organise au niveau mondial. Les Etats soutiennent de plus en plus la protection des marques et innovations de leurs ressortissants.

 

De nombreuses recherches tendent à promouvoir des moyens toujours plus sophistiqués pour lutter notamment contre la contrefaçon comme par exemple, l’intégration de puce de code barre ou hologramme à certains produits ou mieux encore avec un procédé breveté par une entreprise de Savoie et basé sur l’authentification de la matière.

 

Le droit de propriété peut également se transférer selon différents procédés ex : Mutation (Donation, partage, succession) à titre gratuit (non soumis à l’impôt sur les plus values) ou honéreux.

 

 Voir : Action ; Bien ; Brevet ; Capital ; Capital Investissement ; Capital risque ; Cession progressive du capital ; Contrefaçon ; Défiscalisation ; Domaine ; Fiducie ; Gouvernance d'entreprise ; INPI ; Jouissance ; LME ; Management de contrats ; Non aedificandi ; Patrimoine ; Prix de transfert ; REEL ; Supposition ; Whois ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Prospect

Prospect, désigne la cible commerciale « dans le dur » ou clairement identifiée, le chaland qui a vocation à devenir client.

 

Prospection  =  ;

 

 Voir : Abandonniste ; AIDA ; Chaland ; CNIL ; Commercial ; Etude d’usages et attitudes ; Fichier ; Gestion des relations Clients ; Mél ; Mercatique ; Prescripteur ; PLV ; PNL ; Pyramide des besoins ; Sémiotique ; SONCAS ; Spam ; Taux d’attrition ;

 

Prospectus

Le prospectus comme son nom l’indique en français s’adresse au prospect.

Il est généralement constitué d’un support simplifié et d’un format réduit dit « Feuille volante » = Flyer   distribué au grand public notamment dans la rue (Street marketing) ou inséré dans un autre support tel qu’un magazine.

 

 Voir : Mercatique ; Proscpect ;

 

Protêt

Le protêt est une action engagée par un créancier de faire constater et enregistrer légalement par huissier (= Bailiff  auprès du tribunal, le non-paiement d'une dette à son terme.

 

Si le motif du non paiement met en évidence l'insuffisance d'actif du débiteur, cette action aura pour effet de constater son état de cessation de paiement.

 

Se référer aux moyens de paiement et procédures de recouvrement.

 

 Voir aussi : Clause(s) ; Credit Management ; Délais de règlement ; DSO ;  Injonction de payer ; Mise en demeure ; NRE ; Procédure ; Recours ; SEPA ;

 

Proxémie

Lié au terme ‘’Proximité’’, c’est l’étude de la relation territoriale des individus, dont l’humain, par rapport à d’autres.

Cette étude met en évidence les attentes, mais aussi les craintes de chacun, inées ou acquises par leur culture, selon différents dégrés du plus proche au plus distant :

- Intime

- Personnel 

- Social

- Public

 

Il est ainsi prouvé que chacun détermine inconsciemment ou non son « Espace vital » et que d’autres essayent de savoir comment y pénétrer !

 

 Voir : Communication ; Ethologie ; Gestion de la Relations Clients ; Management d’équipe ; Pression ; Sémiotique ;

 

Proxy server

 

 Voir : Serveur mandataire

 

PRP

Processus de Résolution des Problèmes – PRP.

 

 Voir aussi : AMDEC ; Analyse fonctionnelle ; EMOFF-FFPM ; Gestion globale de performance ; Maintenance ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Poka-yoké ; QPQQCOC ; Qualité ; Théorie de résolution des problèmes d’invention/innovation ;

 

PTA

Point of Total Assumption – PTA 

 

 Voir : Niveau de prix supposé

 

Publipostage

Publipostage  = Mailing

 

 Voir aussi : Mercatique ;

 

PUMP

Prix Unitaire Moyen Pondéré – PUMP :

 

Méthode d’évaluation des stocks différente de celle appelée « PEPS ».

 

 Voir aussi : PEPS ; PAPM ;

 

Punch out

 « Punch out » désigne une technique de services achats mettant en œuvre un outil fournisseur qui se greffe sur le client incluant le catalogue produit, ceci pour faciliter les transactions.

 

C’est une base de données externe téléchargée ou en connexion distante pour faciliter les prises de commandes par les acheteurs.

 

 Voir : E-sourcing ; E-procurement ; Approvisionnements ; Fourniture d’application hébergée ; Gestion de contenu ; Assistant d’achat ;

 

PUT

 

 Voir : Option

 

Pyramide des besoins

La pyramide des besoins à été mise en pratique par la théorie du psychologue Maslow.

 

C’est une représentation géométrique pyramidale de l’analyse des besoins de l’individu.

Elle permet notamment de mieux comprendre et de classer, hiérarchiser chez soi comme les autres les besoins et donc les motivations comme par exemple :

-         Besoins primaires, physiologiques (ex : Se nourrir, se reposer)

-         Besoin de sécurité (ex : Disposer d’un abri, de ressources financières, d’arme pour se défendre)

-         Besoin de reconnaissance sociale (ex : du Moi, appartenance à un groupe, communication)

-         Besoin de dépassement dits aussi d’accomplissement (ex : Apprendre, conquérir, créer)

 

Pour les besoins de l’entreprise, cette théorie à rapidement été appliquée au relationnel commercial et donc à la mercatique pour mieux appréhender les besoins des consommateurs.

Puis elle a été utilisée pour optimiser la gestion des relations humaines dans l’entreprise et dans bien d’autres situations notamment pour éviter les conflits, partant du principe qu’une meilleure compréhension de l’autre est toujours payante !

 

Dans un environnement mondialisé des affaires avec le barrage des langues et surtout des cultures, donc des usages et du droit, il est primordial de mieux comprendre les besoins des différents acteurs pour établir les bases d’une meilleure négociation.

Au-delà de cette compréhension des besoins il est important de pouvoir les satisfaire notamment pour créer une émulation de coopération, de consommation, etc.

 

Cest ainsi qu’est né le concept de Management participatif.

 

 Voir : Abandonniste ; AIDA ; Analyse transactionnelle ; Appétence ; Etude d’usages et attitudes ; Evaluation ; Génération : BB, X, Y ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management participatif ; Mercatique ; Prospect ; Proxémie ; Sémiotique ; SONCAS ;

 

Q

 Quality and Co : Site d’information sur la qualité : Actualités, Outils, Appels d’offres, Emploi, etc.

QBE

QBE = Query by example

 

 Voir : Requête par l’exemple

 

QCD

Concept de performance globale basé sur le tryptique : Qualité – Coûts – Délais.- QCD

 

De nombreux métiers sont de fervents utilisateurs de ce concept comme par exemple :

- La production qui se doit de mettre à la disposition de la force commerciale les meilleurs produits ou services ;

- La logistique : La gestion de la chaîne d’approvisionnement surtout avec plate-forme logistique, se doit d’améliorer ses performances en matière de réactivité entre commande et livraison et de délais les plus brefs. Elle doit également prendre en compte de nouvelle containtes de qualité environnementale (Transports, conditionnement, stockage) ;

- Le Credit Management : Qui doit d’abord corriger les dysfonctionnements internes générateurs de litiges avant de prétendre faire de la relance de qualité auprès de ses Clients ;

 

 Et bien évidemment tous ceux qui sont chargés de mener à bien un projet !

C’est pourquoi le management de projet prend évidemment en compte ce concept parmi d’autres.

 

 Voir : 6 sigma ; CMMI ; Credit Management ; Délais ; Evaluation ; Gestion de la chaine d’approvisionnement ; Gestion globale de la performance ; Lean concept ; Litiges ; Logistique ; Management de projet ; Maîtrise des dépenses ; Plate-forme logistique ; Qualité ; Stratégie océan bleu ; Transformation organisationnelle ;

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 Infos :

- Article de Christian HOHMANN, manager au sein du cabinet Agamus Consult. « La convergence qualité / logistique »

 

QCM

QCM : Question à Choix Multiples = MCQ : Multiple Choice Question  .

C’est un principe d’interrogation qui propose plusieurs réponses dont seule l’une est exacte.

Très utilisé pour jouer mais aussi pour l’évaluation des connaissances cette pratique peut notamment être utilisée soit dans le cadre d’une formation soit à l’occasion d’un test de recrutement.

 

L’inconvénient majeur de ce système c’est qu’avec un peu de chance on peut obtenir un résultat très satisfaisant sans rien connaître des questions posées !

 

 Voir : Aptitudes ; Evaluation ; Ressources humaines ;

 

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 Infos :

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

QE – QI

Quotient Emotionnel et Intellectuel. = EQ, IQ

 

 Voir : Evaluation ; Intelligence ; Test(s) ;

 

QPQQCOC

QPQQCOC  = WWWWHWC

Mnémotechnique, dite du « Questionnement Générique Organisé », permettant de se poser les bonnes questions dans un orde établi pour avoir plus de chance d’analyser correctement, une situation, un problème posé et de favoriser une réflexion structurée pour apporter les solutions appropriées :

- Quoi = What : Objet. Définir le sujet, un projet ;

- Pourquoi = Why : Motivation stratégique et but, objectifs ;

- Qui = Who : Acteur(s) interne(s) et externe(s) actif(s) et passif(s). Organiser la réflexion et le travail collaboratif selon les aptitudes individuelles, les partenaires ;

- Quand = When : Temps. Planifier en fonction du réalisable, dont actions, étapes du projet et échéances des livrables ;

- Comment = How :  Méthodes dont organisationelles et techniques + Moyens logistiques et matériels dont outils ;

- Où = Where : Lieu réel ou virtuel, tant pour la réflexion que pour la réalisation, la livraison ;

- Combien/Coût = Cost : Dépenses et recettes , bénéfice, perte, risques, budget ou autre nombre. Evaluer pour décider et agir. Le nerf de la guerre = la finance et la performance chiffrée à tous les niveaux ex : unités produites, cote, taux, autres statistiques et ratios.

Ce questionnement est inspiré de la inspiré de la « grille de Quintilien »

 

Remarque : Sans organisation pragmatique il n’y à que peu d’alternatives face aux problèmes sauf à faire :

     - Pompier = Tenter d’éteindre et crier au feu !

     - Prière = Se contenter de prier !

     - Autruche = Ignorer. Se cacher la tête dans le sable !

 

Attention : Si vous ratez votre organisation => Vous organisez vos prochains ratages !

 

Citation : Rudyard Kipling

J’ai toujours près de moi six fidèles amis. C’est à eux que je dois tout ce que j’ai appris.

Leurs noms sont : Quoi, Pourquoi, Qui, Quand, Comment Où, Combien ?

 

 Voir : 5 pourquoi ; 6 sigma ; 8D ; Altermanagement ; Aptitudes ; Budget ; Cindynique ; CMMI ; Contrat(s) ; EMOFF-FFPM ; FAST ; Evaluation ; Heuristique ; Manager ;  Management de projet ; Norme ; Organisation ; Performance ; Pragmanagement ; QCD ; Qualité ; Ratio ; Ressources humaines ; SMP2 ; Supposition ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

Voir aussi les Théorie(s) dont :

- De l’agence ;

- De l’enracinnement

- De résolution de problèmes d’innovation –TRIZ ;

- Des contraintes –TOC ;

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management. Annexe 16 = QPQQCOC

              Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Qualité

Qualité  =   ;

Outre quelle peut représenter une reconnaissance pour une personne (ex : Titre qui peut conférer un droit, compétence reconnue, aptitude acquise), la qualité est l’état d’appréciation d’une chose, prestation, selon des critères de mesure plus ou moins objectifs ou au contraire reconnus par des normes, concepts référencés ou des moyens techniques et scientifiques.

 

Depuis l’avènement de la révolution industrielle différentes initiatives internationales se sont développées avec pour objectif la reconnaissance de la qualité. Ex :

- Création en 1901 de Laboratoire National d’Essais et en 1926 de l’AFNOR ;

- Création de la fédération mondiale de normalisation « ISO » en 1947 ;

- Méthode « 0 » défaut de 1961 à l’occasion du programme spatial Apollo ;

- L’ingénieur Japonais Ishikawa, qui fut le promoteur des cercles de contrôle et de qualité depuis 1967, est aussi le concepteur du « Diagramme de causes à effets » dit « en arête de poisson » fish bone, par sa forme ! et notammenet utilisé dans le concept 6 sigma. 

- En 1991 regroupement des diverses entités françaises au sein de l’MFQ « Mouvement Français de la Qualité »

 

Les concepts de qualité ce sont développés au rytme de la mondialisation des affaires pour permettre la reconnaissance sous toutes les latitudes et s’affirmer face à la concurrence.

 

La qualité a été le moteur de l’ouverture collaborative vers la recherche de performance grâce à l’innovation et la création favorisant ainsi la propriété industrielle et les concepts de marque, de management de cette qualité ex :

- Amélioration Continue ;

- TQM  = Management par la qualité totale ;

- CTQ  = Coût total de la qualité ;

- Management de projet ;

 etc.

 

C’est pourquoi la gestion des idées en matière de qualité fait maintenant partie de la gestion des performances des entreprises. Cette gestion des idées peut se concevoir en mercatique et surtout innovation (R&D). Elle s’intègre alors dans la gestion de projet grâce à des méthodes simples (ex : Crawford qui consiste pour chacun à remplir confifdentiellement une fiche avec un maximum d’idées sans risquer des remis en cause publiquement) et en utilisant notamment à un logiciel. (Voir management de projet)

 

Un autre concept d’intelligence économique consiste à sonder questionner tous les acteurs internes et externes de l’entreprise pour prendre en compte les avis ainsi exprimés. Objectif, améliorer la qualité des produits, services, processus et aussi la qualité de vie au travail.

Cette pratique peut être réalisée avec des outils correspondant à L’Enterprise Feedback ManagementEFM

 

La qualité totale prône le principe des « 5 zéros » :

  - zéro défaut - zéro panne - zéro délai - zéro stock - zéro papier –

Le concept japonais anti- erreur = Poka-Yoké  s’incrit dans le « Zéro défaut » par détection préventive et correction des erreurs, dysfonctionnement de manière rapide.

Voir aussi : lean concept et Kanban

 

Comme le met en évidence l’estimation du « Coût Total de la Qualité » la mise en conformité est peut coûteuse par rapport à un refus de mettre en place une démarche qualité !

 

En matière d’organisation dans le travail les japonais ont un concept dit «Méthode des 5S  » basée sur des principes liés au poste lui-même :

- Ne garder que le nécessaire, et que chaque chose soit aisément accessible, s’attacher à la propreté des lieux et matériels, définir des règles de travail et les respecter avec une certaine rigueur.

Ces concepts d’organisation dans le travail soutiennent la cohérence et la performance des groupes pour un travail de qualité.

 

 Voir : 5M ; 5 Pourquoi ; 6 sigma ; 8D ; Accord de qualité de service ; AFNOR ; Agréage ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Aptitudes ; Arbre des causes ; Axiologie ; CMMI ; Compétences ; Contrat ; COSO ; Coût total de la qualité ; Dernier planificateur ; EFM ; EMOFF-FFPM ; Ethique ; Excellence Opérationnelle ; Exigences ; Genchi Genbutsu ; Gouvernance des Risques et Conformités ; Habilitation ; Heuristique ; ISO ; Intelligence économique ; Johari ; Kanban ; Management calme ; Management de projet ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management participatif ; Méthode 5S ; Multitasking ; Norme ; Organisation ; Plan d’expérience ; PMO ; Pragmanagement ; Production au plus juste ; QCD ; Risques ; Stratégie Océan Bleu ; Système de Management Intégré ; Temps Moyen d’Attente ; Temps Moyen de Manipulation ; Temps Objectif de Reprise ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ; Zéro défaut ;

 

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 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                             Annexe 9 : Outils de la mesure et de l’analyse Qualité

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

- Wiki Métiers Qualité –Directeur ; Responsable processus ; Technicien …

 

- Livre : « Management de la qualité de A à Z » - Collection Organisation Industrielle

 

-  ADEME : Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie présente dans toutes les régions : Agir pour le Développement Durable, le management de l’environnement et la maîtrise des énergies, gavoriser la R&D, etc.

 

-  Pro-Environnement : Toute l’info sur l’environnement et le Développement Durable ;

 

-   CMMI - Conférence PMI® – Cédric FOULON de Logica  - Chez Volvo IT :

        « CMMI - Capability Maturity Model Integration » ou la performance par l’acquisition d’un niveau de maturité suffisant afin de mener à bien un projet »

 

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- QEBSYS : Solution Collaborative de Pilotage de Projets Immobiliers selon la Qualité Environnementale du Bâtiment(QEB), dont HQE®, H&E et différents labels énergétiques.

 

Quick ratio 

Quick ratio = Ratio de liquidité.

 

 Voir : Ratio.

 

Quintilien (Grille de )

 

 Voir : QPQQCOC ;

 

Quitus de gestion

Quitus de gestion : Acte arrêtant les comptes d'une société ou association, certifiant la régularité et l'exactitude de la gestion.

 

Cette procédure intervient après la clôture de l’exercice et publiquement à l’occasion de l’AGO. De ce fait elle implique de la part de ceux qui accordent ce « quitus » une renonciation à un recours ultérieur (Sauf cas exceptionnel)

 

 Voir : Abus de biens sociaux ; Assemblée Générale Ordinaire ; Attestation d’équité ; Manager ; Responsabilité ;

 

R

  R.I.E. : Magazine de l’intelligence économique : Stratégie, sécurité, innovation, veille.

Rabais, remise, ristourne

Rabais   = Preisnachlässe  ; Rebate  ;   ; Descuento  ;

 

Ces réductions accordées, de manière certaine, lors d'une transaction sont donc applicables au montant hors taxes.

 

La TVA sera donc calculée sur le montant après réduction. Cette pratique diffère de l'escompte de règlement qui se déduit du montant à payer Ttc.

 

 Voir : Escompte de règlement ; Acompte ; Arrhes ; Caution ; Credit Management ; Garantie ; Analyse financière ; Marge(s) ; Marge arrière ;

 

Raccordement numérique asymétrique

- RNA

RNA – Raccordement numérique asymétrique = ADS : Asymetric Digital Subscriber Line.

 

Technologie d’accès à Internet, appelée aussi à haut débit, qui permet de transmettre par voie rapide davantage de données, par les lignes de cuivre du réseau téléphonique avec un Modem spécial.

L'évolution de cette technologie vers VDSL permet un débit de 100Mbits/seconde ce qui est 10 fois supérieur à l'ADSL d'origine.

 

 Voir aussi : ATM ; ETEBAC ;

 

Rachat de créances export

 

 Voir : Forfaitage

 

RACI

Concept du PMI® Project Management Institute pour définir une matrice d’affectation des responsabilités dans le cadre d’un projet :

  - Responsible  =  Responsable au sens de celui qui fait = Réalise ;

  - Accountable  = Approuve : Au sens de celui qui rend compte de l’avancement ou détient de décision, l’autorité ;  

  - Consulted     = Consulté : Au sens d’échange bilatéral = Retour attendu avant validation ;

  - Informed      = Informé : Au sens unilatéral pour ceux qui doivent l’être comme le client, sponsor.

Cette matrice sera avantageusement présentée sous forme de tableau précisant en :

   - Abscisse = les fonctions et personnes concernées ;

   - Ordonnée = les activités (ex : Définir – Concevoir – Développer – Tester).

 

 Voir  : Management de projet ; Matrice ; Responsabilité ;

 

Radioreniflage

= Wardriving

Technique utilisée pour localiser une fréquence et ses points d’émission et de réception.

Depuis l’avènement du WIFI des acteurs pouvant être malveillants utilisent des logiciels pour détecter une connexion et ainsi pénétrer dans le système d’information qui l’utilise (Malgré les WEP, WPA).

 

 Voir : Cryptographie ; Point chaud de réseau ; Réseau ; Sécurité ;

 

Raison sociale

La raison sociale est aussi appelée dénomination sociale.

 

Pour les sociétés commerciales, cette dénomination indissociable de la personnalité juridique permet d'identifier la personne morale et particulièrement pour tous les actes officiels (ex : statut de société) et ceux faisant l'objet d'une transaction (ex : contrat).

 

Ne pas confondre : Avec le nom commercial qui comme son nom l'indique est un identifiant lié à un produit ou service marchand, une marque.

 

 Voir aussi : INPI ; Statut fiscal ; Forme juridique ; Marque de fabrique ; Nom commercial ; Propriété ;

 

RAM

RAM = Random Access Memory

 

 Voir : Mémoire.

 

Rapport

Rapport = Reporting

 

- « Rapport » qui est un compte rendu explicite souvent agrémenté de visuels et autres tableaux de bord.

- « Report » Simple action de reporter ex : « Cumul », « Reprise de solde »

 

Faire en rapport c’est l’action de rendre des comptes en faisant un constat d’une situation, à posteriori.

Ex : Report comptable, financier, consolidation, budget (Par destination il peut être commercial, lié aux frais généraux (= Overheads ), ou stratégique. C’est aussi celui d’une mission précise, et bien évidemment l’outil de prédilection des contrôleurs de gestion.

 

Mais le rapport est souvent surtout l’objet d’un compte rendu explicatif.donc commenté.

Ainsi des états peuvent illustrer des situations grâce à des visuels comme, reports, tableaux, diagrammes. Pour être plus complets ils sont alors explicités ce qui fait alors du rapport un outil complet apprécié de la gouvernance.

 

Le mot « reporting » est de plus en plus utilisé dans des domaines non financiers ex : Nomenclatures, Qualité, Innovation, Social.

 

 

Attention : Beaucoup utilisent à tort le terme reporting pour désigner seulement la réalisation de tableaux de bord.

a) Ce «  reporting » n’est alors qu’un « Report »  notamment de chiffres. C’est par exemple une consolidation

b) Il est alors différent du tableau de bord en ce sens que ce dernier porte sur la dimension du temps et donc introduit une notion plus étendue axée sur l’historique. (ex : prospectif = BSC) et permettre des simulations pour optimiser les prises de décision.

 

 Voir aussi : Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Balance âgée ; Carte stratégique ; Communication ; Contrôle de gestion ; Credit Management ; Décisionnel ; Gestion Globale de Performance ; Rapport de gestion ; Ratios ; Tableau de bord ; Titrisation ;

 

Rapport de gestion

Le rapport de gestion est devenu obligatoire en France dans le cadre de l’application du dispositif NRE

 

 Voir : NRE

Voir aussi : Rapport ; Tableau de bord ;

 

RAS

Remote Access Service – RAS : Configuration de connexion pour accès réseau à distance.

 

Autre acception : RAS = Rien à signaler

 

 Voir aussi : Réseau ; Metaframe ; TSE ; Extranet ; VPN ;

 

Rating /cote

Rate   = taux, cours.  ;

Rating    = estimer, évaluer  ;

 

Notion très vague de classement, indice, cote

Pour les sociétés cette cote est ciblée par critères. Ex : activité, crédit, paiement, etc.

 

 Voir : FIBEN (et ratios gestion financière)

Voir aussi : Scoring ; Gestion du crédit client ; Rapport ; Ratio ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Ratio

Ratio = Mot latin signifiant : Raison, rapport.

 

Un ratio est le rapport entre deux mesures de grandeur comptables, statistiques ou autres pour obtenir un indicateur destiné, le plus souvent, à mieux apprécier des situations pour optimiser des prises de décision.

 

Pour les besoins d’optimisation de gestion des entreprises, de nombreux ratios sont établis à partir d'éléments financiers issus de la comptabilité.

Mais très souvent les données brutes doivent être retraitées avant de commencer l’analyse. Comme par exemple la prise en compte des véritables, biens affectés à l’exercice de l’activité (Crédit bail), charges de personnel (intérim et sous-traitance), encours et coûts du crédit Clients (créances cédées).

 

Les ratios permettent des appréciations à l’instant « T » qui correspond à celui de la collecte des éléments entrant dans sa constitution.

Comme pour toute analyse statistique les indicateurs issus des ratios ne prendront tout leur sens que par comparaison et si possible sur des périodes choisies judicieusement.

 

Les résultats des ratios sont souvent exprimés en taux et pourcentage.

 

Les ratios sont généralement classés selon 3 familles de rapport :

1) Flux à Flux (Voir à partir du compte de résultat) : Taux marge ou structure de coût.

2) Flux à Stocks (Stock au sens général) basé sur des indicateurs comme la productivité, la rentabilité

3) Stocks à stocks : indicateur de structures, d'actifs, financière.

 

Les ratios financiers peuvent aussi se distinguer selon qu’ils soient de :

- Structure : s’attachant aux données du bilan ;

- Gestion : Portant sur l’analyses les éléments du bilan par rapport à l’exploitation (Cpt résultat)

- Rentabilité : Qui permettent de mesurer la performance entre les résultats de certain postes et par exemple le CA ou le Capital ;

 

Ratio de liquidité = « Quick ratio »

 

Quelques exemples :

- Liquidité générale = Actifs nets à court terme (ou actif circulant)  / Dettes à court terme

- Liquidité immédiate = Disponibilités / Dettes à court terme

- Capacité d’endettement = Fonds propres / Capitaux permanents

 

Les banques analysent de préférence l’indépendance financière et l’endettement :

- Indépendance financière = Capitaux propres / Capitaux permanents

                                        ou Fonds propres / Dettes à moyen et long terme

- Taux d’endettement = Dettes à moyen et long terme / Fonds propres

  Voir aussi : Dettes/CA ; Frais financiers / résultats d’exploitation

 

Performance économique :

- Rentabilité économique = Résultat net/capital engagé ou résultat d’exploitation/ Total des actifs ou EBE/capitaux engagés.

- Rentabilité financière : Elle peut s’apprécier selon différentes approches comme par la structure, la rotation de l’actif, le taux de marge ou de rentabilité financière ex :

 

Résultat net (ou Caf) / fonds propres = Résultat (non distribué) par rapport à la mise des actionnaires.

Ou

Résultat d’exploitation / (Fonds propres+dettes financières nettes)

Ou

EBE- Frais financiers / Capitaux Propres

 

Productivité : Rapport entre les unités de facteurs engagés (Travail, capital) et la quantité de production

- Productivité apparente du travail = Valeur ajoutée / effectif (ou Nombre d’heures travaillées)

 

  Voir : Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Bilan ; Capital ; Capitaux propres ; Compte de résultat social ; Décisionnel ; Etalonnage économique ; EVA ; Evaluation ; Gestion Globale de Performance ; Marge(s) ; Rapport ; RCE ; RENI/NOPAT ; Score ; SIG ; Taux d’attrition ; Taux de marge ;

 

Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

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 Infos :

- Consulter aussi le site de l'Arseg  - Association des directeurs et responsables de services généraux.  Vous y découvrirez également les Buzzy ratios spécialement adaptés à la gestion des services généraux.

 

RCAI

 

 Voir : Résultat Courant Avant Impots ; SIG ;

 

RCE – RCI

= ROCE Return Of Capital Employed  

 

 Voir : Rentabilité des capitaux employés – investis ;

 

RCS

 

 Voir : Registre de Commerce et des Sociétés

 

REACH

REACH = Registration, Evaluation and Autorisation of Chemical

 

Réglementation européenne entrée en vigueur le 1er juin 2007 ayant pour vocation la mise en place d’un système communautaire unique d’enregistrement d’évaluation et d’autorisation de l’emploi de produits chimiques dans les pays members de l’Union Européenne.

 

Ce système de protection de la santé et de l’environnement concerne de nombreuses activités et donc entreprise productrices ou importatrices des substances visées (Environ 30.000 en 2007) notamment dans le domaine de la chimie, du textile.

Les mesures entrainent, pour les entreprises, des coûts de procédures, la mise en place de veille, 

 

 Voir : Droit(s) ; Management de contrats ;  Management des risques ; Réglementation ;

 

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 Infos :

-   Euro info centre : L’information européenne au service des entreprises ;

 

Rebate

 

 Voir : Rabais

 

Reclassement capitalistique

Le reclassement capitalistique est un proccessus qui à pour objectif une redistribution du capital sans augmentation ni réduction de celui-ci mais seulement par la qualité des actionnaires.

 

 Voir : Capital ; Clause de sortie ; RES ;

 

Reconnaissance Automatique de Document

 

RAD

RAD  = Reconnaisance automatique de documents :

 

Technique et technologie de numérisation qui permettent d’identifier certaine zone prédéterminées d’un document à des fins de stockage, retraitement des données et éventuellement retransmission.

 

 Voir : Dématérialisation ; EDI ; Factures ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Lecture automatisée de documents ; Numérisation ; Reconnaissance optique de caractères ; Scannérisation ; Stockage ; XML ;

 

Voir aussi : CGV ; Clauses ; Credit Management ; Intérêts moratoires ; LCEN ; Management de contrats ; NRE ;

 

Reconnaissance Optique de Caractères

 

ROC

ROC – Reconnaissance optique de caractères = OCR : Optical Character Recogintion.

 

Matériels et technologie qui permettent grâce à la « lecture » d’un document physique de réaliser une extraction intelligence des informations qu’il contient pour ensuite retraiter les éléments pour éventuellement faciliter la retransmission des données dans le système d’information. (comptable, statistique, etc.)

 

Un procédé voisin permet la reconnaissance des images.

 

 Voir : Dématérialisation ; EDI ; Factures ; GEIDE ; Gestion de contenu ; Lecture automatisée de documents ; Numérisation ; Reconnaissance optique de caractères ; Scannérisation ; Stockage ; XML ;

 

Voir aussi : CGV ; Clauses ; Credit Management ; Intérêts moratoires ; LCEN ; Management de contrats ; NRE ;

 

Records Management

 

 Voir : Archivage 

 

Recours

Recours est tiré du latin et signifie « Revenir en courant »

 

- Voie de recours : Signifie d’utiliser un moyen, une procédure, pour tenter d’obtenir une nouvelle étude du dossier, un jugement autre qui pourrait s’avérer plus favorable pour le plaideur ou ceux qu’il représente.

 

- Faire appel à une « garantie » prévue notamment dans un contrat, ou attachée à un document comme le chèque, l’effet de commerce. Ex : Recours cambiaire dit de change car il prend en compte les liens de droit entre les différents signataires de la « lettre de change ».

 

 Voir : Clauses ; Contrat ; Effets de commerce ; Garantie ; Management de contrats ; Moyens de paiement ; SEPA ; Sûreté ;

 

Recouvrement de créance

Le recouvrement de créance peut être amiable ou contentieux :

 

En phase amiable ce mode de recouvrement peut faire l'objet de négociations et de relances selon des stratégies diverses qui doivent impérativement relever de pratiques commerciales et relationnelles légales.

Certaines pratiques peuvent être assimilées parfois dans leur forme à des procédures de contentieux pour influencer les débiteurs. L'utilisation de procédés illégaux et méthodes abusives comme la force physique ou l'abus de compétences et de pouvoirs sont sévèrement réprimés.

 

En phase de contentieux les procédures sont multiples car, d'une part liés à la nature de la créance et du créancier, et d'autre part dépendantes des obligations légales attachées aux contrats et garanties relatives aux moyens de paiement, etc.

Selon les procédures, différents acteurs sont amenés à intervenir (ex : cabinet de recouvrement, huissier de justice (= Bailiff), juges et évidemment avocat et juriste d'entreprise)

Les dispositions qui favorisent le recouvrement des créances sont, le plus souvent, issues des clauses incluses ou non dans les contrats (ex : CGV, Clause pénale) et du choix des modalités de paiement (ex : garanties) ainsi que des supports de règlement (ex : Chèque, effet de commerce, crédit documentaire).

En cas de recouvrement contentieux la pratique veut que les frais de recouvrement soient imputables au débiteur. Le créancier peut invoquer auprès du tribunal, au moment de l'assignation, le recours à l'article 700 du nouveau code de procédure pénale.

 

Selon l'importance des enjeux relationnels économiques et financiers de nombreuses actions et procédures offrent des choix appropriés :

    Mise en demeure, injonction de payer, assignation(s), procédure au fond.

 

Il ne faut pas non plus oublier les arbitrages, médiations et autres conciliations.

 

Compte tenu de ces enjeux, de la complexité des procédures, il est fortement recommandé de faire appel à un juriste avant d'engager une procédure.

 

 Voir : Agent de recouvrement ; Assignation ; Cavalerie ; Cessation de paiement ; CGV ; Clauses ; Contrat ; Credit Management ; Délai de règlement ; Dol ; DSO ; Injonction de payer ; Intérêts moratoires ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; MARC ; Mise en demeure ; NRE ; Procédures ; SEPA ; Tribunaux ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   BCR - Bureau Central de Recouvrement : Résolution amiable et actions judiciaires ;

 

Recrutement mystifié

 

Recrutement de mule

= Hoax recruiting

 

 Voir : Cheval de Troie ; Mouchard ;

 

Redevance

= Gebühren  ;

La redevance est en principe, une ressource, non fiscale, qui fait l’objet d’un service rendu par une Administration et mis en recouvrement par les services fiscaux.

 

Les partiques anglosaxonnes assimilent plus généralement la redevance au versement périodique d’une charge que le droit français qualifie de droits d’auteurs = Royalty

 

 Voir : Droits d’auteur ;  

 

Redressement judiciaire

Redressement judiciaire désigne une procédure alternative à la liquidation judiciaire.

 

Elle est applicable aux commerçants, artisans, agriculteurs et autres personnes morales de droit privé en état de cessation des paiements mais dont la situation, selon un jugement du tribunal, n'est pas considérée compromise.

 

Cette procédure est destinée à maintenir l'activité économique, sauvegarder des emplois en apurant le passif. Elle offre la possibilité d'envisager la poursuite des activités de l’entreprise selon des modalités définies lors du jugement. Ainsi un administrateur judiciaire peut être désigné par le juge.

 

 Voir : Administrateur judiciaire ; Cessation de paiement ; Credit Management ; Contrats ; Déclaration de créance(s) ; Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ; Liquidation judiciaire ; Procédure ; Tribunaux ;

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

REEL

Reprise d'Entreprise avec Effet de Levier

Reprise d'Entreprise avec Effet de Levier - REEL   = Leverage Buy Out  

 

Montage financier opéré par des organismes spécialisés pour permettre la reprise, le rachat, d'une entreprise par une levée de fonds spécifique (endettement)

 

Parfois, pour palier de nombreux inconvénients liés à la période de transition et optimiser les prises de décisions les administrateurs, actionnaires, font appel à un spécialiste en management de transition pour assurer l’intérim de certains décideurs.

 

 Voir : Capital => d’amorçage => Investissement => Risque ;

 

Voir aussi : Accord d’acquisition ; Actifs adjacents ; Analyse par les Options Réelles ;  Attestation d'équité ; Audit ; Cession progressive du capital ; Ecart d’acquisition d’entreprise ; EVA ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Management de transition ; PACEO ; RES ; SAS ; Syndication ;

 

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 Infos :

- Article source EFI   Le Mistigri des LBO et des Fonds D'investissement ;

 

-  Conférence PMI® organisée par Axcion avec l’AFMDT et ACTISS Partners  au CESI .

« Le Management de Transition est-il un Fossoyeur ou Sauveur d’Entreprises et d’Emplois ? »

 

Reengineering

 

 Voir : Conduite du changement ; Organisation ; .

 

Référé provision

Le référé provision est une procédure contradictoire permettant une exécution accélérée (en principe moins d'un mois).

ex : Exercice d'une clause pénale.

 

Cette décision provisoire fait l'objet d'une ordonnance rendue par un juge, seulement si la créance est incontestable (justifier).

Elle permet une action judiciaire d'urgence souvent destinée à sauvegarder les droits des créanciers.

 

 Voir : Clause pénale ; Mise en demeure ; Injonction de payer ; Tribunaux ; Procédure ; Juge ;

 

Référence active

La référence active est une personnne ou entité qui accepte de servir d’exemple de l’utilisation d’une prestation ou d’un équipement, à la demande de son fournisseur.

 

Pratique courante dans le domaine des logiciels.

 

Le terme « credentials »  correspond plus à un type d’opérations ou prestations qui servent de modèle commercial.

 

 Voir : Commercial ; Mercatique ; Référence d’opinion ;

 

Référencement

Référencement : Nombreuses acceptions ex :

 

Dans le domaine de la distribution : C’est par exemple l’acceptation par un acteur de certains produits qui lui ont été soumis par un fournisseur et qui répondent aux critères de gestion du distributeur et ont égélement franchi la phase de négociation qui peut inclure des rétributions (ex : droit d’entrée, type d’emplacement, ) des moyens à metre en place (ex : stand, personnel, décoration)

 

Dans le domaine de la communication sur Internet : C’est l’action de se faire admettre dans les bases de données de moteurs, annuaires et autres outils de recherche afin d’apparaître en bonne place dans les résultats de requêtes formulées par les internautes.

 

De nombreuses techniques, respects de règles éthiques ou autres sont de plus en plus imposées par des règlementations de nombreux pays.

 

Pour la partie technique comme pour la méthode de communication qui devra définir par exemple la définition du site (URL) concerné et les mots clés, les circuits à privilégier, etc il est fortement recommandé de réfléchir avant d’agir et donc de pratiquer une véritable démarche en mode projet.

De cette pratique dépendent les résultats il faut donc définir une stratégie d’entreprise et non d’une simple inscription dans des bases de données.

A moins de se former aux méthodes et techniques, il faut de préférence bénéficier de l’appui d’un webmaster spécialiste du référencement et avoir des compétences confirmées en marketing pour obtenir le bon rang (ex : page rank/Google) et toucher les cibles recherchées.

Certaines pratiques consistent à intégrer des  Pattes, accroches  ; = Tag  ;  ainsi que des  Mots clés  = Keywords  ; et autres critères de traitement destinés aux moteurs de recherche.

 Pour exemple consulter :

-  les informations de la page consultée depuis le menu déroulant de votre navigateur – Préférer Mozilla puis outils.

- Le code source de la page consultée

 

L’un des meilleurs référencements c’est d’avoir des sites de qualité qui ont un lien vers votre site. Plus ils ont des liens et mieux ils sont référencés, plus ils valoriseront votre site.

Pour bénficier gracieusement de cette promotion offrez des échanges de liens = Lien en retour  = Backlink

 

Attention Certains référencements peuvent aboutir à mieux référencer votre prestataire ou partenaire au détriement de votre site.

 

Certains affirment que ce concept de « Référencement » des « 4P » est révolu. Il serait remplacé par celui de « SEM ou SEO – Search Engine Marketing - Optimisation »  

- D’une part ce terme ne concerne que les actions de marchéage appliquées au Web.

En effet le SEM est issu de l’utilisation des moteurs de recherche mais surtout de tous les outils (logiciels) et autres utilisations de mouchards divers qui permettent de traquer les internautes et d’analyser leurs comportements.

Ainsi des spécialistes du « Webmarketing vendent de plus en plus des « liens sponsorisés » pour optimiser le référencement notamment d’un produit, d’une marque.

- D’autre part ces 4 repères restent néanmoins les critères de base de la mercatique. Seulement grâce aux nouvelles technologies et aux algorithmes les analyses multicritères sont plus nombreuses, faciles et rapides.

 

  Voir : 4P ; Ethologie ; Etude d’usage et attitudes ; Intelligence Economique ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Mouchard ; Référence active ; Référence d’opinion ; SMO ; Veille ; XRM ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Lyon-Entreprises.com : L’annuaire des entreprises en Rhône-Alpes : Renseignements, partenariats, référencement, etc.

 

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Référence d’opinion 

 

 Voir : Prescripteur ;

 

Refinancement

 

 Voir : Affacturage ; Autofinancement ; BFR ; Capacité d’autofinancement ; Cavalerie ; Cession de créance ; Céance Née à l’Etranger ; Dailly ; Effet de commerce ; Escompte bancaire ; Forfaitage ; Holding ; Intérêts moratoires ; Marché(s) ; Moyens de paiement ; T4M ; Taux ; Titrisation ; Trésorerie d’échelle ; Virement commercial mobilisable ;

 

Refus de vente

Le refus de vente est un acte par lequel un commerçant s’oppose à la volonté d’achat d’un client.

 

Cette pratique est illégale si l’acheteur est un particulier. (Sauf pour des raisons objectives ex : pas en stock)

 

Entre professionnels la pratique est possible sauf si elle s’inscrit dans une action prohibée par la loi et notamment selon le dispositif NRE et ses mesures relevant des pratiques anticoncurrentielles (ex : Abus de position dominante) 

 

 Voir : NRE ; Responsabilité ;

 

Régie

Mode de gestion ou service de gestion, à l’origine propre au services publics et par lasuite adopté par des entreprises privées pour définir un projet sous forme de contrat avec obligation de moyen et non de résultat pour prendre en charge une activité.

Exemples de régie  : Publicitaire ; D’immeuble ; Cinématographique ; Transports ; Service informatique.

 

Cette conception s’oppose au projet au forfait qui, lui, comprend une obligation de résultat.

Ainsi pour certains travaux en régie la facturation est basée sur les nombre d’heures effectuées et les matériaux employés.

C’est pour cette raison que certains pensent que confier un projet, pour lequel il n’y a pas d’obligation de résultat est nuisible à la performance et s’avère être un gouffre financier qui peut se tranformer en rente de situation pour le prestataire.

C’est notamment ce que reprochent de nombreux propriétaires à leur « Régisseur » appelé aussi syndic un peu trop souvent intéressés plus par les commissions perçues de prestataires en tant qu’apporteur d’affaire, que par mes réels intérêts de leurs clients. Ce phénomène ce retrouve également chez certaines SSCI/SSII qui fournissent du personnel à des entreprises pour gérer leur système d’information.

C’est également une erreur de parler de projet quand il n’y a pas une fin prévue dès l’origine de la démarche !

 

 Voir : Apport d’affaire ; CSP ; Externalisation ; Management de contrats ; Management de projet ; Obligation ; Réseau ; SSCI ; SSII ;

 

Régime fiscal

Régime fiscal :

 

 Voir : Auto-entrepreneur ; BIC ; BNC ; Défiscalisation ; EIRL ; Formes juridiques ; IRPP ; Nom commercial ; Micro entreprise ; PME de croissance ; Raison sociale ; Statut(s) ;

 

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 Infos :

Voir le « Livret fiscal du créateur d’entreprise » sur le site de l’Administration fiscale.

 

Régimes matrimoniaux

Le gestionnaire d’entreprises est concerné à double titre par les régimes matrimoniaux :

 

a) Pour lui-même afin de lui permettre le cas échéant de dissocier son patrimoine de celui de son conjoint si son activité professionnelle peut comporter des risques liés notamment aux recours de ses créanciers.

 

Un choix de séparation de biens avant création d’activité plutôt qu’à la veille de difficultés avérés, sera plus facilement accepté en particulier par un juge et pourra éviter d’être soupçonné de manœuvre ayant pour objectif d’organiser son insolvabilité. Même s’il est dirigeant d’une société ce qui met en évidence la séparation des patrimoines. En effet il peut avoir commis une faute de gestion et dans ce cas ses biens propres peuvent être atteints par ses créanciers.

 

b) Pour les mêmes raisons que ci-dessus, le gestionnaire, cette fois en position de fournisseur et donc créancier, dans le cadre d’une vente à paiement différé d’un montant conséquent, devra apporter la plus grande attention au régime matrimonial de son client (personne physique) afin de mesurer le potentiel de garantie qu’il peut demander (Ex : Aval ; Caution)

 

Les régimes matrimoniaux sont multiples (ex : Communauté universelle, communauté réduite aux acquêts, séparation de biens) et complexes car s’imbriquent des définitions spécifiques telles que « biens réservés » ou des incidences fortes en matière patrimoniale et fiscale.

 

De plus, dans un monde de mobilité accrue il faut prendre en compte le droit auquel sont rattachés les patrimoines des individus.

 

Les spécialistes du recouvrement ont la particularité de mener des enquêtes pour rechercher non seulement des débiteurs mais ils sont rompus à la détection de patrimoines cachés. En parallèle à leurs démarches ils se font assister par de fins juristes pour recouvrer les sommes dues sur lesquelles ils sont rémunérés = Motivations fortes ! 

 

Seuls les spécialistes du droit peuvent judicieusement conseiller sur le choix d’un régime matrimonial et sur les effets directs ou induits et futurs sur le patrimoine.

 

 Voir aussi : Caution ; Contrat ; Credit Management ; Fiduciaire ; Formes juridiques ; Garantie ; Injonction ; Management de contrats ; Propriété ; Référé ; Régime fiscal ; Registre du commerce ;

 

Registre de Commerce et des Sociétés

 

RCS

RCS – Registre du commerce et des sociétes :

Toute personne physique ou morale réalisant des actes de commerce doit être enregistrée au RCS.

Les formalités peuvent être faites à partir des Centres de Formalités des Entreprises.

 

 Voir : Formes juridiques ; Veille ;

 

Règlement européen

Le « Règlement européen » est une décision prise par la commission sans l’avis du parlement et qui contrairement à la « Directive européenne » s’impose aux Etats membres.

 

 Voir : Directive ; Droit(s) ; Groupe de pression ; Intelligence économique ; Veille ;

 

Réglementation

La réglementation est une disposition émanant d'une structure étatique et qui a un caractère obligatoire.

 

Ces réglementations que l'on retrouve inscrites dans différents codes (ex : urbanisme) sont souvent attachées à des normes de sécurité comme dans le domaine alimentaire, environnemental, de la construction, de l'énergie, etc.

 

 Voir : Clause(S) ; Contrats ; Droit(s) ; IFRS ; LME ; Management de contrats ; Norme ; NRE ; REACH ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

Relance

La relance est l’action d'un créancier pour rappeler un débiteur à ses engagements contractuels.

 

- Avant toute relance le créancier peut faire un avis avant échéance.

 

- La relance commence réellement au lendemain de l'échéance.

Elle peut alors être amiable pour préserver les relations commerciales.

 

- Le stade précontentieux est celui adoptant un formalisme plus rigoureux, il permettra de dater l'action engagée et l'attitude du débiteur, face à celle-ci.

Cette étape est souvent le début d'un conflit soit issu d'un litige soit d'un défaut de paiement.

La mise en demeure est le support le plus courant de cette étape.

 

- Le contentieux commence dès qu'une action judiciaire est entamée (ex : injonction de payer)

 

 Voir : Credit Management ; Injonction de payer ; Litige ; Mise en demeure ; Procédures ; Qualité ; Recouvrement de créances ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   BCR - Bureau Central de Recouvrement : Résolution amiable et actions judiciaires ;

 

Relocation

Relocation = Réimplantation, délocalisation,

 

Services spécialisés qui se sont développés du fait des nombreuses difficultés nées, tant pour les entreprises que leurs collaborateurs, de gérer les aléas de déménagements de sites d’entité du domaine public ou privé ou les mutations des ses cadres.

 

Ces spécialistes sont directement sollicités par les services RH et Généraux des entreprises concernées.

 

Une variant de ce type de prestation c’est également développé mais pour les services à la personne = Conciergerie d’entreprise

 

 Voir : Conciergerie d’entreprise ; Externalisation ; Mobilité ; Services Généraux ;

 

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 Réf. Pro.  Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

Relutif

Relutif désigne l’effet d’une stratégie financière d’entreprise qui a pour résultat d’augmenter le bénéfice par action.

 

L’effet inverse est donc dilutif.

 

 Voir : Action ; Dividende ; Evaluation ;

 

Remboursement de frais

 

 Voir : Frais professionnels

 

Réméré

Réméré :

Dans un contrat de vente la "clause de réméré " permet au vendeur de racheter le bien vendu dans un délai maximum de 5 ans. Le réméré est une option et non une obligation pour le vendeur.

 

Cette convention peut être utilisée notamment pour garantire un créancier qui pourra alors acquérir un bien de son débiteur dans l’attente que celui-ci exerce son droit, unilatéral, de rachat. Il est bien évident que les frais et autres débours liés à l’opération sont à la charge du vendeur.

Mais depuis 2006 la pratique pour une telle sureté s’oriente davantage par l’attribution judiciaire ou non de la chose gagée.

La pratique du réméré à souvent été pratiquée, par les banques, sur des sicav (Forme de mise en pension de titres)

 

Attention :

- à l’opposabilité aux tiers pour l’atribution non judiciaire d’un gage ;

- à toute opération ayant pour objectif réel de se soustraire à des créanciers en transférant provisoirement la propriété d’un bien à un tiers ;

- ne pas confondre avec la Clause de réserve de propriété.

 

 Voir aussi : Clause de réserve de propriété ; Contrat ; Gage ; Garantie ; Management de contrat ; Option ; Pignoratif ; Sureté ;

 

REMIC

Résultat d’Exploitation Minoré de l’Impôt Corrigé - REMIC

 

 Voir aussi : Contrôle de gestion ; Résultat(s) ; SIG;

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 Infos :

- Livre : « La Création de valeur » de Félix BoglioloEditions d’organisation

 

Remue-méninges

Remue-méninges = Brainstorming  ; = Lluvia de ideas  ;     ;

 

Concept faisant appel à une méthode de réflexion qui à partir de mots, d'idées, fournies pêle-mêle permet ensuite de structurer cette réflexion dans une démarche constructive. Très utilisée lors de l'avènement des cercles de qualité qui ont adopté cette méthode à un groupe de réflexion.

 

On retrouve maintenant ce concept dans le management de projet. et de préférence dans un délai imparti

 

Cette pratique implique une méthodologie basée en particulier sur quelques règles pour bien démarrer la réflexion et toutes les idées doivent être exprimées en quantité et sans souffrir aucun jugement.(tueurs d’idées)

C’est notamment ce que préconise la méthode Crawford sur le principe de remplir une fiche avec un maximum d’idées.

 

Le « Mobbing » est également une pratique de communication mais destructive pour la victime et le groupe !

 

 Voir : Cercle de réflexion ; CirCept ; Heuristique ; Management de projet ; Méthode Crawford ; Mobbing ; QPQQCOC ; Qualité ; Supposition ; Travail collaboratif ;   Veille ;

--------------------

 Infos :

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management. Annexe 14 = Remue-méninges

              Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  I-nova : Logiciel de Management des idées ;

 

RENI

RONI

Résultat d'Exploitation ou Opérationnel Net d'Impôts = NOPAT : Net operating profit after taxes.

 

RENI = EBE + Résultat financier – Créances irrécouvrables – Impôt sur les sociétés

 

 Voir aussi : Charges d’exploitation  ; Compte de résultat social ; CMPC/WACC ; EVA ; RCE ; SIG ;

 

Renseignement

= Auskunft  ; Intelligence, Investigation   ;

En matière de renseignement le sujet est vaste et les acteurs encore plus…

 

En management d’entreprise plusieurs types d’informations sont considérées comme stratégiques notamment dès sa création mais aussi en cours de vie tant pour sa tratégie commerciale, que pour ses orientations capitalistiques en en particulier :

 

- La R&D = Recherche et Développement qui doit être protégée in fine mais qui en amont se nourrit de la veille, de la recherche de partenaires, procédés, méthodes, matériaux, etc.

 

- Les Approvisionnements, Achats : Qui nécessitent de trouver là encore les matières premières, produits, matériels, et partenaires logistique et autres fournisseurs à travers le monde, etc.

 

- Le Marketing et Commercial : Qui ont la charge d’anticiper sur les besoins des prospects et clients et de vendre et notamment en identifiant un partenaire (ex : par son n° de TVA en Europe grace au système VIES ;

 

- La Finance qui doit en permanence surveiller les compteurs pour distribuer avec cohérence et selon les objectifs ses susides selon la politique de l’entreprise. Elle doit aussi anticiper sur les risques financiers liés aux clients, en suivant les scores internes et externes mais également en commandant des enquêtes spécifiques, etc.

 

- La RH doit recruter mais aussi choisir ses prestataires pour optimiser la formation professionnelle continue et surveiller l’évolution du climat social.

 

La sécurité : pour protéger contre le vol d’informations confidentielles, de produits et matériels les différentes entités du domaine public ou priév sonr de plus en plus amenées à faire appel à des spécialistes de l’investigation, appelés détectives privés. En France cette profession est réglementée.

 

En fait nous avons tous et de plus en plus besoin de renseignements. Cependant pour disposer d’une réponse adaptée il faut avant tout poser la bonne question. Ensuite et de plus en plus il faudra utiliser des outils et méthodes pour faire vivre ces renseignements, car une information non actualisée devient vite obsolette donc source d’erreurs qui coutent toujours trop cher !

 

Attention : la responsabilité des entreprises peut se trouver engagée par négligence de celle-ci sur la qualité de ses partenaires qu’ils soient clients ou fournisseurs dans la mesure ou ils réalisent avec elle des opérations frauduleuses à son insue.

 

 Voir : Contrefaçon ; Décisionnel ; Evaluation ; Heuristique ; Intelligence économique ; Mercatique ; Référencement ; Risques ; Score ; Veille ; VIES ;

 

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 Infos :

-   RIE Magazine de l’intelligence économique : Stratégie, sécurité, innovation, veille ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Lyon-Entreprises.com : L’annuaire des entreprises en Rhône-Alpes : Renseignements, partenariats, référencement, etc.

 

-  INVESTIPOLE : Détective, agents de recherche : Défendez votre entreprise contre la concurrence déloyale, la contrefaçon, la corruption, la fraude, le vol, et le débauchage …

 

Rentabilité des capitaux employés - investis

 

- RCE

RCE : Rentabilité des Capitaux Employés = ROCE : Return Of Capital Employed

 

Formule RCE = RENI (Résultat d'Exploitation Net d'Impôts) / Capitaux Employés.

(Capitaux employés : à l'actif  =  immob. net +BFR ; Au passif  = Fonds propres + endettement net)  Si RCE > CMPC (coût moyen pondéré du capital) = création de valeur.

 

Le RCE est souvent affecté par la structure d'âge des actifs et donc de l'impact des amortissements. Ce qui permet d'apprécier la politique d'investissement de l'entreprise.

 

 Voir aussi : Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  BFR ; CMPC/WACC ; Coefficient de capitalisation des résultats – PEG ; EVA ; Ratios ;  RENI/NOPAT ; Résultat net ; SIG ; VAN ;

 

Voir aussi : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Rentabilité – Economique

 

Rentabilité Financière

 = Profitability  ;   ;

 

 Voir : Ratios ; Résultat(s) ;

 

Repas d'affaire

 Voir : Frais professionnels

 

REPO

Repurchase agreement   = Accord de rachat,  Pension livrée  .

 

 Voir : Réméré ;

 

Réponse Optimale au Consommateur

Réponse Optimale au Consommateur  = Efficient Consumer Response, Merchandising

 

Politique communes des différents acteurs :

-         de la production qui souhaite que tous leurs produits soient présents partout

-          de la distribution qui doit être le pilote et le gestionnaire au sens large : assortiment, emplacement, rentabilité, etc.  pour concevoir des actions de communication, promotion des ventes, etc. qui permettront de concilier les intérêts de tous mais surtout de satisfaire la clientèle !

 

 Voir : BOGO ; Cogriffage ; Distribution ; Domaines d’Activités Stratégiques ; Etudes d’usage et d’attitude ; Marque de fabrique ; Mercatique ; Pyramide des besoins ; SONCAS ;

 

Reporting

Est-ce une action de rapporter  au sens compte rendu ou simplement de Reporter  ?

 

 Voir : Rapport ; Tableau de bord ;

 

Requête

= Request

Expression d’une demande qui notamment dans un système de gestion de base de données – SGBD - à pour objectif de répondre à une recherche multicritère ou d’aller d’une idée à une autre qui y est liée = Inférence.

 

 Voir :

- Demande d’information = Request for Information – RFI

- Appel d’offre = Request for proposal

- Demande de devis = Request for quotation – RFQ

 

Requête par l’exemple

Requête par l’exemple = Query by example

 

Permet d’effectuer des sélections multiples, des tris, des ruptures afin d’extraire l’information souhaitée sous la forme d’édition, de mailing, de graphique, etc.

 

 Voir aussi : ETL ; SGBD ;

 

RES  –

Rachat d’Entreprise par les Salariés

RES = Rachat d'Entreprise par les Salariés. = LMBO Leverage Management Buy out  

Cette démarche concertée est encadrée par un dispositif réglementaire d’emprunt avec effet de levier, notamment fiscal, destiné à soutenir ce type d’initiative qui, bien souvent, à défaut voit disparaître une entreprise faute de repreneur.

 

Très souvent menée à l’initiative de cadres et techniciens, car il faut des porteurs de projet, cette réflexion implique ensuite d’autres salariés qui s’engagent solidairement dans cette aventure en devenant associés de leur entreprise, épargne salariale et actionnariat.

 

Parfois, pour palier de nombreux inconvénients liés à la période de transition et optimiser les prises de décisions les administrateurs, actionnaires, font appel à un spécialiste en management de transition pour assurer l’intérim de certains décideurs.

 

 Voir aussi : Actionnariat salarié ; Attestation d'équité ; Management de transition ; REEL ; Scop

 

Rescision

 

 Voir : Résolution ;

 

Rescrit

Le rescrit c’est l’interprétation officielle d'un texte donnée par l'Administration sur la demande d'un administré.

 

Le rescrit peut être social par exemple lorsque c'est l'URSSAF qui est sollicité sur l'application des conditions de fait qui permettent de bénéficier d'une réduction de cotisations.

 

Cette mesure qui a fait l'objet d'une ordonnance en juin 2005 et de circulaires en début 2006 pour en préciser les modalités, permet d'utiliser la réponse, qui doit être donnée par l'organisme ou l'administration concernée, comme une sécurité juridique.

 

La non réponse de l’Administration peut aussi être considérée comme une forme d’acceptation d’une requête « Qui ne dit mot consent !»

 

 Voir : LME ;

 

         Voir aussi : URSSAF ;

 

Réseau

Réseau, appelé aussi maillage, Filet ,= Net   ;

 Réseau de Travail = Network  ; En mandarin : Guanxi   = Réseau d’appui

 

En entreprise 2 types de réseaux sont les plus importants :

- Le rélationnel qui selon les métiers peu être formés de cercles concentriques comme les clients, fournisseurs, institutionnels, partenaires.

- Le système de communication et d’information :

Ensemble de points de contacts (d’ordinateurs) rassemblés par un lien de communication (à 1 ou + ordinateurs) ex :

- LAN = local Area Network = RLE : Réseau Local d'Entreprise  =; (peut aussi être virtuel = VLAN)

- WAN = Wide Area Network  = Réseau étendu ou distant  ;

- MAN = Metropolitan Area Network  = Connexion de plusieurs RLE sur une zone géographique limitée

- VPN = Virtual Private Network  = Réseau Privé Virtuel

 

Réseaux Sociaux Virtuels :

Ils se sont développés en différentes catégories notamment selon l’usage à dominante personnelle ou professionnelle ces derniers ouvrant même sur des clubs internes thématiques = Hub

Enfin certains outils de gestion des contacts ont intégré cette dimension pour pouvoir optimiser l’exploitation de ces relatioels. 

 

 Voir : BUS ; Carte mère ; Client léger ; Client riche ; Collecticiel ; Ethernet ; CPL ; Internet ; IPA ; Mémoire(s) ; Management des relations de partenariat ;  Métaframe ; Pilote ; Réseau privé virtuel ; RNIS ; RTC ; SMO ; TSE ; XRM ;

 

Voir aussi : Gestion des relations clients ;

 

 

Réseau Privé Virtuel – RPV

Réseau Privé Virtuel = RPV (VPN = Virtual Private Network  )

 

Concept sécurisé de communication en réseau artificiel via Internet.

 

Cette solution protégée par un système de cryptage-chiffrage dès le départ, décodé à l'arrivée (d'où le terme "tunnélisation" = encapsulation) offre une alternative aux liaisons spécialisées tant en coût que pour protéger les données sensibles échangées entre 2 réseaux physiques distants.

Ainsi seuls les ordinateurs émetteurs et récepteurs appartenant à ces réseaux physiques distants pourront lire les données.

 

Comme dans tous les systèmes de cryptages ce type de communication fait appel à des protocoles spécifiques utilisés par les développeurs (Ex : IPSec = réseau IP; PPTP utilisé par Microsoft et d'autres)

 

 Voir : Métaframe ; Open PGP ; Réseaux ; TCP/IP ; TSE ;

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

 

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

- BlasCom IT Conseil et ingénierie TICC : Audit, migration, architecture, intégration, management de projet - Réseau informatiques et télécoms : LAN/WAN ; VioP ; VPN ; etc.

 

 

Résiliation

La résiliation c’est l’extinction des effets d’un contrat après sa conclusion.  Cette fin de contrat n’a pas pour effet d’effacer ou d’annuler les effets antérieurs à la résiliation.

 

La résiliation s’applique particulièrement aux contrats successifs comme le bail.

 

Ne pas confondre avec la résolution.

 

 Voir : Bail ; Clause(s) ; Clause de réversibilité ; Clause pénale ; Contrat ; Management de contrats ; Résolution ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Résolution

Au sens générique la résolution c’est le fait d’une décomposition.

 

En matière contractuelle la résolution est un acte qui détruit tant pour le passé que pour l’avenir les effets du contrat comme si celui-ci n’avait pas existé.

 

Cet acte peut être le fait d’exercer une clause résolutoire préalablement prévue au contrat par les parties. Elle peut aussi survenir du fait d’une décision de justice en prévoyant éventuellement une indemnité pour le demandeur.

 

La rescision est un type de résolution judiciaire prise lorsque le contrat a été conclu en état d’incapacité.

 

Ne pas confondre avec la résiliation.

 

 Voir : Contrat ; Clause résolutoire ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Responsabilité

Responsabilité = Verantwortung  ; Liability  au sens juridique ; Reponsability  : au sens moral.

Attention ne pas confondre avec : Liabilities = Passif comptable.

 

C’est la nécessité ou l’obligation, qui peut être seulement morale, de répondre de ses actions et de ses engagements, parfois aussi de ceux des autres, devant autrui.

Cela implique le cas échéant d’en bénéficier mais aussi d’en assumer les conséquences.

 

Le droit français précise, pour que la responsabilité d’une personne saut engagée, il faut 3 éléments :

     1 faute + 1 dommage + 1 lien de causalité.

 

La responsabilité peut être contractuelle mais aussi délictuelle.

 

Certaines responsabilités sont directement liée à des fonctions d’où la nécessité de bien réfléchir et en mesurer la portée avant de les accepter, notamment depuis les nouvelles dispositions réglementaires d’outre atlantique ex : SOX et en France = LSF et dispositif NRE ou RSE.

 

La responsabilité des dirigeants peut également les conduire à une « action en comblement de passif » notamment en cas de faute de gestion.

Lorsque plusieurs acteurs internes ou externes à une organisation sont amenées à coopérer, collaborer, il est important de définir les domaines de chacun préalablement à toute répartition de tâches et responsabilités.

Dans ce cas il est conseillé de concevoir une grille qui puisse notamment définir qui fait quoi et de manière à ce que ces actions s’intègrent dans le processus du projet concerné et donc l’organigramme des tâches (WBS ) ex :

 

Le PMI®  - Project Management Institute - dans son corpus des connaissances (PMBOK) décrit cette grille comme une « Matrice d’Affectation des Responsabilités » ( RAM – Responsability Assignment Matrix) sur la base du concept « RACI » : (Voir images)

- Responsible  =  Responsable au sens de celui qui fait = Réalise ;

- Accountable  = Approuve : Au sens de celui qui rend compte de l’avancement

                                        ou détient la décision, l’autorité ;  

- Consulted     = Consulté : Au sens d’échange bilatéral = Retour attendu avant validation ;

- Informed      = Informé : Au sens unilatéral pour ceux qui doivent l’être comme le client, sponsor.

Cette matrice sera avantageusement présentée sous forme de tableau précisant en :

   - Abscisse = les fonctions et personnes concernées ;

   - Ordonnée = les activités (ex : Définir – Concevoir – Développer – Tester).

 

 Voir : Amélioration continue ; Capacité juridique ; Cavalerie ; Cindynique ; Contrats ; Droit(s) ; Excellence Opérationnelle ; Garantie ; Gouvernance des Risques et Conformités ; Habilitation ; Initié ; Loi de Sécurité Financière ; Lien de causalité ; Management de contrats ; Management de projet ;  Management participatif ; Mandat ; Matrice d’Affectation des Responsabilités ; Mentor ; NRE ; Organigramme des tâches ; OVAR ; Passif comptable ; Prête-nom ; Plan de succession ; Propriété ; Qualité ; RCP ; Ressources humaines ; Risques ; RSE 

 

 

; Société ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

 

Responsabilité Civile Professionnelle

– RCP

RCP  = Responsabilité Civile Professionnelle :

 

C’est une assurance destinée à couvrir le préjudice, corporel, matériel ou immatériel, causé à un tiers par un professionnel à l’occasion de l’exercice de son activité que ce soit pour faute, négligence, vice deconception, etc.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Cindynique ; Ethique ; Garantie ; Gouvernance des risques et conformités ; Management de risques ;

 

Ressort

Le ressort désigne le lieu ou s’exerceront les compétences et le type de juridiction concernée pour statuer sur le traitement d’un conflit juridique. C’est auprès de celle-ci que devra être effectué le recours.

 

 Voir : Clause attributive de compétences ; Centre de formalités des entreprises ; Cessation de paiement ; Nantissement ; Procédure, tribunaux ; droit de suite ; Arbitrage ;

 

Ressources Humaines

La gestion des ressources humaines touche toutes les activités de l’entreprise.

 

Mais pourquoi avoir changé l’appellation de « Service du Personnel » en « Ressources humaines » ?

N’est-ce pas déjà que de considérer ces personnels seulement comme des ressources ? donc des moyens au  lieu de mieux les considérer pour favoriser la coopération, leur implication, la qualité du travail, etc. 

 

70% des démissions sont imputables à l’entreprise notamment sur la qualité des relations avec le management !

 

Le « Mobbing » est également une pratique de communication mais destructive pour la victime !

 

Ces données appellent bien des interrogations tant sur la motivation des collaborateurs que sur la qualité du management pour obtenir un niveau de performance satisfaisant. (Voir : Loi de Parkinson)

 

D’autre part dans bien des entités le coût de la masse salariale représente + de 60% des charges d’exploitation.

C’est pourquoi les enjeux en matière de performance de gestion sont le point d’encrage de décisions stratégiques ex : recrutement, formation, délocalisation, dont effet NORIA, etc. surtout depuis la mondialisation de l’économie et le développement de l’externalisation de nombreux services dans les pays à bas coûts.

 

Les RH ont en charge le recrutement et la formation pour fournir les meilleurs collaborateurs à tous les services.

Elles doivent également gérer les affectations (et absences) et les variations de besoins en matière de main d’œuvre (Pic et polyvalence), ainsi que la paye et les conflits dans un environnement réglementé notamment par le droit du travail.

 

La GRH impose également une forte capacité à analyser les comportements pour anticiper les nombreux problèmes individuels et de groupe qui peuvent être préjudiciables aux collaborateurs comme à l’entreprise.

 

Ainsi le service RH est à la fois financier, administratif, social et largement encadré par le droit.

Il est donc nécessairement concerné par la communication au sens large (Informatique, contracts, entretiens, évaluations, consignes, etc.).

 

L’une des nouveautés, liée à la recherche de performances et surtout en temps de crise, c’est le retour aux valeurs du travail collaboratif et du mentorat.

Cette nouvelle pratique prend en compte le « reconditionnement des vieux » en mentors pour favoriser la transimission des savoirs (capitaliser, transférer, tutorer) tout en les maintenant dans l’emploi pour des raisons économiques.

Ainsi, des aides notamment en formation et autres dispositifs de gestion des emploi et compétences, ex : GEPC, ont été mises en place en France.

L’autre aspect de cette pratique vise la qualité et ainsi le moyen de se démarquer de la concurrence en conjuguant tous les talents de l’entreprise. Cette nouvelle dynamique si elle est bien menée favorise donc le travail collaboratif (Mentor+entraineur+meneur) et interculturel, dont Générations BB, X, Y, … en mode projet pour plus d’efficience.

Ces derniers point permettent notamment de lutter efficacement contre les effets, néfastes, décrits dans la loi de Parkinson.

 

Alors, faut-il externaliser la fonction recrutement – RPO - ou non ?

 

 Voir : Altermanagement ; Aptitudes ; Compétences ; Comportement ; Confiance ; Délégation(s) ; Effet de singe ; Effet de NORIA ; Effet GVT ; Employabilité ; Effet Pavarotti ;  Ethique ; Ethologie ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Externalisation ; Formation ; Génération X & Y ; GEPC ; Gestion Globale de la Performance ; Habilitation ; Heuristique ; Incentives ; Intelligence ; Johari ; Loi de Parkinson ; MBTI ; Mentor ; Management d’équipe ; Management de transition ; Management participatif ; Mobilité ; Mobbing ; Motivation(s) ; OPCA ; Plan de succession ; Portrait chinois ; Pragmanagement ; Pression ; Réunion déléguée ; RPO ;; Théorie(S) de l’enracinnement,  de l’agence, des signaux ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; 

 

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  Infos :

- ANDHR : Association Nationale de Directeurs de Ressources Humaines

 

- Wiki Métiers : Voir les informations, dont compétences requises,sur de nombreux métiers

   Ex : Achats ; Energie ; Environnement ; Maintenance ; Performance ; Production ; Qualité ; Sécurité …

 

- Tests de connaissances individuelles et de performances d’entités :

A partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires en vous rendant sur le terme « Tests » !

 

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences. Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance. Et découvrez les outils d’évaluation !

 

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 Formations Appropriées :

-  Institut de Gestion Sociale : Masters en R.H ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie : 

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

-  Congruences - Conseil et formation en communication et management d’équipe : L’efficacité des organisations par l’harmonie des hommes et des stratégies.

 

 

Reste à faire

 

 Voir : Management de la valeur acquise ; Procrastination ;

 

Résultat courant avant impôts

 

- RCAI

RCAI = Résultat courant avant impôts.

C’est un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Evaluation : (Les lettres sont celles figurant sur la liasse fiscale 2052 &53).

  + Résultat d’exploitation (GG)

et plus ou moins la quote-part des opérations en commun (GH & GI).

  - Résultat financier (GV)

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Credit Management ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; Marge(s) ; SIG ;

 

Résultat d’exploitation

Résultat d’exploitation. C’est un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

C’est le résultat opérationnel, économique correpondant au profit net dégagé par les opérations de gestion courante !

(Les lettres sont celles figurant sur la liasse fiscale 2052 &53).

 

Formule :

Total des Produits (FR) moins les charges d'exploitation (GF) après dotation aux amortissements (GA) et provisions (GB+GC+GD) et autres charges de gestion courante (GE) mais avant résultat financier (GV) les charges et produits exceptionnels (HI).

 

Le Résultat d’exploitation ne prend pas en compte les produits nets partiels sur opération à long terme !

 

Ce SIG se rapproche du terme anglo-saxon : EBIT - Earnings Before Interests and Taxes

(Ne pas confondre avec Revenu Brut d’Exploitation.)

 

Résultat brut d’exploitation = Basic Opérating Income

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; Marge(s) ; Revenu Brut d’exploitation ; SIG ;

 

    Voir aussi : Résultat d’Exploitation Net d’Impôts –RENI.

 

Résultat de cessions d’éléments d’actif

Le Résultat de cession d’éléments d’actif est aussi considéré comme un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 :

Produit de cession d'un actif moins sa valeur comptable (Voir cpt 775)

 

 Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

   Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; PBR ; SIG ;

 

Résultat exceptionnel

Le Résultat exceptionnel est un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Produits (HD) moins charges (HH), exceptionnels.

(Les lettres sont celles figurant sur la liasse fiscale 2052 &53).

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; RENI/NOPAT ; SIG ;

 

Résultat financier

Le résultat Financier est un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social , utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Voir Liasse Fiscale : ligne = GV

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; SIG ;

 

Résultat net comptable

Le Résultat net comptable est un solde intermédiaire de gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

Résultat (HN) après Participation des salariés et impôt sur bénéfices (voir LF 2065 –8).

Figure au passif du Bilan (cpt 120 ou 129) selon que ce soit un bénéfice ou une perte.

 

Pour les puristes ce n’est pas un solde intermédiaire ! mais le résultat final du compte d’Exploitation.

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; RCE ; SIG ;

 

Retainage

 

 Voir : Retenue de garantie ;

 

Rétention

La retention est l’action délibérée de retenir une chose, une information.

 

Dans le cadre de certains actes la rétention peut être un droit et être opposé aux créanciers chirographaires et privilégiés. Ex : Retenir un objet en réparation dans l’attente du paiement de celle-ci.

 

Le fait de dissimuler une information peut s’avérer préjudiciable au fonctionnement d’une entreprise et donc faire l’objet d’une sanction..

 

 Voir aussi : Clause de réserve de propriété ; Retenue de garantie ; Clause de réserve de propriété ;

 

Retention of title

 

 Voir : Clause de réserve de propriété 

 

Retenue de garantie

Retenue de garantie = Retainage

Partie du prix d'une transaction, prestation, qui ne sera payée qu'à l'issue de l'engagement contractuel de celui qui doit s'exécuter comme par exemple l'achèvement de travaux.

Cette garantie peut faire l'objet d'une caution spécifique.

 

 Voir : Caution ; Exception d’inexécution ; Garantie ; Management de contrats ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Retouche

La retouche est une modification destinée à corriger provisoirement un défaut dans un programme informatique existant, dans l’attente d’une nouvelle version.

 

Terme en anglais : Patch  . Parution au Journal officiel : 27 février 2003

 

 Voir aussi : Maintenance ;

 

Retour sur Investissement

RSI = Retour sur investissement = ROI (Return of investissement) .

Ce vocable est à l’origine employé pour répondre aux attentes des actionnaires.

Appelé TRI lorsqu’il s’exprime en taux = Taux de Retour sur Investissement. Celui-ci devant en principe être supérieur à 15%

Attention : Ne pas à confondre avec le Taux de Rentablité Interne.

 

Exemples de calcul du retour sur investissement :  

 

- La VAN : Valeur actuelle Nette  NPV : Net present value , est un indicateur très intéressant d’évaluation car incluant le facteur temps dans son approche.

Il s'agit de déterminer la durée de vie de la solution, et de diviser les gains escomptés par les coûts engendrés.

 

Mais on peut faire beaucoup mieux encore = Voir :

Coût Total de Possession et Coût économique global (= TCO – TEI  ).

 

Ou mieux encore par la méthode des coûts complets qui favorisent davantage la réduction de ceux-ci notamment avec le développement des achats chez les pays à bas coûts et l’intégration dans cette approche de toutes les dépenses et en particulier en ce qui concerne la logistique.

 

Diverses méthodes de calcul existent prenant plus ou moins en compte le facteur temps. Peu prennent en compte les effets induits de certains choix stratégiques qui sont soit subjectifs, soit difficilement appréciables au premier abord mais mesurables d'après l'expérience. ex : Résultats de l'ergonomie dans le travail, de l'application de principes "qualité", d'une politique de Credit Management, de la qualité des formations, etc.

 

Il est également impératif, notamment lors d'acquisition de logiciel, de prendre en compte l'impact d'une étude conseil, de l'élaboration d'un cahier des charges, de l'amortissement, de l'externalisation de certaines tâches, etc.

 

Voir les Logiciels de calculs prévisionnels liés à un développement de projet.

 

Une autre pratique permet d’anticiper sur les décisions à prendre : Options Réelles

 

 Voir : Achat ; Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Audit ; Cash Custing ; Coût économique global ; Coût Total de Possession ; Credit Management ; Décisionnel et SIAD ; EVA ; Evaluation ; Management de la valeur acquise ; Management de Projet ; Méthode des coûts par activité ; Méthodes des coûts stables ; Options réessle ; Ratio ; Taux de Rentabilité Interne ; VAN ;

 

Réunion déléguée

La réunion déléguée est un exemple pragmatique de l’intérêt du travail collaboratif.

 

Le principe est de bien définir les rôles d’autant qu’il n‘y a plus de chef mais une pratique de concertation sur la base d’une somme de compétences et bonnes volonté :

- Hôte, logisticien : Organisation, Intendance…

- Animateur : Modérateur, faciliteur, facilitateur. Il manage les énergies…

- Scribe-Rédacteur : Doit pouvoir faire le compte rendu en temps réel et l’envoyer en fin de séance en précisant, le cas échéant, la prochaine réunion ;

- Pousse décision : Fait l’entonoir pour favoriser les prises de décisions. Surtout pas DQP = ASAP ce qui conduit le plus souvent à ‘’Jamais’’ !

- Gardien du temps : Cadence la réunion surtout si plusieurs sujets et faire en sorte de respecter les temps de l’ordre du jour ;

- Entraineur/Coach : C’est la conscience qui fait s’exprimer chacun et donne de la plus value à la réunion sur les objectifs ;

- Client : Interne ou externe. Pas toujours présent mais il faut que ses attendes prélablement fixées soient servies. Quand il est présent c’est pour qu’il prenne des décisions ex : Pour, contre, moyens à mettre en place, validation d’une phase déterminante d’un projet, etc.

 

 Voir : DQP ; Management de projet ; Management d’équipe ; Organisation ; Priorité ; Ressources humaines ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

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 Réf. Pro. :

Abondance Consulting : Spécialiste de l’intelligence collective, du management d’équipe…

 

Revendication de propriété

La revendication de propriété est une action permettant de faire valoir un droit de propriété, devant une juridiction, sur un bien détenu par un tiers.

Cette action est notamment utilisée à défaut d’une clause de réserve de propriété ou en cas d’usucapion.

 

 Voir : Clause de réserve de propriété ; Usucapion ; Contrat ; Propriété ; Preuve ;

 

Revenu Brut d’Exploitation

 

- RBE

RBE = Revenu Brut d’Exploitation :

 

C’est la base de ressources d’un entrepreneur individuel, qui doit être déclarée fiscalement et sur laquelle sont calculées les cotisations du « Régime Social des Indépendants ».

 

Attention : Ne pas confondre avec Résultat d’exploitation

 

 Voir : Résultat d’exploitation ; SIG ; Régime fiscal ;

 

Reverse factoring

Reverse factoring = Affacturage inversé  ;  

C’est en mode de financement de l’entreprise sur la mobilisation de dettes fournisseurs.

 

 Voir : BFR ; Affacturage ; Fournisseur(s) ; DPO ; 

 

Révocation ad nutum

En droit français, faute de disposition contractuelle, statutaire, spéciques, un administrateur peut être révoqué sans qu’aucune raison ne lui soit signifiée soit « ad nutum » = d’un signe de tête.

 

La révocation ad nutum concerne l’administrateur d’entreprise, association, syndic de copropriétés, etc. mais en aucun cas un dirigeant salarié.

 

Il faut cependant être prudent sur les modalités et effets induits de cette pratique dans la mesure ou un préjudice peut être invoqué et notamment si la décision est constitutive d’un abus de droit.

 

 Voir : Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Gouvernance ; Manager ; Services généraux ;

 

RFID

RFID = Radio Frequency Identification

 

Ce mode d’identification par radio- fréquence est un concept de communication et d’identification favorisant la transmission à distance, la traçabilité et la gestion, donc le stockage de données grâce à des ondes radios.

  ex : Balise, étiquette ou puce intégrée à ou dans un objet ou un corps vivant permettant de l'identifier, de le localiser et de le gérer.

 

Pour les entreprises les nombreuses exploitations tant pour des besoins métiers (sécurité, transports, gestion des approvisionnements, géomarketing, etc.) que par l’utilisation de nombreuses technologies favorisant la communication entre machines (M to M,) imposent une infrastructure physique de réseau critique (NCPI) fiable.

 

 Voir aussi : GENCOD ; M to M ; Mobilité ; Réseaux ; CPL ;

 

RIASECE

Extension du code Holland destiné à catégorier les types de personnalité au travail  et notamment de choisir son orientation professionnelle selon ce profil :

 

- Réaliseur : Manuel, tendance à fabriquer ;

- Investigateur : Inventeur, en quête du pourquoi ;

- Artiste : Gout pour l’expression par l’art ;

- Sociable : Ouvert aux autres, animateur ;

- Entrepreneur : Envie de se surpasser, leader ;

- Conventionnel : Organisation et perfectionnisme, méthode ;

- Ecologiste : Soucieux de préserver son environnement ;

 

Un concept voisin = Big Five

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; Ethologie ; Evaluation ; PNL : Procrastination Ressources humaines ;

 

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 Infos :

-  Conférence PMI® : « Gestion des Compétences : Evaluation & Valeur ajoutée »

 Christine Rieu : Maître de conférence Université de Savoie et chercheur en ingénierie de la connaissance.

 

Risk Management 

 

 Voir : Management des risques 

 

Risque

Risque  = Risiko  ; Riesgo  ;   ;

Risque est issue du latin signifiant se quereller, se battre.

 

Le risque désigne la probable survenance d’un fait, évènement dommageable.

Ce terme indique donc que :

         1 - C’est seulement une possibilité et non une certitude ;

         2- C’est négatif car dommageable, au moins un inconvénient et au pire un grave danger, péril.

 

Les risques sont évidemment de nature différente comme par exemple :

 

- Naturel : Atmosphériques, géologiques dépendant notamment de phénomènes dévastateurs incontrôlables.

- Stratégique : Qui n’est pas opérationnel mais décisionnel, de communication, etc.

- Acquisition : Concernant notamment la gestion d’actifs qui font courrir un risque financier ou commercial.

- Opérationnel : Défaillance humaine ou technique notamment lorsqu’elle implique un risque juridique.

- Technologique : Ex : industriel lié à la manipulation de substances dangereuses.

- Commercial : Comme l’insatisfaction client et la non livraison ou dépendance de fournisseur

- Marketing : Erreur d’évaluation d’une étude de marché d’une action de promotion, pub …

- Financier : Comptable, de taux/change, liquidité, rentabilité.

- Social : Conflits, accident du travail ;

- Juridique, : dont contractuel

Etc.

 

Avant même d’engager une action certains risques sont déjà engagés. Ils concernent toutes les activités et personnes concernées.

Particulièrement dans un monde en pleine mutation tourné vers l’accélération des échanges internationaux et donc la prise en compte des usages et législations diverses, il est primordial de se prémunir contre les risques.

 

La première démarche que mettent en place de nombreuses entités, du domaine public ou privé, est de faire le point sur les risques encourus. C’est ce qui s’appelle le « Management de risques » ensuite en fonction des contraintes liées au potentiel de réalisation de ces risques et en particulier des coûts directs ou induits qui’ils pourraient générer. Il faudra envisager différentes pratiques pour :

     - Eviter ;

     - Transférer ;

     - Assumer.

 

Ces solutions multiples peuvent aussi être complémentaires ex :

     - Faire de la veille et ainsi faire aussi de la prévention ;

     - Prendre un produit de couverture de risque selon sa nature ex :

          Assurance dommages ; Responsabilité Civile ; Prospection.

          Option de taux ou de change.

        Externaliser ou sous-traiter

      - Renégocier un contrat ; Gérer un conflit social ; Payer une amende ou une idemnité.

 

En tout état de cause :

- Tout ne peut se prévoir à l’avance et c’est aussi ce qui fait l’intérêt des affaires et de la vie en général !

- Comme pour toute bonne gestion « Gouverner c’est prévoir » et anticiper coute toujours moins que de subir.

Il est donc conseillé d’avoir  :

- Une culture du risque, permanente mais non paranoïaque, qui permette d’anticiper pour s’adapter.

      Ceci suppose un travail sur l’état d’esprit qui peut s’appuyer sur le recrutemet, la formation, le management d’équipe, la motivation et surtout la responsabilité qui cofère les habilitations adaptées aux situations ;

- Des pratiques adaptées : On retrouve ces pratques plus ou moins élaborées dans les concepts d’Intelligence Economique, de Management de Projet ; de Gouvernance des Risques et Conformités.

- Des partenaires spécialisés pour être aidé car on ne peut être un expert en tout ! ex : Assureur, Conseil ; Juriste ; sous-traitant

Donc il faut être éduqué pour anticiper et gérer les risques tout en recherchant, da&ns la même démarche à détecter des opportuinités. Faire du management intelligent, de la chasse aux coûts et gaspillages = Lean, etc.

 

Et même quand on a essayé de penser à tout il faut prévoir l’imprévisible ex :

  - Un Plan de Reprise, Continuation d’Activité ;

  - Les modalités d’une cessation d’activité.

 

 Voir : Actif-S ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Analyse par les Options Réelles ;  Cindynique; GAP ; Garantie(s) ; Gouvernance des risques et conformités ; Handicap ; Heuristique ; Inforensique ; Management de contrats ; Management d’équipe ; Management de projet ; Management de risques ; Pragmanagement ; PRA-PCA ; Responsabilité ; Risque de liquidité ; Système de Management Intégré ; Temps Objectif de Reprise ; Théorie des contraintes ;

 

Voir aussi : Cavalerie ; Credit Management ; Droit(s) ; Evaluation ; Fiducie ; Garanties sur transactions de marché ; Gestion Globale de la Performance ; REACH ;

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 Infos :

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

Consulter les infos « l’ART de la gestion des risques »  dossiers réalisés par Les Echos :

         + de 80 pages traitant de multiples sujets, approches, traitements, …

 

Risque de liquidité

Risque de liquidité = Cash at Risk  ; Riesgo de liquidez  ;

Peut survenir, par exemple, de rentrées financières insuffisantes :

 

a) Celles-ci sont souvent du fait des clients négligeants ou dans l’incapacité de payer. Mais dans ce cas la première négligeance, peut-être même faute, ne vient-elle pas du fournisseur qui n’a pas pris les précaiutions suffisantes pour anticiper ce type de risque (ex : Score, enquête, veille sur marché, Cgv et délia de paiement incogérents avec la typologie de clientèle) ;

 

b) De conditions de paiement fournisseurs pas assez favorables.

 

c) D’un recours limité au crédit bancaire

 

Le système bancaire peut aussi être en proie à un manque de liquidité ex : crise dite « subprime »

Voir l’article ci-dessous !

 

 Voir aussi : Balance âgée ; Crédit Management ; Cindynique ; Conditions générales de vente ; NRE ; Profil payeur ; Risques ;  Score ; Veille ;

 

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 Infos :

- Article source EFI   Crise de liquidité ou de confiance ?

 

Rivalry

 

 Voir : Concurrence

 

RNIS

= ISDN : Integrated Services Digital Network

Réseau Numérique à Intégration de Systèmes - RNIS (Numéris, autre : Hayes)

 

Norme pour les transmissions sur des fils en cuivre dont la bande passante est de 64 à 128 Kbps

 

 Voir : Réseaux et aussi : RTC ; Bande passante ; Application déportée ;

 

RNPC

Répertoire National des Certifications Professionnelles – RNPC

 

 Voir aussi : ROME

 

ROCE - ROIC

Return of capital employed / Invested 

 

 Voir : RCE : Rentabilité des capitaux employés /investis    ;

 

ROI

 

 Voir : Retour sur investissement.

 

Roll back

Roll back :

- En informatique signifie qu’une sauvegarde ne sera pas effectuée suite à une erreur.

- En credit management = forme de DSO.

 

 Voir : DSO

 

Rolling wave

Vague déferlante

 

 Voir : Management de projet ; Planifier ;

 

ROM

ROM = Read Only Memory

 

 Voir : Mémoire

 

ROME

Répertoire Opérationnel des Métiers - ROME

Classement officiel des professions par rubriques métiers.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétences ; INSEE ; Mercatique ; Titres ;

 

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 Infos :

Pöle Emploi (ex ANPE ) – APEC – RNPC : Répertoire national des certifications professionnelles –

 

ROMI

ROMI = Return on Marketing Investment  

Technique de management destinée à mesurer les performances des actions de mercatique dans la durée de manière transversale par rapport à chaque service/métier/unité et d’en tirer une mesure du retour sur investissement.

 

Au-delà du simple constat apporté par le résultat des ventes, ce type de gestion ne peut ce concevoir de manière optimale, sur l’ensemble du cycle de la relation client en prenant en compte chacun des cacteurs, dans le cadre d’une Gestion Globale de Performance en utilisant des outils informatiques d’analyse multidimensionnelle dits de « Business intelligence »

 

Cette gestion doit bien évidemment se concevoir en mode projet pour donner toute la mesure de son intérêt.

 

 Voir : Gestion Globale de Performance ; Management de projet ; Mercatique ; Olap ; Retour sur investissement ; SIAD ;

 

RONI

RONI = Résultat opérationnel net d’impôts.

 

 Voir : RENI

 

Rorschach

 

 Voir : Evaluation ;

 

Roue de Deming

 

 Voir : Amélioration continue.

 

Roue de Wallace

Méthode de gestion de projet notamment agile appelée aussi extrème « GPX » qui à pour objectif de faire converger les intérêts individuels et de groupe notamment dans la répartition des tâches et responsbilités de chacun quelque soit sa hiérarchie, son centre de coûts/profits, etc. pour tendre vers l’efficience. 

 

 Voir : Centre de couts:/profits ; Chaordique ; Management de projet ; Management participatif ; Matrice  d’Affectation des Responsabilités ; Organisation ; Temps parcelles ; Théorie des contraintes ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

Routage intelligent des appels

Routage intelligent des appels = ICR 

 

 Voir : CTI.

 

RPO

RPO - Recruitment Process Outsourcing  = Externalisation du processus de recrutement

Ou

RPO – Recovery PointObjective    = Point Objectif de Reprise  

 

 Voir :

-  Externalisation ; Ressources humaines ;

Ou

- DMIA ; PCA/PRA ;

 

RSE

RSE - Responsabilité Sociale et Environnementale ou Responsabilité Sociétale des Entreprises :

Cette responsabilité basée sur des préoccupations sociales, environnementales et économiques, implique les parties prenantes en relations contractuelles (ex : Salariés) ou non (ex : Riverains) dans les effets des activités des entreprises.

 

RSE dans son application est directement lié à des règles donc normes ex : ISO 26000

 

Ce concept est repris de manière précise par les obligations du dispositif NRE qui en donne les règles qui doivent être respectées notamment dans le rapport du Conseil d’Administration ou de Directoire des sociétés exemple la manière dont l’entreprise :

- Prend en compte l'impact territorial de ses activités en matière d'emploi et de développement régional ;

- Diffuse les informations relatives aux conséquences de l'activité de la société sur

l'environnement (Mesures d’impact et de protection dont moyens techniques, financiers et garanties….)

 

 Voir : Développement Durable ; ISO ; NRE ; Rapport ;

 

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 Infos :

ORSE = Observatoire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises

 

RSI

RSI :

 

a) Régime Social des Indépendants :

Système d’interlocuteur unique des professionnels exerçant en indépendant, leur permettant de déclarer et payer et obtenir toute information relative à leurs cotisations sociales.

 

b) Régime Simplifié d’Imposition :

Désigne le régime fiscal appelé « Réel simplifié » notamment pour la TVA (ex : Acomptes en avril juillet et décembre + Solde /déclaration CA12) 

Voir également l’option pour la « Comptabilité super simplifiée »

 

 Voir : Liasse fiscale ; CA12 ; Régime fiscal ; Statut social ; EDI ; Certificat numérique ; CDR ;

 

RTC

RTC - Réseau de Télécommunication Commuté (accessible par modem)

 

 Voir : Modem ; Réseaux ;

 

RTO

Recovery Time Objective  = Temps Objectif de Reprise

 Voir : Temps Objectif de Reprise ;

 

RUU

RUU = Règles et Usances Uniformes applicables au commerce international.

 

  Voir : Incoterms ; Crédit documentaire ; Clause de garantie à première demande ;

 

Ruby

Ruby est un langage de programmation pur objet spécifique au développement des services Web

 

 Voir : Langages ;

 

S

 Siseg – Proseg : Salon international : Services Généraux et Achats hors production.

SAAS

SaaS : Software as a Service = Logiciel en tant que service

 

 Voir : Fourniture d’application hébergée ; Location de droit d’usage –SaaS ;

 

SACEM

SACEM = Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique.

 

Vous souhaitez mettre en pratique l’adage « La musique adoucit les mœurs » et vous pensez aussi quelle favorise la production et la qualité et les relations. Aussi vous diffusez au sein de votre entreprise mais également pour l’accueil téléphonique des morceaux choisis. Vous avez raison sur toute la ligne ! 

 

Attention : N’oubliez pas, surtout en tant que producteur vous aussi, que d’utiliser la création d’autrui ça se rémunère. Alors, et aussi pour éviter les ennuis, adressez-vous à la Sacem !

 

 Voir : Droits d’auteur ;

 

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 Réf. Pro. :

- SACEM  Les modalités en ligne pour diffuser en toute légalité !

 

Saisie

La saisie est une procédure judiciaire pouvant revêtir plusieurs formes ex :

 

- La « Saisie conservatoire » relève en principe d’une procédure rapide dictée les nécessités de la situation qui peut faire apparaître un risque de disparition, transformation, transfert de propriété, d’un bien au préjudice d’un créancier. Cette procédure permet de mettre sous contrôle d’une autorité judiciaire les biens concernés sans forcément qu’ils soient mis en vente.

 

- La « Saisie attributive », permet au créancier de se faire attribuer par voie de justice un bien détenu par le débiteur ou conservé par un tiers pour le compte du débiteur.

La saisie peut être conservatoire.

Des biens corporels et incorporels sout ainsi mis sous l'autorité de la justice en attendant une décision judiciaire.

 

La procédure dite de « Saisie-Contrefaçon » permet, suite à l’intervention d’huissier (= Bailiff  ) pour authentifier le constat, de faire saisir des marchandises contrefaites.

 

 Voir : Avis à tiers détenteur ; Procédure ; Sûreté ;

 

Sales Force

 

 Voir : Force de vente  

 

Sales of receivable/debt

 

 Voir : Cession de créance

 

Sampling

= Echantillonnage.

 

 Voir : Exploration de données ;

 

SAN

Storage Area Network

 

 Voir : Architecture de stockage de données

 

Sarbanes-Oxley Act – ou SOX

 

 Voir : Loi de Sécurité Financière .

 

SARL

Société à Responsabilité Limité de droit français

 

 Voir : Formes juridiques

 

SAS

SAS = Société par Actions Simplifiée.

 

 Voir : Formes juridiques ;

 

Sauvegarde

 

 Voir :

- Clause de sauvegarde ;  Architecture de stockage de données ;  Loi de sauvegarde des entreprises en difficultés ;

 

SAV

SAV = Service Après Vente

 Organe de gestion intervenant postérieurement à la vente pour assurer les engagements du vendeur notamment pour ce qui concerne la livraison, les réparations.

 

L’objectif recherché est dans un premier temps d’optimiser la relation client pour éviter les litiges et aussi de promouvoir l’image du vendeur et de ses produits notamment afin de générer des ventes récurrentes telles que les pièces détachées et autres services de formation et visites de sécurité liées au contrats de maintenance, etc.

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Commercial ; Gestion de la Relation Clients ; Litige ; Maintenance ; Qualité ;

 

SCAMMPERR

 

 Voir : Technique de concassage ;

 

Scannerisation

La scannerisation peut être :

 

- Une simple action d’enregistrement visuel d’un document papier à des fins de conservation transmission et reproduction.

 

- Un des éléments du processus collaboratif automatisé de la dématérialisation de documents. En effet associé à une technologie de LAD ou RAD, les gains relatifs aux saisies manuelles et autres retraitement des données sont considérables. Elle peut en conséquence intégrer la capture de données.

 

La scannérisation des documents et en particulier des factures peut aussi être réalisée par un prestataire externes possédant les équipements et compétences appropriés surtout en matière de volumétrie.

 

 Voir : Dématérialisation ; Document électronique ; Lecture électronique de document ; Reconnaissance optique de caractères ;

 

SCIC

SCIC = Société Coopérative d’Intérêt Collectif.

 

Fonctionne selon le principe coopératif (1personne = 1voix) mais peut intégrer tout type d’adhérent sociétaire que ce soit des salariés de l’entreprise, des bénévoles ou associations, des bénéficiaires de ses prestations, ou des promoteurs de l’objet social et financeurs (Entreprises et collectivités territoriales), etc.

 

Ce type de structure peut s’intégrer dans un objet à caractère d’ « Economie sociale » comme l’insertion professionnelle ou le « Développement Durable », l’environnement, la formation, le sport, le tourisme, la communication, la finance, etc.

Ainsi l’ensemble des acteurs est principalement fédéré autour d’un projet figurant dans l’objet de la SCIC.

 

 Voir : Forme juridique 

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 Infos :

- Inter-Réseaux Scic : Le site des Sociétés Coopératives d'Intérêt Collectif SCIC

 

SCM

Supply Chain Management

 

 Voir : Gestion de la chaine d’approvisionnement  ;

 

SCOP

SCOP = Société Coopérative Ouvrière de Production

 

 Voir : Formes juridiques ; SCIC ;

 

SCOR

SCOR = Supply Chain Operations Reference Model

 

 Voir : Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement/logistique   ;

 

Score

Le score est une note d'intérêt du comportement comme par exemple pour en évaluer les performances de joueurs à l'issue d'une rencontre selon un nombre de points.

 

Le scoring est une action de notation différente du rating.

 

- En Mercatique le scoring  (= marquage ) c'est aussi une action de qualification

ex : pour étudier les réactions de consommateurs suite à une publicité (= fichier de comportement) Actuellement très utilisés au travers des liens consultés sur internet pour mesurer le Score d'appétence.

 

- En Gestion du crédit client, il existe plusieurs pratiques plus ou moins sophistiquées comme :

a) une simple appréciation commerciale ;

b) une méthode analytique prenant en compte différents critères liés au comportement du client (Ex : Respect des délais de paiement contractuels, retour de traite acceptée, source des litiges et motifs d'impayés, etc.) permettant de limiter le risque clients en définissant pour chacun un "Profil payeur" ;

c) ou une appréciation par une méthode dite « Points de risque » (Voir cette définition).

 

- En management de projet on parle aussi de scoring. Il s'agit le plus souvent d'un concept différent se rapportat à une notation qui à pour objectif d'évaluer par exemple : les coûts/bénéfices ; Le degré de priorité ;

 

- De plus en plus de grandes entreprises sont également notées, par des organismes spécialisés, sur des critères autres que financiers comme environnementaux, de société, etc.  qui sont des concepts récents de Développement Durable.

 

 Voir : Cote ; Credit Management ; Développement Durable ; Fichier ; Mercatique ; Points de risque ; Profil payeur ; Rate ; Résultat(s) ; Score d’appétence ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Score d’appétence

L’appétence = Désir instinctif

 

Le score d’appétence est une technique de mercatique qui permet d'appréhender le plus fort potentiel de consommation client.

 

Ainsi, après étude de comportements l’objectif est de transformer les abandonnistes en consommateurs confirmés et les prospects en clients.

 

 Voir : Abandonniste ; Comportement ; Effet d’usure ; Etude d’usages et d’attitudes ; Génération : BB, X, Y ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Pyramide des besoins ; Sémiotique ; SONCAS ; Taux d’attrition ;

 

SCPI

SCPI = Société Civile de Placement Immobilier.

 

La SCPI est une entité juridique qui à pour activité l'acquisition et la gestion de biens immobiliers dans le domaine locatif.

Grace à leurs émissions de parts, auprès du public, elles réalisent des investissements collectifs pour le compte de leurs associés.

Ainsi elles peuvent acquérir des immeubles, engager des travaux, et permettent à à leurs associés de bénéficier des profits tirés de cette gestion, y compris en avantages fiscaux.

 

Les risques concernant les biens gérés sont considérés comme limités du fait de la mutualisation des acquis au travers des parts de SCPI et non de l’achat d’un bien immobilier unique. Cependant le marché de la revente n’est pas toujours suffisamment souple.

 

La SCPI s’assimile donc à un produit d’épargne plutôt orienté moyen et long terme dont les spécificités répondent à des besoins spécifiques ex : Rendement, fiscalité et plus-values.

 

Attention : Ne pas confondre avec FCPI

 

 Voir : Associé ; Biens ; FCPI ; Gestion des actifs ; OPCI ; Patrimoine ; Propriété ;

 

Scrivener

La loi Scrivener de 1979 qui a pour objectif de protéger les consommateurs contre les dangers du crédit. (Code de la consommation).

 

Outre de réglementer le démarchage à domicile elle impose aux professionnels des règles strictes aux établissements financiers tant en terme de crédit à la consommation que d’achat immobilier.

L’une des dispositions est que le prestataire de l’offre de crédit doit fournir avec sa proposition un formulaire de rétractation dans un délai de reflexion.

 

La loi Scrivener à été complétée notamment par celles :

- Dite Neiertz qui vient renforcer la protection des acheteurs, personnes physiques, afin de prévenir le surendettement et faciliter le règlement des conflits qui en sont issus.

- De 1998 permettant de lutter contre les exclusions.

 

 Voir : Caution ; Contrat ; Crédit bail ; Fiben ; Force de vente ; Management par objectif ;

 

Scrum

SCRUM Mêlée, confrontation 

Méthode de management de projet dite agile.

 

 Voir : Itération ; Management de projet ; Temps parcelles ;

 

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 Infos :

- Conférence PMI® et Club Agile Rhône-Alpes à l’INSA :

       SCRUM - Management Agile : Un état d’esprit avant d’être une pratique !

 

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                          Annexe 22 : « SCRUM » Modèle de pilotage de projet en mode agile

      Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

SDP

Structure de Découpage de Projet = WBS : Work Breakdown Structure

 

 Voir : Organigramme de tâches ;

 

Secrétaire

 

 Voir : Assistant ;

 

Sécurité

 

 Voir : Cheval de Troie ; Pare feu ; MEMs ; SSL ; VPN ; XSS ;

 

 Voir  aussi : Appliquette ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Autorité de certification ; Cavalerie ; Certificat numérique ; Cindynique; COBIT ; Conformité ; COSO ; Cryptographie ; CTI ; Dématérialisation ; Développement Durable ; Exigences ; Fiducie ; Gestion des actifs ; Gestion électronique des processus ; Gouvernance des risques et conformités ; IFRS ; Intelligence économique ; Liste de contrôle ; Loi sur la sécurité financière ; Management de contrats ; Management de la qualité ; Management de risques ; Management des connaissances ; Normes ; Option ; Point chaud de réseau ; Point Unique de Faiblesse - PUF ; Pyramide des besoins ; REACH ; Réglementation ; Réseau ; Responsabilité ; RFID ; RSE ; Services généraux ; SONCAS ; Système de management intégré ; Tiers de confiance ; Veille ;

 

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 Infos :

- Wiki Métiers de la Sécurité

 

SED

SED = Suivi électronique de documents

 

 Voir : Geide ; Gestion de contenu ;

 

Seed capital

Seed capital = Graine de capital

 

 Voir : Capital d’amorçage ; Capital risque ;

 

Segment de clientèle

Le segment de clientèle désigne le découpage d’un marché par cibles clients ayant été identifiées par des critères quantitatifs et qualitatifs de convergence (Typologie de population, zone, habitudes d’achats, etc.)

 

Ce découpage basée sur des analyses statistiques permettra de mettre en place des moyens appropriés dans un souci de rentabilité, grâce à une meilleur analyse de besoins de la clientèle et répartition des moyens commerciaux.

 

Ne pas confondre avec : Segment stratégique

 

 Voir : Cogriffage ; Commercial ; Domaine d’activité stratégique ; Etude d’usages et d’attitudes ; Mercatique ; Score d’appétence ; Sémiotique ;

 

Self Financing Capability

 

 Voir : Capacité d’autofinancement ;    

 

SEM

SEM = Société d’économie mixte = Association d’une collectivité publique avec une entreprise de droit privé.

 

Attention : Ne pas confondre avec : Search Engine Marketing  = Concept de référencement

 

 Voir aussi : Appel d’offre ; EPCI ; Formes juridiques ; GIP-DL ; Plan comptable ; Référencement ;

 

Sémiotique

Sémiotique, Synonyme = Sémiologie.

Science qui étudie les modes de production de fonctionnement et de réception des signes, signaux.

 

De nombreuses applications liées à la communication s’instéressement notamment aux gestes, symboles, couleurs et autres éléments de sémentique et à leurs effets sur les consommateurs.

 

Certains services de mercatique ont mis en place un outil de mesure de ces signaux divers, appelé sémiométrie, qui catégorie les cibles, favorise la segmentation de la clientèle.

 

 Voir : Commercial ; Communication ; Comportement ; Ecole de Palo Alto ; Effet d’usure ; Etalonnage ; Ethologie ; Etude d’usages et attitudes ; Génération : BB, X, Y ; Intelligence économique ; Johari ; Mentor ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; OCARA ; Principe de Peter et Gauss ; Proxémie ; Réponse Optimale au Consommateur ; Score d’appétence ; Stylique ; Théorie(S)  de l’enracinement et des signaux ; Veille ;

 

SEO

Search Engine  Optimisation 

 

 Voir : Référencement.

 

SEPA

Single Euro Payments Area - SEPA    = Espace unique de paiements en euros.

 

Projet européen qui s'inscrit dans le prolongement du passage aux pièces et billets en euros. L'ambition est de créer une gamme unique de moyens de paiement en euros, commune à l'ensemble des pays européens.

Grâce à ces nouveaux moyens de paiement européens, les consommateurs, les entreprises, les commerçants et les administrations peuvent effectuer des paiements dans les mêmes conditions partout dans l'espace européen, aussi facilement que dans leur pays.

Le « Sheme » du SEPA désigne l’ensemble des normes, et pratiques relatives aux instruments de paiement dans le cadre interbancaire. 

 

 Voir : Moyens de paiement ;

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 Infos : Source : SEPA

 

Sequestre

Personne habilitée, contractuellement par sa fonction ou un tribunal, à recevoir des fonds ou des biens, et à les conserver dans l’attente d’une échéance ou de la réalisation d’une action (ex : à l’occasion de la vente d’un bien, d’une saisie conservatoire).

 

Il peut donc dans certains cas, et selon les pouvoirs qu’il détient à cette occasion, administrer les biens d’un débiteur, les réaliser pour payer les créanciers.

 

 Voir aussi : Administrateur judiciaire ; Clause de réserve de propriété ; Déclaration de créance ; Garantie ; Loi de sauvegarde ; Mandat ; MARC ; Procédures ; Propriété ; Saisie ; Tribunaux ;

 

Serendipidity 

Sereine dépendance : Voila une acception française pour le terme anglais « Serendipidity » qui synthétise très bien ce concept qui met en évidence les aptitudes de certaines personnes à composer avec plusieurs idées. Ces facultés d’extrapoler qui favorisent la réflexion et donc l’innovation, la création.

 

Sereine : Qui fait référence au calme de l’esprit et aussi à l’impartialité ;

Dependance : Pour ce qui découle de la liaison, de la connexité

 

 Voir : Congruence ; Innovation ; Management intelligent ;

 

Serveur mandataire

Serveur mandataire dit aussi serveur de proximité = Proxy server.

 

Dispositif informatique associé à un serveur et réalisant, pour des applications autorisées, des fonctions de médiation, telle que le stockage des documents les plus fréquemment demandés ou l’établissement de passerelles.

 

Services Généraux

Les services généraux, par définition, sont parfois mal identifiés. Ils sont pourtant au cœur de l’Environnement de travail.  

 

Longtemps ils ont été sous l'autorité de la direction administrative.

 

De nouvelles fonctions sont nées, comme directeur ou responsable des services généraux, du fait de certaines spécificités faisant l'objet, de compétences particulières requises (parfois imposées par l'évolution de réglementations),  ou d'enjeux de gestion financière et d'externalisation de services,

Les compétences requises relèvent de domaines multiples : technique, juridique, de gestion, etc. Elles ont amené la reconnaissance internationale de plusieurs métiers très spécialisés :

 

- Gestionnaire des actifs = Asset Manager :

Il étudie les demandes en matière d'acquisition ou de cession de biens et se prononce sur les choix budgétaires. Il gère les actifs au sens patrimonial en prenant en compte les incidences financières et donc fiscales.

 

     Remarque : Avec la mondialisation de l’économie cette activité, dependant à l’origine des services généraux, c’est scindée en gestion stratégiques des : 

- Investissements Métiers (Ex : industriels = sites et matières premières ou commerciaux = Réseaux de dsitribution) ou d’équipements lourds et stratégiques = Informatique dont logiciels (Software Asset Management )

- Placements Spéculatifs (ex : Prises de participations)

Ainsi certaines fonctions de gestionnaire des actifs sont directement rattachées à la direction générale et souvent exercées au sein d'une entité spécialisée dite financière ou même fiduciaire.

En effet ces opérations, de haut de bilan, très spécialisées et complexes par leur montage, les outils utilisés, les règles de droit et fiscales, au niveau international concernant des enjeux conséquents, déterminants, nécessitent des moyens et prises de décisions spécifiques à cette activité.

  

- Gestionnaire des infrastructures = Property Manager  :

C'est l'administrateur de biens (ex : syndic ou régisseur) Ce professionnel à pour mission de gérer les biens immobiliers. Il étudie les besoins en matière d'entretien du gros œuvre et budgète les dépenses.

 

- Gestionnaire des énergies et réseaux = Utilities Manager :

Il a en charge les choix énergétiques (gaz, électricité, Chauffage, bois, atomique, éolien, etc.) et le traitement des déchets (dont industriels polluants) ainsi que des moyens de logistique et transports (Routier, ferré, fluvial et entrepôts) mais aussi de communication (Réseaux informatiques et téléphoniques).

 

- Gestionnaire des équipements et services = Facilities Manager :

Gestionnaire de services fonctionnels destinés aux utilisateurs.

Cette activité à notamment en charge la gestion des prestataires externes de :

-         Relocation

-         Conciergerie d’entreprise

Ces activités ont pour objectif d'assurer au mieux le fonctionnement des services techniques et des matériels dont ils ont la charge. Les plus connues de ces services sont : l'accueil physique et téléphonique, le service courrier, les archives et fournitures, l'entretien des locaux, la maintenance technique, la sécurité civile et la protection des personnes, etc.

 

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De plus en plus de ces services sont exécutés par des entreprises spécialisées par métier qui offrent des prestations adaptées par externalisation ou internalisation de personnel.

Ainsi, différentes définitions par exemple de la prestation F.M. (Facilities Management) intègre la notion du regroupement de plusieurs services chez un prestataire ou sous-traitant unique.

 

Cette notion ramène aussi vers une juste définition des rôles entre client et prestataire.

En effet, il s'avère primordial, pour le client, de conserver une forte autonomie, donc pouvoir de négociation, maîtrise de la décision, etc. pour préserver les intérêts de l'entité qui fait appel à un prestataire externe.

 

Dans la même approche, il faut accorder une importance considérable aux contrats et en assurer pleinement la gestion.

 

Attention : Confier ce type de services à un tiers ce n'est pas se "débarrasser d'un problème ponctuel".  Ces choix s'inscrivent souvent dans la durée. Ils doivent être établis sur un relationnel de qualité et des rapports gagnant = gagnant car ils imposent de prendre en compte l'évolution des prestations et de nombreux effets sur la gestion sociale de l'entité cliente. C’est là qu’une personnalité assertive s’avèrera efficace.

 

Par ailleurs l'externalisation touche souvent, directement ou par ses effets induits, des sujets vitaux de la gestion d'une entreprise comme la gestion des RH, la relation clients, la confidentialité des données et de l'innovation, la qualité des produits et services, la sécurité et donc la gestion des risques. Tous ces sujets ayant des impacts forts sur la performance et en particulier les résultats financiers.

 

Ces choix doivent donc faire l'objet d'une étude de projet et offrir la possibilité d'une reprise en main des services confiés en externe. Surtout que pour certaines prestations la dépendance est très forte (Stockage de documents et données, sécurité, informatique).

 

L’évolution de gestion des services généraux est largement concernée par les nouveaux concepts comme le Développement Durable et par la Qualité au sens large c’est pourquoi ont peut la qualifiée de « Management de l’environnement de travail »

 

 Voir : Achats ; Actifs (immobilisés) ; Analyse transactionnelle/Assertivité ; BOT ; Clause(S) ; Clause de réversibilité ; Conciergerie d’entreprise ; Contrat ; CSP ; Décisionnel ; Evaluation ; Externalisation ; Fiducie ; Gestion des frais professionnels ; Gestion Globale de la Performance (CPM), Gouvernance des risques et conformités ; Infogérance ; Maître d'œuvre et d'ouvrage ; Management de contrats ; Management de projet ; Management de risques ; Prix de transfert ; Qualité ; Relocation ; Résultat(s) ;

 

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 Infos :

-  ARSEG  l’Association des Directeurs et Responsables de SErvices Généraux ;

                                         Le management de l’environnement de travail !

-  Conférence PMI® – Dominique GARRET :

         « La Gestion des Exigences Contractuelles »

 

-  Conférence : La Gestion de projet de A à Z selon le Project Management Institute®

 

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Servitude

La servitude est une contrainte qui limite les conditions d'utilisation d'un bien immobilier ex : droit de passage.

 

 Voir : Jouissance ; Hypothèque ; Non aedificandi ; Propriété ;

 

Seuil de rentabilité

Seuil de rentabilité = Profitless

 

 Voir : Point mort ;

 

SFA

- Sales Force Automation 

SFA = Sales force automation.

 

 Voir : AFV = Automatisation des forces de vente.

 

SGBD

SGBD = Système de Gestion de Base de Données. Peut être à vocation relationnellle comme par exemple 4D

 

Application logicielle qui grâce à un langage de programmation intégré permet d’accéder à différentes bases de données en temps réel, notamment pour des outils de gestion des relations et surtout de reporting.

 

Les SGBD sont particulièrement jugés sur certains critères qualitatifs désignés sous le vocable : ACID

(Atomicité + Cohérence + Isolation + Durabilité)

 

(Parts de marché indicative 2002 = Oracle 30%, IBM30%, Microsoft 13%, SYBASE 3%, etc.)

 

 Voir : 4D ; Data Ware house; Entrepôt de données;  ODBC ; SIAD ;

 

Shared Services

= Services partagés 

 

 Voir : Centre de Services Partagés.

 

Shareholder

 

Shareholder = Actionnaire   ;   ;

 

Ne pas confondre avec : Stakeholder et stockholder.

 

 Voir : Action ; Valeur mobilière ; RCE ; Fonds propres ; Fiduciaire ;

 

Sheme 

 

 Voir : SEPA

 

Shopbot

 

 Voir : Assistant d’achat  

 

Short list

 

 Voir : Liste restreinte  

 

SIAD

SIAD = Système Informatisé d'Aide à la Décision :

 

Elément de la "Business Intelligence"  relatif à la navigation guidée.

 

Techniques qui à partir du système d'information de l'entreprise permet d'exécuter des processus de pilotage, traitement et exploitation des données à caractère décisionnel :

Grâce au SIAD on obtient des mesures de performance à partir d'indicateurs clés et sur plusieurs axes tels que : temps, coûts, secteur, client(s), collaborateur(s) …

 

Appellation des premiers tableaux de bord décisionnels du début des années 1990.

Est aussi appelé DSS (Décision Support System) et EIS (Executive Information System)

 

 Voir : Décisionnel ; Gestion électronique de processus ; Reporting ; Tableaux de bord ; Workflow ;

 

SICA

SICA = Société d’Intérêt Collectif Agricole

 

 Voir : formes juridiques ;

 

SIDEX

Soutien Individualisé à la Démarche Export.

Aide spécifique française gérée par UBI France et destinée aux PME / TPE, notamment pour soutenir un nouveau projet à l’export soit pour :

- Finaliser la conclusion d’un contrat avec un nouveau partenaire = Client, agent ou distributeur ;

- Prospect un nouveau marché.

 

Cette aide peut compléter l’ Assutance prospection géree par la COFACE

 

Suivre le lien vers UBI France pour les modalités !

 

 Voir : Aide ; Aides européennes ; Coface ;

 

SIG

- Système d'information géographique

SIG = Système d’information géographique

 

Technique utilisée dans différents domaines tels que l'aménagement du territoire ou des espaces ruraux ou urbains. Mais aussi dans la gestion d'entreprise pour des questions géomarketing ou commercial, etc.

 

 Voir aussi : Décisionnel ; Géomercatique ; Gestion de la Relation Clients ;

 

SIG -

Soldes Intermédiaires de Gestion

 

Soldes Intermédiaires de Gestion – SIG :

 

Solde : Exprime, en principe, le résultat des éléments positifs et négatifs, comme pour les opérations au débit et au crédit d’un compte bancaire.

 

Les soldes intermédiaires de gestion sont des éléments d’appréciation chiffrés que l’on peut tirer du « Compte de résultat social ».

- Chiffre d’affaire ; Bien que n’exprimant pas d’élément négatif le CA est parfois assimilé à un SIG du fait de ce qu’il représente au compte de résultat.

- Marge commerciale ;

- Production de l’exercice ;

- Consommation de l’exercice en provenance de tiers ;

- Valeur ajoutée ;

- Excédent Brut d'Exploitation ;

- Résultat d'exploitation ;

- Résultat Financier ;

- Résultat courant avant Impôt ;

- Résultat des opérations courantes ;  

- Résultat exceptionnel ;

- Résultat net ;

- Résultat de cession des éléments d’actifs.

 

Certains SIG sont clairement identifiables et donc mesurables au niveau de la déclaration française appelée « Liasse Fiscale »

 

Attention : Ne pas confondre avec Système d'Information Géographique

 

 Voir : Dans ce lexique chacun des termes ci-dessus

 

Voir aussi : Analyse financière ; Bilan ; Capacité d’autofinancement ; Compte de résultat social ; Décisionnel  ; EBIT-DA ; Marge(s) ; RENI/NOPAT ; Reporting ; Ratio ; SIG ; Tableaux de bord ; Taux de marge & marque ;

 

Signal intelligence

= "sigint"

 

 Voir : Veille

 

Signature électronique

La signature électronique est un mode d'identification numérique reposant sur l'utilisation d'un certificat délivré par un tiers de confiance. 

 

Cette signature peut être utilisée pour différents besoins ex : déclaration fiscale, transmission d'un message électronique, transaction financière, etc. -Voir LCEN –

 

Plusieurs objectifs peuvent être recherchés :

- l'identification de l'émetteur et son authentification.

- la confidentialité de documents et leur intégrité. Ce qui permet de s'assurer que les données n'ont pas été modifiées et ou altérées pendant les échanges.

- la non répudiation qui permet d'engager les acteurs (auteur et destinataires) dans le processus d'envoi et réception.

 

Tous ces objectifs sont réalisables grâce à l'utilisation de techniques et technologies de "chiffrage" utilisant des clés et procédés de cryptographie.

 

Les lois encadrent tant cette procédure et les techniques utilisées.

La signature électronique à force probante en France depuis 2000.

 

 Voir : Certificat numérique ; Document électronique ; Facture électronique ; Inforensique ; Loi Confiance dans l'Economie Numérique ; Tiers de confiance ;

 

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 Infos :

MÉDÉ (Mission pour les Echanges Dématérialisés) dont le principal objectif est de faciliter l'accès à la commande publique aux TPE et PME.

Voir en particulier le livre blanc sur le certificat et la signature numérique.

 

 

SIP

Session Initiation Protocol.

Est un protocole de convergence entre informatique et téléphonie devenu un standard de la VoIP (Voix sur Interternet) et du multimédia.

 

Ce standard, désignée aussi sous le vocable « Softphone » permet l’interopérabilité entre les différents réseaux de télécommunication.

 

Ainsi grâce à SIP il est possible de téléphoner y compris en visioconférence, depuis un micro ordinateur portable.

 

 Voir aussi : Centrex IP ; CTI ; PABX ; Réseau ; TCP/IP

 

SIPOC

Supplier Input Process Output Customer = Processus Entrée fournisseurs et Sorties Clients

 

Tableau permettant de définir les étapes et actions principales pour visualiser des processus d’entrées depuis les fournisseurs vers les clients par rapport à leurs exigences.

 

Cet outil notamment utilisé dans la méthodes 6 sigma, pour mieux appréhender les projets, se matérialise dans la parties « D = Définir » du  concept DMAIC.

 

Ce tableau est évidemment complémentaire de la charte de projet pour et a pour pour vocation d’améliorer la qualité.

 

 Voir : 6 sigma ; Management de projet ; SMART ; Stratégie Océan Bleu ;

 

SIREN

 

SIRET

En France les entreprises ont un code qui permet de les identifier.

 

Ce code est attribué par l'INSEE dès la création de l'entreprise.

Il est constitué d'une racine de 9 chiffres appelée "SIREN".

 

Le numéro de "RCS" (Registre du Commerce et des Sociétés) est constitué des 9 chiffres du code SIREN et d'une lettre relative à la catégorie d'entreprise (ex : B pour les sociétés commerciales) suivi de la ville du greffe qui a enregistré l'immatriculation.

 

La racine du code SIREN est suivie d'une série de 5 chiffres, appelé NIC (Numéro interne de classement) destinés à préciser l'établissement concerné. Cet établissement n'a pas de personnalité juridique propre. Il est cependant nécessaire de l'identifier notamment pour le calcul des taxes (ex : Taxe professionnelle)

 

L'ensemble du code de 14 chiffres est appelé code "SIRET". Ainsi chaque entité d'un groupe sera identifiée

 

TVA intracommunautaire Ce code servant pour les déclarations est constitué de 2 lettres représentant le code ISO pays, suivies d'une clé à 2 chiffres qui sont placés devant le code SIRET.

 

 Voir : Formes juridiques ; INSEE ; NAF ; Nom commercial ; Raison sociale ; Statut fiscal ; Taxi ; Sirenage ;

 

Sirenage

Le sirenage est un traitement informatisé qui permet notamment de mettre à jour un fichier d’entreprises en actualisant leur identifiant officiel de déclaration d’activité.

 

Cette action permet de mieux cibler les typologies de clientèle, leur statut et dépendance financière (ex : établissement). Le plus souvent c’est l’occasion de mettre à jour les adresses diverses et aussi le nom des dirigeants et de savoir quelles sont les décisions de gestion qui ont été publiées. La pratique mercatique plus élaborée est dite le « peignage ».

 

A posteriori cette mise à jour permet non seulement de se tenir informé de la « côte de crédit » de chaque entité concernée, qui évolue selon les déclarations fiscales et celle des incidents de paiement. Le cas échéant il est alors possible de commander des enquêtes plus approfondies.

 

Autre élément très important juridiquement et financièrement, cette action permettra de maintenir le classement par typologie propre à votre entreprise pour faire correspondre les CGV et dérogations (sans risque de concurrence déloyale) et cette cohérence pourra bien évidemment s’appliquer à la politique commerciale (marges) choisie pour chaque client donc à la couverture des risques, aux stratégies de relances, etc. (Comité crédit et risques)

Cette action doit bien évidemment ce faire dans le cadre de la réglementation de la CNIL sur la constitution et l’exploitation des fichiers et grâce notamment à un outil logiciel de GRC et de Credit Management. 

 

 Voir : Centre d’appels ; Credit Management ; Gestion des relations Clients ; Peignage ; Point de risque ; Profil payeur ; Score ; SIREN ; Veille ;

 

Situation nette comptable

En matière d’analyse financière, d’évaluation d’entreprise la situation nette comptable est ainsi constituée :

 Capital + Prime d’émission + écart de réévaluation + Résultat de l’exercice + Réserves + ou – Report à nouveau.

 

 Voir : Analyse financière ; Capital ; Capitaux propres ; Fonds propres ; GAP ; Plan comptable ; Résultat(s) ;

 

Six Sigma

 

 Voir : 6 Sigma ;

 

SLA

SLA = Service Level Agreement

 

 Voir : Accord de qualité de service    ;

 

Sleeping partner

= Partenaire dormant

 

 Voir : Capital investissement ;

 

Slotting

Slotting = Emboîtage

 

Terme spécifique à la logistique qui relève de l’amélioration constante des conditions de stockage dans les entrepôts tant pour des questions de gain de place que d’accessibilité et de règles de sécurité.

 

 Voir : Allotissement ; Amélioration continue ; Logistique ; Plate-forme logistique ; Services généraux ;

 

Slow management

 

 Voir :  Management calme ;

 

SMART

2 acceptions pour SMART :

 

a) Malin   = Smart  

 

b) SMARTER : Concept mnémotechnique permettant de se souvenir des éléments concourrant à la réalisation d’un objectif/Projet :

 

- Spécifique  - Significant ; Specific = Projet définit précisément

- MesurableMeasurable ; Manageable = Comment l’évaluer et suivre le projet ?

- AcceptéAchievable ; Agreed = Accepté tant par les décideurs, sponsors que contributeurs 

- RéalisableRelevant ; Realistic = Effectivemet réalisable et non utopique !

- Temporel - Time-boxed/bond = Prévoyant une échance finale et les principales étapes

Parfois complété par :

- EthiqueEthical = Dans le cadre des règles et priorités internes et externes (Charte, Droit)

- RessourcéResourced = Moyens matériels, humains et financiers clairement identifiés et alloués

 

Ce concept s’adapte aussi bien pour des projets personnels que pour ceux d’une organisation.

Il est facile de mettre en place cette pratique notamment en créant un tableau dans lequel vous définirez pour chaque termes les éléments de votre projet.

En utilisant particulièremet des concepts tels que : QPQQCOC, EMOFF vous pourrez plus facilement définir la pertinence de vos objectifs, les moyens nécessaire, dans quels délais et donc savoir si votre projet est  réalisable ou non.  

 

 Voir : EMOFF-FFPM ; Evaluation(s) ; Management de projet ; Objectif ; Organisation ; QPQQCOC ; Temps parcelles ;

 

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b) Self Monitoring And Reporting Technology :

Mécanisme, techniques, qui ont pour objectif de détecter les dysfonctionnements du disque dur pour apporter les corrections.

 

 Voir : Autonomation ;

 

SMI

 

 Voir : Système de Management Intégré

 

SMO

Social Media Optimisation 

Basé notamment sur le Web 2.0 et le développement des différents médias que sont les blog, flux RSS, réseaux sociaux virtuels, etc. et la diversité des supports diffusés sur via Internet, dont vidéo, cette nouvelle pratique permet d’optimiser les requêtes pour l’utilisateur final et le référencement pour les émetteurs

 

 Voir : Gestion de contenu ; Référencement ; Réseau ; Web2 ; 

 

SMP2

Système de Management du Portefeuille de Projets

Ce référentiel est un modèle de maturité et de certification de servives conçu par IQar et validé par Bureau Veritas.

Il est délivré à une entité relativemet à son système de managemet et non à une personne.

C’est un modèle de maturité en management de projets concurrent d’OPM3 qui, lui, est validé par le PMI®-Project Management Institute.

 

 Voir : CMMI ; Management de projet ; OPM3 ; Système de Management Intégré ; Transformation organisationnelle ;

 

SNAP

Simplement Non Atteignables Point final = Objectifs non atteignables

 

 Voir : Décisionnel ; Evaluation ; Management par objectifs –DPO ; Objectif ; Priorité ;

 

SOA

SOA = Service Oriented Architecture

 

 Voir : Architecture Orientée Services  ;

 

SOAP

SOAP (Simple Object Access Protocol)  = Protocole d’architecture orienté services.

 

Cette technique permet de simplifier la communication entre différentes entreprises via Internet en s'affranchissant de certaines contraintes de langages, application multi-sites,…

 

" SOAP définit un protocole permettant des appels de procédures à distances (RPC) s'appuyant principalement sur le protocole http (pour le transport) et sur XML (pour la structure des messages), mais aussi SMTP et POP. Il permet ainsi de définir des services WEB. SOAP est un des standards "Web Services (comme BPELAWS, BTP, UDDI, WSDL, etc.)

Les paquets de données circulent sous forme de texte structuré au format XML (Extensible Markup Language)."

Source : http://xml.developpez.com/soap.htm 

 

 Voir : Architecture orienté services ; Management de contrats ; XML ;

 

Sociétaire

 

 Voir : Associé.

 

Sociétale

Terme inspiré des mots :

 

- "société" à la fois au sens économique (ex : entreprise) et au sens large (ex : l'organisation donc les institutions, les lois, etc. et le mode de vie de l'humain incluant les "Valeurs»,

 

- "environnemental" comme pour faire un lien entre l'individu ce qui l'entoure donc les autres, la nature et l'incidence de son comportement.

 

Ont peut parler de "Performance sociétale" qui aujourd'hui fait aussi l'objet de "notations"

 

 Voir : Développement Durable ; Gestion globale de performance ; Gouvernance ; NRE ; RSE ; Score ;

 

Société

Société = Society ; Company.

 

Attention aux nombreuses acceptions, notamment pour ce qui concerne les effets statistiques et surtout juridiques, dont :

- Ensemble de personnes physiques ou morales organisées ou classifiées en groupe ex :

   Société civile, société de droit, société commerciale, société en participation, société mère, société de consommation, société secrète, Société Des Nations.

 

- Statut d’entreprise françaises en société ex : Société de capitaux dont : SARL, SA ; Société de personnes ex : Ste. en Nom Collectif, Ste en Commandite Simple.

 

- En matière de droit des entreprises la société se conclue par un contrat entre des acteurs qui mettent en commun des moyens (matériels, humains, financiers) dans le but d’en retirer un avantage économique, financier.

 

Ainsi la société est juridiquement différente de l’association à but non lucratif = Non-profit-making organization.

 

- La société est une entreprise mais certaines entreprises ne sont pas juridiquement des sociétés notamment l’entreprise individuelle qui est fondée sur une seule personne physique.

 

 Voir : Action-actionnaire ; Association ; Associé ; Capital ; Contrat ; Dividende ; Economie sociale ; Ethologie ; Forme juridique ; Holding ; Part sociale ; Personne morale/physique ; Société de fait ; Société en formation ; Statut ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Ma Création d’Entreprise.fr :

Centre d'Accompagnement et de Formation des Entrepreneurs :

    Formations modulaires et à distance : Démarrage, marché, plan d’affaires, statut…

    Espace affaires : Créer, Céder, reprendre… Assistance, et conseil 

 

Société de fait

Société de fait :

Personnes physiques ou morales n’ayant pas exprimé leur volonté de constituer une société mais se comportent « de fait » comme des associés et exerçant des activités.

 

La société de fait n’étant pas immatriculée au RCS, elle ne bénéficie pas de la personnalité morale. Chaque « associé » agit en son nom, mais pour le compte de tous et leur solidarité peut être engagée à tout moment.

 

L’exercice d’activités régulières permet, aux services fiscaux et de la direction du travail, d’appliquer les modalités légales relatives aux sociétés déclarées nonobstant les amendes et autres pénalités pour n’avoir pas déclaré à temps l’activité concernée.

 

 Voir aussi : Formes juridiques ; Société ; Société en formation ; Statuts ;

 

Société de portefeuille

 

 Voir : Fiducie ; Forme juridque ; Gestion des actifs ; Holding; Société ;

 

Société en formation

Société en formation :

Désignation d’une démarche et d’un statut provisoire dans l’attente de la création d’une entité juridique ultérieure.

C’est donc la période de formation d'une société comprise entre le moment où les associés décident de constituer la société et l'immatriculation au Registre du commerce et des sociétés.

 

Pendant cette période, les actes nécessaires à la création de la société sont accomplis par les associés " au nom et pour le compte de la société en formation ".

 

 Voir : Société ; Formes juridiques ; Statuts ;

 

Software

Software :

Désigne les outils de bureautique tels les logiciels par opposition au matériel = Harware (ex : unité centrale)

 

 Voir : Hardware ; Donationware ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  PCCW  Personal Computer Cool Working : Conseil ; Configurations réseaux ; Développement et logiciels ; Maintenance et matériels informatique ;

 

Software as à service

SaaS : Software as a Service = Logiciel en tant que service

 

 Voir : Fourniture d’application hébergée Location de droit d’usage –SaaS ;

 

SoHo

Small office-Home office : Entreprise de très petite taille domiciliée chez son fondateur.

 

 Voir : Auto-entrepreneur ; ETI ; ETM ; Formes juridiques ; Micro entreprise ; NACRE ; PME ; Statut ; TPE ;

 

Soleau

Enveloppe Soleau :

Principe qui permet à moindre coût de donner une « date certaine » à la création d’une appellation ou concept auprès de l’INPI en insérant, un document sur lequel figure l’objet de la démarche dans 2 enveloppes, éponyme.

Celles-ci sont alors enregistrée officiellement par l’organisme habilité qui en conserve une et retourne l’autre au déposant.

Ainsi la confidentialité est maintenue pour la durée prévue en attendant l’officialisation et la publication des éléments concernés.

 

 Voir aussi : Brevet ; INPI ;

 

Solvency

Règles de solvabiité concernant les assurances. Calendrier 2006-2012

 

 Voir : LSF et Bâle II

 

Solvens

Solvens :

Se dit de celui qui a payé (solvable) par rapport à celui qui a accepté le paiement : l’accipiens.

 

 Voir : Accipiens ; Subrogation ; Cession de créance ; Garantie ; Gage ; Aval ; Caution ;

 

SONCAS

SONCAS est l’acronyme d’un principe d’identification des attentes du client. Il peut également s’adapter aux fournisseurs et autres partenaires :

 

- Sécurité : Alimentaire, prévoyance, assurance, etc.

- Orgueil : Consommateur qui souhaite être identifié, reconnu assimilé à, paraître ex : Marques.

- Nouveauté : Sensible aux effets de mode concept et « design »

- Confort : Pratique, confortable, facile, ergonomique.

- Argent : Rapport qualité/prix, pouvoir d’achat.

- Sympathie : Cadeau, faire plaisir au prospect.

 

Chaque client définit généralement ses préférences, priorités, selon ces critères symptomatiques de son comportement de consommateur..

Il est ainsi aisé de définir son appartenance à une typologie de clientèle, certains choix étant excluif des autres.

 

L’utilisation de cette classification permet d’adapter les produits, services, méthodes de prospection, vente selon les attentes préalablement qualifiées des cibles choisies.

 

 Voir : Abandonniste ; AIDA ; BOGO ; Comportement ; CSP ; Ethologie ; Génération : BB, X, Y ;

Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; OCARA ; PESTEL ; Pyramide des besoins ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

Source libre

Source libre = Open source.

 

Se dit de la possibilité donnée à tous d’accéder aux codes source de certains systèmes logiciels pour les faire évoluer librement selon ses besoins.

 

En matière de gestion l’attrait porte sur plus d’indépendance par rapport à des logiciels développés par des éditeurs à condition bien évidemment d’avoir les capacités techniques disponibles (en interne ou externe pour maintenir les applications et faire évoluer les développements.

 

Voir aussi le concept de ‘’Sources Libre’’ et de ‘’Copyleft’’

Attention : Libre ne veut pas dire gratuit.

 

 Voir : Langages ; Réseaux ;

 

Sourcing

 

 Voir : Approvisionnement   

 

Sous-jacent

Le sous-jacent est l'élément de base à partir duquel sont évalués des contrats sur marchés à terme, des options et des bons de souscription.

 

 Voir : Ethique ; Option ;

 

Sous-traitance

= Subcontratación   ; Subcontracting

La sous-traitance  implique un premier niveau contractuel entre un maître d’ouvrage et un entrepreneur.

Ce dernier fait ensuite appel à un ou plusieurs prestataires pour réaliser ce qu’il ne sait, ne veux ou ne peux pas faire lui-même.

 

 Selon la loi (31/12/75) la sous-traitance est une opération par laquelle l’entrepreneur confie à un sous-traité ou sous sa responsabilité, à une autre personne appelée sous-traitant tout ou partie de l’exécution d’un contrat d’entreprise ou d’un marché public conclu avec le maître d’ouvrage.

 

Attention : Ne pas confondre sous-traitance et externalisation.

 

 Voir : Clauses ; Contrats ; Maître d’ouvrage ; Maître d’oeuvre ; Management de contrats ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Spam ou Spamming

 

 Voir : Arrosage.

 

Spend control

 

 Voir : Maîtrise des dépenses  

 

Spin-off

Spin off = Sous-produit

 

 Voir : Opération de recentrage.

 

SPOF

Spof = Single Point Of Failure

 

 Voir : Point Unique de faiblesse   .

 

Sponsor

Ce terme souvent utilisé à mauvais escient. Ainsi les conséquences peuvent être conséquentes.

 

Ce « Parrain » est considéré dans de nombreux pays comme un partenaire qui attend un retour, lucratif, de ses actions. Son statut sera donc considéré, fiscalement, de manière différente de celui du mécène.

 

 Voir : Commanditaire ; Commettant ; Maître d’ouvrage ; Mécènat ;Parrain ;   

 

SPV

Special Purpose Vehicule

 

 Voir : Financement structuré ;  Titrisation 

 

Spyware

 

 Voir : Logiciel espion.

 

SQL

A l'origine d'IBM, langage SQL : Structured Query Language   = Langage de requêtes structurées .

 

Permet l’interrogation et la manipulation des SGBD (ex : Oracle, Code Base, Ingres, DB2, MS SQL Server, MySQL, MS Access et bien d’autres).

 

 Voir : Langages ; SGBD ;

 

SRP

L’une des définitions de SRP = Seuil de Revente à Perte.

 

En France, principe issue de la loi Galland de 1997. Destiné à lutter contre des pratiques largement développées dans la grande distribution qui instauraient des remises différées payées par le fournisseur au distributeur. 

De nombreuses applications de ces pratiques venaient fausser la concurrence en favorisant la vente à perte.

 

 Voir : Concurrence ; Conditions Générales de Vente ; Marge(s) ; Marges arrières ; NRE ;

 

SSCI

SSCI = Société de Services et de Conseil en Informatique

 

 Voir aussi : SSII ; Formes juridiques ; NAF ;

 

SSII

SSII = Société de Services en Ingénierie Informatique.

 

 Voir aussi : Formes juridiques ; SSCI ; SSLL ; NAF ;

 

SSL

SSL (Secure Sockets Layers  ) Système de transactions sécurisé par encapsulation mis au point par Netscape pour des paiements en ligne (apparition d'une icône = cadenas et l'URL fait apparaître un "s" ex : https)

Remplacé par TLS.

 

Attention : Certains affirment que le script XSS permet à un pirate de contourner ce système

 

 Voir : TLS = Transport Layer Security  ; XSS ;

Voir aussi : Réseaux ; RPV-VPN ; TCP/IP ;

 

SSLL

SSLL = Société de Services en Logiciels Libres

 

 Voir aussi : Formes juridiques ; SSCI ; SSII ; NAF ;

 

SSO

 

Single Sign On

 

 Voir : Authentification unique

 

Stakeholder

Stakeholder = Dépositaire

 

Ne pas confondre avec : Shareholder et stockholder.

 

 Voir : Dépositaire ; Actionnaire ; Obligataire ; Fiduciaire ; Logistique ;

 

Stand-by letter of credit

 

SBLC

 

 Voir : Lettre de crédit garantie 

 

Statut

Statut  = Estatuto  ;

Ensembles de règles d’ordre législatives ou contractuelles qui établissent, régissent les relations entre des individus ou entités. (Ex : Fonction publique territoriale, ouvrier, employé, cadre d’entreprise) Le statut peut donc permettre d’identifier un métier et une fonction.

 

C’est aussi le document écrit, (convention ou contrat) constituant un règlement auquel adhères des individus afin de régir leurs relations dans le cadre d’action, activités précises exercées en commun. Comme par exemple pour les associations loi 1901, les sociétés civiles ou les entreprises industrielles et commerciales.

 

Grâce à ce statut ces personnes morales verront le jour en étant déclarées et donc identifiables par leur date de création, lieu d’implantation, l’objet de leur activité, la qualité de leurs membres, etc.

 

 Voir aussi : Aide(s) ; Contrat ; Formes juridique ; NACRE ; Régime fiscal ; Ressort ; VaMPs ;

 

Stellage

Le Stellage = Straddle  

C’est une opération spéculative conditionnelle à terme qui permet à l'acquéreur du contrat (voir exemple) d'être bénéficiaire de l'opération seulement si les cours du sous jacent (ex : Titre, monnaie) varient de manière significative à la hausse ou à la baisse.

 

Exemple :

   1 - Achat simultané d’options d’achat (call ) et de vente (put ) de même échéance et de même prix d’exercice et paiement de la commission liée au contrat.

   2 – A l’échéance : Exercice d’une des options en cas de variation de cours du sous-jacent dans les limites de la valeur plafond ou plancher fixée préalablement.

 

 Voir : Option ;

 

Stock

Stock  = Inventories  ; Lagerberstand  ;   ;

 

 Voir : Achats ; Actif circulant ; Approvisionnement ; BFR ; Gestion de la chaîne des approvisionnements ; Logistique ; Ordonnancement ; Plan ou Programme Directeur de Production ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

 

Stockholder

Stockholder = Actionnaire spéculateur/rentier

 

Ne pas confondre avec : Stakeholder et shareholder

 

 Voir : Actionnaire ; Capital risque ;

 

Stockholders equity

 

 Voir : Fonds propre ; Capital risque ; 

 

Storytelling

 Voir : Management d’équipe ; Stratégie ;

 

STP

Démarche mercatique : Segmentation + Targeting + Positioning – STP

 

 Voir : Mercatique ;

 

Strategic Business Unit

 

 Voir : Domaine d’activité stratégique 

 

Stratégie

=   ;

La stratégie c’est la science des mouvements d’une armée dans une bataille.

 

ATTENTION : il est également important de ne pas confondre

    - Stratégie (Ex : Gagner la guerre) Actions sur le long terme

    - Tactique (Ex : Gagner une bataille) Actions plutôt ponctuelles, ou au moins à court terme

 

Par extension, c’est devenu l’art, la capacité de combiner les moyens et actions en vue d’atteindre un objectif pour gagner ou le cas échéant perdre le moins possible.

    Ex : Stratégie Océan Bleu ; Proposal management ;

 

En matière de gestion d’entreprise la stratégie se conjugue aussi bien individuellement que collectivement.

Il est important de :

    a) Convaincre tous les acteurs de l’entité concernée que la stratégie est l’affaire de tous, pas seulement des dirigeants et doit être un état permanent de veille, un état d’esprit. Certains se fixe des devises et autres références à des histoires racontées = storytelling, de mentor ou situations valorisantes pour mobiliser, galvaniser leurs troupes. ;

    b) Construire des liens entre les acteurs de la stratégie et ceux de l’opérationnel ;

    c) Sensibliser la gouvernance sur le fait que la stratégie doit être conçue aussi pour être comprise et donc appliquée par les collaborateurs, sinon c’est perdu !

 

Tous les métiers sont concernés.

Certains sont nés exclusivement du fait d’une application stratégique à des activités considérées, trop longtemps, seulement fonctionnelles et administratives.

 

C’est le cas notamment de tous les services dont l’appellation intègre « Management » dans sa désignation comme par exemple pour :

- Relations Clients ; Crédit Clients ; Achats et Processus d’approvisionnement ; Risques et Contrats ; Systèmes d’information ; Projet ; Etc.

 

Comme  il s’agit bien souvent de définir une politique approprié correspondant aux aspiration de l’entreprise, du groupe, des actionnaires, la plupart des stratégies passent par le management de la communication, le Contrôle de gestion, le Management de projet et la Gestion Globale de Performance pour aboutir à une bonne Gouvernance d’entreprise, grâce à des outils dits de Décisionnel.

 

 Voir : Altermanagement ; Analyse par les Options Réelles ;  Conduite du changement ; Décisionnel ; Ethologie ; Gouvernance ; Organisation ; Proposal management ; PNL ; Ressources humaines ; Stratégie Océan Bleu ; Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement (Scor) ;

 

Voir aussi : les différents termes du lexique intégrant « Management »

 

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 Infos Livres :

De la stratégie de militaire à la philosophie de l’altruisme.

2 livres aux approches diamétralement opposées tant par leur ancienneté, méthode, que référence culturelle :

 

- « Sun TZU L’art de la guerre » (nombreuses éditions) 

 

- « Du paraître à l’être » Christian Hyerlé - ed. Chronique Sociale, Lyon

 

Stratégie Océan Bleu

 

La Stratégie Océan Bleu = Blue Ocean Strategy  peut se résumer à la question suivante :

«  Comment réussir sur un marché existant en se démarquant par l’innovation ? »

 

Le concept consiste :

- A ne pas rester dans la démarche classique du marché concurrentiel (dit : Océan rouge) et de ses principes de rivalité sur une demande existante en jouant notamment sur les prix toujours plus réduits et le fait de courir après les phénomènes de mode.

- A se différencier éventuellement en créant sa tendances et pourquoi pas son marhé mais aussi une valeur ajoutée qui peut par exemple définir de nouveaux concepts d’activité, basés sur l’innovation, le travail collaboratif, etc.

 

Cette pratique ne se limite pas à une simple démarche « Marketing ou design » qui ne sont que des mots qui masquent le plus souvent une incapacité réelle à innover, mais un véritable concept, une stylique, issue d’une R&D et bénéficiant d’une production et d’un service commercial de qualité …

 

Cette approche, risquée sur les coûts de l’innovation et de la promotion, peut se concevoir en mode projet pour valider la poursuite d’une idée en projet réel pour maitriser le développement de celui-ci.

 

 Voir : 6 Sigma/DMAAS ; 8D ; Aptitude ; EMOFF-FFPM ; Excellence Opérationnelle ; Exigence ; Genchi Genbutsu ; Management de projet ; Management participatif ; Marché ; Mercatique ; Performance ; PESTEL ; Qualité ; Stylique ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

 Zins Beauchesne et Associé (www.zba.ca) – Experts Conseils : Marketing, Développement – Innovation.  Voir la présentation « Startégie Océan Bleu » Innovation et création de valeur

 

Stress

 

 Voir : Pression

 

Streaming

Streaming = Flux/Diffusion en continu.

Méthode, de plus en plus répandue, de mise en ligne de fichiers audio et vidéo, qui trop souvent empiète sur les droits d’auteurs de ceux qui sont les créateurs, concepteurs de ces supports.

 

 Voir : Droits d’auteur ; Propriété ;

 

Structure de répartition des tâches

Structure de Répartition des Tâches = Work Breakdown StructureWBS.

Ou Structure de Découpage de Projet

 Voir : Management de projet ; Matrice ;

 

Structure d’organisation matricielle

Ce mode d’organisation fonctionnelle est attaché aux processus plutôt qu’aux métiers même s’il est transversal.

 

 Voir : Organisation ;

 

Stylique

Stylique = Design.   

Concept de forme/dessin appelé aussi esthétique industrielle

 

 Voir : Concept ; Stratégie Océan Bleu ;

 

Subordination

Lien de subordination 

 

Il se caractérisé par l’exécution d’un travail sous l’autorité d’un employeur.

Ce simple fait implique que celui-ci est automatiquement soumis à la réglementation du travail même s’il n’y a pas de contrat écrit. C’est dans ce cas un contrat de fait.

 

 Voir : Contrat ; Habilitation ; Responsabilité ; Ressourcess humaines ; Subsidiarité ;

 

Subrogation

La subrogation est le principe selon lequel une personne une chose, ou un droit est substitué à un autre.

 

Sur le plan juridique la subrogation peut être conventionnelle (par contrat) ou légale (suite à un jugement).

Ainsi lors de certaines cessions de créances ou parts sociales, actions, le nouveau créancier, ou porteur, se substitue à l’ancien ce qui peut être lourd de conséquences pour le débiteur, surtout s’ils étaient préalablement concurrents.

 

C’est pourquoi il faut bien connaître les effets de la subrogation notamment sur certains moyens de paiement.

 

Il est également indispensable de faire appel à un juriste dans la rédaction de nombreux contrats et en particulier pour mieux contrôler l’actionnariat de l’entreprise. Il pourra alors être possible de ne pas contracter ou d’insérer des clauses appropriées.

 

 Voir : Cession de créance ; Créancier ; Actionnaire, Clause de sortie ; Covenants ; Accipiens ; Solvens ;

 

Subsidiarité

Subsidiare : Se dit de ce qui est en réserve, complémentaire.

 

En matière de management des ressources humaines ce terme est lié à la méthode d’habilitation = Empowerment  qui permet de confier des responsabilités, par subsidiarité, à un collaborateur, assistant notamment dans le but de favoriser le travail collaboratif.

 

 Voir : Aptitudes ; Compétence, Délégation(S) de paiement, de pouvoirs et de signature ; Habilitation ; Kaizen ; Mentor ; Subrogation ; Team building ;

 

Subvention

= Zuschuss  ; Subsidy  ;   ;

Plusieurs acceptions :

 

- Subvention d’investissement : Concept comptable dont l’enregistrement se fait au compte 131xxx (selon la provenance), qui spécifie que l’affectation porte sur un bien clairement identifié dont l’acquisition figurera à l’actif du bilan au niveau des immobilisations et la subvention intégrée aux capitaux propres ;

- Subvention d’équipement :

C’est le concept fiscal d’une subvention d’investissement dont le produit n’est pas imposable. Il faut pour cela que le ou les biens concernés par la subvention soient spécifiés par celui qui subventionne.

 

- Subvention d’exploitation :

La subvention d’exploitation n’est pas affectée à un bien spécifique mais à l’exercice de l’activité de l’entreprise et s’enregistre au compte comptable 74 = Subvention d’exploitation

En conséquence elle est imposable.

 

 Voir : Actif-S ; Aide(s) ; Aides européennes ; Capitaux propres ; Compte de résultat social ; Immobilisations ;

 

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 Infos :

-   Subventions.fr : 1ère source d’information collaborative sur les subventions ;

 

Success fees

 

 Voir : Prime de succès  

 

Supplier

 

 Voir : Fournisseur   

 

Supply chain

Supply chaine = Chaine d’approvisionnement

 

 Voir : Gestion de la chaine d’approvisionnement ; Système de modélisation de la chaîne logistique ;

 

Supposition

= hypothèse, postulat et non assomption comme c’est faussement traduit de l’anglais assumption!

 

En matière de projet faire des suppositions échaffauder des hypothèses, etc. permet d’extrapoler pour mieux anticiper que ce soit en :

- Amont dans le cadre d’une démarche de Recherche et Développement mais aussi après le phase remue-méninges ou par exemple dans une démarche PMO en management de projet.

- Aval dans une démarche itérative d’élaboration progressive propre à la planification par vague = Rolling wave d’un projet.

 

La pratique ressemble à celle des « 6 chapeaux »

 

 Voir : 5A ; 5 pourquoi ; 6 chapeaux ; Amélioration continue ; Evaluation ; Evaluation ; Heuristique ; Itération ; Management de projet ; Méthode Monte-Carlo ; Plan d’expérience ; Planifier ; PMO ; QPQQCOC ; Remue-méninges ; Test(s) ;Travail collaboratif ;  

 

Sureté négative

Sureté négative = Negative pledge  .

 

Acte par lequel un emprunteur s’engage, envers un créancier, à ne pas octroyer une nouvelle sureté en faveur d’un autre créancier.

 

  Voir : Chirographaire ; Gage ; Garantie ; Management de contrats ; Sûreté réelle, personnelle ;

 

Sûreté personnelle

La sûreté personnelle est le privilège d'un créancier qui bénéficie de l'engagement d'une personne en faveur d'un débiteur. Ex :

 

- L'aval est un engagement apposé principalement sur une lettre de change.

- Le cautionnement est un engagement unilatéral contractuel (qui peut revêtir plusieurs formes)

Attention il existe aussi des cautions entre personnes morales y compris de droit public et privé. (ex : Douanes)

 

En cas de défaillance du débiteur le ou les garants (selon la garantie et le caractère de solidarité et d'indivisibilité) seront "appelés (séparément ou conjointement).

 

 Voir : Aval ; Caution ; Chirographaire ; Gage ; Management de contrats ; Subrogation ; Sûreté réelle ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Sûreté réelle

La sûreté réelle est le privilège d'un créancier qui porte sur une chose (en latin Rees).

 

Les garanties réelles les plus utilisées sont le gage (sur véhicule), le nantissement (sur fonds de commerce) et l'hypothèque (sur bien immobilier).

 

Selon les clauses du contrat le créancier peut faire saisir et vendre le bien en question en cas de non paiement de sa créance sur le débiteur.

 

 Voir : Hypothèque ; Nantissement ;

Voir aussi : Sûreté personnelle ; Chirographaire ; Management de contrats ; Propriété ; Bien ;

 

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 Infos :

-  Institut de Gestion Sociale Conférence  Management de Contrats :

         " les Nouveaux Enjeux du Processus de Gestion des Contrats" ;

 

Surveillance des processus métiers

Surveillance des processus métiers = Business Activity Monitoring

 

Le monitorage, pilotage des activités professionnelles du système d’information est une forme de gestion électronique des processus qui va au-delà de sa mise en œuvre.

 

La surveillance des processus et leur mesure de performance a pour objectif d’instaurer un système d’amélioration continue par analyse critique des processus concernés.

 

 Voir : AMDEC ; Amélioration continue ; Décisionnel ; Gestion électronique des processus ; Qualité ;

 

SWAP 

Le swap est une opération d'arbitrage formalisée par un contrat d'échange, par exemple, de taux d'intérêts fixe contre variable ou de devises, pour une période donnée au comptant ou à terme.

 

 Voir aussi : Cap ; Floor ; Tunnel ; Future ;

 

Sweeping accounts

Sweeping account = Balayage de comptes

 

 Voir : Compte Pivot ; Trésorerie d’échelle ;

 

Switch

Switch = Micro-interrupteur/commutateur

 

 ou signe placé après caractère pour contrôler le fonctionnement d’une commande notamment dans les développements informatiques.

 

 Voir : Ehernet ; Bus ; Réseaux ;

 

SWOT

 

 Voir : EMOFF-FFPM 

 

Synallagmatique

 

 Voir : Contrat

 

Syndication

La syndication désigne la participation de plusieurs partenaires à une opération le plus souvent financière. ex :

 

Groupe de banques qui, contractuellement, s'unissent pour accorder un crédit, emprunt, à une entreprise et parfois sur un objet précis. ex : Rachat d'entreprise dont REEL.

 

Ce partenariat (parfois appelé pool   ) est en principe géré par un représentant (qui peut être dénommé : chef de file). Il permet notamment aux financeurs de mutualiser les risques, diversifier leurs encours, actions, charges de gestion et communication mais aussi de répondre ainsi plus facilement à une demande émanant souvent d'un groupe donc sur un montant important.

 

 Voir : Apériteur-trice ; Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Contrat ; Cindynique; Management de risques ;

 

Syndrome de l’étudiant

le concept de « Syndrome de l’étudiant » releve plus d’une comportement lié à un comportement mimétique ex l’étudiant en médecine qui est persuadé d’avoir les mêmes symptômes ou maladie que ceceux qu’ils étudient (= Nosophobie ne pas cofondre avec Hypocondrie)

Dans d’autre matières le comportement mimétique est identique ex : Pour les étudiats en droit ou contrôle de gestion = Déceler, partout, des fautes, anomalies et autres non respect des règles, lois, etc.

 

 

Parfois certains décrivent à tort ce syndrome comme état le fait de remettre à plus tard ce qu’il pourraient faire dès maintenant. Alors que ce comportement relève de la « Procrastination » 

 

 

 Voir : Amélioration continue ; Excellence Opérationnelle ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Multitasking ; Organisation ; Procrastination ; Théorie des contraintes ;Travail collaboratif ;

 

Syndrome du survivant

Le syndrome du survivant est un état d’esprit dans lequel se trouve certains salariés restés dans une entreprise après une restructuration qui à imposé des licenciements.

 

Cette situation de stress doit être anticipée avant d’en combattre les effets négatifs.

 

 Voir : Procrastination ; Pression ; Ressources humaines ; Théorie(s) ;

 

Synergie

Contraire à l’antagonisme, la synergie, c’est l’énérgie qui s’aditionne à d’autres forces, initiatives et mise en œuvre pour promouvoir un projet.

C’est l’association de plusieurs actions, systèmes, méthodes, etc. dans le but de créer une dynamique, d’obtenir un effet produit.

 

 Voir : Management de projet ; Management participatif ; Procrastination ; Travail collaboratif ;

 

Système d’acquisition dynamique

En droit français, un décret du premier août 2006 relatif à la passation de marchés publics définit :

 

« Un système d'acquisition dynamique est une procédure entièrement électronique de passation de marché public, pour des fournitures courantes, par lequel le pouvoir adjudicateur attribue, après mise en concurrence, un ou plusieurs marchés à l'un des opérateurs préalablement sélectionnés sur la base d'une offre indicative…. »

 

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 Infos :

- Code des marchés publiques 2006 : Système d’acquisition dynamique

 

 Voir : Achats ; Appel d’offre ;

 

Système de Management de la Qualité

 

 Voir : Management de la qualité ;

 

Système de Management Intégré

- SMI

Le SMI - Système de Management Intégré s’est développé principalement autour du système d’information, dans un contexte de mondialisation et suite à l’hyperinflation législative internationale ainsi que de normes et référentiels métiers.

Cette situation provoque, partout, des effets pervers qui finissent par augmenter les coûts en matière de mise en conformité et plus gravement génèrent de plus en plus de conflits d’intérêts et dysfonctionnements.

Avec l’avènement du Développement Durable le SMI a pris une nouvelle dimension intégrant les exigences d’éthique, de santé, etc. avec, comme moteur, tous les aspects économiques qui en découlent.

 

Ce concept de gouvernance a pour vocation de favoriser l’adaptation à de nouvelles exigences multiples et évolutives aussi bien réglementaires, techniques, commerciales que morales, comportementales et doit conduire à l’harmonisation des pratiques, règles, processus, etc.  (ex : Productivité, qualité, sécurité) par une démarche cohérente et efficiente.

Ainsi, la cohérence de cette démarche SMI prend ses repères de base notamment sur les normes :

- ISO 9000 pour la Qualité ;

- ISO 14001 pour l’Environnement ;

- OHSAS pour les questions liées au Travail en matière de santé et sécurité ;

- SA 8000 et SD 21000 relatifs à l’Ethique sociale ;

- ISO 20000 et 27000 pour les Systèmes Informatiques.

Mais aussi :

- EMAS pour  l’audit écologique

- Seveso pour les risques industriels pouvant affecter les populations ;

- MASE : Manuel pour l’Amélioration de la Sécurité des Entreprise (Démarche SHE)

 

Cette stratégie ne s’improvise pas !

Elle relève de la nécessité d’une évaluation de la situation, puis de la connaissance approfondie des règles imposées, objectifs visés, moyens alloués notamment pour permettre son acceptation par les collaborateurs tous niveaux hiérarchiques confondus et parfois aussi des acteurs externes à l’entité (Partenaires commerciaux, organismes certificateurs, structures de notation, dispositifs d’aides, établissements financiers).

 

La diversité et la complexité des problématiques, solutions, résultats attendus est telle que cette démarche relève nécessairement d’une pratique éprouvée de mangement de projet.

L’objectif, considéré utopique par certains, consiste à ne retenir, si possible et comme idéal, qu’une norme générique et donc sa mise en place à condition quelle serve plusieurs intérêts majeurs convergents et garantisse un résultat probant !

 

Exemple :

Une démarche SMI dans une entreprise commerciale permettrait à partir d’impératifs de performance de réfléchir sur les moyens matériels, humains et financiers pour réussir une démarche qualifiée de conduite du changement ex :

- Réaliser un audit de situation permettant de définir les axes de réflexion stratégiques sur la base des forces et faiblesses de l’entité concernée – Ex : EMOFF - ;

- S’adapter aux nouvelles exigences des marchés – Ex :  IE - pour développer de nouveaux concepts, produits et services de qualité, permettant d’assurer la pérennité des activités et donc des emplois ;

- Pour réussir ce challenge associer pleinement l’ensemble des collaborateurs tous niveaux hiérarchiques confondus - Ex : Habilitation - mais aussi les clients et fournisseurs pour les produits et la logistique - Ex : SCOR -, les dispositifs de soutien, pour optimiser la réalisation de ces objectifs et la satisfaction de chacun ;

- Favoriser le stockage des données mais aussi le traitement par requêtes multidimensionnelles pour favoriser le travail collaboratif, tout en améliorant la sécurité des données et des transactions – Ex : FAH -

- Certifier les fruits de cette pratique et le cas échéant de cette production par des normes, labels, de qualité mais aussi des concepts éthiques particulièrement en matière de santé, environnement, notamment en réduisant les facteurs de risques et en dématérialisant certains supports papier -Ex : RSE -.

 

Remarques :

Evidemment ceci ne peut se réaliser que par une réflexion intelligente motivée par une volonté affirmée des dirigeants et une implication forte des exécutants. Seule une démarche de travail collaboratif en mode projet peut en assurer l’efficience.

De nombreux concepts fondés sur des pratiques éprouvées servent déjà les objectifs de la démarche SMI ex :

- Conduite du changement - Amélioration continue – 6 Sigma - 

 

Les normes doivent se concevoir comme des exigences au sens de l’excellence et non comme un carcan qui ne serait que contreproductif !

 

Le système d’information est l’un des creusets de ce changement mais n’en reste qu’un outil, même s’il s’avère déterminant !

 

Ce type de projet peut notamment être réalisé dans le cadre d’une mission de management de transition. 

 

L’idée fondatrice pourrait-être de passer d’une politique de moyens, normative au sens carcan, à une logique de résultats, dans l’esprit innovation permanente !

 

 Voir : Aides ; Amélioration continue ; Business intelligence ; Conduite du changement ; Conformité ; Contrôle de gestion ; EMOFF-FFPM ; Exigences ; Fourniture d’Application hébergée ; Gestion globale de la performance/CPM ; Gouvernance des risques et conformités ; Habilitation ; Intelligence économique ; Management de projet ; Management de transition ; Management intelligent ; Normes ; Organisation ; Qualité ; Risques ; RSE ; SCORE ; Travail collaboratif ; Visite de terrain 

 

Voir aussi : 6 Sigma; AFNOR ; COSO ; ISO ;  ITIL/ITSM ; PMBOK ;

 

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 Infos :

-  Conférence du PMI® organisée par Axcion avec Team Up Consulting à l’AFNOR :

 Système de Management Intégré – SMI : Réve ou réalité ?

ou « Comment Arbitrer entre Hyperinflation Règlementaire ; Contraintes Techniques ; Aspirations Ethiques ; Objectifs Economiques et concevoir un Système d’Information efficient ?

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Team-UP Consulting : 1ère société de conseil certifiée ISO 20000-1 : 2005.

     Conseil, audit et Intégration en ITSM – Processus ITIL, ISO 20000, COBIT

 

Système de modélisation de la chaîne logistique des approvisionnemets

Système de modélisation de la chaîne d’approvisionnement/logistique = SCOR : Supply Chain Operations Reference Model

 

Le modèle « SCOR » est développé par l’association « SCC » Supply Chain Council.

 

Cette méthode qui est une forme de BPM (Business Process Management ) à pour objectif de définir une démarche, une modélisation des pratiques et indicateurs qui permettent de mesurer, évaluer la chaîne d’approvisionnements.

 

Le mode projet proposé est conçu en trois grandes étapes (Milestones) :

1) Etat de la situation : décrivant les processus en place et les modes de gestion. Cette étude est basée sur 5 points : la planification, l’approvisionnement, la fabrication, la livraison, les retours.

 

2) L’étalonnage (Benchmark) : qui consiste à comparer les pratiques des autres dont celles des concurrents.

 

3) L’application des « Bonnes pratiques » telles que définies notamment par la SCC et qui s’inspirent de la méthode japonaise Kanban et préconisait le recours à l’EDI pour les échanges de données (jusquà l’arrivée de l’eb-XML)

 

 Voir : EDI ; Approvisionnements ;Gestion de la chaîne d’approvisionnement (SCM) ; Kanban ; Mercatique ;

 

Système d’exécution des fabrications

- MES -

= Manufacturing Execution Systems - MES

 

 Voir : Plan industriel et commercial

 

Système d'exploitation

Système d’exploitation = Direct Operating System = DOS

 

C’est un logiciel qui coordonne, fait le lien entre, le matériel, les applications et l’utilisateur

 

Il gère essentiellement les processeurs et réseaux.

 

Exemples type de systèmes d’exploitation : DOS ; Windows ; Unix ; Mac ; OS400. 

 

 Voir aussi : Carte mère ; Mémoire(s) ; Réseaux ; BUS ; Pilote ;

 

T

 AFTE : Association Française des Trésoriers d’Entreprises.

T4M

T4M = Taux Moyen Mensuel du Marché Monétaire.

 

Calculé sur la base d’une moyenne du taux  pratiqués au jpour le jour, entre banque pour leurs besoins de refinancement.

 

 Voir : TEMPE ; Taux ; Marché ; Matif ; Option ;

 

Tableau de bord

= Dash board

Le tableau de bord désigne un ensemble d'éléments/critères/indicateurs, regroupés et qui fournissent une vision (chiffrée et graphique) dans le temps.

 

Un des exemples les plus sophistiqué : le tableau de bord équilibré, stratégique, prospectif = Balanced ScoreCard  Qui prend en compte différents axes d’analyse, indicateurs financiers et autres comme les données clients (internes ou externes) les processus dans le but de favoriser la prise de décision stratégique notamment en permettant de réaliser des simulations.

 

Ce type d'outil s'inscrit dans une démarche de Gestion Globale de la Performance (CPM) qui participe de la   business intelligence   = décisionnel, grâce notamment à la technologie "OLAP"

 

Attention : Ne pas confondre avec le

- « Rapport » qui est un compte rendu souvent agrémenté de visuels et autres tableaux de bord.

- « Report » Simple action de reporter ex : « Cumul », « Reprise de solde »

 

 Voir : Balancée âgée ; Carte stratégique ; COBIT ; Décisionnel ; Diagramme(S) ; Evaluation(S) ; GANTT ; Gestion Globale de la performance ; Indicateurs de Performances Clés ; OLAP ; OVAR ; PERT ; Reporting ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Tacite reconduction

Tiré du latin, tacite = Se taire.

 

La tacite reconduction c’est le renouvellement automatique du contrat à son terme en vertu d'une clause de tacite reconduction ou par la poursuite des relations contractuelles du simple fait qu’une volonté de dénonciation, résiliation, du contrat, ne s’est pas manifestée.

 

 Voir : Contrat ; Management de contrat ; Résiliation ; Résolution ; Révocation ad nutum ;

 

Tag

Tag = Patte, accroche, étiquette

 

 Voir : Mouchard ; Daslets ;

 

TAPI

 

 Voir : Interface de Programmation d’Application  - IPA

 

Target costing

 

 Voir : Méthode des coûts cibles 

 

Taux

= Rate  ; Tipo  ;

Le taux exprime un odre de grandeur en valeur absolue ou en pourcentage.

 

Taux sec (= Flat  ) ou sur période (= Prorata temporis) ;

 

Exemples de taux :

JJ = taux du jour le jour sur le marché entre banques ;

TMP = Taux moyen pondéré ;

Taux de change ;

TMO = Taux moyen des obligations ;

TIL = Taux d’intérêt légal ;

Taux des intérêts moratoires (voir NRE), 

TEG = Taux effectif Global ;

Taux de rebond et taux de mouchardage ;

TRAAB/N= Taux de rendement actuariel annuel brut/net ;

TRI = Taux de Rendement Interne ;

Taux d'usure (voir différents taux officiels),

etc.

 

 Voir : TAM ; T4M ; EONIA ; TEG (= Taux effectif global) ; Taux actuariel ; TEMPE ; TRS ; TMO ; Taux d'attrition ; Taux de marge ; Taux de rentabilité commerciale ; Taux de mouchardage ; Usure ;

 

Voir aussi : Agios ; Astreinte ; CGV-Conditions Générales de vente ; Escompte : Intérêts moratoires ; Marge(s) ; Modaraba ;

 

Taux actuariel

Le taux actuariel = Compound annual growth rate.

Permet de calculer une valeur du jour acquise ou payée dans le futur. (ex : intérêts payable en fin de période)

 

 Voir : Taux ;

 

Taux d'attrition

Le taux d’attrition = drop of 

Taux de chute d'un effort de promotion par rapport à celui qui le précède.  

 

Les clients qui délaissent une marque sont appelés « abandonnistes » = Churns  

 

 Voir aussi : Abandonniste ; Barattage ; Génération : BB, X, Y ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Mercatique ; Mouchard ; Effet d’usure ; Score d’appétence ;

 

Taux de capping

 

 Voir : Mouchard.

 

Taux de marge

Taux de marque

Taux de marge

- Taux de marge commerciale = Marging rate  :

C’est la marge commerciale exprimée en % du prix d’achat :  

               [(Prix de Vente ht – Prix d’achat ht) /  Prix d’Achat ht] X 100

 

- Le « Taux de marque » = Markup rate

C’est la marge commerciale exprimée en % du prix de vente :  

               [(Prix de Vente ht – Prix d’achat ht) /  Prix de Vente ht] X 100

   Le taux de marque est notamment utilisé pour définir la partie du prix d’un produit affectée au distributeur.

 

- Taux de marge sur la productivité du personnel   = EBE/Valeur ajoutée

 

 Voir aussi : Evaluation ; Excédent Brut d’Exploitation ; SIG ; Valeur ajoutée ; Marge(s)

 

Taux de mouchardage

 

 Voir : Mouchard.

 

Taux de rebond 

 

 Voir : Mouchard.

 

Taux de rentabilité commerciale

A la différence du taux de marge le taux de rentabilité commerciale s’apprécie en pourcentage du prix de vente.

 

 Voir aussi : Marge(s) ; Mercatique ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ; Taux de marge ;

 

Taux de Rentabilité Interne

 

- TRI

Aussi appelé : Taux de Rendement Interne  - TRI

Dans Excel on peut l’obtenir grâce à la fonction IRR= Internal Rate of Return

 

C’est un taux actuariel. Qui prend en compte l’investissement initial (I) et le prix de revente ou rachat (R) par rapport à la durée (1/n) qui les sépare. D’où la formule : (I/R) ˄ (1/n)

Selon les investisseurs, pour être acceptable, le taux de cette rentabilité interne annuelle doit être compris entre 25 et 50%.

  

Le TRI est particulièrement destiné à favoriser une prise de décision sur un projet d’investissement.notamment dans des opérations de haut de bilan (fusion, acquisition e : « REEL » ou d’introduction boursière)

 

C’est donc l’un des moyens d’évaluer une entreprise mais il ne doit bien évidemment par être le seul car il exprime surtout un « taux de rentabilité interne » plus qu’une valeur réelle comme l’exprimme la Valeur Actuelle Nette.

 

 Voir aussi : Analyse par les Options Réelles ;  Décisionnel ; EVA ; Evaluation ; Fusion acquisition ; Prix de transfert ; RCE ; REEL ; Retour sur investissement ; Taux actuariel ; Valeur industrielle ; VAN ;

 

Taux d’usure

 

 Voir : Usure

 

Tax wedge

 

 Voir : Ecart social du travail.

 

TAXI

La nomenclature TAXI répertorie les activités des entreprises conformément à leurs propres déclarations au Registre du Commerce.

 

10 000 000 d'annonces parues au Bodacc ont été compilées pour sa constitution, en 2001.

Une fonction de codification automatisée assure le traitement des annonces parues depuis au Bodacc ( 1 000 000 d'annonces/an ).

 

La codification TAXI plus complète que le code NAF et permet donc d’affiner les recherches et classements par activité

 

 Voir : NAF ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  EDD Toute la presse archivée : 40.000.000 de communiqués, des infos sociétés, scores, etc.

   Et consultez la nomenclature d’activités « TAXI »

 

TCN :

Titre de Créance Négociable

TCN = Titre de Créance Négociable :

Titre émis par une banque, une entreprise ou l'Etat contre prêt d'argent par un particulier ou une entreprise.

Son montant minimum est de 152.500 € et sa durée s'échelonne entre 10 jours et 7 ans suivant les supports.

 

Marché où l'on retrouve différents supports selon le statut de l'émetteur ex : Billet de Trésorerie pour les entreprises, BTN bons du trésor négociables et aussi BISF, BMTN, CDB.

 

 Voir : Marché ; Taux ; Options ; Garantie(s) ; Billet de trésorerie ; Trésorerie ;

 

TCO

 TCO : Total Cost of Ownership

 Voir : Coût Total de Possession   

Voir aussi : Retour sur investissement

 

TCP/IP

TCPIP = Transmission Control Protocol Internet protocol.

 

Suite de protocoles utilisés sur Internet comprenant fractionnement des messages, transmission par réseau (routage+contrôle) et utilisation d'adresses entre serveur distant + sûr que Net BEUI

 

 Voir : RTC ; SIP ; Transpac ;

 

TDFC

TDFC = Transmission de données financières et comptables à DGI

 

 Voir : EDI ; Télé déclaration ;

 

TDS

TDS :

Norme de transfert de données sociales.

 

 Voir aussi : net-entreprise ; Télé déclarations ; EDI ;

 

TDVM

Taxe Différentielle sur les Véhicules à Moteur :

"Fini l'achat de la Vignette, place à la déclaration TDVM"

 

Vous devez déposer la déclaration annuelle de TDVM depuis le 10 décembre 2005 (pour l'ensemble des véhicules composant votre parc automobile à la date du 1er décembre) et, le cas échéant, des déclarations trimestrielles (pour vos véhicules qui font l'objet d'une première mise en circulation ou cessent de bénéficier d'une exonération ou d'une dispense), accompagnées de leur paiement, auprès du service des impôts dont vous dépendez.

 

 Voir : TVTS ; Déclarations fiscales ; télé déclaration ;

 

Team building

 

 Voir : Management d’équipe   ;

 

Technique de concassage

C’est une méthode de résolution des problèmes connue sous l’acronyme : SCAMMPERR

Elle se décompose ainsi :

S : Substituer : Quel élément, vocable, concept peut en remplacer ou évoquer un autre ?

C : Combiner : Quels sont les éléments qui peuvent être associés pour optimiser les usages ?

A : Adapter : Quels autres concepts différents peuvent s’adapter ?

M : Magnifier : Quel(s) partie, élément, peut être une priorité, moteur, ou mis en évidence ?

M : Modifier : Qu’est ce qui peut être changé (défiition, fond, forme, etc.) ?

P : Produire : Existe-t-il d’autres utilisations possibles si on le modifie ?

E : Eliminer ou épurer : Qu’est ce qui peut être supprimés, réduit, etc. ?

R : Réorganiser : Est-il possible de structurer organiser autrement ?

R : Renverser : Est-il possible d’inverser des points de vue des processus (Ex pour transformer un risque en avantage) ?

 

 Voir : Amélioration continue ; EMOFF-FFPM ; Management de projet ; Management de risques ; Matrice d’affectation des responsabilités ; Plan de succession ; Transformation organisationnelle ; TRIZ ;

 

Technique de libération des émotions

Technique de libération des émotions = Emotional Freedom Technique

Pratique normalement thérapeutique qui à pour objectif d’évacuer le stress en associant une manipulation physique relaxante à une problématique émotionnelle.

 

C’est ainsi que dans certains pays il est fréquent de constater que des individus :

- S’isolent pour hurler y compris sur une représentation humaine ou pour pratiquer le Yoga ;

- Provoquent l’hilarité en riant de plus en plus fortement devant un miroir jusqu’à en avoir réellement envie !

- Vont se faire masser selon des techniques appropriées liées à la relaxation ;

- Etc ;

 

 Voir : Altermanagement ; Entraineur ; Ethologie ; Johari ; Management participatif ; Pression ;

 

TEG -TAEG

TAEG : Taux Actuariel Effectif Global = TIE : Taux d’intérêt économique.

 

Taux qui prend en compte non seulement le pourcentage concernant les intérêts d'un prêt, mais également l'incidence des frais d'actes et dits de dossier plus, le cas échéant, le coût de l'assurance liée à ce prêt.

 

La législation française impose à tout organisme de crédit de communiquer par écrit le TEG/TAEG lors de toute proposition de crédit à un particulier. 

Ainsi cette obligation permet, en notamment, la comparaison objective des offres concurrentes.

 

 Voir : Taux ;

 

TEI

 

 Voir : Coût économique global ; Retour sur investissement ;

 

Télé déclaration

Voir depuis décrets 27/12/01+loi Madelin 94 ; 20/03/95+loi 30/12/99 et décret oct. 2000

 

Depuis le 1er janvier 2007, les entreprises dont le CA ht est supérieurs à 760.000 euros seront obligées de télédéclarer la TVA.

 

Hors champs des obligations = choix volontaire soit global =EDIFACT, soit partiel (C'est à dire LF hors signature)

 

 Voir : EDI ; EFI ; 

 

Télétravail

Le télétravail s’est développé à partir de prestation de travail effectué essentiellement à domicile par des individus payés à la tâche. (Ex : Assemblage de pièces) Alors qu’une seule était salarié ce système faisait souvent travailler plusieurs personnes d’une même famille et parfois même des enfants en violation totale de la législation sur le travail. Ce système à en ravanche permis à de nombreux handicapés de pouvoir exercer une activité sans avoir à se déplacer.

Avec l’avènement de l’informatique et des outils de communication et surtout Internet de nombreux métiers se sont développés tant pour des salariés que des travailleurs indépendants.

 

Si les nombreux attraits tant pour les individus (ex : temps partagé, qualité de vie) que pour les entreprises (Ex : Réduction des locaux) conduit au développement de ce concept il ne faut cependant pas être simpliste dans son acception.

En effet il ne faut pas confondre ou réduire le télétravail à d’autres concepts tels que mobilité, sous-traitance, externalisation, etc. même si ceux-ci sont souvent associés.

 

Aujourd’hui le télétravail s’est imprégné de notions qui peuvent se conjuguer selon chaque cas et acteurs comme :

- Travail collaboratif et réseaux ex : Internet, ASP, VPN ;

- Performance et baisse des charges ex : Tableaux de bords, taxe locales ;

- Autonomie et qualité de vie ex : Temps partagés, transports ;

- Efficience et Développement Durable ex : Performances économiques, sociales et environnementales ;

- etc.

 

Ainsi ce choix doit être murement réfléchi et analysé par toutes les parties concernées et selon leur statut social et fiscal (individus, petites et grandes entreprises, collectivités et associations) car pour les individus il réclame de pouvoir assumer les contraintes liées à l’autonomie dont la solitude et pour les entreprises de renforcer le management d’équipe pour maintenir la cohésion indispensable à ses impératifs de gestion.

 

Ce type de choix doit donc ce concevoir en mode projet pour avoir un maximum de chance de réussite.

 

En revanche dans un contexte de mondialisation de l’économie ce concept permet non seulement de favoriser la redynamisation de zone défavorisées, rurales dans les pays industrialisés. Il favorise également la qualité de vie en offrant une gestion optimisée des temps de travail, la réduction des coûts de transports et de la consommation d’énergie que cela implique

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Aptitudes ; Compétence, Externalisation ; Habilitation ; Portage ; Réseau ; Handicap ; Fourniture d’application hébergée ; Gestion Globale de Performance ; Management d’équipe ; Mentor ; Ressourcess humaines ; Sous-traitance ; Statut ; Subrogation ; Temps Moyen d’attente ; Temps Moyen de Manipulation ; Travail collaboratif ; VPN ;

 

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 Infos :

-  Conférence Synertal : Télétravail et performance des entreprises ;

 

TEMPE

TEMPE = Taux Européen Moyen Pondéré au jour le jour en Euro (= Eonia  ).

 

Ce taux calculé par le SEBC (Système Européen de Banques Centrales) est pondéré par les montants des transactions. Il est déterminé par les échanges entre les banques du panel EURIBOR.

 

A chaque fin de mois est établi le T4M = Taux Moyen Mensuel du Marché Monétaire.

 

Le TAM est le taux annuel monétaire avec intérêts composés.

 

 Voir : Euribor ; Taux ; Tibeur ;

 

Temps Moyen d’Attente :

 

TMA

= Average Speed of Answer 

Le Temps Moyen d’Attente : TMA,

Attention : ne pas confondre avec : TMA = Tierce Maintenance Applicative

désigne une pratique professionnelle destinée à mesurer le délai qui s’écoule entre une demande de mise en contact et la mise en relation entre le demandeur et un opérateur de l’entité sollicitée.

Ainsi de nombreuses entreprises peuvent améliorer leurs qualités de services ex :

- L’accueil téléphonique, au guichet ou à une caisse ;

- La déperdition de temps lors de campagne de prospection téléphonique.

 

De plus en plus sont mises en place différentes pratiques selon les métiers :

- Méthode dite de « débordement » qui consiste à transférer les appels ou personnes vers un autre numéro de téléphone ou un autre guichet/caisse.

- En matière de téléphonie les centres d’appels utilisent notamment une technologie dite « Distribution Automatique des Appels (= Automatic Call Distribution - ACD) pour ventiler les appels entrants en fonction des présences et charges de travil des collaborateurs.

- Les Temps d’attente sont bien évidemment largement prise en compte dans les processus de production notamment entre le lancement d’un ordre de fabrication et son exécution tant pur des question d’approvisionnement, en matière, de la chaine de production que de la répartition des temps de travail et d’attente entre différentes étapes et changement de séries, etc.

 

 Voir : Appels alternatifs ; Centre d’appels ; DQP ; Evaluation ; Gestion Globale de la Performance ; Mercatique ; Qualité ; Temps Moyen de Manipulation ; Visite de terrain ; Télétravail ; Théorie des contraintes ; Travail collaboratif ;

 

Temps Moyen de Manipulation :

 

TMM

Le Temps Moyen de Manipulation  = Average Handle Time : AHT 

TMM : Désigne une pratique professionnelle destinée à mesurer le temps passé par un collaborateur pour une tâche donnée.

Outre le fait de favoriser la mesure des performances, abscences, cadences, cette donnée permet de plus en plus de gérer l’affectation des tâches en fonction de nombreux aléas et également d’améliorer les conditions de travail dont la sécurité ainsi que la qualité des produits et services.

 

Cette pratique, à l’origine essentiellement, du domaine de la production s’est largement développée avec l’avènement des TICC et plus particulièrement pour les services externalisés.

Ainsi les centres d’appels et outils de GRC utiolisés pour le télétravail en sont des exemples récents.

 

 Voir : Appels alternatifs ; Centre d’appels ; Dernier planificateur ; DQP ; Evaluation ; Gestion Globale de la Performance ; Qualité ; Temps Moyen d’Attente ; Télétravail ; Théorie des contraintes ; TICC ; Visite de terrain ;

 

Temps Objectif de Reprise

TOR : Temps Objectif de Reprise  = RTO : Recovery Time Objective

Cette expression est particulièrement utilisée pour déterminer la durée maximale d'interruption admissible d’un service (ex : informatique : Réseau, serveur, PGI ou autre application) mais aussi d’une unité de production, d’un centre de coûts ou de profits, etc.

 

Il est en effet primordial de mesurer les effets directs et induits d’une telle interruption pour connaître le degré de dépendance d’une entité et ainsi anticiper sur les mesures à prendre pour éviter ces interruptions.

 

C’est ainsi que de nombreuses ont instauré dans leur management de risques un Plan de continuation ou de reprise d’activité qui implique de déterminer , le cas échéant le Point Objectif de Reprise, les processus d’alerte, de correction des incidents, etc.

 

 Voir : Maintenance ; Management de risques ; PCA-PRA ; Point Objectif de Reprise ; Point Unique de Faiblesse ; Qualité ; Théorie des contraintes ;

 

Temps parcelles

« Temps parcelles »  « Time boxing »  Peut aussi désigner une « opération coup de poing »:

 

Ce concept évoque une notion de durées affectée à plusieurs périodes, phases, étapes, s’incrivant dans un tout.

 

C’est notamment le cas de cercles de réflexion, de commissions ou missions qui bien que limités à l’étude d’un sujet, la réalisation d’une tâche, doivent s’imbriquer dans un ensemble qui s’en trouvera enrichi, optimisé, permettant notamment, de mieux informer, de faciliter les décisions cohérentes, de favoriser la réalisation d’un projet.

 

La pratique peut se retrouver dans l’élaboration, la conception d’un cahier des charges y compris en R&D, dans la mise en place d’un système d’information, de la réorganisation d’une entité, etc.

.

Dans certains domaines liés à l’innovation ,on peut concevoir de limiter dans le temps certaines expériences  à la fois pour des questions de délai global mais aussi de budget, sans pour autant mettre l’ensemble d’un projet en péril. C’est notamment le cas des « Plans d’expériences »

 

Cest bien évidemment souvent le cas dans la gestion de portefeuille de projets.

 

Prenant en compte des individus dans leurs spécificités et environnement, cette démarche, holistique, favorise le travail collaboratif, le manageme,t intelligent.

 

C’est donc une bonne pratique de répartition des tâches et responsabilités pour limiter des risques ou déceler des opportunités.

C’est aussi un formidable outil de la motivation car il permet à un groupe de se satisfaire d’objectifs multiples et rapides atteints lors de différentes étapes avant de parvenir au but final.

 

On retrouve cette terminologie dans les concepts de management de projet plus particulièrement agile et dans les pratiques de transformation organisationnelle.

 

 Voir : Cercle de réflexion ; Dernier planificateur ; Holistique ; Management d’équipe ; Management de projet ; Plan d’expérience ; Roue de Wallace ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ;

 

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 Infos :

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

 

Tenségrité

Terme aujourd’hui utilisé en architecture et de plus en plus étudié en biologie et particulièrement sur les cytosquelettes était aussi un concept virtuel dit de point d’assemblage de l’humain décrit par les indiens du Mexique il y à 10.000 ans.

 

La tenségrité c’est :

-  Matériellement le juste équilibre entre des forces de compression et de tension des éléments constituant un ensemble ;

- La convergences des « Points d’assemblage sensoriels» des individus leur permettant esemble de tendre vers l’efficacité à moindre dépense d’énergie que s’ils étaient seuls.

 

Ce que nous pourrions retenir par principe adaptable au management :

- Réjoint, par les aspect sensoriels, les concepts aujourd’hui biens connus d’intelligence collective, inventive,  managériale…

- Met en évidence que la collaboration plus que la simple coopération produit des effets exponentiels profitables à l’efficacité…

- Ne serait-ce pas une forme de Management Agile ? 

 

 Voir : Ethologie ; Heuristique ; Intelligence ; Management d’équipe ; Management Intelligent ; Organisation ; Pression ; Travail collaboratif ; 

 

Tenstep

TenStep est une méthode de management de projet référencée par le PMI® – Project Management Institute.

C’est un modèle pour appliquer les processus alors que par comparaison le PMBOK® met à disposition des informations mais pas des procédures.

 

 Voir : Evaluation ; Management de projet ; Norme(s) ; Qualité ; Organisation ; Exigence ; Performance ; Système de Management Intégré ;

 

   Voir aussi : 6 Sigma ; CMMI ; COBIT ; COSO ; GPX ; HALO ; ISO ; ITIL ; OPM3 ; PMBOK ; SMP2; Prince2 ;

 

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 Infos :

-  Voir le site de l’association « PMI® - Project Management Institute » :

  Consulter le corpus des connaissances « PMBOK » et choisissez votre chapitre de proximité pour assister aux réunions à thème.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  TenStep : est une compagnie multinationale de Conseil et de Formation en Gestion de Projet

 

Tests

Test = Toute circonstance qui permet d’éprouver, de mesure, quelque chose.

Aujourd’hui, grâce aux développements de l’électronique et d’Internet le concept de « Jeux Sérieux » = Serious Game à été intégré dans de nombreux concepts de formation et de test de connaissances = Performer et s’amusant ou concevoir de nouvelles applications comme c’est déjà le cas avec ce lexique ! 

 

Testez vos connaissances :

Que signifient : « 100ème singe » - « Effet de singe » - « 6 chapeaux » - « Effet papillon » - « Yeti » - « Chaordique » - « Paradoxe d’Abilene » - « EFM » - « QCD » - « Stellage » - « RENI » - « Sureté négative » - « Taxi » - « TRIZ » - « MARC » - « Clause léonine » - « Client riche » - « VAN » - « XSS » - « ACD » - « Karôshi » - « XRM » -

 

Quelles sont les différences entre : « Externalisation et sous-traitance » - « Document numérique et dématérialisé » - « EMOFF-FFPM » - « REEL et LMBO » - «  Stockholder, Stakeholder et shareholder » - « Coach, meneur et mentor » -  « EPCI et EPIC » - « e-place, e-commerce et e-procurement »

 

Et toujours à partir de ce « lexique d’AXcion » accédez à de nombreux Qcm et autres questionnaires, diagnostiques :

 

-  Testez gratuitement et faites progresser vos pratiques d'Intelligence Economique !

           Réalisé par CRCI RAIntelleco - Drire

 

- Audit Flash "Green IT" __ Développement Durable :

5 minutes / 20 questions", afin de mesurer le degré de maturité de votre entreprise et/ou collectivité !

 

-  Accédez gracieusement au jeu de simulation du management de projet et vivez une formation interactive !

-   Dubly-Duval Expert Poste Clients : Faites le Diagnostic Gratuit de votre Poste Clients !

- Capability Snapshot : Evaluez votre organisation – gratuit –

Comparez votre entreprise à une organisation apprenante, performante et agile.

 

-  Management : Connaissez-vous mieux grâce à notre batterie de tests !

 

-  ADEME : Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie présente dans toutes les régions : Agir pour le Développement Durable, le management de l’environnement et la maîtrise des énergies, gavoriser la R&D, etc.

Et découvrez les jeux et tests en ligne : Apprendre à protéger l'environnement en s'amusant.

 

-  Mon QI.com : Tests gratuits de QI et psychotechniques

 

 Voir aussi : Aptitudes ; Communication ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; FOAD ; Intelligence ; Portrait chinois ; QCM ; Ressources humaines ; Supposition ; Test d’aperception thématique ;

 

Test d’aperception thématique

 

 Voir : Evaluation ;  Intelligence ; Portrait chinois ; Sémiotique ;

 

Textmining

 

 Voir : Analyse textuelle

 

TGI

 

 Voir : Tribunaux

 

Théorie

 

 Voir les différents termes liées aux Théorie(S) ;

Théorie de l’agence ; Théorie de l’enracinnement ; Théorie de résolution des problèmes d’invention,– innovation - TRIZ ; Théorie des contraintes ; Théorie des signaux ;

 

Voir aussi : 100ème singe ; Intelligence ; Portrais chinois ; Syndrome du survivant ;

 

Théorie de l'agence

La théorie de l’agence se rapporte à l’analyse de cohérence et méthode pour faire converger les positions des mandataires et mandants qu’ils soient financiers ou de l’organisation.

Les coûts et déperdition d’énergie, consécutifs aux divergences d’intérêts entre les partenaires de l’entreprise qu’ils soient détenteurs de parts/actions, créanciers, ou managers/dirigeants, sont préjudiciables à l’entreprise.

 

Avec la mondialisation et le développement des marchés financiers, il est encore plus difficile de régler ces problèmes de divergences notamment du fait que les intérêts des actionnaires sont parfois incompatible avec les choix industriels et la politique d’investissement.

Cette théorie

 

 Voir : Actionnaire ; Aptitudes ; Dépositaire ; Effet GVT ; Effet noria ; Ethologie ; Habilitation ; Loi de Parkinson ; Mandat ; Manager ; Plan de succession ; Ressources humaines ; Théorie de l’enracinement ; Théorie des signaux ; Transformation organisationnelle ; Travail collaboratif ; Visite de terrain ;

 

Théorie de l'enracinement

La théorie de l’enracinnement repose essentiellement sur le fait qu’un individu et particulièrement un manager, dirigeant cherche à se rendre irremplaçable, ou incontournable par sa position, pour empécher certaines évolutions, actions de contrôle, etc.

 

Remarque :

Ce type de comportement peut être gravement préjudiciable à l’entreprise, mais aussi aux actionnaires.

C’est pour cette dernière raison qu’il est parfois évoqué par ces derniers alors que les choix du dirigeant peuvent être justifiés par des intérêts industriels …

 

Deux solutions peuvent être envisagées :

- Si cette personne possède des aptitudes et compétences mais aussi des qualités pédagogiques l’orienter vers un rôle de mentor peut servir de nombreux intérêts sans créer de conflit ;

 

- Si ce responsable de haut niveau perturbe les performances de l’entreprise, il est possible de passer par un manager de transition pour structurer rapidement le changement.

 

 Voir : Actionnaire ; Altermanagement ; Aptitudes ; Comportement ; Dépositaire ; Effet GVT ; Effet noria ; Ethologie ; Johari ; Loi de Parkinson ; Management de transition ; Manager ; Mandat ; Mentor ; Plan de succession ; Ressources humaines ; Théorie de l’enracinement ; Théorie des signaux ;

 

Théorie de résolution des problèmes d’invention – innovation

 

 - TRIZ -

Théorie de résolution des problèmes d’invention et d’innovation  

Acronyme russe = TRIZ 

= Theory of inventive problem solving

 

Cette méthode à été définie en 1946 par un ingénieur de la marine Russe et seulement révélée en 1990 lors de l’éclatement du système soviétique.

 

Proche de l’analyse de la valeur elle est basée sur environ une quarantaine de principes.

Elle s’appuie aussi sur la gestion des connaissances, dans des domaines techniques, pour répondre à l’expression des besoins.

La méthode TRIZ est particulièrement destinée à faciliter l’analyse fonctionnelle pour aboutir dans des démarches de recherche et développement afin de créer de nouveaux produits, servir des exigences (Requirement) d’évolution de la qualité, etc.

La méthode s’attache essentuiellement à :

- La résolution des problématiques quelles soit sur un système ou un produit ;

- La prévention des dysfonctionnements ;

- La veille (ex : Brevets) et la proposition de solutions techniques/technologiques.

 

Des logiciels spécifiques ont été développés pour favoriser la créativité dans une démarche de gestion projet. Il est ainsi plus aisé de poser et redéfinir le problème en identifiant les contraintes (39 paramètres) et contradictions, etc. pour aller vers une solution finale idéale.

 

Les applications aux domaines du génie industriel sont particulièrement adaptées aux activités mécaniques et notamment dans l’automobile et la machine outil.

 

Certaines aides peuvent permettre à des entreprises innovantes d’acquérir ces logiciels.

 

 Voir : 5M ; 5 pourquoi ; 6 sigma 8D ; Aides ;  Analyse par les Options Réelles ;  Brevets ; CMMI ; DMAIC ; EMOFF-FFPM ; Innovation ; Management de Projet ; Management des connaissances ; Management participatif ; Qualité ; SIAD ; Technique de concassage ; Théorie des contraintes ; Vielle ;

 

Théorie des contraintes

 

La Théorie des contraintes  = TOC : Theory of constraints   :

Postulat selon lequel il faut maitriser les goulots d’étranglement (= bottleneck ) qui limitent la performance.

Favoriser ainsi l’amélioration continue, par l’intégration, l’exploitation ou la résolution des contraintes, permet de tendre vers l’efficience qui aboutira à la pérennité des activités et profits d’une entité.

 

Ces contraintes restrictive de performance sont des éléments à identifier notamment en analysant les processus y compris pour prendre en compte les tampons (= Buffer )  entre différentes tâches, étapes. Car souvent ceux-ci ne sont pas inclus et que ces passages de relais prenent toujous un certain temps !

 

La définition des risques dans la chaine critique permet d’optimiser l’échéancier d’un projet notamment en matière de temps et coûts !

La chaine critique prend en compte les tâches mais également les ressources en considérant leurs dépendances alors que le concept de chemin critique ne prend en compte que les dépendances entre les tâches.

 

Cette théorie des contraintes est appliquée à de nombreux domaines comme :

 

- Evidemment à la Production ou il faut porter l’attention en priorité sur ces points faibles tant humains que mécaniques pour favoriser l’amélioration de toute une production. La pratique des visites de terrain et de plan d’expérience peut aider à identifier ces contraintes ;

 

- Management de Projets par la chaine critique (CCPM). Notamment en s’attachant à l’identification des points faible d’une entité de ses pôles et acteurs ;

 

- En Finance pour réduire les charges d’exploitation, réduire les stocks et augmenter les produits issus des ventes. Les nouvelles pratiques du credit management sont empruntes de ces pratiques.

 

- Les Stocks et autres charges d’exploitation le management de la chaine logistique va par exemple s’attacher à optimiser les approvisionnements, réassortiments, plutôt que de respecter scrupuleusement un prévisionnel

d’achats de produits.

 

- Les stocks comme les charges d’exploitation étant concernés la gestion de la chaine d’approvisionnement s’inspire fortement de la théorie des contraintes.

 

- Le Système d’information sera lui aussi évidemment l’object d’une attention particulière. L’une des stratégies pourra être d’adopter une démarche SMI –Système de management intégré pour tendre vers l’efficience.

 

- Le Management de Transition au-delà des sujets précités qu’il aura à traiter, s’intéressera  également à l’incidence des investissement en matière d’impact sur l’organisation et les  résultats  ;

 

Attention : Il ne faut pas confondre contraintes et exigences !

 

 Voir : 3M ; 8D ; Aléa ; Amélioration continue ; Chaordique ; Chemin critique ; Conduite du changement ; Credit Management ; Dernier planificateur ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; EMOFF-FFPM ; Exigence ; GANTT ; Gestion de la chaine d’approvisionnement ; Juste à temps ; Logistique ; Loi de Parkinson ; Management de projet ; Plan d’expérience ; Processus ; Production au plus juste ; SMART ; Système de management intégré ; Temps Moyen d’attente ; TRIZ ; Visite de terrain ;

 

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 Infos :

- Communiqué ProCC Conseil : La chaine critique, comment arriver à casser la boucle infernale !

 

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

- GBP-LPM = Guide des bonnes pratiques en Lean Project Management.

                         Annexe   8 : Théorie des contraintes = TOC : Theorie Of Constraints 

                         Annexe 20 : Chaine critique  = Critical chain

            Réalisé par le « Groupe de Réflexion Lean PM »

 

Théorie des signaux

La théorie des signaux est basée en grande partie sur la communication entre dirigeant et actionnaires qui ne disposent pas forcément des mêmes informations.

 

Ainsi la question qui se pose est de savoir si l’information transmise par les dirigeants est juste ou volontairement erronée dans le but d’influer sur le comportement des investisseurs et détenteurs en capital.

 

 Voir : 100ème  singe ; Actionnaire ; Analyse transactionnelle ; Communication ; Dépositaire ; Ethologie ; Johari ; Manager ; Mandat ; Proxémie ; Théorie de l’agence ; Théorie de l’enracinement ;

 

TIBEUR

Tibeur : Taux InterBancaire offert en EURo. = EURIBOR  

 

Taux du marché monétaire européen entre la cinquantaine de banques qui constitue ce panel.

 

 Il existe plusieurs périodes de référence pour le TIBEUR exemple à 1, 3, 6 et 12 mois.

Ce référentiel a remplacé le TIOP coté à Paris (PIBOR ) Objet : RE: Cpte rendu première rencontre Groupe de Réflexion 'Lean'

 

 

 Voir : Taux ; TEMPE = EONIA ;

 

TICC

TICC : Technologie de l’Information de la Coopération et des Connaissances

Cette expression est issue de l’évolution des NTIC qui n’étant plus nouvelles sont devenues TIC, puis TICC.

 

TICE : Correspont à l’enseignement et notamment à la FOAD.

 

Ainsi cette désignation intègre la pratique du travail collaboratif, du partage des connaissances et des nécessités liées à la communication et la mobilité.

Cependant l’exercice de ces pratiques doit toujours se faire dans le respect de la protection des données tant relatives à lavie privée que pour des questions de sécurité.

 

 Voir : CRM/GRC ; EFM ; FOAD ; Intelligence économique ; LCEN ; Mobilité ; SGBD ;

 

       Voir aussi : GPRS ; Edge ; UMTS ; HSDPA ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

- BlasCom IT Conseil et ingénierie TICC : Audit, migration, architecture, intégration, management de projet - Réseau informatiques et télécoms : LAN/WAN ; VioP ; VPN ; etc.

 

Tiers de confiance

En France un tiers de confiance est un organisme habilité par la DCSSI- (Direction central de la sécurité

des systèmes d'information dépendant du ministère de la défense et selon des critèrestechniques harmonisés au niveau européen) à définir, contrôler, diffuser, des procédures et moyens techniques relatifs à l’utilisation des certificats et signatures électroniques basées sur le principe des clés publiques.

 

Bien que la la LCEN ne mentionne pas la terminologie « Tiers de confiance » on peut les identifier selon leurs domaines d’activités :

- Autorités de certification : Chargée de la politique de certification

- Autorité d’enregistrement : Chargé de d’identifier les détenteur de signatures électroniques

- Opérateurs de certifications : Chargés de mettre à disposition et de gérer les certificats électroniques

 

 Voir : Autorité de certification ; Certificat numérique ; EDI ; Facture dématérialisée ; LCEN ; Management de contrats ; Signature électronique ;

 

Time boxing

= Action coup de poing  Appelé aussi « Temps parcelles »

 

 Voir : Management de projet ; SMART ; Temps parcelles  ;

 

Time to market

 

– TTM

Time To Market : TTM = Temps de Mise sur le Marché : TMM.

 

 Voir : Juste à temps ; Management de projet ; Management du cycle produit ; Mercatique ;

 

Tiré –Tireur

- Tiré = Drawee  ; Librado  Débiteur qui doit payer un effet de commerce, émis par lui ou par le tireur.

Etablissement financier sur qui est demandé le paiement lors de l’émission d’un chèque.

 

- Tireur = Drawer  ; Librador  ; Emetteur d’un effet de commerce ou d’un chèque.

 

 Voir : Acceptation ; Accipiens ; Aval ; Chèque ; Créancier ; Débiteur ; Effet de commerce ; Endos ;

 

Titre

Plusieurs acceptions pour « Titre » ex :

 

- Boursière :

 Voir : Action ; Fiduciaire ; Marché(s) ; Obligation ; PAMP ; Propriété ; Sicav ; TCN ;

 

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- Professionnelle : Distinction ou reconnaissance basée sur un rang, une fonction, un grade, un diplôme, etc. et notamment pour ce qui concerne certaines activités réglementées.

 Voir : Aptitudes ; Compétences ;

 

Titrisation

 

La titrisation est une procédure s'appuyant sur les Fonds Communs de Créances permettant de transformer une créance de bas en haut de bilan à des fins de financement, par cession.

Ce FCC est une forme de SPV = Special Purpose Vehicule permettant la mise en place d’un financement structuré.

 

Ce mécanisme de la titrisation offre une alternative aux solutions de refinancement du crédit clients d'un groupe.

Cette solution peut s'avérer beaucoup plus rentable que le crédit bancaire sous toutes ces formes, surtout en prévision des effets des nouveaux accords de Bâle II qui vont avoir une incidence sur l'offre de crédit bancaire.

 

Cette rentabilité relève aussi du fait que les entreprises en ayant recours à la titrisation cèderont sur le marché un lot de créances (au moins 40m€) d'un groupe d'entreprises (Mère et filiales souvent réparties sur plusieurs régions), donc pour les financeurs un risque mutualisé adossé à une diversification des débiteurs plutôt que sur un seul.

.

Enfin, pour le cédant, le fait de regrouper les encours de plusieurs sociétés d'un même groupe génèrera des économies de gestion de la trésorerie et de meilleurs conditions de refinancement compte tenu du vieux principe de diversification des risques et du poids plus conséquent proposé au marché y compris pour négocier avec les assureurs crédit.

 

Avec l'évolution des ratios de liquidité des banques Bâle II, le crédit risque de devenir plus rare et aussi plus cher.

La titrisation est une alternative qui peut s'avérer intéressante à plus d'un "Titre" !

 

Contrairement à des idées reçues - ou plus exactement données par ceux ont des comportements déviants à cacher – la titrisation est un excellent moyen de financement, tant que les créances concernées n’ont pas été pourries par des procédés malhonnêtes conçus, à dessein, par des groupes d’individus qui en conséqence devraint être poursuivis, notamment, pour association de malfaiteurs.

« Ce n’est pas l’arme qui fait le meutrier… »

En effet le concept de titrisation releve des principes du financement structuré dont l’un des objectifs est la réduction des risques.

 

 Voir aussi : Analyse par les Options Réelles ;  Bâle III ; Cavalerie ; Cession ; Cession de créance ; Credit Management ; Financement structuré ; Risques ; Window dressing ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

TLS :

Transport Layer Security.

TLS : Transport layer security = Couche sécurisée "encapsulée".

Anciennement SSL. (= Secure Sockets Layers  ) Système de transaction sécurisé mis au point par Netscape pour des paiements en ligne (apparition d'une icône = cadenas et l'URL fait apparaître un "s" ex : https)

 

Cette couche supplémentaire à d'autres comme le VPN permet de sécuriser les transmissions d'information sensibles et aussi les transactions par un système de chiffrage-cryptage basé sur une authentification de "certificat" et de clés de session permettant les échanges de données.

 

 Voir aussi : Open PGP ; Réseaux ; Réseau  Privé Virtuel ; TCP/IP ;

 

TMA :

Tierce Maintenance Applicative

ATM 

La TMA : Tierce Maintenance Applicative est une prestation réalisée par un autre professionnel que l’éditeur d’une application ou celle présente dans une entité et développées par elle-même.

 

Attention : Ne pas confondre avec TMA = Temps Moyen d’Attente

 

 Voir : Externalisation ; Maintenance ; Temps Moyen d’attente ;

 

TMO

Taux Moyen de rendement des Obligations. – TMO  

 

Ce taux est calculé sur la moyenne des taux moyens mensuels de rendement à l'émission ou au règlement des emprunts garantis par l'Etat et assimilés. Il concerne les obligations émises à plus de 7 ans (taux long terme).

 

 Voir : Taux ;

 

Tontine

 Clause d’accroissement ;

 

 Voir : Clauses ;

 

Top down

Top down :

Principe très utilisé notamment en gestion de projet pour définir les initiatives émanant de la direction générale ou d'un comité de direction pour associer les opérationnels dans le développement d'une idée ou d'un concept.

 

Ce même principe est également de plus en plus développé dans les activités liées au processus de décision.

 

Le phénomène inverse est appelé "bottom up"  .

 

 Voir : 6 sigma ; Bottom up ; Décisionnel ; Gestion électronique de processus ; Habilitation ; Management de projet ; Management intelligent ; Mandat ; Stratégie Océan Bleu ; Tableau de bord prospectif–BSC ; Travail collaboratif ;

 

TPE

En France on utilise le vocable TPE = Très Petite Entreprise car "Micro" est réservé à un statut fiscal.

 

Classement européen de catégorie d'entreprise = une micro entreprise est le concept d'une entité économique (dont association) constituée au maximum de 10 personnes et dont le CA ou total Bilan ne dépasse pas 2M€

 

 Voir aussi : Auto-entrepreneur ; ETI ; ETM ; Formes juridiques ; Micro entreprise ; NACRE ; PME ; Statut ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  Ma Création d’Entreprise.fr :

Centre d'Accompagnement et de Formation des Entrepreneurs :

    Formations modulaires et à distance : Démarrage, marché, plan d’affaires, statut…

    Espace affaires : Créer, Céder, reprendre… Assistance, et conseil 

 

TPMC

Transaction Par Minute de type Commercial.

Pour mesurer les performance d’un parc informatique le critère TPMC est le standard qui compare les coûts par unité d’œuvre = Transaction par minute (= Puissance de calcul)

 

 Voir : Evaluation ;  Mercatique ; Points de fonction ;

 

TQM

 

 Voir : Qualité ;

 

Tracking web

Tracking web = Mouchardage web

Système de mesure d’une campagne mercatique par Internet qui permet de Traquer les internautes à l’aide de mouchards (Cookies, tags et logs).

 

 Voir : Mercatiqur ; Mouchard

 

Trademark

Trade marketing

 

 Voir : Marque de fabrique  .

 

Trader

Trader = Opérateur ; Négociateur.

 

 Voir : Opérateur.

 

Trame

Trame = Frame.

 

Lot ou paquet d'informations destiné à circuler en réseau et qui comporte des instructions dont des éléments de contrôle.

 

 Voir aussi : Application déportée ; RAS ; Réseaux ;

 

Transbordement

 

 Voir : Débordement.

 

Transfert

La notion de transfert est basée essentiellement sur le déplacement que ce soit d’un bien, droit, risque, service, etc ;

 

Exemples :

 

a) Lorsqu’il y a virement de fonds d’une entité vers une autre en monnaie scripturale ou fiduciaire, il y a transfert. Peu importe la nature de celui-ci.

Avec le temps les banquiers ont fait évoluer les méthodes et moyens en utilisant des systèmes, d’identification, d’informations sécurisés pour réaliser ces transferts, qu’ils soient de réseau ou technologiques.  (Lettre de créance ; Clé télégraphique, Swift ; ETEBAC, EDI ; etc.)

 

b) Lorsque le créancier fait une cession de créance notamment sans recours, il y a aussi transfert de risques du cédant au cessionnaire.

 

c) En matière de haut de bilan on parle aussi de transfert quand un bien, un service ou un droit se déplace entre deux entités juridiques rattachées à un groupe.

Ceci n’est pas sans poser des problèmes financiers (évaluation), juridiques (affectation), surtout lorsque les entités concernées se situent géographiquement dans des lieux différents (Droits différents). Quid de l’évaluation ?

Voir « Accord sur les Prix de Transfert »

 

Attention :

- Quand il y a transfert ce n’est pas obligatoirement à l’issue d’une transaction, à l’inverse il y a quasiment toujours transfert suite à une transaction ! Notamment celui des droits attaché au bien concerné (meuble ou immeuble, corporel ou incorporel)

 

Attention : Ne pas confondre le transfert et la portage d’actions

 

 Voir : Cession de créance ; Cession progressive du captal ; Droit(s) ; Evaluation ; Fiduciaire ; Filiale ; Holding ; Prix de transfert ; Propriété ; Risques ; Trésorerie d’échelle ;

 

Transformation organisationnelle

La Tranformation organisationnelle   Correspond au concepts de Change-boxing et Lean Project management    

 

C’est une démarche de conduite du changement qui utilise les principes de :

     - Management de projet agile = Gestion de projet extrême : GPX

     - Management au plus Juste = Lean Management

 

Appliquée à l’organisation, elle a l’avantage d’harmoniser les pratiques de management de projet (= Equipes intégrées au projet - IPT) par rapport aux besoins et moyens de l’entité (= Vision Client) par exemple en éliminant les étapes inutiles, en donnant la priorité à celles qui ont le plus de valeur ajoutée => Gains de temps et réduction des coûts !

 

Pour s’adapter aux situations « Chaordique » rencontrées, cette démarche peut intégré les pratiques de mesure de la performance de projet telles que « Management de la valeur acquise (EVM) et du Reste à faire (EVR) » de la « Gestion de la chaine critique et TOC »

 

Voir aussi le concept : « Change-boxing » = Opération coup de poing 

C’est une démarche de gestion de projet au plus Juste = « Lean project Management »  appliquée à l’organisation.

Cette approche, comme beaucoup d’autres, permet aussi d’introduire la notion « Equipes projet Intégrées = Integrated Project Teams  Ces parties prenantes internes (ADV ; Commercial ; Production…) et externes (Fournisseurs ; Clients…) vont contribuer à la solution finale efficiente !

L’aboutissement de cette pratique c’est la Transformation organisationnelle 

 

Enfin, sans vouloir offenser Einstein et voulant rendre hommage à Jacques POMMIER et Glaudius BOUCHON la formule de l’efficacité serait :

   E = C.M2 : L’ efficacité est égale à la compétence multipliée par le carré de la motivation !

 

 Voir :  3M ; 8D ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Analyse par les Options Réelles ;  Chaordique ; Conduite du changement ; Dernier planificateur ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; Equilibration ; Evaluation ; Excellence Opérationnelle ; Gouvernance ; HALO ; Heuristique ; Loi de Parkinson ; Management de la valeur acquise ; Management de projet ; Management intelligent ; MOSI ; Organigramme de tâches ; Organisation ; Plan de succession ; Poka-Yoké ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Qualité ;Roue de Wallace ; Serendipidity ; Technique de concassage ; Temps parcelles ; Théorie des contraintes ; Travail collaboratif ;

 

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 Infos :

- Conférence « Lean Project Management » : Quels sont les Facteurs Clés de Succès des Projets de Transformations Organisationnelles, en mode Agile et/ou Lean ?

 

- La Gestion de Projet ‘LEAN’ = Article de Claude EMOND Transmis par IQar  :

Origines, Principes et Promesses et découvrez les concepts de : Contrôle continue ; Chaine critique et TOC ; Valeur acquise et Reste à Faire ; Etc.

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   IQar - la « Gestion des Transformations »  Formation – Conseil - Coaching :

Processus continue et apprenant pour évaluer, conduire un projet, accompagner les changements.

 

Transmission d’entreprise

Les raisons de la transmission d’entreprise sont essentiellement dictées :

- Par des départs en retraite et autres cessassions/reconversions d’activités des dirigeants

- Pour une recherche de plus value ou de reconversion industrielle. 

 

Les modalitées sont également très diverses mais dépendent surtout de la taille et de l’activité de l’entreprise, des actifs cédés de la qualité du repreneur, etc.

 

Exemple :

La Reprise par les salariés = RES ;

La reprise avec effet de levier = REEL

La fusion avec une entité préexistante.

 

La transmission est une opération complexe tant sur le plan financier que social. L’un des éléments de la réussite est la conduite du changement.

 

Parfois, pour palier de nombreux inconvénients liés à la période de transition et optimiser les prises de décisions les administrateurs, actionnaires, font appel à un spécialiste en management de transition pour assurer l’intérim de certains décideurs.

 

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ; Attestation d’équité ; Audit ; Avancement d’hoirie ; Capital ; Capital investissement ; Cession progressive du capital ; Désintermédiation ; Evaluation(s) ; Fusion ; GAP ; Haut de bilan ; Management de transition ; Prix de transfert ; REEL ; RES ;

 

   Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-   Transitiss :  Management de Transition & Transmission d'Entreprise :

Confortez votre équipe de direction, soyez accompagné pour valoriser votre entité et dans vos négociations de transmission …

 

Travail collaboratif

Travail collaboratif : En termes génériques, c’est la mise en commun des savoirs, pouvoirs et actions, pour créer la synergie qui doit conduire à l’efficience, d’une démarche de projet en commun.

 

L’intrapreneur est l’un des éléments moteurs du travail collaboratif.

 

Le « Mobbing » et la « Procrastination » sont incompatible avec le travail collaboratif !

 

Le travail collaboratif n’implique pas systématiquement la répartition de tâches, ni les liens de subordination. C’est ce qui fait ses atouts et difficultés. Comme pour le management agile de type « Scrum = Mêlée  » par rapport au management de projet.

 

Ce sont les collecticiels = Groupware  qui aujourdui favorisent le travail collaboratif (ex : Logiciels libres, WIKI, réseaux sociaux. ) Mais globalement c’est dans des projets professionnels, puisque l’on parle de travail, que l’on peut mesurer l’intérêt de ce concept qui conduit naturellement vers l’amélioration continue par l’implication de tous les acteurs notamment d’une même entité telle qu’une entreprise pour lui permettre de pérenniser ses activités.

 

Collaborer c’est bien, sur le plan intellectuel mais il ne faut pas confondre avec un travail rémunéré, rétribué, qui doit donc bénéficier à celui qui le paye et celui qui l’a payé !.

Par ailleurs les groupes de travail collaboratif sont de plus en plus souvent infiltrés par des membres qui ont des intérêts divergeants ex : Profiter des résultats tant sur le plan technique, commercial que financier.

 

Attention : Comment différencier travail coopératif et collaboratif !

Un moyen mnémotechnique, mais pas très académique, pour faire la différence entre ces synonymes

- Coopérer : C’est opérer conjointement ! = Joints = liés

- Collaborer : C’est le labeur dans la collonne d’à coté ! = en Parallèle : En gardant une certaine indépendance !

 

Ainsi la coopération se conçoit plus aisément sur une répartition de tâches, souvent calqué sur un modèle hiérarchique, et notamment pour construire un ensemble.

Alors que la collaboration mettra davantage en valeur le partage des connaissances, des actions et de la finalité, sans nécessité de lien de subordination entre les acteurs (ex : Wiki).

 

Cependant les 2 permettent d’ouvrer en commun.  

Avec ces précisions l’on peut éviter les confusions, mieux se comprendre et donc s’entendre pour agir !

 

 

Selon l’Office Québécois de la langue française, le travail collaboratif se définit comme « l’utilisation de ressources informatiques, dans le contexte d'un projet réalisé par les membres d'un groupe de travail reliés en réseau ».

 

Intelligence collective et Pragmatisme :

Ne pas créer une nouvelle OST (Organisation Scientifique du Travail) dévalorisante pour les individus et contreperformante pour les entreprises !

La performance peut aussi être le fruit de la pratique conjuguée de l’intelligence et du travail collaboratif c'est-à-dire : l’Intelligence collective. Cett notion implique non seulement une collaboration technique mais aussi intellectuelle des acteurs de tous les métiers et hiérarachies au service de l’innovation.

Si la gouvernance devient davantage un animateur, un mentor les effets de cette performance seront exponentiels.

Les temps sont révolus où la Directions attendait des résultats de ses laborieux sans trop se soucier de leurs moyens et motivations et des exécutants prenant comme prétexte de leur mauvais résultats le manque de moyens de leurs dirigeants. Personne n’était suffisamment responsable, conscient de cet situation préjudiciable !

Aujourd’hui chacun est le spécialiste de son poste et le mieux à même de trouver les solutions et améliorations les plus appropriées aux collègues, clients, etc. L’innovation permanente et créatrice doit être l’état d’esprit dominant. C’est tellement plus gratifiant… dans tous les sens du terme ! 

Tous peuvent se retrouver dans un Espace Collaboratif = Obeya room pour suivre les affiches d’u projet poser des questions inscrire des réposes, etc.

 

Les métiers et surtout ceux de la gestion au sens le plus large, se sont développés en intégrant des méthodes et techniques de plus en plus sophistiquées qui demandent à chacun de s’y consacrer pleinement et dans la durée.

Ainsi malgré les expériences du passé une nouvelle division du travail, elle aussi organisée scientifiquement, cantonne certains acteurs et décideurs dans des actions et fonctions seulement apprises et figées ou l’initiative  est muselée et ou nait l’isolement.

Contrairement à certaines pratiques dites relationnelles, de PNL, etc. ce ne sont pas les « incentives » qui suffiront à donner le moral à chacun au bénéfice de tous, ni même les seuls messages de ‘’Confiance’’. Limportant est que chacun puisse satisfaire ses motivations personnelles en encourageant celles des autres.

 

Malgré les nombreuses théories étudiées relatives aux comportements humains, l’impérieuse nécessité de se spécialiser et de devenir le meilleur, surtout parmi les collègues concurrents, ou simplement de s’acquitter du rendement imposé, reste le comportement le plus courant. Résultat, chaque individu se créé de oppositions, se coupe d’une partie du monde qui l’entoure souvent aussi par manque de temps.

L’un des effets pervers est de paraître au lieu d’être. Ceci fait peut-être le bonheur des « Marketinger’s » mais pas celui des individus, qu’ils soient producteurs ou consommateurs. Il suffit tout simplement de se référer à la pyramide des besoins de Maslow.

 

Tous les « coach » et autres « leaders » pronnent le travail d’équipe en affichant un sourire commercial de façade ! Mais il ne suffit pas de le dire. Certains diraient même qu’il faut le « Fair  » !

 

Quelques termes simples permettent de mieux appréhender les conditions du travail collaboratif ex :

      Intelligence, altruisme, satisfaction, confiance, persévérence,

Ces ingrédients suffisent à donner l’envie, la motivation nécessaire au fonctionnement de la cognitivité qui favorisera le pragmatisme et donc la création, la coopération naturelle, etc.

 

Par ailleurs les individus fonctionnent essentiellement selon leurs sensibilités comme le démontre la découverte de différentes formes d’intelligence. Au-delà de l’inné l’environnement dans lequel nous vivons produit sur chacun des effets particuliers qui influence nos décisions et nos actions.

Le formatage généralisé destiné à manipuler, les consommateurs, excécutants, et surtout de plus en plus de « leaders » ne dure qu’un temps et le naturel reprend le dessus.

 

Il ne faut pas oublier, non plus, que l’intérêt financier n’est pas une fin en soi.

De nombreuses crises, provoquées par les seuls marchands, le prouvent périodiquement depuis la nuit des temps. Si ces marchands sont les décideurs, la machine finit toujours par se gripper.

En revanche, des gens intelligents pourront mettre en place de bonnes pratiques comme la management participatif, la gestion par projet, etc. pour partager les fruits de l’efficience au service de l’Humain et de son environnement.

 

Pour ceux qui sélectionnent les participants à un goupe collaboratif il est donc primordial de déceler au plus tôt les motivations de chacun…

 

La notion « Equipes Projet Intégrées  = Integrated Project Teams  

Est très importante dans le concept de travail collaboratif.

En effet, ces parties prenantes internes (ADV, Commercial, production, services généraux…) et externes (Fournisseurs, clients…) vont contribuer à la solution finale efficiente !

 

L’informatique et le développement des réseaux virtuels, grâce aux collecticiels, ont donné une nouvelle dimension au travail collaboratif en permettant notamment à de nombreuses personnes de participer à un projet commun en fonction de données personnelles ex : Temps disponible, intérêt pour un sujet, niveau de compétences, but recherché…

Cependant certain affirme que le travail collaboratif serait une perte de temps ! A cela il est aisé de leur poser la question : Investir est-ce perdre de l’argent ?

 

Et « Pour rire, mais pour de vrai ! » :

Sans vouloir offenser Einstein et voulant rendre hommage à Jacques POMMIER et Glaudius BOUCHON la formule de l’efficacité serait :

   E = CM2 : L’Efficacité est égale à la Compétence multipliée par le carré de la Motivation !

 

 Voir :  6 sigma ; 8D ; ADV ; Aides ; Altermanagement ; Amélioration continue ; Cercle de réflexion ; CirCept ; Collecticiel ; Communication ; Conduite du changement ; Décisionnel ; Dernier planificateur ; Effet GVT ; Effet Noria ; Effet Pavarotti ;  Effet singe ; EFM ; Equilibration ; ERM ; Ethique ; Ethologie ; Excellence Opérationnelle ; Gouvernance ; GRC/CRM ; Heuristique ; Initié ; Intelligence ; Intelligence économique ; Intrapreneur ; Juste à temps ; Loi de Parkinson ; Management calme ; Management de projet ; Management d’équipe ; Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Management du cycle produit/PLM ; Management participatif ; Mentor ; Méthode 5S ; Mobbing ; Multitasking ; Obeya room ; Organisation ; Plan de succession ; PNL ; Pragmanagement ; Pression ; PRM ; Procrastination ; Pyramide des besoins ; Réunion déléguée ; Réseau ; Roue de Wallace ; SCRUM ; Serendipidity ;  Stratégie Océan Bleu ; Supposition ; Syndrome de l’étudiant ; Système de Management Intégré ; Temps parcelles ; Tenségrité ; Théorie(s) de l’agence, de l’enracinement ; Théorie des contraintes ; TICC ; Transformation organisationnelle ; Visite de terrain ; Workflow ; XRM ;

 

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 Infos :

- Conférence ARSEG : Travail Collaboratif et transversalité, Pratiques, Outil, Méthodes…

 

- Découvrez le « Portail Rhônalpin du travail collaboratif : S’informer, trouver une solution, mise en œuvre et programmes d’accompagnement de l’ENE (OREE – SI PME, etc.)

 

-  ARDI – Agence Régionale du développement de l’Innovation.

 

- « Cherry picking 1.0 : Informatique Opportunités et Menaces pour l’Entreprise . Entre DG et DSI comment répondre aux enjeux économiques ? Livre d’Yves Cavarec à télécharger ou papier. 

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  : EMA est un logiciel-donaciel d'envoi de courriels et d'infolettres en masse totalement gratuit pour une utilisation personnelle ou pour une association, Pour les autres faire un don pour encourager ce formidable travail collaboratif !

-  Congruences - Conseil et formation en communication et management d’équipe : L’efficacité des organisations par l’harmonie des hommes et des stratégies.

 

TRC

TRC = Assurance Tous Risques Chantier.

Ce type d’assurance permet de couvrir tous les dommages matériels d’un même chantier pour toutes les parties prenantes à celui-ci.

L’avantage de ce type de contrat permet d’indemniser plus rapidement car la recherche de responsabilité est limitée.

 

 Voir : Assurance (Agrément, Crédit, Prospection) ; Cindynique; Garantie ; Management de risques ; Risques ; Subrogation ;

 

Trésorerie

La trésorerie c’est l’ensemble des actifs disponible sous forme financière qui n’ont pas été utilisés pour financer des immobilisations ou des dépenses d’exploitation.

Ces liquidités sont comptabilissées soit au compte caisse pour les espèces soit dans les comptes banque et établissements assimilés pour les avoir détenus par ces structures.

 

Ces disponibilités participents à l’autofinancement.

 

La trésorerie peut être évaluée par différence entre le Fonds de roulement et le besoin en fonds de roulement d’exploitation.

 

 Voir : Actif-S ; Autofinancement ; BFR ; Bilan ; Billet de trésorerie ; Compte pivot ; Recouvrement ; Refinancement ; TCN ; Trésorerie d’échelle ; V.com ; 

 

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 Infos :

-  AFTE : Association Française des Trésoriers d’Entreprises.

 

Trésorerie d'échelle

Trésorerie d’échelle = Cash pooling  

Système permettant à une entreprise de gérer la trésorerie de plusieurs comptes bancaires ouverts au sein des agences d'une même banque.

 

Se dit aussi d’une gestion de trésorerie centralisée qui prend en compte l’ensemble des soldes débiteurs et créditeurs de ses différentes entités pour d’une part réduire les commissions de découvert et d’autre part placer ses exédents.

 

Cette procédure peut revêtir des formes différentes ex : National, internationale, notionnel (sans transfert de fonds = la banque se charge des compensations) ou avec transferts physiques de fonds = soldant les comptes transférés (ZBA : zero balance account  )

 

Parfois les remises de chèques se font directement au travers d'intermédiaires "Boîtes à lettres" (= Lock box  ) pour accélérer l'encaissement de ceux-ci sans passer par les services centraux comptables.

 

Certaines pratique sont destinées au « balayage de comptes » (= Sweeping accounts  ) pour transférer le solde sur un compte dit pivot.

 

Lorsque les comptes concernent différentes entités d’un même groupe il est primordial de bien choisir la « banque centralisatrice » (= Overlay bank  )

 

 Voir aussi : Billet de trésorerie ; Compte pivot ; Trésorerie ;

 

TRI

 

 Voir : Taux de Rentabilité Interne ; ROI ;

 

Tribunaux

Tribunal = Gericht  ;  Court

Exemples d'instance où sont rendus les jugements :

 

- Tribunal d'instance (TI) : Juridiction civile compétente pour les conflits relatifs à des sommes inférieures à 7 600 euros (en 2005)

Tribunal de grande instance (TGI) : Juridiction civile, chargée de régler les conflits relatifs à des sommes supérieures à 7 600 euros.

 

- Tribunal de commerce (TC) : Juridiction composée par des juges consulaires non professionnels, élus par des commerçants. Ils statuent sur les litiges nés entre commerçants et sur les litiges portant sur des actes de commerce.

 

- Tribunal administratif (TA) : Juridiction compétente pour les litiges de droit administratif c'est à dire ceux qui opposent l'administration aux administrés

 

Dans certains cas, en particulier en cas d'urgence (risque de disparition des biens et ou des personnes) et évidence des faits (ex : Créance non contestable) le juge des référés peut être saisi. Il ne se prononce pas sur le fond, mais sur la forme, de l'affaire qui lui est soumise. Il peut le cas échéant prendre une décision à caractère exécutoire, et mesures conservatoires, sur la base des éléments qui lui sont soumis.

 

Certains jugements peuvent aussi faire l'objet d'un "Appel" ou d'une "Cassation" auprès d'une instance spécifique

 

 Voir : Assignation ; Cavalerie ; Injonction de payer ; Management de contrats ; Mandat "ad hoc" ; Mise en demeure ; Procédure ; Recours ; Sûreté personnelle et réelle ; Saisie(s) ;

 

TRIZ

 

 Voir : Théorie de résolution des problèmes d’invention.

 

Troyen

Troyen = Trojan

 

 Voir : Cheval de Troie   

 

TRS

TRS = Taux de Rendement Synthétique :

 

Ce ratio intègre la durée des arrêts machines par rapport au temps de fonctionnement, le temps de cycle réel par rapport au temps cycle théorique, et la quantité de bonnes pièces produites par rapport à la quantité totale.

 

 Voir aussi : Lean concept ; Management de projet (Extrème) ;Retour sur investissement ; Taux ;

 

Trust

 

 Voir : Fiduciaire

 

TSE

 

 Voir : Application déportée ;

 

TTA

Technologie Temporelle Asynchrone TTA = ATM = Asynchronous Transfer Mode   

 

Protocole qui permet d’assurer la transmission de données à hauts débits en particulier par les lignes téléphoniques.

 

Technologie de réseau à haut débit (jusqu'à 2,5Gbits/s) normalisée et présentée comme une solution d'avenir. Originellement conçu pour la voix et les réseaux distants, l'ATM est en train de passer aux réseaux locaux.

 

Cette technologie semblait prendre l'ascendant, à compter de 2003, sur ses concurrentes.

 

Le principal problème étant la rapidité de commutation. En plus, c'est Made in France, mais peu de personnes le savent !

 

 Voir : ADSL ; Réseaux ;VPN ;

 

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 Infos :

- TTA ; frame relay ;

 

Tunnel

Tunnel  = Collar.  

C'est un échange (Swap) qui associe une garantie plancher (Floor) et une plafond (Cap)

 

Chaque partie au contrat achète l'une et vend l'autre. L'objectif recherché est de réduire le coût des garanties de prix ou taux.

 

 Voir : CAP ; Floor ; Garanties sur transactions de marché ;

 

Voir aussi : Swap ; Option ; Taux ;

 

TVTS

 TVTS = Taxe fiscale sur les Véhicules de Tourisme appartenant à des Sociétés.

 

 Voir TDVM

 

U

 UBI France : Agence française de développement international des entreprises.

UDDI

UDDI = Universal Discovery Description & Integration  :

Norme concernant les annuaires « Web services »

 

 Voir : Architecture Orienté Services.

 

UMTS

UMTS = Universal Mobile Telecommunications Service

Norme de communication de 3ème génération dont le débit maxi est de 2 MBPS.

 

Sa technologie permet la navigation/Internet à partir d’1 Tél. mobile et donc la vidéoconférence

 

 Voir : Edge ; GPRS ; HSDPA ; UMTS ;

 

URL

URL = Universal ou Uniform Resource Locator  , = Adresse universelle

qui permet, sur Internet grâce à un chemin d'accès, de localiser un internaute et même un document dans un serveur.

 

 Voir : Html ; Internet ; Mercatique ; Meta tag ; Moteur de recherche ; Mouchard ;

 

US Gaap

US Gaap = Generally Accepted Accounting Principles.

C'est la norme comptable utilisée aux USA

 

 Voir : IAS-IFRS ; Plans comptables ;

 

Usucapion

Usucapion appelée aussi prescription acquisitive :.

 

C’est une pratique, relevant d’une situation de fait, qui permet de se rendre propriétaire d’un bien meuble ou immeuble après s’être comporté comme tel pendant un certain temps.

 

Le délai est normalement de trente ans mais il peut être de 10 si le possesseur est de bonne foi. Notamment s’il est entré en possession de ce bien par un acte juridique.

 

Ne pas confondre avec la préemption.

 

 Voir : Acte ; Contrat ; Prescription ; Propriété ; Preuve ; Revendication de propriété ;

 

Usufruit

 

 Voir : Propriété

 

Usure

Usure  = Riba

Le taux d’usure définit celui qui est appliqué au-delà de ce que la loi autorise, notamment en France. Ce fait est constitutif d‘un délit. En droit islamique l’intérêt sur un prêt d’argent  est intérdit et donc à plus forte raison  le taux d’usure.

 

Attention les intérêts moratoires relèvent d’une pénalité et non d’un prêt portant intérêt.

 

Commentaire sur le texte ci-dessous :

Le délit d’usure aurait été supprimé par une dsiposition législative qualifié « en faveur des PME » !?

Améditer.

 

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 Infos :

Citations partielles voir source Banque de France :

http://www.banque-france.fr/fr/poli_mone/taux/credit/usure.htm

« La législation française relative à la répression de l'usure est actuellement régie par les articles L. 313-3 à L.313-6 du Code de la consommation. Certaines de ces dispositions ont été récemment modifiées par deux lois, d'une part, la loi n° 2003-721 du 1er août 2003 pour l'initiative économique, d'autre part, la loi n° 2005-882 du 2 août 2005 en faveur des PME.

L'article 32 de la loi de 2003 a supprimé le délit d'usure pour les prêts consentis à des personnes morales exerçant une activité commerciale, industrielle ou financière.

L'article 7 de la loi de 2005 étend cette suppression du délit aux personnes physiques agissant pour leurs besoins professionnels (« entrepreneurs individuels »).

En revanche, les sanctions pénales prévues par les articles L.313-4 et L.313-5 du Code de la consommation restent applicables aux prêts immobiliers ainsi qu'aux prêts à la consommation. … »

 

 Voir : Evaluation ; Intérêts moratoires ; Propriété ; Ratio ; Taux ;

 

Utilities Manager

Utilities manager = Gestionnaire des énergies et réseaux.

 

 Voir : Services Généraux.

 

UWB

UWB = Ultra Wide Band 

 

Technologie de connexion sans fil, par impulsions électroniques, d'un débit largement supérieur aux Wifi et bluethooth et offrant davantage de sécurité.

 

Permet de se connecter sur bien des appareils (photos, imprimantes, ordinateur, balise téléphonique, téléviseur, etc.).

 

V

 APV : Association des Professeurs de Vente.

VAFB

Vérification d'Aptitude au Bon Fonctionnement.

Pratique de test utilisée dans un modèle de gestion de projet selon le concept « Cycle en V »

C’est considéré comme une phase de recette, jalon test qui se fait en en fin de projet avant la livraison définitive.

Cette pratique souvent précisée dans le contrat implque souvent que le maitre d’ouvrage doivcent confier ce test de réception à un organisme expert indipendant exterieur à la transaction.

 

 Voir : Cycle en V ; Développement Dirigé par les Tests ; Evaluation ; Maitre d’Ouvrage ; Management de projet ;

 

Vacataire

Vacataire, de vacant = Libre.

 

Personne rémunéré pour une vacation c'est-à-dire ponctuellement, pour une mission précise, en remplacement.

Le vacataire peut avoir un statut d’indépendant ou être salarié.

 

Attention à la déclaration fiscale à partir d’une certaine valeur !

 

 Voir : DADS & DAS2 ; Formation ; Frais professionnels ; Per diem ;

 

Vache à lait

= Cash cow

Dans le modèle d’analyse de portefeuille du Business Consulting Group

Les parts de marchés du domaine d’activité stratégique sont les produits classés dans les 4 catégories suivantes

      - Vedettes - Vaches à lait – Dilemmes – Poids morts –

 

- Vedettes : Rapportent et s’autofinancent. De plus ils contribuent à la croissance ;

- Dilemmes : Coûtent mais contribuent à la croissance ;

- Vaches à Lait : Contribuent peu à la croissance et rapportent ;

- Poids morts : Ne rapportent et ne contribuent pas à la croissance

Ce classement permet de mesurer le potentiel de génération et d'utilisation des liquidités.

 

 Voir : Commercial ; Domaines d’activités stratégiques, Evaluation ; Mercatique ; Modèle d’analyse de portefeuille ; PNL ; Pyramide des besoins ;

 

VAE

 

 Voir : Formation ;

 

Vague déferlante

 

 Voir :  Management de projet ;

VAKO

 Il est important en matière relationnelle de pouvoir utiliser les 5 sens selon la terminologie commerciale dite VAKO :

 

V = Vue : Il faut regarder, dans le bon sens, pour voir ;

A = Audition : Il faut écouter pour entendre avant de pouvoir comprendre ;

K = Kinestesie : Le sens du touché et autre gestuelle ou posture (= Proprioception) ;

O = Odorat et le goût.

 

 Voir : Intelligence ; PNL ; Proxémie ;

 

Valeur acquise

Dans le calcul d’intérêt notamment pour les investissements boursiers, la valeur acquise est la somme du capital initial et des intérêts qu’il génère, au terme d’un certain nombre d’années de placement.

 

La formule (sans intérêt capitalisé) sera : Valeur acquise = Capital [1+ (Taux x Temps)]

 

Bien au-delà de la finance, le management s’est emparé du retraitement de cette notion de valeur acquise dans bien des domaines notamment en gestion de projet pour mesurer le travail déjà réalisé (acquis) et celui restant à effectuer. Pour cela il est indispensable de pouvoir anticiper sur la méthode de découpage du projet.

 

On retrouve de nombreuses applications de cette pratique dans différentes gestion en mode projet et en particulier de programme.

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ;  Evaluation ; Management de la Valeur Acquise ; Valeur Actuelle Nette ; Management de projet ; Taux ;  VaMPs ;

 

Valeur actuelle

Valeur actuelle = Present value  

 

La valeur actuelle est basée sur le concept simple :

« Il est préférable d’avoir un euro dans sa poche aujourd’hui plutôt que d’espérer avoir un euro dans sa poche demain ! »

 

La formule de la valeur actuelle est la suivante : VA = VF/(1+T)P

 VF = Valeur future ; T = taux ; P = Période

 

 Voir : Analyse par les Options Réelles ;  Evaluation ; Management de la valeur acquise ; Valeur acquise ; VAN ;

 

Valeur ajoutée

Valeur ajoutée. C’est un SIG = Solde Intermédiaire de Gestion, du Compte de résultat social, utilisé dans l’analyse financière d’une entreprise :

 

La valeur ajoutée se calcule facilement notamment à partir des lignes fiscales du compte de résultat social  (d’exploitation) :

Différence entre la Marge Commerciale et l'ensemble des autres achats de biens et services consommés par une entreprise.

Formule :

Marge commerciale

+ Production de l’exercice

 – Consommation de l’exercice en provenance de tiers

 

Le ratio VA/CA permet de mesure l'efficacité commerciale (marge).

 

Attention le ration sera fortement influencé selon les secteur d'activité. Ex : Faible pour les activités de services par rapport aux activités de production.

 

 Voir : Analyse financière ; Compte de résultat social ; Déclaration fiscale ; Evaluation ; Liasse fiscale ; Marge(s) ; SIG ;

 

Valeur mobilière

Valeur mobilière :

Titre boursier émis pour une valeur faciale par une entreprise autorisée à faire appel public à l’épargne et qui est matérialisé par des droits, d’associé ou de créancier, acquis par le porteur en échange de la valeur monétaire d’acquisition sur le marché.

 

 Voir : Actif(s) ; Action ; Coefficient de capitalisation des résultats-PEG ; Fonds propres ; Obligation ; RCE ;

 

Valeur Nette Comptable

La valeur nette comptable est la valeur résiduelle d'un bien, toujours présent à l'actif du bilan d'une entreprise, mais dont l'évaluation est faite après déduction de son prix d'acquisition, des amortissements ou des provisions pour dépréciation le concernant.

 

Attention : voir incidence des IFRS depuis 2005.

 

 Voir aussi : Actif-S ; PBR ; VAN ;

 

VaMPs

Valeurs Moyennes et Petites :

 

Terme désignant les entreprises dont la capitalisation boursiere est inférieure à 1Milliard € et donc considérées comme petite ou moyenne.

 

L’un des objectif de ce classement est de définir des adaptations spécifique aux obligations d’information  des marchés pour ces entreprise cotées en bourse en prenant comme repère les obligations faites aux grandes entreprises.

 

 Voir aussi : Contrôle de gestion ; ETI ; Forme juridique ; Gouvernanc ; IFRS ; LSF ; PBR ; Statut ; Valeur acquise ; VAN ;

 

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 Infos :

De nombreux rapports ont été édités et mis à disposition du grand public via Internet sur ce sujet, notamment  par L’AMF.

 

VAN

= NPV : Net Present Value

La Valeur Actuelle Nette = VAN  +   d'un actif est la différence entre sa valeur actuelle (espérée par les investisseurs) et sa valeur de marché d’où le nouveau concept de « création de valeur » cher aux actionnaires spéculatifs.

 

Pour un investissement d’entreprise on peut l’exprimé par l’actualisation de sa capacité d’autofinancement rapportée au capital investi.

 

Cette notion de recherche création de valeur va inciter les gestionnaires à évaluer par exemple :

- FTD = Flux de Trésorerie Disponible ;

- VEE = Valeur économique de l’entreprose (dont profit et valeur résiduelle)

- Les différents coûts liés au capital

 

  Voir : Actionnaire ; Analyse financière ; Analyse par les Options Réelles ;  Approche par composants ; Audit ; Capacité d’autofinancement ; CMPC/WACC ; Chaine de valeur ; Evaluation ; GAP ; Gestion des actifs ; Rentabilité des Capitaux Investis ; ROI ; SIG ; Taux de rentabilité Interne ; Valeur nette comptable ; VaMPs ;

 

Voir : Actif(s) = Circulant ; Comptable ; Immobilisés ; Net réévalué ; Adjacents ;

 

Voir aussi les différents concepts de :

- Management de la valeur acquise, … du rendement ; …par activité ; …par objectifs ;

- Gestion de la chaine d’approvisionnement ;

 

VAR

VAR = Value Added Reseller  = Revendeur à Valeur Ajoutée

 

Ne pas confondre avec : VaR = Value at Risk

 

 Voir : Agent commercial ; Commercial ; Mercatique ; Risques ;

 

VBM

VBM = Value Based Management  

 

Méthode de management basée sur l'optimisation de la création de richesse (valeur) sur le long terme

 

 Voir : EVA ;

Voir aussi : Méthode des coûts par activités ;   Management  par activités ;

 

V-COM

 

 Voir : Virement commercial mobilisable.

 

VDI

 

 Voir : Virtualisation ;

 

VDSL

 

 Voir : ADSL

 

Vedette

Dans le modèle d’analyse de portefeuille du Business Consulting Group

Les parts de marchés du domaine d’activité stratégique sont les produits classés dans les 4 catégories suivantes

       - Vedettes - Vaches à lait – Dilemmes – Poids morts –

 

- Vedettes : Rapportent et s’autofinancent. De plus ils contribuent à la croissance ;

- Dilemmes : Coûtent mais contribuent à la croissance ;

- Vaches à Lait : Contribuent peu à la croissance et rapportent ;

- Poids morts : Ne rapportent et ne contribuent pas à la croissance

Ce classement permet de mesurer le potentiel de génération et d'utilisation des liquidités.

 

 Voir : Domaines d’activités stratégiques ; Modèle d’analyse de portefeuille ; Pyramide des besoins ;

 

VEFA

VEFA = Vente en Etat Futur d'Achévement.

 

Transaction, en principe, réalisée sur plan et non clé en main.

 

Cette vente confère la propriété à l’acheteur dès la signature du contrat.

En conséquence toutes servitudes droits et taxes y afférent ce qui peut poser de nombreux problèmes et générer des coûts multiples et au minimum de gestion des biesn acquis (dont Terrain, construction).

 

 Voir : Clé en main ; Management de contrat ; OPCI ; Plan Industriel et Commercial ; Propriété ; SCPI ;

 

Véhicule professionnel

 

 Voir : Frais professionnels ; TDVM ; TVTS ; 

 

Veille

La veille = Watch ,  peut être de nature différente :

 

- Veille Humaine = human intelligence= "humint". Collecte et traitement de l'information effectués directement par l'homme.

 

- Veille automatisée : signal intelligence = "sigint". Collecte et traitement de l'information par des moyens exclusivement électroniques.

Des logiciels ont également été réalisés pour résoudre les problèmes d’invention grâce à la veille.

 

Veille d’affaire /économique = Business intelligence

 

La pratique de l’Enterprise Feedback Management – EFM  permet aussi de tirer profit des enquêtes auprès des relations internes et externes de l’entreprise pour optimiser la gestion et les choix stratégiques.

 

En matière de gestion de relations commerciales le collecte des informations sur les clients et fournisseurs est primordiale afin d’anticiper sur les risques (financiers ou autres) inhérents à ces partenaires. C’est pourquoi la veille est importante tant auprès des bases de données entreprises que de la réalisation d’enquêtes ponctuelles.

 

 Voir : AAPC ; Aides européennes ; Appel d'offre ; Brevet ; Cercle de réflexion ; Comitologie ; Credit Management ; EFM ; Groupe de pression ; INPI ; Intelligence économique ;  Management de risques ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; MEMs ; OCARA ; Perquisition civile ; Risques ; Score ; Théorie de résolution des problèmes d’invention (TRIZ)  ;

 

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 Infos :

-   RIE Magazine de l’intelligence économique : Stratégie, sécurité, innovation, veille ;

 

-  EDD Toute la presse archivée : 40.000.000 de communiqués, des infos sociétés, scores, etc.

   Et consultez la nomenclature d’activités « TAXI »

 

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 Réf. Pro. : Voir solution prenant en compte cette terminologie :

-  INVESTIPOLE : Détective, agents de recherche : Défendez votre entreprise contre la concurrence déloyale, la contrefaçon, la corruption, la fraude, le vol, et le débauchage …

 

Vendor due diligence

 

 Voir : Audit.

 

Vente additionnelle

La vente additionnelle est une pratique commerciale selon laquelle le vendeur a réussi une opération supplémentaire de vente comme par exemple en offrant à l’acheteur une assurance, ou un prêt à l’occasion d’un achat mobilier ;

 

Dans ceratins points de vente comme la grande distribution, de nombreux produits sont disposés juste avant le passage en caisse. Cette technique est destinée à développer les ventes additionnelles.

 

Attention ne pas confondre avec le terme « ventes croisées »

 

 Voir : Mercatique ; Ventes croisées ;

 

Vente pyramidale 

 

 Voir : Boule de neige ; Cavalerie ; Ponzi ;

 

Ventes croisées

Ventes croisées = Cross selling

 

Principe selon laquelle au moins 2 acteurs économiques sont en position respectives de Client et fournisseur.

 

Ainsi il peut être envisageable de compenser les créances mais en faisant très attention aux aspects fiscaux et surtout juridiques et notamment vis-à-vis des règles de la concurrence.

 

Attention à ne pas confondre Ventes croisées et vente additionnelle.

 

 Voir : Compensation ; Domaines d’Activités Stratégiques ; Vente additionnelle

 

Venture capital

 

 Voir : Capital risque.  

 

Ver informatique

Ver informatique :

Désigne un processus, logiciel, parasite et hostile qui va consommer les ressources du système d’information, dont la mémoire dans laquelle il se déplace et se reproduit.

 

 Voir : Bogue ; Mouchard ; Troyen ; Virus ;

 

Vice caché

Le vice caché désigne un défaut, une malfaçon, dont l’acquéreur d’un bien ne peut avoir connaissance spontanément.

 

Ccertaines ventes peuvent être entachée d’une irrégularité et ainsi être annulées notamment par jugement.

Le fait est d’autant plus grave que le vice concérné à été dissimulé par le vendeur. Ceci constitue une manœuvre frauduleuse.

Ainsi le vendeur doit offrir une garantie légale contre les vices cachés.

 

 Voir : Clauses ; Dol ; Garantie ;

 

Vice de consentement

Le vice de consentement se distingue selon plusieurs critères :

 

- L’obstacle, et la violence (verbale ou physique)

- L’erreur (voir ce terme)

- Le Dol (Voir ce terme)

 

 Voir : Capacité ; Clauses ; Contrat ; Dol ; Erreur de consentement ;  

 

V.I.E.

V.I.A.

Volontariat International en Entreprise

Et en Administration = VIA

 

  Voir : Ressources humaines ; Mobilité ;

 

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 Infos :

 

- : UBI France : L’agence française pour le développement International des Entreprises

 

-  Gryffin International : De jeunes créateurs ont développé un concept de mobilité pour des étudiants et écoles de management – Objectif :

- Acquérir des connaissances et compétences à l’international !

- Favoriser leurs conditions de vie à l’étranger !

 

VIES

Système de l’Union Européenne permettant d’identifier un professionnel avant de contracter et par conséquent de se mettre en règle tant au niveau fiscal que pour prouver, le cas échéant, d’avoir effectuer les vérifications  préalables obligatoires en droit français.

 

 Voir : CGV ; Déclarations fiscales ; Management de contrat ; NRE ; Renseignement ;

 

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 Infos :

- EUROPA VIES : extrait « … chaque administration fiscale met à jour une base de données électronique contenant les données d'enregistrement de TVA de ses opérateurs. Ces informations comprennent le numéro d'identification de TVA, la date d'émission, le nom de l'opérateur, l'adresse de l'opérateur et, le cas échéant, la date de fin de validité d'un numéro de TVA… »

 

Virement commercial mobilisable

Virement commercial mobilisable = V.COM

 

Virement bancaire émis par le débiteur et signifié au créancier par la banque du débiteur auprès de laquelle un règlement anticipé peut être demandé moyennant le paiement d'intérêts.

 

C'est à la fois un moyen de paiement à échéance et un support pouvant servir au refinancement de créances clients.

 

 Voir aussi : BOR ; Credit Management ; Effet de commerce ; LCR ; Refinancement ; Trésorerie ;

 

Virtualisation

La virtualisation en matière de système d’information consiste à rendre virtuel ce qui est réel comme par exemple :

   - Réseau (VPN) - Serveur(OS) - Application (Logiciel), espaces de stockage (DAS/NAS/SAN).

 

Cette pratique implique un ensemble de matériels, logiciels et techniques qui ont pour objectif de réduire notamment les coûts d’achats de matériels, de gestion administrative et technique, en faisant fonctionner différentes solutions à partir d’un matériel ou poste, d’une plate-forme physique, comme si celles-ci étaient sur des machines, différentes, indépendantes.

 

Il est ainsi possible de disposer d’une solution dite libre sur un poste équipé également d’un OS propriétaire.

 

La Virtualisation du Poste de Travail = VDI : Virtual Desktop Infrastructure

- Permet à chacun de travailler, en client léger, à partir d’une représentation déportée, comme si vous aviez ouvert vos propres applications.

- Au delà du principe déjà connu de virtualisation d’application = Server-Based-Computing ,  le VDI passe par celle du système d’exploitation. Ce qui n’est pas sans poser de problème sur le maintien des applications.

 

 Voir aussi : AOS-SOA ; Architecture client serveur ; Architecture de stockage de données ; Client léger ; Coût Total de Possession ; Gestion Globale de la performance ; Location de droit d’usage –SaaS ; Mémoire ; Réseau ; VPN ;

 

Virus

On appelle virus tout programme d’ordinateur capable d’infecter un autre programme en le modifiant de façon à faciliter à son tour la reproduction du virus.

 

 Voir aussi : Bogue ; Mouchard ; Troyen ; Ver ;

 

Visite de terrain

La visite de terrain : Parcours de terrain  = Gemba Walks

Concept de la production au plus juste et de l’amélioration continue dont la principe est basée sur une visite de site par un dirigeant.

 

A l’origine destinée uniquement à l’amélioration technique de la production, ou simple visite de courtoisie d’un dirigeant à ses employés, ce parcours de terrain à maintenant plusieurs objectifs d’évaluation à atteindre tant sur le domaine technique, humain, que financier. Tous ces éléments feront l’objet d’un rapport.

 

Il s’agit de faire le point sur les pratiques locales afin de mieux comprendre les superviseurs et autres personnels pour qu’ils s’expriment afin que des améliorations cohérentes puissent être envisagées pour tendre vers l’efficience.

 

C’est aussi le concept « Genchi Genbutsu » qui recommande que les réunions se fassent avec les acteurs concernés et sur les lieux appropriés plutôt que dans des salles de réunion entre soit disant initiés et décideurs.

 

 Voir : Altermanagement ; Amélioration continue ; Centre de profits/coûts ; Communication ; Contrôle de gestion ; EMOFF-FFPM ; Excellence Opérationnelle ; Genchi Genbutsu ; Habilitation ; Management participatif ; Management de la valeur acquise ; Production au plus juste ; QPQQCOC ; Qualité ; Rapport ; Réunion déléguée ; Temps moyens d’attente /de manipulation ; Théorie des contraintes ; Travail collaboratif ;

 

VoDePo

 

 Voir : Priorité ;

 

Voie de recours

 

 Voir : Recours

 

Voyage d'affaire

 Voir : Frais professionnels

 

VPN

VPN = Virtual Private Network  

 

 Voir :  Réseau Privé Virtuel 

 

W

 WTC : Réseau international d’affaires dédié au développement des entreprises.

W3C

World Wide Web Consortium :

Organisme international chargé de promouvoir les standards utilisant les techniques de communication sur Internet et en particulier les langagues (Html, Xml, etc.)

 

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 Infos : 

 World Wide Web Consortium : Traductions françaises disponibles des documents W3C

 Voir : XML ; HTML ; SOAP ;

 

WACC

 

 Voir : CMPC

 

Wage

 

 Voir : Ecart social du travail

 

Waiver clause

 

 Voir : Clause de sauvegarde   

 

Warrant

Warrant :

1) Système de gage sans dépossession des marchandises pour en particulier obtenir un prêt ou faciliter la vente de celles-ci sans déplacement du lieu de stockage.

 

2) Est devenu un outil des marchés financiers (MONEP) qui porte le nom de bon d'option qui confère un droit et non une obligation, de souscription à un titre à des conditions avantageuses.

 

 Voir : Gage ; Monep ;

 

WBS

WBS = Work Breakdown Structure  = Matrice de répartition des tâches ou activités .

 

 Voir : Organigramme de tâches ;

 

Web 1 – 2 - 3.

Web 1 Désigne les pages en code HTML

 

Web 2 correspond à une multiplate-forme de données destiné à démultiplier les échanges au niveau mondial.

Ainsi l’internaute peut non seulement être acteurs de nombreux réseaux mais aussi diffuser du contenu quelle que soit sa taille et son activité.

 

Ceci est réalisable grâce à l’utilisation de nombreuses applications et interfaces enrichies, c’est à dire qui ont comme objectif principal de rendre la navigation conviviale et ergonomique (ex : Ajax).

Parmi les moyens de cette nouvelle communication on peut citer : les interfaces de programmation et d’application (IPA), les forums et autres blogs, ainsi que les flux RSS, etc.

 

Web 3 Appelé « Web sémantique.  La sémentique étant l’étude des signes linguistiques.

Ainsi en plus de montrer des contenus les outils permettront de comprendre le sens des textes et évetuellement de faire les liens avec d’autres contenus sur d’autres sites !

Le risque c’est que cette dyamique portée par les « marchands » conduise vers des débouchés à caractère commercial au détriment de l’enrichissement intellectuel = A suivre !

 

 Voir : IPA ;

 

Webinaire

Néologisme à partier de Web et séminaire = Webinar

 

C’est une réunion interactive en ligne permettant aussi d’utiliser des outils vidéo et autres supports partagés ou non (Web 2).

 

C’est une pratique de travail collaboratif est aussi bien utilisée pour des conférece à thèmes, des formatios et même la coduite de projets surtout pour des acteurs distants sans les contraindre à se déplacé et donc en évitant les pertes de temps et les coûts ihérants à ces déplacemets.

 

 Voir : Travail collaboratif ; Web 1-2-3 ;

 

Whois

Whois = Who is

 

Contraction désignant le processus de recherche public permettant de connaître le dépositaire/bénéficiaire d’un nom de domaine.

 

 Voir : Domaine ; INPI ; Propriété ; Veille ;

 

Wireless Internet Hotspot

 

 Voir : Point chaud de réseau

 

Window dressing

Window dressing  :

Opération d’habillage comptable   qui a notamment pour effet de modifier les états financiers d’une entité pour lui permettre d’optimiser son « image » ex :

- Réduire le BFR en jouant sur les stocks et sur le poste clients en pratiquant la cession de créances avec subrogation.

- Différer la comptabilisation de produits et de charges pour les affecter à un autre exercice.

 

 Voir : Defeasance   Allègement du Bilan

 

Voir aussi : Affacturage ; Analyse financière ; Barter ; BFR ; Bilan ; Cavalerie ; Cession de créance ; Compte de résultat social ; Credit Management ; Dailly ; Escompte ; Forfaitage ; Ponzi ; Privilège ; Titrisation ;

 

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 Infos :

-  IAE Lyon 3 Conférence Credit Management :

        « des Compétences Fortes pour des Enjeux Vitaux de Performance » ;

 

Workflow 

Workflow = Flux de travail

 

Système d’organisation des flux d’informations permettant de gérer l’envoi de celles-ci à différents acteurs internes et externes à une entité et ainsi d’optimiser la gestion par la ventilation, des actions, éventuellement par liste, et des éventuels documents qui s’y réfèrent.

 

Technique de prédilection du travail collaritif via le système d’information grâce aux nombreux et nouveaux moyens de communication et notamment dans le cadre de la mobilité.

 

Le workflow peut être simple ou très élaboré selon les besoins et moyens utilisés dont essentiellement les logiciels.

 Son utilisation se retrouve par exemple dans les outils de gestion de la relation client, de credit management et mangement de contrats.

 

 Voir : Credit Management ; ERM ; Gestion électronique de processus GEP ; Gestion de la relation Clients ; Management des Relations de Partenariat-PRM ; Système de Management Intégré ; Travail collaboratif ;

 

Working capital needs

 

 Voir : BFR    

 

WORM

Write Once Read Many

 Voir : Archivage 

 

WSOA

WSOA = Web Service Oriented Architecture.

 

 Voir : Architecture Orientée Service.

 

X

 XBRL.org France  Association Internationale pour la promotion du langage XBRL

XBRL

XBRL = eXtensible Business Reporting Language.   

 

Format de langage universel permettant d'automatiser et donc d'harmoniser le reporting. Ceci vient conforter l'harmonisation des principes comptables liés aux nouvelles normes et dispositions légales sur la sécurité financière.

 

Le Projet concurrent de XBRL est eb-XML

 

 Voir : XML ;

     Voir aussi : IFRS ; Loi Sécurité Financière : Langages ;

 

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 Infos :

 www.xbrl.org ;

 

XML & eb-XML

XML : Extensible Markup Language :

Langage généralisé de développement de logiciel, issu de l'évolution HTML mais permettant de mieux utiliser des données et des documents structurés avec de nombreux liens sur et vers différentes application Web ou non WEB.

Ex : en plein essort : ATOM qui est ainsi devenu un concurrent direct du format RSS.

 

XSD = XML Schema Definition : Norme approuvée par W3C qui permet de décrire la structure d’un document XML et un particulier les termes et la syntaxe utilisés (restriction, liste, union).

XSL = Extensible Stylesheet Language : Disposion de la W3C. L’objetif est d’optimiser, tant sur la forme que sur le fond des documents développés en langages Html ou Xml.

 

eb-XML : (eb pour electronic business  )

C’est une norme concurrente de XBRL issue d'un projet, qui selon robert LEMENSE (Consultant Chairman TGB12) Voir art dans RFC n° 381 Oct 2005, eb-XML serait plus global et intégré dans l'économie que XBRL.

L'objectif de ce projet est de permettre un pont entre la comptabilité et les transactions e-business des entreprises par incrustation de l'écriture comptable au document électronique d'origine et de disposer des composants permettant la génération automatique dans un journal auxiliaire ad hoc. Ce projet eb-XML est aussi intitulé "Jeton comptable" (Accounting Token)

Ainsi les éléments incrustés dans le document faciliteront la comptabilisation mais aussi les règlements au travers du système bancaire ainsi que la gestion des stocks et le retraitement des données analytiques à posteriori. Cette nouvelle norme internationale va bien évidemment favoriser l'utilisation de la facture électronique pour toutes les entités.

 

Des standards sont en cours de validation ("Open document format" et Open XML)

 

 Voir : Dématérialisation ; EDI ; HTML ; Jeton comptable ; Langages ; Technologie de modélisation de contrat ; XBRL ;

 

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 Infos : 

-  - « Construire une application XML » et « XML et Java » aux Editions Eyrolles

-  World Wide Web Consortium : Traductions françaises disponibles des documents W3C

 

XRM

XRM : eXtended Relationship Management = Management étendu des relations

 

Concept élargi de la relation avec tous les partenaires qui prend également en compte l’accès pour différents publics à des données réservées ou non à partir de pages web dont certaines interactives.

 

Au-delà du travail collaboratif le concept XRM permet également des applications destinées à promouvoir les relations dites citoyennes et donc de favoriser l’expression de ceux-ci notamment auprès d’association, organismes et collectivités.

 

 Voir : Management des Relations de Partenariat-PRM ; 

 

       Voir aussi : EFM ; Extranet ; Gestion de la relation Clients ; Gestion Globale de la Performance ; Location de droit d’usage –Saas ; Management participatif ; PRM ; Système de Management Intégré ; Travail collaboratif ;

 

XRP

 

 Voir PGI

 

XSS

Le X = Cross => Cross Site Scripting :

Technique qui permet, grâce à un lien caché inséré dans un site original, de renvoyer un internaute vers un autre site qui aura l’apparence de l’original.

Cette technique est réalisable grâce à la récupération des données d’identification dont les codes d’accès de l’internaute.

 

Attention :

Selon certains, ce procédé est également utilisé pour pirater un site en se faisant passer pour un autre et donc effectuer des transactions pour son compte y compris via un système sécurisé SSL ex : Action de pishing.

C’est en consultant une page piégée, mal protégée, que le script pourra s’installer sur l’ordinateur de l’internaute, à son insu et malgré le par feu, ou l’antivurus. En effet, le piège consiste à capter les codes relatifs à l’identification de l’internaute piégé.

 

 Voir : Cheval de Troie ; Pare feu ; Risques ; SSL ;

 

Y

 -   YEI - Young Entrepreneurs initiative : Programme, soutenu par Ambassade de France aux USA, qui encourage les jeunes chercheurs et entrepreneurs basés aux Etats-Unis à venir créer des entreprises à technologies innovantes en France.

YETI

YETI = Young Entrepreneurs of Technologies & Innovations   = Jeune entrepreneur en technologies innovantes.

 

 Voir : PME de croissance ;

 

Yield management

 

 Voir : Management du Rendement  (Traduction littérale = la plus appropriée)

 

Yuan

Yuan :

Monnaie officielle de la chine appelée aussi : RMB = Renmibi  = Monnaie du peuple

1 yuan (1 RMB) = 10 jiao (également prononcé "miao") et 1 jiao = 10 fen.

 

Taiwan utilise le nouveau dollar de Taiwan (TWD). Hong Kong, le dollar de Hong-Kong (HK$) et Macao dispose également de sa propre monnaie (la pataca) reliée au dollar de Hong-Kong.

 

Z   

 

ZAS

Zone d’Alliances Stratégiques 

 

 Voir : Grappe d’entreprises.

 

ZBA

ZBA = Zero Balance Account.

 

 Voir : Trésorerie d’échelle

 

Zéro défaut

Zéro défaut = Nulldefekt  ;   ;

Terminologie utilisée surtout par les « Services Qualité » notamment pour assurer la clientèle du meilleur niveau des produits ou prestations qui leur sont proposés.

 

Ainsi en interne ce concept, cette éthique s’est conjuguée dans tous les services (Cercles de qualité) et surtout ceux chargés de communiquer, mercatique et commercial en première ligne mais aussi accueil téléphonique, qui parfois est même externalisé pour atteindre cette qualité tant recherchée par tous.

 

Avec le développement des services achats ce concept est, si possible, imposé aux fournisseurs.

 

Comme l’externalisation s’est largement répandue et que les services achats ne s’occupent pas que des activités marchandes, cet objectif de zéro défaut est âprement négocier avec tous les prestataires à tel point que ceux-ci l’on intégré eux aussi dans leurs arguments de vente sous le vocable : « Accord ou niveau de qualité de service = SLA »

 

 Voir : Accord de qualité de service ; Approvisionnements ; Mercatique ; Qualité ;

 

Zéro stock

 

 Voir : Kanban

 

Zones d’activités économiques françaises.

 

Les zones économiques françaises sont des délimitations géographiques basées sur des indicateurs économiques et sociaux selon qu’ils soient aidés ou non ex :

- ZAC : Zone d’Aménagement Concerté ;

- ZAD : Zone d’Aménagement Différé ;

- ZFU : Zone Franche Urbaine ;

- ZRR : Zone de Revitalisation Rurale ; 

- ZRU : Zone de Revitalisation Urbaine ;

- Zone : Urbaine Sensible ;

 

 Voir : Aides ; Aides européennes ; Servitude ;

 

Zone de chalandise

 

 Voir : Chaland ;

 

Zone d’influence dominante

Zone d’influence dominante :

Secteur géographique d’attractivité majeure, déterminé à partir d’un point donné d’émission pour un média local et qui représente, en principe, sa position privilégiée (ex : part d’audience dominante) par rapport à ses concurrents.

 

En matière de mercatique, ce terme qui représente une mesure, de statistiques basées sur des enquêtes successives, (ex : médiamétrie) est très important pour déterminer une campagne publicitaire.

 

 Voir : Analyse textuelle ; Mercatique ; Score d’appétence ; Taux d’attrition ;

 

Zone géographiques économiques internationales

Les zones géographiques économiques internationales peuvent selon le cas, faire ou non l’objet d’accords de collaboration, coopération, de type culturelle, industrielle et économique, militaire, etc. Exemples :

 

- Union Européenne = 27 pays au 1er janvier 2007

 

- Zone France : (Monnaie : Franc CFA)   

Pays = Burkina Faso, Bénin, Cameroun, République centrafricaine, Congo, Côte d'Ivoire, Comores, Gabon, Guinée équatoriale, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Tchad, Togo.

 

- MEC = Middle East Countries

Pays = Chypre, Liban, Syrie, Irak, Iran, Israël, Jordanie, Arabie Saoudite, Koweït, Qatar, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Oman, Yémen.

 

- Pays d'Asie nouvellement industrialisés :

Pays : = Chine, Corée du sud, Hong Kong, Indonésie, Malaisie, Singapour, Taïwan, Thaïlande.

 

- ALENA/NAFTA = Accord de Libre-Echange Nord-Américain (coopération économique)

Pays = USA, Canada, Mexique.

 

- MERCOSUR : Zone de libre échange entre : Brésil Paragay et Uruguay.

La Bolivie et chili nen sont que des membres associés.

 

- Commonwealth : Liste très évolutive basée sur les anciennes colonnies britaniques et donc ayant été influencées culturellement.

 

- EMEA = Europe, Middle East Africa.

Mode d’organisation qui désigne des pays de continents et zones géographiques multiples d’Europe (mais ni géographique ni administrative) du moyen orient et seulement certains de l’Asie plus ceux du continent africain.

Cette vision originaire des grans groupes nords américains a pour objectif de classifier et d’organiser des filiales et équipes dites de management sur le plan international.

 

Le gros problème c’est que ce système désigne de manière très générique hors considérations économiques ou culturelles des pays et continents très divers.

Cette vision, faussée, irrespectueuse des diversités culturelles, ne peut bien évidemment que créer des problèmes en matière de marketing, de gestion de la relation client ou RH, d’éthique financière et réglementation, ce qui a inexorablement des effets perturbateurs et incohérents sur la perception du management.

En principe cette organisation ne fait que créer ses propres problèmes et nuit gravement au travail collaboratif et donc à la performance.

 

- ACP

Association regroupant, depuis 1989, 69 pays des Etats d’Afrique, Caraïbes, Pacifique.

 

- CAIRNS

Zone de libre échange agricole, constitué depuis et avec l'Australie, la Thaïlande, Fidji, l'Indonésie, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande, les Philippines, l'Argentine, le Brésil, l'Uruguay le Chili, la Colombie, et le Canada.  

 

-ALEA – Association de libre-échange asiatique.

Indonésie, Malaisie, Singapoure, Thaïlande, Brunei.

 

- BRIC – Brésil – Russie – Inde – Chine –

Groupe de pays à forte croissance et qui ont organisé leur premier sommet en juin 2009.

 

Ce nouveau groupe, en gestation depuis 2003, développe déjà des synergies tant sur le plan politique, économique que militaire. Il fait concurrence notamment au G8 ce qui incite à la passation au G20, mais aussi à l’OTAN.

 

Tant par leurs population et la masse des langues pratiquées dans le monde, que par leur puissance militaire notamment sur le plan nucléaire, que surtout leur poids économique en particulier potentiel de production et de consommation notamment d’énérgie, le poids de leurs investissements directs à l’étranger, leur place dans le domaine spatial, que par leur vitesse et potentiel de croissance, etc. ils représentent maintenant le groupe de coopération le plus important dans le monde à plus d’un titre.

Ce groupe est donc capable de peser sur de nombreuses décisions du commerce, de la sécurité, de l’énergie et donc de l’environnement … sur le plan international.

 

 Voir aussi : Communauté des Etats Indépendants ; Droit(s) ; Pays d’Europe Centrale et Orientale ;